ECOLE PRATIQUE DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE COTE D'IVOIRE

SOMMAIRE PAGES

PREMIERE PARTIE : GESTION DES APPROVISIONNEMENTS

CHAPITRE I - LA FONCTION APPROVISIONNEMENT……………………….3 - 4

1. Définition
2. L’évolution de la fonction approvisionnement
3. Le choix des fournisseurs
3.1 Le critères d’achat
3.2 La sélection des fournisseurs

CHAPITRE II - LE PROCESSUS D’ACHAT EN ENTREPRISE…………........5 – 6 - 7

1. Le besoin d’achat
1.1 La documentation
1.2 L’identification des besoins

2. La commande
2.1 La préparation
2.2 La passation
2.3 Le suivi

3. La livraison

CHAPITRE 3 : LES DIFFERENTS ASPECTS DU STOCK……………………8

1. Définition du stock
2. Avantages et inconvénients du stock.
3. La rotation des stocks

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CHAPITRE 4 : PROGRAMMATION DES APPROVISIONNEMENTS….9 – 10 - 11

1. Cas de consommation régulière

1.1 Diagramme en dents de scie ou « toit d’usine »
1.2 La méthode de cumul
1.3 La méthode du tableau

2. Cas de consommation irrégulière

2.1 Diagramme en dents de scie
2.2 La méthode de cumul
2.3 La du tableau

DEUXIEME PARTIE : GESTION DES STOCKS

CHAPITRE 1 : LE MAGASINAGE………………………………………………12

1. Définition
2. l’organisation matérielle
3. l’organisation administrative

CHAPITRE 2 : LA MINIMISATION DES COUTS…………………………13-14-15

1. Les différents types de coût

2. Le modèle de WILSON
3. La méthode avec les tarifs dégressifs

CHAPITRE 3 : LE SUIVI DES STOCKS……………………………………16

1. Loi de Pareto ou méthode 20/80

2. La méthode ABC

CHAPITRE 4 : LA VALORISATION DES STOCKS………………………17

1. L’inventaire des stocks

2. méthodes de valorisation des stocks

2.1 Le Coût moyen unitaire pondéré (CMUP)

2.2 Les méthodes d’épuisement des lots

2.2.1 La méthode PEPS (premier entré premier sorti)
2.2.2 La méthode DEPS (dernier entré premier sorti)

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PREMIERE PARTIE : LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS

CHAPITRE 1 : LA FONCTION APPROVISIONNEMENT

1. DEFINITION

Un stock peut se définir comme la constitution d'une réserve destinée à satisfaire un besoin
ultérieur.

2. L’EVOLUTION DE LA FONCTION APPROVISIONNEMENT

Cette fonction de l’entreprise a connu une évolution remarquable :

D’abord elle était un service de la fonction technique, puis elle devint un service de la
fonction financière.
Compte tenu de la complexité des achats et de la concurrence, les entreprises modernes ont
donné une autre dimension à la fonction approvisionnement.
Elle est dans son principe une fonction commerciale mais s’affiche de plus en plus comme
une fonction autonome.

3. LE CHOIX DES FOURNISSEURS

3.1 Les critères d’achat
3.1.1 La qualité
Elle constitue la plupart du temps le facteur décisif.

3.1.2 Le prix
Le prix est la valeur marchande d’un bien ou d’un service.
Le prix de vente de l’entreprise = coût de revient + marge

Taux de marque : marge commerciale exprimée en pourcentage du prix de vente

Tmq = (PV – PA)/ PV

Taux marge : marge commerciale exprimée en pourcentage du prix d’achat

Tmge = (PV – PA)/ PA

Coefficient multiplicateur :

C’est une méthode applicable chez les distributeurs.

3.1.3 Le délai de livraison :

Temps qui s’écoule entre la date de commande et la date effective de livraison.

3.1.4 Les conditions de paiement :

Les conditions de paiement offertes par les différents fournisseurs permettent d’opérer un
choix si par ailleurs leurs propositions paraissent équivalentes.

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3.2 La sélection des fournisseurs

La recherche des fournisseurs est engagée dès le stade de la formulation des besoins ; mais
cette recherche ne cesse jamais, même pour les approvisionnements les plus routiniers, si
l‘entreprise veut profiter des évolutions qui se produisent sur le marché et qui modifient les
fonctions d’offre des partenaires possibles.
En effet, une saine appréciation de la valeur des fournisseurs éclaire l’acheteur.
Cette appréciation se fonde sur :
- L’esprit commercial du fournisseur, sa souplesse en face des décisions de l’entreprise ;
- Son organisation commerciale, son aptitude à prêter un concours technique, ses
possibilités de service après vente, sa stabilité, sa solidité financière ;
- Sa technicité, garante de la qualité de ses produits ;
- Sa valeur humaine, sa probité, son respect absolu des engagements contractés.

