RT 28
RT 28
DE
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES E ASSYRIENNES
POUR SERVIR DE BULLETIN A LA MISSION FRANAISE DU CAIRE
MASPERO
216S93
PARIS
Q^I
(VP)
NCm CHAMPI
MALAftUA^,
Toute demande d'abonnement doit tre accompagne de son montant en un chque ou \mandat-postp au nom de M. Honor Champion.
30 32
francs.
francs
35
OUVRAGES
relatifs
L'introduction topographique l'histoire de Bagddh (392-463 H 10021071 J.-C). Texte arabe accompagn d'une traduction franaise par G. Salmon. Gr. in-8'. 12 fr. (G.). Le livre de l'ascension de l'Esprit sur la forme du ciel et de la terre. Cours d'astronomie rdig en 1279, publi pour la premire fois d'aprs les mss. de Paris, d'Oxford et de Cambridge, par l'abb F. Nau. Texte syriaque et traduction franaise^ 2 parties gr. in-8, avec figures dans le texte. 21 fr.
ABOU'L-WALID
Le
livre des
parterres fleuris.
Grammaire hbraque en
25
fr.
membre
par le rabbin
M.
Metzger. 15 fr.
8
fr.
ADJARIAN
(H.).
AL-FAKHRI.
chute du khalifat abas632-1258 de notre re) avec des prolgomnes sur les side de Bagddh (11-656 de l'hgire principes du gouvernement par Ibn at Tiktak. Nouvelle dition du texte arabe par H. Deren25 fr. bourg. Gr. in-8". AMLINEAU (E.). Fragments de la version thbaine de l'criture sainte (Ancien Testament). 15 fr. In-4".
Histoire
la
tude sur la langue Laze. Gr. in-8. du Khalifat et du Vizirat depuis leurs origines jusqu'
AMIAUD (A.). La lgende syriaque de Saint Alexis, AURS (A.). Trait de mtrologie assyrienne ou
Essai sur
le
l'homme de Dieu.
fr.
50
tude de la numration et du systme mtrique assyrien considrs dans leurs rapports et dans leur ensemble, ln-8". 6 fr.
In-4.
fr.
BAILLET
(A.).
Le
Memphis
et les inscriptions
une planche.
BARTHELEMY
Gujastak Abalish. Relation d'une confrence thologique prside par le Calife pehlvi publi pour la premire fois avec traduction, commentaire et lexique. 3 fr. 50 Gr. in-8. BEREND (W. B.). Principaux monuments du Muse gyptien de Florence 1" partie Stles, bas-reliefs 50 fr. et fresques. In-f" avec 10 pi. pliotograves. BERGAIGNE (A.). Manuel pour tudier la langue sanscrite. Chrestomathie, Lexique, Principes de 12 fr. grammaire. Gr- in-8. 5 fr. Quarante hymnes du Rig Vda, traduits et comments. Publi par V. Henry. Gr. in-8". Tomes II et 111. .30 fr. La religioji vdique -d'aprs les hymnes du i?ig Vda. Tome I" puis.
(A.)
Mmoun. Texte
'
''
BERGAlGN '(A.)'et'Hfe'NRY
'.
(V.).
5
le
fr.
sanscrit vdique.
Prcis de grammaire-
12
fr.
BHAMIN;!
sentences du Pandit Djaganntha. Texte sanscrit publi pour la premire fois en entier avec traduction en franais et des notes par A. Bergaigne. Gr. in-8". 8 fr.
50 fr. BOl^bRl('AL).:Do3Ti"3E't^ assyriens relatifs aux prsages. Tome I". Liv. 1 3. In-4. CHlRF'-ElDDlN-RA'Mr. Ariis'-el-*Ochchaq, trait des termes figurs relatifs la description de la 5 fr. 50 beaut. Traduit du persan et annot par C. Huart. Gr. in-8\
CHRONIQUE DE GALWDWOS,
introduction historique par
roi d'Ethiopie.
William
E.
Conzelman. Gr.
CLERMONT-GANNEAU (C).
tudes d'archologie orientale, 2 vol. in-4" avec figures dans photogravures hors texte.
(J.).
texte et
50
25
4 25
fr.
DARMESTETER
Haurvati! et
tudes iraniennes. 2 vol. gr. in-8". Amereti. Essai sur la mythologie de r.\vesta. Gr. in-8".
et leur histoire. Gr. in-8".
fr.
fr.
Ormazd
et
fr.
DENYS DE TELL-MAHR.
Chronique, 4 partie. Texte syriaque publi d'aprs le manuscrit 162 de la Bibliotlique Vaticane, accompagn d'une traduction franaise, d'une introduction et de notes 25 fr. historiques et philologiques par J.-B. Chabot. 1 fort vol. gr. in-8".
(H.). Essai sur les formes des pluriels arabes. Gr. in-8".
DERENBOURG
fr.
BWGHAMYOUf.
iv^Mr
RECUEIL
DE TRJVVAUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
1906
Contenu:
1)
Fascicules
et II
une gnalogie gyptieuue? par Georges Legrain. 2) Note sur les utilit historique, par Fr. W. von Bissing. 3) La XIP dynastie de 5) Glas4) Notes sur le Papyrus Golnischeff, par G. Maspeuo. blser oder Metallarbeiter? von W. von Bissinc. 6) Notes sur quelques localits de la BasseEgypte, par Ahmed-Bev Kamal. 7) Les Inscriptions du Wadi Brissa et du Nahr el-Kelb, par Stephen Langdon. 8) Sinouhit, protocole du dbut, par G. Maspuro. 9) Calculs gyptiens du 10) Sinouhit, 1. 134-135, par G. Maspero. 11) Le Papyrus n" 1115 Moyen-Empire, par G. Daressv.
Comment
doit-oii tablir
de l'Ermitage imprial de Saint-Ptersbourg, par W. Golnischeff. 12) A propos del'ostracon 25074 13) Les noms de l'esclave en gyptien, par Jules du Muse du Caire, par Fr. W. von Bissing. Baillkt. 14) Jakob Krall, von A. Wiedemann.
Georges Legrain
Il
aurait, je croi.s,
les
et
))
au chapitre
fils
.
i^^
de saint Matthieu
La gnad'Isaac,
logie
de Jsus-Christ,
fils
de David,
d'Abraham. Abraham
,
fut pre
16
Et Jacob fut pre de Joseph, l'poux de Maiie, de laquelle est n Jsus qui est appel
Christ.
nous examinons
les
arbres de Jess,
Abraham
Isaac
I
"^'^^^
du Christ
est
couronne en
le
plus haut
rameau
Juda
I
etc.
ques
vieilles
cette manire, et
Pharamond, comme
y figure
comme
la
))
cela Larousse
rpond
Souche,
n.
f.
Partie du tronc
d'un arbre qui reste dans la terre aprs que l'arbre a t coup. Fig. Personnage
stupide, sans intelligence, c'est
etc.
Et
NOUV. SR.,
XII.
))
base, fonde-
ment.
les
gnalogies
comme
saint Matthieu et
met-on
les
souches,
Quant moi,
je
me
de
indit, par
'^
exemple, celui de
237 de
la
Q /WWW
/WVAAA
1 Ankhefnikhonsou fut
le
pre et
wV Nsikhonsou
fut la
mre de i<^
1 Bisenmaout,
aX
(ou en-
^"Yfan t
Ifl
I
^
I
d'Ankhefnikhonsou,
fait
Ajoutons que
personnage
et
quand
il
y en
a,
le
nom du
:
ne
le
10
I
==
A/^AAAA
La
difficult
s'accentue encore
f-|L'r(]
A
>f=) o
/v^y^A'V^
la
moderne
tiJ
O
AAAAAA
,
r'
in
il
DDD
D
it
iiiiiti
/^vv^^A
==uo
]
tout d'abord le groupe
: :
Nous trouvons
assez grande
il
o
Tes
signifie d'ordinaire
s'est, voici
fils
ayant
mmes
titres
M.
de la
Lieblein
moderne. Dans
ses
Etudes sur
t.
la place
p.
chronologique
XXII"
XVIII,
nous trouvons
la stle
|
^y D
Le rdacteur de
plutt que
de rpter ce
titre satit, a
mis
mets
))
transposition oblige
| "'
M. Lieblein
nous
l-tM
^^^ ^^'
P^"-'^'
^\'^
Plus
lisons
:
i
loin, p. 282,
y
pour cette
'
mme
il'
stle
1959 du Srapum,
4-4-( -^
t^
"^
P'^^'^ *^1^
Namrod
est l'aeul
du n
9,
-^
:
iD
Ne
serait-il
la
marche du
texte et de lire
dans 1. Voir, par exemple, la mise en srie gnalogique de la stle 1959 du Srapum, faite par Lepsius son mJmoire IJber die XXll. gyptisc/ie Kni'jsdynastie, p. 267-269. Ce n'est pas la seule. Je cite au hasard.
T^
'^j.y J.J.
"^
:
J^
^^>
f\'
la
_D l'
lH
(fil^fle)
m m
Ul
o
le
!,
ii-f
\^]^"
marche gyptienne
et
11
M.
et,
avant
le
nom
comme
il
nom du groupe
des
titres,
exemple, dans un article de M. Baillet' (qui, ainsi que M. Lieblein, voudra bien excuser
ces
mon
KHA-HOR,
rp h, prophte d'Amon,
etc.,
NSI-MIN,
prophte d'Amon, nomarque,
ce qui est
la
Prophte d'Amon,
nomarque, Nsimin,
Klia-Hor.
etc.,
la
moderne
:
du texte
de
la statue
237 de
la fin et crire
(=|0
\
= = 1iJl-^aSetc.)
^37
A
I A/WW^
D
I
/A
=
AAAA/V\
/vww\ <^
Je trouve que voil bien du travail pour un rsultat parfois bien maigre, et j'admire
le
courage de l'entreprendre et
le talent
de
le faire
agit
de
mme
bleaux gnalogiques semblables l'arbre de Jess, tableaux qu'il serait facile d'tablir
et
le
la
de dtacher
les
noms des
mon
titres
en
Peut-tre ce
vu
se ralisera-t-il
un
il
me
fallait tablir
les gnalogies nouvelles que nous fournissaient les statues de la cachette de Karnak,
que possible.
J'avoue que
j'ai
d renoncer
me
servir de la
pour tablir des gnalogies. Elle m'a paru trop complique, ne pas rendre
gyptien
tel qu'il
texte
nous
J'ai
ou faute de copie.
suivantes
1
:
Une
le
calque
le
du
texte qui
la fournit, et,
(fig.
1),
nous devons
(fig. 2).
comme
le
texte
gyptien, Bisenmaout,
fils
d'Ankhef-
nikhonsou
Ankhefnikhonsou,
pre T
Bisenmaout,
fils
de
1 de
Bisenmaout.
Fig. 1.
Ankhefnikhonsou.
FiK-. 2.
Une
2
en gnration jusqu'
Dans
les
Bisenmaout,
fils
de Bisenmaout,
possde ce
titre
fils
de
lui aussi.
la
La
3
filiation doit
donc tre
la
chose principale de
titre
recherches, aucun
ne sera adjoint
Il
convient de noter
ces variantes.
4
Les
titres
Il
arrive souvent
1. Ces gnalogies tant antrieures l're cbrtieune, leur arrangement chronologique avant Jsus-Christ devient ainsi plus commode.
faites
en endroits diffrents.
Il
convient de rassembler
nom
venance.
5
La
fiche tablie
les
tre utiliss
pour tablir
date du
monument.
le
:
comme thme
au dbut
-^
(Cachette de
Karnak
n" 257)
Basalte noir.
Hauteur,
0"'385.
Date
Texte
XXIP-XXV
dynasties
(?)
B
1}
IL
f:'iTO^o'Si!r'4
=M-nD
B
nJ
-^l*'^^'A,C
(le)
AAAAAA
(fils
j^
-jf-N
f\
/VWW\
in
'fils
de]
.G
on
B
A
I I I
h r-mnu^
n
(fils
DDOlilT'
lioi/www
de), etc.
?J\^
D
t"^
^B
B
Il
AAAAAA
10
Les textes
A et C,
noms de Bisenmaout
dans
la case
du tableau
de Bisen-
simple
BIBLIOGRAPHIE
f
mettre
ce sont
A/VWV\
11,
Catalopuo du Muse. Cf. Bau.let, Une famille sacerdotale (Recueil de Traoauw, t. XVIII); LiiBLEIN, Dictionnaire de
noms
commode, pour
de
mais
est in-
utile d'insister.
Ce que
tien lu en
je dsirais
gnalogiques
la
moderne
sont
le
commenant par
les textes
la fin.
qu'on lt
comfaits
mencement
et
que
les
accomplir.
Karnak, 15 mai
1905.
10.
i
A^AA^^
Souche.
Fr.
W.
von Bissing
On
dans
la
a beaucoup, dans ces derniers temps, insist sur l'importance des gnalogies
les
anciens
monuments gyptiens
la
dure du
Moyen-Empire', on
s'est
dynastie,' 1. M. Pieper, dans sa trs mile dissertation sur les rois du Moyen-Empire postrieurs la admet, avec M. Newberry {P.S. B.A., XXIV, p. 285), que les rois Sebekmsaf ne peuvent tre spars des rois Intef des XIIP-XVIP dynasties. Puis il croit pouvoir dmontrer que les rois Intef et Sebekmsaf doivent tre rangs trois gnrations avant les Sebekhotep. Il s'en suivrait que l'ordre des fragments du Papyrus de Turin doit tre chang. C'est M. Schiaparelli, auquel le Papyrus royal est confi actuellement, de se prononcer sur la possibilit des diffrents changements proposs dernirement pour les fragments du Papyrus. Mais deux observations me semblent utiles ds prsent tout ce que M. Newberry a prouv, c'est que la reine Sebekmsas a, probablement, mari un Intef et que la clbre reine Aahhotep descend de cette reine Sebekmsas [en supposant tou:
XW
jours avec
M. Newberry que
la reine
fois,
comme
Il
(1
^,
etc.,
d'or-
tait naturel
des documents officieux ou liistoriques, contenaient une notion exacte du degr de. parent qui reliait une personne une autre.
M. Gardiner
:
vient de
commenter avec
tant de succs,
nous rvle un
fait
c'est la narration
l'a
trs bien
vu M. Gardiner,
les
mots de
fille,
pre, mre,
Mes
son pre
Ournero
fille
est dsigne
comme
Mes en
les
comme
fils
tmoins,
d'Ournero
mmes dles
c'est--dire
quelques
trois cents
sous lequel
Mes
portait plainte.
l'histoire
tel
de
la
l'a
XVIIP
dessin
troduire dans
le
tableau gnalogique,
que
M. Gardiner
le
d'aprs
les
donnes
de l'inscription de Mes,
les plusieurs
gnrations
que
du procs. On
conclurait alors qu'Amosis a vcu quatre gnrations au plus avant Ramss, et que
toute la dure de la
cent cin-
quante annes.
Il
avons
faut pou-
voir contrler
indpendamment
|T|
Pour des
phrases
comme
forme du nom et par le style de ses monumeuts. que de probabilits et d'hypothses. Mais M. Pieper va plus loin. Au moyen d'une gnalogie, il tablit que le roi Sebekmsaf II vivait peu prs trois gnrations avant un certain Rii-snb, dont le tombeau se trou\e El-Kab. Rn-snb mentionne une
liou des rois
elle
parait
lice par la
'
'^'vwv\
La phrase
nous ignorons
le
sens exact
tmoignage que Rn-snb vivait du temps de la reine Snb-sn. Mais il est difficile d'admettre que cette reine Snb-sn ne puisse tre autre que la reine Sub sn, femme du roi Neferhotep, et d'en conclure que les Intef et Sebekmsaf doivent tre placs trois gnrations avant les Sebekholep. Je ne dis pas qu'il est impossible que M. Pieper soit daus le vrai, mais je ne voudrais pas voir apparatre dans un trait chronologique la phrase que voici Ainsi que M. Pieper l'a protic, les Intef et Sebekmsaf, d'une part, sont contemporains et parents de lu reine Aahhotep; d'autre part,' il n'y a que trois gnrations entre eux et les Sebekhotep. 11 n'y a donc, jusqu' nouvel ordre, rien de dcid sur la place que les Intef et Sebekmsaf ont occupe, relativement aux Sebekhotep, et, pour ma part, je continue tre de l'avis de M. Ptrie, qui, dans sou IJiiftoii-e, t. I, p. 222, place les Sebekmsaf, soit dans la XV1% soit dans la Xlil" dynastie je penche vers la XVl'^^ dynastie, par la simple raison que les Intef, qui peut-tre taient en relation de famille avec la dernire princesse de la maison des Sebekmsaf, me paraissent, par des raisons
du
'^'^^^,
et
il
t^
archologiques, appartenir la
XVIP
dynastie.
LA Xir DYNASTIE DE
MANTHON
G.
Maspero
les
Il
ne
me
la
reste plus,
j'ai
com-
o Thistorien
de
La matire y
le
moins abon-
les
poques dont
j'ai
et
1
Entre
la fin
de
la
VP
dynastie et
le
commencement de
les
la
la
XIP,
les listes
ne nous
ont conserv que deux notes fort courtes, mais qui toutes
deux sont
videmment em-
VIP
de
la srie,
dont
les
Eusbe,
en annes
On
explique
les
dans
les
Annales, aprs
jours,
soixante-dix
durant lequel
notables de
Memphis
chose publique chacun pendant un jour, auraient transform l'interrgne en une dynastie et les rgents en autant de Pharaons*. L'explication est ingnieuse, et en soi-
mme,
je la crois vraie,
le
rattache
le
comment
peuple de
Memphis
l'auteur introduisait l'pisode des soixante-dix jours et terminait son rcit par l'lection
comme Psamratique
forme que Manthon
le
parmi
les
dodcarques. La
restitution
que
je
VHP
dynastie, sous
lui
commun
avec
l'histoire,
On
le
mme
:
d'Akhthos,
il
prcd, et
il
avait accabl de
maux
il
tait
1.
2.
p. 107.
p.
108-109; Lauth,
Aus j^gypten'H
Vorzeit, p. 169-170.
rieux, et
il
Mens
avait t de
mme
mis
en pices par un hippopotame ^ et un crocodile magique avait t envoy par l'un des
hros
dii
Conte de Khops
le
et
la
mort par
destin''.
crocodile tait encore l'une des trois morts qui menaaient le Prince crocodile est un des ressorts
ce que
Prun
Le
communs du roman
tait reprsente
il
suffit caractriser
Manlhon
t rude
le
disait
d'Akhthos-Khatou
avait utilis
conte populaire o la
frocit;
fin terrible
P'' ait
du tyran
ix
comme
le
chtiment de sa
que Khatou
ses sujets,
est possible,
auteurs savaient de
lui
ce que
roman
La XII^ dynastie
compare
la srie
une
liste
monumentale, on
de
la
dy-
MANTHON
'A[ji[JiV[JiY),
MONUMENTS
'A[X[jiav[jir;c,
AmANEMHAT
SaNOUOSRT
I*^"^
<D
(^
""^^
Ssjoyx^wat,
'A[jL[;iav[i.o'j
ul,
P'^'
^U
'AfX[jiav(Ji7i, 'A(Ji[jiV(jirjC,
AmANEMHAT
SANOUOSRiT
II
(Q'"*^^4V^]
[
Sffioj-cptc,
II
O^
AayapYic
Aa[j.ap),
Aapt,
SaNOUOSRT
III
OS 4^1
O
Q
^aaaaa
'A[JLepT,,
'A|Ji[JipT;(;,
AmaNEMHAT
III
^^ -^ j
| |
'A[JL[jLV[JLr,,
'A[JiV[jiTi,
AmANEMHAT IV
SOVKOUNOFRIOU.
^^ ^
Sx(JLo(fpii; oXcpTj,
la
forme
Les
trois
Ammanms
ou
Ammnms
le
premier,
le
second
et le quatrime.
Skmiophris
un cho lgrement
altr de
Ammrs,
n'ont rien de
commun pour
D'Ammanms-Ammnms,
la vieille
il
n'y
voca-
en usage dans
laxoivr,
ramesside,
1. 2. 3.
4.
Unger, Manetho, p. 107. Unger, Manetho, p. 78. Maspero, Les Contes populaires de l'Egypte, Maspero, Les Contes populaires de l'Egypte,
RECUEIL, XXVIII.
NOUV. SR.,
XII.
10
Amntlis == Amenephths;
c'est,
comme
dans
les
exemples que
j'ai
discuts ailleurs',
la
Nactanabis-Nectanebs-Nectnbs, un
contretonique a sur
la contrefinale.
effet
raction de la
final,
Sanouosrit-Snouosrit
le
par chute du -t
Snouosr-Snosr,
est
certainement
le
nom
Ssstris d'Hrodote;
j'ai
M. Sethe en donne ou
celle
que
Sanouosrt est assure. Ssonkhsis n'offre plus aucun rapport de forme avec Sanouosrt I" en face de qui
TtT^T J?TT
il
il
se
trouve;
s'il
faut se rappeler
Pharaons homonymes,
intro-
somens,
les
les
Psammatikou, Psammtique,
et Ssstris-Ssosis est assez
:
que Manthon
ait
Sson-
Amrs-,
Ammrs. Ds
rlt
le
est inutile
d'numrer
la
ici les
essais qui
aujourd'hui,
il
forme lgitime
est
III,
Lamars-Labaris
au cartouche-prnom d'Amenenihait
:
?^
:^^ mat
la
la vocalisation
^.ii*.Too-!ri,
2^*.n*.po-yg^i
'
C'est donc
d'Amenemhat
bien que
la
dynastie
hat III
le
reste
donc pour
Amenem-
Ammrs-Amrs, qui ne
nom,
ni le
prnom du Pharaon
pouvait
gyptien.
est
se tirent
de
la difficult
l'on
admettre que
et,
coup sur
la liste
dj transcrite en grec,
du L
et,
dans ceux-ci,
pas.
persistance de Va en tte du
nom
aprs
la
chute du l ne
se
comprend
pas
^ ^^
de
la
^^
0, mais non
prnom d'Amenemhat
1.
2.
'i.
A A
tracers la oocalisation gt/pti.ennc, XXI, B, dans le Recueil de Traoaux, t. XXIV, p. 85-87. traceis la oocalisation gyptienne, XXIII, dans le Recueil de Traoaux, t. XXIV, p. 153-159. tracers la cocalisation gyptienne, dans le Recueil de Tracausc, t. XXIV, p. 159.
4.
Ainsi,
et
p. 59.
11
et des
monuments nous
prim
dans
la
Manthon ou
II,
sup-
probablement Sanouosrt
ce qui avait cr
III
un vide
dynastie; de plus,
et
ils
ils
avaient substitu au
le
nom d'Amenemhat
III et
son prnom
Lamars,
avaient combl
vide que
la
Lamars-Amenemhat
Ammnms-Amenemhat IV
les
monuments
H
XIP
dy-
Comme
nastie de
Manthon
les courtes
noms de
II,
sont au
nombre de
Ammnms
sur
la foi
Ssstris, Lamars.
D'Ammnms
On
a voulu
d'Ammnms P^
1"''
du Papyrus de Berlin n
Sinouliit nous
fils
/,
mais rien ne
les
Mmoires de
montrent qu'Amenemhat
mourut de
faisait la
Manthon
avait
elles
nous transportent
On
sait
dote d'ignorance ou de mensonge, et qu'il l'avait pris assez violemment partie dans
son ouvrage'; cela ne l'avait pas empch de lui emprunter ses rcits, lorsqu'ils concordaient avec ses propres informations ou qu'il
les
Parmi
les histoires
d'Hrodote, deux surtout avaient t bien accueillies en Grce, celle de Ssstris et celle
des dodcarques ainsi que du Labyrinthe. Hrodote plaait son Ssstris avant Chops,
et
il
attribuait la fondation
du Labyrinthe aux
roitelets
de l'poque sate
les
un historien
dfigurs
lit
indigne avait beau jeu l'attaquer sur ces deux points et rtablir
sous leur aspect et leur place vritable.
faits
En
fait, la
les
le
guides du voyageur
Memphis
dbitaient propos
temple de Phtah
du
c'tait la faon
avait chapp
rcit ce qui
dvouement de deux de
et
il
Manthon
le
retint
du
aux conqutes,
nom
ressemblt suffisam-
1. 2.
3.
4.
'A[;.(jiav(j.Y]; ty) Xy)', o ti Tciiv St'cov s'jvoj/wv vr,p6/i; cf. Unger, Manetho, p. 118-120. Maspero, Les Contes populaires de l'Egypte, 3 dit., p. 61, 63. JosPHE, Contra Apioneni, I, xiv xal uoXX xv 'HpSorov B\^y_Bi twv AiyuTTTiaxiv tt' ayvoc Maspero, La Geste de Ssstris, dans le Journal des Sacants, 1901, p. 597-600.
:
J/s-jafjisvov.
12
ment
thon prfrer
le
quand
mme
qu'il a con-
fondu Sanosr
stle
II
et Sanosr III
dcouverte d'une
le
o un contemporain de ce dernier
la ville
Le
que
Manthon
fixa la
Il
XIP
dynastie
le
second Snosr.
supprima
que
mentionnant
:
les
s'il
guerres du
avait ren-
courus au retour
l'aurait enregistr,
II.
Amenemhat
un Ssstris
s'il
et par suite
d admettre
avec
le
nom
de Sanouosrt-Snosr
rcit
d'Hrodote
-'^
BjL,
La note
bti pour sa
jointe au
nom
s'tait
tombe
le
pour un
drogman
expos que
la
le
Labyrinthe avait
Psammtique
P""
et
dodcarchie. Peut-tre
la
dbuts de
XXVP dynastie,
rattacher cette
les
que
le
Labyrinthe
tait
si
ddi au
nom
Namar
listes,
Amenemh.
mais
le
Toutefois,
Manthon ou
aux sources
monumentales, ce
n'est pas le
prnom Lamars
dans leurs
nom Ammnms. C'est en effet leur habitude qu' partir de la VI'* dynastie, c'est--dire partir du moment o les Pharaons ont adopt les deux cartouches, c'est le nom qu'ils inscrivent au canon et qu'ils transcrivent en grec, ce n'est pas le prnom
:
ils
les
Pharaons
qu'ils
afin
de
les
introduire dans
\^
XVIII dy-
La
rgle tait
si
constante chez eux que, lorsque leur choix s'est arrt sur ces
1.
2.
3.
1902,
t.
II, p.
285-286.
et
la
XIX'
dijiiastie
de Manthon, dans
le
Recueil de Tracaux,
t.
XXVII,
13
ils
les
noms authentiques
Scsstris et les
Ammnms,
c'est
le
nom comme
document
tant un
nom
propre,
le
seul
probablement que
le
n'assigner au Pharaon qu'un seul nom, celui qui est enferm dans son premier car-
touche
le roi
qui juge
le
II
Nabkouri',
ss
le
Ramss
le
Ram-
est
principal ou
comme
nom
^ ^^
que
l'autre
On
s'explique
c'est sous le
fondation du Labyrinthe
plus que Lamars, Labars, suggrait, par son assonauce, une tymologie possible de
Labyrinthe.
Il
si
largement,
un Ammrs inconnu
la
prsence d'un
fois encoi'e
nom entirement
dans
les listes,
la dynastie.
au
dbut de
les
la
XXVI"
dynastie,
la
comme
deux tronons de
Psammtique
P""
dans
les
le
deux
contienne vraisemblablement
encore en rtablir
le
nom
hiroglyphique.
tuaient
prototype
consti-
est probable
que Lamars
et
Ammrs
la
et c'est l sans
disparition de
P''
:
si
nombre
officiel,
et l'exemple
XVI IP
effet.
dynastie prouve
que
c'tait le cas,
l'exclusion de
en
La
tradition popu-
Am-
mnms, o
conscutifs
:
l'histoire
Ammnms
ils
on raya, pour
aux
intrus, les
Pharaons auxquels
corres-
la srie
Ssstris-Lamars-Ammrs-Ammnms, au
III-Amenemhat III-Amenem-
hat IV.
III
la
XIP
arriv de Manthon.
XIV
1.
dynasties, le
nombre des
dont
elles se
composrent,
le chiffre
total des
3<^
14
LX
\1I'
DYNASTIE DE MAXKTUON
et c'est tout,
Le pre-
rgne du
roi
Timaos, en quelques
qui dtonnent
soi, et rien
foi"tes et
dans
la
simplicit
du
reste.
les
Aucun
les
ne s'ojipose ce que
d'une
liste
Le
o sont ports
aprs Salatis.
Un
d'un chapitre o
la
guerre
mme
que l'expulsion
les
rois
de
la
XV IIP dynastie et nous enseigne le nombre d'annes que chacun d'eux a rgn. Josphe,
qui nous devons ces morceaux, ne [)ossdait pas l'ouvrage de Mantlion, et les copistes
qui rassemblaient pour lui les matriaux de ses ouvrages ont trs probablement extrait
le
Il
juif.
et c'est ce
que vient de
faire
Edouard Meyer',
que
version plus ou moins altre de cette exposition, et que les contradictions ou les erreurs
le
lui-mme.
La principale de
fragment et
le
que
le
l'on
remarque entre
le
troisime
quatrime.
les
est dit
en
elet,
dans
phragmouthsis chassa
obligea s'enfermer
les
Thoummsis
les
expulsa d'Avaris et
le
contraignit se
Le dbut de
la liste
qui occupe
Thoum-
mme Mis-
phragmouthsis
et le
mme
le
fragment n
III,
auraient dlivr
l'Egypte un sicle et
les listes
demi plus
remplacent Tethmsis
de
la
auteurs auprs
Manthon,
l'autre
un crivain inconnu;
que
les
l'erreur de
Josphe ou de l'intermdiaire
aurait t de croire
deux
extraits provenaient de
Manthon
et
de
les avoir
mis
bout bout^ Je ne suis pas aussi assur de l'innocence de Manthon qu'Edouard Meyer
parat l'tre.
Manthon ou
deux
versions du
mme
les
ou peut-tre toutes
les
deux
pareil
romanesques,
cas,
et ils ont
l'antiquit qui, en
soit
ici,
donnaient
deux versions
en
les
maintenant distinctes,
le
en
les
fondant
me
cas
mais
je n'affir-
le contraire, et je
les
intermdiaires
fautes
1. 2.
15
a fini
la
d'examiner
qu'ils prsentent
la littrature
due l'influence de
roman d'Hro-
comme
le
de figurer sur
il
les listes
comme
d exister des
traditions o le
prnom Lamars
avait t
souverain au lieu du nom rel Ammnms, et o le successeur de ce Lamars tait un Ammrs inconnu l'histoire. Les altrations qui en rsultent ne portent aprs tout que sur deux noms et elles n'altrent pas trop la physionomie de la dynastie. Cela tient certainement, comme je l'ai fait remarquer ailleurs, qu' l'poque o l'histoire d'Egypte
se fixa dans la forme o
Manthon
l'a
connue,
la littrature
s'tait
souverains de
la
XV
111,
de
la
XIX ou
ceux de
la
et,
par
plus d'exactitude.
G.
Maspero
dition de
Relisant le voyage
L
I
La
fin
du discours que
le
page
))
Ne
serait-ce
Ounamounou au bas de la pas, lui dit-il, que Smends t'avait remis te ft tuer et pour qu'on te jett la mer?
))
^^
tk ?
"^ '%^\\ i ^
f\
'.
B^
""""^
Jxi]
l^ l\
"^
f\
^"""^^^
""^^^^fl
v\T ^^^
))
^^^^
-^ Q7\ ^^^^
la
Car,
s'ils
poursuivaient
Amon {= s'ils
rend ainsi
))
donc
serais-
tu'?
Max
Mller
es)
(Wenn)
es) '?
sie
dem Gott
in der
la
))
ten), (so
geschah
wessenthalben
(?)
deinetwegen
dir
wessenthalben
1. 2.
3.
in der
That (geschah
i,
Erman donne
Von
Papyrus
Golnischeff', p.
1.
20-22.
t.
Golnischeff, Papyrus hiratique, dans le Recueil de Traoauos, Max MLLEK, Die Urheimat der Pkilistcr, p. 18.
XXI,
p. 84.
16
NOTES SUR
I.E
PAPYRUS GOLKXISCIIEFU
?
le
il
wem
Von wem
sens
:
mais
avoue en note
der Gott
ist
comprend pas
niclit;
Lange admet
en admettant que
traduction et
le
For
livis
skyld sger
man
que,
l'on veut
comprendre
le
faut se souvenir
de la position
leur
))
donne pour
garder contre
les
mauvaises intentions
qu'il leur
souponne.
Je
ne suis pas,
dit-il, le seul
membre de
se
(1
Amon-du-Cliemin,
et d'un
'^^'^^ yl]
^^
z==>
//M
.m ^.=_ in^w-^
Or,
ilLIiJjx
Aw^
i .wwvN
-^
^^'\
))
un messager
AAAAAA
la fin
des temps,
0^0^
^Si^ri
la
se
demande
criminel qu'on
la mer.
En
ce cas,
la dis-
et
parition de l'ambassadeur
humain qui
chercheront
se donnerait la peine
me
la
parat exprimer
Alors (-^^S,
aussi, ils te
litt.
est,
tant )
la
ils
le
dieu de
part de qui? Et
toi,
chercheront de
Je traduirai donc
Ainsi donc
ta
^^^^ ^3:^
est-il le
il
n'y a
ni rescrits
[d'Amon], ni
Smends] dans
main.
navire que
))
t'aurait
(litt.
:
donn Smends
ordonn
la
)
et
est-il
Ne
t'aurait-il
pas consign
te jett
mer?
S'il
en est
ainsi,
de
la
le
dieu
{Amo?i-du-Chemin)'^ Et
toi aussi,
de
IL
Comme
:
de bois de cdre
[1
1
^
^^==
^ ^\\ _^
'.
'^1\^^
-Ma-
/www
OSA i
1.
^^^nO _^
1 ^
^^=--^^9(5
\\
\ )l
III
i^
il!
Golenischeff a traduit
2.
3.
Erman, Eine Rcise nach Phnion. dans la Zeitschri/t, t. XXXVIII, p. Lange, Wcii-Amons Beretning, dans la Nordi.sk Tidskri/t, 1902, p. 520.
Papyrus
Golenischeff, p.
11,
1.
8.
55-56.
Erman a
rtabli
ingnieusement dans
la petite
t.
lacune
le
mot
qui
fait
4.
5.
paralllisme
^Sil (Eine
p. ii,
p.
1.
XXXVIII,
p. 12).
81-82; c'est
37-88.
une
partie
du discours qu'Ounamounou
n,
1.
17
((
les
))
et trois
Max
le
texte
de plus prs
))
des Vorderteils
vier Holzstcken
und Verbindungs^^S\
Erman
mais
le
noms de
bois lui a
Er lud
die pipU, die Spitze des Vorderteils ufid die Spitze des Hinterteils
Un
peu auparavant
il
avec
Vorder- und
Hintersteven*.
:
termes techni-
ques
((
Og han
indladede
ialt 7
med
stykker'.
nomme
trois pices: la
dIIdl]
la
et les
deux
dans
traduction littrale,
les
bonne.
et
trs releves
navires gyptiens et
d'homme ou de bte\
c'est d'elle qu'il s'agit
les billes
pour
la
et,
comme
ici, les
^^^ -==^
la
et
"A
poupe de
le
la
et l'on
comprend que
et
prince
pour en
faire
Hrihorou. Le
il
mot d[]d|]
ne
s'est pas
rencontr,
Il
ma
comme un
cadeau convenable,
les
et qui n'est ni le
mt,
noms de
que
les
la passerelle
d'une seule planche longue de trois ou quatre mtres ou plus, large de quarante centimtres, garnie de traverses qui
l'on se reporte
la
le
pied de glisser. Si
aux
reprsente en action, et l'on se rendra compte des dimensions qu'elle atteignait bord
des navires de haute mer.
Je traduirai donc
Il
embarqua
t.
3.
Goi.NiscHEFF, Papi/rus hiratique, dans le Recueil de Tt-aeaux, Max MOller, Die Uriielmat der Plillister, p. 22.
t.
XXI,
p. 90-91.
t.
XXXVIII,
p. 10.
4,
fi.
note
5.
Lange,
Wen-Amons
nommes
p. 523.
p.
ii,
1.
6.
Elles sont
au Papyrus Golnlschel\
18.
7.
auquel uel
Max
D V^ ^ n
/i
r-
mouler
J\
la
brique,
c*.c^< )e
'
'
M.
r:'i.vt%fjz:'i,
latercs fnqere,
\^
MlIer
der Plillister,
p. 22,
note
5).
r.ECUElL, XX\'I1I.
NOUV. SR.,
XII.
18
III.
Le passage de
la
page
ii,
1.
43-44, renferme
embarrass
conu
(1
v^^^^^ to j^ cxa
Ci
[j
,^-^
III
L==/]
II
<:3>
^
i
ciS'
n
(S
^:s>
^^5,^ (2
iiniii
.
i_^i
y\
:
<=>
Sun X^
Il
n[<=z=>\^
Ki.
iJ(]
-t\?
'^"'^^
Golnischeff traduit
Le
:
leva 300
hommes
il
afin
l'inon-
printemps (mot
mot
ils
firent
les
que
le
Le troisime mois de
dation,
ils
sens analogue
pour
Il
du passage
bis
est
la
zeit
(Monat
5-8)
damit
^
zum
11
zum Strand
JtT^T
des Meeres.
^_^
il
pense que T
<^z>
et
tire
de cette interprtation
est plus
langage courant*.
Erman ne
))
mot
il
WinLange
o
terjahreszeit
damit
, et
:
ajoute en note
fseldte
Was
hV
suit l'exemple
d'Erman
De
les
vinter
les
dermed\
Comme
souvent dans
la
'
empch
les
modernes de comI
prendre, c'est
(9
pronom
se rapportait
aux
pronoms. Golnischeff et r\( .<3:>a <? ^ a ont cru que, dans H =><;==> U le *
1
ri
^1
, '
dans
cette hypothse, T
En
ys^
ralit,
il
aux bois
bois) firent
de
))
mme
que dans
^^
et
puis traduire
'
Ils (les
c::^>L=Olll
l'hiver l laisss,
abandonns sur
les
le sol.
C'est
on abat
les arbres,
on
branche, on
les quarrit
le sol,
avant de
les
donner,
laisse/',
de
khav
est
connu
de justification nouvelle. Le
:
mot lui-mme
est
la fin
(3
.Cl
[in
n-
\N
le
^
le
J,
^
1.
Il
(]
^^
le
(]
\~
soleil et
fh
Le
le
reste tendu
sur
sol;
il
))
lorsque
fait le
menuisier
prend,
il
redresse,
en
VV.
t.
XXI,
2.
Max MLLHR,
Erman,
Lange,
8. 4. 5.
Eiiie Reise
Die Urhelmat der Pldlister, p. 23 et note 2. nach Phnisien, clans la ZoitschriJ't, t. XXXVIII,
p. 11.
Wen-Amons
til
Papyrus moral de
19
Le prince
se rjouit;
il
hommes,
trois cents
bufs, et
il
mit des
pour
le
puis
troisime mois de
bufs) au rivage de
la
mer.
|
IV.
Le mot
les
<r=> D V\
fl
T> qui
se
lit
la page
ii,
1.
Max
On y
Muller",
Wedel ou Schirm
la
par Erman',
fournie par
monuments
officier qui
assyriens.
une
galement debout, un
eunuque ou un
frange.
Le prince de Byblos
et
est
debout sur
avec
je
le
le
rivage, contemplant
descendus du Liban,
est tranger,
un serviteur
l'abrite
H <cr>
n%^ 1
(1
prin-
Le mot
ou
ne
retrouve ni en assyrien
ni en hbreu'.
le
XP
le
mot
ns-iD
ou
ns-ity,
^ ^
Quant au sen. de
-^ 1^ > | ^ fi
le
^ ^ HJ m^q(] ^
embarrass
les
^^,
teurs,
mot
H <=:^ d'v^ Il
(j
et qui a
traducles
comment
je le
Orientaux, tout individu ou tout objet sur lequel tombe l'ombre d'un autre individu ou
lui, se
trouve par
le fait
mme
sous la protection et
que, dsormais, son Pharaon, son matre est le prince dont l'ombrelle jette sur lui son
ombre,
avait-il
le
prince de Byblos
il
mais
il
un droit rgalien qui adjugeait au prince tout tranger sur lequel son ombre
:
tombait
le
s'il
en tait
ainsi,
la
malice de Penamounou.
lit
V.
Dans
le
:
discours
H
(J
qu'Ounamounou adresse
passage suivant
"2
A^
[I [I
(S
/VWSAA \>
_M^ (3 //M _^
(g
Tl
^^^Mf"' qui
rend ainsi
))
:
mme
par tous
les
traducteurs. Golnischef le
rejeta vers le pays o tu te
La mer
est
devenue agite
et le
vent
me
trouves.
Ne permets
pas qu'on
me prenne pour me
tuer,
o l'expression /wwna'^^v^
1. 2.
3.
4.
5.
GoLiMSCHEFF, Papi/rus hiratique, dans le Recueil de Tracaux, t. XXI, p. 92. Max MLLER, Die Urheimat der Philistei-, p. 23. Erman, Eino Reise nacli Phnisien, dans la Zeitsc/irijt, t. XXXVIII, p. 11 et note 3. Lange, Wen-Atnons Beretning, dans la Nordisk Tidskri/t, 1902, p. 523. Le mot t2''3'i;y, qu'on lit au livre d'Esther, outre qu'iL signifie sceptre, renfermerait une transcription
final
I
ta
6.
Papyrus
80-81.
20
Wenn
das
Meer grimmig
bist,
ist
und der
Wind
widrig
dass
.(so
Land wo du
so wirst
du nicht erlauben,
man warte auf micli, um niich zu tten'. Ermaii ne saisit pas le lien qui rat"""^^ ce qui prcde et ne traduit point Wenn das Meer wtend war tache cil Ci und der Wind mich zu dem Lande verschlagen hat, in dem du lebst, so wirst du nich
'^'^A^
:
I
))
erlauben das
sie
mein
fassen,
es
um
mich zu tdten.
Il
dit
en note
Wrtlich
ist
er
am Land
elle
angegriffen worden. Es liegt also wohl nur ein Redensart fur iiberfallen
La traduction de Lange
:
est plus
complte que
celle
d'Erman,
mais
))
ne rsout pas
la difficult
Da havet
land, hvor
du
er, sa vil
at sl
me
parat que le
de
^'^wv^
nom
masculin de
la
aaaa/w
-^^
avec
le
pronom
fminin de
ce serait une
correction du
mme
genre que
celle
pour un passage du
Conte des
Deux
Tu ne
entre
saurais j]
et
au lieu de
de
lui'.
La confusion
i[t]
^
^
3
la
s'explique,
comme
remarqu depuis
:
sonnait
comme
distrait.
J)
et devenait
Je traduirai
))
Quand
la
mer
s'est
mise en fureur
et
que
le
o tu J)
AAAAAA
es,
permettras-tu Jj
,
/wna^
=^
jlj
pour
-^^ \^
afin
de /ne tuer M?
En
fait,
Ounamounou
ils
par-devant
(1
1\
souveraine de
la ville".
Fr.
W.
von Bissing
stets
in der
B.
2. 3. 4. 5. 6.
GoLNiscHEFF, Papi/fus hratcjue, dans le Recueil de Tracaux, t. XXI, Max MOller, Die Urheimat der Phiiister, p. 26. Erman, Eine Reisen nach Phnisien, dans la Zeitschri/t, t. XXXVIII, p. Lange, Wen-Amons Beretning, dans la Nordisk Tidskrift, 1908, p. 526. Sethe, Zu d'Orbiney 10, 2, dans la Zeitschri/t, t. XXIX, p. 124.
14.
Papyrus
GolnischeJJ', p.
i,
1.
75-76.
21
Perrot-Chipiez,
I,
f.
21) hat
man bald als Erzschmelzer erklrt, wie Flamme anfachen (so Perrot, S. 763, der
(so
a. a. o.,
sie
durch
deutschen
Ausgabe), bald
als
Glasblser
Manners cuid Castoms, W^, 140; Perrot, Das Kunstgewerbe iin alten Agijpten, S.
neuerdings Steindorff,
10)'.
Nun
ist
findet
und an keiner
Stelle eine
Andeutung gegeben
ist
:
wird, dass hier Glasflaschen hergestellt werden, wie das sonst gyptische Sitte
Schondas
htte bedenklich
:
machen
sollen'.
Aber
die
ist,
die alten
el-Amarna
dem 15 Jahrhundert
Da
el-Amarna,
S. 25
ff.).
geschmolzen
Whrend
dises Prozesses
wurden
fters
um
wurde dann
in
zum Weichwerden
in der
erhitzt.
Brett
gelegt
und
Diagonale aufgerollt.
Glasstbe, die entweder zu diinnen Rundstbchen ausgezogen oder zu Streifen abgeflacht oder auch zu Plttchen zerschnitten
lagen).
wurden (zwecks Herstellung von EinAuch hohle Rohren, um Kettenglieder daraus herzustellen, verstand man zu
an einem Metallstab,
machen.
Die bunten Glasflaschen werden nach Ptrie so hergestellt
:
der sich verjngte, wurde ein Sandkern befestigt, der die Grosse des Innen des Gefsses
hatte.
Nun
tauchte
man
dises
Skelett
in die
liess es sich
mi^
drckte
gelegt
man
dabei
Hand formte man aus diesem berzug den Fuss, den Rand nach aussen. Dunne bunte Glasfden wurden dann um das Gefss
in die
werab-
nun der
Metallstab,
so
um
den Ofen
gesteckt
kiihlen,
wurde und
dem
man
wobei der Metallstab sich strker zusammenzog und ebenso wie der Sandkern
ohne Schwierio'keit enfernt werden konnte. Vermutlich hat man dann auch die OberBlOmner, Technologie, IV, 393 Cf., dise Ausicht vor. Der Abschnitt ber das Glas dem ganzen, fast immer versageoden Werk. Ich setze mich also im Einzeluen nicht mit ihm auseinauder. Das Beste, was ber die Geschichte des anliken Glases geschrieben ist, bleibl die treffliche Verrerlo antique von W. Frhner, der stets gesundea Sinn fur das wirklich Vorhandene beweist. Eine Neubearbeitung dises Zweiges der Archologie wre lohnend und dringend erwnscht. 2. Auch die Variante, die sich in Tombeau des graoeurs, d. Mission da Caire, Taf. II, findet (auch bei Stbindorff, Bliithozeit des Pharaonenreichs, Fig. 108) spricht gegen die Deutung auf Glasblasen. Die entMastaba des Gemnikai, 1, sprechenden Darstellungen aus dem alten und mittleren Reich sind gesammelt d. VON BissiNG, S. 29.
1.
ist
22
flaclie in
Weise
nocli poliert.
Flasciien
weisse Sandscbicbt
dass
fir
fest anklebt,
die Darstellung in
unmglicb wirdV
das beriihmte Glas Sargons voraussetzen,
Genau
die gleicbe
fir
gefss gedreht,
denn Frhners Annahme {Verrerie antique, S. 17), das Gefss sei wie ein Steinist, wie bereits Friedrich Bonner, Jahrb., 74, 164 t., gesehen bat, unmglicb. Somit
ist
Abbildung Perrot-
Chipiez, Assyrie, S. 717, lsst leider den Stil des darauf angebracbten
nicbt
einer
ebenso wenig wie zu Frhners Zeiten, Nicbt eins der von Perrot-Chipiez,
aufgefbrten Stcke gehrt nacbweisbar der pbnikiscben Kunst vor
732
ff.,
dem Vten
Jahr-
bundert an. Die berlieferung von der Erfindung des Glases durcb die Pbniker,
brigens aucb im Altertum nicbt gut bezeugt,
ist also
unbaltbar".
Ahmed-Bey Kamal
1.
Tell-Mokdam
couvert de vastes ruines. Son
localits,
Il
Tell-Mokdam
est
un
site ancien,
nom
lui
vient,
comme
c'est le cas
du nom d'un
y a t
tombeau.
trois
province de Dakabli, et
il
comprend
Vor der XVHIteu Dynastie ist also Glas in gypten bisher nicht nacbweisbar. Die ltesteu datierten ge1) das oft angefhrte mit dem Namen Tbutmosis HI in Loudon, 2) der Bcher ziemlich schlechter Tecbnik mit dem gleicben Knigsnamen in Mnchen (Chuist-Dvhoff, Fhrer dui-ch das Antiquai- iuin, S. 117, N. 630, flscblicb als Fayence bezeicbnet), eine Flasche im Grab des Moiberiperi (stirbt unter Kamare, Dahessy, Catalogue gnral du Muse du Caire, N. 24057. Die weisse oder der Schwester Tbutmosis II) gelbe Schicbt im Innern hebt Dakessy bei den Gefssen aus dem Grab Amenophis II, dem bisber reicbsten Glasfund in gypten vor der Rmerzeit, zu Catalogue gnral, N. 24753-4. z. B. hervor. Dieser Fund verdiente eine genaue technische Untersucbung. 2. Sollle sie etwa ursprnglich besagt haben, dass in plinikischen Fabriken das Glasblasen zuerst aufkam ? Ob es vor der hellenislischeu Zeil berhaupt geblasenes Glas giebt, scheint bis jetzt nicht hinreicheud untersucht. Griechische Daistellungen von Glasblsern finde ich nirgends angefiibrt.
fsse sind
:
3.
Strabon,
XVn,
I,
19.
la
qui me paraissent ne pas manquer d'intrt. Et d'abord la plupart des monuments qui proviennent de
lion
comme
divinit locale.
il
Sur
la
base de
la
statue de
\f\
_^^
,
Ptmivsis, que
Mariette y a recueillie,
est question
de
-^^
p^
r-]-|
Sur un couvercle de
_2Si.
AAAAAA
lit
:
|
Sur
la stle
voit
un
lion coiff
du disque
couch sur un socle lev devant une table d'offrandes. Toujours au Muse du Caire,
nous trouvons
comme
la patte droite
appuye sur
la
D'autre part,
M. Jouguet
^^
M.
:
Dingli,
marchand
,
d'antiquits au
lme
est
:
(2^1']"^^1'
Demeure
la
traduction
((
venant de
mme
une ddicace
faite
un Ptolme par les habitants de Lontopolis (AEONTCON) que les Coptes appellent
AeonTion OU Ad^ioonToon
'
.
du IIP
sicle, Elien,
nous rapporte
temples
qu'une
))
ville
du Delta
tirait
son
nom
des lions
Les
et plusieurs habitations...
On
))
qu'ils
mangeaient,
le
Ainsi,
le
lion
ou
les
_g^
1
avait,
II U ^ ^
I
-2^, dont
,
le
basilicogrammate
<
-^Si
mais aussi
lion
Mihosi, Miysis,
de Bastit
-^^5^
,<^^^^
la chatte
blanche U
cultes, et qui
nous expliquent
Il
le
nom
de Mihosi ct
de celui de Bastit.
comme nom
ancien de la
u^-si
fv
'^
,
v>
la
premire
fois
)^
Tell-Mokdam
et qui
remonte
Quant l'anciennet de
1.
la ville,
2.
3.
4.
5.
Journal d'entre du Muse du Caire, n" 32988. G. Lefebvre, dans le Bulletin de Correspondance hellnique de V cole franaise, J. DR Rouc, Gographie du Delta, p. 155. d. N.wiLLE, Goshen, p. 29. Brugsch, Dictionnaire gographique, p. 577.
Cf.,
1904.
6.
outre les
monuments
Monuments
Naville,
2i
>:o'i'E.^ .SL'K
prsent au del de
cette
la
XII dynastie,
il
longtemps avant
en et t autre-
poque
et
mme
renomme;
s'il
ment, Ramss
importante
c
III
d'Ayenou'. Elle
le
tait
encore assez
chef-lieu
du nome
monnaie
ne
M.
J.
de Roug signale en
quelques pices qui portent sur une face l'image d'un lion ou d'un
homme
portant
un
nom
de Lontopolis'.
Il
de son antique
ma-
gnificence, que des ruines qui vont se restreignant de jour en jour par suite de l'enl-
vement du
sebak/i.
Seules
les
parties
la
les plus
leves du
Kom
montrent quelques
nom
vulgaire de Oltli
C'est l
calcaire, qui
<
les
sept
chambres
les
que dernirement
perdu malheureuse-
ment
de
la
la
majeure partie de
Il
tte.
forme ).
s'appelait
6t
tj^ ^
H
'^^ ^^^^
' *^*^'^
de
'=^\,
et
il
tait
fils
de
r^ \\
y-'
'^""^
^^
la
dame
^ <==>
xTr
On
lit
edeuxco,oes:(^)i(l^X=li||y;_JJ.^]
n Ci
KZ)
I
4'\
r--
^^
il
(<) [devant]
^^^
uJ'^m^^.m^-UW^-^Ym^.
Enfin, sur
le
W. _a^
AA/vsA^
'l
^ n
il
'ZiWmm.
gauche
.==^\
t
I
r-^^
M
I
AAAAAA
AAA/SAA
n
I
o o
I
AA/VW.
I
lin
U
le
est regrettable
que
la
la tte et
une partie
du
premire ligne de
lgende.
La facture
Un
Il
IV
a, b,
r,
et
XII
Muse du
y portent
du Journal
Il
est ])robable
Enfant de
la ville
des lions
le
louer la force, le courage et la vaillance que l'histoire attribue ce Pharaon. '2. J. DE Roug, Gographie du Delta, p. 155.
25
52 de largeur, et ou y
lit
l'loge de
:
Ramss
III.
(-<)
l\
^^
que
>1
:i
1^; ^
j'ai
et elle attribue
au Pharaon
le titre
u
o
d'enfant de cette
de
I
fils
de d/\
et
de
la
dame T5T
CJ7
qui a
t publi par
est
Aug. Mariette
et par
;^pr=[r
rest
Il
ruines.
porte sur
le
couvercle une
bande d'hiroglyphes.
chambres,
Jljld.?
montre clairement
les
y avoir
M)
I I I
chercheurs de se-
1 AAA/VVS
bakh. Le
monument
Sm
1
menaait.
2.
Abou-Yasine
visibles. C'est
et
un kom sablonneux,
deux heures
Charkieh.
ville
situ entre
Abou-Kbir
la
Hehia,
et
province de
Sa
900 habitants. La
population
^^^
1^ "w ^i^
-
riX r
de
M'
C|ftP%
les indications
des chercheurs de
Un
autre sarcophage de la
mme
matire et de
la
mme
poque
Caire.
est encore
Muse du
est
y a
un mois environ,
les
du
mme temps
et
que
les
en calcaire et
elle
nom
de
de -^^^
v\ y^
de
^^
^v J 1^^'
deux registres
les
:
C/f.
La
le
deux
proscynmes suivants
ii>'^5^r^M
TA
I
-*^
:
La
occupe
j^
Le second
et
registre, qui
le
4
Io~oI touche
dont
rebord
RECUICIL, X.WIII.
NOUV.
SKIl.,
XH.
NAHR EL-KELB
(1
est couvert de
droite (>>)
(1
^^
[^=1
n^
^v t^ ^"^^ ^^ ^^
]
^ "^
lit
^^"^ ^^ tranche
oppose
:
celle qui
porte
le
bec de
la
table d'offrandes, on
le
proscynme suivant
(>^)
ML
relief,
mais l'inscription
Le bec
noms du dfunt
de sa mre.
NAHR EL-KELB
Stephen Langdon
Elve l'cole pratique des Hautes tudes, luternational Fellow of Columbia University New York City.
INTRODUCTION
La grande route entre
long du bord de
la
la
Msopotamie
la
et les
le
Mditerrane suivait
au nord de Hamath,
l'ancienne
la
mer
Arwad.
par
un
les
Pendant une de
pays rebelles de l'Ouest, Nabuchodonozor choisit cette place bien apparente^ ana
tabrti kal nisi, pour crire la plus grande inscription que nous ayons trouve de lui.
Il
Nahr
grande route du sud. Personne n'a encore donn une bonne copie de cette dernire inscription, et on trouvera plus loin toutes les informations
sujet.
L'inscription du
Wadi
Les Inscriptions du
Wadi Brissa.
le
Cet ouvrage
l'poque
commencement de
les
scientifique de l'assyriologie,
cette science. C'est cause
a jou
un
rle
je
important dans
dveloppement de
du respect que
garde pour
ouvrages de H. Pognon
Brissa dans sa langue
que
je
Wadi
maternelle. Personne ne doute qu'il n'y ait besoin d'une nouvelle dition; de plus,
M. Weisbach
combin,
1.
a promis, depuis
forme
qu'il a
le lecteur.
Voir
le
verso du
titre
Deutschen Orient.
Gesellsc/iaJ, III.
NAMR EL-KELB
27
le
premier comprenant
les inscriptions
de
Nabopolassar et de Nabuchodonozor, et
le
En
tudiant
la littrature
de l'cole
Brissa; en
no-babylonienne,
j'ai
du
Wadi
presque un
demi-sicle), j'avais le
En cherchant
emde
connue sous
le
nom
EIH.
l le
et aussi 85,
4-30-1% ou plutt
AO
Wadi
Brissa,
me
nous avons
les
Nabuchodonozor entre
faut aussi
de suite
car
on
s'est
topographie de
contredisent.
Babylone
mme
L'inscription
du
Wadi
le faire
mon
livre.
Pour
l'cole
combler
les
lacunes du texte,
j'ai
d m'appuyer sur
et sur les
les
rgles littraires
que
j'ai cites
assez
renverrai ces inscriptions par les chifres qui les dsignent dans
mon
dition, savoir
1.
Raw. V,
2.
Cylindre de
KB.,
mme, KB.,
IIL^,
pp. 65-66.
l,
4.
p.
W Gee, BA.,
M*^
III, p.
550.
II, p.
5.
Gee, BA.,
III,
p.
551.
6.
PSBA.,
XI,
p.
248
et suiv., traduit
KB., IIP,
pp. 66-69.
Building Inscriptions of The Neo-Babylonian Empire. Eraest Leroux, Paris, 1905. [Vol. 1 prl.] Publie PSBA., XI, p. 160 et suiv., par Bail, qui son importance extrme pour l'tude des mHugo Winckler et Bail laissent l'inscription de thodes littraires de l'cole no-babylonienne a chapp. ct comme tant une variante de certaines parties de EIH., et en donnent seulement deux petites sections (voir KB., III, 2, p. 30). Dans l't de 1904, M. Thureau-Dangin m'a indiqu un cylindre no-babylonien du Louvre, qu'il m'a permis de copier. Ce cylindre est justement le document que je cherchais pour expliquer les tendances religieuses et littraires de 85, 4-30, 1 il m'a donn la vraie source que le rdacteur de EIH. avait combine avec une autre source que j'ignorais. Sur ce sujet, voir plus loin, p. 32.
1. 2.
28
LKS INSCRIPTIONS
1)1"
\VAI)I
7.
1,
Winckler,
KB.,
8.
Winckler,
KB.,
9.
Cylindre de
III-,
Raw.,
I,
Winckler, KB.,
pp. 32-39.
I,
10.
Winckler,
KB.,
11.
Winckler,
KB., IIP,
12.
pp. 52-55.
trois colonnes, publi
Cylindre de
par Bail,
PSBA.,
XI,
p.
PSBA., X,
i\P
p.
368,
III,
traduit par
et
mieux par
Gee,
p.
BA.,
160
pp. 534-539.
;
Cylindre de
par Bail,
PSBA., XI,
et suiv.
deux pas-
KB., IIP,
Raw.,
BA.,
III,
comme un document
I,
indpendant.
KB.,
II,
p.
mme, ZA.,
17.
pp. 132-137.
'
vol.
I,
p. 53,
traduit
Gee,
BA.,
III,
pp. 548-549.
I,
pi. 70.
L'inscription du
Wadi
Nahr el-Kelb
20.
Il
en
la littrature
numros
9, 1, 13, 19,
il
14
On
un moyen
assez simple.
le roi
D'abord
faut constater
poque. Lorsque
ou un autre difice
ce travail. Par
le
relatait
exemple,
le n la
4 clbre
la
construction de
grande
n" G clbre
7, 8, 10, 11,
16).
trois
colonnes,
roi
comme
le n
12, ou en quatre,
aprs
comme
le
17.
Un hymne
la louange
du
ne
sert d'introduction;
commence
rcit principal.
cette
mthode,
la
je
le n 16,
construc-
le roi
eut
fini
plusieurs travaux, on
commena
composer
la
mthode que
je vais dcrire.
Les rdacteurs
29
la
la
((
Lorsque Marduk
etc.
mon
etc.;
tomb en ruines,
petites inscriptions, le
rcit principal. Cette
mot e-nu-mi-su
se retrouvait
le
mot e-nu-ma,
la
le
scribe placer ce
mot e-nu-mi-su
du passage
La grande
m'eut lev,
inscription 9 en est
un bon exemple
col.
^"**
:
Lorsque Marduk
etc., j'tais
respectueux de Marduk.
mon
divin crateur.
l'attendait,
E-nu-mi-su ne
o on
ancien, au
commencement du
les
Ainsi
criptions.
les
grandes insfait,
Quand
une construction,
constructions ou tous
les
actes
On
Comparez
le n 1
qui clbre
la
construction
5-37. Tout
D'une analyse de ces grandes inscriptions, on peut dduire leur ordre historique.
Par exemple, 1
dans Babylone,
9 dans son
,
temples
utilis 1
,
Le
13 a
et est postrieur 1
car,
la
mme
de
1, 2'"".
Il
donne
ici la
plus
vidente.
faits
Pour
l'ordre
du
rcit,
les
travaux
les
travaux
faits
dans
comme
1, 9 et 13.
D'autres,
comme
le
Wadi
Brissa
s'occupe d'abord des grands temples de Babylone et de Borsippa, pour retourner ensuite
Babylone, dcrire ses fortifications intrieures et ses petits temples, et ensuite les
fortifications et petits temples
de Borsippa. Ensuite
il
donne
la
des-
ait suivi
un ordre un peu
diffrent,
chacun a cependant
employ
les
sa rdaction.
Nabuchodonozor
le
grande
fortification
de
l'est
2^''^;
1, 2
etc.).
document
et
en prpara un
30
LES
L\sr.RIl>TI(>\S
DU
^VA1)I
nouveau, en changeant parfois seulement l'ordre de plusieurs sections, en arrangeant les phrases qui forment les transitions. Pour la dmonstration de ces procds, il faudra
consulter les notes et l'introduction critique dans
mon
prochain travail.
Comment
le
dogme
n 15.
On
le
verra par
les
la
mthode unique du
Avant d'tudier
Wadi
Brissa, je
veux dis-
Pognon
(p. 3), le
rocher une niche de 5 mtres 50 de longueur sur 3 mtres de hauteur, beaucoup plus profonde gauche qu' droite. Dans cette niche norme pour une inscription, il a com-
menc par
la
la
prsentant un
homme
debout,
la face
qui se dresse pour terrasser son adversaire. Derrire l'homme est grave la ddicace
le lion et
l'homme,
le
le lion, et la
seconde au-dessus de
la
la tte
dw
lion.
Vers
la droite
neuvime colonne
mon
analyse), c'est--
dire que,
la
chaques,
sculpteur
n'at-t-il
pas
le
fini
son
xi
rocher
Au
moins
j'ai
dmontr, daii
le
la
l'inscription
inscription,
commence o
que
les
Wadi
Brissa se termine,
la fin
e-t
quatre
continuent jusqu'
en caractres no-babyloLens.
a creus une niche beau80. Il
un
sculpte-iir
coup moins
sculpt un bas-relief, entre a cinquirme et la a o-rav six colonnes dans cette niche et sixime un homme debout devant un arbre. Encore le sculpteur a-t-ii mal calcul^
car
face
il
sur l'a sura rempli la niche avec six colonnes; les quatre dernires sont, crites du rocher, droite de la niche. D'aprs mes calculs ultrieurs, ce bas-relief est
Babylone. Cette position a-t-elle une plac au milieu du rcit relatif aux temples de vers laquelle l'hommQ je l'ignore; mais j'observe que la cinquime colonne,,
signification,
se tourne, parle
et
qu'immdiatement aprs
la
sixime
parle
du temple Esabi
milieu de la colonne 5 est dpourvu de feuilles. Gula de Borsippa. L'arbre qui est au aux arbres? Implorait-on Gula, matresse de la vie, pour rendre la vie mme A pour la gnral, les inscriptions du Wadi Brissa sont numrotes A, B, C
En
ddicace Gula,.
