CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES DES TRAVAUX D’ECLAIRAGE

PUBLIC DES LOTISSEMENTS ET DES ENSEMBLES IMMOBILIERS

C.P.S ECLAIRAGE PUBLIC

Mars 2016

Ce document est la propriété de Lydec ; il ne peut être communiqué à des tiers et/ou reproduit de façon partielle ou totale sans
autorisation écrite de Lydec, et son contenu ne peut être divulgué.
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Cahier des prescriptions spéciales des travaux d'éclairage public des lotissements & des ensembles immobiliers

Sommaire
1. OBJET ______________________________________________________________________ 4
2. CONSISTANCE DES TRAVAUX ET FOURNITURES ___________________________________________ 5
3. SPECIFICATIONS TECHNIQUES DES OUVRAGES ET MISE EN ŒUVRE _______________________________ 5
3.1. CABLES D’ECLAIRAGE PUBLIC _________________________________________________________ 5
3.1.1. GENERALITES ___________________________________________________________________________ 5
3.1.2. CABLE D'ALIMENTATION ___________________________________________________________________ 6
3.1.2.1. Câble BT souterrain série U-1000 AR2V _______________________________________________ 7
3.1.2.2. Câble BT souterrain série U-1000 ARVFV ______________________________________________ 8
3.1.2.3. Câble BT souterrain série U-1000 R2V ________________________________________________ 8
3.1.2.4. Câble BT souterrain série U-1000 RVFV _______________________________________________ 9
3.1.3. CONDUCTEUR DE MISE A LA TERRE POUR LA PROTECTION DES PERSONNES CONTRE LES CONTACTS INDIRECTS __________ 10
3.1.4. CABLE DE RACCORDEMENT DE LUMINAIRES ______________________________________________________ 11
3.1.5. ESSAI DES CABLES POSES __________________________________________________________________ 12
3.1.6. CONDITIONS GENERALES DE POSE DES CABLES ____________________________________________________ 12
3.1.7. TERRASSEMENTS _______________________________________________________________________ 13
3.1.8. PROTECTION MECANIQUE DES CABLES _________________________________________________________ 13
3.1.8.1. Choix du fourreau _______________________________________________________________ 13
3.1.8.2. Dispositions sécuritaires : _________________________________________________________ 14
3.1.8.3. Règles de pose __________________________________________________________________ 14
3.1.9. REMBLAIEMENT DES TRANCHEES _____________________________________________________________ 16
3.2. CANDELABRES__________________________________________________________________ 17
3.2.1. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES _____________________________________________________________ 17
3.2.1.1. Fût ___________________________________________________________________________ 17
3.2.1.2. Ouverture de visite en partie basse du fût ____________________________________________ 17
3.2.1.3. Plaque d’appui __________________________________________________________________ 18
3.2.2. MARQUAGE __________________________________________________________________________ 18
3.2.3. TENUE DES SUPPORTS ____________________________________________________________________ 18
3.2.4. PRESCRIPTIONS DE MISE EN ŒUVRE ___________________________________________________________ 19
3.2.4.1. Stockage sur le lieu des travaux ____________________________________________________ 19
3.2.4.2. Distance minimale de pose ________________________________________________________ 19
3.2.4.3. Mise à la terre des masses ________________________________________________________ 19
3.3. CONSOLES ____________________________________________________________________ 19
3.3.1. CONTRAINTES A PRENDRE EN CONSIDERATION____________________________________________________ 19
3.3.2. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES _____________________________________________________________ 19
3.4. LUMINAIRES – LAMPES & ACCESSOIRES ________________________________________________ 20
3.4.1. LUMINAIRES __________________________________________________________________________ 20
3.4.1.1. Caractéristiques constructives _____________________________________________________ 20
3.4.1.2. Autres caractéristiques ___________________________________________________________ 23
3.4.1.3. Marquage des luminaires _________________________________________________________ 24
3.4.2. LAMPES SHP __________________________________________________________________________ 24
3.4.3. LAMPES IM: __________________________________________________________________________ 25
Elles doivent être conformes à la norme NM 06.7.068.______________________________________________ 25
3.4.4. ACCESSOIRES D’ALIMENTATION DES LAMPES _____________________________________________________ 26
3.4.3.1. Ballast ________________________________________________________________________ 26
3.4.3.2. Condensateur __________________________________________________________________ 26
3.4.3.3. Amorceur ______________________________________________________________________ 27

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3.5. MASSIFS ____________________________________________________________________ 27

3.5.1. MASSIFS PREFABRIQUES DE FONDATION DES CANDELABRES ___________________________________________ 27
3.5.2. MASSIFS COULES DE FONDATIONS DES CANDELABRES _______________________________________________ 29
3.5.3. POSE DES CANDELABRES __________________________________________________________________ 30
3.6. RACCORDEMENTS DES LUMINAIRES ___________________________________________________ 30
3.6.1. BOITIERS DE RACCORDEMENT PIED DE CANDELABRE ________________________________________________ 31
3.6.2. BOITIERS DE RACCORDEMENT POUR FAÇADE _____________________________________________________ 31
3.7. RACCORDEMENT AU POSTE DE DISTRIBUTION PUBLIQUE _____________________________________ 32
4. REPERTOIRE DES SIGLES & ABREVIATIONS _____________________________________________ 33

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1. OBJET
Le présent cahier des charges définit les prescriptions spéciales relatives à l'exécution des travaux
d'éclairage public des lotissements et des ensembles immobiliers, y compris fournitures.

Sauf stipulations contraires, les principaux documents de référence sont :

 NF C 17-200 : Installations d’éclairage extérieur – Règles ;

 UTE C 17-205 : Installations d’éclairage extérieur – Guide pratique – Installations d’éclairage
extérieur – Détermination des sections des conducteurs et choix des dispositifs de protection ;
 UTE C 11-001 : Conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les distributions d'énergie
électrique ;
 NF C 11-201 : Réseaux de distribution publique d'énergie électrique ;
 NM 06.1.232 : Eclairage public – Partie 2 : Exigences de performance ;
 Cahier des charges de la Gestion Déléguée du Service de Distribution d’Electricité, du Service de
Distribution d’Eau Potable et du Service d’Assainissement Liquide à Casablanca ;
 Normes marocaines homologuées ou, à défaut, internationales (pour la fourniture) ;
 Guides métier Lydec.

Il est élaboré par Lydec pour servir de document de base aux bureaux d'études et aux entreprises chargées
des travaux d'éclairage public des lotissements et des opérations immobilières réalisés dans le périmètre
géré par Lydec.

L'entreprise chargée des travaux est désignée par entrepreneur ou entreprise et le lotisseur est désigné par
promoteur.

En signant ce document avant commencement des travaux, les bureaux d’études, les entreprises et les
promoteurs immobiliers, publics ou privés, s’engagent à en respecter les termes.

