BIOGRAPHIE DE KANTE SOLOMANA
I- INTRODUCTION :
Solomana Kanté est né en 1922 à kölönin dans le district de
soumankoï, sous-préfecture de Karifamoudouya, préfecture de
Kankan ; il est le fils d’Amara et de Diaka Keita.
Son père fut un grand maître d’une école coranique très
florissante à Soumankoï ou plus de 300 élèves venus de
différentes tribus de l’Afrique de l’ouest dont : Bambara,
Maninka, Dioula, Mandingo et Mini, venant apprendre ou
parfaire leurs instructions islamo-coranique.
La mort d’Amara en 1941 marquera un tournant décisif dans la
carrière de Solomana Kanté qui n’avait que 19 ans.
Solomana Kanté qui occupait alors le 12ème rang des enfants d’Amara eut le privilège de se
voir confier toute les responsabilités de l’école paternelle qu’il assurera sous la conduite de
ses aînés. A l’école de soumankoï, on enseignait la théologie islamique et les programmes
comportaient des cours théoriques et des séances de travaux productifs permettant
d‘assurer l’autosuffisance alimentaire de l’établissement. La mort du grand maître Amara
occasionnera la dispersion de grands élèves qui avaient achevés leur instruction et l’abandon
des débutants qui non seulement ne représentaient plus la force de production suffisante,
mais ne bénéficiaient pas aussi de la subvention du Gouvernement colonial.
Ces deux raisons contribuèrent au déclin du grand centre d’études islamique de soumankoï ;
c’est alors que Solomana se décida en 1942, d’aller à l’aventure ; laissant la gestion de l’école
familiale à ses grands frères. Il séjourna tour à tour à Bouaké, Abidjan et Bingerville en côte
d’Ivoire où il se consacrera aux activités commerciales sans interrompre ses relations avec
l’éducation et la culture de son père dont la recherche de la vulgarisation de la connaissance
islamique ; il devient un autodidacte aux centres d’intérêts variés.
C’est ainsi qu’en 1944 à Bouaké pendant ses nombreuses lectures, il rencontra les récits d’un
journaliste Libanais du nom de Kamel Marouah ; celui-ci avait pour vocation d’informer
l’opinion de son pays sur la vie des autre Libanais vivants dans les colonies françaises et
anglaises de l’Afrique noires dans un journal écrit en langue arabe et dénommé « Nous
sommes en Afrique » ; mais avant de présenter les activités et la vie de ses compatriotes de
la diaspora, il faisait des descriptions sommaire des peuples de ce pays d’accueil en terme
de culture, coutume et mœurs avant et pendant la colonisation ; à la fin de de ce récit, le
journaliste Libanais a conclu en ces termes :
«L’Afrique noire recèle plusieurs dialectes non écrits ; ceci ne sera possible que quand les
Gouvernements Africains auront décidé de leur transcription à l’exemple des prêtres qui ont
fait des essais de transcriptions de la bible dans certains ces dialectes ; malheureusement
1
ces tentatives ont été vouées à l’échec à cause de l’absence totale de règle grammaticales
permettant de bonnes dispositions dans la segmentation syntaxique des phrases».
Le journaliste a en fin adressé des félicitations à une seule tribu Africaine du Libéria les
«N’fayinka» qui possédait un Alphabet composé de 150 lettres pourtant dépourvu de la
lettre «R» ; mais cet Alphabet bien qu’incomplet valait mieux que l’inexistence totale de
systèmes d’écritures chez les autres peuples noirs d’Afrique.
II- NAISSANCE DU NKO
C’est cette conclusion du journaliste Libanais qui a touché la sensibilité de Solomana Kanté
jusqu’à l’empêcher de manger et de dormir ; c’est ainsi qu’il trouva toute seul cette réponse
au texte du journal : «Nous n’avons certes pas d’écriture c’est vrai ; mais que nos langues
locales sont toutes dépourvues de règles grammaticales permettant de bonnes dispositions
dans la segmentation syntaxique des phrases, ça c’est faux et archi faux»; après plusieurs
tentatives de rencontrer physiquement le journaliste Libanais, le jeune chercheur Solomana
prit l’engagement de transcrire sa langue maternelle le Maninka, en utilisant les caractères
arabes qu’il maitrisait parfaitement.