B pour
l'inscription archaque et
C pour
la
l'inscription no-babylo-
l'inscription archaque et
la
no-babylonienne.
l'inscrip-
Le texte de
tion; c'est
est
celui de
et le
dans
premire moiti de
pourquoi
des lignes
jusqu' la fin de
31
la
colonne
7,
7-'^.
le
empruntes B
(4'''^
et suiv.).
j'ai
donn aussi
le
texte de B;
quand
il
diflre de
A, ou
quand
le
texte de
Il
est illisible.
sont indiques
comme
variantes.
faut se rappeler
mme
cole,
Wadi
Brissa
a)
A
A
l'-3^.
Hymne
au
roi. roi.
:
Ekua
panit),
cl)
et
^ikkurat E-temen-anki
A 4-^-5^
A
5^^"^^.
Marduk
et Zarpanit.
pour Marduk,
e)
f)
Construction de
la
barque Ku-a.
Emaljtila et Ka-kaa.
5*^'^"<'''.
Nab
et
Nana.
Construction de
la
barque Kan-ul.
la
procession de Nab.
k) A7^*-""
l)
=B Construction du canal Libil-hegallu. B 4^*"^'^. Construction de trois ponts sur ce canal. B 5^"^^. Achvement des travaux commencs par Nabopolassar
Imgur-Bl
l'Euphrate.
et Nimitti-Bl, le foss
les
grands murs
les
de l'ouest,
le
canal Arahtu et
quais de
m) B
536-nn^
Egissirgal, Eharsagella,
Enamhi.
et Esabi (?).
n)
B B
6^-2^
6^"*^.
Edikud-kalama, Ekiku-garza
Travaux Borsippa,
Construction de
le
Dumu-lil et trois
temples Gula.
B p) B q) B
o)
r)
s)
t)
6'*^"'*'.
la
grande
de
l'est.
6^''-*^^.
Grand
6^*"''^.
Grand
639-5").
et
non de
15,
du nouvel an.
B
B
Kutha
1)
Laz (41-54);
Ur.
8^^-**.
Rsum de
32
V)
*'- 10
'"''''.
Rcit piiiicipal
et
de
la
Pour
documents
mentionne, sur
lui
ont
antles
Wadi
Brissa,
il
yeux
analyses de toutes
qui va paratre.
les
Ici je
les
je
me
i,
les
13, 19, 14
qu'il
9 est antrieur
1.
Mais 13
videmment postrieur
(voir
1, parce
la
ddi-
cace Gula). 14 et
15 sont postrieurs
l'inscription
3^'',
du
Wadi
ces
derniers travaux de
Na-
buchodonozor
9,
2i-3^
col.
>-5
d'A.
Que 15
soit postrieur
4'^^-'^"%
comparant
19 B,
25-42^
les
temples de
Ramman
et
le rcit
de 19.
De
plus,
14
du
et
15 mentionnent deux
tionne qu'un.
tion
De
plus on trouve
le
le
Wadi
B menNab encore plus accentu dans l'inscripnumro 14, mais 15 est plein d'allusion au culte de
et trois palais tandis que 19,
8^^-10^^, n'en
culte de
Marduk. Pour ne
15, l^^-2^^ et
le
Marduk,
son, dans
le
mot
tukulti-su,
et
omet
cette prire.
la
L'influence de
Brissa; on
le
Nab
tait
trs
grande au temps de
3^'^'^
composition du
Wadi
la
la
grande
fte
du ^agmuk
il
est encore
appele Vakitu de
j)rocession de
Nab,
du scribe quand
(5^^"^'^)
fait
son rcit de
Marduk
l'poque
du sagmuk
la
dit akita-su
duk, et
J'ai
dit akita-sa
^Vakitu de
barque sacre
le
(cf.
kirba-sa,
I.
33).
rcit
Nab
sagmuk
B 5^ o se trouve Nab u Marduk et non Marduk u Nab, et encore B 9'^^, Nab u Marduk. Cette prfrence pour Marduk, on la trouve ^+ au temps de Nabopolassar, voir KB., IIP, p. 3^*, Nab u Marduk, p. 6, n 2, \
1.
et p. 8, n 3,
1.
9,
1*^,
et encore dans
les inscriptions
1.
Nabuchodo-
nozor, voir 1,
Raw.
I,
52, n 7,
2,
Nab
j^g^
u
jj
Marduk,
8*^-10'^.
qui
est le
p^j^,
Wadi
9, 1 et 13, et antrieur
14
et 15. [Le
NAHR EL-KELR
les
33
Dans tous
passages o 19
fait
des
emprunts
i et 13,
les
il
suit 13,
mme
il
ma
note sur
:
5*).
Quand
19 donne
mah, N.
listes de temples,
suit l'ordre
de 13 (voir 13 ^^"^^
temples Ninmalj,
:
et Ninlilanna, et
la liste
5^*^-6^*
le
temples Nin-
et
Gula; 19 adjoint
de 13
bti aprs le
i5^^'''S
et
la liste
dans
7*^-8"^^,
le
mme
que 19
tudi
le
document 13
le
trs
rante sur
et
il
lui.
Le
n"
9 est
celles qu'il
de
9, 327-4^^
clbre
le
19
glorifier la construction
construction
.
il
en ce temps-l
Au
con-
19 appartient
j'appellerais annales;
n'y a pas
rdaction. Les inscriptions de cette classe ne sont pas composes l'occasion de l'ach-
elles
du
Wadi
Brissa est
le
14
et 15.
19 a compil 9
et
le
est plein
d'em-
prunts
mthode de
19 dans
la
celui
et
que
l'crivain a
d con-
Wadi
10, 9, 1, 3, 2,
les vestiges
grandes annales du
Wadi
l'loge
l'ide
du
se
moi
que
le roi est,
moyens,
On
les
tiques de
13 en
,
cet
hymne
usunasu); l'hymne
de 9,
1^-'^
l'influence peu.
et
Voir aussi
et
le fait
que
hymnes
anaku en 13
19 ont vingt-une
aprs
vingt-deux lignes.
(qui est
L'hymne continue
aprs e-nu-ma, et avant
enuma
ici
les
mots de 13,
1^^,
le rcit
par 14, 1
^^-^'2,
qui crit un
hymne
XII.
reprend l'hymne de
5
HECUKII., XXVIII.
NOUV.
Sllt.,
34
I.l'iS
INSCRIPTIONS DU
\VA1)I
19
(l^^-3^), et copie
exactement
(1 *^"^")
l'hj^nne de 14, o
il
Marduk
(voir
ma
Le
document
Ensuite vient
les
la section
la
19
c,
qui
commence avec
le rcit
abrg de 13 par
tendu de 9. Le passage de
ce qu'on voit par
le style et
9,
129-39^
q^\^
rcit,
par
la
2**^'^
mais 19
le dcrit
chambre
sacre de
que
le
culte
ment
est celui
c'est celui
le
la Ziggurrat, la
document 17.
^^^ reproduit par
c,
A
rcit et
112-28^
19
d.
Si celui-ci
aurait plac
d devant
mais 13
lui
il
donne
l'ordre de son
se
met
s'occupe de la barque
sacre de
sacrifices
Marduk, dont
pour
le
zagmug. Ebirbir
l'Esagila. 15,
avec
le
Ayant
fini
(jQ^t
il
rpte en 19,
A 6*+^
l'introduction. L'ordre de 9
fini la
col. 2^^-25^
aprs avoir
description des
9,
comme
Nab
on
et
le
voit en
:
comparant 19 g avec
une colonne entire
la
auteur aime
suite
il
son temple
(6) est
consacre l'Ezida.
9, 2^^"^^.
Il
Enavec
donne
le rcit
des offrandes
la
Nab
et
Nana, d'aprs
finit
Nab
et l'Ezida
en dcrivant
lone; dans
un passage de
le
(7*3-46^^ f\^^^ \^
5'*^"^'^).
mme
source dans
il
doublet de 15,
inscription
le
la restauration
canal Arahtu,
/).
Le
19 copie
il
lecteur
avec 13,^V^-2^^,
trouvera que 13, aprs avoir plac l5*-2^^ dans une nouvelle position, fut forc d'insrer les mots bla
rbu
Marduk
(voir
ma
5^).
NAHR EL-KELD
13,
1*3-53^
j[ fg^^^
35
J'ai
discut la section
19
m et
montr comment
elle suit
observer
il
l'Esagila,
les
mais
a une
premiers tra-
Babylone
et
de TEzida de
de Anu
Ce
les
fait est
centres
religieux les plus importants cette poque. Bien que ce roi introduise l'adoration de
la ville,
il
n'ose
amas
se vante
les
faits
dans
^s).
les
temples trangers,
la diffrence
222-37 (yoip j^
note 19,
la
Le
rcit
concernant
grande
fortification l'est
de
la
ville se
retrouve dans
4 qui
fut crite
fini.
videmment
les
ce travail fut
Pour une
passages.
19 p-w,
il
faudra lire
On
trouvera que
Pour
la
date de cette inscription, je ne puis rien dire d'exact, sinon que notre docuposition intermdiaire dans la littrature
le
du rgne de Nabuchodo-
une copie de
n'est pas
vraisembable
du Wadi
Brissa.
document aussi bien que possible, vu que le texte est mal conserv. J'espre que M. F. H. Weisbach nous donnera de nouveaux pasIl
m'a
parvenu obtenir de
meilleurs estampages des bas-reliefs. Le seul travail sur cette inscription, entre l'dition de
Pognon
du
il
fur
et
dcrit la
valle
Wadi
aucun signe de
dont
donne une
mon ami
article.
mes remerciements aux savants de Paris qui m'ont montr une bienconstante, surtout MM. Lon Heuzey, du Louvre, et Chtelain, de la Bibliola
thque de
Sorbonne,
et
36
NAHR EL-KELR
a-na
''^"
[Gu-la] ru-[ba-a-ti
bit-sa] ^ [i-na
si-ir-ti]
^i
ma-sar-ba-ti
sum
[sar-ru-ti-ia]
a-si-bat
E-gu-la E-[gu-la
Bar-sap
ssis pus]'.
iiu
NabuMcu-dur^-ri--su-iir
sar Bb-ili
^
i^'-
3 re'u''
ki-nim'=' ini-gi-ir
6
'"^"
Mar-
duk
4
7
pa-te-si si-ri
na-ra-am
^'"
Nabu*^
^^
ru-ba-am na-a-dam
sa al-ka-ka-at
^
*^"
Mar-
duk
su
blu ra-be-um
i-lu ba-ni/"-sa-'^ ^
^^
'^
Nabu
^^
apal-su ki''^-nim
na-ra-am sar-ru-ti-
^0
is-te-ni-u ka-ia-nam
^^
mu-da-a(?)
te-li-e'^ ^^
lu-[ti-]su-nu/
17
ba-sa-a uz-na-a-su^^'
ili
e-ir-su it-bi-su'
sa a-na zi-ik-ri-su-nu
pi-it-lu-hu
istar'"
''"
i^
e-im-ga mu-te-nin-nu-u
^^ gai-
20 za-nin'^
E-sag-ila u E-zi-da
^3
^^
aplu asaridu" sa
24
Nabu-aplu-usur/'
'^'"
Ba-bi-
lu-ki a-na-ku.
col. 11
Marduk^
za-ni-nu-ut-su e-bila
-sa-at-mi-ba ga-tu--a
SQ u-ma-ir-an-ni"
ra-a-ti
^^^
a-na-ku a-na
'^
'^"
Marduk
^^
bi-ili-ia
ka-ia-na-ak
8
bat-la-ak"
as^
Nabu
apal-su ki-nim
lO
na-ra-am sar-ru-ti-ia
as-te-ni-a ka-ia-nam,
12
sa
e-li-su-nu ta-a-bu
ka-ak-da-a'" a-ta-mu^
y
^^-
^u-
um-mu
lib-ba
6
3
ud-du
[u-sa-ad-ka-]an-ni^
ilni
^
.e
sii-tik
ia 8
su-nu
rabti
bel
a-bu-um(?) su(?)
har(?)-[il]-la-ku
12
i^
mu
(?) la
16
i
n
i''
nu-ni [pu(?)]-luh(?)-ti
^^
la
kib-si(?)-
[ib-]su-um
^^
har-ra-nu na-am-ra-saP
[i-na]
[a-]sar
su-ma-mc
l^
21 y(j
na-gi-i bi-e-ru-tim
19
su-nu su-up-su-ku
salmi-su-nu
na-bi-um.
'
tu-kul(?)-ti-su-nu
s-al-mis e-te-ni-ma^
j^at
i.ssi
20 cla
na(?)-
*du-ur.
^ri-eum.
f^ki-i-nim.
le\i
^\. Pa.
.
fni-i.
9 Ci. 15,1'^^.
1^
ki-i.
Sans doute de
la racine .iNb
comme
savant
1. Les reslilutioiis sont prises dans 13, comme V R., 34, c'est une inscription dcrivant la reslauration d'un temple de Gula (Ninkarrak) [V K., 34, col. 111, 5-52, et 83, 7-14, 104:?, col. 111, 13-51], mais l'un dcrit l'Eharsagella Babylone (V R.), bti videmment dans les premires annes du roi Nabuchodonozor (604-561), et l'autre dcrit l'E-ulla, bti Sippar longtemps aprs, parce que l'inscription 82, 7-14, 1042, est une simple copie de V, 34, col. I-llI, 4, avec plusieurs insertions qui prouveut qu'entre les deux inscriptions le roi avait A et l'autre B, je signale les insertions suivantes A 2 , B bti plusieurs autres temples. Appelant V R. a les deux temples Ekissirgal et Eharsagella; A 2 22-38^ b a insr trois temples Gula de Borsippa, un mur de Kulha et le temple E-idi-kalama Marad. Et puis, si on observe l'insertion des trois temples de Gula Borsippa dans B 2 *i-5i (KB., p. 48), on trouve les mmes mots qui sont crits sur les rochers du Wadi Brissa (cf. 11. 44-47). videmment ce fait place la date de l'inscription de Wadi Brissa aprs V R., 34, qui est certainement l'une des premires inscriptions de Nabuchodonozor. Ou se rappelle que Nabuchodonozor a fait deux expditions l'ouest (sans doute par la voie du Wadi Brissa) contre Jrusalem, en 597, quand il mena Babylone les premiers captifs juifs, et encore en 588, quand il assigea la cit jusqu'en 586 et dtruisit le royaume de Juda. Eu 597, il avait t roi sept ans, et en 586, dix-huit ans; aprs quoi, il rgna encore vingt-cinq ans. La longue inscription V R., 34, qui raconte des travaux d'agrandissement, n'est pas atUrieure 597; il faut donc conjecturer que l'inscription du Wadi Brissa a t crite pendant la dernire invasion, en 586.
:
l-TT
DU NAIIR EL-KELB
37
Nabuchodonozor,
^
roi
de Babylone,
berger
^^
fidle, favori
de Marduk,
^ les
patsi
illustre et
minent,
chemins
bien-
de Marduk,
et
de Nab, son
fils
fidle, ^
aim de
14
sa domination,
les oreilles
habile en sagesse,
la
i~
dont
sont attentives
savant et indus-
trieux, 17 qui, la
et desse, 19 sage et
^^ j-oi
dvot,
20 se
premier-n de Nabopolassar,
de
Babylone,
23
moi.
le
[Lorsque]
matre
mon
procrateur,
~4
Marduk m'eut
cr
et eut fait
prendre en main
'
les
et
et
ne
7
11
me
reposai pas;
eu gard fidlement
lo et je
l^
fidle,
bien-aim de
mon
rgne,
m.
cur,
^ le
11
mon cur me
i~
sollicitait, 3
^
i^^g
grands dieux,
lo
matre
qui
des destins
q^^i
marche
mon
ct
chemins
toires inexplors
17
travers en sret, en
domptant leurs
J Cf.
f^
difficults. 19 (?) et
15, 1 13,
38.
CL
1\
1^3f
une
ki.
ligne.
'^ni-in.
o
Sag-Lig.
PAg-Us-Ses.
qlam.
le
continuation de cet
hymne comme
Marduk.
^yons
IL
1 ^2-14. Ici, le sujet est
(II.
Cf. 12, 3
13-14.
u Cf.
ru
aprs 15,
1^'';
9,
1',
etc.,
lorsque
au commencement de
17, 1
Pognon
ou du scribe? Je l'ignore5
Cf. 15, 3
20; 9,
*;
16.
Ll.
6-10 se trouvent
enl7,\
/y
La colonne
Cf. 15, 2
10.
II, se
du ct gauche de
2 P
l'inscription, est,
*
pour
On
attend
M.
= ida-ia.
commence; du moins, par
au
rcit
cause du mauvais tat des lignes 1-11, on ne sait pas o la prire d'introduction se
la
comparaison
2^'^,
sommes-nous srs
les difficults,
d'tre arrivs
de ces expditions.
Gis-Ri{?).
idogramme qui
signifie
image de pur
bois.
38
par(?)''^-su-su-iiu-ti 22
^^
se-nie(?)-um su-pu-u-a^
~'^
^^
bi-la(?)-at
sa-di-i
28
^^
hi-si-ib ta-ma-a-ti
^^
bi-si-ti
ma-ti-ta-an
<^
su-ku-ru-ti
erin pa-ag-lu-ti
^3
^^ bilti
3i
ka-bi-it-ti
31
su-um-mu-ku
32
u_
za-ma-u^ u-na-kam^
as-bu/]
36
sa-at-ti-sa-am
3~ bit
-se-ir-ri-e-su-nu.
E-sag-ila
ki-[is-si ra-
^''"
[E-ku-a pa-]pa-|)u
39 iiu i,^\g
Marduk
'^^
[ki-ma] a-gu [u
44
Im-
Bar]
-]za-a-nu
hurasu [-sa-al-
bi-is-ma]
48
a-na
<^"
[Sar-pa-ni-tum]
blti-ia./' 46 [E-]li-e
pa-pa-hu^ sa
^^
Nabu
*'"
a-na
^3
i-si-
in-ni -ki-it
Nabu'* aplu
i-?u
it-]ti-ha-am-ma
*?" liettu '?"
i-ra-
am-mu-
56
ki-ri-ib-su 54
sippu^-su u si-ga-ru--su
^7
ta-al-lum
ka-na-ku
E-zi-da
'^"
Nabu na-ra-am
^^^-
sar-ru-ti-ia ^8 -sa-
Nabu-aplu-^
^"'
^^
1^ 30
ammat
'>"
u-za-ki-ru-
la
ul-lu-um ri-e-sa-a-sa'"
a-na e-pi-si-sa
^
ga-t as-ku-un
erini dannti*
6 ki-is-ti
[el-li-tim]
na si-pi-su as-ta-kan
?nas
f
K-nun-[kalama^] Ka-[tur-nun-na"]
c
Ka-nun-hegalla" Ka-si-
(?).
6 Cf.
75, 9 6O+6I.
Gun.
146.
:?,
gEn-lil
/i[Azag-]gi.
La
Pognon
mon
sens. D'abord je
me parat tre le
lit
signe
Unu,
le
Ah
+ 42 de notre
est
Dans 15,
2^'^,
on
Unu-E,
le texte
c'est--dire
appel
trs
grande habitation
substitu
)).
Mais
de Pognon
donne
m, qui
est inintelligible et
auquel
j'ai
Pognon?
changer
mme
le texte
M. Pognon, cependant
ne puis gure
c'est--dire la porte de
Hi-
li-sug, d'o
le
nom du
on ne
sait
pas encore
nom)
(cf. 9, 1^2],
ici,
nom
signe
le texte
est suivi
de
e.
Faut-il lire
Ici
commence
de
la
deuxime colonne de
l'inscription no-babylonienne.
Les colonnes
1,
2 et 3
^-**^
Mais
le bas-relief
a pris un grand
En A,
la
aprs quoi
il
les lignes
il
de
qui
de B, nous avons 24
+ 12 + 46
faut addi-
tionner quatre ou cinq lignes casses en bas de la premire colonne. Naturellement ce chiffre
est
un peu trop
lev, parce
que
est
]<:T
DU NAIIR KL-KKLB
Reois
39
de Neb),
23
^o
(?)
et
bois
21
22
^^
ma
supplication,
coute
24
ma
prire \
26
27 or,
31
pris et tasss, et
34 je les
Quant
de
la terre, 37
maison
craignent,
41 et
38
l'Ekua, sanctuaire
39
fait
en or luisant
comme une
44
tiare et
Im-Bar,
radieux
le
grand sjour.
43
Le Bb-hi-li-sug
j'ai
embelli,
(?),
j'ai
d'or je
47
l'ai
revtu.
45
Sarpanit
ma
matresse,
46 le E-li-e-sug (?),
son temple
Quant l'Ezida de
l'Esagila, 48
chambre
l'an,
49 le
o, au
fils
zagmuk, au commencement de
il
pour
la fte
de Vakiiu
il
^l
de Nab',
illustre, ^2
s'approchait de Borsippa,
dans laquelle
^6 j'ai
s'asseyait, ^4 ses seuils, ses verrous, ^5 les supports, les corniches, les
^7
battants,
De
l'Ezida de
^8 j'ai
fait briller la
splendeur.
Nabopo-
lassar, roi
2
de Babylone,
il
mon
3
mais sa tte
^
n'rigea pas;
moi, je mis
6
la la
main
cette
normes
splendide fort,
coupes avec
ma
ses
main pure,
10
j'ai
places.
Bb-nun-kalama, Bb-tur-nun-na,
Bb-niin-hegalla,
Bb-ziggurrat,
12
le chiffre
le
l^.hi.
mMu-an-na.
ct le ct
^b. Na-bi-nm.
))
Zag-gab =z ahu
maison
et
patru
ouvrir
c'est--dire ce qui
ouvre
le ct
d'une
ou
ouvert
pCL
1
7, 129.
Les lignes 55-61 sont casses sur A, mais sont encore bien prserves sur B,
longueur des colonnes de chaque inscription,
col. 2
9-ii>,
ce qui nous permet de restituer exactement le chiffre de la dernire ligne d'A. Ainsi peut-
on dj voir
lignes et
la
nous chappe,
8
^o_
la
qua-
trime colonne d'A commence, ce qui nous permet de donner un rcit suivi.
Ba-[lum].
la porte
Sic,
Weisbach.
Sic,
Pinches;
cf.
Hommel,
tait
du sud. Si
Hommel
le
grand
temple Esagila
1. A cause de lacunes nombreuses, il est difficile de percevoir le sens de ces dernires lignes, mais je crois qu'on veut dire que Nabuchodonozor plaa ses propres statues et celles de ses dieux dans les territoires qu'il
chacune
la fte
fte de Nab. Je suis convaincu depuis longtemps que le non de Marduk. J'espre avoir prouv dans mes Building Infci-iptions of tho Neo-Babylonian Empire que le Dul-azag chambre des destins se trouvait (au moins l'origine) dans l'Ezida de l'Esagila, et tait la chambre de Nab et non de Marduk. videmment le passage de 15, Si''-^, est une insertion due au rdacteur de cette grande inscription (voir ma discussion critique sur 1. 15,
L'tat construit oblige akit traduire
tait
Zagmuk
en vrit
de Nab
et
ibid.].
40
[bid-di'^]
'-
bbni-SLi sa-ad-[la-a-ti]
^^
l^ i-ta-at
^"^
E-tcmin-an-ki
a-na
^^
mir^]
dal-lu
1-^
Li-ra-ki-[is-ma]
erin [dannti]
21
''^
dalti
'-?"
sa-tuk-ki
-''
'^"
Marduk
^^ sa
^^
Sar-pa-ni-tum
[Gud]-Mali/
32
-^ iini
bli-e-a 26 el sa pa-niin
^^ jst-en
33
a-na
as-ie-ni-ma
3i
.^a
u-um
(?)
^9
ma-ru-ii suk-lu-Iu-ti
gu-ug-ga-[al-]lam.'/
inieri
36
ini-iia-ti-su-nu
suk-lu-Iu
zu-inur-su-nu bu-ha-[du-u]
ilni
44
mi-ir
^4
[zu-la-hi-]e dam-[ku-tim]
ti
"^^
[ga-da-]um sa
37
Ba-bi-[lani-ki]
4 Uz-ban-da-hu^'
38 i-si-ih
Tur-rim'-hu 30 [marratuy]
apsi^
33 gi_i|^a-at
^^3
4 Nunuz^-uz-banda-hu 3 s"^'""
"*!
sii-um-mu
nu-nu-nim
la-
[su-muh] si-[ip-pa-a-ti]
46
suluppu
[as-ni-a
Ma] Ud-a
45 'V
[himetu?] mu-ut-ta-ku
47 [sizbu'"]
l'i-lu
sa-am-nu
48
na-an ru-us-sa-a
^i
49
[ku-iu-un-]na-a karnu-^
52
el-lu ^^
sadu I-
g^^ju
gadu Ar-na-ba^^
nu sadu Su-u-hu
^3
sadu Bi-ta-a-ti
pa-as-su-ri
''"
Marduk
59
Col.
'^^
[u]
''^"
Sar-pa-ni-tum bli"-e-a
[el]
sa
pa-nim u-da-hi-id
^8
Marduk'"
l~
.nis
mes Ba-bi-lam-ki
^^
13
.mes su-
Mu^
bli-ia
i''
-ma-ni-su-nu-ti
l''
nnu
Marduk
bli-ia 18
kin-nim u.
.^
D'aprs Nriglissar,
et
l23-29_
d'aprs
Hommel,
b Cf.
du nord.
c
R. 65, 2 \
Qan-[ Ul].
d Ik(f)-mes.
:
crit en gnral
73.
Mis-m-gan-na
/Voir
gal
a Cf. 9, 3*^.
tait crit
d'abord
Gu-
= alpu-rab
))
((
plus
tard
Lu-li.
gu-mahhu
grand
hn
gale
Il'
buf
les
et
((
mouton
ismr-Uz-sihru
le petit
oiseau Uz)).
Uz
le
est
ha-bite
((
signe
Uz
est
videmment driv de
riin
se
semence
''
de hu
((
oiseau
Rim
aprs
B
((
'^".
Tav,
Tu
,
= siimmatu
((
((
pigeon
auquel sens
.
donne seulement
1^^.
lde
./
epahru
s'assembler
les
Delitzsch a
cette
amer
toute l'information
le fait
il
ne mentionne pas
qu'on
le
IV R. 37 G5+16 donne le synonyme tubku, racine "i^n entasser . Ce signe, Br. 8174, tait confondu dans l'criture ancienne avec Hu
gunifi [Dangin,
Listes, 34],
comme
De
il
ressort
du
fait
que
les
3490
et 8178.
plus,
Nun-uz
signifie
grand Uz (sur
36
et note),
un grand
que
les
commun
de
Dar-hu
'^
= burrimtu
1'
oiseau bigarr
, et
R. IV, 11 ^~,Dar-hu^
Zu-[Ab].
Cf. 7
11.
Cf. 7
et
'^'\
ru-us-su-tim.
o Cf.
^3,
Ka-[lum-ma].
41
portes normes
santes
15 et
l^
autour de l'E-temen-an-ki,
^^
comme
la
lumire du jour
^8 j'ai
disposes.
trs larges
mises en place
^^
pour
leur toit.
^^
Portes, corniches,
battants,
^i
portes radieuses,
chne,
23
j'ai
24 et
de Sarpanit,
28
^5 les
26
plus qu'autrefois,
29
me
suis
De chaque
jour,
deux
(?)
grands
32
bufs
36
gras
et parfaits, ^o
un grand mouton
^^
dont
le
dont
44 jeunes agneaux,
bons ^uluh,
quatre oiseaux
de l'espce du Petit-Nunus-uz
39 le
trois herbes
40
de
summu,
38
un
^l
isili
de poisson de mer,
vgtaux en abondance,
grande quantit,
pain\
'*7
le
bois
ma
blanc
^^
(?),
^^
vin blanc
^9
^2
(?),
de
la
boisson
usa
^o
pure,
^6
beurre, miel,
lait
pur, huile,
^i
splendide
Tuimma,
58
Simmini, Hilbun,
^6 et 59
11, 12
Arnabanu Shu,
Bit-kubati Uhki
faite plus
La
table de Marduk
Sarpanit,
mes
pi.
matres,
j'ai
Marduk
Col. V, 1
60(?).
Babylone,
13 les
dcentes et mres,
15
^^ les
(?),
(ces of-
comme
les sacrifices
^6 j'ai
comptes.
17
Une grande
j'ai
matre, fixe et
P Sig, et
f Ici
cf.
1*.
q Cf.
7 ^K
Cf. 7
^^.
Gis-Gesten.
est
9, 1 ^3,
tu-'-im-mu.
u En-lil.
d'A qui
dans
on conclut
qu'il
cette colonne.
La colonne
cette
2 de
colonne 3 de B.
Il
me
fallait
donc restituer
le
passage pareil,
9, 1 ^"^^,
pg^j.
que par
\q
le rcit
des offrandes
le
mme
inscription 7^-20 g^
zagmuk, B
"-"
bon
tat .
On donne
ici les
noms
:
des
les
^ Ou
semence. Gui
?
18-28, qj^
cf.
.9,
y Depuis 45^ 5
rcit des offrandes
attend la fin du
mots
el
sa
panim udahid,
2^5
Pourquoi ce
Au moins sommes-nous srs que ces lignes (environ 20 ou 21) continuaient le rcit des offrandes Marduk. Si on additionne les 18 lignes de cette colonne aux 58 de la colonne 4 (76) et si on compte 4 lignes dgrades au bas de la colonne 4, on obtiendra le nombre des 80 lignes d'A,
donn
et
qui ont disparu dans la colonne 2 de B, aprs la ligne 17, car, avec la col. 5*^
dA, nous
97
sommes
(80
Ce
calcul
donne
le chiffre
+ 17)
pour
le
nombre des
1.
Probablement
le
mme
W.
RECUEIL, XXVni.
NOUV. SR.,
42
19
elippu" Hu-si-ku-a''
'?"
^-
ru-ku-bi-sa
pa-nu-u ar-ki
^i
-na^-tuu-sal^^-bi-
su
is
di-ru-su
22 -^
si-id-da/-tu-su
^3 [si-par-]rii7
u sir-russ
2"
^^ sa-ri-ri
-^
abne ni-sik'-ti
23
mu
sa-ru-ru--su -sa-an-bi-it-ma^'
31
lu-li-e us-
ma-al-li-is
i-na
zak-mu-kam
ri-e-es satti
35
Marduk
'?"
bel ilni
33
ki-ir-ba-sa u-se37
si-im-ma
34
a-ki-ta-su^
si-ir-ti 36
-sa-as-di-ih-ma
i-na
elippu Hu-si-ku
40 i-na
Marduk
^^
3S
si-im-ma
ab-bi-is'' E-bir-bir ^^
ka-al-li-e^ elippi
45
ti
Husi-ku
a-di E-bir-bir
46
'<^
.
.
ma^ Marduk
^8
si-ib
'-'
nu-uh-su
e-kal-i
.ta.
u-ti ^7 tab-u.
.si.
.ak
jna
E-bir-bir bit
Col.
^9 ii_e
^o
^
VI iiu
^
Nabu-ku-dur-r--su-ur
^
'
za-nin E-sag-ila
'-^"-
u E-zi-da
a-[na-ku]
[a-]na
Nabu
[si-i-]ri 7
mu-
sa-ri-ku
-um
lo 13
Bar-sip
[dannti] pag-lu-ti
sum.
[u-sat-mili-ma]
^
14
Mis-ma-gan-na
[da-ar-]a i^
(?)
['?"
erini?]
.
sa in-na-ta-lu
[sa
l^
ina
'.
(?)
Gan18 [ina
?-?-nun us-si-su
kat^-ia] el-li-e-ti
21 24
16 [erine]
da-an-nu-ti
i^
ak-ki-sa, 19
pa-pa-lju
*^"
25
pa-pa-hi'^
''^"
-sa-
abne
ni-si-ik-ti
u-za-in-ma
32
33 si-ip-pi
mais notre
donn plus haut comme le nombre moyen des lignes des colonnes de B, videmment chaque colonne de B est presque gale 1 colonne 2/3 de B. Ici commence la colonne 3 de B. ^ D'autres fois la barque sacre de Marduk est nomme elippu-Ku-a, barque de Ku-a, hinnu, partie de la barque sanctuaire de Marduk, mais ici on dit hinnu-Ku-a, Ma-hu-si
chiffre 80,
B 3 parez B 2
c
d-
'
a aussi un vide la
*,
fin
je crois,
ila
(com-
dernier signe).
le texte
^
On
Var. ta-a.
Var. na-a.
^Vslt. si-ik.
'^
/Var. da-a.
o
ri
sur
'^
*,
/^YaiY. sa-al.
J B. Mal-[mul].
CL 15,2^^.
Ya.v. ki-is-sa-at.
'"Var. in-ni.
q
'
"Var. ta-ar.
cf.
Var. sa{?).
37.
/'Var. ka-a-ri,
On On
attend e-ir-ti^
15, 4^^^ et i, 3
y^i..
a-ra-ah-tim.
le
pav, ou [ta-ra-]ah-hi-is
-^
la cour,
.
mais
Var.
Pognon a
((
cit l'unique
mon
hb'2
faire
soigneusement
Mes
mts
s'enfuirent hors
du bateau
la rive
comme
des cor-
Makall
C. D.) est
un autre mot.
Omis par B.
Ici,
bit
nik
(?).
43
19
Quant
la
^^ ses
bouts en face
et
en arrire,
^l
^^ ses
cts
28
23
de cuivre et d'ophicphales
j'ai
24 luisants j'ai
'27
revtus;
sa splendeur
fait
29 et
rayonner
en spec-
comme
sur
le
tacle
pour tous
hommes
l'an, 32
30 je l'ai
remplie de richesses.
33 j'ai
Au temps du zagmuk,
elle; 34
au
commencement de
fte, 35
plac en
37
la
la
grande
barque
en voiture.
Dans Husi-kua,
brillante de
40
Marduk,
42
38 les
et les
41
mts
39 j'ai fixs'
avec magnificence.
Dans
des matres
de l'quipement' de
le
la
barque Husi-kua
45-60
(?)
43
entre E-bir-bir,
44
une voie
de procession pour
Col. VI
j'ai faite.
3
Nabuchodonozor,
temple
fidle,
^
roi
et Ezida, moi.
Ezidu,
le
^
6 Nab,
bti neuf
9.
l'hros
Babylone
de cdre,
j'ai
en Borsippa
les
j'ai
j'ai fix
de grandes poutres
13
n
1^
d'or luisant
j'ai
couvertes,
[fondation
(?)]
17
qu'on avait
avec
gros,
re-
nouvele.
De grandes poutres
19
21
de
la
montagne du Liban,
22 24
la fort, i^
mains
j'ai
coupes,
prcieuses nisiktu.
Pour
le
toit
d'E-mah-tilla,
sanctuaire de Nab,
23 je les ai (?) 25
de
26 les 29
cdres de leur
toit, 27 j'ai
j'ai
en travail de cuivre
fabriqus
revtus
d'argent brillant
comme
le soleil; 31 je les ai
32 et les ai fait
chambre
^ Les
encore.
dernires lignes de la colonne 5 sont illisibles; on compte peu prs dix lignes
Au
moins,
est-il certain
^^
que
le rcit
rcit. Il est
soit
presque entirement
qui est assez bref.
A"'-'^^,
1, 1'^^; le piel
13,
Cf. R. V, 2
5.
de triK
faire
renouveler
y Tir.
visibles.
Cf. 15, 3
52.
Ou ah
(?).
La
on trouve
3
On
voit ainsi
que
cette section
d'A entre 5
^o
c'est--dire
que presque 36
lignes,
si
on compte 60
lignes pour les colonnes d'A, ont disparu, et galent peu prs 30 lignes de B. Et puis
29 + 30
(?)
(disparues)
+ 21
(chiffre
du bas de
*''
B
'^
3 conserv)
^^.
= 80 lignes
;
pour
3,
ce qui
et 5
Var.
-^
Var. i-na.
et
V-
mahru, en face
la
sippu est
le
pav
1.
2.
Je ne sais pas que ce mot drive de la racine arajitu; il est bien un verbe de C'est--dire quand Marduk descend de la barque la porte d'E-bir-bir.
premire personne.
44
34 ;>
35
38
ta-al-la-ak-tim pa-pa-hu'
i\J
u ma-la-ku^'
an-ni.
Mis-ma-gan-na
^2
erin
^3
^0 i-hi-iz
kaspi
^-^
ib-ba^ ulj'"-hi-iz-ma
'^^
e-ma
bbni ka-la-si-na
e-ir-te-it-ti.
pi-ti-ik
47
^.^a
[mu-si] u e-ri-bi
51 sa"'
^^
ga aplu ru-bi-e
'^"
Nabu
49
52
ri-ib-su as
^^
ki-ma
e-pu-
la
i-pu-su
a-na
'^"
Nabu
bi-ili-ia ra-bi-is
55
us
53
Nabu u
''^"Na-na-a bl-a
-se-si-ib^.
3
54
su-ba-at
sa
[tu-]u]_) li2
ib-ba
56 ki-ir-[ba-sa]
c;oi.
vu satukk^-su-nu rabti^
el
4
ma-har
a-na
du-si-i* as-te-e-maP
ga ii-um ist-sn
Gu-mah ma-ra-a
6
suk-lu-lu
sa mi-na-a-[ti-su
suk-lu-]lu-a-at
[sa
zu-inur-]su [bu-ha-di-]e
da-am-ku^
tim
'^
ga-du sa
Nunuz-uz-banda-issur 2 sammu
sumi-mu
^^
ar-ka
les
la basse
poque commena
la
coutume
cri-
fois,
comme da-lum-lum
de
= dannti,
Var.
liun.
Dallu
est
*9,
se balance.
c
'?"
Dal
est
est
mriennes.
c^
Ce mot
hi.
/Var. kas-pa.
g Var.
^
Var. ak.
Var. gis-ik-gis-ik.
k Var. kas-pa.
Var. e-ib-bi.
'"Var. -uh.
sumrienne assez intressante. Cf. la liste suivante dans Brnnow 1131, Li-du^= zamru, chanter; 7072, Dub-di =^ .^arihu, cri de dtresse; 4028, I-ludi=^ idem: 4022, I-lu^za-
mru. Mais U
lire
et lu
ont les valeurs gub et dab, dib, respectivement, ce qui prouve qu'il faut
et
I-dub. Ds lors,
le
ili
gub,
parquet, plancher
doit tre
prononc
tre lev .
La variante
donne
s
ici
as-ku-up-pa-a-ti.
Q Var. e-ib-bi.
''
P Var. kas-pa.
Var.
.su.
i
cf.
Var. ru-uk.
Ici,
le texte
suivant
^'^
:
sa
bb Im-kurra
le
Il
faut se rappeler
nomm
par un
nom
diffrent
du nom du
de la
le rcit
le rcit
Nab dans
le rcit
Le
rcit
dieux n'occupe pas longtemps notre crivain qui donne ce rcit en deux lignes
le copiste
45
+ 46. Mais
de
le
nom
d'une
chapelle, c'est--dire
Bb-im-kurra. Plaons
la ligne
45
LKS INSCRIPTIONS DU
\VAI)I
45
34 et les
^^ j'ai
^6
Avec des
de l'argent brillant
j'ai
sentier
de
la
chambre sacre
j'ai
au temple.
39 ^^es
battants de chne et
les portails 42 je
de cdre
^^ et
dans tous
les ai fixs.
43
Les
planchers du btiment,
toit
fils
^4
avec un revtement de
recouvert d'argent'.
00
51
brillant argent
47
Les cdres du
des chapelles
46 j'ai
Pour
la sortie et l'entre 48
du grand
qu'aucun
53
roi
prcdent n'a
fait 5~
Ce
j'ai
fait
magnifiquement.
Nab
et
fait le
cur.
d'augmenter
jour,
les
Pour chaque
dont
7
le
poids
et
dont
le
^,
seize jeunes
convenables
marrati
isih
10
un
de
poisson de mer,
d'Ijyi-kii.rra
toits des chapelles de Bab-im-kurra j'ai embelli. Qu'est-ce que la porte ? Dans 15, 3*^ on trouve le nom d'une chapelle dans Ezida, qui est si mal
crit
que personne
il
n'est
parvenu l'expliquer.
D'abord
noms aux
sanctuaires des
Ou
bien on trouve
le
nom du
comme Bab-Ezida, sanctuaire de Nab dans Esagila, Bab-hilisug de Esagila. Ou bien on trouve une appellation du dieu avec prfixe bab ou
de Nin-gal dans
le
Sarbitu,
comme
et
les sanctuaires
I,
68, n 6,
E-nun-mah
E-hi-gan-si. Ln-kurra
rsulte
= sad,
B
Br.
8462, et
le
md
rab
tait
que
nous donne
*^,
nom du
sanctuaire de
la lecture
pour 15, 3
BA.,
III,
p.
appelle
kurra en suivant l'une des mthodes et que 15, 3 **^, l'appelle Bab-E-ku-a en suivant et en prfixant Bab au nom du sanctuaire de Marduk dans Esagila.
" D'ici, la
1.
colonne 6 est
dans B, bas de
la troisime colonne,
20 4.
't'
Ici
commence B^.
li-[ib-bi-id\
!
^ Cf
9, 2^*.
llDi-Ka.
^^
Var. ra-bu--tim.
Var. du-us-si-i.
Var. Sic
-ub-la-am-ma.
mais 4
3',
suk-lu-lu.
comme un mot
singulier
= quantit,
est trs
d'un certain poids. Je ne puis expliquer cette forme qu'en supposant que Vu avant dt est
relatives.
.
Cf. 9, 2
Cf.
-'^.
Lu-nim =
B7
20.
Ses-hu.
Var. u-um.
le rcit
A donne une description pareille 15, 3^6, niais sans la variante on et pens que veut dcrire d'autres chapelles d'Emahtila auprs des talbantl, 6 si. Le rcit de notre scribe place le passage sur le sanctuaire de Marduk, la fin de son rcit sur Emahtila, mais le scribe de la rdaction postrieure (u" 15) le place au milieu du rcit sur Emahtila, 15, 3 38-64.
1.
Ce passage 45-f46 en
46
Ll':S
IXSCPtIPTIONS
1)1'
WADI HRISSA KT DU
NAIIl
EL-KELH
di-su-tu
'>"
la-la-a
mu-sa-ri-e
^~
^^
sulpi'' is-ni-e
^^ siz-
Ma
Ud-a
^'^karanu'^
i^
Ud-a
sigaru"'
Usa'' damik/-ta
^^
i^
himtu' mu-ut-ta-ka
''"
l)U^'
-lu
sa-am-nu
"^^
pa-as-sur
Nabu
^^
19 t7w ]\ja-
na-a bl-e-a^'elli"-ti ~3
el
sa
pa-nu u-[da-ah-hi-id]
~4
'
~^
'"] 2'
sa ru-ku-bi-su
as-te-e-ma
^~
-se-pi-is-si-ma
25
za-ra-ti
Mis-ma-kan-na
^^
u 2
'>"
ka-ri-e
[rs
erin si-hu-ti
satti] 30
^8
u-ba-na-a ti-ik-ni-[iY
''"
ina
32
zag-mu-kam
Mar-duk
35
Nabu
aplu si-te-lu
ki-[nim]. 33 istu9
Bar-sip
^" i-sa-di-[ih']
Gan-ul
ka-ri-e
^l
sa ku-uz-ba
36
37
za-ra-at sa-ri-ri 38
'>"
sa
ma-na-ma
ilu
sarru malj-ru
la
i-p-su
^-
a-na
Nabu
i^tt
[^3
itu^
JSfaiia-sa-ki-pat
te-i-bi-su'^ 44
a-di bbu
el-lu ^5
dannat^-sb-su sluH
rapit-- 46
'^"-
Marduk,]
47 istu
rib
Nabu
^1
sum-sum Tiir-nun-na
^3
['^"
Nabu?]
mi-ik.
u-da-am-
B58 Li-bi-[il-hegallaq
59(5)
nru(?) palgu^
sit
samsiQ [Bab-ili-ki]
(6)
[sa is-]tu [-
um]
63(9)
ab-na-na [su-uk-ki-sa']
Var.
e
64 (lO)
i_na A[i-i-bur-sa-bu-um]
65
(il)
su-li-e [Bab-ili-ki]
bi.
Ka-lam-ma.
Gesten.
Bi.
U=Ku
Ici, la
d'herbes.
manger [aklu). Sa rets de fibres. On peut penser une boisson Ni-nun-na. Ga. Ya-r. [si-iz-]bi. ^[Gis]-gesten. J Azag.Ysir. el-lu. fSeg.
f*-
colonne 4 de
d'o
je tire
B est casse.
Cf. 9, 2
*^.
^=.
Voir 15, 3
''i.
n Azaz.
o j/riDS,
lumineux
''
j'ai
par (ma
P En-lil.
Q Ta.
p. 154,
^''^
s -
Pognon
i''.
lu-li-e
u Ta.
"
15, h
tebi-sa.
.
Ri.
^ Lig.
8
y Tar.
[ta-]
Dagal-la.
Cf. 9, 2
y Di-tar.
Var.
ma-al-li.
La
4 en bas.
La
partie suprieure de
24 lignes se termine la ligne 19 de notre colonne. Les lignes 20-50 de notre colonne manquent, sur
aprs
B B
^^.
C'est--dire
que 31 lignes
(= A
aux
la
restes de
B4 B
en haut
4.
et
haut 24
55 de
24+18+31
4.
= 73
est la ligne
Si on
compare
colonne de
4 avec celle d"A 7, on trouve le contenu des lignes presque toujours iden-
tique.
les
mes
un autre
travail, et je
^^"^^ et
ne veux
aborder
15, 5
^'',
ici
Ce passage
rcit n'est
est pareil
et
15, 5
3^-^*^.
Dans
il
menant
la rue
Aibur-Sabu,
:
Ce
faut
ensuite observer que notre rcit approche de Fa ville de Borsippa en dcrivant la rue
du
en
38-52^
bouleverse
le rcit
ne donne pas
le
nom, mais on
dit,
L1":S
47
i~
ma
i''
blanc,
l^
^^
beurre,
miel,
pur, huile,
hydromel,
et
vin rouge,
matres.
plus abondante
qu'autrefois la table de
~i l'ai
Nab
Naua mes
^^
^-^
j'ai
honore,
^"^
et
fait construire; ^5 le
j'ai
baldaquin de chne
-^ et
cdre
mes
^i
Au temps
la
de sag/nuk,
32
au nouvel an
fils
pour
la fte
de Vakitu
Nab,
le
hroque et
36
fidle, 33 sortait
de Borsippa
Babylone.
35
Dans
barque du fleuve
place et je
Ganul,
l'ai
37 je l'ai
de deux mts,
39
pour
le
voyage de sa majest
40 et
le
monde.
fait, 4~
Ce qu'aucun
43
roi
prcdent n'avait
pour
j'ai fait
magni-
fiquement.
De
Naiia-sakipat-tebisu
46
44
Istar-dannat-
De
la
porte Kibsu-nakar
jusqu' l'entre de
fils
nom du
tier et
Nab dans Esagila, 49 clite Nabu-daian-nisi-su, une large rue ^0 au hroque Nab j'ai remplie d'une haute terrasse ^^ et l'ai garnie de mor^''i
de briques. B IV 58 Libil-ljegalla,
^'^
le
canal de
l'est
de Babylone,
60 q^fi
depuis
les
lit
jours loin-
tains tait
tomb en ruines,
Dans
la
6i
sa place
j'ai
recherche
62 et ai 66
construit son
la
en mortier
et briques. 64
pour
[procession
du grand
tait pour Marduk. Voir cependant 1. 42 plus haut, o on dit que ce qui suivra est fait pour Nab; quand on lit le rcit, on trouve la chose faite uniquement pour Nab dans 47-53, o on dit que la rue sortant de la porte Kibsu-nakar et menant l'entre de Nab dans Esagila
tait btie faite
de mortier
et
et
le rcit
de 15, 5*^'**,
dit
qu'Aibur-sab
tait
de briques
38-53
de pierres de montagne.
On
que
les lignes
43-
46
= 15
Heureusement
les thories
cette insertion
nous donne
le vrai
nom
par
les fouilleurs
de
Hommel
et
de Lindl qui
examine 15, 5
38-^^^
lignes 38-44 sont rptes par les lignes 45-50 qui terminent avec
rcit,
mme
D'ailleurs
j'ai
montr que
docu-
ment 15 est une rdaction de 14 et d'autres sources, crit surtout avec l'ide de glorifier Marduk. L on ne trouve rien de mentionn sur la rue faite pour l'entre de Nab. Je conclus que 15, 5 38-'ti, tait le rcit d'un document original, et que le rdacteur a fait un duplicata, 45-50, pour sa rdaction du Wadi Brissa, 7*^'^^, en laissant de ct tout ce qui se rfrait Nab.
Cette ligne est la dernire lisible d'A 7, et celles des colonnes 8-1-9 sont toutes illisibles.
J'ai
donn
I.
le chiffre
mon
4 de
(voir plus
haut,
51). C'est--dire
Ji
que
numrotes d'aprs B,
le rcit
du canal
Libil-
hegalla ressortant de
Pognon
(fragment de
4).
^
n[Kur-]e.
'
[An]-Bar-Ud-[du].
Il est
probable que
A7
finit ici et
que
commena
48
06(12) x-im
6~(i:^)
68(14) /?
Mis-ma-gan-na
~2 (18) B. Col.
70(16)
lammu'^
'>"
^i (17)
siparri
a-di se-la-a-si-su*^
iiu
[pus].
-
mu-us-te-'- as-ra-a-ti
Babilu^-ki ma-ha-az
bli
rabu-u
Marduk
lo
[Iin-gur-]B(3l
>;a
la i-pii-[sLi]
rm^
e-ri i-[ik-du-u-
15 ia-a-ti
[ka-a-ri dann-a-ti]
l^
a-di
ik-zu-ru]
2~
i^
^i [[-i-si-su
sa-da-ni-is]
u-
zak-kir
al-mi'".
B. Col. VI
j^_iij^
iiu
Samas
3
ir.si-tiin 2
mu-sa-as-ki-in salamo
^
damku/' ina
e-pu-us
5
te-ii-ti-ia
E-di-kud^-kalama bit-su
^^"
sa ki-ri-ib Ba-])i-lanfi-ki
^
e-es-si-is
E-ki-ku-garza'' bit
a-na
^'"
Nin-lil-an-
^ Gi--ku. Les restitutions sont empruntes k 8, 1 ^i-2 ^^. 26+27 1 ici^ 11 68-72, dans un rcit sans pareil, on parle d'une construction de Voir 1,
trois
ponts sur
le
le
canal.
Ce
rcit
(11.
58-72) de la construction
du canal Libil-hegalla,
et
un
pont sur
<^''
la
dans Esagila;
e
3^ ==
i^,
rcit
de la
commence gnralement une section nouvelle B 2* A 3*', commencement du rcit d'Ezida A 6^', rcit de barque sacre de Marduk; B 4^
l'installation de
Nab.
'^
i
[Gal7].
Ka-An-An. f Uru-ki. a Bad-Bad. Voir 15, 5 25; 2, Iie-'s. 75^ 1 54. ^ An-Bar-Su-a. j Am-[Am]. [Sir-rus-]mes. "^"Les lignes 4-24 sont presque les mmes que 1. 1 ^""3*, et IS, 1 ''^-2 '. Il y a
1'
:
Ka-Gal-
quatre secfoss
tions
les
murs du
En
mahrim
1, 1
la.
manaina,
etc.,
cf.
15, 6
2'*.
Si on
compare
^^,
^^',
avec IS, 1
^'\
on
Marduk
comme une
mots ayant
t insrs
est aussi
I,
J'ai
livre
B.I.N.E.,
vol-
13
est
une
rdaction de 1, et aussi, propos de ce passage, a insr les mots cits, aprs avoir chang
les
Ce
'-3^,
de 13
oi
et est alors
postrieure 13.
fit
on
dit
que Nabuchodonozor
'',
deux
fosss,
et 7, 1 1*^3*
= 13,
l'^'*-2
o on
dit qu'il
fit
un
deux prcdents, notre inscription s'accorde avec 1 et 13. J'explique cette difficult en supposant qu'entre le temps du Wadi Brissa et 15, Nabuchodonozor fit un quatrime foss.
A
rcit
Aprs
1.
2^-^^, le
concernant
le
canal Arahtu
et les
25-35.
Au
milieu de cette colonne est sculpt l'arbre dpourvu de feuilles, voir Introduc-
1-71'
DU NAIIH
KI.-KEI.H
49
matre Marduk,
.....
70
67 j'ai flx
^i
un pont sur
de cuivre
2
le
canal. ^8
'^^
Du
bois de chne
[j'ai fait].
^^
de cdre
de
lammu
^
jusqu' trois
Col.
V Nabuchodonozor,
de
Nab
^
et
Marduk
'
Quant
Babylone, ville du
'^
ville
de sa
grandeur,
roi
Imgur-bl
et Nimitti-bl,
ses
grands murs
complts.
lo j'ai 14
Ce qu'aucun
pre entoura
construit en
prcdent n'avait
fait', 9
^^
sur
les seuils
et des
Mon
j'ai
mais, moi,
mur de
foss,
un troisime,
ct de celui de
et son toit
placer
l'ouest
^i,
mon pre. 19 Sa fondation au sein ^0 du vaste abme j'ai fait comme une montagne j'ai lev. ^2 Un mur de foss en briques
fortification
le
23
de
la
grande
de Babylone
24 j'ai fait
entourer
la ville.
B. Col.
VI
Samas,
et
de
la terre, 2
qui dans
mes
oracles
me
5
Ninlil-anna, grande
tion.
Quand nous
sommes au milieu du
col. Q^''
rcit
concernant
IS,
1
les
cf.
avec 75,4
29-34, et
Nous
peut
les listes
de temples.
On
la liste jusqu'
les
le
E-dikud-kalama qui
est le pre-
mier de
la
colonne
6.
cinq temples
Emah, Ehad-kalamma-suma,
5, et
E-gissir-gal, E-ljarsag-ella et
Enamhe dans
" Di-tar.
vide de la colonne
qu'autre chose ne
/'
manque?
trouve la
o Br. 7297.
3o,
Br. 7284.
((
On
mme
avec
les
mmes
ido-
grammes.
rable
,
veut dire
((
comme anna
,
tre
couch
reprsente
avec
Hu
prfix
= Sa,
Br. 2289
= nab
annoncer
l'oracle .
que
le
comme
asih
disque
de Samas,
Samas
Ebarra
du disque,
qui est le salam de Samas, au lieu de son image, qui est apparu un prtre conduisant
un
adorateur
on veut
Samas pour demander un oracle. Et puis si on lit Samas skin salmu datnku, dire Samas qui donne son signe ou image favorable. Le premier lment du
: :
signe solam est incertain, mais c'est probablement le signe de gunation grand
autre kasseba, Br. 7295
Voir un
= Lugal, avec
ici
le
mme
= Samas.
le
Damku
est
exprim
le
palmier
comme
dikud-kalama
juge de tout
et
non
sa
= dnu a toujours
.
valeur kud.
'15, 4*0;
1.
i, 2 9; 13, 2'\
Br. 5644
= parsu
ili
dcision
du dieu
Kiku-garza
se trouve jamais
dans
les inscriptions
de
la
chodonozor.
2.
mahri,
comme on
/, 1 26.
RECUEII-, XXVIU.
NOUV. SR.,
XII.
50
LES INSCRIPTIONS
1)1'
WADI BRISSA KT
8
Dl'
NAilR EL-KELH
na
9
bi-el-ti [si-]ir-ti
^'^"
'^
ga-ba-a-ti da-am-ga-a-ti-ia
si-ir-ti lo
'?"
a-na
Sag
l^
ru-ba-ti
12
na-
[si-]ra-[at] na-pi-is-ti-ia
sa-mi-e
Mis-ma-kan-na
!''
is-si
da-ra-a-am
l^
hurasi rs-a
u-sa-al-bi-is-ma
-sa-at-ri-is e-li-su ^6
18
im passuru"
in-ma
ri-e-ti
19
-ki-in
ma-ha-ru-us-su
^2
mes-
bu-ug-gu-hi
su-uk-pu-tu mi-na-a-ti
u-sar-si-id
i-na ki-gal-lum''.
25
2C e-es-sis
e-pu-us ka-ar
29
hi-ri-ti-su 27 i-na
^'^
ku-
up-ru u a-gur-ri
30
ilu
-sa-as-hi-ir'^.
a-na
Dumu-lil^
32
bi-ili
bit-[su]
[a-na
Gu-la
i-naBar-]sip-kies-sis [e-pu-us].
ki-ir] sar-[ru-ti-ia] 37 [a-si-bat
39
si-[ir-ti] 36
[mu-sa-ar-ba-ti zi-
E-gu-la
[a-na
'12
'^"
Gu-la bi-el-ti
til-la]
e-pu-us]/
[la
^3
a-[na ma-]as-[sar-ti]
45
Babili
^^
''^'9
[du-un-nim]
46
^^ [sa
e-pu-us]
[i-ta-a-]atBab-ilni
e-la-[ti]
[4000 ammat]
^7 ig-tu [kisad]
nru Puratti
^^ a-di
sit
samasi^^ Ba-bi-him-ki -
((
demeure de
la sagesse
du dieu
de Su,
)).
Garza
est
crit
montre
signes.
et 3*,
la valeur primitive
comme
Zu-\-Za.
est trs
douteux que
signe sa ait eu
la valeur su d'abord,
mais su
est crit
est plutt
La
ville
Girsu
et
il
dans
le trs
n 2, col. 1
avec zu,
est
Su
est
et
Br. 906.
***,
et IG, 2 ^^,
o on
dit
les fouilleurs,
en cherchant
un
kalbu [lik-ku] de terre cuite [hasbu; cette explication est omise par 13), sur lequel on avait
crit le
c
est cass
la ligne 9
et le
nom
paru la ligne 10. Cette description des ornements d'un temple ne se trouve dans aucune
autre inscription. Mais
pense
justifier l'identit
du temple
et
de la desse de ce passage
les
noms de
15, 4^^, et
mro 13. Mais nous avons fini la liste de 13 avec la ligne 8, (voir 13, 2'*^-53)_ Dans la liste de 13, le temple de Gula est plac plus haut et est nomm E-harsag ella; aussi Gula d'E-harsag-ella porte-t-elle en gnral l'appellation Nin-kara-raak. A la ligne 9, l'appellation de la desse commence avec Sag et non Nin. Aussi, dans la
ligne 10, n'y
a-t-il
De
plus, le
Wadi
la
Brissa, en suivant
donner
cette description
dans
la
grande lacune de
E-sa-bi.
colonne
5.
Alors,
quel temple de Gula avons-nous encore en Babylonie? L'inscription la plus basse que nous
et
Il
s'agit
donc, sans
doute, d'Esabi, qui n'tait pas encore bti au temps de 13, mais fut bti pendant le temps
LKS INSCRIPTIONS DU
~
\VA1)I
RRISSA ET DU
NAHR EL-KELR
^
51
matresse,
qui parle en
ma
faveur,
8 j'ai
Gula, illustre
mon
corps sain,
il
protectrice de
mon me,
em-
un baldaquin de chne de
la figure
du
ciel i^ j'ai
revtu d'or
luisant, i^ et je l'ai
16
15 et l'ai
j'ai
Une
table de belle
18
embellie de pierres
et
prcieuses nisiktu
19 et
Deux chiens
d'or,
deux d'argent
deux
leurs
de cuivre,
^i
dont
les
^3 (jans
grandes portes,
^5
j'ai fait
Tabisupursu,
mur de Babylone,
^8
.j'ai
renouvel, et
le
mur de
son foss
^7
en
mortier et briques
30 32
fait
la fortifier. ^^
Au
dieu Dum-lil,
j'ai
qui brise
les
renouvel
Gula, chercheuse de
j'ai
vie,
^3
gardienne de
^^
mon me,
renouvel.
37
qui agrandit la
j'ai
renomme de mon
vel. 39
"^2
rgne,
renou-
Gula,
la
matresse auguste,
j'ai
qui vivifie
mon me,
^^
^l
renouvel.
Afin d'affermir
la fortification
de Babylone,
fait, 45 le
sortant
de
la rive
et
venant jusqu'
la rive
infrieure de l'Eu-
qui spare 13 du
certitude.
Wadi
Brissa. Et puis
je
le
.'
Weisbach nous
--25^ gf
Le
rcit
du mur de Borsippa
se trouve d'ailleurs
1 et 13.
dans 15,
Q''^-^'^;
1,
^3,
^^-^^.
Le Wadi Brissa
e
/Ce
crit
2*i'^i,
fait
j'ai
dans
ma
ait choisi la
ddie
Wadi
Brissa.
et
A
un
ide de la grandeur de ce vide, mais le bas de cette colonne a encore 36 lignes qui donnent
total
de 72 lignes.
aprs 13,
il
2'^^-^^,
nous manque
du temple de
Ramman
num-
4'^'^"^^,
j'ai
il
le
vrai
nombre de chaque
chiffres
aux
donns par
moi.
9 Tin-tiv'ki.
f'-
An-Bai'- Uddu.
1.
la desse sur le
EU-SU demande un antcdent masculin, on pense naturellement samu, et on traduirait J'ai plac sam. Certes, eli a pris la place de h^ et hv en hbreu, comme ces deux mots se sont changs
:
les textes
regarde su
comme
erreur
2. Maharusu est encore une erreur pour le fminin. Cette ngligence de faire accorder les pronoms avec leurs antcdents qu'on trouve aussi souvent dans le texte massortique est la caractristique de ces deux langues assyrienne et hbraque. On a tout fait tort de corriger le texte en hbreu quand on rencontre cette ngligence ou plutt cet idiotisme que nous ne comprenons pas.
52
NAHR EL-KELB
u a-gur-ri ak-zuab-ni
^^ ir-
[ur-ma]
54
^~
53
Puratti
59 [ki-]ri-ib^
^o
[a-di A-ra-ah-]tim
62
nru/
si-
bi-ilc e-pi-ri,
as-tap-pak-ma
^'^
[e-bi-ir-su-un
[a-na] Babilu
du-un-nu-nim
Sippara
66 is-tu
e-pi-ri
70
dan-nu-tim
68
as-ta-ap-pa-ak-ma
69
ta-am-tim
bi-ir-[su]
5'7
^4
i-na
78
^5
a-na sa-ti^
m^
bi-mi
na-bi-is-ti
76
i-na li-ib-bi-su
B. Col. VII iiu
Nabu-ku-dur-ri--su-ur
a-na-ku,
4
[sar Babili]'^
'"''-
is-sa-ak-ka
^
si-i-ri ^
za-ni-in
ma-ha-az
ilni rabti
[ka-]ak-da-a ka-ia-na-ak.
6 as-ra-a-ti ['^"
ba-ni-ia
lo
^'^^
Nabu
aplu/' si-it-lu-tu 8
na-ra-am
il
sar-ru-ti-ia
as-te-ni-'-a-am ka-ia-nu.
i-si-in-na-a-ti-su-nu da-am-ga-[a-tim]
^^ lja-a])-su'i'
a-ki-
nam-ru-
pa-
u [ti-]ma-a-ti
i^
ri-e-es
16
Gu-mah
rt
Ig-mes.
Ce
8
rcit,
;
concernant
1-9;
le
grand mur de
et 15,
l'est
de Babylone,
cl
11.
4, 1 6-2
e
5, 2
13, 2
25-3i,
^s-^s.
c j^i-ni.
Voir
1.
65.
Alors Kis tait une ville au sud de Babylone sur la rive gauche de l'Euphrate. Ce foss,
longueur de ce foss
kiskal-git.
que
l'tendue d'un
D'aprs
mon
calcul dans
mon
nP 2, Leiden, 1903. E.
J. Brill),
un kaskal-git
que
mtres. Mais
il
le
un
point sur la rive de l'Euphrate, au sud de la ville, et allant au nord et jusqu'au canal Arahtu
ville.
