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EST Kénitra - Cours RL - Séance 2 - 22 Oct 2020

Ce document décrit un module sur les réseaux industriels. Il présente les objectifs pédagogiques du module, notamment la maîtrise des concepts des réseaux locaux industriels et du modèle OSI. Le document détaille également l'organisation du module sur 10 semaines ainsi que le contenu de la première partie sur les réseaux locaux industriels.

Transféré par

Ismail Elouarga
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EST Kénitra - Cours RL - Séance 2 - 22 Oct 2020

Ce document décrit un module sur les réseaux industriels. Il présente les objectifs pédagogiques du module, notamment la maîtrise des concepts des réseaux locaux industriels et du modèle OSI. Le document détaille également l'organisation du module sur 10 semaines ainsi que le contenu de la première partie sur les réseaux locaux industriels.

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Ecole Supérieure de Technologie de Kénitra

DUT
Informatique Industrielle et Systèmes Automatisés

Module
Réseaux industriels

Support de cours
Deuxième séance
Semaine S1 ( Jeudi 22 Octobre 2020)

Octobre 2017
Pr. SAIDI Rabiae
Objectifs pédagogiques du module

Maîtriser les concepts et fondements des réseaux locaux industriels, le vocabulaire associé,
Réseaux locaux 1 connaître les principaux standards en la matière ainsi que le type de réseaux locaux industriels

industriels
2 Maîtriser les caractéristiques techniques et le choix des supports physiques de transmission

3 Maîtriser le codage des informations, ainsi que les circuits de liaison


Objectifs du
module
4 Connaître les différents composants de CAN Open
CAN Open

5 Connaître le modèle OSI du réseau CAN Open

Connaître les principaux convertisseurs


6

PwC 2
Organisation du module sur le volume horaire
Points abordés
1
Module Résaux Industriels
Planning prévisionel sur 10 Semaines
Les deux parties du module seront mises en série et ce pour des raisons pédagogiques

S1 ( 1 séance) S2 ( 3 séances) S3 ( 2 séances)

Réseau locaux industriels : Couche physique du modèle OSI


Circuits de liaison
concepts, vocabulaire CMI, medium, codage, modulation

S4( 2 séances) S5 ( 2 séances) S6 ( 2 séances)

Couches liaison & application Etude de quelques RLI Services Web et Transparent

S7 ( 2 séances) S8 ( 2 séances) S9 ( 2 séances)

Services Web et Transparent Caractéristiques du CAN Open Exercices d’application CAN Open

2
Des exercices mais surtout du travail à domicile

Exercice
Vocabulaire technique des RLI
Liaison série

TRANSVERSE

Techniques de codage Travail à


Codage

QUIZZ

… Medium et circuits de liaison


domicile
.
.
PwC
. 3
Contenu du module
Première partie: Réseaux Locaux Industriels ( RLI)

 Introduction aux réseaux locaux industriels


 Modèle ISO et Standard CIM
 La couche physique
 La couche liaison
 La couche application
 Principe de fonctionnements des principaux réseaux
locaux industriels

PwC
S1 (Deuxième séance)
Le modèle OSI et le standard CIM

But
1. Connaître le modèle OSI et ses différentes couches
2. Connaître la classification des réseaux selon le
standard CIM
3. Comprendre le principe de choix des réseaux locaux
industriels
4. Etre capable de réévaluer les réseaux locaux
industriels d’une usine selon le standard CIM (étude
de cas industriel, PID).

PwC 5
Définition du modèle OSI

L'organisme de normalisation internationale I S O (International Standard Organization), a lancé en


1977 les travaux de définition d'un modèle de structuration du protocole pour l'interconnexion des
systèmes ouverts, appelé modèle O S I (Open Systems Interconnection).
 La norme a été adoptée sous le numéro IS 7498 en fin 1979.
 Elle est acceptée par le CCITT (Comité Consultatif International du Télégraphe et du Téléphone)
 réf X 200, par L'AFNOR (Association Française de NORmalisation) réf Z 70.001 et par les
constructeurs de matériel informatique dont IBM.
Le modèle OSI a pour objectifs:
 Proposer une architecture téléinformatique standard.
 Servir de base pour la coordination du développement de normes d'interconnexion de
systèmes hétérogènes.
 Le modèle ne spécifie ni les protocoles ni les services des couches fonctionnelles présentées
 Un système est ouvert si les communications se font conformément à des propositions
normalisées comme l’architecture selon le modèle OSI,
PwC
Définition du modèle OSI

 Le principe des réseaux locaux industriels est inspiré et


calqué sur celui des hommes, plus précisément sur
l’échange d’un courrier postal entre deux personnes.

 Tout comme pour les machines d’un réseau informatique,


pour les équipements d’automatisme d’un RLI, cette
procédure d’échange est formalisée et normalisée par
l’ISO et décrite par le modèle de communication OSI.

