Pergolesi - La Servante Maitresse VS PDF
Pergolesi - La Servante Maitresse VS PDF
LA
SERVANTE
MAITRESSE
OPÉRA-COMIQUE EN DEUX ACTIFS
PAROLES FRANÇAISES DE
BAURANS
MUSIQUE DE
PERGOLESE
« Nature, un jour, épousa l'Art.
De leurs amours naquit Favart,
Qui semble tenir de sa mère
Tout ce quelle doit h son père. »
à M n»
e Favart, qui
(Baorans. quatrain
créa la Servante maîtresse à la Comé-
die-Italienne. )
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PAR
ALBERT DE LA SALLE
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1G. BOULEVARD MONTMARTRE, 10
18 62
NOTICE HISTORIQUE
SUR LA
SERVANTE MAITRESSE
obtenu de donner à l'Opéra plusieurs représentations
des intermèdes de Pergolèse. Ils débutèrent le 2 août
1752 par la Serva Padrona, que l'Italie applaudissait
déjà depuis une vingtaine d'années.
A révolution musicale dont Ce fut comme un coup
de foudre; et Laharpe le dit
la Servante Maîtresse fut à très-bien : une nouvelle musique pour
« Il fallait
la fois la cause et le signal, qu'on en vint à examiner celle qu'on avait ou qu'on
en fait à jamais une œuvre croyait avoir, et pour se demander enfin quelle
de haute importance; et la était la raison de cet ennui qui régnait de plus
date de sa première repré- en plus à l'Opéra, surtout pour ceux qui avaient
sentation sera toujours un passé l'âge d'y aller chercher autre chose qu'un
point unique dans l'his- spectacle. La musique des bouffons fit connaître à
toire de l'art. l'oreille un plaisir tout nouveau; cette richesse, cette
L'aimable chef-d'œuvre de Pergo- variété d'expression étaient bien le contraste des
lèse est, en effet, lepramier type d'opéra- effets ordinaires de l'Opéra. »
comique introduit en France par les Ita- Deux partis se formèrent aussitôt; l'un qui tenait
liens; or on va voir comment nous avons pour la musique italienne, l'autre qui avait entrepris
profité de cette leçon de gaieté. de défendre la vieille psalmodie française. Jean-
Pour apprécier à sa juste valeur l'in- Jacques Rousseau, Grimm, tous les beaux esprits
fluence qu'a exercée sur notre génie musical l'exhibi- du temps, entrèrent dans la mêlée et les grands
tion de la Serva Padrona, il faut, avant tout, se faire coups qu'ils frappèrent, l'un avec sa Lettre sur la musi-
une idée de l'état dans lequel se trouvait l'art vers le que française, l'autre avec son Petit prophète de Boeh-
milieu du dix-huitième siècle. Le croirait-on? à une mischebroda ne firent qu'envenimer l'animosité des
époque si affolée de toutes les sensualités et où le plai- deux factions. Paris était dans un grand émoi, la
sir tenait une place très-large dans la vie
sociale, l'o- fièvre de la discussion faisait tourner toutes les tètes.
péra bouffon était encore inconnu à Paris. Il existait Les affaires de la politique même
ne passionnaient
bien aux foires Saint-Laurent et Saint-Germain plu- plus personne, tant on dépensait d'ardeur dans cette
sieurs théâtresoù se donnaient à profusion, et sous la bataille qu'on se livrait tous les matins à coups de
rubrique d'opéras-comiques, de petites pièces grivoises brochures et tous les soirs à coups d'épée sous les ré-
entremêlées de couplets. Mais il ne faut pas s'y trom- verbères de la rue Saint-Honoré, (Le lecteur n'ignore
per, ces pasquinades plus ou moins échevelées
usur- pas en effet, que l'Opéra était alors attenant aux bâ-
paient par avance un titre que ne pouvaient certes timents du Palais-Royal et s'élevait sur ce qui fait
leur valoir les refrains populaires dont on les assai- aujourd'hui la partie méridionale de la rue de Valois).
sonnait; à peine pourrait-on comparer d'aussi gros- Le roi Louis XV, qui était du parti de la musique
sières élucubrations à nos vaudevilles les plus française, finit par beaucoup s'émouvoir de toute cette
élémentaires. D'un autre côté, on ne chantait guère échaufiburée. Il chercha longtemps un prétexte pour
à l'Opéra que sur le ton du lutrin. Rameau, qui passait renvoyer les bouffons or comme
; il n'en trouva point,
alors pour avoir porté le dernier coup à la leur ordonna
psalmodie il purement et simplement de cesser
de Lulli, procédait encore très-visiblement du vieux leurs exercices.