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CHAPITRE 2 : LE PROCESSUS D’ACHAT EN ENTREPRISE

Ce chapitre traite essentiellement des étapes de passation, de surveillance des commandes et

de relance.
1. LE BESOIN D’ACHAT
La détection doit être organisée pour éviter toute rupture de stock, arrêt de fabrication
et approvisionnement improvisé de dépannage.
Dans le commerce, la demande d’achat est provoquée par le fait que, pour un produit donné,
le stock a diminué jusqu’à atteindre le stock d’alerte ou point de commande. Il faut donc
définir ce stock critique pour chaque article, puis en organiser le contrôle visuel.
1.1 La documentation

Tout service d’achat doit posséder une documentation permanente sous forme de répertoire
des fournisseurs, fichiers, catalogues, prix courants, prospectus.
Cette documentation doit à tout moment fournir la réponse à deux questions :
- Quels sont les fournisseurs possibles pour un article déterminé?

1.2 Exemple de Demande d’achat : (document pré imprimé pour les demandes d’achat)

Demande d’achat n°001

Services utilisateurs n°………………………….. N° de code du doc……..

Existant à ce jour…… Nom du rédacteur Date……………………..

Stock d’alerte………… ………………………….. N° de nomenclature produit

Date de la dernière D.A… n°… Observations des services utilisateurs

Date de livraison………..

Commande passée le ……….. n° de commande…………………

Demande d’achat reçue le ……………………………………………………
Nom du rédacteur de la demande…………………………………………….

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2. LA COMMANDE
2.1 La Passation de Commande
- Dès que tous les éléments d’une décision rationnelle sont connus, la commande peut
être rédigée.
Pour préciser les obligations et les droits de chaque partie et pour éviter toute erreur, il
convient de déterminer et de libeller soigneusement le document qui doit comporter :
- La date,
- Le numéro,
- La dénomination et l’adresse du fournisseur,
- La désignation complète des articles avec références,
- les spécifications techniques,
- Des quantités commandées,
- Le prix unitaire,
- Les délais de livraison rentrant dans les possibilités du fournisseur,
- Les conditions de paiement.
La commande est établie en plusieurs exemplaires ;
2.2 La surveillance de la commande
Cette opération débute immédiatement après la passation de commande et se poursuit
jusqu’à la livraison.
La surveillance peut être effectuée par le service achat ou par le service de réception :
L’alerte est réalisée par le service au moyen d’un bon de relance sur lequel figurent les
références de la commande.
On distingue deux types de relance :

- La relance préventive :
Il s’agit d’appeler ou de contacter le fournisseur avant la date de livraison.

- La relance proprement dite :

Si la livraison n’est pas effectuée à la date convenue, l’entreprise doit entamer la
procédure de relance.
- La 1ère relance :
- La seconde relance (élaboration du dossier « fournisseur contentieux »
- La troisième relance (le fournisseur est informé qu’une lettre recommandée avec
accusé de réception lui est envoyée pour le sommer de livrer.
- Cette lettre indique les mesures qu’entend prendre l’entreprise : annulation de marché,
rabais exigé, procès….

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2.3 La réception des marchandises

- L’envoi des articles est précédé d’un document émanant du fournisseur : Le

bordereau de livraison (BL).
- Les vérifications portent sur les quantités et les qualités par le rapprochement : Bon de
commande Bordereau de livraison Arrivée physique des articles attendus
- Le rangement en magasin.
2.4 La réception de la facture
La facture du fournisseur est soumise à plusieurs contrôles :
- Les quantités et les désignations facturées doivent être conformes au bordereau de
livraison ou au bon de réception ;
- Les prix unitaires facturés doivent correspondre à l’offre du fournisseur et au bon de
commande ;
- Contrôle arithmétique.

La facture ainsi vérifiée est transmise à la comptabilité pour enregistrement et aux services
financiers pour paiement.

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CHAPITRE 3 : LES DIFFERENTS ASPECTS DU STOCK

1. DEFINITION DU STOCK
Un ensemble d’articles en transit.

2. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DU STOCK.