/ Id
h
aprs
rcit
le
nom
qu'il
dtermine-
o Uru-ki.
Ce
(11.
57-63), concernant le
fait
entourer la
ville, est
donn par
ma
critique, la
premire
par 15,
6^9-5^,
le
Wadi
Brissa.
Tin-tir- ki.
l'inscription
Le nom de cette ville est cass, sauf trois clous, Ud. Mais on peut le restituer d'aprs du Nahr el-Kelb, dans la ligne 23. /' Cette restitution est douteuse, car je ne puis citer un passage de construction d'un canal
,
q{^ qj^
vagues en btissant
les
murs du
tk
On
trouve
ti-ik
sam, rade
am,
comme
ti-ik rihsi.
Voir Del., H.
W. y/^.
53
phrate,
et
^^
l'est
de Babylone
j'ai fait
entourer,
^^
^o
Son
dedans
Un
j'ai bti.
battants de cdre
^^
couvert de cuivre,
^^ et je les
Dans
banlieue de Babylone,
Kis pour
de terre
de terrain
la ville
60
j'ai
entass un reml)hii
entourer
des
normes.
6~
De
sorte
^3 je ]'ai
de
briques.
^4
Afin de
fortifier
^6
Babylone,
la rive
me
suis
souci
la rive
encore,
et
au-dessus
^7
d'Uh
(?),
prs de Sippar,
(?)
de
du Tigre jusqu'
de l'Euphrate,
^8 j'ai
pour
des
quatorze
kiskal-git de terrain,
les flots
un grand remblai de
la
terre
entass;
^o
de
mer
^o j'ai fait
entourer
la ville
^i
une distance de
le
De
sorte
ne crve pas
''^
remblai
de
terre,
'^^
je l'ai fix
reuse
(?)] la
course
(?)
de
la vie 76 [des
peuples de Babylonie
77
dans leur
cur
78
B. Col. VII
Nabuchodonozor,
^
roi
de Babylone,
grand prince,
t
A Esagila et Ezida
le
5 j'ai
constamment
7 et
Les places
hroque,
Marduk, seigneur,
grand dieu,
mon
crateur,
de Nab,
lo
le fils
bien-aim de
mon
leur
rgne
^ j'ai
Au temps
de leurs
ftes pieuses,
grand akitu,
avec
la
or,
argent
purs de
la
moisson, l'abondance de
montagne
i^ et
de
la
mer,
15 le
meilleur de tout
Le passage
rend
la cassure regrettable.
Dans Mais
ma
expliqu saii
(l,
ici il
aprs sa-U
et na-bi-is-ti.
On
pense,
comme
bi se trouve
directement
43.5),
affaire,
,
dans la phrase,
il
la prire
de Sargon (ann.
. .
sa-ta-pu na-pis-ti
"^
bnir
mon me
mais, en ce cas,
y a encore mi.
entre j et napistu.
Ce
rcit
(11.
64-78) n'a pas son pareil dans les inscriptions de l'empire no-babylosi
deux
rivires,
elles se
rappro-
chent
67,
le plus prs.
Bien que
le chiffre
nous pouvons
le restituer
peu
rsulte
que
cette
ou 8
kilo-
la ligne 25
il
il
reste encore
du
chiffre 4,
mais
de 50
milles, d'o
gueur de 12
TiapajaYYa, c'est--dire
o
n Tin-tir.
9
u.
1-3
9.,
2*50-3 2.
La
^^2-^23.
^f.
aussi Del.,
W.
cf.
B.,402, Anm.
aussi
:.^-^
4,
habu masser
((
signifie
moissonner,
ray-ij
et ,
w_^
Habu
comme
lanb ((pain,
semence
exprimant
habu
= moisson.
= moissonner,
//,'
(?).
51
LES INSClIlPriOXS
1)
'
ag-lu-tim sa-uk-lu-lu--tim
^^
gu-ug-ga-al-lu
19 i-si-ih
nu-nu
^^
23
kur-gi^
'V?"'"
Uz-banda
^^
'"?"''
marratu^
'V>'"'"
summatu''
iammrf su-um-nii
ar-ku
in-bi ru-us-su-tim
^^
su-mu-uh si-ip-pa-a-tim
ud himtu
^8
^^ ^6
sulupi/
Ma
mu-ut-
ta-ku
si-iz-bi -lu-
du-mu-uk ma-
ti-ta-an
he-gl-la
[ili-ki]
33
istar'^] 37
.dara41 [a-
as
rabli
39
e-mu-ga
^9
na an
da-as es-ri-e-ti.
na Nergal mu-hal-li-ik]
44
.
. .
za-'-i-ri-ia ^2
[,su-ba-ti-]su
.
E-sid-lam
^3
u_^a- -in
^^"
[as-ta-]ak-ka-an. 47 [gi-ni-e
50
Ner-
gal] ''"
Laz
48 [iini
sa E-sid-lam u
53 55
Kuta
u-ki-]in
'"^^
49
ku/'
^1
[el-]lu 52
[sattuk
Nergal u
^'^J
sa pa-niin -da-[ah-hi-id9.
ir-ti
59
du-un-nu-nim
^^ l-ga-ri si-hi-
E-sid-lam
^7
ki-ma la-bi-ri-im-ma
61
e-es-sis e-pu-us
mahazu a-na
ki-[daki-
nim--]sa-as-hi-irs.
a-na
Samas
bi-ri 63
i-ta-na-ap-[pa-al]
an-nim
66
i-nim
si-[is
64
sa-ki-in
6"
e-es-
e-pu-us].
[Sar-gis-a-tu-gab-lis"]
''l
mahazu
gin-na bit-su]
70 i-na
[Ba-as-ki e-pu-us].
['-^^
a-na
[A-nim E-idi-Anim]
75
l)at-ki e-pu-us]. 73
a-na
Sar-Marada-ki]
74 [a-si-ib
mahazu Marada-ki]
[bit-su E-idi-
kalama e-pu-us].
Lu-Nitah
^
=7
et
'^
Lu-nim.
sumrien, oiseau du roseau de la montagne,
est moiti sumrien et smitique. d Tur-rim-hu.
qu'il faut lire
Un mot emprunt du
Ses-hu, voir note 436.
kurku ou kurgu,
c
'^
le
9, 2"^^+30, et 9, 3
les
bi-e-la-o, suivi
bi-e-
de simat apparim.
la-a.
est
''8;
le
mot
Voir
[i7e-Mm(?)], voir
),
k S-du.
Le signe m Kuv-ra
entre. <> et
Babylonie.
^^-^^.
kur
est
'^
douteux,
Voir 75,
1 *9.
Da-ir.
P Voir 4
(11.
*6,
i5
et
2".
Ce
rcit
9,
ment par
par leur
Parmi les passages que nous avons perdus par la faute des Arabes ou exposition aux intempries, je puis ou restituer ou rendre compte de tout, les
2
comme
trs
parce qu'elles donnaient sans doute une description de l'amnagement de ce temple des
si
peu de chose.
Un
Q^'^-i^^
o on d-
55
^^
bufs normes
19
et parfaits,
^'^
bons suluhu,
^8
jeunes agneaux et
^^ jes
un
isih
kurku,
herbes
ummu,
du marais,
~^
grain de bonne
pain, le bois
ma
blanc, vin
^7
blanc,
25 bire,
la
beurre,
^^
bi-du
bon de partout,
et vin
^^
un dluge de boisson
douce que
abondance,
32
Nabuchodonozor,
de tout
37
^i
de Babylone,
33
villes
mon
pays.
la
craint dieu et
'^^
desse
cls
jours ternels
jes
grands
39
.....
42
le
savant
les
sanctuaires,
les
j'ni
de sa demeure
fabriqu,
46
E-sidlam
^3
avec
embellis.
'^^
infrieurs
48 les
45
j'ai fait. 47
Les offrandes
50
fixes
de Nergal et Laz,
^^
j'ai
tablies. 49
beurre et miel,
rouge
matres,
offrandes
mes
^4 j'ai
Afin de fortifier
les
dfenses d'E-sidlam,
^^ la
fortification
devant
la
cour
^8 j'ai
renouveles
comme
fois. 59
Le mur du
fidle, ^4
foss de
Cutha
^o j'ai bti
en mortier
et lyriques, 6i et
pour affermir
visions
annonce
rponse
qui en
67
mes
Sippar
66 j'ai
renouvel.
''^
Pour
dieu Bl-sarbi,
^l
''4
68
Edur-
j'ai
bti Bas.
Pour Anu,
le
temple E-idi-Anim
'^5
Dilbat j'ai
Pour
le
dieu Sar-maradn,
j'ai bti.
'
s
Tig-gah-a-ki.
l'histoire des
^-"^^.
travaux sur
les
On
Kutha
(11.
41-61), a
combin
le rcit
il
2^'^-^^,
propos
copieusement que
9.
6^2
_
"
il
La
liste
de temples qui a
les
commenc
listes
la ligne
62 suit la
et
.9,
liste
de 13,
(Jig^
2'^^-"^^
avec laquelle
(jj^^j^g
faut
comparer
deux autres
1, 2^^,
de
1,
'^^-^^,
*o-^o.
^q
13, 2^^,
'^"
comme
et
'^"
Kis-a-tu-gah-Us.
Par
.9,
2*^,
Bl-mr-bi,
par
comme
plus haut.
'^'"
A-tu-gab-Us
le
= sarbu,
palmier.
:
et le
dieu de Bas
est
est
est,
Ce dieu
iden-
tifi
avec
le
Tigre dans
le
Shurpu, Textes,
avec l'Euphrate
Hommel
l'appelle
un dieu de
la lune et
ibid., 345.
5()
LKS IXSCRIl'TIONS
1)1'
WADI HHISSA ET
H. Col. VIII
a-na
'^
[Is-tar] -
i-na ki-ri-[il)
^
Uruk
e-
pu-us]
7
-1
a-na
'>
mahazu A-ga-[de]Mci
mu_ys-te-ti-[ir]
lam-mu
sa Lnrsa]
^^' l>^
n
a-na
''"
^<
12 E-I):ir-ra l)it
1^>
[Samas
e-cs-si-is [e-pu-us] ^^
^'^
Sin blu
e-es-si-is [e-pu-us].
ku i-[da-a-a
[Iji-da-a-ti
^^ ilni
si
^'
ri-sa-a-ti]
2~
ki-ri-ib-[si-in
u-sa-ar-ma-a]
^^ t7
^^
su-l)a-[at-su-un
si-ir-tim^]
27
rabti
^ li-ik-ta-ar-[ra-bu-.si-na-ti].
Nabu-ku-dur-ri--su-ur a-na-ku.
29
ni-
i'a-ap-[sa-]a-[ti
]
sa
Marduk]
34
si
bi-ili
^^
-ma-al-lu[-] ga-tu--a
j_na dam-ga-a-[ti
u
ir]
na-a-ti
bi-i
^^
-uk-[an-ni-is
g^^ ^^
a-ti
35
'^~
[ki-]i-nim us-te-te'-[si-
33
lii-ir]'* 36
pa-li-e
Nabu-kute-id-
mu-us-te-'- da-am-ga-a-ti
ilni ^2
Samas di-na
is-tar 43
u-sa-ad-[ka-an-
ni li-ib-ba-am]
44
a-za-na-an bitti
[ud-da-as
47
ma-haa-mat
az
'^"
ili
u istar
40
48 [-ly^
Marduk
3
[blu rab]
u ilni rabti
4
^o
E-kal
^ ^
'
Coi. ix.
[Lignes
6
1+2
^n
]
dtruites
7
ti-a-am-tim
a_na
8 i-^a
da
is
ia-a-ti
ma-lia-zi ra
su
a-na ta-na-[da-a-tu
12
15
ti
10
a-ti
La-ab-na-nu
ti ili
^
14
am
(?)
a-a-na
i_na
rim
(?)
sadu
sa i-ri-is-sa ta-a-bu
18
erin si-ir-[-ti] i^
19
sa-nim
sarru sa-nim la
]
bu-
20
2i
su-lu-lu
(?)
si-nia-at
22
i-tab(?)-lu(?)
i-ki(?)-mu hi
26
24
ni-sa-a-su ip-pa-ar-sa-a-ma
-7
25
i_na
u-sa-ad-di-ru [sab]
na-ka-ar-ru
e-li-i.s
u sa-ap-[li-is]
3i
as-su-uh-ma
li-ib-ba ma-a-[ti(?)
32
30
ni-
sa-a-su sa-ap-ha
ah-ri
35 la
ti-[li
u ka-ar-mi(?)]
u-te-ir as-ru-us-si-in
34
ga
ma-na-ma
sarru
ma-
i-pu-su
33
-pa-ta-at-a ni-ir-bi-e-ti
a-na ma-ha-ar
Marduk
sar-ri
Br. 4796.
"
Pognon,
tait loin
bit.
Mais Agade
la restitution douteuse.
Nous avons affaire ici, en tout cas, une partie de la ville d'Erech. ^ Ce rcit (11. 1-11) de la restauration d'E-anna Erecli est une rdaction de
e
9,
2"''0-5^.
''^-''^,
L'ordre de cette
-^"3*^,
liste
de temples, 7
'^--8 -^,
est le
mme
que
et i, 2
mais on
est
doit observer
dans
1,
dans notre
rcit, T^^-'^-\
il
vain
l'ordre de 1 et IS,
soigneusement.
Le numro 9 a arrang les temples dans l'ordre des dates de leur restauration, tandis que, 1 et 13 tant composs plus tard et quand Nabuchodonozor avait construit plusieurs temples,
ils
f Kalam-mes.
./
,9Voir936.
hQi^g^^'^^+'^'^.Mu-anna.
Manquent environ 30
lignes.
Kur.
'^
En
NAHR EL-KELB
^
57
H. Col. VIII
la
j'ai
fait;
la ville
"^
la ville
Agad
en
les
remettant en
renouvel.
17
place
J
^^
Ebarra, temple de
amas
Larsa,
16 j'ai
13 j'ai
Sin,
le
matre
^^
renouvel.
20
Les
qui vont
mon
^'^
leur
uvre.
Les grands
^i
en joie et fte
^5
j'ai fait
demeurer dans
leurs habitations
Que
les
grands dieux
2"
Nabuchodonozor, moi.
29
33
mon
seigneur
31
^8
m'a
donn l'administration
38 fidle
j'ai
de
sa misricorde et sa
34
30 j'ai fait
obissants
dirig
(c'est--dire
37
de Babylone),
la ville j'ai
'*o
35 j'ai
ramass tous
38
les
peuples en bienfaisance.
roi
Ans de rgne
39
dans
reu.
Moi, Nabuchodonozor,
a rendu le
de Babylone,
auquel
villes
Samas
jugement de renouveler
^3
les
au renouvellement des
pouss.
Je
me
renouvel
les
sanctuaires. ^5
le
renouvellement des
desses,
^
"*
j'ai
ma
royaut,
^o
^''
dans Babylone.
Coi. ix, 5
Par
grands dieux,
7
un palais
8
de
la
mer
moi
de
1^
dans
les
la ville
9
la
pour
la gloire
1^ et la 13
Nab
l'^
et
14
Marduk n
un autre
roi
dans
l^
de
montagne
pour rem-
du Liban
16
Marduk
pour
un autre dieu
23
plir le palais et 2i
24
l'enrichir, la parure
il
de
qu'un mchant
25
roi,
un
alli
son peuple
26
En
la
puissance de
28
Nab
et
Marduk,
31
vers
le
Liban
fait
Les m-
29 j'ai
mis en droute,
et
pays
32
30
de son peuple
roi
mis en droute,
n'avait
carres.
35 J'ai
fait,
33
Ce qu'aucun
prcdent
j'ai
ia
montagne escarpe
36
montagne
les
poutres
j'ai
aplanie. 37
Avant
le roi
La mme
il'^
en arabe a
les
ici.
et iptik
ait t
,
comme
Que
la
forme iptuk
:::^
((
j'^i
pens
il
faut expliquer
Vu par
Grammaire,
dans
le
p. 253.
^
J'ignore la racine de ce
mot qui
est
un
piel
d'une racine
.
rib,
sens carrire.
1.
On
On trouve dans les passages 7 <3-<6 et rue Aibur-sabu allait de la Porte d'Istar jusqu' Nana-sakipat-tebi-sa. Nana est crit 15, 5^7, par l'idograome Br. 8861 et par notre crivain, 7*3 Uu ri^ Quant Nana-Istar d'Ur, on trouve Is-tar, 1,Z^^;
Istar sakipat tebi-sa, qui on ddia le temple E-anna Erech.
15, 5 *5-56
que
la
52. J'ignore s'il y avait un temple Nana-sakipat-tebi-sa en Babylone, mais passage cit o on dit que le bout de la rue Aibur-sabu tait Nana-^akipat-tebisa, et 15, 5 53-54, o Nabuchodonozor mentionne une route pave de cette desse? On ne dit pas s'il s'agit ici d'un temple ou d'une porte, mais je crois que c'est un temple. Le seul temple d'Istar-Nana dans Babylone est mentionn dans le Babylonian Chronlcle, rev. 6, c'est--dire E-tur-kalama o Nabuna'id s'enfuit au temps de la chute de Babylone.
13, 2
63,
et
Nana
(Br. 3046), 9, 2
le
RECUEIL, XXVIU.
NOUV. SR.,
XII.
58
DI"
NAHR EL-KELB
'O
38
'^9
>^;i
du-mu-uk-su-nu su-ku-ru
ni-e a-pi us(?)
ar-ba-ti
su-tu-ni
-^'^
bii-na-a-su-nu
-^^
ki-ma
4.")
nru
A-ra-[alj-tini] -[sa-a/-bi-il] 4i
ki-ri-ib
^^ nisi
ki-ii-ib
sad La-ab-na-nu
i^
a-bu-ii-is u-sar-bi-is
'^^
mu-ga-al-li-tu
la
^'^
as-sum
ma-na-ma
la ha-l)a-li
^o [sa-]lani sai'-i-u-ti-ia
B. Col. X.
li-[i;'
i^es lignes
sa-lani sar-ru-
j,._te
a-am pa-ar(?)-ga
da-ani-ga-lii--a
32
])i-ii-
ni(?)
29
-^
e-ip-se-t.u--a
30
i^j |.^
28
^a-
Ija-ru
^^
31
a-ra-am-mu
ta-al-la-ak-tim
36
a-na
.
.
si-ir-da-a-ka
35 [|Q_Lis-]bi-e
li-it-tu-tu
3'i
su.
la i-na
dani-ka-a-ti
38
[a-na da-
le sujet
Comme
les n* J et 13,
il
btis
dans
les villes
hors de Babylone (B 7
7, 239-3*;
La mthode de
trouve 3,9, trouve dans
32-8 23)^ dans la dernire position avant son rcit. une conclusion de ce grand mlange d rcits qu'on
3i8-^^;
8^*^-*^,
2'^'^-3^^.
Cette conclusion ne
manque
pas
ici,
car elle se
o, bien
les
est la rdaction
fini,
combine).
Quand une
on avait commenc
et,
par un
hymne
doxologique) avec
le
par
le
mot
cf.
18 et 3
2"?;
et li>;
12,
^
'
et
r^^
sait qu'ici
au commencement du
nrale,
tance.
rcit principal,
que ce document
est plutt
La grande
inscription
15
et sa
cette sorte.
montre
tout de suite
(clbrer
une construction
occupe
particulire.
intrt est toujours le dernier rcit.
*-^
et
si
reste de cette
je
grande inscription,
la fin
ne puis deviner
10
de ce rcit ni
le
je
la prire s'adresse
Marduk, ou Nab, ou
'^-3.
tions se divisent
dans
la lacune,
Et puis,
si
un nombre
incertain d'environ 15 dans la colonne 10, c'est--dire 130 lignes environ pour ce rcit.
passage dcrit la construction d'un palais. Des inscriptions qui dcrivent les palais de
Ce Na-
trois 9,
14
et
commenant son rcit par e-nu-mi-u. La question de l'emplacement des palais est beaucoup discute. Le n" 9 mentionne le palais ancien, 9, 3^'"*-, 15 mentionne l'ancien et le nouveau btis proche, 15, 6^-9*\ tandis que 14 mentionne ces deux et encore un autre bti au nord de la ville et dont il n'y a aucune autre mention dans
les inscriptions
de ce
roi,
14, 3
ii-2!)
XXVI,
1905.)
NAHR EL-KELB
39
59
Mai'duk,
cieuse,
'^^
38
dont
42
la
dont
forme
est droite,
'^i
l'abondance du Liban
comme
\q
j'ai
fait
transporter par
47 j'ai fait
50
canal Arahtu.
44
Dans
()ui
45
46 49
peuple dans
le
Liban
rester en scurit. 48
Le sclrat
ne
l'image de
ma
personne royale.
B. Col. X, 6
L'image de
-^
ma
l'oyale
personne.
^o
~4
25 q-j^
uvres
^^-^t
8 n-,es
32
Iravaux pieux
actes
33
devant
dans Esagila
35
et
Ezida
^1
que j'aime
les
pour
36 37
lidlc 34
ton joug;
38
que
je puisse
39
me
enfants
en pit.
gouvernent dans
jamais
les
si
trois
les restes
-dire le palais dans la ville et pour les raisons suivantes. A) C'est seulement dans la construction de l'ancien palais qu'on mentionne les cdres du Liban,
.9,
3'^''.
B) Les phrases
partout ressemblent
tion.
.9,
3-'-'*-.
L'inscription
du Nahr el-Kelb M.
le
a t dcouverte par
docteur Hartm_ann,
dragonian of the
de
rive nord
les rocliers
photographies et estampages de
grande
lire
de ces copies et
photographies dans
P.S.B.A.
il
(1881), vol.
la
grande inscription du
le
en
rcit des
trouva
la
on
la laissa
de ct au
manque du
rcit
d'A
est
complt par
les
quatre dernires
colonnes de
connat
les
(6-^-10
39).
On
d'tre tonn par cette inscription de quatre colonnes, dont je ne connais qu'un autre
exemple, n 17.
J'ai le
le travail
archaques du
colonnes de
Wadi
Brissa (dont
la
partie
manquante
Kelb. Si on se porte
le rcit
mon
analyse de l'inscription du
Wadi
que
Brissa, on trouvera
que
qui
manque
sur
A commence
par
la
M. Sayce admet
34)
le
commencement de
la
60
NAHR EL-KELB
commencement de
colonne
la
1 est
colonne 1 de l'inscription
la section o, c'est--
de Babylone.
Comment
la
s'ton1,
nerait-on de trouver
les restes
colonne
aprs
la cassure,
en accord avec
de
B
il
G'^^-^^t
Je restitue
les lignes
de Sayce
comme
^
suit
[ga-ga-ri]
ni-is[-i.s la
ta-hi-e]
-^
[bal-]ri sit
Samsi
^ [u
[mahazu] ki-ru
u-sal-me
zur-nia
[hi-ri-is-su]
ah-ri-e-ma
^ [i-na ki-bi-ir-]su
^i
ina kup-ri
[ina
^'^
12 [babiii]
ri
dalti siparri
i^
[u-h;il-lip-]ma ir-te-te-si-na-ti.
l''
[i-na ki-]sur-
Ba-bi-lu-ki
is-tu
21
nu ak-zur.
para
20 [jstu
14 kiskal-git
ikli [sipik
/(?),
Nim.
/
les restes
Si le lecteur
il
compare B ^i^-^Savec
les
trouvera presque
mmes mots
rcit
et le
mme
les
restes
comde
la
mencent au milieu du
(B 6^7-63^
de
la
grande
fortification
de
l'e/^t,
43-56,
qui se termine
du
15-22), et enfin
le rcit
664-78^ ici
23-28).
On ne
la
les
deux
On peut
ds lors
du
Wadi
son
Wadi
Brissa assez
finir
lai-ge i)0ur
son inscription,
le
avoir crit
aplani
le
retourna au
Wadi
copia toute
beaucoup
Dans
la
sections n,
o,
ei
e,
B o
colonne 6 de
du Nahr el-Kelb. Ds
lors
v- entre
col.
les trois
dernires colonnes.
En
gnral, col. 2
la
= B 7,
il
= B 8, et col. 4 = B 9
lire
que dans
seconde colonne
peut
ma-mis
iir-du, et
LE PROTOCOLE DE SINOUHIT
par
61
'
N'ab-kudurru--su-ar
'-^
il
faut
comparer B
il
71-^,
la
colonne
1(3
trouva, mais
correspond nia-mi-is,
:
pour
la fte
du nouvel
ur-du au
an, on dit
un dluge de
lu-
comme
les
l'eau
de Gis-Bi.
Sayce
dit
que
et
kaspu
dans
la
3~.
Bc-la-ti
seigneurie
se
trouvait prola
bablement dans
la
:
lacune
'^8-40^
tandis que
ligne
J'ai
E-sid-lam u-.^a--in
.
lonne 3 se trouve
le
donne
la lecture
de
la
^9,
en existait
aussi une de ce
nom dans
Babylonie du Sud)
pas
le
moindre doute ce
On
la
sait
que
le
XX
dynastie, le
du Muse du
Caire.
Le protocole du
Ostracon 274 JO
au
main
^^^^
Papyrus de Berlin
3^,W
n
simils de l'ostracon, qui ont t publis par Daressy et par
moi-mme. Le
scribe a
mconnu
le
nom
le fils
de
la princesse laquelle
et
Muse du Caire
dame
Nofrt.
Il
comme
d'Amenemhat
1.
I^'",
ainsi
que
le
prouve d'ailleurs
le
la ligne
(cf.
Papyrus Gol-
nischeff,
et
21), et
il
du nom de Sanouosrt
des
titres
((
la
royale d'Amenemhat
dame de
faut. Je rappelle
que Qanofir
est le
nom
de
la ville
royale
d'Amenemhat
et
G. Maspero.
1.
23
2.
()2
CAF.CULS KGYPTIENS
HAR
DU MOYP^N-EMPlHh:
G.
Darfssy
deux
tal)le1tes
Ail iMuso
du
(.iiire
sont conserves
de pltre poli et
gomm
l'encre: elles
mesu-
rent l'une 0""465 sur 026, l'autie 0'"475 sur 0'^25, et elles devaient anciennement tre
ficelle
cts'.
Catalogue gnral,
je les ai ainsi
il
d-
((
D'un ct
tait crite
une
lettre,
n'en reste
de trente et un domestiques
1^.
date de l'an
XXVIII
pas
nomm. Au
face, vers la
nombres
une
entiers et fractionnaires.
analogue
la
prcdente. Sur
notamment
Le
style de
;
nombre
le revers.
l'criture, des
noms comme
|l
^\^
^^_
dnotent l'Ancien-Empii'e.
l"""^'
Le
loi
mais,
comme
rgn plus de vingt-huit ans, alors que ce chifre a t rarement atteint par
des dynasties suivantes jusqu' la XVIII,
il
est
probable que
le
document
est
contem-
Amenemht.
les calculs
Depuis
tudis;
ils
deux
faces, et leur
longueur est
total,
que
l'on a
pu en superposer
deux dans
le
Au
comme
10,
plusieurs se rptent,
nombres
l, 7,
mme
1,
type.
Ils
se rapportent
pour
A A
10, 20, 2, 4, 8;
le
[)ar
lesquelles
il
faut multiplier
chiffre
pour ob-
tenir 1, 2, 4 ou 8;
3"
la
les chiffres
tudis
comme dnominateur
nombres
que
les
entiers, 1, 2, 4, 8,
ou par
les calculs
numrateur
dnomi-
se
marquent
CAIX:i'l-S
GYPTIENS DU MOYEN-EMPIUE
63
ordinairement par
sorte
les chiffres
ici
on a omis
les points,
en
que
les
si,
nombres
mire vue
par exemple,
^ ^C
l
signifie
expressions.
comme
un signe
sances
spcial.
Accessoirement on
5,
6, 7,
8 et 9 de
la
fraction
\-
deux
quelque sorte un
systme dont
est l'imit,
,^,,
jtj
et
ces tablettes, dresser une liste des sigles de ces fractions, plus complte que celles qui
ont t tablies jusqu' ce jour, d'aprs l'tude des autres documents mathmatiques
16
J_
32
J^ 64
128
256
^ mm
1 \ 1 1 / ^ i\ 256+ 1256^3;'
1
1
,
1 1
"" 92
^
l
J. 384
512
+ (34^5)34 V384'"3
'
1021
1.
Les
identiques.
(>4
est affect d'un trait oblique: ainsi, dans les oprations siu"
*
:
voudra dire
;=
ou ^
i>.
Dans ce
unit, est
cas, la fraction
les
ix2ou|,
I
hx4
/
rl\
1. Etc. 7
marque
l,
que
comme une
\
La multiplication par
s'exprime par
le
^j^
celle par
par
Ir
s'indique par
chiffre ordinaire
surmont d'un
point,
'fj3'
"^^^^^''^ d^"^^
l-
Quand une
faibles,
on en rencontre de plus
du terme qui
fois
prcde; ainsi,
poss, nous
\^^\
signifiera l
+ ^ + i;2-^{2^\) + {'2^h)considr
Le plus bas
est inscrite
|,
comme nombre
deux
Jp^
ce qui se transcrit
^ *
1
>
1 <*
112
64 256
1
1
3
1
32 128
J_ J_ J_ 2 16 64 256 3
8
1111
2
1
32
128
64 256 3
32 128 3
4 o
16
1
64 256 3
J_ _L 1 32 128 3
65
si
le
et
En
tre,
on
11 X
'
[i]x(")
= + l8(i + i)
[i]xH<'4) = +6^ +
O +
i)
[i>H-i)=i++i8('+i) [i]xi("i)=+f6++(' + i)
[i]x2(ou|)=| + |+i+jig(l +
l)
66
\,
^ Pour
\,
le
quatorzime de
I,
^, est
de
trop; pour
f, les trois
les
deux premiers
:
La
transcription
moderne aprs
rectification donnerait
7]
67
cinquime de
j^j;
la
faus.se,
cinquime de
l^
\.
Le
calcul
corrig se prsente
ainsi
[lO]
X
X X X
10
[]><^(^")
= + + 2^ + 512(1 +
16
-5)
[lo]
[lo] [lol
10
100
128
256
) l) l)
20
2
200
8
64
128
+
+
20
32
64
Ce sont
quatre
[11]
fois
les
on
les
trouve
Dans un de
ces cas,
le
X 2 =: 12 et
X4
= 24;
mmes
68
69
18'
10
130
20
260
1-
26
13
1
8
J_
J_
52 104
9 ~
1 1- -^ 4
4 26 52
1 _L JL o 2 13 26
1
1111
16 64 96 512
1
11
13 26
9 "
J_ J_ 32 64 96
X 13
_L ^i_ 52 104
J_ J_ J_ J_ 16 32 64 128
non
fini
y/ T*
et
dans
le calcul le
plus complet
1.
Ce commencement
est pris au
premier
essai, car le
70
11111
16 96 512 13 26
Voici ce
71
qu'ils
soient l'uvre cVun colier, puisqu'ils sont tracs sur les blancs d'une liste dresse sans
parvenu.
Il
manquait ct de
lui
un matre pour
lui
n'a pas
les tablettes
que
mmes que
il
le
scribe
faire
pour obtenir
les fractions
il
ou bien
les
avait tracs
s'tait servi
commode,
en
s'il
est parfois
ordinaire
homonyme
dessous de
dente.
la fraction
correspondante binaire se
la
en appliquant
la
la
formule-^,
valeur est
le
la diffrence
on appliquait
la
mme
un
reste qui
lequel on opre ou
un sous-multiple de ce
La
seule complication
1.
que
mieux comprendre
Soit
f
l'explication.
La plus
fractions est
est
^.
La
deux
g^-
56" 5g
De mme, de h on devra
1
soustraire h
1
56
64
~ 64 X 56
64-56
de
jjg
dduisons
72
SINOUHIT,
L. 134-135
mais
est le ciiujuime
de ^,
et
comme
d tre
= ^x2.
le
h'i
sans
pousser des fractions infimes pour avoir finalement une valeur du ^ de fraction binaire.
Le
10
16
'
32
^
'
>.^R 256
~
'
fil 512
^
'
512x5'
Ce document
est intressant
pour
l'histoire
exclusif des fractions binaires semblerait indiquer que primitivement c'tait le seul
l'unit;
au fur
et
mesure
rapprochent de nous,
les
numrateur quelconque. Les calculs du Papyrus Rhind, bien que dats d'un roi de
la
fin
du Moyen-Empire,
|
offrent
drives de
ou
5';
l'esprit
mathmatique
au lieu de consi-
|, j,
etc.,
comme une
1.
faut
comparer
les valeurs
moindres que
utilise
Toutefois
le
le
indiffremment toutes
nu-
n'est pas
science des
nombres
peut se dvelopper et
le
Sinouhit,
l.
1,34-135.
:
Le texte du Papyrus de Berlin n 7, seul que nous possdions c==5 K.=^ ""^ n t^ V /o' ^^ ^n\ ^ ni D p n P\ y Yr
le
fl
"^
-f^
r^
(1
/ '^^'^^
comme
il
j'ai fait il
y a trente ans
il
sa brasse de javelines
mais
(1
est plus
le scribe
( ).
i^rzzi
^^^ [j
:
JlC,
a,,
Le terme employ en
circonstance est
^^r.
^^
d'ordinaire
ainsi l'on
au Pome de Pentaour,
donc
^^r
^^ 00 R
suit
)>
:
" ^1
P''^*'
armes de combat'
. Je rtablirai
le
passage de Sinouht
comme
n.i=:^(
1
SI
de javelines
[}
G.
"n
'
.Voici
.
Maspero.
1. 2.
H.
Il
n y a pas au Papyrus Rhind d'exercices de calcul du mme genre que ceux qui sont tudis ici. Publi par J. Baillet dans les Mmoires de la Mission franaise archologique du Caire, t. IX, fasc. E. de RouG, Le Pome de Pentaour, 1. 17-18, dans la Reue gyptologique, t. IV, p. 126.
1.
LE PAPYRUS
N 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
78
LE PAPYRUS
N*'
1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
PAK
DE SAINT-PTERSBOURG
W.
Malgr
le
GOLNISCHEFF
de-
longues annes
j'ai
toujours eu de publier en
mon
Comme
maintenant encore
je
ne prvois pas
le
moment o mes
me
savants
mes
moment o
le
se prpare Berlin le
grand dictionnaire
manuscrit n 1115,
le
plus ancien de
les
la collection,
j'ai
Actes du Congrs
en regard
celle
du texte
ma
que, depuis,
insre dans
mon
faits lors
du Congrs de
papyrus d'un
de Sindbad
Marin
et
un pisode de VOdysse de
que M. Mas-
pero a nonces ce sujet dans sa trs intressante introduction aux Contes populaires
de l'Egypte ancienne
(2 dit., p. lxxii).
l'le
L'orage,
le
monstres parlants,
ce ne sont
A
ct de
pas
comme semble
le croire
mon
les
naule re-
est reu
lui
renvoie
conte gyptien
me
lui
que
j'ai
cru pouvoir
les
annotations insres
la
suite de
ma
NOUV. SR.,
XII.
10
*ft
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
ressemblance qui,
Ici je
la
mme
sans
l'intermdiaire
aventures do Sindbad
tre expliqus par des
Marin, car,
si
emprunts
faits
par
la littrature
arabe VOdysse,
ils
acqui-
indpendamment
gyptien, qui,
les
mme
doit remonter une poque trs ancienne', sans doute plus ancienne que notre manuscrit
lui,
date de l'poque de
la
les
aventures
de Sindbad
le
grand que
mme
et
VOdysse avec
dont,
mon
que
la
voyages de Sindbad mais absolument ignore dans VOdysse, doit avoir t connue
de trs bonne heure des anciens gyptiens.
reconnaissant une trace du
En
efet,
je
ne crois pas
me tromper
en
les
inscriptions gyptiennes,
les
Rokh mme
dans
le dteriiiinatif
les
hommes,
les humains.
nom
de
nom
Rokh
(r- Jl)
deux oiseaux. Du
comme
dans
les
voyages ariens
l'aide
dfunt s'adresser
l
la
barque du
ciel
en
la
menaant, au cas o
elle
ne voudrait pas
l'aile
le
transporter
elle
mme
par ce
moyen
I,
364
= Ppi II,
916).
pouvons reconnatre un lien entre les contes de Sindbad le Marin et d'anciens contes phl'le de Kcel (premier voyage de Sindbad), que nous retrouvons, dans le Priple d'Hannon, applique une le situe prs du Cap Occidental, 'Eo-Ttpo-j Kspa; (voir Hannonls Carthaginiensis periplus, d. Didot, 14). A comparer aussi de curieux rapprochements entre des contes et des lgendes arabes et diffrends pisodes de VOdysse chez Reinhold Sigismund, Die Aromata in ihrer Bcdeutung J'ili- Religion, Siticn, Gebruc.he, Handcl and Gographie des Allertiiums bis zu den ersten Jakrhun1.
Ainsi, nous
derten unserer Zeitrechung, Leipzig, 1884, pp. 104/105 et 110. 2. Pour un tre fantasiique servant de signe syllabique et
griffon
de dterminatif.
je
peux
citer
l'image
du
\v^^)] seulement
Il
ce signe ne se rencontre pas dans des inscriptions aussi anciennes que celles des
Pyramides.
je
que de bonnes reprsentations de cet oiseau fussent releves et publies avec quelques-uns des signes de l'criture hiroglyphique, qui ont t publis par M. Griffith dans les ouvrages suivants Aichological Surooy of Egypt : FiJ'th Mernoir Bni Hassan, III; Bni Hassan, IV. Collection of Hieroglyphs, etc.; Seoentli Memoir Sixth Memoir
3.
mme
soin
que
l'ont t
LE PAPYRUS
N 1115
DE L'ERMITAGE IMPERIAL
10
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79
11
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AA/W\A
AA/WNA
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^111
("()
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III
1
t
(E
Que ton cur soit content, mon chef, car nous avons (1) dit occup (pendant assez longtemps) la poupe (2) du navire et ayant battu des rames Ds que la proue eut touch la terre (3), tous les gens (du bateau) (4) se sont rjouis et ont rendu des actions de grces en s'embrassant les uns les autres. Si d'autres (5) que nous sont revenus en bon tat, chez nous il ne manque pas (non plus) un seul homme, (malgr que) nous avons atteint les dernires limites du pays Ouaoua-t, et (que) nous avons travers le pays de Sorunout {6). Nous voil arrivs en paix, et
Le serviteur savant
! :
^v(. ci
^iit'^
notre pays
13
Je suis priv de
23
24
16
c:::::!
17
n
/-j
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19
20
21
22
AAAAAA
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AAA/VV\
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AAAAAA
(2
^ 5
I
W
I
A
ra
rYT"!
Y
:
ressources
tiens
mot
un
d'in-
(7). (Car,) si la bouche de l'homme peut le sauver, sa parole peut (aussi) le rendre confus (mot mot le fait couvrir son visage (8) ). Agis (donc) d'aprs l'impulsion de ton cur (9) (tout) ce que tu pourras dire (me) rendra tranquille.
:
cohrence
J'tais all'
Maintenant je vais aussi te raconter ce qui m'est arriv, moi personnellement. aux mines du pharaon et j'tais descendu
Littralemeut
,
:
1.
tais
descendu
etc.,
Ce qui m'est arriv personnellement moi, qui suis all aux mines du pharaon ou lorsque je suis all aux mines du pharaon et lorsque j'tais descendu, etc.
et qui
76
LE PAPYRUS
26
27
N 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
31
29
30
32
33
34
35
36
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<5
(^
l^
AAAAA^
^= P*
la
III
L=5
cur
tait plus
prudent
que
que
le
en aurait pas du tout. (Tout coup) un coup de vent survint, pendant que nous tions
sur
mer
(10).
la
fit
m'emparai
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
ii ji
51
I
^
I
47
48
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AAAAAA
AVWv^
AAAA/V\
^11
A
A/VW\A
f\
D e
^ ^
UJ
J\
J
I
1^^
III
^\l
tandis que ceux qui taient dans
le
navire prirent
(13)
me
le.
sans autre
(14),
couch dans un
(15) (o)
chose dans
ture
).
ma bouche
l
(c'est--dire
je
me
pour
me
Je trouvai
LE PAPYRUS
50
52
N 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
55 56
57
77
49
51
53
54
50
60
^
X
fl
AA/VAAA,
A/v\AAA
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"^
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{sic)
AVNAAA
^ T
X
un
o
I I I I I
y
(?)
AAAAAA AAAAAA
(5
des fruits kaou et des fruits neqout, des melons de toute espce, des [)oissons et des
oiseaux. Rien n'y manquait (17). Je
me
rassasiai tout en
mes bras
bcher de
taient chargs.
sacrifice (19)
(18),
aux dieux.
je
Tout
de
la
mer.
arbres tressaillii'ent et
63 64
la
61
62
65
66
69
70 A
72
D
D
nnn
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I
D-'
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AAAAAA
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<==^
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W A/\AAAA
o p
I
I
a
ma
avant (mot mot
Il
:
1r
un serpent qui s'approchait
:
s
D
A^AA^^
que
c'tait
il
tait
long de 30
membres (=
Il
ses
-;e
nnneaux?)
repliait
comme du
en
derrire,
il
tait
en avant
) (23).
lui, et
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dit
Qui
t'a
amen, qui
sur cette
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(24)? Si tu tardes de
:
me
dire qui
t'a
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le
le, je te ferai
je te
fei-ai
savoir
prix
que tu attaches
ta
personne
18-
l,l<;
PAPYRUS
76
N"
lllT)
1)K
I/ERMITAGK IMl'KUIAi.
74
78
71)
80
81
82
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84
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A^/VV\A
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1^ 7T
A
^
(F=6i
n
W
tu deviendras invisible
s
a
(=
tu disparatras), ou tu
me
que
je n'ai
Ensuite
sans
il
me
me
de repos (26)
et
m'y dposa
me
:
faire
il
de mal
me
ft enleve.
lui, et
Alors
me
85
AAAAAA
dit
Qui
amen, qui
t'a
amen,
petit,
qui
t'a
amen
le
86
r\ f\
87
AAAAAA
89
90
91
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92
93
94
95
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la
mer
dont
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je lui
rpondis en tenant
lui,
et je lui dis
Je m'tais
l'ordre
y avait
le
dont
cur
que
vent
r.E
PAPYRUS
101
X" 1115
DE r/KHMITAGE IM1>EUIAL
104 lO
7.9
98
99
100
102
103
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Mil
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III
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AAAAAA /VW\AA
qu'il n'y
compagnon par
son bras, et
il
que
d'un
vent se leva et
fit
redoubler
les
m'emparai
(13)
(12j
morceau de
restt
bois, tandis
navire prirent
sans qu'il en
un
pendant ces
le,
trois jours.
Me
118
mer.
120
121
12i
112
A/VSAAA
113
114
115
117
119
123
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X" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
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La conversation
mes
O
III
A/VNAAA
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^^-^^
JJ
est
les tristes
Je
suis l avec
mes
Nous atteignons
tombe
le
nombre de
fille
75 serpents
(32), tant
qui m'avait t
celles
(?)
Une
toile tait
et
ceux
{=
les tin-
ou
le feu,
venait de
l'toile) et
qui eut lieu (aprs sa chute), se jetrent contre elle (c'est--dire Je n'tais pas avec celle
(?)
contre
la
jeune
fille (34).
qui brlait
(?)
(35), et je n'tais
pas
j'en serais
mort
(== j'aurais
pu en mourir). Je
cadavre
).
la
trouvai (donc)
si
comme
un
tas
comme un
Si tu es fort et
ton creur
reste patient,
cx:^
133
-!l
136
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0<=:>l
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l^lX7\m--^
LE PAPYRUS
N" 1115
DK L'KRMITAGE IMPRIAL
81
137
^^^
139
I
LD
I
I
rvn
A
140
A 5iT^y^^:i
III
"os
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II
I
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A
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Il
III
142
^1'--^k-^P
embrasseras ta femme.
ta
Tu
reverras ta maison
qui est
la
patrie,
o tu seras au milieu
de
tes familiers.
Alors
(36) je
m'inclinai en
me
prosternant et je touchai
:
le sol
devant
connatre ta grandeur
{=. ingrdients
(37) et je te ferai
(38),
du Jouden
employs pour
et
casse et de l'encens
Je raconterai ensuite ce
143
^ M^
I
^
I
C^
A/'^AAA
/"h^N.
^ <
2
,v^v^
B
I
^1
A/wvA^ A^/^AA^
I I
A/VWV\
145
^-=0)5^
^"^^i
,V1
I
146
^D
ffl
.^ D
147
h
I
I I
148
"^^^D^
A/\AAAA ra
149
n
A^yWAA
AAA^W\
150
_CC^
I
1l.-f
RECUICII-, XXVllI.
NOUV. SR.,
XII.
LE PAPYRUS
N 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
=0=
151
P%^ ^=0
lui (c'est--dire
C^^^'
I I
I
^W
comme
les
de voir grce
tion), et
par la grce du pharaon, qui m'a envoy faire l'expdil'affluence de tout le pays. J'gorgerai
toi
pour
toi
toi
convenable
con-
de faire un dieu
naissent pas (41).
hommes ne
il
Alors
il
sourit ce
je disais
le
cur, car
me
dit
Tu
parfum
que tu
as) n'est
du pays de Pount
(42), j'y ai
du parfum
nti.
Seul
s
153
.-D
-h
154
s
J\
0(2
I
A^^^\^A
A/\AAAA
/VNAA^A LJ
dh
'Vyv/V\A
OO Q
r\'^A/\/sA
155
/VwVsA^ A/\A^AA
156
_a
1 1^'.
,4
-w_
157
e^
H
<2>-
158
159
I I
160
ne
tu m'as dit qu'il serait apport, n'est pas
le
le.
qui se
transformera en
flots (43).
le
Et
je
voil,
allai
quand
m'en
me
il
placer sur
un haut arbre
et je
Ensuite
j'allai (lui)
communiquer
dit
:
sait dj.
Alors
me
vers ta
ce sont
demeure
l
tes enfants et
que ton
nom
bon dans
ta ville
LE PAPYRUS
N 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
83
161
l__0
/VvAAAA
I
MkJ
I
('=a
AAAA/VA
162
Afl
J]}^
/WWVS
-Mi
J^
III III
AAAAAA
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A/WWA
/-
O A/VNAW
@.(2
16
166
UJ^
f.
167
o
z]
(S
168
^()-k^-^^^^-r
ra^ A
lui, et,
lui,
^^^^"M
Alors
il
p^n^
(
je
me
(48),
en mererl-t
(47),
en
et
(49).
Je
fis
embarquer tout
Dieu pour
lui
cela
je
tout en
me prosternant,
je priai
(=
remerciai). Alors
il
me
dit
(50), tu
presseras ta poitrine tes enfants, et tu resteras (aprs ta mort) intact au fond de ton
tombeau.
Aprs
cela, je descendis
au rivage
170
ra
I
K\/\ AAAAAA
I
I
"Il
AAAAAA
(^
AAAAAA
171
\\_M^D
172
^ si
Si
^ AAAAAA
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173
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174
I
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AAAA/vN A/W^A^
A jj
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^.^^^
A/VWW j]
(3
94
LE PAPYRUS
N 1115
DE L'ERMITAGE LMPRIAL
176
'>^1
les
/Wv^A^
Il
B
I
le
rivage
ainsi qu'
ceux qui
s'y
trouvaient (52).
la
pharaon
que
j'avais rapports
de cette
le
le
dans
la patrie.
Alors celui-ci
me
pays.
177
179
180
181
182
183
184
[/WVVV^]
186
18";
189
m
1 1
^[11
^
w
m m
^
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7\
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D @
i-^
1
AAAAAA
\m
que
Il
j'ai
j'ai
tant
vu
et
prouv
(55)!
coute
ma
bon d'couter
les
gens (56)!
m'a
(aussi)
!
dit (c'est--dire le
(or,) est-ce
mon ami
le
qu'on sert
len-
demain (57)?!
C'est fini (ce conte) depuis son
commencement
par
le
jusqu' sa
fin,
LE PAPYHIS
L'ERMITAGK IMPRIAL
ANNOTATIONS
1.
((
^'
savant, adroit,
habile, exprimente
qui, avec le
mot
V\M?i
nom du
comme
1,
tant
1).
un
homme
avis,
adroit,
dbrouillard
modci-ncK, p.
rem.
aussi
etc.).
(L. 3).
Le dterminatif
^^
/]
de
"^^L^Jl
est crit
dans l'original
l'aide
du signe
^
le
, qui, dans l'ancienne criture hiratique, peut s'employer non seulement pour dsigner
a,
les signes
,
^^
/]
(pass.
la
et
{ibuL,
19, 46,
^
il
ihid.,
11.
signe hiratique
s'agit
par
o,
soit la
de
la publication
dtermine lui-mme
la
Vouloir
n l
ou
c'est ce
,
'^'"'^y,
ou
mme
il
reprsente
le
verbe A
dans sa forme
s^ v\
z^i:i
la plus
la
mme
7\
(voir notre
manuscrit,
1.
1.
153) la
forme |^ v\
A ou
pour
et
^5-rJ y^ ^^^^-^
^^
inversement
L^
[ibid.,
155) la forme
%:^
ou
^5-rJ
la raison que,
dans
jk
et
!
^5J (dans
^^
^$-J
(I
'^^-^^] sont
mme
si,
signe'
<rr> du
ou du s==3 dans
comme
JlJ
c'est
les
souvent
le cas,
ressemblantes entre
(C'est ainsi
^
que
i i
signes <c=> et
2=>
mot
^^
la
11
ligne 148 de notre manuscrit.) Or, pourquoi faire une exception pour le signe
vrai que quelquefois, bien
est
que
trs
rarement, la transcription de
mieux vaut
comme
le font je
"m
toujours par
ne suis pas sr
11.
si
^^y
^'
^^ ^ M
u!^^
^ (^-
"^tre papyrus,
"^"
je transcris les
groupes
<C;Z>
et ,
c.
ou
rsolument par
et A
/*
a^
, car,
^
.1.
celles
<=>
<=.
c^
ct des formes
A
assez fr-
quemment
mme
les
formes
et
a,
celles-ci
La
remarque
(I
aux mots Q
([
(L 6. etc.).
[1
{ | ^j.,^
(1.
44, etc.
et
i\\
| et \I7
par un seul et
mme
ries
Pap.Westcar,
52 et suiv.
86
Ll:
PAPYHIS
X" 1115
DE
I/KRMITAi;]':
IMPRIAL
qui souvent gravaient les textes liiroglyphiques d'aprs des brouillons tracs en signes hiratiques.
Comme
donner
est
teuse, je ne vois pas assez de raisons pour suivre les anciens scribes
et
o,
pr-
tre exclues
de
nos transcriptions.
Quant au signe
ratique
3.
(2, je le
maintiens cause de
la
commodit
qu'il offre
pour transcrire
l'hi-
j,
V
4-5).
et je
rserve
pour l'hiratique
/j^ici
(Ll.
:
La phrase '=^\>
fl
'=^^=^
,
qui est
le
retour
du
navire ramenant
fut (ou
le
ds que la proue
cette expression,
:
Pour
se rendre bien
compte du sens de
on peut comparer
'^'"3t
Il
est
dxi
mme
cas
comme dans
iiotre papr/rus,
les
paroles cites.
En
148; x, 95-96;
xii,
5; xiv, 258;
(L.
6).
Les
vg^
le
^^3^,
((
dont parle
ici
leur joie au
moment o
c'est,
navire touche terre, ne peuvent, dans aucun cas, dsigner les habitants
d'Egypte,
les gens,
:
par exemple, qu'on aurait pu croire accourus pour recevoir les navigateurs n'en pas douter, des gens du navire
la
leur retour
lin
mme
mer Rouge, o
ils
Poun-t,
de l'Egypte
et
de ses habitants.
c'est
Comme
aux
dernires limites du pays Ouaoua-t que les voyageurs de notre conte quittent leur
navire
et c'est
aprs avoir
fait le
tout le pays de
Ouaoua-t
qu'ils
reviennent en Kgypte.
5.
(L.
le
7).
je transcris
par
V^^
sans
'
^^
'
^^^^^
le
mme
M y
({ui,
dans
signe
est
rendu par J^
petit trait
'
J^
I
'
.^Ir
petit
trait
oblique,
de ct.
Il
est noter
que
le
mme
oblique,
qui
se
remarque
dans '^"^^T' ^^ ^
',
"
^ ^^ ligne 85
(comme au
mme
6.
signe
^^
"^^^^^ "^^^^
comme
le fait
aux lignes
(comme au
pap. Ebers).
devrait
(Ll. 8-10).
Sonmout
Nil
M. Maspero
(Introduction aux
Contes populaires de
Egypte ancienne,
l^'
d., p. lxxv),
ait choisi le
comme
mme
LE PAPYRUS
N" 1115
Dl<:
I/ERMITAGE IMPRIAL
87
r^/^^
\Nrs/>/, Plutt
l'ile
le
sens de
pays do
Soiwwut
le
pays environnant
l'le
de Sonmout,
de Bigeh
en harmonie
le passa^^e
avec la mention d'un autre pays, celui 'Ouaona-t), nous devons observer que, dans
il
s'agit
et
du
retour de l'expdition
:
en disant
le
Nous avons
du pays
Oaaoua-t
et
pays de Son/nout
mer Rouge,
depuis
l'entre
les
de Bigeh
pays de Ouaoua-t
tait situ
au sud de Korosko
de ce pays, dont parle l'gyptien, devaient sans doute toucher la mer llouge. Quoi de plus
naturel pour quelqu'un qui, tout en venant du sud de la
mer
liouge,
du voisinage du pays de
Poun-t, redoute
les
et
de traverser de l
le
dsert pour venir en Egypte ? C'est ainsi que, pour viter le plus possible les difficults et les
dangers de la mer,
le trafic
mer de Brnice
que l'auteur de
la baie
Il
de
Brnice
et la
je
mythologie gyptienne
et
(L.
17).
Le mot
'^"^^^xa
[I c:. (1
c^
qa ne
se
et
ma
ne
traduction est
hypothtique. Pourtant,
et
comme
la
trois
consonnes radicales
i^l-kJ qui,
w^^ +
o+
zci, il
serait peut-tre
(s. r.
),
de
celui de
qui radote,
8.
qui bat la
19).
campagne
ia
sauter
),
(L.
le
Pour l'usage de
l'article
Writers dans
le
Asiatic
66
(cf.
aussi Od.,
83-85).
trs
(L. 20).
xiii,
145
xa zoi
ztzXzio Gujjiw.
10.
(Ll.
30-34^
11.
dans
les lignes
et
qui viennent
couper
passage en deux, on serait tent de donner une toute autre traduction des lignes 30-34.
Nous
^|
^-y^
<= non
survint
^^
2ZII<rr>, o
prcde
le
verbe, est
le
puisque)
mais un substantif
^^ ^-y-^
).
nous donnerait
(
littralement
un vent sortant
)),
un coup de vent
une tempte
^x^Lt
:
r'-^j
comparer
tempestas
Nous
Ils
prdisaient
que
le
vent ne deviendrait pas mauvais et qu'il ne tournerait pas en tempte, tant que nous
Mais l'agencement des phrases des lignes 97 104 ne nous permet pas de
88
1,1-;
TAPYlilS
N'
lll.-)
1)1-:
l/KilMIlACil-: IMI'KUIAI,
nous arrter
scribe et
cette traduction.
moins
((ue
la part
du
[)lace des
texte,
lignes 99 101
les lignes
Comme
136 138
nous pourrions,
invoquer
de notre manuscrit o, sans aucun doute, nous avons corriger une faute manifeste due
l'inattention de l'ancien scribe gyptien (voir plus bas).
Pour
]).
le
verbe
1.
<=> employ
Chabas,
par rapport
au substantif
^f
^-y-^-
comparer
le
Pop.
A/uist.,
1.
18,
Voi/ar/c, p,
88:
Il
(Ll.
33-34
= 103-104).
(Oc/., v,
L'gyptien
fait
naufrage en rue de
la /ci-re,
au moment o
il
commence
la terre
7.j~.y
)
s'approcher du rivage. Ulysse aussi est assailli par une temi)cte qui le prcipite de
son radeau la
mer
Juste au
lui les
||
montagnes ombrages de
oOt
-z
des Phaciens
jx.'.svxa
yatTi<;
<I)a'./,/.(.)v,
ayy-.a-ov rki'i
12.
(L.
36
105).
Le mot
o^^
en juger d'aprs
la.
et d'aprs
saisir ,
casser
arracher
ou plutt celui de
iXH
j^)les
Dans Odysse
vagues brisent
et
dans
le
conte de Sindbad,
prit son
et
le
radeau d'Ulysse
s'il
en dispersent
enfourche
hA
oo'jpa-c.
une poutre
pav, x/.TiO'
comme
10^;
montait un coursier
(Od., v, 370-371
ajxp
'Oojctte'j;
||
ix'f
'(tctcov
Eajvojv).
le
Dans
le
les
quatrime
et
dans
sixime voyage de Sindbad. Voil comment, lors de son quatrime voyage, Sindbad se sauve
le
il
^^)
et
la plupart des
marchands
je
se
Moi
aussi je fus
le trs lev,
porta avec bont ses regards sur moi en faisant venir vers moi un morceau de bois de ceux qui
taient dans le navire.
Moi
et
nous tenant
les
uns
les autres
^I j:>U
!>H
j^\
(J,
Ji^^j
f*~^-r
"*
^'
^*;^J jl^^l
Sic
'y/j
. (
Loj
U.,,aiu
U-X
~>.i
Un
le texte
ma
possession), crit de la
et
contenant
de bois
le Marin, offre comme variante hommes et leurs biens tombrent l'eau et je restai sur un morceau provenant du navire. Une partie des marcliands firent comme moi et chacun s'empara
Et
les
d'un morceau de bois provenant du navire. Alors nous nous runmes ensemble et joumes des
l)ras et
(=
\^!lyl
^-Ul cJij-^
* r-j
J4
oj!Mj>-
j^
I.UI5-JJ
L'jxI
[l,Ji
* ,1^-'
le
li.ii'
Lu^-?-l_5
* v_jr
u-il.i.9-1
/y
,_^-i
:-
(J-
Le
Sindbad
la
Gramatica
l;:\rjuae
arrdjirae de D.
Savary, 1813',
Les marchands
1.
Le
mme
voyages de Sindbad
le
Marin avec
la
mme
traduciion, qui se
lit
dais
l'ap-
LE PAPYRl'S
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPERIAL
un morceau de
ainsi qu'
89
Pour moi,
marcliands
par
((
il
me
Ijois,
un
petit
nombre de
chacun
mains, soutenus
le
charme de
la vie
Langls,
:
/.
/.
La
supra)
L ^iJI ^-* J,
^^
iJl.
lil^^l
jl^l cJtJ-j
Voici la traduction de
lisons
v. III, p. 36)
:
du
texte
que nous
au
vol. III, p.
>
et
une Nuits
ail
and
their
was submerged
;
among
and
the rest,
and
swam
which
of
me
to lay
one
planks
of the ship,
and a party
of the
We
and we remained
lj r^^j^
'-^'^'
in this state
-U^
(J.
^'
j^ w*->- rj ^^>
ii^*^
'*-^-'l
j^ ^-^
O'^
^^
"^'-^ -^^-^
C^^3
3f
Dans
le
suit (d.
de Breslau,
p.
A)
et
tous ceux qui y taient (c'est--dire dans le bateau) furent prcipits l'eau et nous nous trou-
vmes
m'tais
tous
la
je
empar
que
j'avais enfourche
je restai
etc.
cif-
-^-'J
et tous
le navire!
me
vis
:
moi-mme submerg, je
je
un morceau de
bois, je le pris
mes
(en
bras et je travaillai
(litt.
courus
))
:
moi
me
O-^j
i<^-'
^^b
^*-^'
"^
tj-*
'^-^^
3y-i
# j3-Jj&
(^
4_.jtl)
f:;Jlj
i^-^-
*-^^-5-'
:
^^"-A-'ilcj
* w'-^>- ^la
klj-X>-l
p. 502)
et tout je
me
et l'ayant
embrasse,
mais
texte
et
:
l'onde et le vent
me
ballottaient de droite et de
gauche
(traduction de Langls,
le
l.
Le
principale
)
diffrence
((
c'est
que Oi->-l
)
:
je
saisis ,
je
m^emparai
tl
est
remplac par
v,*
C-a-Iju
je
me
suspendis
l^lJlc-j
,_^>- ^Lx.)
^al*li
3y-J
'i}\^J C>
dition de Boulaq, III,
ail that
p.
TY
52
and
by the
:
was
in the ship
became submerged
pendice de la Grammaire arabe de Savary, a paru en 1814, Paris, en un petit volume part intitul Les Voyages de Sindbad le Marin et la Ruse des femmes, contes arabes. Traduction littrale, accompagne du tete et de notes par L. Langls,
RECUEIL,
.XXVIII.
NOUV. SR.,
XII.
12
90
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
placed within
it,
sweetne^s of
of the ship
;
life,
!)
my
so
began
^i
to
row
J.
with
my
feet,
^\
s^S^
i)^
!-? J,fr
JLsj
Zjj^i 'CSjj
oU-lJ
s_^f^U
qIjI'
Uj! J,
J,lT
JVJI
13.
J^
A^lt
L'asjsertion
un
formelle avec le
patrie sans avoir
commencement
seul
homme. Aussi
la
cette
perte
156,
des
compagnons du naufrag
le
ligne
dans laquelle
naufrag
dit
reconnatre les gens qui arrivent dans un navire pour le chercher Tile du roi-serpent.
Comment
(cf.
Nitzsch
les
16)
n'y a
ait
pas
approfondir la question.
raccourcissements
et
Mais peut-tre
dtails,
le
faut-il
plutt supposer
que
le
texte
subi des
du
mme
pour
le
cas
spcial
qui nous
je crois,
expliquer la
et
qu'il
serait,
me
semble,
l'esprit,
peuple l'autre- Si, par exemple, nous supposons que l'ancien conteur gyptien
rciter le conte
entendu
la sienne,
n'aurait-il
pas pu,
dans
ce cas,
mconnatre
deux faons diffrentes ? Ainsi, ne pouvait-il pas avoir entendu une expression
qui, en arabe, prte double sens, car elle peut signifier
l'eau ,
((
comme
^^J^
deux choses
1 ils sont
tombs
ils
ont t submergs
))
(sans pour cela tre noys; voir les exemples supra dans
ma
les
remarque
noys
((
ils
submersion
chez
mme
nature peut se rencontrer aussi bien dans d'autres idiomes smitiques ou autres
14. (Ll. 40-411. Les trois jours passs par l'gyptien seul sans autre compagnon que son
l'eut
jet
sur
l'le
enchante,
mer avant
d'arriver, grce
v, 425),
l'le
des
pendant lesquels
Od., V, 388
:
il
cur comme
confident
'EvGx
TrXsxo
XX' ox xo'xov
jfjiao 'J7iXxa[i.o; liXetj'
'Hoj,
Y^tTav.
o'
apa CT/Eoov
e' ffiO
Od., V, 400-407
a';TtXofffft Qc(.'ki'J<7r^
1.
L'diiion de
6st
Beyrout
a, ici,
absolument
4,
le
mme
texte
que
,
l'diiiou
^>
" la-JlJ
remplace par
j^^t.Zji
J6
m'attachai
je
me
collai elle
(=
la
planche)
LE PAPYRIS
T/KRMITAGE IMPERIAL
91
ovO/aa
et
Od,, V, 424
"l'3a>;
6 TaO' (oo[a.aiv
|jitv
xaT ccova
y.'j.\
y.at
sir
O'jjjtv,
xcppa oi
xprj^elav
jour.-i
aK-z/^^j.
/e.s-
^/-o/.s'
que
le
Seulement
et le
ils
Sindbad,
et
le
le
premier
rappellent
plus notre conte et l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens \ Ainsi, d'aprs l'dition
de Breslau
(p.
