Projet de Fin D'etude
Projet de Fin D'etude
INTRODUCTION GENERALE
Dans le cadre de notre formation en génie électrique en spécialité <<Electricité Industrielle>>,
l’Institut Supérieur des Etudes Technologique (ISET) de Mahdia offre à ses étudiants une
opportunité d’appliquer des thèmes étudiés théoriquement sur le plan pratique, suivant un projet
de fin d’études à l’industrie.
Ce projet a pour but de prendre contact avec l’environnement industriel et d’avoir un aperçu
sur la vie socio-professionnel. C’est dans cette optique qu’on a décidé de s’intéresser à la
Société d’entreprises Electriques (SENELEC) qui nous a proposé ce projet qui sera l’objet de
notre étude. Ce projet fait donc appel à un problème très important qui est le non électrification
de certaines zones des différentes municipalités.
Pour mener ce projet à terme, nous allons nous baser sur des catalogues et des logiciels tels
qu’AutoCAD et Dialux.
Nous allons dimensionner et concevoir un réseau d’éclairage public pour assurer l’alimentation
des candélabres équipés des lampes de sodium à haute pression.
La source d’énergie sera assurée par un poste de transformation MT/MT de puissance 630kVA.
Ce poste de transformation est alimenté en souterrain par des câbles HTA 30kV.
Dans le premier chapitre, nous allons passer à la mise en situation du cadre du projet qui consiste
à une présentation globale de la société et la définition de la problématique.
Dans le deuxième chapitre, nous allons détailler les différents composants d’un éclairage public
tout en commençant par les grandeurs photométriques, puis les différentes caractéristiques
d’une source lumineuse, ensuite les différentes technologies de lampes et enfin les différents
composants de l’éclairage public afin d’aboutir à la conception d’un réseau d’éclairage public
en MT.
Dans le troisième chapitre, nous allons mettre à jour les étapes de dimensionnement et
conception d’un réseau d’éclairage public.
Dans le quatrième chapitre, nous allons utiliser le logiciel DIALux-evo pour vérifier notre
travail.
CHAPITRE I :
MISE EN SITUATION
I. Introduction
Certification : ISO-9007
CHAPITRE II :
ETUDE OU ANALYSE
BIBLIOGRAPHIQUE DE L’ECLAIRAGE
PUBLIC
1. INTRODUCTION
L’éclairage public occupe une place très importante dans notre société actuelle parce qu’elle
nous permet d’être en sureté dans la rue la nuit, de permettre aussi et surtout aux conducteurs
d’avoir une bonne vue lorsqu’ils conduisent pour éviter les obstacles et ainsi les accidents de la
route, aussi d’être à l’aise dans les espaces verts raison pour laquelle nous devons assurer un
éclairage impeccable dans les différentes zones et voies.
Dans ce chapitre nous nous intéresserons principalement aux différents éléments de l’éclairage
public en nous basant sur les différentes grandeurs photométriques d’éclairage public utilisées
par notre société d’accueil.
La photométrie est l'art de mesurer le rayonnement lumineux tel qu'il est ressenti par la vision
humaine et par extension, l'étude quantitative de la transmission de ce rayonnement. Elle permet
l’évaluation quantitative des performances d’un éclairage grâce à la mesure et au calcul des
grandeurs photométriques tels que :
Le flux lumineux
L’éclairement
La luminance
L’intensité lumineuse
Le flux lumineux représente la quantité de lumière émise par seconde par une source lumineuse.
Il caractérise la puissance lumineuse d’une source telle qu’elle est perçue par l’œil humain. Il
est noté F ou Ф et s’exprime en lumen (lm).