2.1 Avantages

L’existence d’un stock permet de pallier la pénurie

Il permet de fidéliser la clientèle, d’assurer une consommation régulière

2.2 Inconvénients
Les invendus sont souvent écoulés au rabais
Un stock pléthorique engendre des frais supplémentaires

3. LA ROTATION DES STOCKS

La rotation de stock exprime la fréquence de renouvellement des produits au cours d’une

période donnée.

3.1 Le stock moyen

Le stock moyen se compose de deux éléments :
- le stock de protection destiné à pallier les risques dus à un caractère aléatoire tant de
l’approvisionnement que de la consommation.
- Le stock tournant ou stock actif qui évolue entre un maxi le jour de la livraison et un
mini correspondant au stock de protection.

SM = SI + SF
2
SM = SI + cumul des stocks de fin de mois
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SM = Consommation annuelle/ 2*Nombre de commandes

3.2 Le coefficient de rotation du stock

Coefficient de rotation du stock = consommation annuelle/ stock moyen

3.3 La vitesse de rotation du stock

Le ratio du temps d'écoulement ou vitesse d’écoulement du stock, est l'inverse du

taux de rotation.

Temps d'écoulement = stock moyen / consommation annuelle

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CHAPITRE 4 : PROGRAMMATION DES APPROVISIONNEMENTS

I. METHODES DE PROGRAMMATION

1. METHODE DU DIAGRAMME EN DENTS DE SCIE

Diagramme en dents de scie

1.1 Cas de consommations régulières

Calculs préliminaires

Stock minimum = vitesse de conso x délai

Stock critique = Stock minimum + Stock de sécurité

Stock maximum = lot commandé + Stock de sécurité

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1.2 Cas de consommations irrégulières

Détermination du stock critique et du stock minimum

Mois janv. fév. mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc.
demandes
stock
mini
stock de
sécurité
stock
critique

2. REPRESENTATION EN CUMUL
Calculs préliminaires :
Mois janv. fév. mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc.
vente

cumul
des
ventes
stock
de
sécurité
(SS)
cumul
des
ventes
+ SS
Stock

NB : pour renseigner la dernière ligne « stock », il faut comparer le stock initial et le

« cumul ventes + SS »

Si « cumul ventes + SS » < stock initial (SI), le stock = stock initial ( SI)

Si stock initial < « cumul ventes + SS » stock = stock initial + livraison

Ensuite on fait le graphique.

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3. METHODE DU TABLEAU DE CALCUL

Mois stock stock Livraison SAL D SS SF Dates de Dates de

initial nécessaire commande livraison
J
F
M
A
M
J
J
A
S
O
N
D

SI : stock initial SAL : stock après livraison SF : stock final

SN : stock nécessaire D: demande
L: Livraison SS : stock de sécurité

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DEUXIEME PARTIE : LA GESTION DES STOCKS

CHAPITRE 1 : LE MAGASINAGE

1. DEFINITION

Le magasin est l’endroit où l’on range les produits achetés.

Il est soumis à divers impératifs :
- matériels
- administratifs
- financiers

2. L’ORGANISATION MATERIELLE :

- Le volume disponible
- La localisation des marchandises
- La facilité de circulation
- La facilité d’accès, de manutention et de distribution

3. L’ORGANISATION ADMINISTRATIVE

- La fiche de stock
- Le bon de sortie
- La demande d’achat

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CHAPITRE 2 : LA MINIMISATION DES COUTS

1. LES DIFFERENTS TYPES DE COUT

- le coût de passation des commandes
- le coût de possession du stock

1.1 Le coût de passation des commandes

Plus le nombre des commandes est important, plus le coût de passation est important. Ce coût
est déterminé en étudiant les charges du service des achats. Ce sont des coûts administratifs de
passation de commande (transports, appointements, électricité…).
1.2 Le coût de possession du stock
Ce sont des coûts liés à la structure et au fonctionnement des lieux de stockage (salaire,
énergie, entretien, frais de magasinage…).
Il faut y ajouter le coût de dépréciation du stock.
I faut noter que le taux complet de possession du stock est compris entre 10 et 12 %.

1.3 Le coût total de stockage :

C’est le cumul des deux précédents coûts

Coût total = Coût de passation + Coût de possession

2. LE MODELE DE WILSON

2.1 cadence d’approvisionnement (N)

C’est le nombre total de commandes passé dans l’année. Le problème qu’il convient de
résoudre dans la gestion des stocks est de déterminer la quantité optimale qui minimise le coût
global d’approvisionnement.