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2. CONSISTANCE DES TRAVAUX ET FOURNITURES

En plus des prescriptions décrites dans le CPC, l'entrepreneur prend en charge, dans un lotissement ou
opération de construction, les travaux et prestations suivantes :

 l'exécution, à l’intérieur du lotissement ou opération de construction, des fouilles pour l'ouverture

de tranchées ;
 la fourniture et pose des massifs préfabriqués pour candélabres ;
 la fourniture et pose des candélabres ;
 la fourniture et pose des câbles d’éclairage public (alimentation, terre et raccordement) à l’intérieur
du lotissement ou opération de construction ;
 la mise en place des armoires de commande du réseau d’éclairage public ;
 le raccordement des câbles d’éclairage public aux candélabres, aux luminaires, aux postes Lydec
projetés et éventuellement aux armoires de commande ;
 tous les travaux de montage de luminaires et accessoires nécessaires à la réalisation complète et à
la mise en service du réseau d’éclairage public ;
 l’établissement des plans de récolement et carnets de piquetage du réseau d’éclairage public posé
(en formats papier et électronique exploitable).

L'énumération ci-dessus des fournitures et prestations à la charge de l'entrepreneur est indicative et n'est
nullement limitative. En fait, l'entrepreneur s'engage à livrer l'ensemble des installations en parfait état de
fonctionnement.

3. SPECIFICATIONS TECHNIQUES DES OUVRAGES ET MISE EN ŒUVRE

Les travaux seront exécutés conformément au dossier technique validé par Lydec et conformément à ses
recommandations.

3.1. CABLES D’ECLAIRAGE PUBLIC

3.1.1. GENERALITES

La manutention des tourets et les opérations de déroulage, tirage et réglage sont faites avec le plus grand
soin, pour éviter toute atteinte de l'isolant. Toutes détériorations, telles que torsion, écrasement ou
rupture des conducteurs ou des brins, frottements des conducteurs sur le sol ou sur tout autre objet
abrasif, déchirure de l'isolant, doivent être impérativement évités.

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Les tourets de câbles, stockés à l'abri de l'humidité ne doivent pas être déchargés ou entreposés dans des
endroits où des poussières (sables, ciment, charbon) ou tout autre corps étranger risquerait de s'introduire
dans le câble ou de détériorer les isolants.

Les tourets doivent être roulés sur un terrain dépourvu d'aspérités. Le déroulage d'un touret se fait autant
que possible en une seule fois pour toute la longueur. On vérifie au cours de cette opération que le câble
est absolument intact.

Toute portion présentant une dégradation quelconque est éliminée et l'entrepreneur en informe Lydec.

Tout câble posé doit être muni de capotage d'extrémité empêchant la pénétration d'humidité (embouts
thermorétractables).

Toutes les fois que les services Lydec décideront, des essais sous tension seront effectués en quelque point
du réseau posé qu'il leur conviendra de désigner.

Toutes défaillances consécutives à un mauvais équilibrage, à un défaut d’isolement ou rupture du câble, à

la mise en place de sections inférieures à celles indiquées sur les plans pourront mettre l'entrepreneur dans
l'obligation, et à ses frais, de refaire les travaux. Il sera amené, par exemple, à déposer les câbles extérieurs
ou souterrains, en conséquence à rouvrir les fouilles, à retirer les câbles défaillants et les remplacer par les
câbles appropriés, à refaire tous les raccordements et refermer les tranchées dans le respect des exigences
du présent CPS.

Les fouilles seront descendues verticalement jusqu'au fond qui sera aplani et débarrassé de pierres.

Un grillage avertisseur, de couleur rouge, sera posé sur toute la longueur des fouilles à 0,20 m minimum au-
dessus de la génératrice supérieure du fourreau.

3.1.2. CABLE D'ALIMENTATION

Les câbles souterrains utilisés seront de la série U-1000 AR2V à 4 conducteurs en Aluminium, de section
minimale 16 mm², passés dans des fourreaux de protection. Ils passeront en coupure dans les candélabres.

Le câble armé Aluminium U-1000 ARVFV peut être préconisé par Lydec dans des cas spécifiques (tronçon
de grande longueur par exemple).

NB : Les câbles U-1000 R2V ou U-1000 RVFV en cuivre peuvent être utilisés comme solutions alternatives
après approbation de Lydec.
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Dans le montage des câbles seront compris le transport à pied d'œuvre, le déroulage et la pose en tranchée
directement dans le sol (pour U-1000 ARVFV ou U-1000 RVFV) ou dans des fourreaux à Double Paroi
Annelés "DPA" en PE (U-1000 AR2V ou U-1000 R2V).

Les conducteurs du câble seront repérés par coloration comme suit :

 Conducteur de neutre : Bleu clair

 Conducteurs de phase : Noir – Noir - Brun

Nota :

 Aux sorties des fourreaux, le câble doit être placé et calé à la partie supérieure du tube dont les
orifices seront obturés au plâtre, au polystyrène expansé, ou au moyen de tout autre dispositif
approprié.

Au cas où un câble de section supérieure à 4x50 mm² doit être utilisé (entre candélabres), on utilisera le
câble BT U-1000 RVFV ou U1000 R2V.

3.1.2.1. Câble BT souterrain série U-1000 AR2V

Ce câble doit être conforme à la norme marocaine NM 06.3.006.

Constitution :
 âme en aluminium, câblée circulaire jusqu’à 35 mm², circulaire ou sectorale pour 50 mm² ;
 enveloppe isolante en PR ;
 gaine de bourrage ;
 gaine de protection noire en PVC.

Marquage :
Doivent être marquées sur la gaine extérieure du câble, de façon indélébile, les informations suivantes :

 Nom ou sigle du fabricant ;

 La désignation U-1000 AR2V ;
 Nombre et section des âmes ;
 Norme de référence (NM 06.3.006) ;
 Mois & Année de fabrication ;
 Marquage métrique.

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L’intervalle compris entre la fin d’une inscription et le commencement de la suivante ne doit pas dépasser 1
mètre.

3.1.2.2. Câble BT souterrain série U-1000 ARVFV

Il doit se conformer à la norme marocaine NM 06.3.039.

Constitution :

 âme en aluminium, câblée circulaire jusqu’à 35 mm², circulaire ou sectorale pour 50 mm² ;
 enveloppe isolante en PR ;
 gaine de bourrage ;
 gaine intérieure d’étanchéité en PVC ;
 armure métallique formée de 2 feuillards en acier galvanisé, enroulés en hélice ;
 gaine extérieure noire en PVC.

Marquage :

Doivent être marquées sur la gaine extérieure du câble, de façon indélébile, les informations suivantes :

 Nom ou sigle du fabricant ;

 La désignation U-1000 ARVFV ;
 Nombre et section des âmes ;
 Norme de référence (NM 06.3.039) ;
 Mois & Année de fabrication ;
 Marquage métrique.

L’intervalle compris entre la fin d’une inscription et le commencement de la suivante ne doit pas dépasser 1
mètre.

3.1.2.3. Câble BT souterrain série U-1000 R2V

Ce câble doit être conforme à la norme marocaine NM 06.3.006.