PwC
Définition du modèle OSI

Le modèle OSI ( Open System Interconnection) est un


modèle à 7 couches qui standardise la communication
entre les réseaux... Il faut avoir un standard
A qui je m’adresse ?
Nombre d’interlocuteurs ?
Quand puis je parler ?
Monologue ou dialogue ?
Dois je transmettre
l ’information périodiquement ? Peut on me remplacer ?

Quelle distance ? Quel moyen utiliser ?

Taille maximum des messages ? Tu m’as bien entendu ?

Quelle langue utiliser ? Est ce urgent ?

PwC 8
Description des 7 couches du modèle OSI

PROFIL Standardisation des fonctions pour interchangeabilité

COUCHE
APPLICATION 7 Grammaire - Sémantique
COUCHE
PRESENTATION 6
Transcodage du format

SESSION
LAYER 5 Organisation et synchronisation des échanges
COUCHE
TRANSPORT 4 Contrôle de l ’acheminement de bout en bout
COUCHE
RESEAU
3 Routage des données

COUCHE
2
Contrôle de la liaison
LIAISON Gestion de l’accès au médium
COUCHE
1 Le hardware
PHISIQUE

PwC 9
Définition du modèle OSI
1. Les couches Transport, Session et
Présentation peuvent être vides. C’est ce
qu’on nomme un profil simplifié, largement
utilisé pour les réseaux industriels.
Fonctionnellement, l'ensemble des sept
couches est divisible en deux familles bien
distinctes :
 La première, constituée des couches 1
à 4, offre les services de
communication (transfert des
données),
 La seconde constituée des couches 5 à
7, les services d'application (utilisation
des données).

PwC 10
Description des 7 couches du modèle OSI

PwC 11
Description des 7 couches du modèle OSI

N° Nom Rôle
7 Application Cette couche fournit des services de base aux
programmes de l'utilisateur leur permettant d’utiliser le
réseau. Par exemple le transfert de fichier, la
messagerie…etc.
6 Présentation Cette couche fournit des services permettant de traiter
les données de manière à les rendre compatible entre
les programmes communicants.
Par exemple le formatage / reformatage des données ,
le cryptage / décryptage, la compression / décompression
…. etc.
5 Session Synchronisation du dialogue
4 Transport Connexion entre les 2 nœuds distants
3 Réseau Routage : Acheminement des données
2 Liaison Construction des trames et détection des erreurs
1 Physique Codage et transmission des bits sur le support physique
PwC
Description des 7 couches du modèle OSI
Le Modèle I.S.O. possède 7 couches
• Couches de 1 à 4: couches basses chargées d ’assurer un transport optimal
des données
• Couches 5 à 7: couches hautes chargées du traitement des données

7 APPLICATION APPLICATION 7
PROTOCOLE
6 PRESENTATION PRESENTAT 6
MESSAGES ION
5 SESSION SESSION 5
4 TRANSPORT TRANSPORT 4
SERVICE
RESEAU PAQUETS RESEAU 3
3
2 LIAISON TRAMES LIAISON 2

PHYSIQUE BITS PHYSIQUE 1


1
SUPPORT PHYSIQUE

PwC
Modèle OSI et les réseaux locaux industriels
Contrairement à un réseau informatique dans lequel toutes les
couches du modèle OSI sont utilisées, les fournisseurs de
RLI, n’implémentent que les couches basses (1-2) ou 1-2-3-4
selon que le RLI utilise ou non Internet et laissent à l’utilisateur
d’implémenter les couches hautes.
Nœud A Nœud B

PwC
Définition d’une couche du modèle OSI
Une couche du modèle OSI est définie par deux éléments:
 Le protocole: Ce sont les règles de dialogue entre les entités communicantes pour les
préoccupations affectées à cette couche uniquement. Le dialogue est qualifié d'horizontal.
 Le service: Ce sont les règles de dialogue entre la couche considérée et la couche adjacente
supérieure sur une même entité.

PwC 15
Modèle ISO et les réseaux locaux industriels
Encapsulation et désencapsulation
A l’émission chaque couche rajoute des éléments à l’information, c’est le processus
d’encapsulation.
Ces éléments seront utilisés à la réception par les couches de même niveau pour restituer les données
à l’utilisateur, c’est la désencapsulation.

PwC 16
Modèle ISO et l’architecture des réseaux
Encapsulation et désencapsulation
L'architecture d'un réseau comprend deux composantes:
 La topologie : Elle caractérise la configuration des voies de transmission existant entre les
différentes stations.
 la répartition des fonctions du protocole : Elle définit si toutes les stations ont les mêmes
fonctions ou, si une remplit le rôle de maître tandis que les autres sont des esclaves.