Après avoir écrit son 1er Syllabaire en Maninka avec l’Alphabet arabe en 1944, il a commencé
à s’intéresser à la traduction des livres de théologie islamique en 1945 pour attirer son
entourage à apprendre son écriture ; un jour, il a fait lire un de ses textes sur la prêche
musulmane en ce terme : «Satan est l’ennemi d’Adam et sa femme» à cause du manque de
phonétique, son interlocuteur lit : «Satan, c’est Adam et sa méchante femme» ; il s’est donc
vu dans les difficultés de différencier les tonalités qui sont indispensable à nos langues
vernaculaires. Ce blocage a été le tournant de sa recherche ; Mais en 1947, au cours d’un
de ses nombreux voyages à Accra au Ghana pour des fins commerciaux, il a constaté que
des prêtres avaient réussi la traduction de la sainte Bible dans la langue Achanti, et que des
religieux Ghanéens lisaient sans aucune difficulté ; après donc des études et des constats
concrets, il a été rassuré que l’Alphabet latin pourrait bien régler son problème de
phonétique, car ayant réussi à transcrire et à écrire une langue Africaine.
A son retour à Abidjan, il s’est fait inscrire dans une école française privée de cours du soir
communément appelé «Cours d’adultes», afin de maitriser la langue française et l’écriture
latine. Doté d’une intelligence extraordinaire et après 6 mois de cours intense, il s’est vu
permit de lire et d’écrire le français comme il voulait ; c’est ainsi qu’il transféra en alphabet
français tous ses écrits faites avec l’alphabet arabe.
Un jour, il a fait lire un nouveau texte écrit en langue Maninka à l’aide de l’alphabet latin par
un de ses élèves dont voici : «ce sont les chefs qui sont gardés quand il
dorment». Malheureusement, celui-ci lit : «ce sont les chefs qui gardent quand vous
dormez» ; il s’est vu confronté avec les mêmes problèmes de ton, donc de phonétique qui
lui a obligé d’abandonner l’écriture arabe ; et tant qu’il ne réussira pas à résoudre ce
problème de tonalité, son projet ne pourra pas se réaliser ; comme aucun de ces 2 caractères
2
ne lui est donné entière satisfaction, et se sentant défié dans sa mission noble et exaltante,
il se rappela de ce proverbe populaire de son mandingue natal «si l’on transporte la toiture
d‘une case d’un village en vue de la poser sur les murs d’une autre case dans un autre village,
si elle ne sera pas trop grande, elle ne manquera pas d’être très petite».
C’est ainsi qu’il les abandonnera et créera son propre alphabet phonétique qui se compléta
au petit matin du 14 Avril 1949, qu’il baptisera le «NKO» en souvenir de l’école coranique
de son père ; car le NKO était devenu le seul terme commun à tous les dialectes parlées par
les élèves de l’école de Soumankoï ; terme qui signifie «je dis» ; malgré les différences
nuances qui existent au sein de ces dialectes. Cette dénomination rappelle également le
discours de l’empereur du Mandingue Soundiata Kéita qui, à l’ouverture de la grande
Assemblée de Kouroukanfouga en 1236 s’adressa à ses légions en ces termes : «Vaillants
soldats, glorieux peuple du Manden présent à cette auguste Assemblée, tous ceux qui disent
NKO ou qui le disent pas, c’est à vous tous habitants du vaste Manden que je m’adresse… » ;
Depuis, le NKO est devenu le terme d’unification du Mandingue, et l’alphabet qui a prit son
nom permet d’écrire toutes les langues Guinéennes, Africaines et voir le Russe et le chinois
sans difficulté aucune.
III- LE SENS DE SON ECRITURE
Après avoir obtenu l’alphabet complet et tous ses paramètres dont les signes phonétiques
appelés (signe diacritique) et les chiffres pour le calcul, il s’est posé la question de savoir quel
sens donner à mon nouvel alphabet ?
Faudrait-il écrire de la droite vers la gauche comme l’arabe qui était considéré par le monde
musulman comme alphabet divine descendu par le Dieu aux Hommes avec le saint coran,
ou écrire de la gauche vers la droite comme l’alphabet de nos colonisateurs français qui sont
nos maitre qui connaissent tout sur cette terre, ou l’alphabet phénicien qui chaque fois écrit
la 1ère ligne de droite à gauche, et la 2ème ligne de gauche à droite, ou bien l’alphabet chinois
et ou japonais qui s’écrit de haut en bas ?