Constitution :
 âme en cuivre, câblée circulaire ;
 enveloppe isolante en PR ;
 gaine de bourrage ;
 gaine de protection noire en PVC.

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Marquage :
Doivent être marquées sur la gaine extérieure du câble, de façon indélébile, les informations suivantes :

 Nom du fabricant ;
 La désignationU-1000 R2V ;
 Nombre et section des âmes ;
 Norme de référence (NM 06.3.006) ;
 Mois & Année de fabrication ;
 Marquage métrique.

L’intervalle compris entre la fin d’une inscription et le commencement de la suivante ne doit pas dépasser 1
mètre.

3.1.2.4. Câble BT souterrain série U-1000 RVFV

Il doit se conformer à la norme marocaine NM 06.3.039.

Constitution :

 âme en cuivre, câblée circulaire ;

 enveloppe isolante en PR ;
 gaine de bourrage ;
 gaine intérieure d’étanchéité en PVC ;
 armure métallique formée de 2 feuillards en acier galvanisé, enroulés en hélice ;
 gaine extérieure noire en PVC.

Marquage :

Doivent être marquées sur la gaine extérieure du câble, de façon indélébile, les informations suivantes :

 Nom du fabricant ;
 La désignation U-1000 RVFV ;
 Nombre et section des âmes ;
 Norme de référence (NM 06.3.039) ;
 Mois & Année de fabrication ;
 Marquage métrique.

L’intervalle compris entre la fin d’une inscription et le commencement de la suivante ne doit pas dépasser 1
mètre.
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3.1.3. CONDUCTEUR DE MISE A LA TERRE POUR LA PROTECTION DES PERSONNES CONTRE LES CONTACTS
INDIRECTS

La mise à la terre doit se faire par liaison à un conducteur nu en cuivre de section 25 mm² minimum, qui
sert à la fois de prise de terre et de liaison équipotentielle entre les candélabres.

 La liaison de chaque candélabre est assurée par une dérivation prise sur le
conducteur de protection de manière indémontable, et ce, par sertissage d’un
connecteur en C, en cuivre électrolytique.

 Le raccordement de la prise de terre au candélabre est réalisé à l’aide d’une cosse

tubulaire à sertir en cuivre étamé et de la visserie INOX.

La câblette de terre doit être assez longue pour éviter la rupture de la protection suite à une chute
éventuelle du candélabre.

Dans le montage de ce conducteur seront compris le transport à pied d’œuvre, le déroulage et la pose en
tranchée directement dans le sol et le tirage dans les conduites du massif ou dans des fourreaux.

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Le schéma global pour la protection contre les contacts indirects doit être comme suit (l’installation entre le
boîtier des candélabres et les luminaires étant bien entendu de classe II) :

 Le dispositif "DDR en tête" est composé d’un disjoncteur différentiel de type B, calibré suivant
l’intensité du courant absorbé par l’installation, lors de l’allumage et d’un dispositif à courant
différentiel résiduel, fonction de la valeur de la terre.
 La protection "P départ" est un fusible de type gG calibré suivant l’intensité du courant absorbé par
le départ lors de l’allumage.
 La protection "P candélabre" est un fusible de type gG calibré suivant l’intensité du courant absorbé
par la lampe lors de l’allumage (Exemple : Lampe 150 W SHP - I allumage = 1,28 A - Fusible gG 2A).

Une valeur globale de terre des masses EP mesurée < 100 Ohms est adoptée dans la plupart des cas
(disjoncteur de branchement 500 mA).

Nota : Cette terre est séparée de celle des masses du poste HTA/BT.

3.1.4. CABLE DE RACCORDEMENT DE LUMINAIRES

Ce câble sera de type U-1000 R2V à 2 conducteurs, de section 2,5 mm². Il doit être conforme à la norme
marocaine NM 06.3.006.

Constitution :
 âme en cuivre, câblée circulaire ;
 enveloppe isolante en PR ;
 gaine de protection noire en PVC.

Marquage :

Doivent être marquées sur la gaine extérieure du câble, de façon indélébile, les informations suivantes :

 Nom ou sigle du fabricant ;

 La désignationU-1000 R2V ;
 Nombre et section des âmes ;
 Norme de référence (NM 06.3.006) ;
 Mois & Année de fabrication ;
 Marquage métrique.

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Dans le montage de ce câble sera compris, le transport à pied d’œuvre, le déroulage et le montage dans les
candélabres.

3.1.5. ESSAI DES CABLES POSES

Avant mise sous tension, des essais diélectriques seront effectués par Lydec. Les tronçons défectueux
seront remplacés par l'entreprise dans leur totalité ; les boîtes de jonction n’étant pas autorisées.

3.1.6. CONDITIONS GENERALES DE POSE DES CABLES

Température de pose :

La température mesurée sur la gaine du câble doit être comprise entre 0°C et 35°C.

Efforts de traction :

Il est important, pendant toute la durée de l'opération, de limiter la contrainte de traction à la valeur fixée
par le constructeur. Les efforts ne doivent pas généralement dépasser la valeur de 3 daN/mm² de métal
conducteur.

Le tableau suivant donne les valeurs limites à respecter en fonction de la section du câble :

Efforts de traction maximum

Section (mm2) Effort (daN)
4x10 120
4x16 192
4x25 300
4x35 420
4x50 600

Rayon de courbure :

Les câbles sont déroulés, tirés et mis en place avec le plus grand soin en évitant toute torsion, boucle, …

En règle générale :

 Pendant le tirage, le rayon de courbure ne doit pas être inférieur à 16 fois le diamètre extérieur du
câble ;
 Une fois posé, il ne doit pas être inférieur à 8 fois ce même diamètre.

Dans tous les cas, il faut respecter les recommandations du fabricant.

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3.1.7. TERRASSEMENTS

Sauf dérogation, les dimensions des tranchées à ouvrir seront comme suit :

Sous trottoir Sous chaussée

Largeur (m) Profondeur (m) Largeur (m) Profondeur (m)
0,40 0,80 0,40 1,00

Dans le cas où une dérogation est éventuellement accordée par Lydec lorsque les conditions locales ne
permettent pas de respecter les profondeurs prévues, il faut mettre en œuvre des modalités particulières
pour assurer la sécurité des tiers et une protection mécanique suffisante mettant le câble à l’abri des
compressions dues aux efforts de surface et des dégradations dues aux outils les plus fréquents (pioche,
pieu, fiche...). Cette protection peut être réalisée en noyant les fourreaux de protection dans du béton.

Les fouilles seront creusées suivant les formes et les dimensions prescrites, les faces seront bien dressées et
le fond nivelé avec soin. Si la fouille se trouve en terrain rocheux, il ne devra subsister dans le fond de celle-
ci aucune « tête de chat ».

3.1.8. PROTECTION MECANIQUE DES CABLES

3.1.8.1. Choix du fourreau

Les fourreaux de protection à double paroi annelés "DPA" doivent être systématiquement utilisés pour les
câbles d’alimentation de la série U-1000 AR2V et U-1000 R2V.