Il s’agit donc de choisir une cadence d’approvisionnement telle que la gestion du stock se
fasse au moindre coût.
Quelle que soit la valeur donnée à la cadence N, l’entreprise supporte un coût de commandes
et un coût de stockage. Elle a intérêt que la somme de ces deux coûts soit minimale.
Le coût total se formalise comme suit :

Y1 = cl.N

Y2 = CPt
2N

Coût total de gestion du stock (CG) = Coût de passation + Coût de possession

CG = cl.N + CPt
2N

Avec

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N = Nombre de commandes annuel

Cl = coût de lancement d’une commande

t = taux de possession

C = consommation annuelle en quantité

P = Prix unitaire d’achat

A l’optimum :
Coût de passation des commandes = Coût de possession.

Donc Y1= Y2

Ncl = CPt
2N

N² = C.t
2Cl

N* = CPt
2Cl

N* est appelé cadence optimale d’approvisionnement

Exemple

Une entreprise supporte 60 Frs comme coût d’une commande ; son taux de possession est de
12 % ;
la consommation annuelle représente 1000 litre à 16 Frs le litre.

TAF :

1. Déterminer la cadence optimale d’approvisionnement

2. Déduire le coût de gestion du stock

On peut déduire le lot commandé à partir de N ou N* :

L=C/N

L* = C / N*

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2.2 Illustration graphique

3. LE MODELE AVEC TARIFS DEGRESSIFS

En fonction du volume des achats, le fournisseur peut accorder des réductions ; ce qui peut
remettre en cause la cadence des approvisionnements ainsi que la quantité économique à
commander.

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CHAPITRE 3 : LE SUIVI DES STOCKS

1. LOI DE PARETO OU METHODE 20/80

Les stocks d’une entreprise se distribuent fréquemment ainsi :
- 20% des produits représentent 80 % de la valeur des sorties de stocks
- 80% des produits représentent 20 % de la valeur des sorties de stocks
C’est donc une méthode qui distingue deux catégories de produits en entreprise afin de mieux
suivre le niveau d’évolution.
Cette loi est un instrument de prise de conscience de la qualité et l’adaptation de la politique
de marketing des achats.

2. LA METHODE ABC
C’est une méthode qui regroupe les produits en trois catégories :
Catégorie A : produits représentant en valeur une forte consommation annuelle
Catégorie B : produits représentant une consommation moyenne
Catégorie C : produits représentant une faible consommation

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CHAPITRE 4 : LA VALORISATION DES STOCKS

1. L’INVENTAIRE :
L'inventaire est le rendez-vous annuel des commerçants avec leur stock. Cet exercice de
comptage des références répond à une double obligation comptable et fiscale et représente une
occasion de vérifier la qualité de la gestion du point de vente. L’obligation légale est 1
inventaire par an mais il y a jusqu’à 10 inventaires par an sur certaines catégories de biens
dans la distribution.

C'est l'inventaire en fin d'exercice qui permet de déterminer la démarque inconnue. Elle est
égale à la différence entre l'inventaire physique évalué au prix de vente et l'inventaire
comptable établi à la date de l'inventaire physique.

Cet écart rapporté au chiffre d'affaires T.T.C. annuel du magasin exprime le taux annuel de
démarque inconnue. Les causes de la démarque inconnue résultent non seulement des vols,
mais aussi de nombreuses erreurs administratives.
2. METHODES DE VALORISATION DES STOCKS
2.1 Le coût moyen unitaire pondéré (CMUP)
Il s’agit d’évaluer chaque article, en stock ou au moment de sa sortie de stock, à un coût
unitaire déterminé en faisant le rapport entre la valeur et la quantité de l’ensemble des
entrées.

CUMP = Stock initial en valeur + Achats en valeur

Stock initial en quantité + Achats en quantité

2.2 Méthodes d’épuisement des lots :

2.2.1 Premier entré, premier sorti (ou first in, first out : FIFO).
Cette méthode considère que les matières ou les produits entrés les premiers doivent sortir les
premiers. On évalue donc les sorties de magasin au coût des entrées les plus anciennes
2.2.2 Dernier entré, premier sorti (ou last in, last out : LIFO).
Selon cette méthode, les dernières unités à avoir intégré les stocks de marchandises sont les
premières à les quitter. L’évaluation du stock est établie selon la valeur des derniers entrants.
Cette méthode de valorisation des stocks n’est pas acceptée par le plan comptable.

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