maître quoiqu'il se soit montré plus indépendant et Voilà donc les italiens partis. Mais ils laissaient
que ses travaux théoriques aient fait faire un grand derrière eux comme une trace lumineuse
que rien
pas à la science musicale. ne pouvait effacer. Nous leur devions la révélation
En tous cas y avait un abîme entre l'auteur de
il de l'opéra-bouffe; c'est-à-dire tout un art nouveau
Zitroastre et maîtres italiens qui déjà savaient
les dont les beautés avaient pris pour la foule un
donner à la tournure de leurs chants tant de vivacité,, relief singulier dans la dispute môme dont elles
de grâce et d'esprit. avaient été l'objet. En
l'impression que produi-
effet,
Les choses en étaient là, quand une troupe de sirent la Serva Padrona, Maestro di musica, la Finta
il
bouffons dirigée par le signor Bambini s'en vint jeter cameriera et les sept ou huit opérettes qui composaient
le trouble dans le paisible empire des sons. Ces chan- le répertoire du signor Bambini, cette impression,
teurs ambulants (si médiocres qu'ils étaient) avaient dis-je, ne fut pas seulement vive, elle fut durable.
Les défenseurs du système français eurent beau crier montrer ses talents de poêle et de musieien. L'occa-
et se démener, ils ne réussirent pas à résister au sion tant cherchée était difficile à saisir; pourtant
courant des idées nouvelles. Tous les jours ils per- Baurans s'était lié d'amitié avec Laruettc etM me Fa-
daient du terrain, non pas déparies raisons articulées vart, alors toute-puissante à la Comédie-Italienne de
dans les écrits de leurs adversaires, mais bien en la rue Mauconseil. D'autre part, il fréquentait
vertu de l'excellence même de la musique italienne. J.-J.Rousseau et les principaux chefs du parti bouf-
La Guerre des Bouffons ne fut donc pas une joute foniste dont le rendez-vous ordinaire était au café
d'ergoteurs armés d'épigrammes plus ou moins ai- Procope. Ces circonstances réunies firent bientôt
guisées ; elle eut toute l'importance d'une véritable naître dans son esprit une idée alors si neuve qu'elle
révolution, car elle fut la crise féconde d'où sortit un était tout à fait téméraire; iLimagina d'accommoder
progrès en dépit d'une routine. la Serra pndrona à la scène française.
Ici intervient dans le drame un nouveau person- Après deux mois d'un travail opiniâtre, la traduc-
nage dont on va bientôt juger l'importance.. Il s'ap- tion du chef-d'œuvre de Pergolèse se trouva prête à
obtenu du roi le privilège des
pelait Monet, et avait être représentée. Mais le pauvre poète était si '.imide,
théâtres de la foire Saint-Laurent et de la foire Saint- OU plutôt si modeste, que sans M me Favart, qui lui
Germain. força la main, il ne se serait peut-être jamais dé-
Monet a laissé des mémoires ; et nous n'avons, ce cidé à produire ses rimes devant le public.
nous semble, rien de mieux à faire que d'en déta- La Serva padrona, devenue la Servante maîtresse, fut
cher la curieuse page qu'on va lire et où se trouve donnée avec le plus grand succès, à la Comédie-
tout au long le véritable acte de naissance de l'opéra- Italienne, le 14 août 1754. Voici l'éloge qu'en firent
comique. Diderot et Grimm dans leur correspondance litté-
« Après le départ des bouffons, sur le jugementim- raire : « Un nommé M. Baurans, — disent-ils, —
partial que des gens de goût avaient porté de leurs vient d'exécuter un projet dont le succès n'a pas été
pièces, je conçus le projet d'en faire faire d'après le et ne peut être contesté ; il a entrepris une traduc-
même patron par un musicien de notre nation. tion presque littérale de la Serva padrona, en conser-
M. Dauvergne me parut le musicien le plus capable vant la musique du sublime Pergolèse. Onpeutsentir
d'ouvrir avec succès cette carrière. Je lui en fis faire l'extrême difficulté d'une pareille entreprise. Cet in-
la proposition et il Vadé
l'accepta. Je l'associai à M. termède est joué à la Comédie-Italienne, et tout Pa-
et je leur indiquai simplement un sujet de La Fon- risy court avec une espèce d'enthousiasme. Il est
taine. Le plan et la pièce des Troqueurs furent faits précédé d'un prologue en forme de pièce, de l'illustre
dans l'espace de quinze jours. M. de Chevrier. Celui-ci est intitulé la Campagne, et
» Il fallait prévenir la cabale des bouffons. Les fa- fourmille d'épigrammes à la façon légère et agréable
natiques de la musique italienne, toujours persuadés de cet auteur. »
que les Français n'avaient pas de musique, n'auraient Encouragé par la vogu? qui s'attacha à la Servante
pas manqué de faire échouer mon Donc de
projet. maîtresse, Baurans traduisit et fit jouer quelque
concert a\ec les deux auteurs, nous gardâmes le plus temps après : il Maestro di musica, du même maître.