Ces fourreaux répondent aux normes CEI 61386-1 et CEI 61386-22.

Selon la localisation de la tranchée, employer les fourreaux suivants :

Sous trottoir Sous chaussée

Classification Fourreau DPA Type 450 N Fourreau DPA Type 750 N

Le diamètre intérieur du fourreau doit être adapté au diamètre extérieur du câble ; au moins 1/3 du
fourreau doit être vide.

Câbles BT souterrains Série U-1000 AR2V ou U-1000 ARVFV

Section du câble mm² DI/DE du fourreau DPA
4 x 10
DI50/DE63
4x16

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Câbles BT souterrains Série U-1000 AR2V ou U-1000 ARVFV

Section du câble mm² DI/DE du fourreau DPA
4 x 25
4x 35
DI65/DE75
4x50

Exemple : DI50/DE63 : Diamètre Intérieur 50mm / Diamètre Extérieur 63mm.

3.1.8.2. Dispositions sécuritaires :

Avant toute ouverture de la tranchée, il est nécessaire de prendre les dispositions suivantes :

 Déterminer l'emplacement des réseaux existants (eau potable, électricité, télécom, ...), avoir la
Déclaration d'Intention de Commencement de Travaux (DICT) ;
 Signaliser et baliser le chantier. Le balisage autorisé est de type C (modèle Lydec) ;
 Matérialiser la tranchée sur le terrain par un repérage à la chaux selon la largeur de tranchée :
 Porter les équipements de protection individuelle adaptés aux situations de travail :
 Vêtements de travail ;
 Casque de protection de la tête contre le risque de chute d’objets ou de heurt ;
 Masque anti poussières ;
 Chaussures ou bottes de sécurité contre le risque d’écrasement des pieds ;
 Gilet de signalisation à haute visibilité pour les interventions sur la voie publique ;
 Gants de protection contre le risque de coupure ou de contusion au niveau des mains.

3.1.8.3. Règles de pose

a. Lit de pose et remblai

 Si le terrain le permet, le fourreau peut être posé directement sur le fond de la tranchée dressé et
exempt de toute aspérité ;
 Les tubes doivent être posés dressés par l'usage des étriers, séparateurs ou béton sans trop
serpenter ;
 La pose de ces tubes doit être réalisée sur un lit de sable de carrière de 0,05m d'épaisseur
uniforme ;
 Après pose des tubes, il est recommandé de les recouvrir sur une hauteur de 0,20m de terre
débarrassée des grosses pierres (les terres extraites ou remblai sont toujours préférables à des
matériaux d'apport) ;

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 En traversée de chaussée, l'enrobage en béton maigre des tubes est conseillé si on est limité par la
profondeur ;
 Compacter en respectant les recommandations du "GUIDE TECHNIQUE DE LA REFECTION DES CHAUSSEES"
Lydec.

b. Respect des réseaux voisins

 La distance minimale horizontale d’un réseau quelconque par rapport à un câble devra être de
0,40 m ;
 La distance minimale verticale (croisement) d’un câble par rapport aux canalisations d’autres
réseaux devra être de 0,20 m ;
 Si la largeur de la fouille n'autorise pas de garder cette distance, prévoir une sur-profondeur pour
disposer les tubes l'un sur l'autre avec l'intervalle requis.

c. Mise en place

 Les tubes sont raccordés entre eux par des manchons spéciaux et doivent être bouchés aux
extrémités par des tampons hermétiques avant et après la pose des câbles électriques ;
 Après leur pose, les manchons doivent être recouverts par un enduit au mortier ;
 Prévoir un abri pour les fourreaux si les travaux sont étalés sur une durée supérieure à 2 mois ;
 Au fur et à mesure de la pose, les Tubes doivent être vidés de toutes les matières étrangères qui
auraient pu y pénétrer ;
 Aiguillage des fourreaux : Sauf pour les grandes longueurs, il est préférable de ne pas aiguiller les
fourreaux. Si l'aiguillage s'avère nécessaire et que le tirage des câbles intervient longtemps après la
pose, il est souhaitable de réaliser celui-ci en câblette nylon (ne pas utiliser de fil d'acier qui s'oxyde
et risque de se rompre lors du tirage) ;
 La câblette aura toujours une longueur de 2m aux extrémités de chaque fourreau.

d. Réception des fourreaux

Après leur pose et le remblaiement de la fouille, les fourreaux sont réceptionnés, de préférence avant la
réalisation des revêtements de sol.

Pour cela, il faut tester le passage d'un tronçon de câble équivalent à celui qui sera utilisé à l'aide d'une
aiguille, pour contrôler notamment les rayons de courbure. Pour les lignes droites, une boule de diamètre
approprié peut être utilisée.

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3.1.9. REMBLAIEMENT DES TRANCHEES

L'entrepreneur est chargé de remblayer toutes les tranchées ou fouilles ouvertes par lui.

Le remblayage ne pourra s'effectuer que sur ordre de Lydec après pose des câbles électriques et sera fait
avec les matériaux provenant de la fouille si celle-ci est exécutée en terrain meuble. Dans le cas de déblais
rocheux, l'entrepreneur est tenu d'effecteur à ses frais des apports de terre pour remblayer les tranchées.

D'une manière générale, la couche primaire de remblais, sur une hauteur de 0,20m au-dessus des ouvrages
Lydec sera exécutée avec de la terre tamisée bien purgée de toutes matières étrangères. Le restant de la
fouille sera comblé avec les matériaux "tout venant" passés au crible à maille de 20mm maximum.

Les remblais seront obligatoirement exécutés par couches successives d’épaisseurs adaptées, sans
toutefois dépasser 0,20m maximum, compactés à l'aide d'engin approprié à la tranchée (pilonneuses
vibrantes, rouleaux vibrants, ...) pour éviter tout tassement ultérieur de la tranchée et avoir une compacité
au moins égale à :

 Sous chaussée :
o 95 % de l'Optimum Proctor Modifié : Pour les remblais secondaires
o 97 % de l'Optimum Proctor Modifié : Pour la couche de base de la chaussée
 Sous trottoir :
o 90 % de l'Optimum Proctor Modifié : Pour les remblais secondaires
o 95 % de l'Optimum Proctor Modifié : Pour la dernière couche des remblais secondaires

L'entrepreneur sera responsable jusqu'à la réception définitive de tous les accidents résultant d'une
mauvaise exécution des remblais.

Les trottoirs et chaussées après achèvement des travaux seront remis en état et bien nettoyés. Aucun
gravois, ni dépôt de matériaux de quelque importance que ce soit ne devra subsister.

En cas de contestation, à l'issue du chantier ou pendant le délai de garantie, des sondages de contrôle
pourraient être commandés à L.P.E.E. ou à un laboratoire agréé par Lydec. Si la réfection de chaussée n'est
pas conforme à la structure initiale, celle-ci sera refaite aux frais de l'entrepreneur qui supportera, en outre,
le coût des opérations de contrôle.