Bokh
brise le
navire de Sindbad
quand
lui
et tous
ses
compagnons
j^\ ^^
tl
^u,!
aborde une
((
fait
le.
d'amers reproches de
Je restai blmer
s'tre
Alors
et
je
mon me
me blmer
as mrit,
(J^
ici
moi-mme)
et je dis
mon me
Tu
tSj*'^
^j^
^^
^
L'
W^'j
is~^''
k'
'-^'f--^
'^jIjT
C-lia
5Gc (^.^
-..^
i.o
Ul~-J
,3*-^
cJ>^ij-
me que Sindbad
apostrophe
s'tre
assez
Oui^;,
sauv de
((
cur
seul
compagnon
(Ll.
C'est
42-44).
Dans
les
deux aontes,
le
le
un
se trouver
dans
le
deux versions
Le choix que
fait le
bien dans le conte gyptien que dans V Odysse, seulement les motifs dans les deux cas se
plient la position
l'le
comme
matre
le roi
au sud de
la
trs
chaud, aussi,
l'le
faut-il
que
le taillis
protge
le
naufrag contre
rayons du
soleil.
Dans l'Odysse,
est
Mditerrane
et
Ulysse, bien que craignant les btes fauves, se dcide coucher dans d'paisses
:
Oijivotj' v TtDX'.voTat),
il
et
du vent
(v,
froid qui,
l'aube,
se lve de la
mer
(Od., v, 466-480).
478-480),
car
est
dit
des
mmes
le
jamais
ny pntrait par
:
Od., V, 478-480
To
ouxe
o'jx'
tlox' TjXio!;
si daas l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens le rcit du naufrage, de l'arrive du sjour auprs du bon roi et du retour dans la patrie se suivent absolunaent dans le mme ordre que dans notre conte gyptien, ces vnements se trouvent diviss en deux groupes dans les contes de Sindbad le Marin ici nous retrouvons le naufrage et l'arrive l'le enchante dans le quatrime voyage (et, comme variante, dans le sixime), tandis que le sjour auprs du roi, qui reoit aimablement le naufrag et lui facilite son retour dans la patrie, se trouve dcrit dans le premier voyage (et, comme variante, dans le septime selon les versions du conte chez Langls, dans le manuscrit de Michel Sabbgh et surtout dans
1.
nie de Schrie,
l'dition
de Beyrout).
92
LE PAPYRUS
X" 1115
DE L'ERMITAGE LVIPRIAL
malgr
[I
16.
(LL 47-48).
p. 102, et
Le mot
[1
^^<r::>'^5-
insolite,
mme mot
que
raisin
fait
(Brugsch,
V, 1630),
et
comme
je l'ai
tort dans
ma
fia-
p. 178),
baies
de
la stle
que dans
dans
notre manuscrit le
mot
((
raisin
suit
immdiatement
le
mot
figues
comme
c'est le cas
Moldenke, Die
Baume,
etc., p. 98).
Hipponax [Fragm.,
2:1/.-?//
17.
(Ll. 47-50).
Comme
roi
le
enchante, dont la
c'est Lile
merveilleux jardin du
Phaciens, Odysse
sur une
le lointaine,
relate, tout
comme
le
le
renvoie sain
et
on
mmes
il
est
de
l'le
du prince de Poun-i
la partie
du conte primitif
114-132).
Dans
le
les contes
arabes une
le
est
mentionne dans
cinquime voyage de Sindbad, c'est--dire juste dans celui qui contient la description du
et
naufrage
des dangers que Sindbad avait encourus pendant trois jours en se sauvant, grce
la destruction
et je
dormis dans
cette
je
une
petite
mon me
se
calmt
et
mon
tat se remt.
M'tant lev,
et
marchai sur
des
arbres. Aussi je
mangeai de ces
si
bien que
mon
cur
jLLij
et
mon
esprit se tranquillisrent
vIjIS
(d.
de Breslau, A*)
4_tl-
Sy
'.i-l
dJi
z^>^A
<^
ccj
Ujii
jicij jl^i
l^
ipi^,
"^j Jr"^
j^-ij
^_^.;
^
et
Gramm.
ar., p. 502)
Alors
je
me
levai, je
verts,
parcourus
des
C'tait
espce,
mrs^
fait
(traduction de
Langls)
^..-jUIj S^.iii-1
iS'ly!!
^^' o^^j
^j^
'^Jj ^^
'i'j
*^j^'
<^ ^^^^-^5
0*I.
Texte de Boulaq,
III, p.
ty
^=.
vol. III, p.
52
island,
its
and saw
that
and
its
Him
to
1.
du jardin d'Alcinos)
aA/.a
jj-aA
atst
Zeyjpir) Ttvst'oyaa x
jxv cp-ji,
'iWa. Sa Tiaaei.
LK PAPYRl'S X
1115 1)K
L'EHMITACJE IMPRIAL
93
whom
Upon
that island
until
I
So
ate of
;
tlic fruits
I
was
was
satisfied witii
drink
and
1:^-1
praised
Jp\ij
for
tiiis
and
glorified
Him
*^"
li
0-~-
<
On
i'Orfr/.s'src
l'le
enchante.
Ce
dtail
important
est
sans doute
fait
il
il
ct de
videmment
il
ici
de poissons de
l'le
mme
(L. 54).
Le mot
^^,
suivi,
creuse
'111
(
"^
\.
^
dans
la terre.
^1
comparer l'arabe
et
^^\
"^fs-i
l^JI
\:^^
Jo.>-\
CjLj
l^J
-^ iij
.^
*Jlj^
't' ci ^*-*^y
^^ls&
dure.
le
Nous y sortmes
nous y creusmea
fosse (ncessaire)
.s-,
pour cuisiner
(Paris, Bibl.
ISlifjhts,
III,
p.
78].
mme mot
:
V\
dans A'v\
JIU
aaaaaa
Q^
c^
I
pi.
CXIII)
a
1
'^
A aaaaaa
im ^"k" W O
"^-^^^
a/ww^
Aaaaaaa
I'
(iii_M^
xInrMzzzL
)J| '2'
m
dans
le
19.
(L. 56).
Le mot "TT"
^^
AAftA/V\ cru
sens
sacrifice se
de Brugsch, Dict., VII, 1025). 'Voir aussi Naville, The shrine of Saft, mot est crit absolument de la mme faon que dans notre manuscrit.
M,
col. 8,
le
Le
dans
sacrifice,
que
le
naufrag
fait
les contes
:
de Sindbad par
les
mots
((
et je louai
"^-U'
Dieu,
le
et je
le glorifiai
4-lc ^:~''j
^J^
p.
^J^
J-^*"
cf. la
Cj-^^s-j
texte
de
l'dition
ta
la
remarque suivante.
(L.
57). L'arrive tonitruante du serpent a lieu dans notre conte tout juste aprs que
le
naufrag eut eu
temps de
se rassasier et de faire
et
un bcher de
sacrifice
aux dieux. De
ix,
mme
de Polyphme,
le
235:
opu[j.aYov
compagnons
y.r,oi-/-zs
pour faire un
Ces
"EvOa o tSjo
s'taient rassasis de
ix,
231
Tupwv
le
(x.hniJ.zvoi ^i-^{oixtw).
trois dtails,
uns
dans
conte gyptien
et le
pu nous attendre
rencontrent,
les
Phaciens
ils
se
comme
cause de ce dplacement
me
94
I.i-;
PAPYRIS
N" 1115
DE I/EIIMITAGE IMPRIAL
naturellement
puisque
et
le roi
d'hommes
;i
elle n'est
Ce
le
prototype
tonitruante
ri)isode d'I'lysse
si
chez
les
Phaciens,
avait
contenu
dtail
de
1'
arrive
intimement
le
lie
l'aspect de monstre,
si,
que devait
le roi
niiufrag, ou bien
ds l'origine,
de
l'ile
enchante
tait
considr
homme, comme
Alcinoiis.
nous
sommes
le rcit
ol)ligs
d'admettre que
le roi
de
l'ile
enchante ne
s'est
d'un
narrateur gyptien, qui, sans doute, tait habitu voir dans des serpents tantt des tres
bienfaisants, tantt de
mchants
esprits,
il
difficile
de concevoir, tant
donne
la brivet
une
Polyphme?
et qui,
hros aurait t
toujours
un
seul et
mme
et
personnage,
Marin
? "Voil
des
temps
"Voyages de Sindbad
et
est aussi
souvent
accompagne,
le
comme
dans
le
Gramm.
((
tout
lilj-
coup
terre
branle
et tre7d)le
))
[ivdincWon e'LdJxgVeti)
Z^f-'fy_i
O5=.ol
as J^j^\i
le
Dans
((
l'dition de
Boulaq
(vol.
1001 Nuits,
passage correspondant a:
noise from the upper air
And,
lo,
j.
Iji
Ij;_^j
\:.rJ^
j^ ^^^\ jS Jp^\
et
li'j-
Le
To) dit au
mme
et
endroit
((
que
la terre
ressemblait un
l:.)
^^ \^
U.
,_fl.,^l)l
-^
il
tJLi
(^j:>
iT-'"
le
:
troisime
les diffrentes
\
rdactions des
n
((
Aventures de Sindbad
so
we
slept a little;
enormous
size, of large
belly,
lidition
Langls (Savary,
tout
Gramm.
ar., p. 488)
((
sur le riva e de
la mer.
Mais
coup
Il
le
bruit d'un
norme
reptile se
;
entendre
c'tait
'i'j
un serpent aussi
s'approcha de nous
, etc.
c^
,_,^j> Zjy<a
^s^
j^
^)l>-
It
Lr
((
nous entendmes
et
( corriger
sans doute
en lu*.)
:
le
un norme
reptile
Nous regardmes
c'tait
LE PAPYRUS N
1115
DE L'ERMITAGE IMPPvLVL 0^
95
Il
s'approcha de nous
, etc.
w->_j>
"-^'.^ '-^i'^
/**-*"'
'^
-^
'
'V {^
^-^
dition de Breslau
(p.
'
'
sifflant
(mot mot
soufflant fort)
comme
le vent.
taille
d'norme
\-Xs2J\<i
/,!!
Jt^ -^^
^"^^1
^_^>-
lu^^
^_^>.
:
b
11
i^ti^ jf^i
i-Ili-l
^lit
dUs-y
di!i
est
remarquer que
y ^5-:J
le bruit
-S:^^^
employs dans
les
((
la voix
du tonnerre)) ou
mots Zjyo
J^
)).
qui,
bruit
((
son
)),
((
)),
voix
Le sens
((
s'imaginer
((
se figurer
croire
du verbe
(i
<^-S^ est
rclam par
mme
natif Q7\,
dans
le
24, 7/8
((
Comme
la pice
du cou
(?)
(des chevaux) tombe de sa place et que les chevaux sont fatigus de la supporter, ton
cur
se
(litt.
((
le ciel
tant ouvert ^
Tu
)!/
V'ntuKjine^
^^^^:^
-^^^
que
les
toi
[1
<^^^
ma
^^~~^//>^'l'^ SH
^X
un tremblement
22.
prend.
(Ll. 60-61).
Lei mots
((
je
iy-
dcouvris
rappellent
le
6r,/cravT:' Xa'i-ov.
d'Homre
manteau
23.
((
'^y-
/.otX'j'];auvo'..
(se les
compagnons d'Ulysse)
Ils se
s'taient
couchs
en attendant Ulysse,
manteau sur
yeux.
et regardent.
(
L. 66)
C'est
La forme du mot que je transcris avec hsitation par r'^ ^ - / trs probablement unevariante insolite de ^^^
.
i
u
1)
'"
'
est
dans l'original
si
'
((
vrai , qui
souvent
suit le
mot ^
'
o
J
dans
les inscriptions
gyptiennes
p.
(cf.
973, et
il
dterminatif
soient
employs
ici
vrai
))
et
mot
^^.
qu'
Le signe
<=-'.^
rattacher la forme
Comme
o'^'^y
on
voit,
le
J>
^
exemples
i
I
^^^9\
cits
*^0
^^
dans
36
et
92^
n'est indiqu
le
dans
les
disparu dans
nots plus bas
signe
la
fij""*^
comme
a presque disparu
signe
du mot (w[]
quelques
dans
/}
<-^-'~i
T JT
rtAO
[^J
je
/VSAAAA
,
Le
du mot
f\f}P\
s'il
dont
et
fait l'effet
comme
comme
inutile.
Pourtant
il
est ncessaire
1.
Il
est
remarquer que
le signe
~y ou "Y^ ^^
"^ot
v\
(1.
145) s'crit
^^'
dans notre
manuscrit.
2.
Cf. aussi
J^^
de
la ligne 168.
05
I.K
PAPYRUS
dans
)
l/ERMirAGK IMIM'M^IAL
(cf.
155), et je le rtablis
ma
de
<==>
rw^
21.
ou <=>njy^
Voir
la
tu
me
je n'ai
o\jL
fr
rencontre presque
quelle en arabe
jCaI
^^
t,
.^')
et
dialogos
(L.
78).
Comme
1
le
mot
a deux significations
:
1 ((sige
((
et
((
2" ((lieu,
endroit
, et le
mot
^,
^ en
,
((
a aussi deux
1"
((
s'asseoir
ou 2
s'tablir ,
sjourner
soit
(tout
((
comme
pouvons traduire
gite
)).
\\m
il
^^* P^''
'*
trne,
par
cette
lieu
de repos
repaire
videmment, comme
si le
s'agit
d'un
serpent,
ici
dans
le
matre de
l'le
notre conte sous un aspect anthropomorphe, nous aurions sans doute d comprendre qu'il s'agit
ici
il
est
palais d'Alcinos,
reine, le matre de
et, trs
l'le
terre auprs
la
homme,
((
prenant
.
le
lve
de
un
sige brillant
Od.,
VII,
168
yj.i<^hz
iXwv
Sii^i^Ev ir'
sa^apocptv, xa
En
d'un
auquel
il
faut ajouter
((
auprs d'un
tre
foyer
(=
la
((
fosse
d'tre
enlev par le
roi-serpent,
qu'il
y a vraiment plus
d'Ulysse chez les
conte gyptien
et
l'pisode
Phaciens ?
27.
le
(Ll. 83-86). Dans VOdjjsse, aussi bien que dans notre conte
le roi
et les
contes de Sindbad,
et la
Dans
comme dans
fois,
notre papj/rus
(11.
69-76
Une
c'est la reine
Od.,
VII,
237
Slv, 10
z'i^
[jiv
a Tipco-cov -(mv
;
s'.pr^erojLat
ax'/f
TioOev el vpjv
8f|
cpfj ItzI
ovtov
La deuxime
Od,,
548
Tw
v'jv jrr,0
xe
vorJjjtaTi y.eooaXotj'.v
<7S
OTTt X a
EI'tz'
''pw[jiar cpicat o
xaXXtov laTtv.
(JlttjXtip
ovofx' 'tti
o't
ae xe"6t xaXeov
atrxu xa
o'i
xe TraxT^p xe,
ocXXoi 6',
xax
TrEotvxtExouatv.
LE PAPYRUS
555
L'ERMITAGE IMPRIAL
97
0(1., VIII,
li'^'
l'Ji'Ji
yatv zt
Xr,v o7,|i.v X
ttjo'.v
te, etc.
Comme
malheurs.
notre
gyptien,
l'histoire
de
ses
Sindbad, dans
chez
le roi
les
:
contes arabes, est aussi deux reprises questionn pendant son sjour
fois c'est le roi
Mihradj
une
il
ce
ou
il
apprendre
lui
((
Alors
je le saluai et
bienvenue
et
me
traita
avec respect.
Il
me
questionna sur
qui m'tait arriv et tout ce que j'avais vu depuis le des accidents qui m'taient arrivs et de
commencement
jusqu' la
fin.
:>ji
Il
s'tonna
mes aventures
t^
>jj (MJI
tic c>-L-
ci <ijr
^-j cl
^J
\^
s^f
^i
mon
et
((
Il
me
questionna sur
mon
Il
me
souhaita la bienvenue
me
fit
des honneurs
<^>-j3
(V^^
w^"*^ *
(J>
f
:
^c ^1*^5
ci-*/'j c^
Il
qui
j'tais, et je lui
rcit le
frappa d'une
me
flicita,
me combla
d'honneurs
^iP
, etc.
j& f^^-^
^-
Clip Cf
28,
^-Mr^^
^f as
le
*>MI
J,l
J^Vi ^^ J, \x
r:K
(Ll. 113-114).
Comme
le
l'assurant qu'aucun
mal ne
dans
lui arriverait
puisque
c'est la divinit
elle-mme qui
s'est intresse
son sort, de
mme
et
supporter
le
:
sort que
Zeus
lui
a fait,
et
en
lui
VI,
186
SsTv',
iTi O'JTc
cpcoxl
eoixa,
oXo^
'OX'jjjlttio
vSooWo'.Jtv,
Ixuxw*
xxXa[jLV
I'ijltttj"
xay' 'oioxE. a q y
x ttoXiv
y.'A
pi]
vv
8',
Txel TjjJixior,v
yaav txvetc,
XXov, etc.
o'jxe xe'j
Elle ajoute aussi, en s'adressant ses compagnes, que c'est Zeus qui protge tous les
trangers
et les
pauvres
VI,
Od.,
206
'AXX' o8 xt
8'jffX'ir)V0s
Dans
les
voyages de Sindbad,
Il
c'est aussi
Dieu que
le
roi
Mihradj rapporte
le
sauvetage
miraculeux du naufrag.
vol. III, p.
"Y)
:
lui dit aprs avoir entendu le rcit de ses aventures (d. de Boulaq,
O mon
fils, il t'est
(=
tu l'as bien
chapp)
13
et
RECUEIL, XXVIII.
98
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
serais pas sauv de (toutes! ces diffi:
si
te
cults.
Mais Dieu
soit
t'est
chu)
J^.i
di!
J.rfi>-
-^-J
cUlj
l$-^'j
.^,M_!i Je
29.
j.^u
^<o
a'Lvi.n ei4>
^.
o^^ u
l'le
i!ji^
J^
Vjij i^y^Ji)
aaaaaa'-J
(L.
du
(pris
ici
114).
/.r/
Le mot
[J,
emploj dans
la dsignation
de
enchante
les
u cette lie
ne peut,
le
mon
mots
((
esprit ,
gnie
dans
sens de
tre
imaginaire
l^a
),
car
sert
de dnomination au matre de
l'le,
qui est
le
traduction du mot
U par
double
ou
sosie
dans
mot
|_J,
sens,
suffixe
ou un substantif au
est vrai,
pour
sous-
1_J
appartient.
Ce complment
peut,
si
il
tre quelcpiefois
nous traduisions
'^'^^^
du double
nous serions bien embarrasss de prciser qui ce double pouvait au double du serpent, matre de
le scribe,
l'le,
appartenir.
Ce
que
celle-ci pouvait
o rsidaient
les
bienheureux,
((
conformait
les
religion
Introduction, p. lxxvu).
Le
|_I
tout fait
au mot
30.
'->
117-118).
Si
nous comparons
les
les
lignes 167-168,
le
l'gyptien doit employer pour rentrer dans sa patrie, avec la mention des quatre mois que
l'le
la quitter,
nous constatons
d'aller et
et
est
que
c'est
sur une
demande
selon le
trs
pour
le
fois
si,
narrateur, le roi de
l'le
l'Egypte,
l'gyptien doit attendre quatre mois avant de pouvoir s'en aller. Pourquoi donc ce dlai?
seule explication que nous pouvons donner ce dtail
La
du conte
consiste,
mon
avis,
en ce que
la
XI
I'^
expditions de commerce. C'est ce navire, sans doute bien connu de ses concitoyens, que le
narrateur gyptien
probablement
je le
le retour
comme
relve dans
annotations 13
et 43,
aux
du conte
se laisse
malheureusement
(Ll. 120-122).
xiii,
Le retour d'Ulysse
dit
Zeus [Od.,
133). Posidon
Zeus
1.
comparer ce qu'en
dit
vol.
1,
p. 498.
LE PAPYRUS
X" 1115
DK L'ERMITAGE IMPRLVL
99
vtJTOV
Tziy/'J,
iT'.
iT'j
ol
oGtCOx'
iTTTj'jptOV
irpioTov \}Tz'i<jyto
xa! /.aTevuaa;.
32.
(L.
127).
Les 75 membres de
la
arle
le
au
Marin
apprend l'existence
la
cour du
roi
ce propos dans Les Contes des Mille et une Nuits (selon le texte de Boulaq, vol. III, p. Y)
J'entrai
chez
le roi
Mihradjn {^=
ils
un certain nombre
ils
me
rendirent
et
me
me
questionnrent sur
mon
pays,
moi
je les
questionnai sur
me
racontrent qu'ils
A
et
nobles
ils
n'oppriment personne
ne font violence
(|ui
que ce
soit.
d'hommes qui
s'appellent les
et
amusements,
(le
chevaux
et les bestiaux.
On
d'Indiens
i_j:Ai
((
mot
juifs est
en
m'tonnai normment
^&
Jji^
(iyAI
=)
iJ^^\
^x^
^\
ij,jj[(^\j
]^>.
^\^\
j'ai
consult,
toutes les
deux rdactions
nomment chacune
Dans
dans
les
<.!-
une
secte
deux contes
concernant un nombre
le
reste
le
du
rcit,
car
deux contes
le roi
il
est
hros du conte
l'tat
a, soit
avec
lui-mme,
de
l'le
le
secondaire
et
remarquable, car
sjour
elle est
la parent
du
rcit,
contenant la description du
(et
roi-serpent, avec la
de son double
le
l'dition de Beyrout) de
le roi
Mihradj (ou
de
l'le
de
Serendb).
Le passage
vue.
le
cit
du conte de Sindbad
(Lj^ li,
le
Marin
est
Le mot Chkirlyeh
dans
guerriers
dans l'Inde
antique,
comme
l'a
bien relev
notes.
Or, maintenant que, grce au conte gyptien, nous croyons pouvoir reconnatre une trs
les
100
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
ressemblance que
la
le
mot CltJriyeh
arabe dcrivant
et
offre
avec
^x^p'^^,
;
le
nom
de
l'le
les Chhii-iijeli
ils
n'oppriment personne
cette
si
comme
ressemblance, car
hospitaliers et
si
habitants
Ne
pourrait-il
le
nom
-/.p't et le
mot
kcJiatrias ? Voici
sort
ma
comptence
et
paraissent
s'tre
dans
les
douze
pyo!
comme
les
treizime,
intressantes
33.
roi
(L. 129).
La mention de
la jeune fille
du serpent
Il
ne
marche de notre
conte.
est
donc
dans celui-ci
tille
la rdaction raccourcie
l'le
du
de
La mme remarque
peut se rapporter aux familiers du prince de Poun-t. Par contre, dans l'pisode d'Ulysse chez
les
le
gyptien, Nausicaa, la
du
roi
de
amis du
roi
A mon
avis,
l'auteur
du conte
gyptien attribue une personne, celle du roi-serpent, les agissements de plusieurs personnages
distincts l'origine. Aussi
ne peut-il
faire
lui,
sont devenus tout fait secon^daires. Cette hypothse semble plus probable que celle d'aprs
laquelle
le
l'origine uniques.
Il
faut
du
le
reste
le
conte gyptien
le
seulement
matre de
mais aussi
lignes 171 et
La
rdaction du conte,
rcit
telle
(11.
que nous
126-127)
du
du roi-serpent
phmre.
^^^<:t|^ -^-^i
Le sens de
et qui,
l'expression adverbiale
^^^ JJ^J
T.TaT
mme
que /^.
^.
I I I
ne m'est
(L.
130).
La
de
feu
la
manire suivante
<=>
'^^-^^
'^
^^\
signifie
dans
le
)).
L'expression ^^^
de
lui
explique
le
,
le
mot
,
le suffixe
^^
se rapportant
^^^
de
IX
^v
signifie
donc
feu de lui
c'est--dire le feu
provenant de
l'astre,
l'toile .
L'expression
qui se rencontre
LE PAPYHl^S
.V 1115
DE I/EinriTAGE IMPRIAL
^^
le
101
encore une
(mais dont
fois
je
et
de participe pass,
dtermine
to be .
le
mot
'
Jl
[
f
,
serait
donc
,
happened
Enfin '=^='
vers elle
contre elle
contre la
jeune
fille , est
rapporter au verbe
<=>
:
((
sortir .
35.
(Ll. 129-132). la
La
traduction
je n'tais
(?)
qui brlait
(?)
que
le
je
propo_se
pour
phrase
substantif
V^Q
((
n^\^\,ll
et,
^^*
^'"'^'^
douteuse,
car
,
mot
peu
comme
flamme, feu,
comme
est
v, p. 13), et la
p. 57).
les
musulmans
chez Lane,
vol.
pp. 250
to
et 289,
note 47
(et
1609
a]
some angels
to cast at
fire,
to
is
Aboo Shihab {^\^t y} litteraly Father of a Shooting Star ) a devil, and is employed because devils or evil jinnees are
stars hurled at
them by angels
qui,
, etc.
surtout aux
comme
haut vers
au point
d'entendre les anges chantant les louanges Allah, que les toiles filantes
taient les plus funestes (
et le
feu
du
ciel
comparer
le
o, l'occasion,
celui de
il
est fait
mention du 'L^l
(Paris,
Bibl.
jl"
le
feu
du
ciel
ar.
)),
un autre
conte,
Temim ed-Dry
on
Nat.,
((
manuscr.
\^ _jl^
une
toile
de feu
Comme
comme mmes ides
Dieu
leur matre. Serait-on en droit d'admettre que les anciens gyptiens avaient les
et
fille
dont parle
le roi-
lui-mme
de Dieu ?
la ligne
naufrag au
nom
Ou
dont
fille
le roi-serpent
d'tre brl
de
ne supportent pas
flamme d'une
toile filante?
Le septime voyage
manuscrit de Paris
et le
conte de
Temm ed-Dry du
ou
le feu
du
ciel,
malgr
cela, se
dos au
Un
cho de la lgende de
roi et
sur une
le
fille
pendant l'absence du
les descriptions
a pu se conserver dans
W'stenfeld,
I,
p.
p.
^T)
^'^V')
et
Mohamiued
I'h Ile
ed-
Demichqui
1.
(voir sa
de
brle'
Uile bride
(y.aTa-/.sy.a-j|j.vyi vr|(jo)
Ptolme
(vi, 44)
Priple de la
Mer Erythre
deux
102
I.K
DE
i;EHMl'I'A(il': IMI'UIAI,
(i_Jv>-l lie
Sjr_:l-I)
situe dans la
mer de Zendj
mer
L'ile
brle
, dit
il
(se. la
:
nier de Zendj), et
de notre
d'un marchand
si
me
firent faire
un grand
tour,
l)ien
que
beaucoup de gens
et j'y
restai
nuit les gens se rassemblrent et se mirent observer une toile qui s'tait leve au-dessus de
l'horizon.
Ils se
et
quelqu'un
la
cause de ceci,
me
dit
('ette toile se
du
ciel juste
au dessus de notre
(=
le znith), tout
ce qui se trouve
sur
l'ile
brle.
Ils se
se prparent au
tte,
ils
dmnagement. Et
les
s'embarquent dans
vaisseaux
et
et
est facile
emporter.
s'tait
s'y tait
la faon suivante
((
au
brle
une comte
(.^..-o
_ji
et
d'une demi-anne
sort de la
elle se
Un
feu
comte vers
de
l'le et l'le
consume
se mettent
en route
reviennent.
36.
(Ll.
136-138).
Dans
le
les lignes
136
et
138
et
il
y a relever une
les lignes
136
un changement
l
subit de suffixes
est
"="
pronominaux
^^
<'
son
'^^^^ y
Vir*
^ ^
j
^
:
"^^ ^v^
""^^
''^^
je
touchai
le sol
devant
lui
le
^^^
la
^^
^^
'"
'
i\<
^a
"
'^
^^ ^^
dis .
37.
t=^=^r=i
M^,
etc.
la ligne 1.38,
commence
aussi
1 '^
(Ll. 139-140).
et la
Ce que
puissance
raconte au khalife
et
contenue dans
le
et
une
est-il
lettre
du
roi, et
pose la question
j,
o")
Sindbad, ce
\^
roi
donc ce
qu'il
(dLj
=:
il
i t^ill
/^
X^\ l*
il-VA-- L),
il
rpond en se prosternant
prince
!
zJJk^
:
c::^:^
y M
Mi ^-^
^^\
^ v^
((
Ah mon
j'ai
vu
la
encore qu'il ne
le
marque dans sa
lettre Ji\^^
\'^.
l)
I.E
PAPYRUS
N 1115
DE L'KHMITAGK IMPRIAL
103
Il
ne faut pas oublier que la deuxime partie du sixime voyage de Sindbad, d'aprs
les
versions Langls et Michel Sabbgh, et surtout d'aprs celle de Beyrout, n'est au fond que la
rptition, avec variantes,
del deuxime
les
partie
du premier voyage
aux
dans
deux
cas,
chez
lui
Ulysse, dans YOdijsse, s'ex[)rime de la faon suivante sur la gloire que s'attirerait Alcinoiis
331
Zc'j Tr-EQ
a'.'fj'
o<Ta
[jlv
s'.'tt
TXut/cTEiEv
7.-'X'izaL
'AXx'!vooj-
TO'i)
y-Ev
~\ fSiooov aoouoav
"Aa(T-ov xXo;
e'.'t),
h^M
oi
y,i
Ttaxoio'
\-Ao''.\xr^v.
38.
(L.
(cf.
140).
Le dterminatif du mot
[I
jU^^O
est
dans l'original
le
"^
Faut-il y voir
11
une forme
ligne 16;^
comme
par exemple
dterminatif de
'
de
la
(peut-tre de <Q,
voil ce qui n'est pas ais dire. Les quatre mots qui suivent
imm-
le
dterminatif
o
III
m'
pour
Jr^S
Le mot
[I
^"^
comparer pour
forme hiratique de
la ligne 162.)
J
i^^iJ
'-^
^^^^
il
mme
que
(I
^O,
[I
<c=>
et var.
(Bkugsch, Wvtevh,
41 (avec la chute
cite la
frquente en
/.
La forme
[I
<r=>[l^,
chez Brugsch,
la
L, est
(I
qui,
malgr
chute de
consonne <r:>,
y\ conserve,
<^^
le
L tout
la voyelle
malgr
la chute de <c2>,
dans
mot ^\
^^ V H\' ^
le
^^ ^^ forme pleine
^^^ rirn v\
p. 85).
/K
dans une inscription presque contemporaine notre manuscrit (voir Zeitschr., 1874,
39.
(L.
me
140
et suiv.).
Si
je
Gramm.
ar., p.
478
rendis,
muni de quelques
:
auprs du
J.I
roi
Mahradja, qui
je les
offris (traduction
de Langls)
le
))
:
UIjI
<)
z^^Si^
\)^\
^Ir^ij i.LL!
je fis
o^a
Oi>-l
roi
ij}
f'
Comme
d'un
joli
variante
Alors
cadeau au
Mihradj
prsent
la
^LD
i-Vj
rr'j!^'
^^'
C-j-^'
j>'
f(11.
Aprs
donne.
ses
(Ll.
remerciements
Nausicaa,
lui dit
Oc?., vni,
468
xto xv TOI
-/.al
xsTOi Osw
ct'.)
w
\x
vyfj.\Q'^\xvt
ot'jjrao, xo'jp)
ak;
T;jj,aTa Trxvxa*
'[i.o
l'expression
-^o
xal
-/.eTet
e^jj
z'j-fj.\^\xz^i
des mots y
(I
<::ir>M3i^
^^il,
etc. ?
41.
(L. 148).
La
hommes
104
T.E
l'APYlUiS X^ 1115
DE i;r':RMITAGE
IMl'JaMAI.
celle de
Od.,
VI,
l'le
:
(Orf., vi, 8) x;
vopwv
),ar,cy-cxwv.
A comparer
aussi
204
oyatO'., oo Tt;
fJijJi'.
42.
(L.
151).
Le
enchante avec
(
le
pa3-s
r^^
)
de Poun-t,
et
pourtant
-=^^^
du pays de Poun-t. Le
fait
choix de cette rsidence n'est pas motiv dans notre conte, mais
((
le
que
le
roi-serpent
prince de Poun-t
est
le
habitaient
de Schrie
et
non
roi
pafi
leur
d'o,
selon
la
lgende
au temps de leur
Nausithoos,
soustraire
Si,
comme
conte gyptien
de Ochjsse
le
les restes
dans
comme
Il
on
le voit,
la version
gyptienne de ce conte.
serait, ce
me
des Phaciens de l'Hyprie, ait t une simple glose quelque passage obscur du conte primitif,
qui,
le dtail
se rapprocher de la version
a/vw^
1.
T nh ll\<:=>
2.
^^^
l'ile
contenue dans
nM..w.AA.
W _M^
place
^
^^
de notre papvrus
.(l1.wwv.
vf^iyo le, mais est toujours appele yaa au milieu de la mer agite , nous ne pouvons exactement dire si le pote se la reprsentait comme une vritable le. ou seulement comme une partie de la terre ferme presque de tous les cts entoure par la mer. Bien que toutes les apparences nous portent croire que c'est plutt d'une le qu'il s'agit, le doute est permis, et, avec la plupart des commentateurs de l'Odysse, nous sommes forcs de laisser la question indcise. Ce manque de prcision, .qui ne se remarque pas vis--vis des autres points visits tour de rle par Ulysse, mais qui se trouve prcisment dans l'pisode que je compare au conte gyptien et aux contes arabes de Sindbad le Marin, est trs remarquable, car il a tout l'air de provenir de ce que, probablement, le pote grec lui-mme ne se rendait pas bien compte de la vraie nature de Schrie. Or, si nous admettions que l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens se soit dvelopp d'un conte primitif, qui avait donn naissance aussi bien un conte gyptien qu' des contes arabes, nous pourrions peut-tre appliquer le mme mode d'explication, dont nous avons us plus haut (annol. 18 la 1. 18) par rapport au conte gyptien, lorsque nous avons recherch comment un dtail peu comprhensible y a pu entrer. Supposons, comme nous l'avons fait pour le conte gyptien, que le thme de l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens ait t pris un peuple parlant une autre langue que le grec, et nous pourrons facilement trouver un mot, une expression qui, entendue par un Grec, aurait pu le laisser dans l'incertitude concernant la vraie traduction employer. Ainsi le mot hbraque (aussi chalden et phnicien) ''K signifie tout aussi bien le que rivage de la mer , territoire situ au bord de la mer ,
Comme
nomme
terre ,
quoique
tivtw
cf.
o ""K maritime land, Baxters' complte dition of G<;senius's Hebre and Ciialdee Lexicon, p. xxxvi whether the sea coast of a continent, or an island; like the Indian Dsib, which dnotes boath shore, and also au island. Specially a) the sea shore, Isa., 20 6; 23 2, 6; Ez., 27, 7; h) an island, Jer., 47 4 , etc.
:
: :
Le mot arabe
Si
o y ',>
1 le et 2
presqu'le
aux deux exemples tirs des langues smitiques on ajoute le mot indien Dsib, cit dans rdtion anglaise du Dictionnaire de Gesenius, on est, vrai dire, embarrass de dcider si c'est sous l'influence smitique, ou indienne, que s'est dvelopp le conte qui a donn jour l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens. Pour trancher cette question, il faudrait rechercher si les difficults que nous relevons dans l'explication de quelques passages de notre conte gyptien, peuvent tre claircies avec l'aide des langues indiennes, ou non. Celles-ci ne m'tant pas connues, je ne puis aborder ces recherches. Je voudrais seulement relever qu'ici aussi,
comme
pour
le
)i
laquelle
un moment!
LE PAPYRUS
X" 1115
DE L'ERMITAGE IMPERIAL
105
45, la
ligne 157.)
par lesquelles
il
dclare
qu'il
est
le
prince
gouvernant
du pays de Poun-t,
les
je dois
j'ai faite
dans
ma
premire
p. 111-112), les
conte
gommes
l'cho
soit les
prcieuses
d'autres richesses.
ce
de notre
conte
les habitants
pays de Poun-t^
le trafic
dans
la
mer Rouge,
gommes
rehaussaient
le
prix en
Ces fables
les rcits
d'Hrodote
et
comment on
se procure l'encens en
les arbres
Ils
Arabie
Pour
rcolter l'encens,
(se. les
qui
le
donnent une
gomme
les
brlent cette
gomme
pour carter
une multitude de petits serpents volants, d'espces diffrentes, qui gardent ces arbres et qui ne
les quitteraient
Une
cinname
est attache
Une lgende
dit qu'il
compte
compte du cinname)
On
se trouvent
et les
mains
(le
pieds que les gens descendent vers eux et font la rcolte. Ensuite,
et l'ayant divis
ayant extrait
cinname)
en
trois parties,
ils
tirent ces
trois parties
Ils
au
au
soleil et ils
abandonnent
la partie
que
le soleil
a recevoir.
vont,
ils
voient cette partie prendre de suite feu. Mais au fond tout cela n'est qu'une lgende.
D'autres rcits,
comme
celui
la
Mer
Erythre (chap.
xii),
Sa/aXt'xr)
du
dieux.
tre
matre de
l'le
normes d'encens
et d'autres
les
liv.
cap.
ii),
considre
ador
grand serpent (Arwe-medr), que leurs anctres avaient lgende du roi-serpent peut bien avoir dj exist chez les
les
flottes
les
serpents et des dragons. Ainsi, tout fait croire qu'ils admettaient l'existence, loin au sud de
RECUEIL, XXVIII.
NOUV. SR.,
XII.
14
106
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
ayant la forme de serpents ou de dragons
le cercle
(!)
non
seulement
de ces ides,
une curieuse lgende, relate sans doute d'aprs des documents anciens (peut-tre par
mdiaire d'un Priple quelconque)
et originaire le
trs
elle
centre de l'Afrique
situ l'Ouest ,
est
nous
Libye
Sud
elle
limitrophe du pays
les
:
dans
et
)
parties
thiopiens hesprens;
et ils font la
sont nus
semblables
(Patkanoff,
l'aspect de serpents
il
ou de dragons,
comme
le
me
semble, avoir t
qui habitaient au nord-est de l'Egypte, car c'est chez ces tribus que ces lgendes pouvaient
le plus
naturellement,
mme
tant sans
M ^
1
'
'
f\/\yi
s^
'
'
^^^'
^^
^^
gyptiens
donnaient aux ngres, aux Soudanais, pour employer une expression moderne, ces tribus pouvaient avoir interprt ladite appellation leur manire, en l'expliquant grce une espce de
Volksetymologie
par
le
mot homophone
tm
qui, en
hbreu
et
en chalden, signifie
((
serpent
le vrai
me
attention, car des cas oi des lgendes entires se sont formes en ayant pour point de dpart
un
et surtout
un nom propre
venant d'une langue trangre, nous sont d'ailleurs connus en assez grand nombre.
43.
(Ll. 153-154).
Tout
aprs
aprs
le le
dpart du naufrag,
comme de mme
l'le
dans Odysse.,
la
destruction
dpart d'Ulysse
:
d'un rocher
Od.., VIII,
567-569
158
et 177)
''Ti
t^oz <>at'xcov
7T0|Jt7cr,(;
vopwv
c'jepyEa vja
tzvi-zoj
jjicpixaX'jiJ/etv.
/.
vioirav v r^epozioiX
^jjliv
opo? 'k^Azi
l'le
Dans
44.
les
deux
cas., c'est le
le
sort de
au hros du conte.
(Ll.
154-156). D'aprs
le
commencement de
7-8,
hommes
un autre endroit du
38
et
106-107),
il
raconte
lui-mme que
et qu'il
un
seul!
156)
^^ff?) v^
^^
faire
veux relever
AA/^/VA
ici
les paroles
^v^)^n
((
'""^
co
^^^^
) et
signifient
lettre:
Je
dans
le
navire
comprendre que
les
emmener
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
107
le
mmes
commencement de
le
son voyage. Toutefois embarrass par la dclaration deux fois faite dans
conte,
courant de notre
comme
quoi tous les matelots du navire avaient pri sauf le principal personnage, le
comment
(1.
et
pourquoi
le
mme
navire a pu arriver
l'le
enchante
148).
trafic
le
mme
commencement avec
du conte.
le
L'enchanement des
faits
roi
Michel
port
du
roi
Mihradj,
lorsqu'il
le dpart,
fut
qu'un poisson.
Dans
Sindbad rencontre
la plupart des
s'tait
embarqu, car ce
le
moment o
le reste
grand poisson,
flots.
hommes du
et s'en
du bon
roi, le roi
de Serendb. Ceci rappelle l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens. Notre conte
ce qui concerne l'identit
la version
gyptien, par le
naufrag,
et
le
ct,
et
entre la version
de
l'pisode d'Ulysse chez les Phaciens, de l'autre ct. Toutefois, le conte gyptien se rapproche
plutt
et
nous pouvons
mme
le
dcouvrir
comme une
rminiscence
la ligne 154
(ou peut-tre
mme
dans
les paroles
du roi-serpent,
de notre papyrus.
U Odysse
du
reste, aussi
conserv
souvenir d'une
le flottante
l'le
(L.
Boulaq
Sindbad retrouve
l'le
de Mihradj,
annoncer
et je
la nouvelle
au roi
((
Alors
:
marchands
arrivs)
me
dlivrrent les
marchandises
trouvai
et
mon nom
l'offrir
'
dessus
les
de cher, que
pour
mme
ij,^^
navire
-^^'il
\f^^=^
l^ ,_/^
i-J
(^-^ \ifjC*
.1
Jjj^y Jl^Jl
Comme
annonce au
on voit dans
roi,
les
deux contes,
le
conte gyptien
et l'arabe, l'arrive
du navire
est
mais dans
les
deux contes
les motifs
Dans
le
Dans
le
nonce de
l'arrive
du navire au roi-serpent ne
de ce dernier.
Il
ne serait peut-tre
mme
J'allai lui
communiquer
cette
108
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRLVL
dans
courant des sicles,
nouvelle (c'est--dire
t
celle
ait,
le
commente
un
surveillant
du
compte au
roi
de l'arrive et
bien, faudrait-il plutt reconnatre dans la phrase cite les seuls restes d'une partie plus dve-
rcit,
dont
le
Dans
t
tous les cas, la mention d'un port avec des vaisseaux chez
trs
admise dj
eux deux
le
conte
gyptien
l'pisode
la
fin
le
du premier
Marin, de
(et,
comme
variante d'aprs
l'autre.
(L. 158).
Des
souliaits de
Od.^
VIII,
408
Xaps Txep
co
^etvs
410
Sol os so otXoy^v
t' ISistv
47.
(L.163).
ira
aurait d, N, qui ^
I
au '^
III
o
soit
"^
(cf.
III
est trac
o \
(
^^ ^^
dans
C^
l'original, c'est--
dire presque de la
/VVV^Vv
mme
faon que
dans 7^ \\
^y^),
v\
(Ju^
y^ (^?^
et
1
III
'O^'
Le dterminatif
pas
^-i--^,
^^ du mot
fait clair.
Il
n'est
comme
forme
je l'avais
:
tort
pa^r
papyrus
la
y^^^~^
exemple
1.
34;
il
n'est pas
non plus
le
,
groupe
dont
je
^^
qui,
la ligne 108,
d'admettre
trois
,
le
qu'il
ressemble
le plus.
Il
dterminatif
Aussi
je
malgr
la
ressemblance dans
le
contour avec
),
prsenterait en hiratique, et
les
non sans
dans
119
raison,
formes
1.
71
(=
1.
11.
^2f
mot
1-
^4
_^^g
1.
125
.^^9,
il
1.
154
^gy,
171
j^^,
1.
175
T^T^T
le vrai
sens du
^^^
signifier le
m'chappe
compltement
quantit
,
comme
mot
une
une masse
J'prouve les
mmes
difficults
pour
le
dterminatif
\\
du mot
<='(J[j'^
1. Chez hophraste [Hlst. plant., LX, 8), nous trouvons une curieuse liste de vingt noms de plantes ou de parties de plantes, employes pour la confection d'armes, mais il n'est presque pas possible d'identifier un seul nom (sauf peut-tre xaTt'a) avec ceux qui se trouvent mentionns dans notre papyrus.
2.
Peut-tre TTT
^<^
"^
1226)
??
LK PAPYRUS N"
1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
commun
avec
109
Ce mot, qui
("^'^i"^
le
nom
le
de
^^0'
,
^^^
masse
p. 32), peut,
comme
mot
comme
18.
((
quantit
(Ll. 163-164).
L'expression
Ic^
v\
\
et
((
La
seule
explication, qui
me
haute antiquit
comme
costume du pharaon
(et
nombreux
queues du Jak,
et la
traduction
anglaise par H.
Yale
des Voyages de
Marco Polo,
II,
mme
dans
les contres
avoisinant la
mer
Rouge, ou
faut-il voir
p.
dans ^^^^
il
"^^ "T^
hivogl., VII,
^
1163),
faut lire ce
mot
le
''^v'^^^^
^^
Vv
'^^s.
* ^
comparer
'^^v
le
papyrus Ebers,
-
et
mot ^^^^
"^^ ^^
^\
'^^v
\^
'
n'empche ce que
cette der-
En admettant
que
j
peut-tre le
comparer au nom
^^ ^^
ai
murs du tombeau de Q V\
un
singe.
a/wwn
Chekh Abd-el-Gourna,
(La lecture
^y'M'
Mmoires de
t.
V, p. 347, est
absolument
raons
(et
La queue de
que
les
pha-
mme
les divinits
gyptiennes) portent,
les produits
comme
je l'ai dit,
49.
les
(Ll. 162-165).
Pour
reliefs
publications de
Dmichen, Mariette
et
Naville.
Dans
et le
Sindbad
et
reoit des
ses
voyages
le
premier
partie,
comme
aux lignes 38
le roi
et 139-140),
ne
Dans
le
premier voyage,
Mihradj donne
a/'.,
Sindbad ((beaucoup
:>%
f-^l^
jj-
d'objets
.i'.
p.
478
jC^
'
f*^'j)
"
6t
il
me
:
donna, au
moment de mon
^^
dpart, beaucoup
(j,lLclj)
(d.
de Boulaq,
p.
jII diLT
pli*
Sy^
-^-^
Lnlf^Ll
Dans
le
arabe, p. 511) toute une srie d'objets que le roi de Serendb envoie par son intermdiaire
Haroun ar-Rachd
que
et,
s'il
comme
celles
est
charg par
le roi
1.
Le signe que
je transcris
par
etc.,
^^
I,
est trac
dans
l'original
de
la
manire suivante
^ff
2. .Selon
Erman, ^Egypten,
p. 94, cet
lion.
110
I.K
PAPYRUS
N" 1115
DK L'ERMITAGE IMPRIAL
parfumes, ou plutt
le
Livre
._j1^3
Dans VOdijsse,
il
est
aussi
souvent
fait
les
10-15; 122
135-136).
:
Comme
est
roi
de raison, la
liste
leur
choix dpend tout autant du got du conteur que des notions qu'il a des contres d'o son hros cens revenir. Cependant
il
est
de Serendb,
il
s'est gliss
il
d
il
figurer dj dans
une
trs
ancienne
cadeau,
se trouve
dans VOdj/sse, o
est
mentionn aussi
Il
comme
s'agit
qu'emporte Ulysse.
d'un bocal
:
ou d'une coupe. Dans Y Odysse, Alcinos donne en souvenir Ulysse un beau bocal en or
Od.,
VIII,
430
|j.v
ireptxaXXl oTiaajw
Trvxa
Sindbad, en numrant
boire ^U-
les
cadeaux du
roi
de Serendib,
ar., p. 511]
:
nomme
((
Gramm.
et
empan
rempli
etc.
(traduction Langls)
iJ^Al C-'ilS^
vol.
III, p. 68),
devant
le
mot J^yl
moi
et,
And
the prsent
was a cup
(selon
remplie de perles
Le
texte
ma
possession) offre
le texte le
plus correct
Et
les
dons consistaient d'une coupe remplie de rubis rouges dont chacun avait une longueur
et l'paisseur
d'un
empan
le
poids d'un
Jl-)lSj
methcl
^j
.-^l
Jli^j juL
U^L
l^_v>-lj
^Jl *
.s^^l
Oy^JI
/j'
^^
\'*\>-
4-jJ.AI
comme
la
mention d'un
tre
comme un
lien
de parent qui relie entre eux ces deux classes de contes sans l'inter-
(Ll.
nom
167-168). Si le conte nous apprend que deux mois sont ncessaires l'gyptien
l'le
pour rentrer de
patrie,
le
Hrodote nous
y a deux
anciens gyptiens
(liv. II,
de Poun-t,
et
le
ch.
viii)
lui, s'loigne
et se dirige
j'ai
De
Chane arabique)
a,
ce que
1.
le
Marin,
nomme
ce livre j^JiJl
SJ-s wjtj
Livre de
des curs
LE PAPYRUS
N" 1115
DE L'ERMITAGE IMPRIAL
Mihradj
111
51.
le roi
et l'avoir r^emerci
de
son hospitalit, Sindbad vend une partie des marchandises retrouves dans
avait
le
navire, qu'il
de Mihradj,
navire
et,
et s'achte
un nombre considrable de
il
produits du pays.
charge
le tout
dans
avant de s'embarquer,
rerient
vol.
exprimer
p.
ses
III,
A)
Lorsque
les
dans
le
remerciai de sa faveur
de sa bienfaisance
j\^
ilj^
Uj
rej^riscs,
comme
dans
le
le
il
167
et
1.
171)
la
premire fois
naufrag remercie
le roi-
au
roi et
aux habitants de
oi il
l'le,
tout juste,
comme dans
le
au
moment
la
par
du hros du conte
d'Alcinoiis [Od.,
une fois
viii,
les
exprime au
roi
38-46
et 59-62).
(L. 172).
Concernant
le '^Zl^
3\ /ws^
'l\
[1
\^^^
la
remarque 33
53.
la ligne 129.
(L. 174).
chez
le
Dans
les
mots
ijJ.i
diU
ull
C-^aj
a,.':JI
0^/
<i-l^'
(fin
^^
j:,Li-Jk>
Alors
j'entrai
khalife
Haroun ar-Rachd
p.
et lui
,
du sixime voyage
),
rc
et d.
p.
rM
on croirait
lire
une traduction
~rsr J\ v^
54.
/WV'AA AAAAAA
non A
I
(1.
174)
le
^ ^
AAAAAA
""
((
pharaon
et
ef lui
ij
!
(L. 176).
^ ^^
,
((
signifie
prier Dieu
.
^ *^^ 11 +
'"'^^^
" prier
Dieu pour
remercier quelqu'un
le son)
pour
le
sens
(et
en partie pour
de l'arabe
Iti. Toutefois,
dans
la description de
l'entrevue de
comme
il
quivalent de l'gyptien
1^/1
>
nous lisons
les
:
mots
((
J,U*
lill
jClj
et
Gramm.
arabe, p. 518
J'allai trouver le
khalyfe
main
je lui
fit
arriv. Il se rjouit de
ma
mon
histoire avec de
iLll-l
^\,\
l'eau d'or
J^Ijo
<l!l
^-^
^ ^
ojj-lj oJj
^lij
C-U-^j
55.
(Ll. 179-182).
ici
son suprieur au
ici il
commencement du
12-17).
il
beaucoup voyag,
a beaucoup vu
et
cette plainte.
En
rponse
la
s'tait
Od.,
VIII,
182-183
Nv
S' '/^oiioa
l'xXriv,
112
A PROPOS DK 1,'OSTUACOX
25074
DU MUSE DU CAIRE
56.
(L.
18-2).
Les mots
^ |\
p.
h^ 1^
44).
Ils
''^^
I
^ |\
^'^ws.
^^
et
:
1<]rman,
premirement, selon
((
mot
^^.
le
couter
dans
le
sens
entendre
iju'
((
couter dans
^
sens d'
obir
et,
deuxime-
le datif
^^'^'^
^l
ou
^^.
traductions, dont l'une et l'autre peut tre dfendue au point de vue grammatical
coute-moi.
il
car
il
est
bon d'couter
le
gens
et
coute-moi, car
d'
est
bon (dans
sens
((
il
avantageux
pour
les
obir
).
Comme
c'est
un
tre question
La seconde
est plutt
ressemblante la ntre, que nous lisons la page 16, 1.3, du Papj/rus Finisse
'^''"^'^
'^^^ "
,
^^
^*
avantageux pour un
fils
d'obir , car
1
loin, le sens
du verbe
^^.
tre
employ
ici, est
^ ^v''^^""^
ainsi dire,
**
l'obissance est
mieux que
57.
:
tout (voir
Erman,
/.).
(Ll. 185-186).
Pharaon ne
Le sens du
me
il
parat
immole
celui qui
avait
dj
attention en le prenant au
nombre de
ses
serviteurs ?
Non
certes,
encore
mme
Fr.
W.
von Bissing
Ostraca du Caire,
M. Spiegelberg', dans
l'ostracon
bonne explication de
la
curieuse reprsentation de
le
du Caire 25074
jeune
soleil.
Mais
il
du
ostracon
22 (19 du tombeau
n'y a pas de trace de
de Ramss IX).
la figure
si
dans l'original
du jeune R.
mme
temps une
1.
Je ne veux pas dire par l que l'ostracon 25074 ne put avoir servi que pour le tombeau de Ramss IX; la reprsentation ne devait pas tre unique, et c'est peut-tre pour tel autre tombeau aujourd'hui dtruit que
2.
LES
113
Jules Baillkt
I I I
Dans
les
On
voit les
>i\>iH\
'^
^H
piocher avec
le
hoyau, ou faonnant
qqt
la
terre
en
la faisant pitiner
les qqq
n^l
moissonnent'; ailleurs
saisissent
ei
un taureau pour
les
le sacrifice^;
convoyent en barque
les
apportent au matre
grains en jarres,
pour
teurs
les serrer
dans
^^
m,
r\
direc-
^|l||.
primats
|||2|
ou
surveillants
[]
lY j,
du
roi,
"^
n
I
n
H
\;
7 A/W\AA
(z::^
la
date des
...
monuments; sous
i\
le
Nouvel Empire, on en
comme
la
cultivateurs; un
^J]
M
I I
A/VW\A
une inspection de
d'assi-
M*
dont
le
hirarchie adminis-
Au tombeau
de Rchopss, douze
direction d'un insi
hommes
pecteur
Zl
11
li
ou
[^q
^^
primat
tranent
la
statue
du dfunt sous
la
y\m
et d'un
yI"*-
Au tombeau de Thothotpou,
c'est le Hiii
\
A/^V^V\
Outre
lieu
les
variations d formes
du syllabique
>'
Q,
m,
i\.
,
[f,
\,
et
M (s'il
n
n'y a pas
^-^
I,
l'^.l,'
I
I
U >^at; 1 U ,M^ <o kcdt (Dict., SuppL, p. 21^ et 1218; ^. astiou (Enqute judic, Mm. Acad. Insrr., 1874, 1"
I
,,
^.
r.,,
I
,x<s.N
M
II
* il
I
Li
^
I I I
;
u M
1
LJ^3
fpj-
Brugsch
lit
unifor-
mmeut
/.et
VIll, p.
2.
"^^^y^
II,
i'
U -^ ^.
X
p. 40;
Tombeau
Denkm.,
II, p.
3.
Roseluni, Mon.
cia., I, p.
294-295;
71-72).
Tombeau de Kounas
Denkm.,
Il,
107;
Maspero, tudes
gyptienne-^,
II, p. 86).
4.
5. 6.
7.
Denkm., Denkm.,
11,-14 b).
II,
Saqqarah (Lepsius,
62 et 63)
on corrige en
i|
ordres
8.
I,
Ostraca de Florence, sans numro, et n" 2625 {^. Z., 1880, p. 97-98). Papyrus Hood, 1. 19-20 (Maspero, tudes gyptiennes, II, p. 8 et 45). Tombeau de Rchopss (Lepsius, Denkm., II, 64 bis; Maspero, Tr. S. B. A., 1878, VII
= Bibl.
15
gypt.,
p. 55).
recueil, XXVIII.
NOUV. SR.,
XII.
114
tombeau thbain,
les victimes, et
il
c'est le
grand manuvre
^^
buf en
la
premire
homme accoutum
et
inanier la terre, la
deuxime
au btail.
Mais
voici le
nom
une barque
1^
le
l-^
p^^^'.
En
effet,
^\
II
certains, sur
M
barques de transport
qu'ils
chargent de laines,
comme Ani
aa^^^,
le
de
la
service
comme
J
I 1
a donns
^^^ _M^ W
AAAAAA
ou d'Amon sur
",
^y^
.55\
'TL
K^
AH
.-"-c^^.
UlJ<=>
le
X ^ ^
l
fl^
\
^ 1110(3111'
la ncropole
ils
";
d'autres
<^
o"
o
ministre
Amnths
^^
comme
prennent parfois
[1(1
,
nom"; Ramss
v^
AAAAAA
marqus au
emploie sous
la
a l'expdition
Nitocris, constructeurs et matelots, sapeurs, "^ 'fl ^ V5f^'"; ^^ princesse ^ U ^c^^ L_r j i fille de Psamtik P"^ et future pouse d'Amon. se rend Thbes avec une flotte nombreuse
I
f^ir^ ^
t\
^
I
i
et des
rameurs
forts
de bras
ft,
-^-^"^
1.
2.
Tombeau de Thothotpou Bercheb (Lepsius, Denhin., II, 1:^4; Maspero, lor. Tombeau de Mouloubikopcbouf Thbes (Maspero, M. M. C, V, p. 450, tabl.
10).
'-it.,
p. 61).
tabl.
3.
Tombeau de Rsokhimka
Papyrus de Leyde
.-fi
Gizb (Lkpsius,
3,
1.
Denkm.,
II,
42
h)
sur le
(2
I
monument,
p.
le
rameur
est assis.
3,
1.
4. ^A^
I,
350, col.
1.
27
^--,
c>
avwv\
o
I
148).
Cf. col.
33
"9
/^
p.
"fl
_.
et col. 5,
13
^
5.
Cli
-JTXi- U
Il
I
1
,,.,
s-
<^
rv\ u Jf^U
^
f
^,,
1
i^ ! t t /wvws l/jr\
,^^v
v ^^w
iv^n
i
v\s
n(2
Cf.
pi.
]\\
i""*^ [=s=i
\
Lettre de Rainessou
1,
1.
6.
^O
1
1
^r
d C-L A^AAAA
H-
^^
et
16- p. 2,
10-11 et 15; p.
3,
1.
2;
p. 4,
1.
4 (Select
Papy ri,
150-152;
Chabas, Mlanges,
IV,
p. 69-73).
G.
7. 8. 9.
1.
Papyrus Harris I, p. 48. 1. 6. Papyrus Harris 1, p. 77, 1. 8; cf. iujira, Rec. de Trac, XXVII, p. Statue d'Amnths-Houi au Caire, 1. 52 (Mariette, Karnak,
]
p. 37;
Brugsch, yE.
Z., 1876,
p.
97;
"
M T
AAAAAA
pi.
4^
v'iA, lin.
I
V\
^'Ur^^,
enfin
f=^
1^1
I
,0
^^=:t
)^
nj >c^ 1M
dicer.", II, pi.
34
c, p. 10).
10. Stle
19^
('?),
apud Brugsch,
Dict.,
Suppl., p. 212).
11. Cf.
12.
Brugsch, Dict., Suppl., p. 212 et 126S; et les dissertations sur Papyrus Harris, p. 77, 1. 5-6 et 8-11 (Chabas, XIX' Dyn., p. 52-56
s.
(?.,
les
et 59-61;
p. 252,
et
Dict,
4J
11)p. 46).
17).
de Pinkhi, 1. 86 (de Roug, CUre^^t., IV, Stle de Karnak, 1. 8 (Legrain, yE. Z., 1897, p.
115
commande
,,
mariniers
les
Les dieux
la
le
gouvernail
dans
barque
Akhimou-Sekhou. mnent la barque du soleiP; ces d'Amon"; ceux-ia, comme rameurs sont des dieux eux-mmes ^"^"^ T|lc| J] ^fl!)^^^^''; les dvots
^
demandent l'admission en
leur compagnie'.
Un
inspecte l'quipe
rr= ^
-,
^
/,
habitent
uti
quartier
commun
avec
les peintres, et
des sculpteurs'.
Au
Im^
g
,
de
la
"^
^^ ^
\\
tantt
maons
Vi
'
E
P^i'^iii les
cynocphales
t^j
'
'"
du Kher
se rattachent la
grande cor-
poration des fonctionnaires chargs des travaux de construction et d'entretien, de l'administration et du culte dans les ncropoles. Des prtres des rois dfunts /
1
"^^3:^
ou des desservants de
ft
<=>
ft
I
f^^^
AAA^AA
^ f A
la
-,
H
JJ
n o
^S^^
I
la tte
:
de ces ouvriers
tel
,
indiquent ^
(2 AAA/W\
^=^^\il. _M^l
23; cf. p. 2,
i\
F=qJ
ij
AAAA/V^U
il
Mil Ul
1.
Papyrus
:
GolnischefiE, p. 1,
(IM
1.
+ 20, 82,
'm.
1.
de Trac, XXI,
p. 83-100).
Variantes
{\
et,
^'
s
c,
yf
4;
chap.
4.
Papyrus magique Harris, II, 1. Tdiubeau 15 Gournah (Leps., Denkm., III, 78 a; Piehl, fnscr.
1.
V H ^^'
;
Deudrah (RRUciScn,
Uict.,
SuppL.
p. 1268).
Cf.
mme
:
hier., p. 84).
Le
1.
monumenis
Nf
-J|
rJ
15
Piehi.,
FL, pi.
lO'.';
ViREY, M.M.C., V,
p. .300)
et
(1
J|
et
je lirais plutt
p. 312-.320).
(1
||
(Stle de
Nakhtmn
5.
Berlin': Lepsius,
Denkm.,
114
i;
>^^^ tk
6.
7.
v\M
tk
^^v
^n^,
<
les
chenisou
^^ 1\
^^
^
|
'
\1
'
^
'WVAAA
'
'
77, 8.
Tombeau de Ramenkhopirsonbi
(Virev, M. M.
C,
V, p. 208).
^wwn
n^\
(Mahiette,
Abydos,
gyptoL,
8.
9.
366;
cf.
de Aoufnarson
A. Baillet,
Rec
de Trao., XI,
p. 34
Bibl.
XV,
p. 139-140).
II, p. v, 1. 7, et vi, 1 (Maspero, Genre pistolaire, p. 52-53). DMiCHEN, Bauurkunde, yE. Z., 1870, p. 3, pi. I, 1. 20. 10. Stle du Louvre, salle hist., P. 338; Stles Belmore (Birch, Coll. B.. pi. X, 1, et XIII); Tombeau Dr-el-Medinh (Lkpsius, Denkm., III, 2d; Maspero, Rec. de Trao., II, p. 169-170); Ostraca de Florence, n" 2625 et sans numro (^.Z 1880, p. 97-98).
116
^^ru C^
/WVVA^
W'0o A AQ
les
<"' Vff*'
^^
r-,tJ
'
\\ Ci
analogues servaient
parmi
\\
ouvriers des
ces ouvriers
eux-mmes
Om
le
Vif"'
leurs chefs
Kher
avec
royal,
sans doute aussi ceux qui, dans le procs de pillage des tombes royales, sont fouills',
envoys
la ville
le
la police
comme
d\\
Il
I
I
gnage par
T
.
prfet urbain'.
'",
I
chmage des
^m\\
> I
^
I
par prises ^ ^
^
I
I
femmes
le
'^'^^
Jj
et d'artisans
III,
yr
." Parmi
figurent des
femmes astiou
si]
ij
1.
Cf.
Baki
Pineb
Jj
Lieblein,
Noms,
n* 796;
II,
AA/V\A^ U
p.
173);
F=^2
II, p.
174);
Nibnofir hir et
(Stle
Copeuhague,
4;
son frre Nakhtemmaut hir (Stle Turin n" 320 684, 929); Rec. de Trac, II, p. 180-182); son fils Nofirhotep hir (Stle Belmore et Stles Turin ii"* 129 et 36 Rec. de Trac, II, p. 183; Lieblein, Noms, n 929) Hat hir (Stle Br. Mus. n 317 Rec. de Trac, II, p. 186); Kaha hir (Statue Turin Rec. de Trac, II, Ariaraent, etc. (Ostr. Br. Mus. Inscr. hier., pi. XII); Amenkbaou, atennou (Ostr. Florence sans p. 192);
n"
XVIII
:
Rec. de Trao.,
:
II, p.