profond secret. Ensuite pour donner le change aux Mais bientôt il fut atteint de paralysie, et s'en alla
ennemis que je me préparais, je répandis et fis ré- mourir à Toulouse où il était né.
pandre que j'avais envoyé une pièce à Vienne, à un —
Le 12 août 1862, sous la direction de M. Perrin,
musicien italien qui savait le français et qui avait la la Servante maîtresse a été représentée etbien accueil-
plus grande envie d'essayer ses talents sur cette langue. lie au théâtre de l'Opéra-Comique. Gourdin, Berthe-
» parmi les bouf-
Cette fausse nouvelle s'accrédita lier et M me Galli-Marié, ont concouru au succès de
fonistes qui vinrent me complimenter sur l'acquisi- cette curieuse exhibition en montrant, chacun dans
tion que j'avais faite de ce bon auteur et me confir- son genre, un talent renforcé par beaucoup de zèle.
mèrent encore la grande supériorité de la musique La partition a été revue par M. devaert, qui a cru
italienne sur la nôtre. Aussi charmé de leur bonne devoir y ajouter, en guise d'ouverture, un fragment
foi que de l'heureuse tromperie que je venais de leur de sonate de Scarlatti. M. Gevaert a aussi, d'unemain
faire, je leur présentai M. Dauvergne comme le vé- discrète autant que sûre, transporté au quatuor les
ritable Orphée de Vienne. » accompagnements de clavecin destinés à soutenir le
Lis Troqueurs, de Vadé et de Dauvergne. (premier récitatif.
opéra-comique français digne de ce nom), furent — Fn résumé, on voit que Serva padrona c'est /"
donnés à la foire Saint-Laurent, le 30 juillet ÎT.'IM. qui a engendré Troqueurs, ou, autrement que
les
En ce temps-là, vivait à Paris, pauvre et ignoré, l'opéra-comique, — parla voie du pastiche, — est
un répétiteur du collège Louis-lc- Grand, qui avait né chez nous de l'opéra-bouffe italien. De là l'inté-
nom Pierre Baurans. Ce n'est pas que Baurans eût rêt qui s'attache à la reprise de la Servante maîtresse,
précisément abandonné sa place de substitut au par- cette aïeule vénérée de toute une lignée de chefs-
lemenl de Toulouse pour venir dans la capitale en- d'œuvre dont le dernier venu a si gl
seigner le grec et le latin, mais la misère l'avait Lnl la-Roue le.
réduit à cette extrémité, et il patientai! dans l'exer- ALBF.BT
cice de sa modeste profession, en attendant qu'il pût 10 août 1862.
LA
SERVANTE MAÎTRESSE
Opéra-Comique en ¥ Actes
(1730)
Paroles Musi
sique
de
BAURANS PERGOLESE
IHSTKIBUTIOI*
CATALOGUE THEMATIQUE.
ACTE 1
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ACTE II.
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N?5.
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Opéra comique en 2 Actes .
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Mon chocolat; elle n'a pas le temps. Euh!... Quoi!... tu nie dis mot)
Cependant il faut <pië je sorte; Faudi*a-t-il aussi maître sot
Oh' c'en est trop, je suis trop bon, Eh! va donc, va donc, tôt!
Mais je vais pieu die un autre ton. Va voir ce qui l'empêche!
'ZerbineiZerbine!
(il te yvusne dehors par les épaules)
Je m'égosille eu vain,
N?2.
RECITATIF.
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Joindre 1 effet a la menace. Ait pour moi des égards,quils me regardent fous,
PAftDOLPHE. PAKDOLPHE.
Que prétends-tu, Zerbine? holà! Fort bien.Sacliojis donc de madame
Ce qui peut la mettre en courroux?
ZEliBIXE
SEBBISB.
"Vous lallez voir
Cet imuèrtïiieïil qui vient....
ZEBBISB .
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Parceque je suis la servante, Qui se donne les airs de faire des Iwousl
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KÀDOLPffE Dis moi, Scapin, grand Lien vo«ks fesse,
ZEBBIAB. ZEBBIJVE.
PANDOLPHE (à Scapin )
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zeiiuink. PAAInil.l'JIK.
PAMJOLPflB. ZEHBIXE .
Jeu demeure d accord. Oh bien! niez, pesiez, sachez qu'il nen sera
n°. 5.