L'entrepreneur est chargé de faire transporter aux décharges publiques désignées, les déblais et matériaux
en excédant après le comblement des tranchées.

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3.2. CANDELABRES

Les candélabres doivent répondre aux spécifications ci-après, aux exigences des normes marocaines
NM 01.8.347 à 351 et NM 01.8.353, ou toute(s) autre(s) norme(s) assurant une qualité au moins
équivalente.

3.2.1. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES

3.2.1.1. Fût

 Forme : cylindro-conique.
 Matériau : tôle en acier de nuance minimale S235JR selon la norme NF EN 10025 (ex E24-2 selon la
NF A 35-501).
 Epaisseur de la tôle : 3mm minimum pour les mâts de hauteurs inférieures à 10m et 4mm pour les
mâts de hauteurs supérieures ou égales à 10m.
 Sommet du fût : il doit avoir un cylindrage extérieur de diamètre nominale 60 sur 100 mm pour
montage de la plus part des luminaires et un calibrage intérieur pour fixation de toutes crossettes
et embouts.
 Soudure longitudinale en cordon affleurant doit être automatisée ou réalisée par des soudeurs
qualifiés.
 Traitement de surface :
o Galvanisation à chaud, à l’intérieur comme à l’extérieur, par immersion du produit fini en
un seul trempage. Aucune soudure ne doit être faite après galvanisation.
o Peinture (si elle est exigée par Lydec) : anticorrosive, appliquée par thermolaquage et
réalisée selon les prescriptions suivantes :
 dégraissage, au trichloréthylène, de toute la surface extérieure galvanisée à chaud ;
 application du système Epoxy en trois couches d’épaisseur 40 microns chacune :
 1ère couche d’Epic Astral primaire brun rouge (ou équivalent) ;
 2ème couche d’Epic Astral intermédiaire (ou équivalent) ;
 3ème couche d’Epic Astral de finition (ou équivalent), teinte finale bleue claire
(RAL 5012).
o Peinture bitumineuse : appliquée à la partie inférieure du fût sur une hauteur de 30 cm y
compris la plaque de base.

3.2.1.2. Ouverture de visite en partie basse du fût

 Hauteur au-dessus du sol : environ 0,60m avec un minimum de 0,30m.

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 La porte de visite doit être rigide, assurant une protection IP33 minimum et se positionner
correctement sur le fût (découpe de porte robotisée ou par poinçonnage).
 Matériau en acier de nuance minimale S235JR (ex E24-2).
 Charnière ou tout autre dispositif permettant l'ouverture de la porte du bas vers le haut.
 Bras de maintien de la porte de visite ou autre dispositif similaire (pour faciliter, entre autres, les
opérations de maintenance).
 Chaînette anti-vandalisme.
 Barrette solidaire du fût est prévue permettant d'accrocher les boîtiers de raccordement.
 Dispositif de prise de terre par boulons de 8mm de diamètre minimal, résistant à la corrosion avec
des surfaces de contact correctes pour la fixation d'un conducteur de terre, facilement accessible et
marqué de façon visible et durable avec le symbole standard de mise à la terre (intérieur au mât).

3.2.1.3. Plaque d’appui

 En tôle d'acier plate.

 Forme carrée 400x400mm.
 Entraxe de perçage pour les tigerons de fixation : variable de 210 à 300mm (suivant l’axe de la
diagonale de la plaque).
 Epaisseur minimum 10mm pour les candélabres de 7m à 8m de hauteur et 14mm pour les
candélabres de 10m à 14m.
 Solidaire au fût par soudure en cordon continu extérieurement, renforcée par soudure intérieure
(et goussets ou raidisseurs pour les mâts de 10m à 14m).

3.2.2. MARQUAGE

Les candélabres devront porter un marquage indélébile et permanent, indiquant :

 Le nom du fabricant ;
 L’année de fabrication ;
 La hauteur ;
 La charge limite du candélabre.

3.2.3. TENUE DES SUPPORTS

Selon les règles NV 65 appliquées à la ville de Casablanca.

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3.2.4. PRESCRIPTIONS DE MISE EN ŒUVRE

3.2.4.1. Stockage sur le lieu des travaux

Le stockage des candélabres sur le lieu des travaux ne doit pas excéder une semaine et doit être effectué
de manière à les isoler des souillures, de l’oxydation ainsi que des chocs divers.

3.2.4.2. Distance minimale de pose

Les candélabres doivent être posés à 50 cm du bord des trottoirs.

3.2.4.3. Mise à la terre des masses

La câblette de mise à la terre doit être raccordée au dispositif de prise de terre du candélabre.

L’utilisation d’un type de candélabre décoratif doit être soumise à l’approbation de Lydec.

3.3. CONSOLES

Elles peuvent être préconisées en présence d'immeubles de hauteur suffisante à l'alignement avec des
façades acceptant les ancrages, susceptibles de supporter la charge, et avec l’absence d'arbres risquant
d'occulter la lumière.

3.3.1. CONTRAINTES A PRENDRE EN CONSIDERATION

L’utilisation des consoles doit tenir compte du secteur, de l’environnement, des propriétés, ainsi que de la
résistance du support par rapport au luminaire projeté.

3.3.2. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES

 Matériau : acier de nuance minimale S235JR (ex E24-2).

 Constitution :
o un tube de console cintré ou non ;
o un ou deux patins de fixation assurant la liaison entre la console elle-même et le support et
permettant son orientation.
 Inclinaison : de 5° ou 15°.

Le tout doit être protégé contre la corrosion par galvanisation à chaud garantie pour 5 ans.

Nota :

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 Le mode de fixation doit permettre la pérennité de l'installation en prenant en compte le poids de

l'ensemble, console et luminaire, ainsi que les contraintes mécaniques.
 Les consoles sur façades se trouvant dans le volume d'accessibilité au toucher, doivent être reliées
à un réseau de terre.

3.4. LUMINAIRES – LAMPES & ACCESSOIRES

3.4.1. LUMINAIRES

Les luminaires doivent être conformes à la série des normes NM 06.7.080, NM 06.7.083 et NM 06.7.085.

Ils doivent s’intégrer parfaitement dans l’environnement urbain. Tout luminaire dont l’esthétique ne le
permet pas sera rejeté.

3.4.1.1. Caractéristiques constructives

Corps :

Le corps, ou « base » de l'appareil d'éclairage, constitue la base sur laquelle sont fixés, le bloc optique, le
dispositif de régulation (plaque d’accessoires électriques), le capot de protection et le dispositif d'ancrage.

Ce corps du luminaire :

 est composé en fonte d'aluminium, dont la teneur maximale en cuivre est de moins de 3%.
 ne peut présenter de bavures, arêtes vives ou imperfections qui pourraient engendrer des
blessures à l'opérateur ou risquer des dommages aux câbles électriques ou au câblage lors de
l'installation et la maintenance.