Pour répondre à sa question, notre chercheur a préféré faire un teste pratique ; il sort dans
la rue pour interviewer des passants sur la route principale menant au grand marché de
Grand-Bassam. Il abordait ses interlocuteurs en ces termes : bonjour Mr ou Mme ! êtes-vous
à l’école français ou arabe ? Chaque fois que quelqu’un répondait non, il lui demande
poliment à tracer 1 trait sur le sol sous forme d’élection ; et parmi les 100 personnes qu’il a
interrogé, 73 ont tracés de la droite vers la gauche, 16 ont tracés de gauche à droite ; 6 de
haut en bas, 2 de bas en haut, et 3 n’ont pas acceptés donc ce sont abstenues. Sans hésiter,
il a donc choisi le sens de droite à gauche à son nouveau système d’écriture, comme pour
dire qu’il est plus facile à un analphabète d’écrire de droite à gauche que l’autre sens
contraire ; puisque le NKO est créé pour les personnes qui n’ont jamais étudiées, il n’a pas
regretté son choix car il détient de l’argumentation solide.
3
Chercheur infatigable et pédagogue chevronné, le savant Guinéen Kanté Solomana a
appliqué son alphabet aux domaines les plus vastes et variées de la connaissances humaine ;
cet alphabet a également permis la transcription de 183 œuvres de toutes les sciences
confondues ; le grand maitre a tiré sa révérence le 23 Novembre 1987 à 07h 45mn au
quartier Bonfi marché dans la commune urbaine de Matam à Conakry laissant 2 veuves :
(Fanta Cissé et Fanta Bérété, et 16 enfants dont dix (10) garçons et six (6) filles.
IV- LES HERITIERS DE SOLOMANA KANTE
Rang de Noms et prénoms Sexe Dates de Lieux de Naissance
Naissance Naissance
01 Ibrahima KANTE Homme 01/12/1955 Abidjan Côte d’Ivoire
02 Diaka KANTE Femme 09/02/1958 Abidjan Côte d’Ivoire
03 Kadiatou KANTE -//- 24/11/1960 Kankan / Guinée
04 Saran KANTE -//- 20/01/1963 Kankan / Guinée
05 Ali Badara KANTE Homme 15/05/1967 Kankan / Guinée
06 Mohamed KANTE Homme 01/11/1967 Conakry / Guinée
07 Abdoul Karim KANTE Homme 29/08/1970 Conakry / Guinée
08 Sidiki KANTE Homme 1973 Conakry / Guinée
09 Oumar KANTE Homme 16/08/1973 Conakry / Guinée
10 Salimata KANTE Femme 16/08/1973 Conakry / Guinée
11 Soufiane KANTE Homme 15/01/1975 Conakry / Guinée
12 Alpha Amadou KANTE Homme 27/09/19777 Conakry / Guinée
13 Ibrahima Kalil KANTE Homme 10/02/1978 Bamako / Mali
14 Taliby KANTE Homme 16/08/1980 Bamako / Mali
15 Fadima KANTE Femme 21/06/1982 Abidjan Côte d’Ivoire
16 Wassa KANTE Femme 09/10/1984 Bouaké Côte d’Ivoire
V- LES ŒUVRES DE SOLOMANA KANTE
a)- 09 Livres d’apprentissage
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
01 Le Premier Syllabaire NKO 1ère année (Abidjan) 1949
02 Le Syllabaire 1ère année (Abidjan) 1957
03 Le Syllabaire 2ème année (Abidjan) 1958
04 Le Syllabaire 1ère année avec image (kankan) 1961
05 Le Syllabaire 1ère année «la lumière a pointée» (Conakry) 1970
4
06 Le Syllabaire 2ème année «la Nation est éclairée» (Conakry) 1970
07 Le Syllabaire Nko 3ème année (Bamako) 1979
08 Les leçons d’apprentissage 1968
09 Le Syllabaire Hatè (Abidjan) 1983
b)- 15 Livres de Lecture
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
01 Les principaux corroboratifs en NKO 1961
02 Le Syllabaire bilingue NKO-Français 1958
03 Le petit livre de Grammaire 1969
04 Le 1er livre de Grammaire 1973
05 Le livre de Grammaire cours élémentaire 1973
06 Le livre de Grammaire cours moyen 1974
07 Le livre de Grammaire 3ème année 1975
08 Le préalable nécessaire à l’invention du NKO 1950
09 Le Dictionnaire NKO de 32.000 mots 1962
10 Les difficultés de transcription du Maninka en alphabet latin 1976
11 Les épreuves du NKO 1962
12 La meilleure voie pour apprendre l’arabe (NKO-arabe) 1963
13 Le Lexique Français-Maninka (en alphabet latin) 1974
14 Le lexique Français-NKO 1975
15 Le lexique NKO-Français 1975
c)- 24 Livres de Littérature
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
01 Les Meilleurs proverbes du Mandingue 1969