180-181; Lieblein,
Noms,
;
numro
Turin,
2.
^.
Khonsou a
(Stle
(Ostr.
^.
Zetsou (Pap. do
pi. 47).
Maanakhif
fip]
\^
H
:
"^
Belmore,
pi.
Rec. de Trao.,
II, p.
179-180;
Houi (Turin n 80
Pai
AAAAAA
Orcurti,
pi.
p.
son
fils
Nibr
nc^
r|
(Stle
Belmore,
IX, 2
A
Rec. de Trao.,
Il, p. 191),
e^^
>J
l]
__
Houi
(Disque de Boulaq
J
:
Rec. de Tr.,
p. 182);
m,
p. 103),
et ses petits-fils
Pa
et
:
Nakhtamon
(Stles
Turin
n'
307 et 123
Rec. de
AAAAAA
il
Trac,
Meriou
b].
II,
I
I
Phrhotpou
dans
U|i]
(Br.
Mus.
Rec. de Trac,
II, p. 174).
Cf.
:
tp] jWl
et
|(1
M
I
rn
n.
xOx
Lepsius, Denkm.,
III,
142
Parfois, mais
pas toujours, ce
3.
mot
1
Ramos
Cf.
W'
\w,
ri
<
:
(Stle
les
Turin n 300
ou
1
Rec. de Trac,
II, p. 185).
4.
supra,
p. 113, n. 2, 5, 8.
Adde
J^
^T | ^
Khkaou
et
6.
Noms, n" 496). Cf. Brugsch, JSgyptologie, p. 297. Papyrus Abbott, pi. VI, 1. 21 (Chabas, Mlanges, III, p. 127). Papyrus de Turin (Pleyte-Rossi, pi. 47-48; Lieblein-Chabas, Deux Papyrus de Turin,
Papyrus Abbott,
V,
1. 1.
pi.
IV,
1.
21
et p. 12).
7.
pi.
V,
4 (Chabas,
Mlanges,
1.
III, p.
79 et 89;
p. 244).
Maspero, Enqute,
p.
240 et 276).
245, 252-
8. Ibid.,
9.
10 {op.
cit.,
l.
Chabas,
p. 81 et 93;
Maspero,
cit.,
Ibid., V,
13-14; VI,
5 et 21; VII,
9 (op.
Chabas,
Maspero,
p.
253, 264).
10.
11. 12.
13.
Ostracon du Louvre, 1. 5 (Devria, Bibl. gyptol., V, p. 262). Ostracon Caillaud (Chabas, yE. Z., 1867, p. 38; Devria, Bibl. gyptol., V, p. 258). Papyrus Lee a I, I. 5 (Devria, Pap. judic, p. 126 et 156 Bibl. gyptol., V, p. 197 Maspero, Pr. S. B. A., 1890, p. 250.
et 221).
117
le
troupes
l le
nom
hommes ou femmes,
la
uns dans
les
champs de
particuliers, d'autres
parmi
la ncropole,
donne
au temple d'Abydos et
Ramss
autres
III
embarque sur
sa tlotte
comme
,
esclaves.
Leur nom
ris
vient-il
de
(]
l'^^S.,
(1
'
^^^
vg^
rcompense
et signifierait-il sala-
^^^
^'''
de
^^^
merces.
,
On
le
rapprocherait
plutt de
P^fc^- flUP^fl^^^
^'^
"
lsprisable,
coupable'
d'o ftO \^
^
b3^''
[1 ^J
^ny^^^
le
mal
ou
comme
On
le
racme, au verbe
x
[1'^
\:^
/]
qurir '
In
ou
(jft
||
tombe
car on
,
demeure
nom
avec
les fonctions de
domestiques
l'on
ou celui d'employs
la
adoptait
lecture kot, on
kcot,
travaux
surtout de btisse,
,
\
M
f^
K*.To,
KcoTe,
marcher en
cercle, faonner
soit i
au tour
t
,
d'o aussi
m
\^
Un^
11
il
naviguer, barque,
.
\t
li
la
les
smatou
{sic)
Rien n'indique
s'ils
III
a pourvu tous
dieux
de samdotou, dont
il
nombreux individus
1.
2.
3.
4. 5.
Papyrus Harris l, p. 75, 1. 75, 1. 1. 7. Cf. Heath, The Eodus papyri; Ch. Lenormant, Les Livres chez les gyptiens {Corrcsp., VIII, fvrier 1858); Goodwin, Cambridge Essays, 1858, p. 256-257; Chabas, Mlanges, 1, p. 28 et 45, et III, p. 85; Deux Papyrus do Turin; Devria, Mon. de Bakenkhonsou, n. 44 (Bibl. gyptoL, IV, p. 315-316); Maspero,
6.
2.
Il
n'y a
mme
|,
comme
pour
les
perou.
118
celle
ils
n-^-^ Vf t^Ci lll_!S^^=3 ^ III et des bestiaux\ Mais taient-ce des captifs
I I I I 1 I I 1
Il
fait
comme
prcise
les
honou dont
ils
ne sont,
comme
j]
^^
^
si,
s'il
Im
ne
roi
les a
pargns sur
champ de
bataille,
ou
natifs d'Egypte,
il
vern,
les
Un
autre passage% o
est question de
significatif,
ne prtait
discussion, mais prouve en tous cas qu'ils taient rpartis dans des emplois divers et
vous l'obissance.
Tout, en effet, les montre comme de trs petites gens. Le scribe Amonemant les nomme comme des individus destins tre recenss et toujours prims'. Un autre estime
et
ne
soit pas
un grand'.
Ramss
III
nomme
d'Hor Khent-Khrati
Pnpyrus Harris
commander chez
lui
<=:>
^^
"B
'^
Mil
1.
I,
pi. 57,
1.
^=^
ibicL, pi. 59,
1.
ra
1
fttP
I
w
h
.=J
/J^AA/V^
I I
a,
1.
III
51
^ Papvrus #111
w
Harris
I,
pi. 45,
8 (dons Ptah
ra
w
x^'
^
Ji^ s=>
I,
<rr> t^l^Tl'-.tUlf^ZJ
I
I
I
il
/n Papyrus Harris
pi. 60,
1.
3-4 (dons
Soutekh de Ramss).
4. 5.
Cf.
supra, supra,
:
:^,
XXVH,
p. 196, n. 10.
Cf.
3, p. 195, n. 8. Il s'agit
:
l'pithte
n
I
SE
^^r^ de
cer-
quand Ramss
.,
mais, non moins srement, le terme s'applique des vaincus III dit des peuples trangers, Ngres et Syriens J'en ai fait par mon alaive des gracis de
Rec. de Trai\,
p. 123);
XVI,
moa
ob,e
et
mes
capffls
1.
.
:
(Mdinet-Abon,
R
"^Tt
mur
M,
^y
Rer. de
Q
sud,
19
^ 'X^
'Sn
^ \i
rs/SAyVA "^"""^
<!. m V "^
^ f U^
il
I
^
1?
AAAAAA
(3
I
I I
a/vvnaa
I
(3.
I I I
I I I
1
O8
^-^
(S
Papyrus Harris,
pi. 47,
1.
9.
Birch
traduit
II l_^ ( hve filied thy pure harem with women. 1 brought the children as spoil. They were men, servants, hands and others. I gave them to thee for offlcers in the house of Ptah. The.y were doing wbat was
I
:
_M^c,
=]r-Q-,
Je prfrerais
J'ai
Ci
de femmes, dont
et de excuteront les
j'ai
ramen
manoeuvres d'autre
ordres jamais.
sorte, je t'en ai
donn pour
de
I
les
temple de Ptah, o
ils
Ce
W
a^aa/v\
I
/\
Sallier
1, p.
o,
1.
7-9;
*
Papyrus Anastasi V,
p.
x,
1.
r Maspero, Genre
_M.
I
Papyrus
pistolairc, p. 74;
Erman, JSgypten,
'^
8.
(^
r
<:
3
I
^^^
Ci
_Hi^
'^^i^;^
Il
n^^
I
-ii>^
^^'
I i
1 il
Papyrus Anastasi V,
p. 26,
1.
5-6 [Sel.
Pap.,
pi. 120;
p. 156).
LES
119
<=> 'y'
il
'^
n^
la
'
Ramss dans
naaison
d'Amon
^\
^
Comme
le
variante des formules o le dfunt vante sa bont pour les petits et misreux,
(j^
M
f\
nomment
etc.,
^.^
^^^^'^S'in
parmi
les serviteurs,
du Rala
messum
';
et,
de
travailleurs de
envoys
^
messagers".
faisaient-ils
cfuXaxtxai.
/^
^
On
n, parmi
a renonc
que
au juste?
les
Sont-ce des
l^s
.^g^
domestiques
ruraux' ?
lesquels
Abydos,
ils
domaine du dieu
et
en livrent
-^
\>
chacun
/w^v^^
est tax,
1^
X^
^slj
/w^AA^
OUu
^^37
\_j\
(<^
sacrilge,
appartenait
de gens
_
Mv
^^^
temple de
Ramss IIP.
qu'il passe
les
samdotou
les voit
et
les
demeures des
officiers
de Sa Majest".
On
au
service
dit
:
particulire^ l'Hathor
1
ou dfunte
Isitoirit,
qui Anubis
Ta maison,
sa domesticit
v\
Mi
Un
v\
i Ij'^
Leur emploi
tait sans
fix
que
ou des miratiou.
diversit
Le
pouill des
:
Ramss
III,
confirme "l'hypothse de
d'emplois
il
du
roi
_M^
1 1
'^z^
1.
I, pi.
59,
1.
11.
9.
1.
2.
3.
1; cf. pi. 32 a,
1.
Bibl. gyptol,,
IV,
An
52 de
Ramss
147-151).
et
11,
Papyrus de Leyde
pi.
Monuments
5. 6.
I, 350, v, p. 3, 1. 18; p. 4, ]. 14, 30; p. 5, 1. 5, 16 (Leemans, 144-146; Chabas, Mlanges, 1, p. 26-28; Spiegrlberg, Rec. de
Trao., XVll,
LiEBLEiN
p.
Chabas, Deux Papyrus hiratiques de Turin, p. 13-15. Papyrus Abbott, pi. V, 1. 11 (Birch, Papyrus Abbott, p. 5; Ch\b.\s, Mlanges,
244 et 277).
p. 131, n. 2.
III, p.
79 et 93;
Maspero,
Enqute,
7. 8.
1. 88 (Maspero, p. 57). Papyrus Abbott, p. 4, 1. 13 (Chabas, Mlanges, III, p. 84). 10. Papyrus Anastasi III, p. 6, 1. 12 [Sel. Pap., pi. 79; Birch-Chabas, Bibl. gypt., IX. p. 300; Maspero, Genre pistolaire, p. 77). On peut se demander s'il s'agit de matire premire transformer, ou, comme veut M. Revillout, d'une valeur monnaye. 11. Papyrus Anastasi IV, p. 4, 1. 8-10 (Maspero, Genre pistolaire, p. 20). 12. Papyrus du Louvre 3283, p. 4, 1. 4 (Devrta, Cat., p. 145; Pierret, Voca6., p. 498). 13. Tombeau de Senemaah, Thbes, 1. 23 (Bouriant, Rec. de Trao., XIII, p. 177).
9.
20
(]| r-^-^
:
'.
))
sont fort
varis
or,
fromages
et lin,
oiseaux
Il
dronniers, des jardiniers, des cultivateurs, des chasseurs, des bergers, des charpentiers;
les
cultivateurs
^^\\^^4^^
artisans parmi
le
oiseleurs
'^S
:
^^
ou
<^
^ ,f ^^-^^
,
,^/. On
retrouve' ces
Ramss
II
au temple d'Abydos
en dehors des
nommer
1
les
^Tr^^
vg^
^^ ^T ^
f^^^""
I'
P^'s des
>>
y^'
tte,
po^r manuvrer
bateaux, et
^^^
P
VV^'
\^
'
'^^
construire,
en
comme
VH4
^^'^^ leurs
^^^
faits d'or,
comment
les objets
produits du commerce,
autres fabriqus.
mentionns
ensuite part, avec les ounnoutiou et les miratiou; mais ce peut tre titre de rsum
du chapitre, comme
la
mention
initiale
Une
liste
commande
trs pr-
^l'^^/^^'^f'
I I
'
'
'
l'^v'^^^^^
_M^ ^^Z^ <=> ^ m c:^^Wlt <=> /vwwv 2i' X ^ (2 M' S==i III \j\ "^ et la liste de plus .^ Outre que, entre le prambule ^^ _ Y 1=/] ^ ^ <=> (S A AAAAA^ (^ OO r de trente emplois qui suit, la division manque de nettet', on peut se demander si le projet comprend diverses sortes de samdotou, ou bien les samdotou et de plus les gens
I I I
^^:^
^
I
1 V^
^1
111^
la
premire interprtation,
:
laboureurs, bou-
langers, tailleurs de pierre, aussi bien que chefs de culture ou d'atelier, porte-bannires
de divers
1.
\.
tats'',
scribes, officiers
militaires,
que
4.
Le mot samdotou
dans celle
2.
I, pi. 12 a, 1. 1, et daus le tableau rcapitulatif, pi. G8 6, omis daus les listes de R, pi. 32 a, 1. 7, de Ptah, pi. 51 b, 1. 3; l'intitul entier l'est des dieux mineurs, pi. 62 a, 1. 11; mais il s'agit sans doute de la mme catgorie de gens.
^^1,1
^=5,
^H^ /^
mL
''^'
D'
'^'' '''^^'''
^
pi.
3. 4.
5.
6.
Trac, XXVII. p. 201, n. 8. pL 32 b, 10. Inscr. ddie. d'Abydos, 1. 81-89 (Maspero, p. 53-57). Ce sont sans doute des listes de ce genre que contiennent
supra,
4,
Rec. de
I,
Papyrus Harris
pi.
12 6, 6;
les tablettes
de bois stuqu de
la
XIP dy-
nastie,
7.
noms de
31
ou 27
^\
X,
p.
Papyrus de Leyde I, 348, p. ix, 1. 6, x, 8 (Leemans, Mon. gypt., pi. 149; Chabas, Mlanges, IV, 130-137 et pi. 6; Brugsch, /Eigptologie, p. 223-227). 8. Brngscb poursuit le prambule pendant deux lignes o Chabas lit les noms de 7 personnes ou groupes. 9. L'un des juges de la Haute-Cour sous Ramss III {Pap. judLc. Turin, p. ii, 1. 4; Devria, p. 83) est
I
I
I
-/l
11
Y
I
'^^''^
J&^
^\ ^^00"^^^=' '^
Ii\\\
l
I I
titre
pyrus de Leyde.
LES
121
traiter d'esclaves
la
population.
le roi
[^^^
-^s^
^ "^^k.
1
,
Q])'^^.
Le personnaf'e
le
m 101
les
choisi
parmi
^^>
les servi-
du
roi
Amonemht
le
III,
Il
,_,
"
fW)
JSina'.
1'^
V^
^'^^^
'
P"^' ^^P"
porter par
mer
tient au contraire
les
pour des
cingulum,
soit
pour
la
))
pour l'administration
ainsi
Amonemant ne
parlerait des
samdotou
Pentaour que
Pour moi,
je croirais
soit
de captifs,
soit d'gyptiens, habitant un domaine, soit divin, soit royal, soit seigneurial, et ex-
ploitant ce
domaine
ils
par
le
vassaux de
dernier rang,
telligence et l'instruction,
n'est pas
peuvent
sortir
de leur classe,
comme
c'est
qu'il entreront
dans l'ad-
ministration avec
de famille.
L'tymologie de leur
nom ne donne
Q7\,
rapprochait
le
mot de
julottc,
julo-s-ti,
clamare,
aucun texte ne
,
les
un autre dterminatif \
et
tablit
un rapport avec
pour
les
yeux
suppose que
je n'y crois
?^"-
Faut-il considrer
mot comme
la
compos
de '^^^ main,
le
traduire par
r
manouvriers
main
ou
et le
comparer
la
^
?
^,
manouvriers
/^etptiva?,
gens sous
le
main
Chabas a propos
sens de manouvriers
x^'P-
-cxvTi';
de
1.
OO \^
la
iiJfi
il
I
I
et
du
((
manieurs
'
ou
o
1
^ mais
III
il
il)
Vocab.., p. 493;
2. 3.
Prceptes d'Amonemht, 2 Papyrus Sallier II, p. 1, 1. 2 (Sel. Pap., pi. 10; de Roug, ap. Pierret, Amlineau, Rec. de Trao., X, p. 104). Grallito de Si, dit Hor-oi-ta-mehu, au Siua (Spiegelberg, Rec. de Trac, XX, p. 51).
:
4.
n. 44;
uoferhotep,
7,
Louvre
n* 3176,
cette expression
'
^>v
Il
cite
"^
S?)
"^''^
i
du Papvrus de ^^^^ S\
cvl
Feti-
celui qui
,
donne le chaut (qui chante) tous les dieux , o Brugsch que rien, pourtant, implique cette auto-oblatioa du samdot.
5.
sans
Bhligsch, Dict.,
p. 1236.
6.
7.
Ch\bas, Mlanges,
Loc.
cit.,
1.
III,
p. 85.
8.
2 et
6.
RECUEIL,
XXVm.
NOUV. SR.,
XII.
16
122
manuvres.
la
Ici,
,,
comme
main du bronze
samdotou
ainsi
Amonemouaa,
grand
de main dans
Il
la
ncropole
.
->-
V
la
',
commandait aux
.
asliou.
Le mot
rappellerait-il le sens de
in
manu et
((
l'gyptien
<=:^>
i
I
a,
pour
signifier
))',
sous
.
l'autorit
>-=-^ a
^^
I
^.
^^^^
ou
dans
la
main
synonyme de
sous
n
'^~--'
<:iz>
^^
mis en main
^^^
JS^^
'.
v<?i
A jQ.
i
I
>
A M Hi'
ij
va
2f
c,\,
L=/l
1\
Peut-tre
et <=^^
une
la racine
cr^s.
:
traverser, razzier,
semdou
que
les faits
ne confirment pas.
\
soit
laisserait
Ou bien, au contraire, le c=^>, pris pour suffixe comme comme racine soit Y^^t^ ^ diriger, analogue v
I
commander,
prtre M
'^.^
I
ou
et le
le
1\
^ ou
domestique
11
""^"-V&J
,
et-~~^^s2
^^
'^
'r^
vient de
'^
il
^,
dont
le
manuvres
ou mancipia.
1.
2. 3.
Ou
encore
:
1
"
4.
7;
Papyrus Amhurst,
4
p. o,
1.
1, 3, 4
(Chabas, Mlnii^jcs,
111, p.
132 et
pi. 7;
IV,
p.
5.
6. 7.
18,
p. l.O;
I
de Roug, Inscr.
ms.,
499)
attribuait le sens
de domare coajlt
I
_M^^
1
V\
14),
o Chabas [L'Egyptol.,
p. 207) voit
un
que dans
I
^k\
(Ramss
Ci
III, ayjurf
Buhton, Excerpta, pl. 43, 1. 23), et Amlineau un arc (Morale, p. 247). dans un texte qui oppose les pays trangers, donns par Amon Ramss 111
<::^:>
9.
_cF^
(I
cis^ii -^^^-^^
Trac, XVI,
p.
p. 55).
Le dieu
artisan
qui quilibre le
Cl
monde
1.
27 (Maspero,
24).
Briigch
et
p. 1227'.
LES
NOMS DE
L'ISCLAVK EN GYPTIEN
123
M^.
^
d'une
P^y^-
d'une part,
et
^
a
^l
d autre part.
Les dotiou
hommes de main
3-_ _
-^'-
Au tomvanner
femme en
les
train de
est dit
TToIJ
Amoni
-^^
se vantait d'avoir
mis
terres de son
il
nome
hommes pour
I
la
corve
!R-
Z ^J|^^^ v&
le
'^H k.=^
^
Une
a sembl contestable.
celle
scribe et les
133]
s=5
I I
ou
ressortit au
l ni zat, et o
X _&e^
\\
mm"" qui
/wwv^
fli
il
pour un
^ ^^
les
^^^
hommes
<^
collier et plusieurs
|
^. femmes
et enfants'.
ou
mme
il
sans le dterminatif de
,
^j],
paraissent
comme
en anglais
four hand
quatre hommes, ou
petite
main
chez
modistes parisiennes.
Cependant
spciale de gens,
[1
^^
^1^
les
^
VJ
(>
Ji
Ramss
ne distingue-t-il pas
'? Dans
of
samdotou, d'une
'
celle-ci,
"]
I
\1A
f (S
^
I
/J
^^..:=_
Ci
^
I
quelque sorte de
(^
I
manuvres
hand
et
j'ai
vu une variante de
=s:^
Ci
I
sous l'autorit
)
l'intention de
(c'est--dire
pour diriger
il
ou
la tte de
<2
leurs
manuvres
sans doute,
il
de rvoquer en doute
Tombeau de Ti
1671;
Moi,
je
pioche, je tape
[fort ,
Tombeau d Ti, n" 144 (661^., p. 1059). Tombeau d'Amoni Boi-Hassan (Lkpsius, Denkm., II, 122). Brugsch (Dict., p. 1671) traduit par laboureurs; de Roug [apud Pierrkt, Voca., p. 722) et Maspero [Rec. de Trac, I, p. 174; cf. Anderson,
Sphinx, VllI,
p.
86-87)
hommes
di.K
La leve d'un
ont vu dans la main une variante phontique de ^ et traduit par a chef de cinq homme sur cinq pour la corve serait rapprocher de la leve d'un homme sur
:
dcimation, des
et la cavalerie,,
pour l'arme, qu'atteste Ramss III comme une vieille coutume Je n'ai pas emmen les hommes, par temples de tous les dieux, selon la mthode des rois, pour les faire inscrire dans l'infanterie
^
I
'
= ^ 111 !=^
1 I
i-iii
li(E
U . ^ nAj ^ ^ iii<=^^^_%^T,
| I
<=> <::=>
le
<=> iM
3 et 4.
-^
Pap. Harris
I,
pi. 57,
1.
8-9.
Stle de Isnib,
Cf.
:
admettent ce mot o Maspero ne voit que . avec voyelles et dterminatif abusifs (Genre pistolaire, p. 72). XIIP dynastie (Mariette, Cat. d'Abydos, n" 897).
II, p. 11, 1.
Brugsch
_M^
V^n
-^^1 m
l
I
pi.
29;
^.
Z.,
XXIX,
p.
10.'^,
112),
.
il
s'agit
7.
des Ma/aiou.
Papyrus Kahun I, 2 (Griffith, pi. XIII, 1. 9-18; p. 35). La correction 'v\ s -^^ /www 1=3: devient inutile (Moret, y. Z., XXXIX, p. 36, n. 1). 8. Papyrus Harris, pi. 47, I. 9. Cf. supra, 10, samdotou, p. 118, n. 6. Cf. supra, 3, honou, Ren. de Trao., XXVII, p. 196, n. 12. 9. Papyrus Harris, pl. 59, I. 11.
' '
^"^
^^
l
I,
124
frapps vivants
et les
che-
o'
comme
les
dont
il
est ques-
tion
un peu plus
De mme dans
l'autobiographie
d'Amenemheb,
12.
^-^UJ
la
Un
des condamns de
III,
On
en
nomms
le
aprs
la
Un
le
servant
d'Osiris remplace
les services
sodem dans
de l'ouverture de
la
bouche*.
La personne ou
comme
chef,
'
prouve une quittance pour celui d'un moui" sahut du district nord du Fayoum'.
La
la
main de son
_ki^
s=3
o
il
L=fl
i=J
le
mot
est
dcompos en
ses
^ 1=3 ^^ o^ ^ W <==> r^^ ^ ^deux nature. L'emploi lments, rend bien compte de
I
/wv^
(E
sa
du
de
mme mot
'vwv^A
I
'
, ,
confirme l'interprtation
.
main
et
non
Le
<=:r>
servant
de voilure, un gabier
'Y
I
Un
ingnieur, qualifi
.
'"'
^^^ ^^^
Un
I
scribe sans courage, rebelle l'lude, doit se rendre docile, maniable, -<2>- JLjl M ^-^ Ci A vr\ n m \\ fi'\ Si l'on loue un savant esclave du seigneur d'Hermopolis au
de Karuak (Chami>ollion, Mon.,
p. 4,
1.
1.
Table
statistique
II,
pi.
156, 1;
Lepsius, Dcnkm.,
III,
32, 25;
Mas-
i:
(Devria,
p. 25 et 1S9
=
p.
2-44).
Cf. DiiVUA,
iljlr/.,
p. 18J.
1.
I,
5.
LJ!1~^^^
<:^
I I
I
^
<:
>
if
I
Si
>
6U
<Ci
I
12
(GiuKKrni,
pi.
XIII,
AAAAAA <.
p. .35).
6.
7.
Cf.
p.
III, pi.
(j,
p. 104).
8.
Malgr
de
i\
Il
'^
I
et
des mots
tels
que
<=>
28;
V^.^
<'
porte-rouleau
<rr
Brugsch.
SuppL,
/
9. Papyrus Anastasi IV, p. 2, 1. 7 (Maspeko, Genre pistolaire, p. SvppL, p. 667 et 967). 10. Grafflto de Syue (Champollion, Mon., p. 105; Brugsch, Dict.,
cf.
p. 1126, et
p. 968).
'
de choses
[^
e /
j]
Ir^
:
'
'
^
'
[]
'
manuels
onnnn
I
!.,
p. 60,
et Dict.
/i\
SuppL,
rV
p.
968
Euer Geschft
les
n''^'^^
(J
nnn
<=:>
^ d
n? sont les
(Stle
p.
1126);
ili
C3a=^^
70 jours
un
livre
le
^
I
A
I
<Z=>
12.
c.
(2
est
un
livre
faire
125
la
bibliothque
vl^
hon
et notre
mot.
<r=>
infrieurs
des
subordonns
des gens
soumis
une
du
roi
comme dan s
ce tte phrase
"
Le
soleil
cre
y>
^
il
Y>
''
soit
de princes tran-
gers,
de
irruption
.
dans un pays% et
soit
^
se
^m
qui
du
roi et des
bavons d'E^^ypte
le
le
baron de
roi
la
nome,
^
i[
^'^
q\
^''
Il
I
'
d'Hraclopolis
dclare
soumettre
Pinkhi
11 avec
I
1
les
sujets de sa ville";
ou,
^m
L'homme
cultive les
champs, cure
les
est
un
^
/I\
vR<=>
.SI
'^
'.
Une
un milicien-carrier,
Snotroui,
par l'epithte
contribuable
ou plutt
liste
soumis
Dans une
de corvables on voit un
le
^m
du
V>
^m; d'autres envoient leur matre le salut du I J^S^''^~^ personnel, des enfants et toute la maisonne". Ce peut tre l'epithte de bokou'\ C'est
son personnel' ,
le
nom
de vivres, mais
comprennent pas
p. 31;
sourds '^
Maspero, Genre
Papyrus Anastasi
I,
p. 1,
1.
{Chabxs, Voyage,
Brugsch,
pistolaire, p. 106).
2.
3.
4. 5. 6.
Stle de Fakemsi Berlin (Brugsch, Dict., p. 1121). Conte, Papyrus de Berlin I, 1. 103 (Lkpsius, Denkrn., VI, 105; Maspero, Ml. arcli., 111, Stle d'Ousiritsen 111 Semnh, 1. 14-16 (Lepsius, Denkm., II, 136 /i; Maspero, ibicL).
p. 137).
Tombe d'Amoui
Trac, XXVll,
Bni-Hassan (Lepsius,
1.
Slle de Pinkhi,
74 (Brugsch, Dict.,
p.
I.
7;
I,
p. 174).
cf.
p.
36
supra,
Rec. de
7.
p. 210, n. 2).
(cf.
I.
Maspeuo, ^.
8.
Papyrus de Kahouu,
1,
3,
1.
12, p.
VllI, p. 428).
9.
10.
v (ibid., pi.
[ibid., pi.
'
XIV,
1.
49, p. 41).
X XXVl,
-^
...
1.
34-35).
11-
TL
ou
^
/'XS.
"=^=^
)'\\^m
QJ\
^^U=_
Pap. de
Kahoun (Griffith,
XXVIII,
1.
pi.
XXIX,
1.
22-23,
p. /2),
nommment
\
10 ^'^'
^ z5R Xv c\n
1^ "^
ID Hi'
<=>
n
'
<=^^^
I I I
v;:^
UU
A A
'""^
^ *^^
1^
42 sqq., p. 71).
(leurs ordres).
(Pikrrkt, Vocafo.,
p. 441).
tasi
1,
p. 6,
1.
5;
Chabas, Vof/aflrt',
p. 38).
12G
Ce mot ne vient
affaires)),
''
ni
de
l^U]
porter, possder
(don
cf.
maison.
0=0
)),
aliments)),
j'
'
prendre, pos-
sder),
ni
de
"^^
tomber
.
crimmel
ou
\>^
-y^
ou
faire
drive d'une
mme
racine
dessous.
140
Le tombeau d'Amden,
des gens de culture.
il
fertile
Son pre
le dote,
quand
.
il
ne possdait rien,
I
bl,
orge, chose
s=3
^
r
s= Mi J| Wi son tour plus tard ^^^ leur donne douze domames avec serfs et troupeaux '^ lui-mme a obtenu du roi a 200 aroures avec beau.
.
'
coup de gens
^^^^^^^^^^'
le
On
Ne
peut noter
nom
propre de
femme
^
'
3
On
on
',
analogue "i^^
Jj'".
forme archaque de
[^ \
de J^
cB ta,
dont
le
nom
serait
une
Vl
"
'.
le
les
,
Aventures
qui
a parl ou s'est tu
les
W^
damoiseaux
les
sera
un semer parmi
setou
,
et jouira
le
parfums dont
le
et dans
H^^ ^
Conte du paysan, o
'.
tensi
lui
lui font
litigieuse'.
rattache
enfants
1.
Petti,
V^
cA=j
(Pap. Harris
(cf.
i(>i(l.,
pi. 10,
1.
1.
16)
comme
v\
*^ dans
pi. 10,
15, etc.), ce
qui donnerait
/
^wvwn
p.
,
sens
hommes
cette expression de
ci
(Cf.
synonyme de
n. 6).
et traduire
hommes devenus
M^
i
la
pro-
prit
du dieu
la
10,
aujji-a,
lld,
Ne
Thbes,
gens de
2. 3.
Ncropole
Tombeau d'Amden
Ibid. (Lepsius,
11, 5;
l.
Denkm.,
rr
17-18;
.
Maspero,
c,
p. 168, 229).
Maspero, tudes gyptiennes, II, p. 120-121). Piehl {Pr. S.B.A., 1890, p. 113)
NT
"
individus
1.
11, 3,
13, et 6,
1.
4;
Maspero,
7.
c,
p. 168,
211 et 226).
Deakm.,
II, 20.
p. 209, n. 7.
Birch assimile
Il, 11)
/^
aux
c^
/^
38).
il
s'agit
de libations (Lepsius,
henkm.,
8.
V\
/^
(Lepsius, Denkm., U,
Statue de Me'idoum (Brugsch, D/ct., Su/ijjL, p. 1164). Papyrus de Berlin n 1, 1. 184, 281 et 269; n 2, 1. 43 (Chabas, Pap. de Berlin, p. 10; Goodwin. Frazer's Magazine, 1865, p. ls5-202; Maspero, Ml. d'arch., 111, p. 156, n. 1; tudes gyptiennes, II, p. 121). 10. Brugsch, Dict., p. 1357.
9.
LES NOMS
1)K
L'ESCLAVE EN EGYHTIEN
127
Je compnrorais volontiers ce
bestiaux, H
I
nom
es te rres bl et les
^
O O O
semer
litre
^
O O O
ou
I
V\
-M.
o O
<
bl
^^
le
mot de
cette
la srie
nous tudions.
On
^;
f]
'<
renverser, conqurir
dj
compar
fil,
m V^.
^''. ou bien,
comme
pour
^ir^^o
n^>
le
un radical signifiant
tisserands ",
Ig
cienne de
(]
^fl
(comme
enfin,
la
^^m"^^^^
regarder
>
est
l<^
alors ), ce qui
gens de corde
)).
attachs
soit
mariniers
qui halent
corde
150
^V^jl
I
^1
per-
une terre,
du moins ceux-ci
de ceux-l.
Ils
^1'
homme
^*
^^^ '^^
^1'-
^'^"^
^^^
noms abrgeant
au recenseur
XIII^ dynastie % un
au rouleau du
commun
dclare
enfants, ceux-l
comme
ceux-ci in
manu
et incapables
un certain
connu du
roi
, les lui
donna,
comme
le
/io^i-A^a
^".
Dans
le
Conte du paysan,
chasseur Asari, qui lui cherche querelle, dpend du grand intendant en cette qualit.
1.
p.
288).
Cf.
cf.
M
p.
<^^^
()
la
projection des
grains sur la
(Tombeau de
I
Ti, 104
Brugsch,
Dict., p.
:
1336;
1152).
Ce
sont, d'ailleurs,
^ [jW
III
derrire le laboureur
cf.
(Lepsius, Denkm.,
III, 32,
31).
4. Cf.
5.
supra. 10,
p. 122. p. 829,
BiUGSCH, Dict.,
Cf.
I
p.
553 et 558.
II, pi.
6.
7.
du
II,
fil
(Lepsius,
cf.
Denkm.,
126;
Brugsch,
II, p.
Dict., p. 1332).
Tombeau de Kouaas
(Lepsius, Denkm.,
107);
255-256; Brugscii-
pi.
27-37, p. 67-83).
'
'\
' '
'
if-JL
ill
^^
^^-^
AAAAAA
^ ^<n
(O
A^AAAA
1^
CT^
O
pi.
_^
tk V\
(Griffith,
X,
1.
7, 8, 21,
et
XL
1.
1,
p. 26-;i7;
Maspero,
10.
Cf.
12S
ij)i
(les
^
Le
nra
(|ui
remaquor
les
fiii
il
;i
lui-mme un chemsou
M
nuciuel
il
donne
nt
ordres'.
texte
parle de
changer en matres
^
,
v\
^z::7^ [)rouve
Si l'on
((
dcompose
XI
en deux lments
les
((
et ^5=^^
terre
((
terriens
M?i J|
I
I
ou
domaniaux
Et
si
le
que seront
les
corps
sants,
tre infrieurs
A
l'homme? Pourra-t-on,
"
^\^^
impur, mchant
ou bien
^^
tendue,
?
le
Ces mots n'ont sans doute qu'une ressemblance toute fortuite avec
suivant,
dans lequel on
les
retrouverait prcds de
A^AAA^
prposition.
16
)^3}\
les
comme
souvent
d'Aouarod
les
met en
']
ses vo-
lonts d'tre
dpourvu de serviteurs
^^[S]
sont attachs
la terre et
donns avec
"^
00
cl)'-
Toute-
ainsi
ainsi
que
bokou,
les
miratiou,
les
awttou
ils
que
les
"^
les
il
raconte qu'il a
"^ A I\ "^ ^m ^ ^^ ^v
!)
! '
complt
les
)]/
iq?c>
III
confirme cette
donne quand
ramne
ses captifs
|
Amon
et ses captives
pour
^j]
1'.
Rarasos
II
mme
expression en parlant
(1(1
..-.
pin
1.
2. 3. 4.
5.
6.
Conte du paysan, Pap. Butler, 527, I. 21 (Goodwin, Ml. de Chabas, 11, p. 255). Ibidem (Goodwin, loc. cit., p. 263; Maspero, Contes, p. 41). Papyrus hiratique de Leyde I, 344, pi. 6, 1. 7 (Goodwin, loc. cit., p. 256; Brugsch, Dict., p. 1684). Stle d'Aouarod Karnak, 1. 29 (Legrain, yS. Z., 1897, p. 46). Donation de Phil (Lepsius, Denkin., IV, 27 b; Brugsch, yEyyptologie, p. 266). Ouchebti d'Auuou, au Muse d'Orlans (A. Baillet, Collection Desnoyers, p. 32 ;= Bibl. gypt., XVI,
Statue d'Amonhotpou, fils d'Hapou, Karnak (Mariette, Karnak, pi. 37, 1. 31; Brugsch, ^. yEgyptoL, p. 240). Mdinet-Abou, loc. cit., supra, Rec. de Traa., XXVII, p. 195, n. 6 (Brugsch, Dict., SuppL, p.
Z., 1876,
p. 41).
7.
p. 97;
8.
9.
718).
""
III, 194,
1.
25).
Cf.
Mdinet-Abou,
1.
37
"^
:
CT
"^
^v ^^
leurs
'"^^
Roug, Inscr.
sont
fils et
(illes
^ ^^^
0<2, 2
y
v^
j4t
m H ^
-
un peu plus
(L 39).
loin,
comme
expression parallle
leurs
LES
129
queur, et
lui
du Palais
"^
Ce mot
est
^
le
sujet
)>,
dont
le
met en
^izz:
le
"^
0(1
^^X^l=^,
:
ce que
par
uTroTacraojjivott;'-'.
On
lit
avec
mme
sens
^^
aq^ Mi
tous les
hommes
sont sujets'
)).
"^
^^
ou nV) "^^
"^ "^^^
^;
de
le
mme
couramment. Se re-
lient-ils
au radical
j
/)
avec
sens
rendre
hommage
))'',
et signifient-ils vas-
saux ? ou au
((
mme
y\:
\
de manire signifier
a
protgs
,
fI
ou bien avec
/]
sens
broyer
.
les
ennemis
)),
O O O
vaincus ?
Le verbe
itoTi
(d'o
a
poussire
et
AAAAAA
'T
1
/'
(2 O O
farine)
est-il
racine ou driv de
>|>|
nezitiou des
meuniers
ou des
tisserands
cause de
"^
'\
et
i"
v\'~n~'
le
pure fantaisie.
AAA/V^A
On
droit
'
de recourir,
telle
comme
V'
.
,
AAAAAA
attacher
lis
que
<ui se dit
der-
rire le dos'\
l_S^^ni
-M^i
1^1
lo^
les
Comme
amou
nent pas.
les
honou
et les miratiou,
avec lesquels on
trouve en relation,
les
sont des gens qui travaillent pour autrui, au besoin de force, et ne s'appartien-
la
dpendants
I
femme
les
quatre domes-
^^y^^rlj que lui a donns son frre'. Les mmes archives contiennent une quittance pour deux femmes et deux petites filles appeles de mme ]l^\ Dans
tiques
I
^.
et des
1^\ ^
J)
apporter des offrandes, paniers de provisions, fleurs, volailles'; sur l'une d'elles, une
y
se
mle
trois
^|\ '="
Dans
le
Conte de Sinouhit,
la
1.
2. 3. 4.
5. 6.
Roug, CUrc.< IV, p. 77). Roug, iiicL. n. 3; Pierret, Dcret, p. 6, et Vocab.. p. 293). Inscription d'Edfoii (Brugsch, Dlct.. p. %'^\\j. Cf. E. DE Roug, Chrcst., II, p. 8^. Sarcophage de Sti 1" (Bonomi, Sark. o/ Olmeneptah, p. 14; Brugsch, Dict., p. 826). Papyrus de Kahnn (Griffith, pi. XII, 1. 1-5, et XIII, I. 1-8, p. 31-32 et 34; Maspero, Bibl. gyptot.
Stle de Pinkhi,
].
147 (de
Dcret de Canope,
1.
7/13 (de
VIII, p. 439).
7.
Papyrus de Kaliun
I,
1.
9-18, p. 35).
III, p. 146, n. 4).'
8. 9.
XXVHI.
NOUV. SR.,
XII.
17
130
en joie tout
opprimait
le
'.
U^. A la
'
I
"
et
provoque
les
^i
qu'il
XIX<^ dynastie, on
les voit
,
listes
de corvables
pour
'^^ w^
^^
^
|
^B "^
ici
l^J)'!
l"*fK(l
iipj
1'
les
derniers mots,
Que
signifie leur
nom?
marque
l^^^jw^i''? ou bien une trace de leurs occupations gardiens des ^. "^ bestiaux, bufs'? Dsignerait-il
i
]^w y>^'
les
bouviers,
maison, de
qA manger?
Est-il
simplement form de
la
^^
avec ou
a
le
matre ou"
'
maison,
comme
le
mobilier est
serait trs
-^
(j
^
"
dans
comme
sont
-\\-
\^ ^^-^
les titres
de pro-
prit ou autres?
Ce
nom
des servi-
teurs et artisans
0-^h^.
geiis
de sa maison
que Khnoumhotpou a
Ne
[]
nom
les
funrailles?
tente et
On
aurait
^.
^ ou
^.
^.
An
par extension
les
camp
))^".
Peut-on enfin
plissant pour
le
confondre avec
les
]
accom-
comprend dans
qui pren-
avec
,
les
Hh V\ "^^
les scribes
^ ^^ "
avec
dont
1. 2. 3.
1.
141-142
8, v
Guieysse
seulement
M.
4.
populus (Brugsch,
13
^^^
^\
P.
m NT m
Q
M*
i^
'
iiiiiiin
miiiiir
Ouni
Rec,
5.
(laser.,
1.
p.
122), et les
:
q\
m
1.
<^"n'is
7;
avec
Amon
(Karnak. Annales
.-E. Z.,
Lepsius, Denkm..
III, 30,
Brugsch,
43,1.7).
Cf.
Brugsch,
Dict.,
]
p.
187;
I
SuppL,
p. 218;
s>
1867,
p. 102;
Lkpage-Renouf, .^.
Ne
V^^
ut
chvres
(Brugsch,
ibid.).
6.
compos
Dict.,
I,
(1
^.
O.
p.
(]
^^UlJ' ^^^^
M
^s.^i]
(Eman,
p. 2,
. Z.,
10
1877,
p.
34-35;
Brugsch,
SuppL,
p. 227).
65),
^^UUH
II,
tiens
(l*ap.
rot.
de Turin,
1.
Cf.
Grande
124 a,
1.
9-10;
Maspero,
p. 119-1^0).
9.
Tombeau de Ramss IV
Slle de Pinkhi,
1.
10.
31 (de
M. C. Roug,
III,
2'^
fasc,
pi.
31).
C/ire.^t.,
IV,
p. 27);
Bihl. gyptoL,
u)p(Txo7roc
12.
Papyrus de Leyde 1, 348, p. 10, 1. 3 (Chabas, Mlanges, IV, pi. 6 et p. 133, o il les distingue des Lepage-Renouf, yE. Z., 1867, p. 63; Brugsch. ^Egyptologie, p. 224). Papyi'us Hood, pi. II, 1. 28 (Maspkbo, tudes gyptienne.", Il, p. 10 et ,59; Brugsch, .Egyptologie,
;
V,
p.
318 sqq.).
JAKOH KllALL
que ce sont des
de cheiks', ou
des chefs
131
fils
eux-mmes',
JAKOB KRALL
VON
A.
WlEDEMANN
am
wo
sein Vater
Wochen nach
seiner Geburt
als
ward der
der letzt-
Vater nach Triest versetzt, hier besuchte Krall das Gymnasium und wuchs
geborene, aber einzig berlebende von drei Shnen unter sehr gliicklichen Verhltnissen heran. Als er kurz vor der Schlussprfung stand, starb
er
Wien
uberzusiedeln,
um
in der
Max
gewannen
in dieser Zeit
besondern Einfluss
Sammlung
nach Paris
whrend ihm E. von Bergmann die Benutzung der Wiener gyptologischen erleichterte. Im Jahre 1879 promovierte er und begab sich im Frihjahr 1880
um
in
den dortigen Sammlungen zu arbeiten. Er trat ward von Revillout in das Demotische einge-
Studium
fortsetzte.
Zurckgekehrt habilitierte er sich Anfang 1881 fur altre Geschichte der Orients an
der Universitt
Wien, der
er bis zu seinen
Tode angehrt
Am
er
Von
Krall
der
Lngere
Reisen gaben
Gelegenheit,
europischen
gyptologischen
Sammlungen kennen zu
und 1896. Er gelangte
lernen,
London
Augenmerk weniger
auf ein
als
auf ein
traten.
An
und
zahlreichen wissenschaftlichen
Versammlungen nahm
Das Leben
ist
Krall nicht
immer
--^^
leicht
gewesen, er hat
viel
mit widrigen
Um-
1.
Papyrus Harris
I,
pi. 8,
1.10:
|J
^^^'^
^VH^J ElYl
/?^ V\ J;
l\
^
(Maspero,
2.
1.
88
|
I
h
IIJ
^^
AA^AA^ G,
'^:z:^ r-^-'-^
(J
p. 56).
Aut\\>yW^l -B*^ Jf ^
1
I
I
132
JAKOB KRALL
stnden zu kmpfen gehabt; allmlig aber wurden seine ussern Verhltnisse und unabhngiger. Im Jahre 1900 vermhlte er, der seit dem 1893 erfolgten Tode
freier
seinei-
Mutter einsam gelebt batte, sich mit der dichterisch hocbbegabten' Tochter seines
einstigen Lehrers Biidinger. Ailes schien
ihm
jetzt eine
da
befiel ihn
Leiden verschied er
Krall war eine
am
27 April 1905.
Gelehrtennatur.
stille
Dem
abhold,
lernte
wenn er auch gern mit Gleichgesinnten man scbnell den bescheiden auftretenden,
war
Im persnlichen Umgang
docb bat er
in die
Mann
er libral gesinnt,
Parteikmpfe, die in
Wien
Sein Urtheil ber fremde Leistungen war wohl erwogen, sachlich gelegentlich scharf,
um
von Polemik
hielt er sich
dem
er in
iiahe
98
ff.)
war
verfent-
nun (1884) eine diesbezgliche Studie, auf welche Revillout in usserst heftiger und stark persnlicher Weise entgegnete {Le Pome satyrique, Paris, 1885, und Rev, gypt., III, S. 148; IV, S, 196). Krall sah sich gezwungen, eine Abwehr dieser Angrife
erscheinen zu lassen, welche fur ihn als jungen Gelehrten besonders empHndlich
XXVI,
ff.;
S. 1
l.),
auch er andere Ansichten wie Revillout vertrat, und so wandte sich nunmohr
ff.
;
VI, S. 49
u. s. f.).
ber
am Anfange
seiner Tli-
Zusammenhange damit
Herodot, Diodor und Tacitus und Untersuchungen ber die Einflusse Manetho's auf
.sptere klassische
Schtze der
Sie halte 1895 unter dem Pseudonyni E. Bgner ein Epos Knig Drosselbart <> erscheinen lassen. Krall verflentlichte eine lngere Reihe von Besprechungen in den verschiedenslen kritischen Jourualen und Fachzeitschiiften, doch beschrnkte er sich dabei meisl auf kritische Inhallsangaben. Von diesen Artikeln sind nur einige, welche ausgedehnleie Eirteruugeu einzelner in Fiage konimender Punkte ent1. 2.
aufgenommen worden.
JAKOli
KRALL
ist
133
sich
ihm
erschlossen, sein
er zu clirono-
der
Namen dauernd
wrdig
mit
diesen Studien verkniipfen. Ihnen reihen sich die Untersuchungen ber einzelne Vertrge und ber die koptischen
Papy ri mit
an. In
diesen Arbeiten Uegt das Schwergewicht auf der sorgsamen Detailarbeit. Jeden Einzel-
Fragen so eingehend,
dem Stande
es Vermuthungen aufzustellen, so lange deren geprft werden konnte. So bilden denn seine Weise Richtigkeit nicht in geniigender Arbeiten zumeistMonographien undauch seine grsseren Textpublikationen setzen sich
aus solchen Einzelstudien zusammen, aber gerade in dieser Beschrnkung der Auf-
als
er sich
gelangt
Aber hier handelte es sich fur ihn wesentlich darum, einen knappen, bersichtLcken. Das Buch war
als Geschichtstabelle
lichen Leitfaden durch das bekannte Thatsachenmaterial zu geben, nicht uni hypothetische Ausfllung etwaiger
gedacht, als
Dieselbe
Richtung
der
wissenschaftlichen
Interessen,
wie
in
den
Publika-
Whrend
Muhammed,
bald in grossen
in
dem
aufgenommen
hat. Die
Beziehungen zwischen
Bibel und gypten hat ereinmal auf drei Semester vertheilt besprochen. Textinterpretationen spielten zunchst eine geringe Rolle. Erst als der Rcktritt Reinisch's nher
heranrickte
derlegte,
und
als dieser
widmete
gyptische Texte und ber die Grammatik des gyptischen, insbesondere des Deniotischen
und Koptischen.
Rahmen
weit iiber die Kreise der engeren Fachgenossen hinaus Aufsehn erregt. Es war sein
als
Muniien-
Wenn
dises
um-
fangreichste bisher bekannt gewordene etrurische Schriftstiick auch nicht zur Entzifierung der rthselhaften
Sprache gefhrt
hat,
Krall's
mustergltige Publikation
134
JAKOB KR ALI,
wird bei jeder Bearbeitung der hierher gehrigen Fragen den Ausgangspunkt bilden
mssen.
Der
ben.
Name
in
Er war
fleissiger,
der
Wer
trat,
warm
fhlenden Menschen.
Wissenschaft
ist
worden
(Z.,
XVI,
(Z.,
S. 6-9).
S. 34-36, 64-67). [Sitz.
XVII,
ber
Wiener Akad.
1880.
XCV,
I
S. 123-226).
[Rec,
(Z.,
II, S. 66-70).
Noch einmal
die
Herusa
XVIII,
S. 121-123).
I, I.
S. 190).
I.
Historien, IV.
Wien, Konegen,
67 S.
ber.
Eine Quellenuntersuchung
[Sttz.
1881.
am
22 S.
nr.
26
W.
Akad., XCVIII,
S.
S. 835-912), 1881.
[l.
c, CV,
329-426),
1884.
(Z.
III.
c,
CXVI,
S. 631-682), 1888.
IV. Das
1882.
Land Punt
c,
CXXI. Abh.
82
S.),
1890.
Zum
Zur
Uozrx^ilj.10
{W.
Niobestatue
am
W.
1883. Ein Doppeldatum aus der Zeit der Kleopatra und des Antonius
Historisch-philologische Analekten,
n. u.
I
{W.
(Z.,
St.,
V,
S.
313-318).
am
10 Marz 601
S. 79-84).
JE.;
'Ax-'-uav-ri
XXI,
Brugsch, Thsaurus
S. 998-999;
[1884], S. 1086-1090).
M. f. =: Mittlieilungen aus der Saminlung Erzhei-zog Rainer. Rec. =. Recueil de 1. Abkrzungen Travaux relatifs l'gyptologie. W. St. = Wiener Studien. W. Z. M. =. Wiener Zeitschrift/ur Kunde
:
des Morgenlandes.
Z.
JAKOB KRALL
1884.
Historisch-philologische Analekten,
135
II
(Zum Muzwesen
(1er
XXII,
S. 42-43).
VI, S. 315-317).
nr. 31 [Rec.^
V,
p.
76-85).
Zu Herodot,
Der
II,
[W.
St.,
VII, S. 161-162).
.
Name
Leenuinn, S. 63-64).
Neue koptische und griechische Papyri {Rec, VI, S. 63-79). Ueber einige demotische Gruppen [Rec, VI, S. 79-81).
Abwehr
1886.
November 1885
(Selbstverlag,.8, 7 S.).
1887.
I,
S. 12-25).
Roman
I
{M. R.,
I,
S. 49).
(/.
Aus
[M.
i?., I, S.
I,
62-72), II
c, Il/IIi, S. 43-73).
Der jngste
S. 89-92).
I,
S. 109-112).
gleich sahidischen
<s'
{M.
i?., I, S.
124).
I,
Die Zabi
S. 125).
[M.
i?.,
S. 127).
/?.,
II/III, S.
S. 143 144).
IV, S. 126-135).
S. 140-143).
Namen
W. Z.M.,U,
S. 25-36, 273-280).
(in
Budge, Martyrdom
of Saint
III, S.
274 280).
1.
Wien, 1892,
S. 15-48.
iEgyptische Abtheihmg (Zweite Ausgabe. Wien, 1894, S. 27-60. .gyptische Abtheilung [der gleiche Text, aber mit
Umnummerirung
der Papyri]).
3, 4,
70
S.,
lOTaf.
Voran-
nr. 1).
1893.
297-303).
.,
Zu Herodot,
II,
osterr. Ggran.,
1893,
II). I.
4",
und 225
S.
136
JAKOR KRALL
Eia neuer liistorischer
1897.
Roman
I.
in deniotisclier Schrift
fol.,
Deniotische Lesestcke,
Wien,
384).
II. Leipzip:,
1903,
Roman
Beitrage /ur Geschichte der Blemyer und Nubier (I)enkschr. der Wiener Akad., 46, Heft
nr. 4, 4,
26 S., 3 Taf.).
Vom
II bei
S. 6-13. Leipzig.
I.
Bis auf
8",
iv
und 200
\V.
S.
Max
S. 385-388).
TT'.
Z. M.,
XIV,
S. 233-242).
W.
Z. M.,
XVI,
S. 255-268).
(
Der demotische
Roman
VF. Z.
M., XVII,
S. 1-36),
The
XXV,
S. 209-212).
Zum
makedonischen Kalender
S. 113-122).
in
^gypten
Berlin,
W. Max
1904.
Millier,
II
IF. Z.
il/,,
XVII,
S. 375-379).
der
Sammlung Erzherzog
Coigres!^, S. 345-347).
W.
Kl'
ORIENTALE
E.
BERTRAND
(LE), Papyrus du Muse de Turin publi en fac-simil par R. V. Lanzone, de Turin, 11 planches et 2 |)ages de texte. ln-f. DUSSAUD (R.). Histoire et religion des Nosairs. Gr. in-8".
le
professeur
30
7
(>
fr. fr.
DUTENS
.
fr.
fr.
DUVAL(R.).
Trait de grammaire syriaque. Gr. in-8". Les dialectes No-Aramens de Salamas. Textes sur publis avec une traduction franaise. In-8".
in-8".
20
au milieu du X
fr.
FAIDHERBE
(le
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FUTUH
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(G.).
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(W.).
MM.
monuments
GOTTBERG
GUIEYSSE
(E. de).
et
spcialement de celles de
Hannek
et de
Kaybar. Gr.
in-4",
avec 5 caries.
(P.). Rituel funraire gyptien, chapitre 64". Textes compars, traduction et d'aprs les Papyrus du Louvre et de la Bibliothque Nationale. In-4, pi.
(S.).
20
fr.
commentaires
20
2
le
fr.
fr.
GUYARD
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JOHANNES DE CAPUA.
JORET
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: :
In-8".
8
II
:
fi-.
Le mme ouvrage. Premiie partie. Tome LEDRAIN (E.). Les monuments gyptiens de
antiques). 3 livraisons, ln-4".
l'Iran et l'Inde.
Un
12
fr.
la
mdailles et 37 fr.
LEFBURE
LEPSIUS
LEVI
(E.).
In-4".
Au
lieu de
20
fr.
15
fr.
Deuxime
Osiris. ln-4".
20
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(C.-R.). Les mtaux dans les inscriptions gyptiennes, traduit de l'allemand par \V. Berend, 12 fr. avec notes et corrections de l'auteur. In-4", avec 2 planches. 18 fr. (S.). Le thtre indien. Gr. in-8".
tradiderint. In-8".
fr.
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(J.).
III, Papyrus
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par G. Maspero. 9
livr. et
400 100
l'auteur
par
fr!
55
le
MARTIN
MASPERO
ln-4.
Hymne au
In-4".
Une enqute
judiciaire Thbes au
6 fr. deux textes du Muse britannique. In-4". temps de la XX" dynastie Etude sur le Papyrus Abbott.
(Epuis)
histori antiquissim.
De Carchemis
Mmoire
20
Italie.
fr.
Gr.
fr.
20
Un
80
fr.
MA-^PKI (II). Les finances de rRgypte sous les Lagides, 1908. In-8" de 252 p. MLANCiIsS d'.ircliologie ('S.vptienne et assyrienne. 3 vol. in-4". MYER (J.). Scarabs. The Ili-stoiy. Maniifactnie and Roligious Synibolism of the
12
fr,
50
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15
Scarabaeus. in Ancient Egypt, l'hoenicia. Saidinia, Etruria, etc. Also Reinarks on the Learning, Philosophy, Arts, l'^thics. Psychoiogy. Ideas as to the Immortality of tlie Sol, etc., of the Ancient Egyptians, l'hoenicia ns, etc. ln-8 cart. toile. 12 fr. OPPERT (J.). Mmoire sur les rapports de l'Egypte et de l'Assyrie dans l'antiquit. claircis par l'tude des textes cuniformes. In-i". 12 fr. Duppe Lisn Assur, lments de la grammaire assyrienne. 2' d. In-8. 6 fr. PALANQUE (C). Le Nil l'poque pharaonique, son rle et son culte en Egypte. Gr. in-8. 6 fr. 50
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(J.).
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PRIER
(J.).
Mrym.
rois
Vie d'Al Hadjdjdj ibn Yousof (41-95 de l'Hgire arabes. Gr. in-S".
(P.).
= 661-711
PIERRET
le
un
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50 50
POGNON (H
).
Une
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Wadi
10
1
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1", roi
M.
Oppert).
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Gr. in-8.
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du Louvre.
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Questions d'histoire gyptienne, tudies dans le Recueil de travaux l'archologie gyptiennes et assyriennes. In-8.
relatifs la philologie et
1
fr.
2 fr. Recherches sur la religion de l'ancienne Egypte, le culte. ln-8. -Le systme chronologique de M. Lieblein sur les trois premires dynasties du Nouvel Empire 1 fr. 50 gyptien et le synchronisme gyptien de l'Exode. In-b!". ROUG (E. de). Chrestomathie gyptienne ou choix de textes gyptiens, transcrits, traduits et accom(Epuis) pagns d'un commentaire et d'un abrg grammatical. 4 vol. gr. in-8.
Recherches sur les monuments qu'on peut attiibuer aux six premires dynasties de Manthon, prcdes d'un rapport adress M. le Ministre de l'instruction publique sur les rsultats 50 fr. gnraux de sa mission en Egypte. Gr. in-4^ avec 8 pi. dont 5 doubles. (Epuis). Inscriptions hiroglyphiques copies en Egypte pendant sa mission. Publi par le vicomte J. de 120 fr. Roug. 4 vol. in-4. SAADYA (Gaon de Fayyoum). Commentaire sur le Sefer Yesira ou livre de la cration, publi et traduit 10 fr. par Mayer Lambert. Gr. in-8". 6 fr. SAULCY (F. de). Dictionnaire topographique abrg de la Terre-Sainte. 1 vol. in-8''.
SCHACK (G. von). Die Unterv^^eisung des Konigs Amenemhat I. 1" et 2' Hlfte. Gr. in-4. TARAFA IBN AL-'ABD AL-BAKRI, Dwn. Texte arabe publi par M. Seligsohn et
d'une traduction franaise.
1 vol. gr. in-8.
fr.
accompagn
16
fr.
Sabbat), accompagn de six autres crits pseudo-pigraphiques admis par les Falachas ou Juifs d'Abyssinie, texte thiopien publi et traduit par 13 fr. 50 J. Halvy. Gr. in-8".
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(E.). In-4.
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version
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sainte
(Ancien Testament).
15
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AMIAUD (A.). La lgende syriaque de Saint Alexis, AURS (A.). Trait de mtrologie assyrienne ou
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In-4.
f r.
BAILLET
(A.).
Le
Memphis
BARTHELEMY
BEREND
une planche. (A.). Gujastak Abalish. Relation d'une confrence thologique prside par le Calife Mmoun. Texte pehlvi publi pour la premire fois avec traduction, commentaire et lexique. Gr. in-8. 3 fr. 50 (W. B.). Principaux monuments du Muse gyptien de Florence, 1" partie Stles, bas-reliefs 50 fr. et fresques. In-f avec 10 pi. pliotograves.
:
BERGAIGNE
(A.). Manuel pour tudier la langue sanscrite. Chrestomathie, Lexique, Principes de grammaire. Gr. in-8. 12 fr. 5 fr. Quarante hymnes du Rig Vda, traduits et comments. Publi par V. Henry. Gr. in-8. Tomes II et III. .30 fr. La religion vdique d'aprs les hymnes du Rig Vda. Tome I" puis.
BERGAIGNE
(A.) et
Tome
HENRY
5
le
fr.
sanscrit vdique.
Prcis de grammaire-
12 fr. Chrestomathie-Lexique. Gr. in-8. Recueil de sentences du Pandit Djaganntha. Texte sanscrit publi pour la premire fois en entier avec traduction en franais et des notes par A. Bergaigne. Gr. in-8. 8 fr. 50 fr. BOISSIER (A.). Documents assyriens relatifs aux prsages. Tome I". Liv. 1 3. In-4''.
BHAMINI VILASA.
Anis-el-'Ochchaq, trait des termes figurs relatifs la description de la 5 fr. 50 et annot par C. Huart. Gr. in-8. CHRONIQUE DE GALWDWOS, roi d'Ethiopie. Texte thiopien traduit, annot et prcd d'une 10 fr. introduction historique par Willifim E. Conzelman. Gr. in-8. CLERMONT-GANNEAU (C). tudes d'archologie orientale, 2 vol. in-4"' avec figures dans le texte et 50 fr. photogravures hors texte. 25 fr. DARMESTETER (J.). tudes iraniennes. 2 vol. gr. in-8.
beaut. Traduit
CHEREF-EDDIN-RAMl.
du persan
Haurvat?; et Amret^. Essai sur la mythologie de l'Avesta. Gr. in-8\ Ormazd et Ahriman. Leurs origines et leur histoire. Gr. in-8''.
fr.
25
fr.
DENYS DE TELL-MAHR.
Chronique, 4' partie. Texte syriaque publi d'aprs le manuscrit 162 de la Bibliothque Vaticane, accompagn d'une traduction franaise, d'une introduction et de notes 25 fr. historiques et philologiques par J.-B. Chabot. 1 fort vol. gr. in-8. 3 fr. DERENBOURG (H.). Essai sur les formes des pluriels arabes. Gr. in-8.
RECUEIL
DE
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
F'GYPTJENNES ET ASSYRIENNES
POUK SEKVIli
l)K
MASPERO
l'IiS
PROKKSSKUR AU
COl,l,l';<;R
M n 11 K de
TUDES
VINGT-HUITIEME ANNEE
PARIS
5,
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CHALON-SUR-SAONE
IMPRIMERIE FRANAISE ET ORIENTALE
E.
BERTRAND
RECUEIL
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TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR SERVIR DR
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MASPERO
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CHALON-SUR-SAONE
IMPRIMERIE FRANAISE ET ORIENTALE
K.
BERTRAND
RECUEIL
DE TRAVAUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHEOLOGIE GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
1906
Contenu
:
Fascicules
15)
III
et
IV
dcouvertes faites Karoak (15 novembre 1904von Wilhelm Spiegei.kerg. 17) Demolische Miscellen, von Wilhelm Spiegelberg. 18) Koptische Miscellen, von Wilhelm Spiegei.berg. 19) An eariy Chaldean incantation of the "temple not exorcised", by Vincent Bru.mmer.
les dernires
16) Varia,
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
SUR LES
25 juillet 1905)
par
Georges Legrain
les
recherches dans
la
cachette de
Karnak
furent suspendues,
La
fosse d'o
nombreux
et
M. Maspero me donna
le retrait
l'ordre d'entreprendre
le
permettrait.
je
disais l'an
pass
ait
la
cachette de
Karnak
n'est pas
malgr qu'elle
monuments en
pierre et
la
flatter
vaste fosse sera aussi productive que l'ont t les deux prcdentes; nous ne rencontrerons plus (ou du moins nous n'osons plus esprer rencontrer) de grands
monuments
comme ceux
qui n'est pas encore reconstitu. Les travaux de cette anne n'auraient eu d'autre but
que de retrouver
celle
les
morceaux manquants de
III
la
charmante statue de
les
la reine Isis et
de
de Thoutmosis
long d'numrer, qu'ils auraient eu, dj, leur raison d'tre. Mais
juillet,
il
fallut
suspendre
et huit mille
en bronze.
18
NOUV. SR.,
XII.