La surface extérieure du luminaire doit être lisse de façon à limiter le dépôt de poussières.

Capot :

Les capots des luminaires, ainsi que leurs pièces de fixation sont réalisés en fonte d’aluminium, dont la
teneur maximale en cuivre est de moins de 3%.

L’ouverture du capot doit se faire vers le haut et réaliser l’interruption de l’alimentation électrique du
luminaire.

L’ouverture et la fermeture des capots doit être simple et ne doit nécessiter aucun outillage spécial.

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L’ensemble est pourvu de compas de maintien et loquet latéral rigide.

Les luminaires doivent être munis de préférence d’un niveau à bulle d’air fixé sur le capot.

Dispositif de fermeture :

Les éléments de fermeture doivent être faits d'acier inoxydable, de taille convenable, capable de résister à
des actions oxydantes.

Joints d’étanchéité et adhésifs :

Les joints d’étanchéité et adhésifs utilisés seront réalisés en matériaux adéquats à supporter, au fil du
temps, les sollicitations mécaniques et thermiques qui se produisent.

Ils devront maintenir leur forme et caractéristiques originales, même suite aux opérations d’installation ou
de maintenance.

Compartiment (bloc) optique :

Le compartiment (bloc) optique est composé d’un ensemble réflecteur - vasque et est obligatoirement
indémontable (optique scellé) :

La vasque sera scellée au réflecteur avec joint en silicone, l’accès à la lampe se fera par un "porte-douille"
assurant l’étanchéité du bloc optique (IP 66 obligatoire).

 Réflecteur optique : en aluminium embouti, brillanté et anodisé de haute pureté. Le réflecteur

doit posséder une rigidité suffisante pour éviter toute déformation suite
aux manipulations (lors des interventions).
Les réflecteurs doivent être alignés de façon telle qu’à éviter que les
radiations reflétées ne se concentrent sur le brûleur de la lampe et
n’engendrent des préjudices sur la durée, le fonctionnement de celle-ci.
Ils doivent également garantir les meilleures prestations photométriques.
A cet effet, le fabricant devra être en mesure de fournir toute la
documentation attestant de l’étude effectuée pour la conception de
l’optique.
 Vasque : en verre trempé plat ou légèrement bombé.

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 Douille de lampe : La douille de lampe, de type à frein, sera réalisée en porcelaine et devra
répondre à la norme applicable. La douille devra être réalisée pour des
tensions nominales de travail de 750V (type E40). Le contact central de la
douille doit être relié au conducteur qui fournit l'impulsion de tension. Le
pas de vis de la lampe fera corps unique avec le contact latéral. Le
système de fixation de la douille au corps du luminaire ou au bloc optique
devra pouvoir contenir ou absorber toutes les vibrations que l’appareil
pourrait transmettre à la lampe.
Douille de lampe suivant le type de lampe :
Puissance de la lampe SHP ou IM Douille de lampe
400 W E40
250 W E40
150 W E40

Compartiment appareillage électrique :

Le compartiment contenant les auxiliaires électriques sera équipé d’une platine amovible unique pré-
câblée sur laquelle seront fixés :

 le ballast ;
 l’amorceur ;
 les condensateurs ;
 un bornier de raccordement ;
 une douille de lampe à frein et chemise en porcelaine ;
 (éventuellement) le système de coupure en charge.

La platine porte-accessoires, une fois déconnectée de la lampe et de l’alimentation électrique, est sans
manipulations particulières. Ses éventuels moyens de fixation seront de types imperdables.

Tous les auxiliaires électriques doivent être compatibles entre eux, dimensionnés en fonction du type de
lampe prévue pour le luminaire.

Il doit être possible de remplacer les auxiliaires défectueux ou de remplacer ceux fournis au moment de la
livraison, sans compromettre le fonctionnement du luminaire ou le respect des normes.

Les accessoires électriques ne doivent pas présenter de bavures, arêtes vives ou imperfections qui
pourraient engendrer des blessures à l'opérateur ou risquer des dommages aux câbles électriques.

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Câblage interne et connecteurs :

Le câblage doit être effectué à l’aide de câbles à double isolation, thermorésistants et pourvus d’embouts
de protection sertis à leurs extrémités.

Lors de l'installation ou de l'entretien, la stabilité du câblage doit être garantie ou du moins la possibilité de
déplacer les câbles de leur logement sans possibilité d'inversion de polarité.

La libération accidentelle de tout conducteur de son clip de terminal ne devrait pas affecter la classe
d'isolement II.

Les câbles doivent être fixés à la platine amovible comportant les auxiliaires ou aux autres parties de
l'appareil au moyen de composants remplaçables en matériau isolant (ex. bandes auto-serrantes) de sorte
qu’ils ne puissent pas interférer entre les contacts du sectionneur ou entre les parties mobiles, durant la
phase de fermeture du couvercle.

Les connecteurs platine/alimentation - platine/douille lampe seront incompatibles de manière à éviter leur
interchangeabilité. De préférence ces connecteurs seront de couleur différente et leur câblage sera
effectué afin d’éviter toute confusion.

3.4.1.2. Autres caractéristiques

Température ambiante (ta) de fonctionnement des luminaires :

La température ambiante minimale de fonctionnement du luminaire est de 30°C pour les différentes
puissances.
Les différents essais prescrits par les normes d’applications seront effectué pour une valeur « ta 30 ».

Fixation du luminaire

La fixation du luminaire doit pouvoir être réalisée sur un support de diamètre externe de 60 mm avec des
vis à bout pointeau.

Chaque luminaire doit être muni de vis métalliques à bout pointeau d’une longueur de 50 mm et 60 mm
pour des supports de diamètre externe inférieur à 60 mm.

Un dispositif de réglage doit faire partie du système d’ancrage pour corriger l’inclinaison du luminaire.

Isolation électrique et cos Phi :

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Les luminaires devront :

 garantir une protection contre les contacts indirects relevant de la classe d’isolement II ;
 être équipés de condensateurs afin de porter la valeur du cos phi à 0,9.

Interruption automatique de l’alimentation :

Lors de l’ouverture du luminaire, sa tension d’alimentation électrique doit pouvoir être interrompue au
moyen d’un dispositif adapté à la coupure en charge, intégré au luminaire.

Protection contre la pénétration des corps solides et liquides (IP) :

Le degré de protection minimum prévue pour l’appareil d’éclairage est de :

 IP 66 : pour le bloc optique ;

 IP 44 : pour le bloc "auxiliaires électriques".

Résistance aux chocs mécaniques (IK) :

Les appareils d'éclairage doivent au moins satisfaire à l’indice de protection IK 08.

Pour les vasques en verre, un indice IK 06 minimum est requis.