2.2. Eclairement
C’est la quantité de lumière reçue par une surface. Il caractérise la quantité de lumière reçue
par un récepteur. L'éclairement lumineux est la seule grandeur photométrique directement
mesurable. On l'évalue à l'aide d'un transducteur optique-électronique inséré dans une cellule
photoélectrique. Dans le Système international d'unités. Il est noté E et s’exprime en lux (lx)
ou lumen par m² (lm/m²), la formule est la suivante :
𝑭
𝑬 =
𝑺
𝐹𝑠
𝐸𝑚𝑜𝑦 =
𝑆
La valeur de l’éclairement moyen dans une étude d’éclairage doit être supérieure ou égale à
celle recommandée par la norme
Figure 3:Eclairement
2.3. Luminance
Figure 4:Luminance
L’intensité lumineuse est une grandeur qui exprime la capacité à éclairer d'une source
ponctuelle de lumière dans une direction donnée. L’intensité lumineuse est notée I et se mesure
en candela (cd). Elle sert principalement pour le calcul de l'éclairement lumineux et pour
préciser la répartition de la lumière qu'émet un luminaire ou une surface éclairée selon la
direction.
Une source lumineuse est un objet duquel on reçoit un rayonnement lumineux. Cet objet peut
soit produire sa propre lumière, soit réfléchir le rayonnement d’une autre source. On distingue
deux types de sources lumineuses que sont les sources primaires (le soleil, les lampes, etc.) et
les sources secondaires (la lune, les planètes, etc.).
Il existe plusieurs caractéristiques pour juger de la qualité d’une source lumineuse (exp :
lampe). Dans cette partie, nous allons nous intéresser spécialement à:
Il s’agit de l'énergie électrique consommée par la lampe pour fournir une intensité lumineuse
donnée. La puissance d’une lampe est toujours liée à sa consommation et à sa production de
chaleur. Elle est notée P et est exprimée en Watt (W). C’est le produit de la tension et de
l’intensité de la lampe, son expression est la suivante : P = U×I
L'efficacité lumineuse d'une source est le rapport entre le flux lumineux émis par cette source
lumineuse et la puissance absorbée par la source. Elle est notée η et s'exprime en lumens par
watt (lm/W). Elle caractérise le rendement de la lampe :
𝐹
𝜂 =
𝑃
Elle est fondamentale pour la priorité de l’économie d’énergie. Elle dépend non seulement de
la source mais aussi des accessoires tels que : les réflecteurs, la grille de répartition de la
lumière, la protection transparente, et de l’allure de la courbe photométrique.
La température de couleur renseigne sur la couleur de la lumière émise par une lampe donc sur
l’ambiance lumineuse créée. Chaque source lumineuse est caractérisée par son spectre
lumineux qui détermine sa couleur apparente. La température de couleur est donnée en Kelvins
(K).
Il existe plusieurs teintes de couleurs allant du blanc chaud (< 3000 K) au blanc froid (> 5000
K). Plus la température est élevée, plus la lumière a un aspect froid (la lumière du jour a une
température de 6500K).
L'indice de rendu de couleur ou IRC est un nombre compris entre 0 et 100, qui a pour objectif
de rendre compte de l’aptitude d’une source de lumière à restituer les couleurs d’un objet par
rapport à celles produites avec une source de référence de même température de couleur.
La durée de vie moyenne d’un lot de lampes est le nombre d’heures pendant lesquelles ces
lampes ont fonctionné jusqu’au moment où 50 % d’entre elles ne fonctionnent plus.