138
NOlVEAUX RENSEIGNEMENTS
Mais,
je le rpte,
il
et
quelquesIl
reste
peu, croyons-nous, mais ce peu, partout ailleurs, serait suffisant ])our stimuler l'ardeur
elle fut
dcouverte; c'est
les
monuments
comme
termine.
ce que je voyais chaque jour, car bien des points demeuraient encore obscurs pour moi.
Je ne
me
flatte
mme
que d'autres
faits
sont venus
me
des
Ce sont
ces
remarques
qu'il
me
monuments
cachette de Karnak.
II
L'an pass, ds
le
lendemain de
la
presque
l'orifice
de
deux
du
nom
de bannire
|^^>
pu
attribuer Ousirtasen
III.
Au
faire
m'ayant
men devant la face sud du VIII pylne, je revis, une fois de plus, quelques-uns des monuments que nos fouilles de 1900 avaient ramens au jour et qui avaient t laisss en place (cf. Annales du Service des Antiquits, t. IV, p. 26). Parmi ceux-ci se trouvaient
deux colosses acphales d'Ousirtasen
que
les ttes
III
me vint,
en
les
revoyant,
il
ne restait du
nom
de bannire
que
la partie infrieure
et les
^.
Les photographies de
elle et le
la
tte (qui
tait alors
au
raccord entre
corps du
VHP
MM.
pylne
tait trs
et
Lacau
Ducros
les pattes
l'inscription
du
renseignement,
pus obtenir
la
certitude que
mon
Une
dans
par l'envoi des deux corps au Muse et par leur rapprochement des ttes trouves
la
cachette de
La prsence
VHP
pylne ne
le
VHP
les corps,
faire des
en somme,
je
ne trouvai
rien.
Ainsi, jusqu' ce que des travaux plus tendus aient confirm cet insuccs, nous pou-
139
Deux
faits,
les
manquent encore,
le salptre.
nous n'avons,
se trouvaient.
le
contr aucune masse de granit dcompos pouvant leur tre assimile devant
face sud,
du
VHP
les
pas tre proches de leur emplacement primitif. Pouvons-nous retrouver ces bases dans
les
III,
devant
nord de
l'aile est
de dblaieles
ment
actuel de
corps
en 1900.
En
rsum,
VHP
quoi
ils
pylne, et
VIP
les
la
cachette? Pourquoi
du
VHP
pylne?
et je
mon
ignorance
les faits.
III
exactement avec
devant
le
VHP
pylne.
La cassure
au dossier,
presque plane, sans encoche o forcer un coin, sans aucune trace de travail
La seconde
les
statue prsente
un
clat
est
tel
Comment
tion ne
la tte et
taient encore vnres, et par quel procd y arriva-t-on? Car cette double dcapita-
me
semble
ni fortuite ni accidentelle.
Le
je crois,
aurait eu,
deux
fois, le
mme
mon
avis.
Il
y aurait,
un
trouves dans la cachette ne montre de ces encoches typiques que nous retrouvons sur
les
monuments mis en
la
chantier pour tre dpecs. Toutes celles qui sont brises ont la
l'tait le plus
souvent
cependant
III
y eut des cas o ces cassures furent provoques et obtenues par un procd que nous
ignorons encore pour notre part.
Dblaiement dans
la partie nord-est
de la cour de la cachette.
le
Nous proposons,
la Salle
l'est
nom
de cour de la cachette ou
hypostyle
le
la face
nord du
VIP
pylne,
par
long
mur
long
sur la face ouest duquel est le grand texte de Merenptah, l'ouest par un autre
mur
Nos
sur la face ouest duquel se trouve, entre autres textes, le trait des Khtas.
fouilles
la partie
sud de
la cour, celles
de
1903-1904 portaient sur
partant de la porte de
la
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
partie nord-ouest,
Ramss
la
pour
La
partie nord-est de
Le
sol
antique
auparavant pour d-
gager
les textes
gographiques du
VHP
j'avais dj
commenc
il
le
nous
mon Rapport
de
trois
de 1901-1902.
J'ai
et
con-
je
nombreux
Ce ne
sera plus
dans
la
cour de
la
niveau pharaonique, mais, peut-tre, sous l'norme remblai qui existe encore entre
cour, les chapelles de
Tahraqa
et le
l, d'ailleurs,
de
M. Maspero,
Vers
la fin
campagne.
la porte
de
Ramss
fragments de sphinx
colossaux.
surmont
le
n
j]
-Jg)
I
tait
pilier-support de ce disque.
Le bleu
Une
statuette
long du
mur
est. Elle
appartenait un
nomm Nakhtmontou,
auteurs de
la
fils
d'Ankhefkhonsou,
cachette.
le la
Plus au sud,
et belle statue
de
Senmaout tenant
Denkm.,
m,
Le
1''
de nombreux
Le dblaiement
suivre
commencer.
La chance nous
statues.
la fosse
aux
Nous rencontrmes
couvert de
bien, non loin de l'endroit o avait t trouve l'image de Senmaout, quelques blocs
d'Amnths
1"^,
mais, au nord,
le
Le
sol tait
maufit
vaises dalles de calcaire et de grs rapproches les unes des autres sans taille qui les
concider exactement.
d'argile
En
lits
141
plat,
formaient ainsi un
sol
que
le sol naturel.
La masse
totale reposait
En
de sable, d'argile. Nous avons observ cette disposition aussi profondment que
fouilles Qnt
soit six
VHP
pylne.
J'ai
relev
mmes
dispositions, les
mmes
trs
dure recouvrant des couches de sable de plus en plus paisses. Ceci n'tait pas
la
du
Nil.
Il
X* pylnes
ft
un marcage, comme
s'il
l'a
Nil. C'tait,
Roug que
la fouille
Hypothse sur
vations sont justes,
les
si
Khonsou
et
cCApet.
grande
d'Apet
le
voie des pylnes, nous devrons observer que les temples actuels de
Khonsou
et
lot
bras
les
hautes eaux.
On
sait
que
l'alle
les
Thoutmosis, Hatshopsoutou
et
Harmhabi,
et
que
les
comme
le
Ramss
qui construit
le
le
premier
et les
second.
Il
rien ne
Mariette, Karnak,
13, 14).
Montouhotpou, que
j'ai
les
tait-il
bien,
ainsi
que
celui
les
d'Apet
occupent aujourd'hui?
Ou
ne sont-ils que
succursales
Thoriquement, un dplacement de
mais nous savons encore
si
me semble
sujet,
ad-
missible; d'autre part, outre les observations que j'numrais plus haut, je remarquerai
que
j'ai
trouv
la stle
calla
caire et
de
mur
Sur
est,
1.
Recueil de Tiacaux,
t.
XXIII. Note
Khonsou vers
la
XIP
dynastie.
142
NOUVEAUX
UlvXSiaCiNKMlvNTS
trouves au
cet endroit
le
Je crois que quelques recherches dans ces parages fourniraient peut-tre des ren-
hypothse que
je propose,
III
prvoir
les
cotes
d'infiltrations
les terres de remblai jetes dans la fosse pour prvenir les larcins
sence furent peine dtrempes leur surface et ne s'afaissrent que d'une faon
insignifiante.
Il
fallut,
avant de reprendre
la
la fouille
l'an pass,
nous livrer
le
mesure que
contre celles-ci avec des bidons ptrole, des seaux, des chadoufs,
en mai et juin,
ft,
avec une forte pompe bras. Cette dernire, tout excellente qu'elle
ne pouvait
lever l'eau qu' cinq mtres de hauteur et demandait deux quipes de vingt
Il
hommes.
nous
fallait
prvoir pour cette anne une fouille pouvant aller jusqu' quinze mtres,
pompes
et cent
il
vingt
hommes en deux
nous revenir
le
fallait
Ministre des Travaux publics n'avait pas de pompes vapeur mettre notre dis-
un
dans
le trou.
prix et le dlai
demands
en
nous
firent
De guerre
trois batteries
et
en
installai vingt-huit
dfaillance ou accident.
il
le
fonctionnement de
Une chadouf
de
Entretien
Mise de fonds
1.
totale
En
j'ai constat en effet, en cet endroit, l'existence d'un grand enclos de 80 de large. Ses murailles de briques crues, encore visibles, ont une dizaine
143
Nos cinquante-six
puis trois quand
les
manuvre par deux hommes se relayant d'heure en heure. hommes furent d'abord pays deux piastres et demie par jour,
Les
frais
La
suffi-
saient incliner suffisamment pour remplir leurs sacs de peau. Cette batterie avait
onze puches
la
tait vide
o
or
douze chadoufs
grandes brasses
la
reprenaient pour
la jeter
enfin dans
un
large ruisseau qui la menait au Lac Sacr o elle tombait en cascade. Les sacs de peau
contiennent une
seules, puisaient
moyenne de
dans
la fosse
inonde
donc
20x11x60x7 = 92,400
Cette
somme
de travail tait
le
dbit
la
ment, mais par de vritables sources qui paraissaient provenir de poches d'eau. L'an
pass, nous avions t fort
la direction
ce genre venant
du nord dans
elle
de
la fosse.
nombreuses
abondantes du ct ouest.
J'ai
d combattre
toute la dure des fouilles. Elle ne cessa pas, durant ce temps, de fournir une eau
erxcellente, claire et limpide, dont, aprs le D"" Schv^einfurth,
l'envi.
Deux
autres sources, plus au nord, ne furent jamais taries, sortant en jet aussi
tait toujours pro-
duite par l'extraction d'un bloc ou d'une statue qui bouchait son orifice. L'endroit o
et
les
chadoufs.
Les
jets
de source entranaient avec eux des morceaux d'argile dure, des cailloux,
des graviers, des feuilles d'or, de petits bronzes de dix quinze centimtres de hauteur
et d'autres
menus
objets antiques.
la
chance
ne
la
les avait
pas favoriss ailleurs, plonger leur bras entier dans le conduit vertical de
J'ai parfois
ainsi en juin,
sol.
quand notre
fouille
ils
normale atteignait
Le
se couchaient plat
ventre n'tait pas effondr, descendu ou remu, puisque nous y trouvions non seulement
l,
de mtres d'paisseur. C et l gisent des tronons de colonnes et des fragments de granit et d'albtre. 11 y eut assurment, un monument antique, mais je ne sais encore s'il fut le temple de Khonsou. Les fouilles nous
144.
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
les
uns dans
les autres,
filons
par exemple, de
nombreuses statuettes
passaient au
sources
et
comment
le
tre aussi profonde, car, l'exhaussement millnaire des eaux tant d'environ un mtre,
trois
et
menus
mais, en
tout cas, je crois qu'il faudrait descendre encore plus bas. Peut-tre ne trouvera-t-on
le
fond de
la cachette,
mais
les
mme aprs en avoir trouv prs de seize mille. Parfois, ils nous sont prcomme ce bel Osiris de 1"" .50 de hauteur, ce fragment d'urseus ^^ qui mesure
dcoupe
et cisele
fort
monuments de
pierre,
Les
saire
au nord autant
pour en
cachs.
l'ai fait, je
au nord, l'angle de
fallu,
hypostyle o se trouve
pome de Pentaour.
le
Il
nous aurait
matriel que
sabilit.
M. Maspero m'a
et je l'ai suivi.
.
le
conseil
tait
bon
Comme me
.
l'crivait
reprochera.
rgulirement aux
que
j'ai
rapports au
Muse
ont t trouvs sous mes yeux et immdiatement enregistrs par moi-mme. Je n'ai
pas constat de disparition. Les tentatives de vol ont t nombreuses, et je dois avouer
que
les
meilleurs de nos ouvriers ont d tre tour tour punis et renvoys aprs avoir
et
souvent
s'en glissait
parmi
Une
exploration nocturne de la
endroits secrets par les fouilleurs eux-mmes. Prvenu temps, je djouai l'entreprise
et
fis
maison
nette. Je ne
me
flatte
monument ne nous
ait t vol
dans
cachette
mme. J'avoue
l'honntet d'aucun habitant de Karnak, et ceux que je croyais pendant quelque temps
145
les
bout de quelques
IV
Remarques sur quelques objets trouvs dans la cachette de Karnak
Je groupe
ici
j'ai faites
sur divers
monuments dpourvus
mme,
Bois.
Il
arrivait souvent
filets
d'infiltration laissaient
En remontant
des masses de bronzes qui, ce que je crois, taient, lors de leur dpt, enferms dans des coffres de bois dont on retrouvait encore, parfois, de grands morceaux pourris.
D'autres cofEres nous ont laiss leurs garnitures de bronze. Ceux-l se trouvaient gn-
ralement avec
les statues
de pierre.
On
retirait assez
souvent de
la
fragments d'un naos en bois dor que j'avais retrouvs tout autour d'une laide figure
de cynocphale qui paraissait y avoir t renferme. Quelques heures suffisaient pour
que
le
morceaux
et s'anantit.
Il
petite
masse de cendres
grises.
Un
mme
de Horoudja
de Rourou,
^='^^ v
^1
Quand, en mai
et juin, la
un
vritable banc de meubles et de statues en bois, une dizaine de mtres cubes environ.
Tout
que pourri,
l taient
pu
ne dureront
gure.
phnomne
singulier.
monuments de bronze
s'taient tasss les
et
de pierre.
Ils
uns sur
les autres,
extrmits.
Un
0"01.
tte
J'ai
M. Maspero,
de statuette de bois, couronne du Q, qui avait t aplatie de trois quarts, de telle sorte qu'elle ressemblait plus un poisson qu' toute autre chose. L'un des yeux et
l'oreille
le
Au
moment de
D'ailleurs, je crois
RECUEIL, XXVIII.
ainsi.
La plus grande
19
NOUV. SR.,
XII.
146
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
statue de bois mesurait plus d'un mtre. Elle tait couverte d'paisses feuilles d'or et
reprsentait un roi ou un
Amon
si
elle
si
avait t dpose en terrain sec ou dans quelque tombeau. Elles taient, hlas,
pourries, qu'il n'en restait aux doigts qu'une paisse boue brune.
La
m'en
le
soit
demeure,
c'est d'avoir
regret de n'avoir
pu sauver
tombes.
Ossements.
Cette anne,
On
comme
l'an pass,
il
arrivait parfois
par une d-
comme
si elles
et jou le rle
se trouvaient
au milieu de
volatiles et quadrupdes,
car les
masse
tait
enveloppe
les bois,
dans une
les
feuille d'or.
bronzes ou
les statues
non
loin de
l,
huit et neuf mtres de profondeur, nous trouvmes des ossements trs bruns,
la
matire visqueuse
et
blan-
Parmi
les plus
curieux je citerai un
mal Carnivore
Ceci
et
me
II,
42, le
du temple. Si
dans
objets de rebut. J'ai recueilli soigneusement tous ces ossements qui seront soumis
l'examen du
D^"
Lortet, de Lyon.
Terre cuite.
fils
pass la dcouverte de
nombreux fragments de
mention du
au
grandes statues de terre cuite, recouvertes d'une paisse couche de rouge vermillon.
Un
"^^
morceau de
pilier
la
[(j^^^ J,
la
du
tre dats
moins de
XVIIP
dynastie.
Faence.
Les
monuments de
ttes
d'urus dont
main. C'taient,
je crois,
corniches monumentales. Ces ttes sont en faence verte, avec des yeux rapports en
faence rouge.
La forme de
ces
yeux
est
exactement
147
Je ne veux pas dire que tous les poids gyptiens soient des yeux de serpents, loin
de
l,
mais
je
me demande
si,
si
soigneusement
Nous avons eu
une autre
la
les
morceaux
et la tte
d'Amnths
III
en faence bleu-gris
clair
d'Hathor, un casque iQ, qui devait tre incrust dans quelque grand bas-relief, un
le
morceau de dallage
(?)
cte cte en bandes. Ces bandes taient spares entre elles par une large raie couverte d'une feuille d'or.
Le
Pte
bleue.
L'outremer est
difficile.
jolis
pu
Cockrne.
Les
Arabes donnent
nom
nom
de
comme
le
,
pierre des
Amazones
au Groenland.
teinte.
Silex.
rapport au
Muse un fragment de
i
Une
Obsidienne.
J'ai class
dans
la
XVIII dynastie
d'une grande statue, qui est en obsidienne. Le tour de force technique est digne d'tre
cit
parmi
les plus
Le professeur Schweinfurth a reconnu du gneiss et M. Fourtau du quartz dans la matire blanche, extrmement difficile tailler, faisant feu sous le briquet, d'o fut gauchement tir un sphinx dans le visage duquel nous avons reGneiss.
connu
d'Amnths IV.
place ct de l'querre 45" en silex poli
silicifi* trouvs l'an pass. Ils
taills
Ces
et
trois
de
la statuette
pourraient
fait, d'ailleurs,
pour
dont se servaient
les
148
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
V
Monuments trouvs dans la cachette de Karnak,
Lca liste
en 1905
des stles et statues trouves Tan pass dans la cachette avait t arrte
La
liste
etc.
10 cynocphales en calcaire.
3 vases en albtre.
2 stles en calcaire.
1
fragment de
petit oblisque
fin.
en schiste.
1
1
nom
d' Ai'taxej^xs
en faence.
9 grands bronzes.
Nombreuses
8208
Total approximatif.
Nous
laisserons de ct les
monuments de bronze ou
chronologiquement
les
citer
dernire campagne.
Moyen- Empire.
anne; parmi
les
protocole royal de
:
|^
XVIII^
anne, est la
dynastie.
Le monument
la
le
de textes qui n'ont, d'ailleurs, rien de semblable avec ceux qui ont t
Il
majeure partie de
la
principale ins-
de signaler
dont
il
est
Une
C'est
petite stle
mentionne l'administrateur de
la
la
149
Nous
le
de morceaux ouvrs
comme
l'avait
mme
procd.
Nous n'avons
et l'avant
le
masque de
la figure,
un fragment de cou
reut un poli incomparable; les yeux taient rapports dans des creux mnags
ces creux ont t obtenus sans un clat, sans une fissure,
ad hoc
comme
si
l'artisan avait
eu
la
matire
la
plus facile du
monde
moi, qui
la trouvai,
mrite.
Un
joli
Nous n'avons
contre, les
jolie statuette
d'Amnths II
et
de Thoutmosis
IV
cette
anne; par
monuments 'Amnths
du
roi
Amon
qui
le
guide.
dignes des
grands modles
et des artistes
de l'poque.
et
Le 2
t
avril 1905,
MM.
Bndite
taient de la cachette
un sphinx blanc, que, assurment, on aurait dclar faux s'il avait s'chouer dans l'choppe d'un marchand d'antiquits. Il est difficile, en effet, d'imafait.
Les yeux
et les oreilles
sont
dignes d'un contrefacteur de Gournah; l'uvre est telle que seul un fellah, voulant
copier
un monument,
le saurait faire;
sicles,
laissant aprs lui sa pice de matrise de tailleur de pierre, car c'est d'un filon de quartz
que fut
tir ce
la
et,
mme,
reut
un
poli semblable
du vernis ou de
s'est
la faence. C'est
belle.
Cependant l'ouvrier
appliqu
faire
ressemblant
ns sous son outil maladroit sont ceux d'Amnths IV. J'avoue qu'il n'y a aucune
comparaison
ptrifi
faire entre le
la
de 1904. L'un est l'uvre d'un ouvrier et l'autre celle d'un artiste consomm.
a rendu une belle statue
la
Toutankhamanou nous
tenir
les statues royales
d'Amon en
poque,
mme
la
Taa,
le
Khonsou
et
La
pice la plus importante de cette poque fut trouve, en juillet, dans l'angle
la
nord-est de
une grande
stle
d'environ trois mtres et large de prs de deux. Elle ne comporte pas moins de trente
lignes de texte horizontal.
Harmhabi
Toutankhamanou,
trouva
Le protocole royal
seul
le
le
prouver. Le successeur
il
trne,
les
temples
les
dgradation, devenus
les
comme
les endroits
o poussent
enclos sacrs
comme
que
les
des chemins de
dieux en avaient
150
NOUVEAUX liKNSEKiXEMEXTS
face. Or, voici
I'',
dtourn leur
que Sa Majest
le
tait
dans sa grande
salle
dans
la
demeure
de Thoutmosis
comme
soleil
dans
le ciel,
de son pre
. .
Amon
le
et
auguste en or blanc
"-^^^
'
vritable.
Il
modela
-wwsa
tragstrange
pre
Amon
*^^*
j)
^^'^^
k
tait
en or blanc
la
tait sur
[,x]
barres, et son
image
3 barres.
Sa Majest
ft
les
et leurs
leurs biens
sacrs pour
Il
les
offrandes journalires,
qu'il
leurs
donna plus
n'tait
auparavant
depuis
le
temps
Il
nomma
fils
les
nom
tait
connu;
il
aug,
menta
l'or,
il
Sa Majest,
du pays de Negaou.
[Elles
taient] inscrustes d'or des chefs des pays, et elles faisaient resplendir le fleuve.
purifis par
Furent
Sa Majest,
vie, sant, force, les esclaves m<les, les esclaves femelles, les
le palais
.
joueuses de tambourin, les baladines qui taient parmi les rfugies dans
roi; on avait compt leurs travaux pour
le palais.
: .
du
.
Et
le roi,
prenant
la parole,
comme consacrs mes pres tous-les-dieux par amiti; mon action aimante. Aprs tant de bienfaits reus, les
et les
fidles se rjouissent
par
dieux et
leurs coeurs sont dans la joie, leurs sanctuaires en liesse, les pays poussent des cris,
grand temple,
et,
sur ce
monument auquel
je
monument
mandent
ma
1.
C'est ce
que
fait
151
le
La date de
la
ce
ds
le
dbut,
raction
qu'en donne
il
la stle,
/T avait
t violente, car
n'y avait
temples plus de statues divines, plus de barques, plus de biens sacrs, plus de
prtres ni de prophtes. L'pisode des esclaves, des joueuses de tambourin et des fai-
le
palais
du
roi,
Thbes ou rvolution violente, car tous ces gens sont considrs comme butin royal
jusqu' ce que
Toutankhamanou
rpte, sur ces faits, ne citant aujourd'hui que les points les plus importants de cette
page d'histoire.
Harmhabi
et
qui usurpa
si
bien tant de
joli
monuments appartenant
Toutankhamanou,
d'maux multicolores.
Les Ramessides nous ont rendu une quinzaine de statues
et
Ramss II
joufflu.
devant
sa
lui et
bouche comme un
Horus
leurs
commensaux, Psarou
et
Roma
et
Amnths.
la
Pas plus que l'anne pass, nous n'avons trouv de monuments importants de
XXP
dynastie. C'est un vide curieux que je constate une fois de plus, pensant bien
que quelque autre cachette nous rendra ce qui nous manc[ue encore.
Les XXII^
et
XXIII^
dynasties.
La XX!!*^ dynastie
a t reprsente cette
anne par de nombreuses statuettes qui nous ont permis de complter nos tableaux
gnalogiques dresss l'an pass. Le plus important publier actuellement est celui de
la famille
faire connatre
encore
voulu considrer
comme
corriger
que
je lui avais
envoyes,
lui-mme
les
que
je
Le point
le
non
le
Osorkon III
c omme le porte
mon
? -r^*^ j ( W^ A.^n ?l Sherabr Padousibastit, qu e mentionne un seul naos dont ( les fragments sont Paris et Bologne, mais le (oil^fj^f^J
ffl^^
fait
le
D'
Wiedemann
avait signal
M.
le D"^
V. Schmidt a
con-
Nous retrouvons
famille Nibnoutirou
monuments,
et je l'ai
Neseramon
152
XOUVKAL'X RKNSKIGNKMKXTS
assigne une place dfinitive entre Osorkon II et Sheshonq III, dont
lui
il
fut
co-
rgent, reprsentant, en
somme,
dans
la
la
ligne lgitime.
Nous rentrons
su7^ la
ainsi
M. Lieblein exposait ds 1868, et qu'il n'a que d'autres gyptologucs minents. Dans son Etude
thorie que
p. 29,
Chronologie gyptienne,
P\
je le rpte, est
sibastis tion
le
dynastie tanite
(la
que
le
Ousirmarisotpounamon des
Pale
doubastit /^ chef de
la
XXIIP
dynastie'.
Il
comme
le
prouve
Le tableau de
la famille
cas,
dynasties collatrales, l'une reprsente par Osorkon II et Sheshonq III, et l'autre par
Padoubastit P^ Ousirmarisotpou-Amon
et
ma
connaissance,
la liste
manthonienne
neTOYBACTIC =
Ousirmarisotpou-Amon
Padouhastit-miamon.
Ousirmarisotpou-A mon
JIl
Osorkon-Si-lsiT-miajnon.
nous faut chercher quel est cet Osorkon-Si-Isit-miamon, dont nous retroucartouche sur
la
vons
le
statue de
Hor IV,
sont,
la
famille
Nibnoutirou
Aw/w\/
n
Neseramon. Son
titre et
a
son
nom
compltement
l^Jf
"^^^^
jHo'U
I
Roi de
Une
la fosse
comte prud'homme Nakhtefmouti,Jils de Nibnoutirou, semble devoir apporter de nouveaux documents sur cette question. Elle reprsente un personnage agenouill,
d'une perruque
lisse
coif
couvrant
la
Parmi
je connais, je n'ai
de
XXII
Montouemhat
et les
dbuts de la puissance
sate.
Un
est
en mauvais
gigue,
E. Revillout a mis dernirement la mme opinion dans un travail paru dans la Reoue gyptoloLe roi Petibastis II et le roman qui porte son nom . Les documents sur lesquels je m'appuie sont tout autres que ceux dont il disposait lui-mme. J'ajouterai que je n'ai lu l'article de M. Revillout, la Bibliothque du Muse du Caire qu'en fin septembre 1905 aprs avoir crit mon travail. Partis de points absolument opposs, uous sommes arrivs aux mmes conclusions, ce qui me parat militer en leur faveur.
1.
M.
153
le
le
cou et soutenant
la
lourde
Comme
il
arrive souvent,
un cachet y
touche royal y est grav. La surface du cachet est ronge par l'humidit, mais
lu ds le
la statue
n'tait pas
/TTr*^^ \\\\\
<=^N cartouche que je retrouve sur un des flancs de la llfld^^^l w/w^ pagn de la mention Et voici que sur l'autre J f T(
accomgrav
flanc est
un cartouche-prnom
Si-Isit-miamon
et
'^^^
"^^""^
[|
"^^^
,
que
je
II, qui,
nous
f^i
^^'^^""^
les
communaut de cartouches
p. 229,
entre ces
M.
FI. Ptrie,
dans
remarque
'
dans
la stle
d'Horpason,
et 7
mre d'Osorkon
II est
appele
J|' tandis
que
les inscriptions
du quai
de
(
Karnak
indi quent
une
f^^^^'^V^^l ^^mme
mre d'un
foipfl^^]
du
']^'^
'l^ 1'
"^^
temple d'Osiris hiq djeto, dont nous nous occuperons plus tard et non pas Osorkon IL
J'ai
lisible
que
jadis,
Le
"^
yTH /\
^^A/v^A
"
>A
Ci
c^
\^
xl
aaaaaa aa/>/ww]
aST
\1 i__
iCi 'o'
A/vw/vv/j LkA
de
Le nom maternel me parat facile rtablir, et je ne puis qu'y reconnatre le nom Karomama, la petite-fille d'Osorkon II, la fille du premier prophte Nimrod, la femme de son oncle Takelot II et la mre du premier prophte Osorkon. M. Lieblein
avait devin depuis de longues annes que ce premier prophte
Osorkon
tait
:
devenu
l'Osorkon
III
et, l
encore,
il
seulement,
rOsorkon
III actuel
le
posons pour
O sorkon.
du
dans
le
nom
et,
de
, I
est singulire,
le
chute existent,
vait aussi
,
comme on
le
nom
V^fe"^)
o
|
s'cri-
^;^:3;:;^
dire,
^
\
en somme, que
f
les inscriptions
comme
cartouches que
II
J[
/wvwv ~^i
en attendant qu'il
reconnu
le
comme
Osorkon
III.
semblent
montrer.
Comme monuments
NOUV. SR.,
XII.
XXI
20
de ce
154
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
son
fils
roi,
lui
34 du Louvre,
publi par
M.
et
M. Daninos-Pacha
XVIII,
etc.
Memphis
III,
p. 140),
l'inscription hiratique
t.
p. 181),
l'an III
de ce rgne,
La
la
cachette
de Karnak nous a aussi rendu une charmante statuette en calcaire rehauss de dorures
reprsentant Osorkon-Si-Isit, se tranant genoux et poussant devant lui
Sokari, sans compter les statues portant les cartouches de ce souverain.
barque de
La
statue n 378
cette liste
porte
mme
ceux d'Osorkon-Si-Isit
et
de son
fils
Takelot.
Nous complterons
^1 ^
par
la suite.
L'Osorkon
III classique,
dont
les
deux cartouches
[^^'^^^
'"'
ffl
~f)
il
je crois,
la
fameuse
"^ fa f ^,
M.
tre
1 *
P. Pierret),
la
un des nombreux
de
Ces
faits
seignements
D'aprs
les
d'ailleurs, curieux.
:
tablir sa gnalogie
Vizir
HoR
Vizir
Nakhtefmouti
Nibnoutirou
NsiKHONsou
Hor
Shapensopit
Osorkon
II
j
la
descendance de
sate.
la
priode
prud'homme
.2
H O
Si
< <
eu
P-H
ZT}
O
P5
il)
I
;:^
o
>t
P O
53
se
zn
t-H
<:
^
I
(
'01
p <: w
156
NOUVEAUX RENSEIGNEMENTS
le
Je retrouve cet
djeto, qui
d'Osiris hiq
^^ i^zil
uKim
tocole qui ne peut
re tre
i
confondu avec celui d'Osorkon
II
"^M
i;^-]
i II
^\
Ci
I
oiP
D
rvrn
Ci
111
^ O
"V
N ^
cLI
AAA/^A^
les
mmes
II
bas-reliefs
I^'",
OsorkonS-lsiT-miamon, ct d'un
mais, je crois,
le
ni Takelot
III,
premier prophte
le
d'Amon de
l'an
VI de Sheshonq
protocole:
^
'^^^
(1
m\\
jj
C^1Z5]1
comme
d?^
III
^'
|]
En
mme
lisons
leur
fille,
sur ou
desses, couronne par les dieux, portant double pschent et les titres royaux, nous
e
matresse m. diadmes Shapenap-mimaout
III
(MiSU]
Amen-
IZ^^^^
))
la
des
deux terres
fille
matre faisant
les
choses,
fils
du
Soleil
Os orkonSi-l ^iT-miamoun. Sa
:
mre
est la
(sic, var.
(^*^V^7l
'^*
^^
'ette la
Sha-
penap
est la
mme, avec
les
mmes
partie
conqurant thiopien,
comme
plus
encore un
Il
fils
d'Osorkon, (q j
bien que
le fils
-^ '^j
ff]
^ ^ 7^1
[|
apparent avec
[^ ^ff^la it eu
[J
me semble
Il
de Takelot
II
et
de
deux
qu'il ta it
fille,
fils,
/ww\a [^
CJt \\)^
en eut une
la
dame Shapenapit,
I
un
d'Amon en
1. M. Daressy (Annales, V, p. 125) emploie la mme mthode pour diHrencier Amenemliat 1" d'Amen emhat IV, dont les deux cartouches sont semblables, mais dont les autres titres n'ont rien de commun. 2. Remarquons, comme plus haut, que la stle d'Horpason et les monuments indiquent, comme mres de
Takelot 1"
elle la
et II, d'autres
personnes que
la a/^wv\
^n ^K
"^i
? de l'inscription 4
je reconnais
le crois et j'ajouterai
mme que
dans celle
et la
tr
(I
QA \\?
1.
la
/www
3.
^^^^^P
de Turin,
FI. Ptrie
la
femme du premier
prophte Osorkon
(cf.
Je puis assurer M.
que
ma
Histonj oj Egypt,
III, p. 251,
23).
Tableau indiquant
la succession
et
sous
Rois collatraux la XXIII dvnastie
les
XXIP
et
XXIIP
dynasties.
Premiers Prophtes devenus Rois
XX 11
dynastie
i^remiers Prophtes
de
Hubastite
d'AinoM
Sheshonq
I
!'"
I
OSORKON
l'^i'
^e]
i
Takelot
I>^''
TTi
T^TJ
SllESHONQ
II
I
OsORKON
II
v\
IIORSISI
m
Takelot
(?i
II
]
AOURTI
pour
la
Padoubastit
Jei'
:]
{
{
1"
OsORKON-SlTsiT
fois
AouRTi
v\
II
OSORKON-Sl-ISIT
Sheshonq
III
I
Takelot
ROUTAMON
PSAMMOUS
Zet
Padoubastit
II
158
NOUVEAUX REXSEIGXEMKXTS
Yl
d(3
l'an
Sheshonq
lll
(inscription 25
roi sous le
nom
(inscription 13
du quai
et
Un
amon, qui
union
(cf.
Devkria, Daressy,
fille,
la
Shapenap,
^^(V^^r
me
la
comme
Un
^
I
Shapenap
c
(
Takelot
III
:]c
OSORKGX
ROU'I'AMON
l(?)
]lC
Shapenap
Tentsa
Karadjit
Karomama
NlMROD
]=
I
=:
Takelot
II
c ISIOUTOUTONKHIS
En somme, nous pouvons
I^C
Osorkon
II
du
XXIP
pas
le
Psammous ou Zet de
les
la
se sont rfugis
les stles
dans
Nord,
et
nous ne connaissons
du Sraet le
M. Lieblein
avait succession
immdiate entre
mort
l'an
XXXVII
P' et Osorkon
III taient
et la
XXIIP
dynastie n'existait
un synchronisme
en
effet,
le
XIX
et l'an
XXIII de Padoubastit-miamon
1.
Notes
et
Devria, Quelques personnages d'une famille pharaonique. Mmoires remarques, CXLIII, Recueil de Travaux, t. XIX, p. 20-21.
et fragments,
I,
p. 377:
Daressv,
159
le
rgne de Slieshonq
III fut
les
inscriptions 23 et 25
nent aussi, en
l'an
VI de Slieshonq
ou
III,
d'Amon. De
l,
XX, XXI
XXII
de Padoubastit-miamon
le
I""".
J'adopterais volon-
XXII, parce
l'an
c[ue le texte
26 du quai mentionne
T"".
l'an
XIV
XVI
f
de Padoubastit
L encore,
j'ai
que
ma
tre complte en
permettent.
M. Maspero
{Histoire ancienne,
III, p.
que
d'Amon
Aourti
le
premier prophte
que
le
fils
d'Osor-
kon
II.
De
tableau ci-contre
(p. 157),
nous
flatter
claircira,
croyonsIl
nous, quelques points qui semblaient encore obscurs, voici quelques annes.
et
corrige
XXIP
et la
critiqu ou tout au moins ne sera pas d'accord avec bien des thories antrieures. Beau-
coup de nos collgues sont en droit de demander sur quels matriaux nous nous sommes
appuy pour
tablir ce
faits.
depuis
prs de deux ans et qui ne pourra paratre que plus tard, quand les nouveaux docu-
la cachette
le
Catalogue gnral du
Muse du
un an ou deux pour
cette
faire connatre
mes savants
? Je
pu dbrouiller dans
ne
pas cru, et c'est pour rpondre plusieurs d'entre eux qui m'avaient
je
demand des
j'ai
renseignements, que
me
sommaire o
rsum
En
attendant que ces derniers soient mis leur disposition, je leur livre
fort court et
rsultat
de mes recherches,
pour cause,
les laissant
absolument libres de
le
me
suis tromp.
A ct de
de
l'art et
principaux
membres
des
160
sufft
de ranger chronologiquement
d'une
mme
le
commenc
cette recherche, et je
le
puis
avoir
temps de
la
finir,
utiles, particulirement,
la
pour tudier
les statues
depuis
la fin
de
la
XXIP
dynastie jusqu'
les statues
L encore,
la
^ ^^
ou
je
^ ^^
i^vA^T
^^
prince,
connu du
me trompe
!
fort,
les
rois thiopiens
et la
de
la
XXV^
dy-
nastie
Tahvaqa
mignonne
statuette de
une
stle cisele
,
comme un
bijou, puis
une
de Pinkhi.
Une
deux
rois peutje
tre authentiques
i<S^~nir\|
J
'
q,
i
ne
sais
^ \J[ V^^JJ^^ contre, deux mauvais sphinx que leur VJ style seul indiquerait comme de basse poque nous sont donns comme apparteet le second au ^\^ nant [0 c^ J 1 probablement Sti (^ V 1 "^^ ( "^ Pl
,
I'"-',
(fi
^1,
je
Et chaque nouvelle
couverte de textes. Les prires sont mles aux gnalogies, grce auxquelles nous
la bourgeoisie
si
obscure
encore, voici deux ans. D'autres textes nous permettent de voir peu peu quelle tait
la vie
et
de
fleurs,
rclamant des
les
eux-mmes
et
jadis
des trpasss.
Nous savons
ils
pour eux,
quand,
comme
les
ombres d'Ulysse,
se repais-
soif et
je crois
plus tranquilles n'taient pas les pauvres diables reposant dans les milliers
d'Osiris,
fix leur
nom
En somme,
d'Amon
bien autre-
semblait raisonnable de
laiss leur
me
suivre Osiris et leur double se promener autour du tombeau, attendant une offrande
VAIMA
1(U
qui,
au cours des
sicles,
croyions.
Amon
est
non seulement
le
dieu
les
son temple aux statues et aux doubles des morts, qui les loge et
tant ses compagnons, ses faux et ses serviteurs.
Il
hberge,
comme
si
le
double
allait
le
tombeau,
les
autres dfunts,
recevait les
hommages
l'JO.
Ramlb d'Alexandrie,
septembre
VA W A
I
WiLHELM
Sl'IEGELriERG
LXXX.
LXXXIV.
Die Stadt
^5"^^
ifi.
Sirmnir.
LXXXV.
^ ^^l^'
(J[1q.
^^'^^^-f ''^''l/f^
aRichtcr.
von Statuen.
LXXXIX.
XC. ber
Der
Titel
Musums.
sk.
^^^|
XCV. Zu
XCVII.
XCVI. Chons-Schu-Herakles.
Isis
r.>Y/.Agu'.
Uber
eine
1.
XXVi,
S.
14:!
t.
21
162
VARIA
Lxxx.
i',ixi":
(iRii-:cinsc]ii':
tkaxscrii^tion
di-'.s
volli^n
xamkns
4
Dl'.S
G(30i)Si>EEi) liai knizlicli
(les
AMASLS
iliin
iii
don Non
avis
NcioflViitlichten griechisclien
Papyrus
Kairincr
Museuins' cincn
C7ol)clrn
dem
eistcii
voichi istlichoii
i\on
(
Jahiiiunderl: stainiiEp/;j.y77ivr,i-:
iiKMiden
Text ans
\(n'()tTenlliclit,
der
)i(snain('ii
cnthalt.
("^^^Hip^l
/'
Pr-'/jins-sl-Xil)/
13ass das
von
z.
p/' (n-m)
belegen
.
aus
/.
Pi'-Mntjr [P'T-MnVicY
lindol
ilu'
h durcli
Analogon
in
/jia'l-a;
dem
Plural von
:
l/'ins''
Krokodil
niclil
'
und
Don
/'
von
oog^
log^
kann
ich
zwar
scli\\'acli(Mi
a
Konsonanton, welelie
ist
vollig normal.
als
Wiedergube von M
selbst ist eine der
entspriclit
Ortsnamc
dem st. estr. von '^^, vgl. 'AoT'.r.crt;, i:'.!70j/o. dem aus Platos Timaios bekannten Nt/.o. Der bekannten Bildungen mit dem Namen eines Knigs, der
Zu
j-.-,
dadurcli als Begrnder oder Seliutzlierr des Ortes bezeichnet wird. Also wird
das
von
der Dynastie
XXVI
Ob wir
liier
griecliisclier
Soldner zusammenhing,
iiaOjp!-r>,
Dass es
in
d(Mn ^o-o;
^\o
lial)on, konfisziertes
\\\y
aus
dem
dem
Landes
l)is
in die
liisst sicli
LXXXI.
Im Muse
Sakkara
fiyptien,
II,
DAS
Talel Fi,
lit
verofentliolit,
Die
Fin Dioncr
fiilirt
Mann
Worte
Dazu
.
^elirt
ieli
die Insohrift
'm
r 'nr
pu
.
ziiolitige (?)
diesen Pavian
Ob
die ersten
rielitig
abgetrcnnt
und wiedorgegebon
Pavian
stiitigt, ^^o
liabe, bleibe
Wort
fiir
Diose Annal une wird duroli eine weitere Beisehrift derselben Scne bc-
y\
wolil
1. 2.
Daiiacli
ist
iiieine
Beinerkuiig
Caifo Mussain, IX, 5. iii den .^nijittoloy. Raiu/glo.<fcii ^uin Aitcn Testament, S.
35, Z. 5, v. u.
zu niodiHziereii. 3. SinriH, A.Z., XXXIV. 27. 4. Seihe, Verhuin, I, 14, und Lacau, Ree. de Trar., b. F'aul Mtcyir, llwrcscn der Ptolenider, S. 55.
C.
Ist
//(
XXV,
l7
t.
('twa mit
riiii erzielieii
identisch ?
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103
Di'iniiach ist
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148,
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Kndung
*.
(tir
sahid. tonloses
e) ist
Kndnng
-'7-''.
Die
boheirische Foiin en sclieint mir niclit ganz sicher belegt zu sein, sie wiirde dcui
vlligen Abfall der
fiir
L(snngdes
^A^o^te.s
Paviaii
ist
demnach.";?r(/).
LXXXII.
Der
Osiris von
ZUM' GYPTISCni'.N
STABKULTUS
'
Abydos
'b
yIA"
1.
^b^n
^\
hr{j)
Gau
2.
3.
Nach Ekman, Glossar. Vgl. feriier Brugsch, Wrtci-bucli, .4. Z., XXI, 101.
Vgl. auch {h.udwULHi (B)
findet
sicli
I,
S. 2
und
mj'
16:.
4.
Peile
=
ff.
'nr
{n)
diter Stein
ciieJLjULe
durch
5.
dali',
Trac, XXV,
S. 184
die
ist
Pap. Harris,
lia,
17//. 4,
Stole
erwhnt werden,
A^
V\ M
(var.
\\\
(J
''
rs/f
''^'^
eiirvviirdigen
(=
.\mon
.
O
I
<^,';
]cz3
[1
(A. Z.,
EL
XXIX,
f\
S. 73
ff.)
hin,
wo nacb
C\
I
und
55, 2
1K
^Jf
'^'^vvaa
rj ^Tx
J7\
die
Gardineram
Hier wird
eine der
{Rcr..
de Trac,
XXV,
187)
^.^
y'
j?
\\
Q.
^ta-jEs^
ihre linke
Hand
trgt
Es
'*>
um
einen mit
V
Z.
'^*-
Z. B.
N'gl.
aneh
()
aa/vws
|
f)-irisb\
mnns.
'^"
7,
und
al^
YI^'^'^^
de Trac,
9,
111,111'.,.
Beaciue anch
()
^\
^'^
| | |
ilcl eine'-
hohen
Seite
u 2Q.
164
VARIA
0. a.
'
zii
borsetzen pflegt.
Wic
licgt
von vornlierein die Annalnne nalu^ dass ctwas Konkretes verkannt worden
:
bc/eichnet
j^^
"
1
er
ist
dcnmacli
dei' fStab, in
dcin Thot
die
Angen
Sarg'.
Shm
also ein
in
dem
sicb Gr)tter
dei'
inkorpoiieren knnen.
licisst,
Wa
Thot
der 5//m-stab
Gtter
'
'
pu^Xt
als
sci
Gau
zu fasson.
Weiter
eine
Darstellung
erwhnt
Moret
aulnierksam
machte
1151).
(Kairo,
Sarkoph.
der S/jinin
Hier
ist
stab
als
iVnnbis
der
Gotteslialle
bezeichnet.
sielit
Denselben Stab
niclit selten
nian
auf Sarkopba-
zwisehen
den
beiden
Anubis ^/^^^^, es ist der Stab, den derselbe Gott so hautig in den Tatzen liillt (z. B. Lanzone,
Dizion.,
XXIX,
war
aueli
'.
der
dem
n. pr. ()|,
'
Kairo 20290,
wo
'i
die bekannte
stelit
tli(>o]iliore
ein
Wort shm'
liaulig
,
parallcl zu iitr
Gott
oder
''/<
Geist
lA
Seele
und
li\
Doppelgnger
z.
B.
P.
1 105
((
es
wachen
die Gtter
.
iii:s:hktff
1.
es
So
SciiKEit,
Die.
Vo;l.
aucli
/'.
//8
(= M.
10,
P.
II/IU,
:^.
II.
3.
4.
5.
6.
kommen kann. Boiu iiAKDT, A. Z., XXXV, S. 116. Vgl. auch Orientalist. Litteraturitfj., IV, S. 496. Davius, Deir el-Gchitci\ 11/8, page 43. Es knnte freilich auch das heilige Sistrum gemeint sein. Vgl. das Beispiel Re^. de Trac,
Ans dem Folgeiiden
ergiebt sicb, dass die Lesuiig hi-p nichi in Frage
1.
XXV,
S. 1S7,
Anm.
7.
Pjiy II
'/..
H. 34.987) schreibt
VAHIA
1115
P. /
"^ j^p^m
%^\\?\^c. ^
_/_!
I
I
"'^'"^
^^''' ^''"'"*
^^''^^
^'''^^^^^
als
Horus,
]<:rstor
o o o
7>.
//7-8
" ^"'^
ist,
^'Z</>',
der im
tliinitiseluui
Gau
ist.
Dy
l)ist
Ka
ist loiii,
shm, wclcher
sich unter
den
ist
Wort
geleiteten Bedeutung.
haust,
ist
in
\\eicliem
der Geist
Parallelisnuis in den
Pyra-
midentexten
ird sljm
bedeuten,
Da nun
Gottes,
ein solclier Stal) aucli als das ussere siehtl^are Synib(jl, das
Ahhild des
gilt, so
'
Bild, Figur
erlangt, welclie
namentlich auch
Demotischen
;avov,
so liaufig ist\
Ks
ist
das
Wort
aYajia
s/jm,
,s.sin,
wiedergicbt.
LXXXIII.
DIE
SPl>
Die Meinung, dass A das Zodiakallicht bezeiclnie, grndet sich auf eine Hypothse
von Brugsch", der unter dem Einfluss einer Beobachtung Hermann Grusons das Zodiakallicht in den Inschriften nachweisen wollte. Dieser
Nachweis
ist
indessen,
wenn
und
man
Weise
erbracht.
die bersetzungen,
welche Brugsch
1.
2. AAAA^^
Ahnlich Diesen
-
112.
alteii
-
Parallelismus
-
zeigt
noch
eine
Stelle
wie
Mariktte,
Monuments
und
sein
dicers,
10/1
^
3.
^^===^ ^^^^=^
" ^^^'^
shm
so gross ist.
Die mir bekannteu Beispiele reichen nicht ber die Raniessidenzeit zurck. 4. Siehe W. Max Muller, Rec. de Trao., XIV, S. 18. 5. Die mit * gekenuzeichnelen Stellen sind dem Berliner Wrterbuch enllehnt und mir von Herrn Gardiner freundlichst milgeteilt worden. Fiir dise wertvolle xVIitarbeit mchte icli ihm auch an dieser Stelle danken.
6.
P. H. B. A.,
XV,
S.
tn
ff.
und
387
l.
i(i
AlUA
(lass A
(las
iii
sciiKM'
;'iiiss(M<'ii
l)('>t lit
[''oiiii
dcm
/o(li;ik:11iclit ciitsiprecho,
ist inir
voii
dciion
liahcii.
;iuf
(Milscliietlcnstc
ton woidiMi,
g'esclKni
Dcn-
L'inriss soll,
Daislclliiiiu'
ie
midi
(v>riHKi.L
hcicliil,
des ,Sclnviiis son Sait cl-l renne, welclic allcin das Zodiakalliclil /u zcigon
sclicint
'.
I''in'
seinom Laut-
\\r\\
.s/;r/
Ijcicitcn,
}3('d('uluiig (Mst
cinc andci'c
fl
und orgieht
sicii
ans
^^^'^'
Sint G 261
V irsni
((
(^o
wo
es
'.
licissl
s|)il/('r als
die (jrainic
((
l)ies(>
P)C(l(Hitnng
es
in
icl(Mi
A'erhindungon.
So
stelit
wo
^^i
==^
I ,
<
,
"
^^''"^
M<'sser
ist
a1) . / V/.s..srl
..
:
I
gosclifult
^
n
^^
==.
^ 3 A _^
:
^^^
die
Mossor scien
Lh^^n'"^
('Du hast deine Lanzo (m'bl) gescharft
Kopf
d(vs
A7.y^
in
jonoin
doinem
Namon
((
Soharfhorn;
:
\on Pfeilen
Si lit I'232
I
((
I I
\(in
Shaupe, h.
((
/.,
II,
33 (B),
von
dem Lowon
;
L(')\\
'^=
^
:
'^^^
A^/w^^
)
spitz an Zillinen
Recueil de Tracau,
((
XXM 229,
II(')i'nern
von einer
in (Paclit?)
AAAAAA
schaf an Kiallon
des Stiers in
dom
l'-pitlieton
((
an IL'M'noin
-1)
spd 'bwj
20 y);
Rociifai.,
I, 42."),
13
Pieiil,
H.
/.,
II,
1. 2.
L.
r.,
pag.
:r.)i.
Weiicie
/,.
.Slellen
f;r
dise
1
Weiidung
1
s.
Rec
de Trar.,
rrr-l
XXN'I, S.
42.
Uns
Zital
lii.ACKi>i;\-FitA/iiR,
N" VIII,
5, ist zii
umschreiben
/\
(i
<r=>\^
^ -^-M
f
l'iKiii.,
("').
;>.
.m
H.
/.,
m.
(u
[bis].
VAIJIA
167
2C),
'21
;
spd
L., />.,
III,
130
a, h; Ciiami>.,
pas a fin.
dass die
(riiindb('(l(Miliin<4- xoii spt/ spil/
l'^egiilT,
(Icnke also, es
daraus
dcr
sicli
nus
((
spil/ sein
u. a.
)>
entwickclt, und
Wir werden
nuii die
l''rage
dec socMxmi
(m--
/.iinaclist
was denn
J''.bers,
Losimg des
covpe
llalsels cnllialt,
wie
ieli
glaube, Pap.
88/4,
wo
das
Wort
.sv-/
Dorii
iin
llieia-
tischen ein Determinutiv hat, welches identiscli ist mit d(Mn AA'orl/ciclien \on
(104, 10; 109, 20).
ist als
spd
Somit
liegt
ein
in
den Pyraniidentexten
zeigt, so bestatigen
Selir viel
Bedeutungen \on
o
spd. crhalten.
Ans der
ieli
Bedeutung
oben
hiirh^
Dorn
spitz, schaf
<=^A
zeigte,
Dicieck
[Math. Haiid-
51
das Spitze
odcr
((
das Dornahnliche
als
a
zu erkla ren.
Alir sclieint
lich,
Dorn
selir
wahrsclieinin
Wortes spd
der
angenommenen Bedeutung. Damit bricht die Zodiakalliclithypotliese von Brugscii in dem Gott sjx/rr man was nr sehr zweifelhaft ist
s(^lien will,
dass das
Es kann
als
sein.
sopda
kann
Gott' des Zodiakalliclits muss erst noch erwiesen werden. Der aile Beweis
lieute niclit
mehr
gelten.
LXXXIV.
Als
ieli
DIE
STADT
1^"^^ SWMXW
Lesung des obigen Stadtnamens
schrieb,
im Band XXI,
lr sicnw,
S. 49
11.,
Liber die
plaidierte
icli
indem
und glaubte
lediglicli als
Sclion vor Jalnen wies mich Heinrich Schfer' freundlichst daraulhin, dass das in
sei,
welche
1. 2.
Z. B.
Pcpi
30-31
Teti, 349.
ist
Es
siiid ott'eubar
besoudere Typen
lt-
die Forin
:
A geschiiiiteii wordeu.
bis
Sebr beachteiisweit
Aiicb sonsl bin ich Schfi-:r lr eiue Reibe werlvoller Bomerkungeii zu grcssem Daiik verptlicluet.
168
VARIA
Dahkssv
Smn{ir)
ergiebt
tu
-V
'
li(>issl.
N.iclidcin
luin
kiii/licli
fiir
Gans
die ^SclHeil)un<<
^^
mit unsei'oin
Zciclioii
iiachgcwicsei
lit,
sicli
tir
don Stadtiuiinen
eiii
/unchst entNvickelt liahe. Nicht -< 5/Viir sondes Zeicliens, und dalier
siiid aile V'ai'ianten,
die korrektc
Vovm
wie
Sinnnir zu
Xanicii
(\o:<
lesen.
naiiie
bekaiintlicli
a
aussrhliesslieli
in
deiii
Doltcs
be/eiehnel w iid.
->==>
und
desscii \^aiiaiit(Mi
*>
1)
^"^l^^*^"" AVc.
rie
Trac, XIV,
S. 25:
8)
^?=^
^1\>^
o"^
P.
BuDGK,
rollcctioii
Lad If Mca;
III)
;
4)
^^=^1"^^
^37-*='
.S./:?..!.,
XXIV,
."))
jjerlin
3814
(naeli Mittlg.
von Sciifer):
(3)
^
lasse
'
1%"^^
Stle Atlien nacli einem Abklatseh von Dr. Pohtnf.fi (M. R.).
III
mit II
Icli
folgen
S. 102;
1)
lJJS^
'^^
n
SciiiAPARELLi, Catal.
Flor-en::-,
f^^^%,
2)
3)
^^n'^^^^D%\ Frazer,
V.
AA/\/V\A
il
'^''^^'
4)
"|1^^^^
kommen
,
39 (M. R.);
gesammelten
Stadtname
,11
I
folgenden
JST
Formen
""**
,
erscheint
^,
^^^^^^^^
r"^
^^^^i^^'.
JQ^ JS^
fiir
AAAA/\A
A/VWV\
ver\N'endet, wiirde
die
Lesung
ieli
fV/^^^ J
C^
fj
W *4
Shk-R" nb
sinne''.
t*""
Eigenname,
in
Weiter
welehcm
icii
Sucbos
rielitig
Lacau, S;irc. 94, 103, 106, Annales. V/31: J^uieii-Gautihu, Li.<r./,f, S. 27. Mit diesem Zeichen wird auch das Wort nin fur das Darbriiigeii von Opfeni ge'^chrieben (Euman, Glosfar, sub voce).
1.
N'gl.
2.
1111111111^
^
-,
iii
:^.
In der unpublizieiten
ff.
(Hnmessidonzeit),
I
fl
AAA/VV\ i^
(uach frdl.
VAIUA
Die l'olgenden Formon lassen
169
sicli
jt^tzt
ohno
Nh-Swmnw
crkennen
^^]-=-';
fl)
e)
/^ Alabasterstatuette Karlsrulie;
d'archolor/ie,
I,
f)
n^"^
1^ Mlanges
S. 100.
fiir
fallt
nuu
Vermutung
daliin,
dass wir eine alte Schreibung von Esne vor uns liaben
Swmnw
in der Nalie
lsst,
Swmnw
Name
fiir
die
-aixMnx zh
br^oio^/
ist,
(Erment) und
dass
'Acppo^Tr,? TzoXt;
gut d ie
A ngabe Masperos^
Swmnw
vws^mm.en mit
aLDUn
v^
Noch
Fische
will ich
u. varr." ein
ist,
der mit
dem
LXXXV.
Der Sarkophag des stm's
i
I
h^-h
AAAAAA
v'^ ri
^^^
in
der Gruppe
Nekropolis
' ist
zu enthalten.
Das
"
^md
in der
Wiederholung" H M
'=^'^'
geschrieben.
in der
1.
2. 3.
a-d nach Steindouff, A. Z., XXXII, S. Brugsch, Dict. gogr., 712. Maspeuo, a. Z., XX, S. 123.
A. O.
S. Recueil de
126,
Anm.
Statt
<-=>
ist
wohl berall
>=>
zu lesen.
4.
5.
6.
7.
Traoau, XXf, S. 50 uiiler vu. LiEBLEiN, 2248, und Maspeko, Roc. de Trao.,
II,
k
siiul die F.ck.
8. Zu der Lesung sm-t, s. Lange-Schafer, A. Z., XXXVIII, S. 109 t. 9. Der Sarcophag ist an den beiden Schmalseiten iui Altertnm verlngert wordea. Dabei gruppen der Inschriften der einen Seile wiederholt worden.
ItKCUEIL, XXVHI.
NOUV.
SRI!., XII.
22
170
VARIA
belcgte Sclireibung
Sint.j /Al lesen.
jiingere das
(,^^1 ftir den alten Konig ^^' Usapliais. Beide Namen sind Form setzt das Wort/.eichen ^^'^^ sml /weiinal, whrend die Silbenzeichen n-f mit der Endung verwendet.
Die alte
i
LXXXVI.
DIK ^\
UND
findet sich in juristiscben
liberall
STMJW
ist,
Die obige Verbindung, welche ein Beiname des oder eines A7?6^genclits
Texten
ist'.
selir liufig,
obwohl
sie
:
verkannt worden
(/(.
Pan. Berlin 47
Pap.
Z., XVII, 71
Z. 16
[^^
:
aI
^I\
^W;
I I I
Kahun 39/10
^i^j'^^lf]
^
j^
'^''^-^
-0
^,^,'^^
'
Pap.
Mook
(Miinchen)
III)
,bid.,9D':
^\ ^
.^111
[^,^,] ^_^(1(]
:
,^,
Mes
(S. 7j
F^
und
'g^ i]
^|][]^j.
ist klar.
Stmjw
ist
der Plural
Wer
des
stmjw
Gewiss keine
Diener
Wortes
in
dem
Prisse, 5/2-3
^rrs
^^
/wwv\
1 1
1^
i^
I
^n^iki
-:l
(5
\
!.
111
XXXV,
Z.,
S.
3.
iind von mir [Stwlien und Mateiialien, S. 94-95). Die richtige Autassung habe ich Grikkii-u [Kaliun Papijfi. S. 106) ver einigen Jahren mitgeleilt uml bringe jelzt eine nhere Ausfhrung. Sethe, Doiickaf-i-Iioiaos, S. 26, bat richtig die GerichtsA. R. I //., ;s!56 MoK.AN, (JataL, 1, 118
2.
So von Erman
(.A.
XVll,
s. 74)
<.
behrde/i
4. n.
berset/t.
S. 24.
Nach Gardinkr, Inscrijdion o/' Mes, Vgl. Setiih, Verhum, II, 867.
Schon im M. R. nachweisbar
(/.
13.
6.
n;^
C\
Vir NT
'
.. ."^94)
^ ^%^
VARIA
mir
ein
171
Befielil
eineii
Vertreter
(o. i.)
/u crnonnon, class
icli
ilim sage
Wort
der stmjir^
,M.e.5/.4:
^^-^ ^ ^ l^M^
/WVAA/V
,,
0<rr>_H^f^
ist
Gross
dein Naine
schn
in
vornelime Leute
siiid,
zeigt
^
.
in
Bcni-Hassan,
I,
wo
v)"
es
vou dem.
'
Gauherzog
lieisst
seinesgleiclien)
^v\
\>
<^ ;^
<(
(uner
denke
halten
Notabeln
:
bestehenden Gerichtshof*.
Nun
verstelit
^ ^^X
\^1\^V^
ein
icli
Zu diesem etwas vagen Rsultat wur ich in meiner Untersuchung gekommen, als die Freude batte, mit Gardiner ber den Titel stmj zu sprechen. Seinen spter
entwikelten scbarfsinnigen Ausfbrungen, die
ist
icli
brieflicli
Erlaubniss verlentlicbe,
folgendes
des Ratsels
mir
me
to
V\
In tbis
i'\
:
is
])ut
Rekbmere demand
tbe
same interprtation
II,
1.
mm
/wvvAA
g^
((
As
So
^T T^P^ fe'T^k
judging
in tbe bail
of tbe Vizier.
X, 17 (==21).
f-+-^^i
'^==^y
\\
^<
He
sends bim
(.se.
tbe commissioner) to
bim
isc.
tbe peti-
tioner) witbout
(3)
(??)''
tbe bearing of tbe overseer of fields and tbe magistrates of tbe tm\.
:
Ibid.,
m,
21
AAAAAA
Ci
llj
C^
<CZ>
\\
_CH^
AWNAA
1. Erman, haf schon selbst niir [Chrestomatliic, S. 14*) auf dus Bedenklicbe seiner bersetzung biiigewiesen. Es ist ibm entgangen, dass stmjw in der vorliegenden Scbreibung ein fester Begrif ist. von dera kein Object abhngen kann. 2.
3.
Zu
4.
des Partie, imperf. activi (j hln- bas perhaps bere an exclusive sens
dieser
Form
Inscription of Mes. S. 32 ff. Skthe, Verbum, II, 851. over and above, i. e. except, without.
ci
172
VARIA
be recoided in writing, without allowing hini to
((
Iwei y petitioiier
sliall
make
liis
ptition to a judge.
llere
however
tlie literal
sens /tearing
is
emphasised, the
was
orally lieard.
The same
is
(If^)
has
left
us a lgal
to
be his
staf of old
ge
[Kahiin pap.,
pi. 11).
Griffith in his
commentary on
md
]\w,
but also another from El-Bersheh, where the prince Dhutihetep daims
hve been
of his father.
Thus the
principle of association of a
if
not
ail,
of the
Pharaohs
of
the Xllth. Dynasty, seems to hve been usual about that time in
ail
To return
follows
:
to the Prisse
papyrus; your
first
passage
may now
be translated as
^^
^=1^
I
to tliy
humof the
and
I I
let
me
tell to
judges,
^rriik^
(Si
who were
afore-
time,
AAAAA^
(even) those,
whom
the same
has in knbt
sdmyw,
,
Ptahin the
asking for an
him
of judges, so that
he
may become an
This request is granted by the king (5, 4, >'<^'^^^ himself. ,i^)' ^"^^ ^^^^ V^^' verbs or sayings whicli comprise the rest of the book are doubtlcss the instructions' to
wliicli
your quotation
refers.
We
some rfrence
to
now
to
be called.
Sucli r-
me
:
The
we wise man
1.
From
5, 8,
=
we
)j
I
see that the Vizier selected his son to be his old man's statt.
Vergleiche FSnur.scH,
Thsaurus, 1296
(]
(^ |;J
<=>
C^^'- *'')
VARIA
two sentences decribe
leward
such condiict as follows
173
{? dlisw).
But the
last
tlie
of
/wv^A^
<::r> _B^
/WWNA Ji
I
((
Great
Tliy
is
namc
tlie
magistrales
',
inexplicable except on
a judge,
tlie
now
to
become
and
it is
he looks
for
16/3-4
^
(i.
We may
listens
^fev
e.
Ms^ Mv^^
compare Reklimere,
3, 21, for
and translate
man who
Richter
Z.,
bedeutet,
fiir
berzeugend.
Damit
Sethe [.
XXXVIII,
54) vertretene
ber-
Richter
es schon schwierig
Textcn anzudtirfen,
war.
sich
Man
in
whrend
Richtertitel ausgewiesen
LXXXVII.
DER SOGENANNTE
von Erman*
SALBKEGEL
'
so hufig
Salbkegel
gedeutet worden
mit der Bestimmung, das naturliche oder knstliche Haupthaar glnzend zu erhalten.
Gegen
dise
'
wo
er eine
haben wrde. Auch Mumien" tragen ihn auf dem Kopfe', ein weiterer Beweis, dass
der Gegenstand nichts mit
dem Salben
und
Monumenten des Kairiner Musums durchgepruft welchem Rsultat ich gelangt l)in. Der Salbkegel
sei es einer
tindet sich
sowohl
allein
wie
in
einzelnen Lotus(s.-
sei es
Abbildung
594). Die
1.
2. S.
3.