02 Comment des mots arabes ont intégrés le Maninka 1952
03 Le Recueil des proverbes Maninka 1969
04 La Différence entre l’écriture et la langue 1978
05 Les Sketchs du Harine 1972
06 Les Terminologies Français en NKO 1962
07 Les 12 Mois de l’année et les 12 importances des remèdes contre la douleur 1978
08 Comment devenir un bon poète 1960
5
09 Comment se faire des amis 1975
10 Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen 1968
11 L’Afrique et la révolution (d’Ahmed Sékou Touré) 1973
12 Recueil de proverbe (de Karifakoudoun) 1972
13 Les Conseils aux mères Africaine 1960
14 Les Néologisme (lexique des mots politiques et administratifs) 1971
15 L’Organisation Sociale et Coexistence pacifique 1975
16 Le livre de poème (le pêcheur de l’espoire) 1960
17 Recueil de poèmes divers 1958
18 Livre de poème (si Batè n’apprend pas, qui d’autre le fera) 1956
19 Livre de poème du 1er avion guinéen «air guinée» 1961
20 La Réconciliation du RDA 1951
21 Livre de 16 poèmes divers 1956
22 Les principaux proverbes du Manden 1969
23 Comment la langue française a été créée 1950
24 Les Contes de la brousse et de la forêt 1960
d)- 03 Romans
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
01 L’Histoire de Djibriba ou l’Origine du Vol 1975
02 La Reconnaissance du bien fait vaut mieux que le fait lui même 1974
03 Le solitaire intrépide (Roman philosophique) 1956
e)- 48 Livres d’Histoire
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
01 L’Histoire Folonningbè 1968
02 Comment on a commencé à compter au Manden 1968
03 Comment répondre aux salutations et remerciements au Manden 1967
04 Traité d’histoire de Diankana 1975
05 Les deux empires Wattara 1961
06 L’histoire de Songhaï 1968
07 L’histoire de l’Empire de Ghana 1975
08 Traité d’histoire du Manding 1974
09 L’histoire du Manding tome 1 1974
10 L’histoire du Manding tome 2 du pouvoir de Naremagan à la mort de 1974
Soundiata
11 L’histoire du Manding (au temps de Soundiata) 1973
12 L’histoire du Calendrier 1974
6
13 L’histoire de la Sierra Leone 1977
14 Comment les Peuls sont arrivés au Fouta Diallon 1961
15 Traité d’histoire des Peuls 1961
16 L’histoire des Mongoles et des tartares 1961
17 L’histoire du Royaume Mossi 1963
18 L’histoire de Rabbé 1960
19 L’histoire de Bamako 1978
20 L’histoire de l’Almami Samori Touré 1970
21 L’histoire des patronymes essentiels du Manding 1966
22 L’origine du compte en Maninka 1968
23 Traité d’histoire des Akans 1957
24 L’histoire des Kaba de batè 1960
25 L’importance du cola 1959
26 Commet le cola a été introduit dans le mariage au Manding 1959
27 Traité d’histoire du Fouta 1961
28 Les Lois de Kouroukan Fouga 1972
29 L’histoire du Manding 1ère partie 1975
30 L’histoire du Manding 2ème partie 1975
31 L’histoire d’Aliyamounoun 1962
32 L’histoire des peulhs de Macina 1970
33 L’histoire des Traoré des Sikasso 1970
34 L’histoire de l’empire Bambara de Ségou et de Karta 1976
35 L’histoire des métis peuls de Wassoulou 1976
36 L’histoire du Fouta Diallon 1962
37 L’histoire de Gbidikö ville commerciale du Mandingue 1963
38 L’histoire du Libéria 1963
39 L’histoire du royaume Sosso 1975
40 L’histoire de la construction de la Mecque et de la Kaaba 1957
41 L’histoire de l’âge de la pierre taillée à l’arrestation de Samori Touré 1975
42 L’histoire d’Amadou Djoulbé 1961
43 Traité d’histoire de Condè-Bourama 1961
44 Traité d’histoire d’Elhadj Oumar TALL 1960
45 L’histoire de la défaite de Soumaoro et le défi de Soundiata 1975
46 L’histoire d’Alpha yaya Diallo 1960
47 L’histoire de l’Empire haoussa 1976
48 La Connaissance des noms au mandingue 1966
f)- 25 Livres de Sciences
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
1 Le cerveau et son système de fonctionnement 1968
2 Le calcul Scientifique 1970
3 La Croyance et la pensée 1972
7
4 Les Terminologie Scientifique Tome 1 1971
5 Les Terminologie Scientifique Tome 2 1971