3.4.1.3. Marquage des luminaires

Les dispositions de la section 3 de la NM 06.7.080 sont applicables. D’autre part, les informations suivantes
doivent être fournies dans la notice jointe au luminaire :

- La position normale de fonctionnement ;

- La masse, y compris le ballast éventuel ;
- Les dimensions hors tout ;
- Dans le cas de montage à plus de 8m au-dessus du sol, la surface projetée maximale soumise à la
force du vent ;
- L’aptitude à l'utilisation en intérieur ;
- les dimensions du compartiment dans lequel la boîte de connexion est placée ;
- Le couple de serrage devant être appliqué aux vis et écrous qui fixent le luminaire sur son support,
exprimé en newton mètres.

3.4.2. LAMPES SHP

Elles doivent être conformes à la norme NM 06.7.055.

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 Type : vapeur de sodium SHP haut rendement ;

 Ampoule : tubulaire ;
 Puissance : 150, 250 ou 400 Watts (selon les cas) ;
 Culot et efficacité :

Puissance de la lampe SHP Efficacité lumineuse Douille

400 W >140 lumen /watt E40
250 W >130 lumen /watt E40
150 W >110 lumen / watt E40

 Tension : 220 V/230 V ;

 Température de couleur : 1950K / 2100K ;
 IRC : 25 ;
 Temps de rallumage à chaud : inférieur à 1 minute ;
 Durée moyenne de vie pratique du lot comptée à partir de la mise en service effective constatée
contradictoirement : > 12 000 heures pour des cycles allumage / extinction conformes aux normes
citées à un taux de mortalité inférieur à 10% ;
 Température des matériaux non métalliques : ces matériaux doivent avoir une température de
fonctionnement en service continu supérieur au moins 10K par rapport à la température du point
le plus chaud du boîtier en tenant compte de la température ambiante.

3.4.3. LAMPES IM:

Elles doivent être conformes aux normes NM 06.7.068 et NF EN 61167.

 Type : iodure métallique ;

 Ampoule : tubulaire ;
 Puissance : 150 – 250 ou 400 W ;
 Tension : 220 V/230 V ;
 Culot, efficacité lumineuse et température de couleur :

Puissance de la lampe IM Efficacité lumineuse Température de couleur Douille

400 W > 80 lumen /watt ≥ 4200 K E40
250 W >75 lumen /watt ≥ 4200 K E40
150 W >100 lumen / watt ≥ 3000 K E40


 Indice de rendu des couleurs (IRC) : ≥ 65 ;

 temps de rallumage à chaud : inférieur à 15 minutes ;

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 Durée moyenne de vie pratique du lot comptée à partir de la mise en service effective constatée
contradictoirement : > 11 000 heures pour des cycles allumage / extinction conformes aux normes
citées à un taux de mortalité inférieur à 10%.

3.4.4. ACCESSOIRES D’ALIMENTATION DES LAMPES

Les ballasts, amorceurs et tous dispositifs des appareillages sont ceux conseillés par les fabricants des
sources qui leur sont associées de façon à ne pas mettre en cause leur durée de vie.

Ces accessoires d'alimentation ne doivent pas être soumis à des températures supérieures à celles pour
lesquelles ils ont été prévus et ne doivent pas être le siège de phénomènes de résonance mécanique et
doivent posséder, par construction ou par installation, les degrés de protection correspondant avec
conditions d'influence externe auxquelles ils sont soumis.

3.4.3.1. Ballast

Le ballast sera de type ferromagnétique adapté aux caractéristiques du réseau Lydec et conforme aux
exigences des normes marocaines NM 06.7.070 & NM 06.7.071.

Toute autre norme reconnue comme assurant une qualité au moins équivalente, est acceptée comme
norme de référence.

Caractéristiques techniques :

 Classe d’isolation : II ;
 Tension : 220/230V à 50Hz ;
 Température de fonctionnement maximale assignée de l’enroulement, à laquelle le ballast est
présumé pourvoir fonctionner correctement pendant 10 ans (Tw) : 130 °C ;;
 Echauffement de l’enroulement, mesuré en conditions de fonctionnement normales (Delta T) :
inférieur à 70 °C;
 Champs magnétique : minimal ;
 Matériaux isolants : classe H ;
 Protection thermique TS : Oui ;
 Heures de fonctionnement : 40 000 heures.

3.4.3.2. Condensateur

Le condensateur sera conforme aux exigences des normes EN 61048 et NM 06.6.205.

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Caractéristiques techniques :

 Capacité : 20 - 32 μF ;
 Bornes : encliquetables ;
 Section des conducteurs de raccordement : supérieure à 0,5mm² avec un isolement adapté à la
tension et à la température nominale du condensateur.

3.4.3.3. Amorceur

L’amorceur sera conforme aux exigences des normes EN 60926 et EN 60927.

Caractéristiques techniques :

 Adapté au type de lampe à impulsion 3 fils ;

 Boîtier auto-protégé ;
 Tension d’amorçage : 3 à 4,5 kV ;
 Capacité de charge : 1000 pF ;
 Pertes : 1 à 3 W ;
 T° max de boîtier : 85 °C.

3.5. MASSIFS
3.5.1. MASSIFS PREFABRIQUES DE FONDATION DES CANDELABRES

Ce type de massifs est exigé pour des mâts de hauteur allant jusqu’à 12 mètres.

Composition :

Le massif préfabriqué utilisé doit être composé de béton dosé à 350 kg/m3 avec du ciment CPJ 45.

Les parties inférieures et supérieures du massif doivent être plates pour assurer la verticalité des mâts.

Le massif doit contenir des réservations sur toute la hauteur pour permettre le passage aisé des fourreaux
de protection des câbles, 3 réservations au minimum.

Le massif est équipé de 4 tiges pour la fixation en acier galvanisé à chaud.

Ces tiges doivent être munies d’un cache métallique provisoire pour protection contre les casses lors de la
manutention.

Elles doivent être équidistantes et parfaitement verticales avec un entraxe de 300mm x 300mm.
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Le massif doit être équipé d’un dispositif de levage.

Dimensions :

Le dimensionnement des massifs doit permettre une tenue des candélabres pour des vitesses de vent
extrêmes à Casablanca (selon les règles NV 65).

Les dimensions des massifs pour candélabres de 7 à 9 m de hauteur (petit modèle) sont données sur la
figure suivante avec une tolérance de +10% :

Dimensions des massifs pour candélabres de 7 à 9 m

Les dimensions des massifs pour candélabres de 10 à 12 m de hauteur (grand modèle) sont données sur la
figure suivante:

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Dimensions des massifs pour candélabres de 10 à 12 m

3.5.2. MASSIFS COULES DE FONDATIONS DES CANDELABRES

Ils sont utilisés uniquement pour des mâts de hauteur supérieure à 12 mètres.