Brit. Mus. gypten, S. 339, Tafel). 4. gypten, S. 317. 5. Z. B. iQ der erwhnlen Darstellung des Brit. Mus., feruer Pap. Kairo 40018, 400ib, n 15. Sarkophag 41015 frner Wandgemlde bei Perrot-Chipiez, Agypt. Kunstgesckialite, Tafel XII. 6. N. DE G. Davies, The rock tombs of El-Amarna, II!, Tafel XXII; Sarkoph. Kairo 41015, 1271. 7. Auch ein Seelenvogel Pap. Kairo (aus Der el-Bahri).
si not wrw (cf. Gardineu, Inscription of Mes, p. 13 [99]). Maspeuo, Carrire adininistratice, S. 299 fl., uiid meine Studien u. Materialien, S. 60. Nicht nur Damen und Herren sondeni auch z. B. Musikantinnen (Wandmalerei des
bei Er.man,
174
N'AIUA
mir
k<Miioii
sicluM'on
inaii
sicli
Anlialt
(lio
g'eg(>])on,
wio
zu
Zoiclimuig'cn
lit.
rokonsli'uicren
sclicinliclisten
Ain wahrdass
ist
os,
der
Darstcllunefcii doutlich
/('igcn, aixu' si-
Slabclicn
clior
ist
das
sicli
koincsancli
l
wcgs.
Wenn
solclicn
Iciclit
nun
an
cincm
sohi'
Aut'sat/
'lumen
li(3s.son,
hefe.stigen
so
wiw
da er
sicli
aucli
niochtc
nun
glaid)en,
ist als
ein Kopfpntz,
den
man
genheiton
/..
B. auch beim Totenmabl trug. Daraus begreift sicb dann weiter, dass
man
dem Festsymbol
Uber don
Namen
nichts.
des Fc'stkcfjels, wie icb den Salbkegel nunmelir uintaufen mclite, wissen wir
Icli
sciiliesse
anderer die ganze Frage im Einzebien nachprft und namentlicii aucb die Fjitwicklung
dises
feststellt.
stellungen findet er sicb nicbt vor der XVIII. Dynastie' und reicbt andrerseils bis in
die Saitenzeit binab'.
Nachtrglicb wurde ich durcli Emil Brugscii-Bey und Daressy auf den Kopfpntz aufmerksam gemacbt, den Herr
Mono
Ausgra
bungen
in Scliecli
bat.
Er
ist
zweifellos mit
dem
ist
Salbkegel
identiscli
Kartonnage gefertigt
ist,
eine weitere
Besttigung
ist,
Salbkegel
lediglicli ein
Sclimuekstck
icb fur
Im Einzolnen vorweise
LXXXVIII.
Aucb
fiir
DER
dem
STEINKERN
IN
die mit
fubrungen nur eine erste summarisclie Untersucbung geben, die sicb wicdor
1.
2.
4.
Hat der
relaiiv spie
iiur als
Diadem
bei
Gtlinaen uiid Kniginnen findet und vvie der Untersatz des Salbkegels mancher Darslellungea aussieht, etwas mit unserem Kegel zu ihun? Der Untersatz alleiii ohne den Kegel findet sicli z. B. in Amarna [Monunicht vor der wenn ich mich recht entsiniie ment du Culte d'Atonii, Tafel XX). Die Hiroglyphe komnit Kamessidenzeit vor.
VARIA
Hauptsachc
dus Mateiial des Kaiiinor
175
aut"
Musums
als
BildhiUier aller Perioden, vor ailem die des alten Reiclies, in einer gehallten Iland ein
icli
kurz
Wahrend
Perrot-Chipiez'
hielten, g]aul)te
Pietsciimann
fiir
einc
T3andschleil'e
Krman
iin
ist
allem,
was wir
iiber
das
erstaunliche
der iiltesten
holile geballte
gewesen, eine
Hand
es,
falls
besser,
man den Ifohlraum niclit sicli mit dem Problem wie es z. B. bei dem Ra-
Medum
der Fall
ist,
aber
diircli
dise konvoxe
Hand
losgelst wird,
ist,
Steinkern
Hand bei sitzenden Figuren mit dem unteren Fingerriicken auf dem Oberschenkel und der Daumen frei liegt, z. B. Kairo 27. Hier liegt ein grsseres Stiick des Steinkerns uber dem Daumen frei.
die geballte
wo
Also weder
um
um
eine Bandsclileife
sielit
kann
es sicli liandeln.
Die letztere
ist oft in
im Kairiner Musum
die
wo
ein
Mann
Hand den
siclier
Steinkern
in der
genstnde sind
verschieden.
Gegen
aber einmal die Lange des Steinkerns und dann vor allem, dass
nie eine
An-
B. die hockenden
Was
und
Sehr
viel
wichtiger aber
ist
dem
Mateiial des
Musums
nie
Ijei
1.
2.
8.
S. 855.
155.370.
Vor allem beacbte man, dass sich dieser Kern auch bei Holzstatuen findet,^. B. Kairo
4.
5.
Braua
z.
B. bei 25,
z.
5X',
Im A. K.
Z. B. 64.
6.
7.
B. 48, 6), ferner bei den Knigsstatuen und -sialiiellen. dem groi^sen Funde von Kariiak.
17()
VAUIA
Herrensy mboJ
Fraiicn,
Das
ein
ist
und da
tii<;
dassell)e
ist,
streckeu die
Haud
aus,
wenn
sie
der geballten Faust selbst als Herrengcstus zu fassen'. Selien \vir uns nun die fur den
Steinkern
^\
in
in
ir
niigends in ihren llandeo unseren Steinkern, sondern berall den langen Stab oder
()
das
Sc(!pter.
Icli
glaube, es liegt dana<;h nicht zu fern, nicht nur eine innere Beziehung
zwisclien Stab
und
Steinkern
bute des Grosscn litten in der Freiskulptur aus leicht 1)egreiflichen Grundcn die
Sicliei'iieit
freilicli
so gebolfen, dass
sie den langen Vertikalstal) an den Korper und das horizontal gelialtene Scepter an
den linken
Arm
vertikal anlehnte
und
gliicklichere Lsung,
Haltung ermglielito, indeni der lange Stock und das vorspringende Scepter durcli
den
((
Steinkern
meiner Auffassung
soll,
Beschadigimg bewahren
Dieser
Steinkern
ist
in
worden; eine eingehende Untersuchung, zu welcher niir die Zeit fehlt, \\ ird das festzustellen haben. Im neuen Reich gai) man ihm in den Hnden der Pharaonen hufig
dise
Form
^r
denn
Anderes
ist
alsderSlein- }^
tungfsvoller *o
Hand bedeu-
war
Pharao'.
LXXXIX.
Auf dem Fragment
sitatssammlung
(n
DER TITEL
ICI '5
1599)
tindet
sich
folgender
Titel
()(]
*^
ljH
dei'
^ ^
^''^
"^^^
fiihrte^
Hathor
tragt, stellt
den
"^
Sammlung (n" 1587), die das mAi/-;-halsband Namens nAw^-=^v^ dar. Dieser =1 H
ist
'.s
leitet seine
Rcdc
ein
^^1^(10
C) '^^^^^^pn- Demnach
Stelle
der Alte
das
(?)
der
Titel
eines Hathorpriesters.
In der zweiten
wird
""^^
mrn
Wort
sein,
^^^
determiniert
ist,
also eine
Art Ru-
Berliiier Musums eriuueru, dass bei dea 1. Ich mchle dabei an die Beobach!uiig eines Kustoden des aiuhropoideii Sarkoplingou die Hnde der Miiner geballt, die der Frauen geslreckt siiid.
2. 3.
Ich habe mich gefr;igt, ob das bekaiiute Schattenexperiment, bei deiii der Stock iii der Hand vllig verschwinden kann, dabei mitgewirkt hat. 4. Ich kenne sie nur an Holzstauen, z. B. dem Schech el-Beled, den man sich mit Stab und Scepter ergnzen muss, und an einer anderen Holzfigur des Kairiner Musums, wo beide Atlribute erhalten siud. 5. Der Steinkern bei Knigen des A. R., 38, 42, 39. 6. Ebenso wie das folgende Stuck im Mai 190. von mir in Kairo von Hiindlern aus Gurna erworben.
VAlilA
177
cliei'beekcn bczciclmet.
((
Icli
biii
der'
pr.,
'.s-
(pi'iestcr)
'
dos Rucbor-
N'iibet)).
Vielleicht liogt
dem
n.
/^^ ^;.
O ^''
((
'^'^'-f"'^-
W
AlteC?)
P\-sj
(li(\ser
unse" Titel zu
Grande".
XC.
UBI<:R
lit
Maspero
Kairiner
fahren,
einci'
im Muse
Gruppe
geliorig-e
Besucher des
in der
wer
geworden
A D
iiiiitfii t.
J\
'^,
AAAAAA
<:if
^IfeV
die obigen Statuen
Hand
ist.
gearbeitet
ist
aus
Schech Abd
el-Gurna stammen
:
in das Kairiner
Musum
gelangt
'Ud^
Demnacli
liiess
der
Mann Nht-M[j)n
[Nex-hte-Min). Er
wwv
''.
toniglicher Sclirei-
1. t.
H.
4.
5.
Mari beaclue deii N'uli^rartikel vor deni Titel. Pap. jud.. 5/4,5; Pap. Mayer-LLverpool, C [passim). Pap. Abbou, 8/L. Il l^ap. Turin, 158/3, 10. Pap. Mayer-Liverpool, A, \erso, 3/15.
6.
7.
Zu Eigentiamenbilduugen mil
N"
77'.,
Inveiit. 316;>9-31630.
:
8. 9.
rechts an
dem Kopf
erhalteii
isl,
daif
maa
schliessen. dass
er.auch
Wedeltriiger
war.
r.KCUKII., XXVIII.
NOUV.
SEl!., XII.
2;J
178
VARIA
aucli die zweite
lit
Gruppe
nicht bewalirt.
Dagegen gieht
sie als
Mir
spriclit
lide der
Hiroglyphe
Anm.
8),
welche das
Hemd
zeigt,
wie es
z.
B. L., D.,
230,
Auch
diesp Zeit,
und stimmt nicht gut zu der Dynastie XX, an welche Maspero' denkt.
sein, dass
Tritt
unsere Gruppen in der Zeit des Echnaton zcrstrt worden sind. Naturlich notwendig
ist
der
Zusammenhang
nicht.
Es kann
sich
um
Bevvegung zu thun
hatte.
XCI.
Die obige Hiroglyphe
ist
DAS WORTZiaCHEN
I
^K{J)
bei
Erman
Flechtvverk
gebucht, aber
dem
rei-
Verbum
nigen
',
-sA^y) erschliessen
als
Determinativ erscheint. Es
in der
Bedeutung
:
wo
es
^^
AA/VWS
((
er lit diesen
N. gereinigt
[s^b)
im Wolfs-See
{>ij'h)
er hat
den
Ka
dises N. gereinigt
im DUj-See
.
Kas
Die Bedeutung
der 3 Stze ergiebt,
reinigen
trifl't
wo
es
von dem
reinigen
des
Mundes
(z.
B. 7\ 273,
ist
M.
Gesichtes (M.
S^)4)
jiteht\ Dise
Bedeutung
Iiu ext des Musco r/yptien, I, S. 40. Es wre uicht obue Intresse, eiumal aile nicht koiglicheu Mouumenie zusammenzustelleu, welche Spureii solcher persulichen Verfolgungeii aufweiseu.
1. 2.
Graminatik \ S. ;i25. Setiie, im Indej; des Verbum (.S. 40), dass mail uach den obigen Ausfhrungen die 5. P. Il/Ui (sehr zerstrt).
3. 4.
letzlere
(?) .
Ich denke,
6.
7.
Var.
^
ich
Oder
fur
den Ka
. '^
8.
So mchie
auch (Il
<C=> wvws
',</.
I,
Tafel 23)
reinige gut
berset/en und darauf beziehen, dass die lkriige vor der Flluug fiisch gereinigt werdeu sollen. Ubrigens
VARIA
wird
konkrcter gewesen sein, und zwar diejenigo,
179
lich
sie specioller,
wok-li(3
dus De-
^
l^
"^
\
//
^^
^
oL
Die.ses
tritt
in
den Pyniinidentexten
a,
h,
in
folgcnden
Formcn
dise in
auf, unter
dcncn
und
//
Sammlungen
^
<
bedeutet xk ursprnglich
fegen
a
woraus
sicli
unsclnver
//
CL
die allgenieinc
-s
Bedeutung
reinigen
entwiekelt hat.
sich ans der
h p.
De((>rnnnativ
IIandfeger\
Chrest., S. 58.
A=
/.
M./ 36.
Anm. 6 r= P.
= 3/./133.
XCIT.
Wsjr N.N.
rc'h-n-kw
m jr-t-Hr
Rnnirt-t
7;?
nr{w)-t-n-ns ntr{ir)
nr{w)-nk ntr{w)
))
mr {= inj)
nr{w)-f-sn n jr-t-Hr.
0, Osiris N.N.,
Thermu-
this)',
wie
sie sich
dem Horusauge
.^;3^ <rz=.
fCirchten.
So
^'^'vwv
1
^vw^ p>
1\
m^
/\
^^_
v^3:::
an Macht,
sie veiieiht
Furclit smd.
Man
indem
wurcle. Dise
hat bereiis
Bollachek
in
dem Kommeiitar
Werkes
Verbum
richlig
erkannt.
1.
Z. B.
BerUner Katalog
ist
2.
icll'
damit
iiicht identisch,
in
modenieu Publlkationeu)
haufit:-
mit
s/<{j)
3.
zusammengeworfen wird.
Die ungewhnliche Satzstellung ist dadurch hervorgerufen, dass der folgeiideii Relativsatz auf Rnnt-t bezogen werdeii soU, nicht s,yi jr-t Hi\ sonst wrde dises an letzter Stelle stehen, eben da, wo man es eigentlich erwartet.
4.
G.\UTIER-JliijUIER, Lisc/it,
XXi.
180
VARIA
XCIII.
Nacli
i\Qv jetzt
^^^
I rP-Rl)
S. 231
= KANON
((
(?)
im ersten Toxtbande
iiber die
il',
liaiullung vun
Lepsius
es keincn Zweifel'
Kanon zu Grunde
l)is
zur Stirnhohe
nun
dem Fnss
wir durcli
Ijeruhende
a
Vorschrift
zu beisetzen
pflegen.
indessen erst
ist
Bildung mit
bekannt
rd,
und
Fuss
zu
und
nacli
Kanon
a
zu fhren.
Vorschrift, Anlei-
cntwickelt bat, klingt noch gelegentlich stark durcli namentHeh da, \vo
tj)-rd absolut
gebraneht
((
ist.
Z. 17
v-'^^^^Vjt
v=^ icli war Meister, welcher den \\ schritt, Recueu de iravaiLr, XXIV/18r):
Meister gab ihm den tp-rd
))
nA
keni
97,
_|
an eine Vorzeichnung denken knnen, welche almlich der von Lepsius besprochenen
die menschliche Figur nach der Einheit des Fusses bezw. des 1/3 Fusses einteilte.
am
ehesten durch
Kanon
\\'\c-
dergegeben kann.
XCIV.
Ich habe vor
priester des
(il}
MEMPHIS
Hohen"^^-"^
kurzem
Amon
W*
'^''^^
d^i,
(in
nennt.
ich voi-geschlagen in
dem
[1
flfll
^
[1(1
01
^f
I
^
Bkugscii, ntct.
;jo(jr.,
S. 8,
den Amontitel
in h
fk^
Vermutung
Amon
handele.
mutung
es
28, 6),
wo
von
f\
Amon
heisst
^^z:^'^
du
^ ^^^^ (= Memphis)
iJ
als
wdn-t)). Hier
also m/-
1. Die Zweifel von Perrot-Ciiipiiz hat bereits Pietschmann, S. 873 ff., der deiHscheu Cbersetzung der Kuustgeschichle zuriickgewiesen. HoBentlich untersuchi bald eiiiiiial ein Arcbologie oder Kunslhistoriker die Inzwischen hat C. C. Eugau (Rec. ganice gypti^che Pioponioneiifrage mit dem iieueii Material aufs Neue. de Trac, XXVII, S. 137 ff.) einen gulen Anlang gemacht.
VAIMA
Der Panil~wvvN
181
zeiclinet.
r^h
JV
leltext
von Kl-CliargeliMmt
^^^
1
S
let/.ten I)ild
\2>g>
Jl
t^=^.
Dor
BoiiincH'
Giii|)uc die
arrhitekto-
XCV.
XXI,
S. 51
11'.,
wiid wolil
in der
dass
Ramses
II,
unter
in
dem
Philometor
Clions-j)C-((r~siclier~rii-\V('He
ersclieint.
Da
die
Weise gegen
halte ich es
ftir
sehr moglicli,
natrlicli
nicht
sicher
ist''.
Jedenfalls
die Ptolemiierzeit in
XCVI.
Ruhcnsohn
licht,
CHONS-SCHU-HERAKLES
III,
Phihe verottent-
welche eine
'Hooc/.Xe'oj;
in
Harensnuphis
gestiftet hat.
Es
zwischen
dem
dem
des Herakles an
dem Harensnuphis
erklrt.
Am
einfachsten wird
man
eine Identitt
lat
Bekanntlich
ist
(Xw)
ist".
',
welcher
in
der
(xjv)
identihziert
III
worden
So wird
L., D.,
IV, 14
il)
^1 IJnsLC-Sw
von Ptolemams
das edle
1.
Z. 35.
2.
In BRu<iScii
Oase
3.
Dass
'/
.-/'/
= cpiyiigi
potestatem habere
ist,
Schreibuiip
4.
/wvwv T
Auch
UU
1
1
cx/
llJ
_HHv^
1\ T "^
f)
Papyrus du
Loiicre. 110.
sel
noch
Urkunden, II, 108), in geuannt wird. 5. Brugsch, Mythologie, S. 486 tf., und T Jaltre Hungersnot, S. 51 ff. 6. Besonders in Theben L., D., IV, 14; Rec. de Trac, XV/162. Sarkophag der
Mythologie, S. 432,
hingewiesen {Hecueil de Tracaux, XVI, S. 41 Skthe, ^Egypt. welcher C/ions-pe-ar-sir/ier-cm-Wse als Lebensreiter des Ptolemaeus Philadelphus
Inschrift
'n/j-ns-ii/r-'b-R'. Brugscii
wo
1,
182
VARIA
t)
A1)l)ild
d. h. die
I
dem
worden
ist',
ist
dann auch
"^
'
auf den ('/ions-Sc/i(t libertragen \\()rden. Dal)ei wird die erwhnte Dar-
dem
der Grieche an
den llerakles
XCVII.
ISIS 'JCasy/r^t:
Otto' kurzlieh
die iMklarung
unibrosa est
ziir
Wie
schwierig
aber dises
k'.pitlieton
zu erklaren
mi ttelbar.
Der
'KjY/'',Sist,
Name
ii^t
ist
wenn wir
die griechische
Isis
Wiedergabe
Chbis.
's-t-ni-hb{j-t)
in
Hh
Name
der Deltastadt Buto geh^genen Insel, auf welcher nach einer agyptischen Sage
i^n IIoius
geboren hai)en
soll''.
l\s ist
Chbis^ selbst hatten, sondern auch in der Weise, dass dise Lokalformen weiter
verbreitet wurden.
bis in Bubastis
/v,S.,-
So wird ein
|y
Vj
auch
""J
X^
" ^^^^
Priester der
Isis
in
Ch-
dem
sonst berlieferten
in
/|Jt;jt'-;,
-/}\i.^'.i
erheblich abweicht.
lsst sich
einem anderen
in
n. pr.
nachweisen,
dem
dem
unsrigen in
vorliegt.
Hr-hhj-t
Horus
'.\p/-?;'.; '"
sie
vokalisiert war.
Ebenso wie
nun
ra
"
'
mn
A'7>/''iC
durch
"A;jLv?,g'.
1.
Z.,
XXI,
8. 79;
VVikdkmann, Z(ce!tes
Sethe
bei
Pauly-
und
Tenipol
im
41-0. o iti
4.
des
in
solchen
Siehe Sethe, .4. Z., XXX, S. 113 f. S. das Nhere bei Sethr in Pauly-Wissowa sub Chembis (2232). 7. Rrugslii, M(/t/iolof/io, S. 392 ff. 8. Slg Grant Kairo nach eigener Abschrift, die von der Wiedkmanns (P. S. B. A., XIII, S. 36) an der entscheidenden Stelle abweicht. 9. HI){/)-j ist die Adjektivbildung von /jl/{j]- Der Name heisst wrtlich Horus, der zu Chbis gehrige . 10. Pap. Louvre (Index), Aramisch ""nPlin, Ci.er.mont-Ganneau, Recueil d'arc/icolofiie orientale, I, p. 239
5.
6.
= IX/U
11.
iMI/
11.
IJr-n-ljh.
Vgl.
in
BnuGSCd, Dict.
gof/r., 469.
VARIA
Die Annalimc einer
xjji-jit;
183
XY.'.;.
Fonn
Transcription
ist'.
Wie
von hb\
Pflug
gMe,
boli. g^eti
xliafx-.;
stelit '^lybi,
-/^-.;
neben
h^bb'',
auf welches
Ubergang von
b in
m. Die Form
/,[JtSi;
mit
dcm bergang
genaue
des zweiten
m
zii
in b ist
zwar
Parallles d;izu
nennen. Die
m lib{j-t)
t-m-hb{j
lit
vor x
t)
Jils
y gesclirieben
wiedergegeben, daer
bezeugen, die neben
tischen
ist
t)
ebenso
t-n-hb{j
schreiben',
Im Kop-
dises
ja
zu ge worden.
darf
man
Karj'/..S'.;
Lokalnamen der
Isis
Da
sie als
solche
Buto
(s. o.)
verehrt wurde,
ist
XCVIII.
demotische Beischrift, welche mir seiner Zeit nicht bekannt war. Sie enthlt den
fraglichen
Eigennamen
stark
in
der
Form
1
ml \
'
^^
7^1-rj
-('nhl,^__
>vJ^ ^2-^
\'^
C!^
U^
sein Herr^
ist
die Umschrift
/
III),
-//v,g.;
bezeugt'.
Auf
der
eine
welchem
ebenfalls
ist
Name
(kopt.
hujot, n*.iyT)
rib
bergegangene h
grie-
chisch durch
Einfluss des
folgendeny
Me/.cfspio;
in
die
libergegangen
ist.
In
-v/;/Y,gi
ist
Ns/O-i^apoGK (Casati')
= nht-J'-r-w
Auiallend
Umschrift von
nb-J',
welches statt
''nb'hc'-[P,
1.
46.
y^
2.
AAAAAA
n
1
zitierte n. pr.
3.
In nb-/
nb-J'y>
sein
GoUes
4.
5. 6.
mit Goitesdeterminativ vorzuliegeu scheini. Nachlrglich sehe ich, dass bereits Hess, Rosettana, S. Nach VS'iLCKENS Lesung.
Herr
sleckt
<=>
50,
JJ
49, in
///
nb-f
bat.
Haus des
Sethe, Verbum,
I, 17.
7.
Eiwa aus
n('bic^/{'!).
14
VARIA
xcix.
DU',
svMiioLiK
''
1)1
:s
salbi-:ns im agyptiscii1':n'
^^ ? l^TTT Ijk." ^
:i
^^''^'-
"''^^
'^ P'^
^^^^'^^
Wendung,
Stle Mnncheii
/eile 18'
'^'-
(]%^^i"^^Yn^
'"'"''^"^
'^'"^
--9^'"l^^.^1!!l-f flli^y?
sall)t (?),
""'
diTAmter go etc.
namlich
(als)
I,
Abydos,
"^
I
vx^
V\
a (;s
wurde
niir das
Amt
.
II.
1,3,
21 (nacli
Setur
in
UrLiindcn
I,
147)
(1%^''^^
:
V\
t'iir
'^^
"^
^k
"""^
"^
^=^='
"
i'-'l'
'>''t
seine
Majestat,
das
Anit des
Frsten
diesen I/'C /n salben. Seine Majestat niadite ein Dcret, uni ihn /uni
Gnaden
(?) .
sa]l)en
Verbindung
ic/'h
salben
unstatt
nd
Verbum
nehrae ich
als
Grundbedeutung
sicli
die bekannte
Bedeu-
tung
((
reiben,
streichen
an.
Daraus ergeben
Bedeutungen
.
nialilen
und
d.
Ii.
salben
a
In letzlen^r
nir
streichen
heisst. Dise
Bedeutung
^
salben
scheint mir
nd
bcreits
"^
paraUel zuni
parallel zu
a
stelit, also
das
salben (?)
in die
Nvasrhen
salben
ist
vielleiclit
das
iiiclit
a
nachweisen kann. Es
,
dem Verbum
ein
salben
ist
aber dann
jemanden
oder
Amt
salben
sein.
dem
Beispiel von
Amt einsetzen
Giebt
es
nun im gyptischen
Brauch? Welches
ist
Salbens?
blk
Oel
Denominativum
blk
oelen, sallien
Verba haben
die bertragene
schiitzen, feien
o. a.
1. 2.
SciiiAi'Ar.iiLLi,
Museo arch.
bei
di Fircn^e, S.
489^
Pn;iii,, in
Sphinx, IV, S,
15.
Bemerkuugen im Ardue
fui- Rcli'jioii'^icL^scnsi-liaJ't,
IX
^<
Die
den /Egypiern
II,
DvROFK-PHiNiiR,
l'iiot. Stcleii,
Dumiciikn, K.
/.,
43
Cuum, P.
S. B. A.,
XVI,
S. 132.
VARIA
185
\v<lcli(^
icii
dcm
danke
Edfoii (Rochemonteix,
:
I,
589, 2).
Metternichstelo 186-188
^.
ib.,
-ww^^|^^_
183
:
lloms
ist
goschiitzt {b\k)
gegon
und
'^^^^
1]
A^ ,:3v\1
" ^^'^
nic'ht
besorgt
(o.
\.),
Gottesmuttcr,
,^__^
das Kind (=
JT ^ Y
[^
"^ 4
"^^^
I
Bruders
'
.
))
mp
a...
vor,
Bedeutung
gesichert
ist*,
und ebenso
in
'nd, welclies
Fett
aucli die
von
lieil,
geschiitzt sein, o.
also eigentlich
strichen sein
l)esitzt.
Demnach
und das
ist
wichtige Schluss
ein
kann fur den gypter der Sinn des Salbens bei der Einsetzung in
dadurch der Gesalbte
Amt
nur der
sein, dass
geschiitzt, sacrosanct
hissen, so
wurde.
Sollt(.'
wrde
sie
nach iigyp-
tischer
C.
BER
EINl-:
GRUPPI-:
VON PARTIKELN
die hofentlich bald einmal
Zu den
in einer
vielen
Partikehi
will
o. a.
zu bersetzen pflegen,
und dabei weniger das lexicographische Moment betonen und der Entwicklung
Es giebt 3 Partikeln
dieser Partikehi nacligehen.
fast ausschliesslich auf die
fiir
siehe
I)
^"-, HI)
flO
'.s.
I.
(1
/wvw^
defectiv
^-vwvn
(')/?,
.-
1) 2)
vor Substantiven,
vor den Pronomina absoluta
1.
:
Sgl.
30/17)'.
2. 2.
Sgl. masc.
Sgl. fem.
V:^
siehe
du
[P.
siehe
du
1.
2.
3.
So richlig vou Herrn Dr. Bollacher gedeutet. Nach meiuer von dem Wb. abweichetiden Ubersetzung. Es liegt keiii Grund vor, nd reiben von nd lchen zu treunen. Beide
Siehe
jetzt Sciiafei,
4.
Osirismysteruim, S.
{sic),
22.
in
der Rosettana, 23
demolisch
gricch. durch
7iatj.0v3iv
M.
447,
ti
niek
P.
If,
r.ECUElL, XXVIII.
NOLV. SR.,
XII.
24
186
VAlilA
3.
Sgl.
(loin
I,
inah;('.
"^^^^
1 v^
sielie
or
"\T"/?.,
19*.),
u. s. f.).
3)
vor
P.
II.
63
1)
vor Substantivon
P.
I,
97-98 (var.
"^^"^
P.
II, 48).
'^^
""^
(P. /, 123)
2)
isioliG icli
(Siiarpe,
a
I, o."),
13).
^^=^^
T. 202,
ib.
ni{j)-h
siehe du
T. 275,
W.
232, P.
I, 28,
var.
_^^^
^F. 589,
469);
^ ^^
3)
P.
//,
W.
2. 3.
"""^
^^^"^
^V;, 288.
Sgl. fem.
Sgl.
^^=^
^^^^
''^UH^^^'^- 275.
I,
^^^
siehe
icli
'n{jy.sw, P.
o
Die Schreibungen
bestimmon mich, mj zu
Ans m{j)-k{w)
siehe
^
du
ist
^^
V^
3)
m//v-r/
vor
dem
Verbalsatz
Vielleicht
m der Wendung
.
^^,
^^
fe^;-^
siehe sein
Sohn
lit es
ilim
gemacht
III.
(j
'.^
(eic)
2.
Sgl. masc.
a)
p^=.',
']P^='^'
^''^^-
1^^=^
/
>
siehe
du
bei
)
.
man
bildet
'sf.ic-j T ,
siehe ich
skic-j
Vermutung Gardiners
:
hinzu, mit
dem
With
regard to
[^
>,
perhaps the N. .
at ail
still
11
knew
its origin,
since
it
always
writes Uy
should not be
surprised
"
if
^f^^'
lli >^
fjO^^- ^r^^^l'V"
1.
2.
und Sethe, Ver6um, 1, 285 a. Zu den beiden Formen k und tic siebe . Z., XXX, 17 Die Annabme Ermans (A. Z., XXX, 18), dass m/uc fur m/,'-kie siehe, ist an sich unwabrscheinlich und
fif.,
Auhfhrungen.
I
Beachtenswert
ist
die Schreibung
I,
Im brigen
vgl. zu
den
DEMOTISCHE MISCELLEN
So
luckenluift diesc Skizze
so hofl'e
docli
187
ist,
icJi
(1
1
imd das
ist ihr
1^:11::^
Hauptzweck
und
s=*
(]
DEMOTISCHE MISCELLEN^
VON
WiLHELM
SPIKr.Kl.BERG
XXX.
XXXI.
Das
y.tpiix'.rr/
iii
demotisclien Tcxteii.
XXXII. Der ctypa-fo? yajjioc iii demotisclieii Texten. XXXIII. Sesostris in demotisclier Schreibung. XXXIV. Zu den Choacliytenregeln (Pap. Berlin
3115).
)).
XXXV.
XXXVI.
ujtoju.
Pachtschilling
'
in gyptisclien Texten.
XXXVII.
Hirt
(e.Ai.e).
XXXVIII. Der
in demotisclien Texten.
XXXIX.
XXX.
zuerst
DAS
xp[j.iov
IN
DEMOTISCHEN TEXTEN
ist
die
icli
I.
II.
III.
1.
Tracaux, XXVJ, S.
154.
t88
DEMOTISCHE MISCELLliX
3G
4 ^
J^^
^^ ^
> ~'*'^
1
^^ ^'
j 4
'
(= Arlabensigle')
sind, inithin
(^%
>>
=V. .*:<:
fsieJi
^A,U,I,,:-.
eiiKuii
Islickoiiliakl
ans
dem
Hier sind 72
1 Vs
f\
Da
^'^/
=
Va
-18
ergiebt'.
mm
/.pi;j.'.ov
=
:
i^^w^r-'S
so folgt daraiis
mit
^^
m%\
^""^
y^ =
.
''-p=^;-'''^s
2)
Artabe
= att.
Metretes,
ist.
so
i
kennen
\vir eine
andere Sclirei
T y.epi^iov
imd hnlich
.
ein von
Hess
'
initgeteil-
'
'
^ /^ ^"l
Da
das
pi
'rjj
der
Wein
tesBerlinerOstrakon
xpatjnov
^
((
j^
Dise Schreibung
y.o.z'
ist leicht
zu erklren,
ist,
das
Wein-
^'
))
mass
zioy-r\v
))
(Wilcken)
Wein
Silber
fiir
l^^
'.
die
Silbermnze
man Wein fur das fur man im Demotischen meist 20 Drachmen schreibt". Nur seltcn schreibt
so setzte
man
^^
^l^^^
Silber-(i^6^n
chende scheint mir nun auch die Isingangs besprochene Sigle der Heiratskontrakte
1.
2.
fjf/^////i}[^V\
i^%'^*^>^ih^%^^^\Wi
"d
.30608 >
/^<^i'^^}i^oiim/'i-^/:^c^lH^2>l^^
Wilcken, Ostra/ca, I, 762. Und wohl ebenso Mag. Pap.,
Rosettana, S.
8.
4.
5.
11/29. Vgl.
dazu Grifi-itii, S.
2.\
Aiim.
64.
6.
Gold
7.
gelegeiitlich im Hebrischcii die Muzbezeicbuuug vor S]C3 Silber und 2nT weg. z. B. SH) mttT 10 (Sekei) Gold Pp'3 Cirr 20 (Sekel) Silber >>. Z. B. Pap. Strassb. 48; Pap. Vatican (Phot. Pietner) Rev. 3/25; Kairo 31088, 9, Siehe auch Brugsch,
Z.,
XXIX,
S. 65
ff.
1)I<:M0TISCHK
MISCMLLKN
/wei Abkiir/ungcMi, deren einc
189
'Ar>
man
coTo
ja
zLi
d(Mi StofI'
dem
Stofzusatz
sw'^'
Wei/en
also pnot
tritt,
Aruren
unserer
1^
_.
d.
i.
>;t
mcbte
xptji;ov
icb
in
in
Keiamionbezeicluuing
^^V
nnd
^ /L
icb
Piiit'
Abkiirznng fur
Wein
selien.
Nocb mcbte
\v(>itere Stelle
aus
10 [Silber(-c/e6f/0]
Silber(-J^6Az)
= 50
400 Keramion,
um
20
vollzumacben^
20
Silber(-rfe6A?)
= 800
Keramion^
Daraus ergiebt
im
(231/30) 40
Keramion
= 26 73
Artaben ein
Silber-f/^'6''yi
= 20 Silberdracbmen
gab
es 2
Keramion oder
XXXI.
die
^1
1
1
j
'
,.,
m.
W.
worden
liegt.
ist\
obwohl
*'
\X\^
die
Lesung
die
mh
ntr
Gotteselle
auf der
Hand
Dise Bezeicb|
nmig
ist aucli
mh
Elle
es
ntr nachweisbar.
Ob
Gottes-Elle
Konigs-
ist,
denn
neben der
Knigs-Elle
und der
kleinen Elle
1. 2.
"3.
Zusammen
4.
XXV,
5. 6.
7.
Siehe das Nheie iii nieinem Kommeniar zu den demolisclien Papyrus Reiiiach, p. 11. mil 10 vorher erwhnteu Silber(-c/'*i/''). Vgl. Gkknfell-Hunt, Tebtunis {jap., S. 586. Pap. Cairo 30602 u. 30603 (= Revillout, Ch/est. dinot., 401 ff.); Pap. Innsbruck, Zeile 5 (Rec. de Trac, S. 4 H., Tafel I; Pap. Leideu .378 (= Noue. Chrest., 113 ff.); Brugsch, Thsaurus, 971.
8.
Pap. Kairo 30602 u. 30603. Pap. Kairo 30612. So Chrest. dmot., 405, Aniii. Rec. de Trac, XIV, 33.
1)U
DEMOTISCllF, MISCELLKN
l)ekaniit
gownrdonon
I'',llon
'^ind
2) 3)
mh mh
ht
U Elle
;
.
mic
Wassei-olle
Ellcn
inisst
a
Wasserelle
die
,S.
Papyrus
(n"
U, Ncr.
f/ypt., III,
S. 137
. Z., XVII,
87)
ist
die
Elle des Nilometeis, nacli welcher das Steigen und ballen des Nils bereclinet wird.
XXXII.
DER
aypa'po y^-o
IX
DEMOTISCIIEN T1<:XTEX
in
346)'
daliiii definiert
Ev-pa-^o,-
'
solennem Ebekontrakt
mit /usage des elieliehen Zusammenlebens und Stipulationen uber die Mitgift (und
anderweitige Vennogensverhaltnisse) besttigte Verbindung,
a^pa-fo; -{iixo;
eine vor-
sieli
nelimen.
leli
will
im folgenden versuchen,
Spuren des
ayo-z'^o -(ii^o;
in
mit der Absicht, andere zur Naelipriifung und Weiterfiihrung meiner Untersuehung
anzuregen.
Wir
Texte
fiir
verdanken Griffitii
den weiteren Begrif
{Stories, S. 87)
Frau
cg^iAie
und /i{j)m-f
((
das
B.
uxor
:
z.
ZoEGA, 493
ngxioT.
((
ctlC
itAcoT ncjawne,
^hti
ovcg^ijue
*..cp
OTOToeiT
Bloss
wegen Rckwartssebens
ist
Lot verwandeit
zu einer Salzsule".
So
ftdirt in
den
uxor
erklrt.
Diesem letzteren
Hausherrin
'.
und der
ffovot/.':a'.ov
Kontrakten das
E-p/pa-^o,-).
der
terminus teclmicus
fiir
die vollgltige
Ehe"
(7x^0;
Icli
wage nun
Kopt. eiTii, s. Cuu.m-Grikfitu, P. S. D. .\., XXI, p. 2j1. Die Ehe in gy^ten zur ptolemi>ch-imischen Zeil und Bi'.assi.okk Vgl. dazu weiter Niitzoi.d KeiiMtniss des Vollcsrechts iii den ronaanisierten Ostprovinzen.
1.
2.
Zur
3.
Zu dem Ausdruck
Damit erledigen
Vgl. auch
vergl.
Waszynski, Die
Bcxlen/iac/it,
S. 33.
4. 5.
sieh
Reviuouts
a.
Bemeikungen C/irost. dcmot., 337, .\nm. mehr gemacht (vgl. Zof.ua, 9G).
Osiraca 289.
6. 7.
Anm.
13 bei Zoega,
und
Ciiu.vr,
8.
1^)1
wo
eine ver/wiratctc'
als
-'ootcpo;
Vnm
als c^iAie
feinina
Ixv.cicliiict
Ehc
yaiJio;,
Dcr noIIcio
\orlaufigen
werden
lautete,
wenn
niicli
t
s-/it
n s'nh'.
s-/i( /)ni
keine
iixof ,
und
als solche
angesehcn.
IJas ergiebt
wo
Mannes
zweimal
h{j)m-t
Eliefrau
^^
))
Hausherrin
.s'/?//-l'"rau
(und) Genialilin
wiedergegeben.
Was
die
Bedeutung von
.s'nh
welche
z.
sicli
B. ZoEGA, Cat., 123. (Der heilige Makarios erzlilt, wie er von einem
sei, sie
Madchen ver^^'^"'^
lumdet worden
verfhrt zu haben)
oTog^
nexe necict,
"^^e
'
TejiuA.<xi*>M
*^"
tiTecoTioAi
und
meine Zelle ging, da gab ich ihm die bei mir befindlichen Korbe, indem ich
sie,
sagte
Verkaufe
Ebenso
lieisst es
Zoega,
epoq
Es
ist klar,
dass hier
ce.nuj
ujd.nty
von
dem
Alimentieren
einer Frau
und
in
sein.
Demnach
bersetze ich
so,
s-h{i)in-t (n)
dass
(a^potcpo; -(iiJ.o;)
'
unterhalten
festgesetzt
wurde, hiess
sS'
s'nk
Alimentationsschrift
Schrift der Ehefrau
'Yypacpo^ 7210.0?
ss h{j)in-t
((
jetzt in grosser
bald einmal in einer besonderen Arbeit zu behandeln'. Dagegen sind die Vertrge
bislier nicht
Cat.
Cairo,
30607, 30608-1-30609), die meines Erachtens als Vertrge ber eine provisorische
Ehe
1.
:;.
f.,
wo
I\'s-Hii!i
(nach Z. 33)
Sbne
hat.
3.
2.
Siehe auch die Bemerkung am Schluss dises .\ufsatzes. Verbessere ujtt. 6. Pap. Louvre ^428 {Chrest. dmot., 216). 7. Pap. Louvre 2443 (Chrest. dmot., 256), 2433 tfl<;f. gypt., L Tafel 44). 8. Die zur Zeit beste Zusammenfassung fiiidet mau bei W. Max MOller, Die Liebespoesie dor alten yEgypter, S. 4. Fur die juristische Seite der Frage, vgl. die oben geuannte Abhaudluiig von Nietzold. 9. Weiter gehrt bierher Pap. Bibl. Nat. 224 (Hec. gypt., II, Tafel 44), von Revii.lout verl^aunt.
4. .
192
DEMOTISCHE MISCELLEX
erklrt
(aYox-iio;
72,^0;)
liegt
30608
-|-
30609
in
Schma
ist
folgendcs. Der
Mann
erklait der
Fiau
Du
Den
Summe'
als
deine Alimentation
(i'/i/i)
gegehcn.
2.
gehoren.
3.
Ich gebe
dir
dii'
((
dcin
l'isson
und Trinken
und garantiere
sic
4.
s^
T).
Du musst
zu
In
lei.sten.
l'id
30()0.) ist
das
Schma
5;}
1.
Du
Dei'
hast
mir
das Sin)er
gegeben.
soll
l}
2.
gehoren.
3.
Frau
in dieser Hinsicht.
die wesentlichen
die
nacli
j!}
2.
3. Besttigung liber
als
Eigen-
besitz der
4.
5^
dem Mann
zu gewahrenden Febensunterhaltes.
5.
Der
lteste
Sohn
soll
^ G.
Mann
zu zahlen hat
fiir
in die
fehlt
Ehefrau
ge-
Fall der
Ehescheidung
ja juristisch
Form
Vor allem
sieht
man nun,
dass der
Suinme zugebracht bekam. Dafr war aber Mann und Frau das Vermgen gemeinsam und
die Frau des yp^'f^
Mann
darin lag zweifellos die grosse Sicherheit der Frau auch bei dieser provisorischen Ehe.
in
breiten,
p]r
1.
dem genannlen
2.
Detn Ehemami.
DEMOTISCHE MISCELI.EX
103
iin Jaliie
lit
43'
;iin
Sicile (?eic?) or
;in.
))
P. 30608
P. 30609
\\v
ontlassen.
ist
{yiijo; yypa-io;),
in deiu
Eall
noeh etwa
Wie
gestellt.
ieli
sclion
oben
feststellto,
Form
der Ehe
pi-'o^')
2 Arten von
Urkunden
aiis-
So
betreft'en
die oben erwahnten Pap. Cairo 30008 und 30609 dieselbe Elu;
und /war
6-s
lieisst
die eine
Urkunde
(30608)
s.s ,s'/?A
Alimentationssclirifl
die andero
weshalb
sieli in
l.)
Tababae, ehe
dem Setne
zii
Willen
ist,
10^ tb
'.
Ehe
die rechtliche
Basis erhalteu
Konkubinats
geschiitzt. in
Was
die
ss tb ht anlangt, so
Wortzeichen fur
(tioooAc)
argenti
))
also se tb ht
charta retriluitionis
argent!
.
((
Da nun
dieser
Ausdruck
setzung
Zahlimgsurkunde
trefen.
])eiden
-/7pa-^o;
Wenn
Obersetzungen der betrett'enden Urkunden in dem zweiten Bande des Katalogs der
demotischen Denkmler des Kairiner Musums vorgelegt haben werde, so werden sich
liotentlich die Juristen dei'
wie ich
-p;-'-o;
hoffe,
'yyP'^T'^;
und
zu unterscheiist,
Doch kenne
den
Leidener Papyrus 185'. Da der Pa])yrus auch abgesehen von der hier errterten Frage
Der Koiitrakt
Es
ist
1.
isl
vom
II datiert.
2.
o.
Ich schliesse fiiich der grammalisclieii Auftassung von Gkifkitii {Stories, S. 129) an. Die fiher bli'jhe
th
fit
fur Geld setzt /./ w' (/) tl/ fit ira Text voraus. woselbst eine Frau Sentheutes so heisst. fi. Vergleiche namentlich die Schreibnng in der Wendung 'n- (/) th ht fur Silber erwerben . /.. B. l^ap. Strassburg 8, 3 liegt eine Dittographie vor. Strassb. 21, 4; Cairo 3O6S0. 6. .Spikgii.bekg, Strasb. demot. Papyrus^, Seile 8. 7. /?t're r/ypt., I, 91. Meine Bearbeilung beruht auf einer Photographie, vvelche ich dem frdl. Entgegenkomnrjen der Verwaltung des Musums von Leiden verdanke. Zweifellos werden sich am Original noch manche Stellen lesen lassen, au deneu die Photographie versagte.
Ubersetzung fur
4.
eine andere
(se. .Schrift)
Unverlentl. Papyrus
Amherst
23,
ISECUlilL, XXVIII.
NOUV. SR.,
XII.
25
li>4
DEMOTISCIIE MISCPXI.EX
von Intresse
v. Clir.)
ist,
so lasso
icli
einc voile
Oheisetzung
Urkunde
folgen.
gckenn/.eicimet Nxordcn
Tliot
(=
130
und der vaterliebonden Gotter und der glnzenden Gotter und des Gottes, ist, und des mutterliebenden Gottes, und der Gotter Wohlthter,
]
und
-toXo,-)
der
Isis,
gross an
unterder Trgerin des Kampfpreises vor Brnifj, der wohlttigen, und (unter) der
Triigerin des Goldkorbes vor der bruderliebenden
Arsn und
sind'.
{=
bei)
dem Knig
i
(?)
(1t^)
P^-dj-s-t
(Petisis),
Sohn des
(c^ijue)
(?)
D-hr
(Teos)
Ich
Du
hast
mein
Herz zufriedengestellt
mit 750
3750
Statei-,
wiederholt 750
Silber(-/"6''/0,
was 2 Silber
Krkr {=
24
Vio
'
Hand
ist
damit einverstan-
Wenn
Frau verstosse
gebe ich dir
bist, die
fortgeht von
so
obigen 750
Silber(-<i^6^AA)
Zeit,
wo
ich dich
von
als
(se.
bestimme
(?),
und zu
dei-
Zeit,
wo du
foi-tgehst
selbst
welche
(se.
die Zeit)
du bestimmen
wirst.
Wenn
750
Silber(-<i^6^'/2)
))
Keramion
7
[V,o]
'
hhi
{(js{'>)
hn) Oel
monatlich,
Si\heii-d<^ben)
=
(??)
37 \4 Stater, wiederholt 7
Vio
Stater zu
du
als
dein Geld,
um Ausgaben
machon monatlich.
200
Silber(-f/6e/ij
= 1000
710
nung) Kupferobolen 24
willst.
als
1
{'sic)
Du
zur Last
lllt.
um Ausgaben
zu machen
fllt
ich noch
werde,
kiinnen
ist
:
Ich habe dir (bereits) das Silber der obigen Schrift in deine
(eic),
Hand gegeben.
(?)
Siehe
die
Sht
(?)
und der
Empfange
Hand
des Ober-
1.
So
ist
leseii.
ati
das
zo\t
ovto;) von den Priesterinnen (twv o-jirtov) im Jahre 40 verlrieben wurde. Siehe dazu GniNFiiLL-HuNT, Tehtunis Pa/iyri, p. 580 (., und Papyrus Th. Reinach, S. 184 ff.
II,
von
dem
Priesier
(-o-j
\(>
arpaTOTrSo.
Man
II
DEMOTISCHE MISCELLEX
Sohnes des Pet
10:1
bestatters
Solines.
steht,
(?) Petisis,
Moge
jedem obigen
Ileiv.
i.st
oben gcschiieben
oi'
jedes obige
Wort. Mein
Saumen.
Was
dir
davon
icii
Wort gemass
Geschrieben von
"k-oj;
'x
-^aro.p'.
iva[YY|pa-Ta'.
-m
Avojo'.Et.j
-p/pa-^o;
Yi;/o;
aus,
in ^veleher der
Mann
die
Frau
als
Ehefrau aner-
kennt. Aber andrerseits fehlt die Anga])e der Morgengabe und dafur erklrt die Frau.
dem Manne
eine grssere
Summe
Das
beider Eheformen aus, und ich mochte daher die Frage aufwerfen, ob
Y3([Jio;
nicht ein
aYpaco; in
eiuen
"^i'xo:,
hf-rpoL(^o-
verN\andelt
worden
ist.
viel
in juristischer
Mir kam
XXXIII.
Ci
Eine schne Besttigung der von Sethe' berzeugend begrndeten Lesung des
Knigsnamens
\\
I
worden
fi^i)
^^
f7 U ^^ ,^^
so aussehen vR
|
It^
S-{n)'-icsr, so
man annehmen
wsr
-Ci
AAAAAA
'
schrieb.
Merkwrdig
ist es,
dass
richtig einen
Gottesnamen
mnnlichen Gott
W^s?-,
der
,xc*\*^ '
M^
45
ff.
1. 2.
3.
und Altortunishunde
jEyjjptens,
II,
S. 6
ff.,
uiul A. Z..
XLI, S.
Aus der
Jl.
4. Der Demotiker schreibt das geneliv. n al>o ebensoweniy wie wird (Siehe unten S. 200). 5. Siehe SF/niE, a. O.
asv-,
ltti
DEMOTISCHE MISCELLEX
hn-ntr
/)'
Wsr
Demnach
ist es selir
wahrscheinlich, dass
d(M^
Mann
mil' in
dem
vcrschiedcn.
Weniger
Paj).
wahrsclicinlich,
ist
namentlieli
ini
Amherst,
Man
knnte
aucli
S-wsr ohne
(n) leseii
und darin eine Besttigung der folgenden Aiisfiibrungen Setiies {A. Z., XLI, 52) selien iMn solcher Name wurdc machtiger Mann bedeuten, und icb k()nnte mir
wobl denken, dass das gyptiscbe Volk
bei seiner
bekannten Neigung,
Sc-wser machtiger
erste
Mann
Deutung
XXXIV.
In
ZU DEN CHOACHYTENREGELN
Berlin 3115, welcher die Regehi eines Clioachyten-
ordens enthlt, finden sich zwei Titel, deren Bedeutung mir erst bei der Lektiire von
Leipoldts Biographie des Schenute klar geworden ist. Die mter, welche demotisch mit n (Seite 7) Mann des Hauses
'
und pi
mh
snw
(Seite 4)
der Zweite
pjLinHi
((
auch dem
Smne
Hausvorsteher
und
nxieg^cnewir
welche
\vird
in der
Organisation der
als
Mnche
blich sind.
Auch
mh hmt
in
der Dritte
demnach
Amt
zu fassen sein.
Zu dem
Speisen
Priester
Trinktage
(S. 7)
besondere Lieferungen
S(i\/ f J m^
'
Getrnke und
bestimmt
.
sind als
^^
(1
'^^^-^
^'
XXXV.
In
DIE DEMOTISCHE
GRUPPE ER
ujtojut
PACHTSCHILLING
dem Kommentar
als
Abgabe
Die Lesung habe ich oJen gelassen und nur soviel bemerkt, dass meine im Text zu den
Berliner demot. Papyrus (S. 13) in dieser Hinsicht geusserte
Vermutung
zwischen
so in
ist
in Paclitkontraktcn,
begegnet,
1.
Es
ist
mir mehr
als zweifelbaft,
ob
in
\\\
l,.,
c/,
eineu
4.
/.6piov
oder
csooo:.
DEMOTISCHE MISCELLKN
197
((
(lie
' ..
Artabeu Wei/cn
dej'
hclriio-t .
Hier
ist
Mit
Lesung
.sm
ii.
Weiteres auf
ujcoai, ujoa*. d
Pacbtschilh'ng
ist.
gefiihil, der
uns
Kontraktiitteratur' l)ekannt
Wir
ist,
wic
B. in
u.Jiil'^
^**^**
"^'
neu
und gewiss
isl
'.
in
<(
einigen
Woften,
in
ist
denen er
natiirlicli
bislang
verkannt worden
Pachtschilling
'
Wort
fiir
Sommer, Krnte
tungsnbergang
ist
sm
n pi klni nt
.s.s
hrj n{^=in) pi
<l
n rnp-t
((
ieli
dem Wuehse des Jahres x und Pap. Heidelberg 723 ^n-n^ p>l nt ho ni ss n pl-f sm r pi r- Pr-l lui ni pr-t nt hrj r Pv-l r "n-t-f r hr-n a wenn Ernte [sm) ist, so gieb ihren Pacbtschilling [sm) voll an das Tbor des Pliarao mit dem obigen Getreide gemiiss dem, was die Schreiber des
oben beschrieben
(cne)
mit
sm hpr mtw-k mh
}j_
(d.
li.
bestimmen) werden
/)/3
-/GV>
((
S>V^/^
Xfti^' l^ \\%i A
(?)
"^^-''
mhpl-w sm
riDp/, ri
Pr-l
Das Deternach
liieratischen
Form
ff ^T
pr-t ((Getreide
(z.
B. Rosettana) findet.
\
XXXVI.
IN
GYPTISCHEN TEXTEN
Wenn
ich dises
Namens einem von Legrain in Karnak gefundenen griechisch-demotischen Text' verdanke, in welchem das n. pr.
1.
2.
Crum, Ostraca,
Sollte eine
230,
Ad.
16, 18;
Krall,
Gruppe wie
rh ty daran schuld
sein, welclie
geworden
ist?
mebr
in
erhalten.
4.
Er wird
voii rair
demncbst
198
DEMOTISCHE
MISCEI.I.EN
(luicli
mi^pcoToc,
ist.
'ivapio:;,
Miedcr-
^aJ.
I.
oil
:
gogeben
Dieser
Name
icli
lsst sieh
nun
deniotiscli in
:
don
Fruhdeniolischo Schicihungcn
a) Lciden
M.
:
variant.
^ \\
:
^^ ^
ft
^^
4tL
^ ^ ^
hiei'ogl
.\
tisch
^^ 'f!^^!
:
C^
II.
Ptolomisclie Schieibungeii
'/
a; Setne, 4/31, 32
^;S/:JJ fa_
:
^^x.^^O^
lem.
:
[)r.
y */u fl
III.
Romische Kaiserzeit
^aSoSI
/j^
'
b)
Krall, Petuhastis
^^Z^:
JS
2^^
3-^^l
<)
Neuer Petubastis-Roman
(Strassl)urg)
I,
n 443,
}
I
->i J
trotz der N'ariante, auf die
ieli
unten zurckkomme, in
der liierogh'pliisclien
tiscben
smmtlichen demo-
Namen dem
hufigen
der Sptzeit
ins
v\
t'assen,
jr-t-Hr-r entspreclien.
|
Wenn
Name
wohl aus
Auge
I,
zusammensetzt, so
(liierat.
h ziemlich deutlich zu
erkennen
ist,
^^^
in
^^
und
1.
Danach
ist jetzt
manches
ist
S. 94,
zu berichtigen.
2.
3.
Die Handschrift
Wiener und stammt etwa aus der Zeit des Augustus. Ebenso df, Ricci im Mrz 1905 in Cairo erworben hat.
DKMOTISCllE MISCELLEN
1<)9
in
I,
fiigt
(1er
'^<'i'-
Grappe
in
iiocli
das De-
terininativ des
Isin
Sehens
-^5-'
ganz neues
Moment kommt
Da
'n
in der Ptoleuiaerzeit
vor der Augengruppe ein Zeiclien, welclies nian fur das erwahnte Deteiminativ des
Seliens lialtcn knnte.
es aber ini Anf.-ing vor
dem Auge
stelit,
,
man
wird, dalier in
das bekannte
demoniclit
II,
Name
durch.
'von den
Formen der
ersten
sicli u. a.
und
b,
\\o ja dieselbe
Person genieint
kann sich
ni. \\.
nur
um
einen Versuch
handeln, die Ausspraeiie des Nainens \\ied(nvugel)en, welche wir ausser durch die
neiie Transcription
ivxpw;' nocli
-avapaC-
kennen\
ist
Der Name
tct)
^v
scliiitzt
jr-t-Hr-rw
^a
das Horusauge
gegen
sie (gerichist
d.h. es
ein
anderer
Name
zu deuten, das
'^^(1
_/J
1
V
AA^AAA
i"
I
y^dkj
des
,.^m^
,j.Vf^i|
Amons
(-xi
Auch
in der tlieofasst sie sind
geschriebcn und im Pap. Casati durch Xtuvapajc wiedergegeben wird. Der Sinn
Namens
der Geist
ist
gegen sie"
phoren Namensbildung
iinter
N.
ijuoo-r)
Gott N.
dem sie
ivapj; ist ci
und ebenso
in
.
dem
n. pr.
Nhi-f'-'r-w
=1
NejrOcpocpot;
(Pap. Bcrl
-<s>I
3116, 4/7)
-.
ist
In
durch
B.
.<2>- in
sinoe das
stark
zusammengezogen. Urspriinglich
1.
Wie
.So
in n*>T.
2.
auch
iii
dem
n. pi'.
Cairo31134(Cafa^o,7e, S.6;).
XVll, s.
3.
94.
^ ^^ ^ Y <^)u;&^t/iy
X
Il ^
/*D ^"^"^
c/c
7>
4.
5.
Neuerdiiigs auch Pap, Reiiiacb (Piolemerzeii) und Milne, Greel,S^iEciELBERG, Denint. Studicn, 1, p. 61*.
Vgl. dazu
\\
l/iscj-i/it.
Cairo,
9.47, v 1.
"^
S\^^^^
^^^^^
richtet),
6.
7. 8. 9.
welche dich schmhen d Destruction nach Erman, Clii-i-.<tomatlne, 67. Ledrain, Bibl. Nat., 58, 59; Turajf.fk, Ab/d'/i;., l'..04; Gkkicne, Fouilles, IX. Pap. Berlin 3119.
Pap. Berlin 3112, 5. Pap. Casaii (d. Young).
^ "^.iH ^
der Spi/eif,
'
^s""^^^
"
''^''^
'^"^^
'**
^^^'^
"^'^
'^'
10.
11.
(J
in
z.
B.
.V-'-f//', /.. 2.
Wir
erhalten damit
yi- als
^^
'lu
eini-
des Ketzerknigs Chinatn oder Cldnatn aussprechen drfen. Das stimmt berraschend zu der von mir gemutmassteu keilschriftlichen Wiedergabe der Amarnatafein Hl-na-tu-na.\g\. auch
Z., L, s. 108,
Auch
dieser
Name kann
man
in
er
Stelle aus
13.
610, Z. 101)
t^-izil
if":^(2
2.
ws,
III
als sie.
Siehe
II,
S. 370,
Anm.
.S.
.^^
.;
vgl.
Sethe,
Verbum,
Anm.; Spiegelberg,
93; Calice,
XXXIX,
S. 119.
Ich
20(J
DKMOI'ISCIII': MISCL:i,r,K\
(Icr
Xiime
i-[n)-H"i'-''r'^'ir.
X'iclleicht ist
iii
(1er
Sclii'eibung
/^
\\\
Qju.1
('
''"' ^"^'^'^'
'Y////'^o/.,
Ml,
/
S. 34,
inilteili,
dio
Giuppi'
lautlich bestimmt.
'
gescluiebcu wird.
a
ist
. .
des.
^o^liegl.
iind
Auch
hiei'
wiid das
n,
giiechis(-!ieii,
liscbeii
keilsclirit'tlicheii
iiiir
ausserst
selteii,
liierogly|)hiscli od(M-
IJel'ectivschreil)ung
vorliegt,
was
niir
wenig wahrsclieinlich
de-;
ist,
so
mag
die
alten klassichen
Sprachgebrauch
ini
\'()lks><|)raclie sclion
Wie
leiclit
nui'^', ^^ ir
den
Namen
V\
jr/'
(-(n)-Hraus
nr
zu
leseii.
Ans
H"i--''r":r' ist
dann
li"-r^
begreillichen
Grnden
/usaninienfielen,
ist
da
\''okal
mitiel-
denn
die
saliicl.
/
epoo-y
und
])oheir. epoo--'"
^p*.--".
Das tonlose
worden
sein
und
sicli
dem
folgenden
*.
angegliclien haben,
wenn man
nicht etwa
in
dem
zu Tage liegt.
^^-\^
"""
^^\'^
Br.,Uebeide,>-.U,gei
.
er
liisst
Ferner
n. pr.
-^^(1
^,
Rer. de
Trac, XXV/59,
^S\
Jfi (var.
fem.
^ >\
fl
fl
v\
(U
tu
jl-t,
Auge
bedeutet.
Noch
will ich
Cl
(Totb., 174),
XX,
S. 190,
Wort
fiir
Aiigapfel
er-
>^iJ
W.
"^
.7f
"1
-l
zu verbessern
isl.
man
unser Wort vermuiet hat oder vermuteii knnte (W. dass sicb daraus etwas Sicheres folgeru liesse.
494=
= r./295
Booriant.
\vo tias
ii.
pr.
giitigst mitgeteil-
Bouriant
1,
\'gl.
Deinot. Studicn,
S. 28,
wo
w^ _^
i
VA
ioh treilicli
(.\.
Z.. 1890, S.
.l)
das Fehlen
dem Namen
XX,
37,
A;
der
ich
XXI,
4.
47,
und .
AIso ebenso wie die geminierenden Verbalformen die doppelten Konsonanten kontrahieren,
niclit
wenu
Bilduiigsvokal
dazwischeu steht. 5. In der Form 'IvapwrjC;, Milne, Catato'jue-Greek inscriptions, 33028', enthalten. verdanke das letztere Zitat Herrn Dr. Schubart
26,
und
6. G.
L'.,
111, 806, 7
6. 7.
Wie
in Xijj.vapa-j:
(s.
oben).
e>ii- in es.tiigo, etc.,
ist
n"
nach A.
Z.,
XLll
Papyrus Erbach,
DEMOTISCIIE MISCELLEN
Fuhlung mit
201
schreiben
III,
a, c,
d,
dei- I"'.tyinologie
dos
Namens.
Der oben unter
I,
a,
<s>-
<d>
Namensform findet sicli in der Sptzeit so hufig, dass liier kein Versehen vorliegen kann, und ist aucli im Demotischcn zii belegen, /. R. Corpus pap., XIII, n" 12,
^^(/%
ist.
nnd
also
ihid.,
XXII,
n 22,
^1,9^'^
ist
mo
Auge geschrieben
Al)kur-
Es gab
'^'Ana/'aus, die
ist
zung j'r-t-rw
Auge
(se.
des Horus)
gegen
sie .
Lautlich
die Variante
schwerlich zu begrunden.
XXXVII.
DIE DEMOTISCtIE
icli
GRUPPE FUR
HIRT
.jmc
die obige
Lesung vorschlagen
:
moclito, findet
sicli
Saiten<ett
M^'^k/^l
;
^^\^y/% i(jt
ma.. XV.
n 14, z. 2
^f
'
d) Var.,
II.
ibid.,
XVI,
n 15, Z. 1-2
i,
"Jf
/i ^ ^m^jj^mm^^lt
'
Perser^eit
a) P.Berl.3110, Z.l(Taf.I)
n^^
23. Z. 3
^}\*^^\\/}K
gelie
icli
An
der Ictzt,
Gruppe
yl
wo
es
und das
ist
aucli an allen
4-i^ anderen
Da nun
die fragliclie
Gruppe cinen
muss, denn
Nun
ist
1.
Mensch
2.
NOUV. SR.,
XII.
26
202
DEMOTISCHE MISCELLEN
Wort, wclches den
gestellten
Bcdingungen
)>,
das altc
|
^.
Demi das
nun
leicht als
zu erkcnncn, Diesiv
sicli
nouonPetubastiserzhlung(Strassbuig)'rindot
K^S L^
*
'''^
Woit in undindemn. pw
unscr
X f-L3 K^
Leiden
n"
PI-
'If
alten
dem Namens )
^^^^^
Vulgaiartikel verse(Lieblein
^^^>2),
a\
^^
l'^
^ (Stelo
Hiero-
urde
in
^^^y\
also
an das
Wort
Ilacke gedacht, und das J\ niag dureh den Anklang an .ju.h a konim in dieGruppe liineingekommen sein. Eine letzte Bestatigung der vorgesclilagenen Lcsung Jiegt nun darin, dass an melireren Stellen, wo sich unserc Gruppe hndet, namlich in
II,
a und
b,
Umstand
eine
Gedanken gebracht,
Hirt
Gruppe
m.^^
\.>J
des Pap.
zu sehen, aber
mehr
als
Yermutung
soll
TITEL
vwYj^po IN
DEMOTISCIIEN TEXTEN
Die Papyrus Reinach' enthalten mehrfach den bisher nur aus demotisclien Texten
!