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Oui suis émerveille'* de uie trouver si bote, Oui dès demain sans faute je m'engage
,\< couscus même ;i l'en paver !«• prix. l'AM'i'l.PHE'' >i colère)
/.).I:LI.\E .
t )h! 1 impudence extrême!
PAMIOLPHE. A moi
Eb,va t'en iusolenlej : A5P0LPHB.
Qu'elle vienne .1 coup sur,je uc dirai pas non. .!. ue sais qui me lient...Oser prendre ce toii!
I . Iivmeu u'effrave plus uiou urne, Mais comment! jj<.i:;- qui me -jrend-ou?
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oup, j'- uis de - 11 avis, Vous n'eu aurez jiiiriaijr'cT'ulre .jh*- moi.
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ACTE II
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SCEIVE II
Vous y pensez?
ZERBINE, #C API (dequisé en capitaine.)
ZEREIAE
ZEliBIKE. Bien plus, 1 affaire est avancée,
Te voila très-bien déguise: Jai déjà choisi mon époux...
Pandolpheysera pris à coup sur,et peut-être PAi\I)OLl'HE
PJns fin que lui s*y verrait abuse. Oh! oh! qui peut aller aussi vite que vous!
Scapm. c'est maintenant qu'il faut faire paraître 11 suffit donc que madame se montre,
Ion zèle et ton esprit, et ne rien négliger Et soudain les maris viennent à sa rencontre?
Pour faire en mes filets tomber notre vieux maître; zerbixe .
Il est capitaine
SCÈNE III.
PA.MiOLPHE
ZERBINE, PAJiBOL'PB.'Efhabille' pour sortir.) Cet état donne moins d'argent que de renom.
zehblne (a part.) Peut- on aussi savoir son nom?
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PaKB-olphe( au fond du théâtre) Sa fougueuse valeur, que jamais rien n'arrête,
Ah! voila donc madame, I?a fait nommer capitaine Tempête.
ZERBINE. PAXHOLPHE
Ehlmonsieur, finissons de railler de la sorte. En ce cas là je crains le sort qu'il vous apprête.
Je vais cesser enfin de vous déplaire. C'est mon affaire; nous verrons
< Mi! pour celaje l espère. D'avance il ne faut pas dit-on.chomer la fête.
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ZEltBINE. pwPOLPHKW/rec mterel
Dans peu lnymen vous range sous s.» loi? Moi d'abord j'en serais sincèrement fâche.
Il est vrai, j
en ai la pensée- En toute occasion de le faire paraître;
.Je me connais, monsieur,e1 mos un peu sensée Ah! mon cher maitre.
l n tel espoir ne m'a jamais herceej Mon cœur vous est aussi sans reserve attache;
C'est que pense aussi de mon cote. Queb sent imens chez-moi vos bontés ont fait naître
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ZERBiNE
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frappons le dernier coup ({» peur qu'il n'en revienne lien avertir et l'amener ici.
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PANDOLPHE f« part)
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Cet homme me deplait aussi parfaitement !
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Quoi donclje souffrirais patiemment
SC APINf déguisé *>n capitaine) Que ce vilain hibou fasse aujourdhui Lemplette
y\M)0LVOK( un peu f> "ii ornement J Savez vous bien., monsieur. ce quil a dit ?
f Scapin repond dun signe de tête a toutes les Eh. monsieur, je vous\prie
Pour le justifier d oser franchir le pas? Je vous ai dit quil entre aisément en furie.
r a Zabi ne ) PANDOLPHE-
La peur de trop parler fait qu il ne parle point . Je crains que vous n ayez excite sa colère
Soulfi t-/ quun moment je voqs laisse 11 est vrai.ie commence a craindre tout de bon:
E G .
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55
Scapiuîou doue est il fourre te maître ivrogne? A cet aveu tu sais à la fin me contraindra
(Scapin qui sentend. nommer » >u1 accourir Prends ma mainjjrends mon cceur,prends mon
Vous 1 appelez en vain. il est sorti. A qui Satan puisse tordre le cou.
ZEULIXE. PAXItOLPHE.
PANDOLPHE. ZEBBISE.
Lequel ? PANDOLPHE.
II faudrait que ce fut un parti bien honnête. Quand vous devez ma main a son adresser
Eh mais ... Si c était moi .. qui voulûtt'epouser? Il est vrai je ne puis me fachc .une pièce
zebbike rie regardant tendrement ) Qui met le comble a mes ^nx les plus t\oi)\.
P \-\lK)LPHEf< ii -entent) Elle remplit aussi les miens, mon cher époux
Oui, ma chêre;il n'est plustempsde feindre; (a part) 5 étais servant ?.»>t je deviens maîtresse
S6
N° 10
DLETTO FIIVAL
ZERBINE
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