6 Les Terminologie Scientifique Tome 2 1971
7 Les Glandes et les Viscères 1977
8 Les Statuts de onguilec 1960
9 La Botanique 1974
10 Livre de Science Général 7/6/1961
11 Les deux reins 1970
12 La Physique et la Chimie 1969
13 Le travail du moteur 1976
14 Traduction du tableau de Mendeleïev 1977
15 L’homme et la connaissance 1972
16 Le fonctionnement du moteur à 4 temps 1976
17 L’appareil génital de l’homme 1971
18 Le corps humain et son fonctionnement 1972
19 La contraception et le planning familial 1959
20 Le caret de sevrage 1959
21 Les leçons de Botanique 1975
22 La table multiplication 1956
23 La Science naturelle : la Chimie 1974
24 La Science naturelle : la Biologie 1974
25 La réflexion et la mémoire 1972
g)- 10 Livres de Culture
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
1 Pour mieux apprendre la charlatanerie 1953
2 Liste des plantes médicinales du Manding 1974
3 Liste des différentes maladies en Afrique 1974
4 Les maladies et leurs remèdes 13/06/1954
5 Les plantes et les maladies traitées 1975
6 Les animaux utilisés e médecine 1976
7 Ma médecine traditionnelle et la pharmacopée 1976
8 Les meilleures plantes du manding 1977
9 Les remarques sur la médecine traditionnelle 1980
10 L’importance des vitamines et leurs origines 1980
h)- 4 Livres de Philosophie
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
1 Les différentes philosophies 1974
2 La foi et son fonctionnement 1968
3 Les 50 philosophes avant Jésus Christ 1974
8
4 L’Economie politique 1974
i)- 38 Livres de Théologie Islamique
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
1 Comment apprendre l’islam Tome I 1973
2 Comment apprendre l’islam Tome II 1974
3 Comment apprendre l’islam Tome III 1974
4 La veillée du musulman 1952
5 Comment apprendre la religion 1974
6 Le chemin du musulman vers le prophète Tome 1 1975
7 Le chemin du musulman vers le prophète Tome 2 et 3 1975
8 Traduction du Coran tome 1 1979
9 Traduction du Coran tome 2 1979
10 Le brouillon de la traduction du Coran 1978
11 Le rapport entre l’école et la mosquée 1957
12 Pas de bonne étude, pas de bonne religion 1980
13 Poste face du coran 1979
14 Traité d’histoire sur la religion d’asmika 1968
15 Elhadj Oumar Talle et le chapelet Tidiania 1962
16 Celui qui comprend ce livre, comprendra l’islam 1957
17 Les règles du mariage dans l’islam 1963
18 Comment débuter une conférence et les 44 bénédictions populaires 1972
19 Traduction et importance de la Fatiha 1969
20 Les trois (3) causes de l’unicité de DIEU 1968
21 Le récit sur l’enfance du Prophète 1956
22 Traité sur la religion d’akdraka 1960
23 Récit sur Jabbour - Daouda 1959
24 La conservation entre l’homme et le créateur dans la prière 1958
25 Comment le Tahiyat a été introduit dans la prière 1959
26 Comment pratiquer l’islam 1974
27 Peut – on faire le sacrifice pour un défunt 1963
28 Comment faire le baptême dans l’islam 1962
29 L’importance du Muezzin 1958
30 La multiplication de la salutation et le renforcement de la fraternité (Nko – 1958
Français)
31 L’explication du 5ème pilier de l’islam le pèlerinage (français) 1961
32 Comment repartir le Zakat dans l’islam 1973
33 La bienveillance du prophète 1951
34 L’Association des Musulman 22/9/1959
35 Les difficultés de la traduction du saint coran 1977
36 Les mérites des envoyés de DIEU 1950
37 Comment la Mecque et la Kaaba furent construites 1952
38 Les règles de la prière 1953
9
j)- 6 Livres divers
NO NOMS DES ŒUVRES ANNEES
1 Testament de Solomana KANTE 15/06/1987
2 Hygiène et propreté 1965
3 La meilleure voie pour apprendre le Nko 1951
4 Syllabaire illustré tome 1 1957
5 Syllabaire illustré tome 2 1957
6 Le fondement du Nko 1949
7 Les lois du mariage 1979
TOTAUX 183 Livres
Conakry décembre 1987
Elaboré par Ibrahima KANTE, fils ainé et administrateur des œuvres de
Solomana KANTE inventeur de l’Alphabet NKO
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