 Calcul des dimensions : par approximations successives au moyen de paramètres entrant dans la
formule d'ANDREE et NORSA pour une pression à fond de fouille de 2 bars.
 Fourreaux pour le passage des câbles : oui, avec une longueur suffisante de façon à éviter tout
contact entre, d'une part a canalisation et, d'autre part, le candélabre au niveau de sa plaque
d'appui.
 Tiges d'ancrage de fixation avec écrou, rondelle et contre-écrou des supports : oui.
 Béton non armé coulé en une seule fois : dosé à 300 Kg/m3 avec du ciment CPJ 45.
 Finition du massif : pointe de diamant sur une hauteur de 15 cm hors sol, chanfreiné et avec
enrichissement de la couche superficielle. Les écrous doivent être recouverts et bloqués avant
serrage des contre écrous.
 Accès des câbles à l'intérieur des fûts : par une conduite de 36 mm de diamètre intérieur pour les
câbles d'alimentation et de 20 mm pour les câbles de la mise à la terre.
 Mise en place des luminaires : après la fin de l'opération de pose, réglage et blocage du candélabre.
 Réglage de la verticalité : par écrou et rondelle sous platine d'embase par l'intermédiaire de 4 tiges.
La position finale par rapport à l'axe de la voie se fera par rotation par l'intermédiaire des trous
recevant les tiges d'ancrage.
 Finition du massif : Le niveau supérieur de chaque massif sera arasé à 0,10 m en dessous du niveau
du sol fini.

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La partie supérieure du massif devra être horizontale et plane.

3.5.3. POSE DES CANDELABRES

Après la pose du massif, et avant l’installation du candélabre, une vérification de l’horizontalité du massif
doit se faire à l’aide du niveau à bulle.

Après la pose du candélabre, vérifier la verticalité des tiges de fixation.

Les tiges doivent être utilisées avec un système de rondelles + écrous + contre écrous pour garantir un
serrage correct.

Les rondelles doivent être en acier galvanisé.

Les tiges doivent être enterrées de telle façon à garder une distance de 6 à 10 cm entre la tête de la tige et
le sol fini.

 Verticalité du candélabre : Les écarts en tête, par rapport à l’axe théorique, ne doivent pas
dépasser 0,005 m par mètre de hauteur hors sol du candélabre.
 Mise en place des luminaires : se fera après la fin de l'opération de pose, réglage et blocage du
candélabre.
 Accès des câbles à l'intérieur des fûts : par une conduite de 36 mm de diamètre intérieur pour les
câbles d'alimentation et de 20 mm pour les câbles de mise à la terre.

3.6. RACCORDEMENTS DES LUMINAIRES

Chaque luminaire est raccordé au réseau d'éclairage public par l'intermédiaire d'un fusible, de type gG,
installé soit dans un boîtier installé au pied du candélabre, soit dans un boîtier posé sur façade.

Ces boîtiers doivent assurer la connexion des luminaires aux réseaux d’éclairage public. Ils sont prévus pour
alimenter ou isoler les luminaires et comportent une (des) protection(s) porte-fusible(s) 10,3x38 selon le
nombre de luminaires à installer en aval.

Les connexions ne doivent être soumises à aucun effort de traction. En conséquence, les câbles doivent
être fixés par des dispositifs d'amarrage appropriés.

Les connexions doivent être accessibles pour vérification après ouverture d'une porte ou d'un couvercle à
l'aide d'un outil.

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3.6.1. BOITIERS DE RACCORDEMENT PIED DE CANDELABRE

Ces boîtiers, destinés à être installés en pied de candélabres, doivent être conformes aux exigences des
normes NM 06.3.074 et NF C 17-200.

Principales caractéristiques :

 Enveloppe en matière isolante auto-extinguible ;

 Fermeture par vis imperdable ;
 Classe d’isolation : II ;
 Etanchéité : IP 44 ;
 Résistance aux impacts mécaniques : IK 07 minimum ;
 Porte-fusibles accessibles sans démontage du boîtier (par trappe transparente coulissante ou
basculante) ;
 Système d’accrochage réglable en hauteur ;
 Bornier d’alimentation bimétal (Cu/Alu), IP 2X ;
 Arrivée(s) et départ(s) des câbles à la partie inférieure avec cornet d’épanouissement ;
 Toutes les pièces métalliques incorporées aux enveloppes doivent être efficacement protégées
contre les effets de la corrosion à laquelle elles peuvent être exposées en service.

Marquage :

Doivent être marqués en impression venue du moulage :

 Nom ou sigle du fabricant ;

 Double carré pour Classe d’isolation II ;
 Sigle Eclair par gravure ou étiquette collée sur boitier.

3.6.2. BOITIERS DE RACCORDEMENT POUR FAÇADE

Fixés sur le mur dans le cas d’utilisation de consoles sur façades, ces boîtiers doivent être conformes aux
exigences de la norme NM 06.3.074 et NF C 17-200.

Principales caractéristiques :

 Enveloppe en composite polyester, armé de fibres de verres, moulés à chaud et à haute pression,
résistante aux rayons UV et au feu, auto-extinguible à 960°C ;
 Fermeture par vis imperdable ;
 Classe d’isolation : II ;
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 Etanchéité : IP 44 ;
 Résistance aux impacts mécaniques : IK 08 minimum ;
 Ouverture du circuit d’alimentation du (des) luminaire(s) par retrait du couvercle doté d’une
poignée de préhension ;
 Système d’accrochage réglable en hauteur ;
 Bornier d’alimentation bimétal (Cu/Alu) ;
 Arrivée(s) et départ(s) des câbles à la partie inférieure avec cônes passe-câbles ;
 Toutes les pièces métalliques incorporées aux enveloppes doivent être efficacement protégées
contre les effets de la corrosion à laquelle elles peuvent être exposées en service.

Marquage :

Doivent être marqués en impression venue du moulage :

 Nom ou sigle du fabricant ;

 Double carré pour Classe d’isolation II ;
 Sigle Eclair par gravure ou étiquette collée sur boitier.

3.7. RACCORDEMENT AU POSTE DE DISTRIBUTION PUBLIQUE

Le raccordement des câbles souterrains d’alimentation au tableau d’éclairage public sera réalisé par les
soins de :

 Lydec pour les postes existants ;

 l’entrepreneur pour les postes projetés.

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4. REPERTOIRE DES SIGLES & ABREVIATIONS

BT : Basse Tension (U≤1kV en courant alternatif)
CPC : Cahier des Prescriptions Communes
CPJ 45 : Ciment Portland composé avec aJouts de classe de résistance à
la compression 45 MPa
DDR : Dispositif Différentiel à courant Résiduel
DPA : Double Paroi Annelé (fourreau de protection à …)
IP : Indice de Protection
IRC : Indice de Rendu des Couleurs
L.P.E.E. Laboratoire Public d’Essais et d’Etudes
NV : Neige & Vent (Règles NV 65)
PE : Polyéthylène
PR : Polyéthylène Réticulé
PVC : Polychlorure de Vinyle (dit également PCV)
UV : Ultra-Violets (rayons …)

DESIGNATION DU PROJET : ………………………………………………………………………..

TITRE FONCIER : ………………………………………………………………………..

ARRONDISSEMENT : ………………………………………………………………………..

BUREAU D’ETUDE ENTREPRENEUR

PROMOTEUR

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