L'architecture d'un réseau détermine les caractéristiques suivantes:


 La connectivité : Possibilité que possède une station de pouvoir établir la liaison, c’est à
dire "le dialogue" avec d'autres stations (connectivité totale ou partielle).
 La diffusion : Possibilité d'émettre, à partir d'une station, un message vers l'ensemble des
autres stations.
 La reconfiguration : Possibilité d'insérer ou de retirer une station du réseau, la
reconfiguration pouvant s'effectuer pendant le fonctionnement ou non du réseau.
 La sureté de fonctionnement : Définit les conséquences de la défaillance d'une voie de
transmission ou d'une station sur le fonctionnement du réseau.

Question: Faire la répartition de l’ensemble de ces


éléments sur les 7 couches du modèle OSI
PwC 17
Classification des réseaux locaux industriels
Le Standard CIM
Les mécanismes d'échange sur les architectures Integrated Manufacturing), qui se voulait être la réponse à
d'automatismes traditionnelles n'ont pas évolué depuis cette quête de performance, n'a réussi qu'à créer une
la prise en compte des besoins de communication. En segmentation verticale des réseaux et des bus. Le CIM
effet, tous les principes d'échanges sont construits décrit les différents niveaux de communication sous une
autour du transfert vertical de l'information (vers les forme quantitative des données à véhiculer. Le niveau 0,
niveaux n+1) de manière irrationnelle, l'objectif étant de niveau capteur/actionneur, nécessite un transfert
pouvoir disposer de cette information a priori. Or, le performant (quelques millisecondes) mais concernant peu
constat qui peut être fait est que l'information est d'informations (données binaires), alors que le niveau 4
souvent redondante donc peu légitime. Ce trop nécessite quant à lui de véhiculer de gros paquets de
d'informations est la raison principale à la course à la données, des fichiers et la performance n'est plus
performance sur les réseaux qui sont devenus en forcément un critère prédominant. Le CIM ne résout donc
quelques années les goulets d'étranglement des pas la problématique de la gestion de l'augmentation du
architectures d'automatismes. trafic sur les médiums. Les offreurs de communication
Le CIM crée une segmentation des réseaux et bus Les adaptent les performances de leurs réseaux en fonction des
mécanismes d'échange sur les architectures niveaux du CIM sur lesquels ceux-ci seront positionnés. De
d'automatismes traditionnelles n'ont pas évolué depuis la ce fait, la quasi-totalité des réseaux d'automatismes sont
prise en compte des besoins de communication. En effet, dits propriétaires et répondent essentiellement en la mise
tous les principes d'échanges sont construits autour du en conformité d'une approche produit et non pas
transfert vertical de l'information (vers les niveaux n+1) de exactement de la problématique utilisateur qui est son
manière irrationnelle, l'objectif étant de pouvoir disposer de besoin. Le CIM a contribué à la segmentation de
cette information a priori. Or, le constat qui peut être fait est l’automatisme en niveaux : capteur/actionneur (niveau 0),
que l'information est souvent redondante donc peu légitime. automatisme (niveau 1), supervision (niveau 2),
Ce trop d'informations est la raison principale à la course à informatique (niveaux 3 et 4) en associant le couple
la performance sur les réseaux qui sont devenus en volume/performance.
quelques années les goulets d'étranglement des
PwC
architectures d'automatismes. Le modèle CIM (Computer 18
Classification des réseaux locaux industriels
Le Standard CIM

FONCTIONS SYSTEMES INFORMATIONS

GESTION CALCULATEURS FICHIERS


USINE ENTREPRISE

CONTRÔLE
MICRO-
ATELIER PRODUCTION TABLEAUX
ORDINATEUR

COMMANDE
CELLULE CENTRALISEE MESSAGES
SUPERVISION

AUTOMATISATION API
MACHINE CONTROLEURS MOTS
REGULATEURS

DONNEES CAPTEURS BITS


TERRAIN ACTIONNEURS

PwC
Classification des réseaux locaux industriels
Le Standard CIM

VOLUME DE DONNEES

USINE TEMPS NON CRITIQUE


TRAITEMENT
DE DONNEES
ATELIER
CELLULE TEMPS > 10 s

MACHINE TEMPS < 1 s


TRAITEMENT
TEMPS < 0,1 s DE DONNEES
EN TEMPS
TERRAIN REEL
T < 0.01 s

Temps de réponse augmente

PwC
Classification des réseaux locaux industriels

INTERNET

USINE
RESEAUX INFORMATIQUES

ATELIER

BUS D ’USINE

CELLULE

MACHINE

BUS DE TERRAIN

TERRAIN BUS SENSEUR/ACTEUR

PwC
Classification des réseaux locaux industriels
(Bus d ’usine:)
Réseau Local Industriel basé sur ETHERNET
Un PC Industriel sert de passerelle entre le réseau informatique et le bus de
terrain
BUS DE TERRAIN
Relie des unités intelligentes qui coopèrent
Temps de réaction de quelques millisecondes
Communication de type Maître/Esclaves ou MultiMaîtres
Possibilités d ’accès au niveau inférieur
BUS SENSEUR/ACTEUR ( ou Capteur/Actionneur)
Relie entre eux des nœuds à intelligence limitée ou nulle( E/S déportées)
Temps de réaction très rapide
Communication Maître/Esclaves
PwC
Classification des réseaux locaux industriels
TCP/IP
RNIS