Mpeiy. paJiXTjr,;
KXso-xpa; Os
't'iloiii^xopoi
SwTsfpx; AtxaioJjvTQ;
N'.y.r,-
Auf Grund
(s/c)''
kann ich
jetzt eine
Lcke
fullen,
welche
Am
Schluss
ist
zweifellos zu lesen
nb-t kiii
die ich
im Original oder
z.
Kni
ent-
Z. 23,
vt-/.TriT!x;,
wiedergiebt.
a
Brugsch
Sieg
anzu-
1.
i'.
o.
s. dazu \V. Max Mlleu, Asicn and Eui-o/nx, S. V21 t. Die Hs. btainmt aus dem Aiifaug der lm. Kaiserzeit. Wohl das Protolyp des griech. HatAr,;, den ich jeizt lliudeihirt "
I,
11"
dien,
4.
5. 6.
157, S.
2;l*).
Siehe Inde, S.
231.
Recueil de Tracaujc,
XXV,
S. 13.
7. 8.
Revillouts Lesung [ips isl unmglich. Nach Rosettana und Pap. Caiio SU602.
Vgl. zu der Verbdg. Pap. Grey. vixr, -/paTo;, Rosettana, 2'i. y. Ich benutze dise Gelegenheii, uni die Trauscripiiou eiuer zerslrteu Gruppe zu berichtigen, die ich S. 195 der Pap. Reinach zweifelnd s(/*geleseu habe. Ich glaube jetzt, dass der ersle Konsonanl ein k ist und dass /.'(/mit KCOTq (fructus, flores) decerpere, colligere identisch ist. Ferner ergiebt sich aus den griechischen Paralleliexten der .Slg. Keinach (vgl. pag. 35), dass sio ktf n/r{ic) 'ic-lo ic'b It sp abgepflckter {= ausgereifter?) Weizeii, junges Getreide, rein, fehlerlos griechischem Ti-jp aTepeb; vo zaapb; SoX: entspricht.
Es giebt
viele Variauten.
DEMOTISCHE MISCELLEX
203
XXXIX.
Zu den Wendungen, mit welchen der Fiaii dus Bositzi'eclit tert wiid. gehort aucli in manchen Elunertrageii' dio Formel
:
garan-
tiit-t
'///.
p-ir si
s/if'
p-
du
bist
ilu'
Besitzer
(?),
icli
bin
Verwahrer
i|?)
jctzt hat
richtige
Wendung
erschlossen
'.
mit der
mit dem Gtterdeterminativ, lasst also Namen der Schicksalsgottheit 'l-xic' vor uns h.jf abwehren, bestrafen Shf aber ist niclits Anderes als das alte #1 '^^ auch durcli das koptische ccoujq bezeugten Metathesis von s und h\ Das i der
liier
den
Varianten
ccoigq an,
//
auf die
koptische Wiedergabe
lich'.
nun verstand-
Du
ich
d. h.
((
du hast
XL.
DIE
WENDUNG
'
WN
IJI
Sie hndet sich hiiudg in demotisclien Kontrakten und zwar stets in der Verbin-
dung
((
X Aruren Acker mit ihren 'w n hi. Griffitii [P.S.B.A., XXIII, Wendung size of measurement und vermutet the
mean
tlie
S. 299)
expresin case
right to
its
quivalent in size
i.
e.
the boundaries were disturbed by the inondation or otlierwise, and the pice of land
actually described in the contract were destroyed, or altered, or taken by the sove-
Die wahre Bedeutung des Ausdrucks glaul^e ich aus den folgenden beiden S tell en
1.
2. 3.
Var.
{/'/,
Strassburg 43; Heidelberg 701. Pap. Strassburg 43; Pap. Heidelberg 701.
Texteu
4.
.T.
Revili.outs (Reue f/i/ft., IV/Tafel 24) Erklrung ist uniiiglicli. igi messeii wird in ploleiuischeu stets anders geschriebea. und das Deiermiiiaiiv hinter einera Verbuiii schreiben ware recht seltsiini. S. Demot. St.udien, 1, p. 57*, und Grifitih, Mar/iral Pa/iyn\ S. 26, Anm.
SiTiiE,
Aucb
6.
7.
vermag ich dise Schreibung jetzt zu erkenneii. Vcrhum, I, 256. Welches Determinativ Pap. Bibl. Nat. 236 steht, ist natrlich nach einer Revillont^chen Copie nicht
in .Strassburg 43
festi'.ustellen.
8.
6.
204
KOPTISCHE MISCELLEN
2)
'M=:loMkirc^fA^)\Y^
'
[n-k.'']
'ic
n he
hm
n he
weit an Maass
im Gegensatz zu
hm
kleiii
an Maass
'fo
'?c
n he
itg^HT
iind
/^ yj
man im
7/2) fur
T)emotisclien 'w n
((
ms
(Pap. Lugd.
))).
I,
n ms (Pap. Rhind
I,
ait (wortl.
weit an Geburt
Wendung
.r
Aruren Acker
als
mit iiirem
((
viel
Aruren Acker odcr etwas mehr odcr weniger. Eine solclie die Genauigkeit der Alessung einsclirankende Formel kennen auch die griechischen Urkunden in dem
,v
pojpiov ,r,
t;
(i
<x'
Arureu odcr
mgen
Damit wird
dass
nach Waszynski*
Aruren
Es
Nilberscbwem-
mung
Vr n he durch
he" durch
.r
x Aruren Acker
oder melir
und x
st-jh hn"
.
KOPTISCHE MISGELLElN
VON
WlLHlLM SpIEGKLBHRG
XXII.
XXIII.
ewAi^^Te
ccoitT
.JUL*.g^i.
selien.
XXV.
XXVI.
(reflex.) eg^o-yn.
XXVII.
cec&og^
'iXajT'/piov.
Litteratur.
XXIX.
Koptische Randglosse zu
XXX.
Zu canones
von
juio*.
7.
i.
h,
Z. 4
mit
dem
Rest
3. 4.
b.
l^uti^l td^
i""
'^
-^
^^^ ^'^"^
envhut.
Die Bodenpacht,
Ich
S. 75.
6.
kemie dise Fassung nur aus den Papyrus von Tebtyiiis. Fortsetzung von Recueil de Tracaux, XXVI, S. 34 ff.
KOPTISCHE MISCKI.LKN
205
XXXII.
7a\
mov\
juniuje
((
liiuten .
bei Ilieionynius.
XXXIV. Zu
XXII.
In
i^A*.dw^Te
^^A*.^s.^I
dem
Aufsat/,, in
'-''"'A
welchem
W. Max Mlleh
lit
:
'
scliarfsinnig
.vco
form
O^Yri
/.urckgefiihrt hat,
er l)ereits die
t^xxt^^^
Vcrmutung
ausgesproclien,
dass auch in
stecke. Dass
dem A'erbum *.xj.*>g^Te (achni. eju*.^e) Mller damit Recht hat, sullen die
gleicli/eitig das erklren will,
'"A niit
dem
Imperativprfix'
welchen ich
Wenn man
nahe
in
in
dem
Prllx
e.
mit
Mlleh
sielit,
g
welches
sich
xe das alte
Pronomen absolutum
^^
:
(ait
>^)
dann
liegt es
zu sehen,
nun
DMiCHEN, H. L,
bessere
Tafel 3, 29'
^\
>
^^
er sagte zn
ihm
(j^^^^tj^ (]^^, ^
ihn hier
!
(ver-
l'irgreife
III)
[I
I
^M
^ A
.
jllj
(J
I
v^
Ji(\^
Bchern
o<=x
Sehr beachtenswert
XIX)
<=>
.
W\\\\
Da
so
.jue2^-
((
ergreife sie
3 mal,
fiir
stehf.
t^nxt^^}.
Nicht ganz so einfach steht es mit der Erklrung der boheirischen Form
durcli die
Etymologie von
i
>iui*.^Te als
mchte ich
stimmen, was
dem
Imperativendung ermittelt
Ubrigens
hat.
Aber
ich glaube
lsst sich
auch neugyptisch
10/8,
il
v^
H ^^^^
Ci
((
lsst sich
nun auch
die
'
z*^?'^Z
bewahren
leiclit
Stern
verglichen
hat.
Auch
in *.pHg^Te
Mrd
Imperativ sein.
1. .4. Z.,
1888, S. 94.
Bereits
Goodwin
mh zusammen-
gestellt.
8. Dass man eine alte Imperativform als Infinitiv verwemleu konnte, ist nicht auffallend, wenn man daran deukt, dass seit dem N. R. der luflnitiv den Imperativ zu vertreten begann, der ja im Koptiscben nur nocb rudimenlr erhalten geblieben ist. Im brigen ist daran zu erinnern, dass auch sonst andere aligyptiscbe Verbalformen den Infinitiv im Koptiscben vertreten z. B. g^xiooc, Knooc eigtl. Pseudoparticipia, die im Sabidischen als Infinitive gebraucht werden (Sehe, Vertu/?;, II, 98). 3. 4.
'\\
6. 7.
Dazu
An
die
Endung des
Pluralsy.-
(oder mit
lautet.
Vokalisation.
Man
20;;
KOPTISCHE MISCEI.LKX
xxiii.
1
ctouT
((
s1':iii-:n
);is ()l)igc
ist
l)eschreibt Scheniito
e-xJ. nKdwg^,
am
Schhiss so
*.ip*.^Tq
Toq
ei.i.ui.^Te
THpq,
zii
Boden, ich
staiid
auf seiner Brust mit meinen FCissen, iiidem ich da stand und den Brudern zuin
rief,
wolche ich
:
meincr
Umgebung
!
sali,
wic
sie
Kanipf
c*.t hiutet.
selien
aui'
das neugyp-
tische
^
I
|g[\
.s/>i/r
Lintersuchen
zuriick, dessen
Schreibung
^=p)
]L
smtj
(Pap. Al)l)ntt, 4/10, l, 5/5) zeigt, dass der 4tc Radikal mouilliert worden war'. Damit
glich
.S777(/'
ausserlich einem
Verbum IVae
^^u^de''.
in
fi
infirmae und
teilte,
wenn
das Schicksal einer Reihe von A'erben dieser Klasse, indem es unter Verlust des y zu
Wie
aus sntj
cojut, so
ciom, ina
dem m
suchen
,-
vor
dem
((
folgenden ^-laut
unter-
zu
sehen
man
Auge,
IJ
l,lt
cIr
.
^^
Icli
hal)e die
Akten durchgesehen
^(Itlifr^^M i|l,-^|
ismli),
du
l)ist
nicht dariii
eingetragen
XXIV.
bekanntlich in 2
Eormen
:
Masc. m.
Fem. Fem.
i".
Plur.
ui.
:
Masc.
n(e)
T(e)
Plur. u(e)
ueu
nei-; 2)
Stel^dofff' will
1)
ne^i,
von nu ableiten.
Vul^tMn<^
2>^^^/''
Wo das
Demonstra-
1.
I8'i.
Zoegas Cbersetzung passt nicht zu dea folgenden Worteii. DOHFF cwuT in der Schenutestelle so gefasst hat (a. O., p. 91). 3. Beachte brigens, dass das / sich vor .Sulfixen gehalten
2.
Nacbtrglich
Stkin
hatle.
Denn
zweifellos
soll
Abbott,
^V*'
"^Ht^
4.
llr
Sethe, Verbum,
Ibid., 2-20,
5. 6.
3a....
I,
403, 2.
Koptiscke Graininatili
"-,
148, \.
KOPTISCIIE MIS(KLI,K.\
207
tivum
Icli
in sciner cigcntlichen
niclit,
in;in
^^^^
/>'''
glaube
dass in dieser
angiel)t,
sondcrn
als
und ne
l)ezeichnen, von dencn dise eine enttonte, jene eine betonte iM)iin darstellt.
seinei'
hinweisenden
Kraft auch gleiclizeitig seinen Accent verlieien musste, und so liegt es von vornberein
nahe, in den sammtlicben
Formen des
nun
in
der Tbat
lautlicli
duichaus moglich.
p'^J,
('VJ'V)
Jaiitet
zunaciist
regelrecbt
woraus
wird. Dise
Form
Form
m,
'",
(ne).
Somit gelangen
auf lautgescbichtlichem
Wege
a.
zu der
Annabme,
sicli
Sahidisclien, \vo
O.).
i-
Die boheirisclie
das Saliidische.
Form
Man wird
das
am
gegangen war.
Und
Herodots
(II,
143),
-K-.pojij.;;
'
pi rint,
npioAi.e
der Menscli
in
welcbem
bekanntlicli das
agypt. n. pr.
br-'S,
J^^'^IP^'^^
Neger
steckt,
o
in
dem
icli
/^^^^
^^
^ P'^-Hlr
der Syrer
Demnacb
XXV.
Steindorff hat
konsonanz n
DIE SCHREIBUNG
VON
(
^TinTpe
349 der 2ten Auflage) es
als
in seiner
Koptischen Grarnmatik
ne gescbrieben
Grund
Analogietrugschluss
Gram-
spielt".
Man
wie
hielt
dem
XX fur ein
euphonisches
n, also
in ejunpco,
und namentlicli
eTCAJinTpe*
1.
'Z.
SETiiii, Verbuin,
1,
34.
3.
Femieaeoduug i gegeimber dem e des Sabidisclieii. Bruno Kkil weist mich freundlicbst daiauf hiii, dass Tiipcoai; als
Vgl. die
a. pr.
uni 4iO
v.
Clir.
vorkoniml (Dniiber
-/.oO.y)
TKNBERGKR, Sylloge, n" 11. Vgl. dazu Keil im Henns, 29, 2-J9). 4. Das Nbere siehe iu dem iu der Orientali^t. Lltleratur-trj.
(1906) erscbeiiiendeii
Aufsatz
5.
nen
ist altes
1k
/wwvv n\ n
104).
6.
7. 8.
Steindorff, A. Z., XXVIi, 108. Stern, Kopt. Grain., 29; Sethe, Verum, I, 14, 15. BouRiANT, Actes coptes du Concile d'p/ise {Mi^s. Caire,
und
soiist.
208
KOI'TISCHE MISCELLEN
irrigeii Laiit-
orklihiing
heriilit.
XX\'I.
ZoEGA,
cfio'Ag^JU.
((
(\it.,
. . .
38(),
Schlange
^ixncHT
-ik-e
nfiH.
e-ytig^*.g^
wiid
aus
dei'
llohle
sic
konnnen
indem
und
(o. a.)
und
ZoEGA und
Bedeutung
die
ihni folgend
in
Peyrox haben
welches
iirepere
Form
dises
zeigt
Verhunis,
man nach
deni
!Suljjunctivpra(i\
wie
ja
uq(5'AojuiAAJL
im InHniliv
in
gTiTq sicli
cTfee
2,
4%
beste besttigt.
y.a-acT/.c-?,ffoL.
in
chenden Suflix ov
Bedeutung von
sich einsclileichen
ist
Verbum im
terung
loig-V
reptare
gebildet worden.
XXVII.
cecog^
IXaar/jptov
Dises ^^^ort findet sich zwei Alal Lev., 16/2, as Ubersetzung von
denstulil
"^
1
I
IXa^x/^piov
Gna-
ce
von altagypt.
QA
^^1.^
'^cecfio^^
Kausati\"l)ildung mit
dem PnUix
"^
ist,
sondern nur
noch
als
Wir
^'"^'
haben
in '^cecfio^
tisches
SA
^'
''^" ^
^^^^
^'^*^'
''^^'^^
dem Pnformativ
-rceAiici
ce
welche
((
jetzt eine
der Gebr-
stuhl, Tcioo-yn
das Bad
.
sbli
In cecfiog^
cfiog^
muss sbh
die
Bedeutung haben
durch Klagen
vershnen
(o.
a.).
Die
Form
ist
Verbums. Demnach
lieisst ^fcectog^
XXX'III.
di-:r
ZoEGA hat
1. 2.
3. 4.
p.
XXV,
57).
S. 271.
A. 7\, S. 20, und Zeitschri/t fur Assyriolofiie, XIV, Damit erledigt sich auch Andersoxs wunderliche Erklrung voii Tcexiici, a. O., 76.
sum
KOPTISCHE MISCELLEX
Schenute mitgeteilt, welche
<^ji>=r(a)
209
deii Titel
fiilirt
Wie
nieiniind.
(y.wXk-.v)
welclici' die
Macht
des Geistes
deii
{mvj[j.%) lit,
dcn Geist
(-vo[i.a)
liindeni
niemand
Weg
Ein Freund
(v.xooXo,-)
nacliforsclite
Was
Daimonion
(Tv.iAitoiuon),
welchei- inir
ist
geotlenbart worden
ist in
(TTsipaa.ji;)
jctzt.
Daiinonion
Ilei-
den
("kXXt.ve;)
zwar
indem
sie
sich abmulien
:
{nr^obUX^'M) ,
WcMter
zu
verschnen
{!/)
(/.ojij.Tv),
pllegeii es so zu deiiten
^Daiinonion
{\j.zo'.z)
verteilt. Ich
widerspreclien, indem
sage
Dfdmonion
ist
(a-ntaxos),
That
oaT|Va'.
y)
;jip'!tv
-j'aQi
xot/.
xoT;
v6p'.7:o'..
Die
ill
dieSeU
ox.'ccrex'.
teilen
oder
er
gelesen haben.
XXIX.
VON OXYRRHYNCHUS
Der Abba Pisura ussert sich
liber
eininal
'
natrlich
riexi
in sehr gehassiger
Weiso
den heidnischen Glauben seiner Zeit und erwhnt dabei auch folgendes von den
:
lleiden
jLiAitoo-5-
g^ikticon
-a^e
on
ttiujigHn
iiini*.
ucjul
iuujcS'hji
nexi-xcoA AJLni.Trepn&.peTic^
sie sich
eoTtoigT
ejuL n!noju.cTAi5
(Txapatxsaeat),
htc '^iiexi
nicht ent-
bldet
die Biiuine
{tzo\yj\'A) ,
die
Winde
(TxveGjjia)
nopor; erinnern, \Aelche in dem angerufen s\'ird. Schutzpatronin Weise als Mimus von Oxyrrhynchus' in scherzhafter Vielleicht hat eine solche Posse den frommen Pisura zu der Meinung verfhrt, dass <3S Heiden gbe, welche die Gottin Txopo/ in aller Form verehrt htten.
XXX.
In
zu CANONES ECCLESIASTICI,
75. 14
dem
1. 2.
?i.
Am
Rand
thuoioc.
:
Lies "xe.
ot;
ovttj.oi y.al
oar,;j.ov;
r,o-av.
i-aT. ib.
oatjjiovtov sivat.
4. 5.
87
210
KOPTISCIIK MISCKLLEN
welchc
Iiaiint
'.
u. a.
ge-
OTpcqujiiie
oirpeqjuo-s-Te eng^oq
2^*.'.\A.Te
oirpcqTivJuiicc^T^e.KTHpioit
h OTpeqiAOTTe
eieiep-
fiooue
jueTvoc
oTpeq-xiJUA.eiii <^n
((
julttkixi
{}',)
nxx-
eTruji.nfctoa'e
Eiii
Walirsag(n- odor
(cijXa/.t/;ptov)
cn
Schlangenbesprecher oder
ein
A'cil'eitiger
(y,)
von Anuiletten
oder
einer, dei'
der die
Bewegung der
,
wenn
sie
(^')
Leipoldt
'
lit
entnimmt
und
g^n^e^iv
Getss
liabe.
gesicliert ist, so
kann man
icli
vorgeschlagen
x'jtvco;j.av:e(a,
Es handelt
sich also
um
a
das
um
die
boli.
ber
:
\velclie
Die
Version* hat
.
neTS'uu.mni ^eit
der
Ist
muss
hier
^\
die
Bedeutung
Getass
das von
Goodwin
Nebenform von
2^*..ir,
hnw
zurckgeht, darf
man
XXXI.
Mallon
deutung
se
DER
XXVII,
L'RSPRUNG VON
S. 155-156 fur dises
aaio-.
hat im Recueil,
die Be-
Prototyp von
^,^
gliicklich sein
wieder erkennen
mj
sehen.
sondern muss in ^^^ o die hufige Gruppe ein dreiradikaliges Verbum, welches als Intransitivum
ni'r lesen,
ist
Das r
in
''nUor)'\
mjr-k
Cl
juLioK a
du
bist gliicklich
r/ijr-tn
I
= jukoth
AiicooT
((
ilir
seid glklich
,^
1.
"ijr-i
sie sind
glucklich
Vgl. (lazu
Lemm,
Ci/prian, 8. 51.
Der Paralleltext bei Leipoldt, S. 42 lit die Variante AiOTp. Dazu vervveist Adolf Jacouv auf Matth., XVI, 19 und die talmudische Formel vom Bindeu und Lsen, die zweifellos ihreu Ursprung in de ni bekauuteu Nestelknpfen, dem magischen Gebrauch der Knoienknpfuug hat . 3. Wie mir Adolf Jacouy weiler freundlichst mitteilt, ist darunter jeue Divination aus zuckenden Gliedern
2.
Chwolson
(Die Ssabier,
8.
11,
266
ff.)
Saiiiische
Sie fehlt
Parallellexte.
6. 7.
Sphinx, VI, S. 61 H. Der alte term. techn. ist /i ///( ujeng^m 8. Ich ziiiere uach Lkmm, Cyprian, S. 51. 9. So auch Erman im Glossar. 10. Siehe Skthe, .4. Z., XXXVIU, S. 145.
Gefss belrageu
, s.
86.
KOPTISCIIE MISCELLEX
211
Damit
tisclien
ist gleiclizeitig
ein \veit(nvs
iin
Kop-
nachgewiesen.
XXXII.
Aucli
juLmuje
fui-
ZU ecooT^
lit
xxmuie
lAUTEN
diesc
Weiidung
Mallon
kann
niir licisscii
sclilagen
ebenso wie
ujeit^coo-s")-
Glockc
Mcirtlicli
bedeutet
Mallon
lit
sicli
bel dies(>r
lian-
delte, die
man gegen
einander schlug.
ist nuii,
die in arabisclieii
imd
cliristlicheii
)
Stosser, Klopfer
Instrument beschrieben,
^^'elches
mit einem
zwciten kurzeren,
dem
Schlgel (J-jj), gcsclilagen wurde. Man versteht nun leicht, zu der Redeutung a lauten und das Holz des
der von
Glocke
kommt.
XXXIII.
Z\A^l<:i
Im 22ten
Angabe
Unum,
Coenobitae, quod
illi
commune
est,
habitant
dserta; et ob eo
Tertium genus
quod
in nostra provincia
heidnisclien
primum est. Aus dem Zusammenhang ergiebt sicli klar, dass Wrter agyptisch d. li. koptiscli sein miissen. Leider ist
wie so
liufig bei derartigen
die beiden
die
band-
schriftliclie Uberlieferung,
Fremdnamen, sehr
schleclit.
teilte
mir
giltigst die
Spinaliensis (Elpinal), 68
:
saulies
:
IX-X
Vaticanus,
lat.
356
:
sauses
ans saec.
Vaticanus,
:
650
sanches
:
remeboth
(in niarg. 2.
Berolinensis,
lat.
18
sauthes
m.
anses)
i-emncroth.
Nun
Halten wir uns an die Lesart der ltesten Handschrift, so waren danach die Coenol)itae,
welche
lieisst
als
in
commune
viventes
erkliirt
im Koptischen
coo-yg^e
(mittelag.
-^cdw-yoe)
congregatio, coetus.
Davon wird
Siehe Fbeytag, Lank und Paynis-Smith, sub core. Mglich wre auch die Deutung Holz des Versammelus in dem Sinne von Glocice, mil der die Gemeinde versammelt wird. 3. Ich vcrdanice die Kenntniss dieser Stelle der Gte meiues Kreundes Herrn Professor PuarzENSTiax.
1.
2.
212
KOPTISCHE MISCELLEN
c<to-y,;
man
tertium
in
mit
griecli.
lidung
-tj;
Nun
ist
kopt. *.oTor
lur
,
(I
laura monacliorum,
quae
muro
cingi-
pjuLn.oiroT'
liier ist
wiirde den
Auch
(lie
die lautliclie
Bewohner einer solclien Mnchswohnung bezeichnen. Ubereinstimmung so gut, dass man keine Bedenkcn gegen
pIiii*.oTOT
Identitat von
remnuoth und
Hi
kopt.
zu dem,
erheben wird. Aber auch die Bedeutung dos was Hieronymus ber das Leben dieser Mnclis-
Dise Reinimotli
wohnen
den
in
Gemeinschaft
lebenden Mnchen.
So crkennt
die koptische
Von den Varianten ist nur sauches zu halten, welches wiedergiebt. Auch das veniebotk^ sowie das Mignesche rcmopIi.fioT
zu erklaren.
XXXIV.
PLURALFORMEN
1) Txie,
'fjuie.
ist
mir
z.
B. ans
18,
Vers 23
(necTjme
ihre Drfer
) fernei-
1 (der
Quelle der vorstehenden Zitats); N'uni., xxxii, 42; Jos., xv, 47:
die Drfer
{/.%: al /.w.jLat
a-tov).
bei Robinson,
a.
Wie
ist
nun
dise Pluralform zu
Da nmi im Singular
jetzt,
der Accent
rcken'. Er
liber,
wo
angetreten
ist,
um
So
wobei
icli
bat.
Ferner
wie
Tju.e
Vokal der
ersten Silbe ganzlicli geschwunden, so dass die Pluralform jetzt mit einer Doppelkon-
dem
''jfrr ist
nur
e librig
Endung
1. 2.
n, vgl. pAX-^Axe iieben pAxit-^JUie Die Bedeulungen, welche Pevhon fur taac [Lexic.on, 243, Additamenta, p. 186) angiebt, beruheu auf Missverslndnissen, wie das bereils RoBiNsOiN, a. O., Seiie 197, richtig eikaniU bat. 4. S. SrKiNDORFF, Kopt. Gra/nJ, 75.
3.
Zu dem fehienden
5.
Vgl. g^e aus It'lft, das etwa h^jft gelautet haben wird.
KOPTISCIIE MISCELLEN
213
^to (Sethe,
Vevhum,
\,
l^ndung
''j
(cf.
Verdoppelung des j
^w keine
lautliche
Bcreclitigung nieln^
Zalilwortern
ce
liatte.
GO
ijyqe
Besonders
klar,
weil
genau
c.t5rj 7.
Die letztere
Form geht
/urtick anf
Ton wieder
vor h
uni eine
sf/i (cuj)
Form
s(^/if''{J)-f(r entstcht.
liel
wurde wieder zu einem Doppelkonsonnenten, und dann Verbum, I, 271) wie in utit aus sest^t.
Ebenso
ist g^xiene
das
.s
ig
ab (Sethe,
80 zu erklren.
An
trat die
Pluralendung
ir.
Hmn{j)-w wurde
l)er
ce,
vokalisiert ljPiniv''j-fw\
scliliesslich ^uteue.
ist,
wage
ich
midi nicht
nlier zu ver-
Hand
unerklart.
K*>.jui,
(1er
Plural von
(5'cojul.
Auch
dise Pluralform
ist in
iteirs'ooju.
(riK*.e.juL)
ihre Grten
und mittelgyptisch
aus
in
den
Bcheni Jeu
(d.
Schmidt), S. 40
Dieser Plural
ist
dem
Sgl.
h^m^w
(s'oAii)
leicht zu erklren.
(Sethe, Verbum,
156
6),
in
der
gefEneten Silbe Ersatzdehnung eintreten. Es ergab sich also k'^'^-mcw^ und weiter
k'^^in,
(ooju.
:
K*.e.Ai.
Ganz hnlich
entstanden.
ist
aus
hf'm-Wt
g^ioojme
(neben
^lojae) mitteliigypt.
g^id.*.x.e
(neben
3)
g^ii^xie)
h.
Ttoov a
Berg
oTtoi
((
Bauer
)).
Die
sali.
Form
.
liegt vor
Luc, xx,
von
10 (^enoTefem]);
:
Marc,
Wcllc
xii, 1,
und
g^iAiH;
24;
g^oeixi
g^ooijui
2^*.eiju.e
Endung h an
die enttonle
Form
otti-
und
g^iAi-
rigen Singularformen.
Wie
alte
ist
nun
sie
auf die
plene
jw
Pluralendung
io
die sich
im Plural
1.
Das Boheirische
zeigt
noch
ia
^eAxne
2.
[_(
^\
"^iv^uUl)
l,\m.L
lautlich
Wert
beiraessen, so
wird
ma
214
(ulialten
lit
Dise
Endung
lautete vokalisiert
etwa
^j''w.
(z.
Das
ist
al^gefallen
und 'y
ist *.aih
Endung
II,
'yi-t)
B. in
ujih).
Ebenso
aus
512).
Nun
und
^oeixi
o^eiAie,
wie
sicli
Formen
,
Endung
j,
Wort
ernten
ist aller
Walirselieinlichkeit
l-'.ndung
imper f.
aet., vielleicht
von \o\j
mit der
oder
/',
also 'iry-j
'^io\^fj
dung,
Eiii'
Welle
wage
icli
eine
/.unaclist bedenkliclien
;iuf
AAAAAA
Wiedergabe von
altiigypt.
n durch kopt.
sclieint
mir ooeuu.
A^^AA^
hnw
Woge, Welle
/ilj'mr' aucli
AA^AAA AAAAAA
ra^^tin^
nacli aus
"V Avwvx
wiirde
demden
h''jii'''W
entstanden sein.
selten
Plural
Nun zeigt uns das Neuagyptische', dass Nomina der Endung nio niclit jw bilden. Nelimen wir dise Bildung in unserem Fall an, so wiirde
11
der Plural
fiilirungen
\mH werden,
oder
^ijulh,
falls
Selir unregel-
mssig
sielit totcih,
der Plural von toott aus. Das koptische Drivt setzt eine Plural-
c^^[l[l^
dirjw kann
vor der
Hand
niclit
nachweisen.
Vincent Brummer
The cuneiform
1
tablet
herewith published
surface 5 cm.
square,
thickness
to
1/2 cm.
is
Pre Scheil
who had
tlie
kindness
is
put
it
at
my
disposai.
composed
and
to
my knowany
otlier.
kind discovered so
of Shirgulla
i.
far.
The
cliaracters re-
semble those
Gudea
more
closely than
We
may
back
to his time,
e.
3000 B. C, but
{^
and >^C^>
(rev. 3)
1.
760) richtig
aa^aaa
statt tt
AA^AAA
ein ueues
Das
S. 44, Z.
v. u
und
S. 74, Z. 8-9
vergleicht.
2.
EXOliCISlsD"
215
more
archaic',
tlie
former
is
tlie
one we
liiid in tlie
cne
inscription of king
Nevertheruler,
writing of
ijie latter
named
we
The
niay assign
it
to liis epocli.
The
tablet
it
to a lil)i';n-y,
it
incantation
contains
was named,
as
appears from
nibrics, aftor
foi-nied
its first
oi'ds
E-nusab
i.
e.
"Temple not
exorcised".
This incantation
:
a chapter,
so to
Evi-
dently this
title
We
e.
"The
Evil Spirits",
i.
others.
"The Burning", an Aakki /narsuti e. For the moment do not renieniber, if anv one
i.
e.
been published.
Two E-nusub
one by King
in his
incantations are
known
my
chapters each in a diffrent sries, for chapters bore the same name.
They
are both
^T\
"Temple
observes,
of light".
This explanation
of light"
certainly wrong,
for,
as
"Temple
in the
i.
would be
in
Assyrian Bit-nuri.
of a
drawn up
Sumerian
into their
semitism,
we
it
e.
E-nusub.
Whether
it
name afterwards
dcide.
It is
own
language, or took
over
in its original
form,
we cannot
certain that in
Sumerian
form as
help
is
we
infer
= "my
e.
Its
^lUI
nounced Assyrian
bit-kisati , but
Sumerian
-sara.
The
god invoked
Marduk,
in the incantation is
Ea tends
confirm Jastrow's
was approached
m-
Babylonian
history
'.
will try to
show
E-nusub
such
tlie
is
identical
Eridu and
is
as
oldest sanc-
The
1.
2.
Cf. Thuueau-Dangin, Recherche.-', Nr. 23 and 64. Jastkow, jr., The Religion of Babylonia and Assyria^
p. 276.
216
TRANSI-ITKRATION
Obvci-.se
1)
P^.n
-nii-suh
r/ig
2)
am
absii
fi
4)
^ ^f Ci
fi
.'])
Lis -(jirj-iia
5)
6) cUngii-
Ninab gii-ii-ne-yr-ra-ni-kii
6)
RevLM-se
1)
1)
ry-a
.^7^
sng-mn-ha
2)
tu en c-nii-suh
4)
inim-inima mun-u-a-tum-da-kani.
TRANSLATION
Obvei'se
Incantation
"0
bread ofering,
fiiling
fills
young one
before his
Sungod who
1)
placed, unto
let
it
tlie
(?)
redound!"
sait
(Rubric
is of
:)
The incantation
of the
"Temple
not exorcised"
3)
with
the sohition (of the magie spell) procure! the (class named)
4)
The
incantation
Carnjiny
sait in tke
hand.
01"
217
GRAMMATICAL NOTES
Ad
obv. 1)
E-nuub
i.
e.
it
never needed
to
bc purilied
from the
The
"to
it
(-nn)
Taken
is
meaning
of
-nu-sab would be
''house from
which there
mentioned,
no return".
god
of the
The incantation being addressed, as tiie second line immense abyss, besides also a house of darkness being
first
"The house
in Is/ttars
no return"
i.
e.
no return", prominent
However since -nn is not a common quivalent Brunnow only once, we might as well leave it out of
in the
of ub,
being
considration
b)
Assyrian
is
>-y<|'i^ '^i;;^C^y
of fire",
means "exorcism".
i.
rgime ^^^tlj
*
omitted,
nam-sub
e.
Eridu" plays
a
so
im-
household-word
As our
the archaic texts sub often means "to erect, found", especially
ex voto
inscriptions.
But
it
We
know
for certain
(cyl.
is
of lesser import.
But even
remain a theory
and allowing
for
we must
take sub
it
in connection
with Eridu.
Ad
obv. 2)
Am gig absu.
If
we
read
^^^
{gal-mulu) lugal,
it
we must
for consis-
evidently
possibility of an original
suab or ^uab, the Assyrian form absu or apsu warrants us only the readI
read su instead of w,
it
inscribed,
which Delitzsch
RECUEH,, XXVIII.
28
218
bull of the
tliis
is
deep"
god
is
is
The
is
identity of
to
or abyss with
tille
so
weW
established that no
word
be
lost.
His cillions
"bull"
also sulficienlly
known.
\y Kawl.,
"the
inented as
spelled
21-,
we
lind
him parading
as the
of
Am
an-ki
am
eri-si-ib-ha-ld-ye
bull of
Eridu'".
The
fact that
he
is
compli-
am
Ea
and
bull
his son
Marduk
latter
"old"
and the
amar would suggest that the former word "young" bull. This surname ara probably
as
to
rej)resents
If
we
it
would
mean
if
name
we
take abza
wilh t-^lj)
'^i
we may
interpret
it
as
"house of
Ea pre-eminently was
The
signs
^t^^
Jind
^^||
we
will hardly
of.
the daik
The Babyat
was situated
Eridu
mouth
of the
two
rivers Euphrates
and Tigris
somgj
lield it to
be understood that the absu can hve been nothing else but the Persian
Gulf.
it is
This tlieory cannot be considered any longer, for from the Cration Epie
vident that the gulf
and
we
is
identihed
Ea and
at
his son
Marduk.
Hommel
ail e vents
was a lake
can
Eridu.
how
we
mistakable conception of the Babylonian cosmology that the absu was the immense-
deep
a conception confirmed
is
aS-^sjo;-
and consequently the English abyss are derived from the Babylonian word absu?
There
it
left to clear
away
was
a small lake at
itself
downwards
body
of
to
immense pro-
portions, comprising
ail
Absu
there-
water
filling the-
immense
abyss,
which
Ave
might
call
immense abyss
at Eridu,
is
resembling a
little lake.
Accord-
to
of this
it is
1.
2.
'S.
Cf. HoMMiL, Gfunclflss, p. 370. Tiiureau-Dangin, Bec/terc/ies, Nr. 188. Keclinschriflen und das cdte Te.itaiitent
(?>.
Aufl.), p. 359.
4.
Grund/-isi>, p. 366.
Tlll-;
219
favorite colour.
"Black huU''
lie
is
iii
his tiee
tlie lino
at Eiidu, "universal
house of daikness"
foUowing on
oiir tablet.
lit.
Ad
ol)v. 3)
A7.S-
e-(ji(j-ga,
in
ineaiis
"o
totality of tlie
house
of darkiiess".
To avoid
getting-
lost
tliis
whether
invocation refers to
Ea alone
Ad
obv. 4)
it
The
sign
(g.\r)
ordinarily
translates
also
with "bread"'.
-^yyy >py|
'to satiate",
pyy
to
is
lit.
"to
the heart".
left
The
tablet hre
si-si
damaged, but
another
there
is
between the
and the
e io insert
Word.
The two
According
to ail
appearances
repair his
lie
made
it
fiirst.
To
mistake he wiped
it
by two
si.
Naturally
had
to
The
last
wedge
of the
^yy
is
lirst
seems
to
The
sign
^yy
meant "strength".
Hre
it
it is
could also be
nearly alwavs
the inhx da, but not very likely, since in the latter function
Besides
its
signification
The
mre prolongation or
for the
I
means "this"
(amar).
',
probably
the latter.
y]r
after
^^
This word, in
(since that
is
meaning
oi
amar) and
for that
was addressed by
his cherished
ani-gig
i.
e.
"black buU".
The
ing
is
^yy
{da) after
amar-a
is
of
Gud. B.,
ix,
20
g'e-da-a-fji.
Ad
obv. 5) Dinjir
lias
Ud
Icalania si-ni-ku.
The
sign hre
employed
for
^}}
its
(kalama)
identity
list.
with kalama
Ad
obv. G) Dinc/ir
Ninab gic-ii-ne-yr-ra-ni-ku.
The
tliird
sign
is
slightly injured,
It lias
complment proves.
Gud. B,
viii,
16,
and
Gud.
I,
IV, 1.
pound verb.
1.
The ka hre is first component (Verbal-Determinativ) to a coinThe second component, i. e. the verb proper, is badly mutilated,
2.
thein
3.
4.
TiiuREAU- Dangin, Les Cylindres de Guda, p. 75 (Cyl. B, vu, 5). Cf. my Die Sumerischeii Vorbal-Afjirinatice. Leipzig (Ollo Harrassowitz), hre uiider SVA.
Cf. ibid., p. 63.
lt'05, p. 30.
will
refer to
Delitzscii,
HW.,
p. 169.
220
It
va indicates.
postposition
etc.
The
^^^C^y
Gudea
:
inscriptions.
to
The
J^
"to go
is
is
somebody",
For "to"
("to give
to
somebody") ra
"to place"
usually employed.
participle.
It
Ad
rev. 1)
J^J
(g-a)
= akanu
cannot be status
preceded by a prefix.
is
not given
in
Brunnow.
Presumably
it
expresses hre something like "grce, help, granting of the ptition", perhaps that
his
hands crossed
The
J^
is its
responding to
ail
By
Ad.
reason of
its
difficult to
]^
postposition.
*^'^\
{tu)
texts
by varions characters.
I
J^, >-g:^| also is denoted in the archaic The one given hre has the meaning fonnare,
be" or
in
gignere which
redound".
-^|
prsume
it
"sick" has to
my
to
we must
contains an invocation.
The
or ^'a
is
omitted,
of
whereas
two cylinders
Gudea furnish us
if
we
Thureau-Dangin
two instances
that
Hence
it
is
more probable
>-^y
is
It
may be added
Now
exorcised
the
:
rubrical part
commences.
"The
with
The
in the exact
form
it
in
which
it
sign
list,
but
gab
in the
doubt as
Gab
^= pataru
(ntoB)
is
Delitzsch,
HW.,
:
p. 522).
most
common
anything
this
HM^., p. From
178, 3
we must
cali
form
mun gab
sries of
sait-incantations,
it
a frquent formula
reasonably suspect
to
we employ on
our
THl-l
221
Consequenlly
we
may
Provided
tliat
of the imperative,
we
:
could set
it
down
where
in the
may be
The other
five are'
nu;
with
tlie sufTix
^^
->J[-
{m)';
In
ail
it
would be prmastatus
be
tur to do so
now
is
in
affivmatwe sentences in
ail other cases
tlie
In
the preji.jc
may
omitted.
book
of
Iniin-inima mun-su-a-tum-da-kam
:
e.
named)
Carrying
This
last
named
Sumerian expression
lias
not as complicated as
appears at
for
first sight.
^T
the
(tum)
for
to
its
chief-equivalent
secondary
carry".
^U
:
"he brought".
The
^jj
{da)
is
post:
position and imparts to the verb the sens of the Latin ablative of the
gerundium
:
tum-da
{ap)portando r= English
This da
"bringing, carrying" =:
German
also
"indem
man
trgt".
we meet
^yyi'^
frequently in the
Gudea
pression
verbs,
e.
^J^
XX^^^
^ly
lii-g-ga-da
etc.
;
= diligendo\
with other
g. Cyl.
ix, 2, 4, etc.
is
.
met with
the particle
ka
est,
erit, J'uif'
Hre the
sait in
name
a peculiarity of the
like a
noun and be
Gud. E, vu, 20
resp. ka-ge the
{Gudea}- mulu--r-a-ge
= "of
builtthe temple".
particle
we meet
ka-ka
whole group
of
words belonging
to the
e.
it is
:
declined.
g. in the lamentation of
1, p. 29),
II,
10
"the gi-ka-na
of the
is
sacred forest of Nin-mag'" the whole group "the sacred forest of Nin-mag'"
1.
Cf.
s VA.,
p. 15 sqq.
2.
Cf.
SVA.,
p.
56 sqq.
3.
Cf.
5 VA.,
p.
30 sqq.
4.
Cf.
SVA.,
p. 60.
222
AN KARLY
CITAT J)EAX
INCANTATION OF
TIITs
considre! one
of 5
word and
as such declined.
In
Gudea E,
ii,
many
incantations
we
liave
t^
io'e)
instead of
^*^
(/lain) as
-Jf:
the iast
word.
oniitted.
{'je).
{in)
= est
a
is
"An
incanta-
Eril Spirit".
Or t-^z
hre valued
gam
resp.
kam.
paIn
sait in the
exorcisms finds
rallel in the ritual of the Catholic Church und other Christian comniunities.
the Mrst
named
it is
in the blessing of
holy-water,
symbol
of the Christian
Wisdom im-
niSTORICAL NOTlsS
This tablct furnishes vidence for the well founded contentions
of
Homniel and
others that the Babylonian incantation formulas coUected for the library of the Assyrian
in that
same form
to
at least the
time of Hammurabi,
i.
e. ca.
2200 B. C.
i.
It
e.
according
the
"Bears"
of
Babylonian chronology
is
if
it
at
least half a
it
millenium before
to as early as
to the
"Bulls" we
may advance
up
3500
There
e.
no reason whatever
dition.
to justify
an original
i.
the
first
From
formed part
of a library
we would
rather judge that the incantation literature of that time had reached a well advanced
stage.
this
If
is
since Sippara
commented upon by
Gudea
is
characterized by a
at
We
may even
lively
commerce extended
itself
and the
immense blocks
of stone
banks
in
of the Euphrates.
Furtwngler expressed
as his opinion,
if I
remember
right,
one
epoch
of
Gudea
calling himself
"the
faithful
shepherd
sounding
titles
we
Everything points
we had
not better
Naramsin
kiniz of
Agade
Tin<:
'
223
by Nabonidus,
last kiiig of
Habyloiiia,
i.
e.
3750 B. C.
Tliere having existed a code of
tabUt
tlie ritualistic
law long
bol'ore
Hammui'abi, as
life
oui*
seems
in
religion
of
and public
going
hand
civil
hand
as
llie
Gudea
inscriptions abundantly
demonstrate
code of the
|)uts
tlie
law.
doubt.
Sumerian, Semito-Baby-
lonian, Elamitic
To
ail-
in the world,
hierarchy, the respective rank and dignity of every one of the principal gods being
its
liead
some
Tammany-
New-York
the god
Anum
In conformity to his
exalted position he never concerned himself very seriously about the dtails of his
administration and never suffered from overwork, but a good deal liko the prsident of
a big corporation he signed an important
document once
and
in a while, assisted at a
banquet
number,
60.
last not least, he drew the highest work incumbered on the god next in
He was
War
and Foreign
less,
Office
and
of course
owing
nration
was
only 50.
tliird in this
and Education^
other things he
priest
to
and above
ail
was physician
humble humanity.
That
in accordance
It
he drew a
was only
40.
work,
we may
if
god Marduk.
No doubt
afairs,
had
wisdom
aged
father.
So we
thid
paternal abode'.
"My
father, a
headache
of the
winds^".
The
old
to liear.
My
father,
dmon
lias
to say
the Chaldean
will be freed",
chronist adds.
What
this
man
has done,
how he
IV Rawl., 7, 16^ ff. HoMMEL, Sumeisc/ie Lesest.cle, p. 133. Sumerian -kur "temple of the country or of tbe mouQtaiu". It is the name of ihe temple of Bel in Nippur, presumably referring to the god's character as lord of the upper parts of the earlh, like the name E-lair alo means the mountain of the temple E-absu in Eridu alludes to Ea's quality as lord of the abyss.
1.
2.
:
224
Ax\
Marduk
continuod.
iii
To
1
liiin,
i.
e.
Ea
replied
is
kiiowest
thou not,
what can
add
(to tliy
knowledge)"?
As
usually
Marduk
for the
moment whereat
assumed
I
sliglit
is
it
admixture
that thou
of impatience,
more
"0
esl.
knowest not?
What
etc.
know, thou
:
knowholy
my
son, a god
Marduk".
The
commenced
to the
house
more insight
rate
it
into tho
development
ail
of
we
possess.
At any
contains
the lments necessary to bridge safely and gricefully one of the most dificult prois
blenis that, as
avowed by
ail,
We
Romans and
barbariansv. to stock their temples with prsents, sometimes of priceless value, for
effort, often
questionable resources, to promote the fam and popularity of their respective gods.
Ea
posing as the great physician, his services must hve been greatly in demand.
For
sick and
demoniac
Ea was
who
Besides he
was
was indispensable, he
We
treasures,
of riches, requiring
may be one
of the
why
anything
in politics.
The
re-
venues provening from the sale of holywater from the Euphrates, prescribed for certain
exorcisms, and from the sale of other devotional articles need no spcial mention.
of
Marduk
in
to this
would be
to believe in a miracle.
between
his
fatlier
of the
not
ail;
were reserved
for the
"old doctor".
i.
To
as
stop
way
of as
e.
bave the
Ea and
new
doctrine which
this little
naked form would hve sliocked them as a heresy pure and simple than
from which the winds arise. From this passage it would seem that Marduk did uot iaherit his surBel" from the Bel of Nippur. Bel meaning "lord" it is more probable that he received that title from the Babylonians for being their lord par excellence and perhaps also through the efforts of his ambitions priesthood, as P. Lagrauge points out (Religions smitiques, p. 328) to establish a prestige for their god.
leo-iou
name
'
1.
Sumeriau
k^
(m
= "word"),
to the
"whereas"
in the Engiish
lgal documents).
This ma corresponds exactly to the biblical debir (oracle) which Sayce mentions in his Tke Antiquitij of Oriental Literatwre, p. 55. Sayce advances the very plausible theory that this famous shrine debir, alias kirjath-sannah, alias kirjath-sepher ("city of books") received that latter name from a great temple library adjoined to the oracle. 2. Cf. DLLiNGER, Judcntum and Heidentum, passim.
225
Ea and
it,
his son
Marduk.
Tliat
tlie
civic pride of
tlie
Babylonians, as
tliis
new
is
propagation,
laler
understood.
And
so
it
hap-
pened
as Jastrows
puts
it,
"in the
periods of Babylonian
history,
Ea
An
as
I
to
will
endeavor
it
to
show; he
is
whom
the
as
people deemed
who
it
did
not form an insparable part of the cuit of Ea from the very beginning.
as mediator
In his quality
Marduk was
this
by which
Ea.
From
circumstance
way,
in fer that
to this
name
witli
me-
Marduk.
Supposing
"port
Sayce' that
of the
Marduk
"houseof
lifting
e. in
to lift
officiai
up their head
The
name
of
his
name
En-ki-ge,
the
e.
So we would judge by force of parallelism, from Bel's original name. Certain indications seem to
self-understood by
in its place,
e.
reason of
its
e.
"name")
of
mythology.
On
our tablet Ea
is
AUowing, however,
name Babylon
to pass as conjectural,
one conclusion
is
safely
god
?Ja
When
(i.
Gudea
to his
e.
with
Uru mu-a^ag ne
ini-ta-lal.
This
hardly to be understood that he had the ground swept and then burned the old
rubbish.
Asag,
literally
"to shine,
to
e.
44^, 26
an dim g^e-en-a^ag-ga
it
may be
pure*".
Hence
is
"he exorcised
2.
the building-ground"
Religion,
If
p. 422.
is to
3.
Gud. B, m,
(i.
12.
we
the god Ea)", as Hommel proposes, then will hve to render Uru-azaga "city of the brilliant or sacred one (i. e. the goddess Ba'u)" instead of
Eridu(ga)
e.
p. 118.
NOUV. SR.,
XII.
29
226
We
it
was the
custom
to
al
Sumerian
when
was founded?
In wliat
name was
It
it
exorcised?
its
What
ail
holy
sacredness to
god.
other
purity emanated.
It
of ail purity
it
When
Gudea had
"like Eridu
was made
8).
holy lake.
Gudea
up an image
of the latter
ail
parallel
Presu-
in
appearances as a
holy-water fountain.
No doubt
ail
it
ward
of
Babylonians
at the
(i. e.
the
Marduk
expense of the
The conspicuous
part
which he plays
in tliem,
'
belonged originally
:
or, to
of the
is
eclectic",
e.
selected
ginals with
god Marduk.
chauvinistic tendency comes especially to light in the Cration Legend given in C. T.,
From
its
lengthiness
we would
conclude that
it
for
occasions like the dedication of a temple, or the inthronisation of the king of Babylon
an New-years day when amongst great pomp and crmonies he took hold of the hand
Marduk and was thus tions. It commences in what had not been made
of
"The
the
tree
had not
etc.,
is
been made,
"a house
where
to
ask
When
when
at the
the priests of
Marduk
boldly tore
down
to elevate
Marduk
place
in their place,
their
firt
dean people.
may
a proof in
Ea must had
1.
y,ii-lal
Besides
make
perfect''.
hbp
2.
KAT.,
p. 491.
" to dishouor" (Del., HW., p. 585). This meauing is occurs only once aud it is doubtful whether it should not be 3. Religion, etc., p. 422. 4. I. e. Ea's temple at Eridu.
:
hhp
227
was
entirely
due
lie
of
sun or Ihe
moon when
were
in
danger
to
when
fear
and tribulation prevailed amongst the gods and the mortals, when
himself was at the point of perishing in a flood of anguish,
:
the
suprme god
alone
Anum
it is
Ea
who
by
his
is
delivered.
immune
against
other beings
Anum
not excluded
its
invasion
of the
dmons.
How
e.
it
spirits,
Consequently
sub, the temple not exorcised, the sanctuary always immaculate, the holy of holys, the place sacred above
ail
others, the holy house of the gods, the temple of the holy lake,
Or
'
'
it
In Eridu there stands the black tree of the message, out of a sacred place
it
grew
"The god
"
it
brings.
"His habitation
From
his holy
shadow,
man
"Wherein the Sungod and the Tamrauz dwell, from the mouth "The gods Beautyful-face* and Youthful-eye' over the head of "The incantation of the holy lake they hve placed."
two
rivers
the
aflflicted
man
This holy house on the sacred spot by the holy lake of the paradise
is
our E-nusub,
1906.
Assyriao nmu in this couoectiou is not yet known. Ordina"Aussehen, Erscheiuung." One of the Assyriau monuments in the Louvre (Salie d'Echmounazar) represents an jAssyrian king lifting up his right hand, evidently in supplication, to a tree. In the left hand he holds a scourge consisting of three strings with a knot each, perhaps a symbol of penance. The seven pairs of branches show a bud at the top of each branch. The five upper pairs are turned downwards, the two lower pairs upwards. Perhaps by ''Aussehen" (syn. "exterior") of a tree the
1.
Coujectural.
of the
:
rily
it
signifies ace. to
HW.,
p.
252
cutermost parts, i. e. the tops of the branches are meant. 2. 1 retain hre as far as possible the Babylonian position of words. "the place of the eye of the earth". Presumably the holy lake is se called by reason of 3. Literally asar irsitim, i. e. the place of the earth. clearness, Assyrian having strength, llourishing. KA-g^e-gdl. Ka := Assyrian appu (face), ^'e-^^ 4. Sumerian "having a young eye". 5. Lit.
:
: :
its
Pages
Comment
Note
sLir les
W.
von Bissing
6
8 15
W.
von Bissing
20
22
la
Basse-Egypte, par
Ahmey-Bey Kamal
Wadi
Brissa et du
20
61
Maspero
62
72
134-135, par G.
n"
Maspero
Le Papyrus
W.
Golnischeff
73
Muse du
von Bissing
112
113
131
les
Karnak
(15
novembre 1904
137
161
W.
Spiegelberg
W. Spiegelberg W. Spiegelberg
Brummer
187
204 214
An
E.
BERTRAND
(LE), Papyrus du Muse de Turin publi en fac-simil par R. V. Lanzone, de Turin, 11 planches et 2 pages de texte. In-f.
In-8".
le
professeur
;^0
fr.
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Les dialectes No-Aramens de Salamas. Textes sur publis avec une traduction franaise. In-8\
fr.
6 20
fr.
fr.
l'tat actuel
in-8.
au milieu du X
fr.
FAIDHERBE
(le
FARHAT
Dictionnaire arabe, revu, corrig et considrablement augment sur l'auteur par Rochad Dahdah. Gr. in-S".
(G.). dit
manuscrit de 30 fr.
FUTUH EL-HABACHA
GAYET GOLNISCHEFF
des conqutes faites en Abyssinieau XVI'sicle, parl'lman Muhammad Ahmad Gragne, version franaise de la chronique arabe du Chahab ad-Din Alimad. Publication commence par A. d'Abbadie, de l'Institut de France, termine par le D' P. Paulitschke, de l'Universit de Vienne, ln-8". 20 fr. (A.-J.). Muse du Louvre. Stles de la XIP dynastie, 60 pi. avec texte explicatif. In-4. 17 fr.
Jaillon et Lemasson au sujet des Une excursion Brnice. Lettres de perses de l'Isthme. Stle de Darius aux environs de Tell-El-Maskhotah. In-4, avec 4 planches. 7 fr. 50
(W.).
MM.
monuments
(E. de).
GOTTBERG
GUIEYSSE
et
et
avec 5 cartes.
d'aprs les
(P.). Rituel funraire gyptien, chapitre 64". Textes compars, traduction et Papyrus du Louvre et de la Bibliothque Nationale. In-4, pi.
commentaires
20
2
le
fr.
fr.
GUYARD
JQUIER
(S.).
Nouvel
INSCRIPTIONS
(G.).
hiroglyphiques copies en Egypte pendant la mission scientifique de M. E. de Roug, publies par M. le vicomte J. de Roug. 4 vol. in-4''.
JOHANNES DE CAPUA.
JORET
9 fr. y a dans l'Hads. Gr. in-8"; Directorium vitse iiumanae alias parabola antiquorum sapientium. Version latine du livre de Kalilh et Dimnh publie et annote par J. Derenbourg. 2 vol. gr. in-8". 16 fr. (C). Les plantes dans l'antiquit et au moyen ge. Histoire, usage et symbolisme. V^ partie Les plantes dans l'Orient classique. Tome I"' Egypte, Chalde, Assyrie, Jude, Phnicie.
livre de savoir ce qu'il
' : :
Le
In-8.
fr. fr.
'
Le
mme
(E.).
Tome
II
l'Iran et l'Inde.
Un
fort vol.
in-8%
12
LEDRAIN
la
LEFBURE
LEPSIUS
LEVI
(E.).
In-4.
Au
lieu
de 20
fr.
15
fr.
Deuxime
Osiris. In-4".
20
fr.
(C.-R.). Les mtaux dans les inscriptions gyptiennes, traduit de l'allemand par "W. Berend, avec notes et corrections de l'auteur. In-4'', avec 2 planches. 12 fr.
(S.). Le thtre indien. Gr. in-8. Quid de Graecis veterum Indorum monumenta
(J.).
18
tradiderint. In-S".
fr.
fr.
LIEBLEIN
Index alphabtique de tous les mots contenus dans le Livre des Morts publi par R. Lepsius d'aprs le Papyrus de Turin, ln-8". 12 fr. MARIETTE-PACHA. Denderah. Description gnrale du grand temple de cette ville. 4 vol. in-f et suppl. contenant 339 pi., ace. d'un vol. de texte in-4". 390 fr. Le volume de texte se vend part. 60 fr. Le supplment aux planches. Sparment. 10 fr. Monuments divers recueillis en Egypte et en Nubie. 28 liv. in-f". 168 fr. Les Papyrus gyptiens du Muse de Boulaq publis en fac-simil. Tomes I III, Papyrus 1 22. 3 vol. in-f" orns de 121 planches. 400 fr. Le tome III, 20 pi. en couleurs, se vend sparment. 100 fr.
Le Srapum de Memphis. Nouvelle dition publie d'aprs le manuscrit de G. Maspero. Vol. I avec un atlas in-f et un supplment. Les Mastaba de l'Ancien Empire. Fragments de son dernier ouvrage, publis d'aprs
par G. Maspero. 9
livr.
et
l'auteur
par
fr.
55
le
manuscrit
60
fr.
MARTIN
et
commentaire.
6
fr.
MASPERO
Une
In-4.
^^^^
Hymne
au Nil, publi et traduit d'aprs les deux textes du Muse britannique. In-4''. 6 fr. enqute judiciaire Thbes au temps de la XX dynastie tude sur le Papyrus Abbott.
(Epuis)
histori antiquissim.
In-4.
De Carchemis
Mmoire
-^
Papyrus du Louvre.
20
Italie.
Gr.
fr.
fr.
20
Un
80
MASPERO (H.). Les finances de l'Egypte sous les Lagides, 1906. In-S de 252 p. MLANGES d'archologie gyptienne et assyrienne. 3 vol. in-4. MYER (J.). Scarabs. The History, Manufacture and Religions Symbolism of the Scarabaeus,
12
fp.
50
fr.
15
in Ancient Egypt, ~Phoenicia, Sardinia, Etruria, etc. Aiso Reraarks on the Learning, Philosophy, Arts, Ethics, Psychology. Ideas as to the Immortality of the Sol, etc., of the Ancient Egyptians, Phoenicians, etc. in-8 cart. toile. 12 fr. OPPERT (J.). Mmoire sur les rapports de l'Egypte et de l'Assyrie dans l'antiquit, claireis par l'tude des textes cuniformes. In-i"12 fr. Duppe Lisan Assur, lments de la grammaire assyaienne. 2' d. In-8. 6 fr.
PALANQUE (C). Le Nil l'poque pharaonique, son rle et son culte en Egypte. Gr. in-8".' LE PAPYRUS DE NEB-QED (exemplaire hiroglyphique du Livre des Morts) reproduit,
M.
prcd d'une introduction mythologique, par Th. Devria, avec la traduction du Pierret. Gr. in-f". 12 pi. et 9 pages de texte.
(J.).
fr.
50
par
fr.
dcrit et
te.xte
50
Les chroniques de Zara Y'eqb et de Ba'eda Mrym, rois d'Ethiopie de 1434 1478 (texte thiopien et traduction), prcdes d'une introduction. Gr. in-8. 13 fr. PRIER (J.). Vie d'Al Hadjdjdj ibn Yousof (41-95 de l'Hgire 661-714 de J.-C), d'aprs les sources arabes. Gr. in-8. 13 fr. PIERRET (P.). Etudos gyptologiques comprenant le texte et la traduction d'une stle thiopienne indite et de divers manuscrits religieux, avec un glossaire gyptien-grec du dcret de Canope. In-4. 20 fr.
PERRUCHON
Recueil d'inscriptions indites du muse gyptien du Louvre traduites et commentes. Premire 50 fr, et deuxime parties avec table et glossaire. 2 vol. in-4.
Vocabulaire hiioglyphique comprenant les mots de la langue, les noms gographiques, divins, royaux et historiques classs alphabtiquement; accompagn d'un vocabulaire franaishiroglyphique. Gr. in-8". 60 fr.
>
fr.
fr.
pi.
50 50
L'inscription de Havian. Texte, traduction et commentaire philologique, avec trois appendices et 12 fr. un glossaire. 2 vol. gr. in-8.
Wadi
10
1
fr.
I", roi
M.
Oppert).
fr. fr.
fr.
Gr. in-8".
5
19
et
REVILLOUT
1"''
Matriaux pour servir l'histoire de la philosophie de l'Inde. Gr. in-8". (E.). Papyrus coptes. Actes et contrats des muses gyptiens de Boulaq
Textes et fac-simils. ln-4.
coptes
du Louvre.
20
fr.
fr.
fasc.
Apocryphes
fasc. In-4".
25
Chrestomathie dmotique. 4 vol. in-4. 100 fr, tudes sur quelques points de droit et d'histoire ptolmaques. In-4. 10 fr. RITUEL funraire des anciens gyptiens. Texte complet en criture hiratique, publi d'aprs le Papyrus du muse du Louvre, et prcd d'une introduction Ttude du Rituel, par le vicomte E. de., Roug. Livr. 1 5. Gr. in-f". 60 fr. ROBIOU (F.). Mmoire sur l'conomie politique, l'administration et la lgislation de l'Egypte au temps des Lagides. Gr. in-8, orn d'une carte. 6 fr. Recherches sur le calendrier macdonien en Egypte et sur la chronologie des Lagides. In-4'. 9 fr. 2 fr. 50 La Question des mythes. 1" fascicule Egypte, Asie antrieure. In-8.
:
Questions d'histoire gyptienne, tudies dans le Recueil de travaux l'archologie gyptiennes et assyriennes. In-8".
relatifs la philologie et
1
.
fr.
2 fr. Recherches sur la religion de l'ancienne Egypte, le culte. In-8. chronologique de M. Lieblein sur les trois premires dynasties du Nouvel Empire gyptien et le synchronisme gyptien de l'Exode. In-8. 1 fr. 50 ROUG (E. de). Chrestomathie gyptienne ou choix de textes gyptiens, transcrits, traduits et accompagns d'un commentaire et d'un abrg grammatical. 4 vol. gr. in-8. (Epuis)
-Le systme
Recherches sur les monuments qu'on peut attribuer aux six premires dynasties de-Manthon, prcdes d'un rapport adress M. le Ministre de l'instruction publique sur les rsultats gnraux de sa mission en Egypte. Gr. in-4"^ avec 8 pi. dont 5 doubles. (Epuis). 50 fr. Inscriptions hiroglyphiques copies en Egypte pendant sa mission. Publi par le vicomte J. de 120 fr. Roug. 4 vol. in-4. SAADYA (Gaon de Fayyoum). Commentaire sur le Sefer Yesira ou livre de la cration, publi et traduit par Mayer Lambert. Gr. in-8". 10 fr. 6 fr. SAULCY (F. de). Dictionnaire topographique abrg de la Terre-Sainte. 1 vol. in-8''. SCHACK (G. von). Die Untervi^eisung des Knigs Amenemhat I. 1 et 2' Hlfte. Gr. in-4. 8 fr. TARAFA IBN AL-'ABD AL-BAKRI, Dwn. Texte arabe publi par M. Seligsohn et accompagn d'une traduction franaise. 1 vol. gr. in-8. 16 fr.
phiques admis par les Falachas ou Juifs d'Abyssinie, texte thiopien publi J. Halvy. Gr. in-8".
VIREY
le
Papyrus
Prisse.
Le
livre
de
Kaqimna
et les
E.
BERTRAND.