SATELLITE
USINE E
T MODEM
E
H
T
E
ATELIER R
H
N
E
E
T
R
CELLULE
N PROFIBUS
E FMS
T PROFIBUS-DP
MACHINE
WORLDFIP
INTERBUS-S
BITBUS LONWORKS

PROFIBUS-PA
TERRAIN
CAN AS-i
Pyramide CIM et les Réseaux

PwC
Classification des réseaux locaux industriels
Le modèle CIM et les réseaux RLI

A chaque niveau du modèle CIM, correspond


un couple performances de l’échange /
quantités d’informations différent
Sensor bus (niveau capteur/actionneur
unitaire)
Device bus (variateur, robot, axe)
Field bus (entre automates, superviseur,
commandes numériques)
RLI : entre l’automatisme et
l’informatique

PwC
Classification desVersréseaux
Internet
locaux industriels

Le modèle CIM et les réseaux RLI


niveau 4 : Réseau d’usine

Réseaux Informatique
Relie les réseaux de marketing , de gestion, planification,
de logistique et d’ingénierie
Illustration : passerelle
Niveau 3 :réseaux d’ateliers
Relient les réseaux des différentes cellules
Dans ce niveau, on supervise et on suit la production ou la fabrication
passerelle
niveau 2 : réseaux de cellules
Relient les unités de traitement du réseau de terrain
Dans ce niveau, on conduit et on contrôle les unités de traitements

automatisme, est effectué


passerelle

sur ces deux niveaux


niveau 1: réseaux d’équipements de périphérie des unités

Tout ce qui est


de traitements et réseaux de terrain
Dans ce niveau, on traite et on commande

RLI
passerelle
niveau 0 : réseaux des capteurs/actionneurs
Dans ce niveau, on mesure et on actionne

Intégration du réseau d’usine et des réseaux locaux industriels


Classification des réseaux locaux industriels
Exemple d’intégration des RLI selon le standard CIM

API API Station de supervision

M Equipement tournants

V Capteurs

PwC
Standard CIM des réseaux locaux industriels
Répartition des équipements par type de réseau

N2: Réseaux
d’atelier

N1 : Réseaux
d’équipements

N0: Réseaux
de capteurs V

PwC
Classification des réseaux locaux industriels
Exemple d’intégration des RLI selon le standard CIM

Remarque : dans cet exemple le réseau de cellule est également celui de terrain et
des équipements de périphéries des unités de traitements. La CIM est réduite à 3
niveaux au lieu de 5.
PwC
Modèle ISO et les réseaux locaux industriels
Critères concernant les réseaux locaux industriels
Interchangeabilité : fichiers EDS, GSD ?
PROFIL
Langage : Modbus, FMS ?
COUCHE 7 Données de process : Client-serveur, producteur-consommateur
contenu, périodicité ?
APPLICATION Données de service : Variables accessibles, taille max ?

Accès au médium : maître-esclave, anneau à jeton, accès aléatoire ?


Adressage : adresse 1, 5, diffusion générale ?
COUCHE 2 Contrôle transmission : contrôle de parité, CRC, délimiteurs ?
LIAISON Gestion de flux : NACK, XON-XOFF, inhibit time ?
COUCHE 1 Médium : paire torsadée, câble coaxial, fibre optique par exemple
PHYSIQUE Topologie : bus, étoile, arbre, maillée ?
Nombre max. d’équipements : 2, 31, 64, 128 ?
Distance max. d’équipements : 100m, 1 Km, 15 km ?

PwC 29
S2 (Première séance)
Modèle OSI : Couche Physique

But
1. Connaître les différentes topologies de la couche
physique.
2. Connaître les principaux medium ( support physique de
transmission)
3. Connaître les principaux codages de la couche
physique.

PwC 30
Modèle OSI et les réseaux locaux industriels
Couche physique : Rôle principal
La couche physique assure essentiellement les trois objectifs ci-
dessous
 Spécifier la topologie des réseaux locaux industriels;
 Le couplage électromécanique avec la ligne de transmission :
 Liaison métallique;
 Fibre optique;
 Circuits de liaison.
 Codage des informations.
 Modulation éventuelle (Modem).

PwC

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