C’est très important de connaitre la durée de vie des lampes qu’on veut utiliser lorsque les
frais de remplacement des lampes sont couteux comme le cas des sources peu accessibles ou à
accès limité par une activité intense. On détermine la durée de vie des sources par heure (h)
d’utilisation
Il existe plusieurs technologies de lampes qu’on peut regrouper en quatre grandes familles :
Les lampes à décharge sont des lampes électriques constituées d’un tube ou d’une ampoule en
verre remplie de gaz ou de vapeur métallique, sous haute ou basse pression. Une décharge
électrique est créée entre deux électrodes, il s'ensuit une conversion en photons donc de la
lumière. Elles sont composées de deux sous-familles que sont :
Les lampes à décharge basse pression sont des lampes à décharge qui possèdent un gaz à basse
pression. Il existe plusieurs lampes à décharge basse pression telles que :
Un tube fluorescent est une lampe électrique de forme tubulaire, de la famille des lampes à
décharge à basse pression. Il contient du mercure à l'état gazeux, dont les atomes sont ionisés
sous l'effet d'un courant électrique appliqué entre les électrodes placées à chaque extrémité du
tube, ils émettent alors par luminescence un rayonnement essentiellement ultraviolet, qui est
converti en lumière visible par la poudre fluorescente déposée sur les parois du tube. La couleur
de la lumière émise dépend de la nature de la poudre fluorescente utilisée.
Il est généralement utilisé dans l’éclairage général des commerces et bureaux, l’éclairage
industriel, sportif, halls de stockage même à hauteur de montage importante, locaux scolaires.
Il possède les caractéristiques suivantes :
Les lampes fluo-compactes sont des tubes fluorescents émettant de la lumière, dont le tube est
miniaturisé, plié en deux, trois ou quatre, ou encore enroulé, doté d'un culot contenant un ballast
électronique pour les lampes fluo-compactes récentes, ou un ballast ferromagnétique pour les
anciennes lampes fluo-compactes.
Elles ont les mêmes avantages que les tubes fluorescents linéaires, à la différence près que le
tube n'est pas interchangeable.
Leur puissance usuelle peut être de 9W, 11W, 15W et 25W avec une efficacité de l’ordre
de 45 à 60 Watt, ce qui veut dire qu’une lampe fluo-compacte de 9W peut produire le
même éclairage qu’une lampe à incandescence de 40W.
Elles ont une durée de vie 6 fois plus longue que la lampe à incandescence, plus de 6000
à 15000 heures contre 1000 heures.
L’échauffement étant réduit, les risques de dégâts dus à la chaleur sont réduits
proportionnellement.
Les lampes à vapeur de sodium sous basse pression (LPS) sont composées d'un tube à décharge
plié en forme de U et enclos dans une ampoule externe tirée sous vide. Le tube à décharge est
rempli d'un mélange néon (99 %) argon (1 %) sous basse pression permettant l'amorçage de la
décharge et l'échauffement du sodium jusqu'à 260 °C.
Puissance : 18 à 180W
Rendu de couleurs : très mauvais
Température de couleur : jaune-orangé
Les lampes à vapeur de mercure haute pression sont composées d'un tube à décharge en quartz,
enfermé dans une ampoule remplie d'azote. Le tube à décharge est pourvu de deux électrodes
en tungstène à chaque extrémité, ainsi que d'une ou deux petites électrodes d'amorçage
connectées aux électrodes principales via des résistances. Ce tube contient un mélange d’Argon
et de Mercure à une pression de 100kPa qui permet l’émission d’une lumière blanche bleutée.
La majorité des lampes aux halogénures métalliques ont une construction similaire à celle des
lampes à vapeur de mercure haute pression. Un tube à décharge en quartz, muni de deux
électrodes en tungstène, est enfermé dans une ampoule externe. En plus d'argon et du mercure,
le tube à décharge est dosé avec différents sels métalliques, dont la composition et la quantité
dépendent du type de lumière et des performances voulus. La distance entre les électrodes est
plus courte que pour les lampes à vapeur de mercure afin de permettre une plus grande
dissipation de puissance par centimètre d'arc.
La température de couleur varie selon les halogénures présents : blanc chaud au blanc
froid (4500 et 6000K)
Puissance : 35 à 2000W
Efficacité lumineuse : entre 70 à 95 lm /W
Durée de vie longue : 10 à 18000h
Rendu de couleurs : 65 à 85
A la différence des lampes à sodium basse pression, ces lampes améliorent le rendu de couleurs
en émettant une lumière un peu plus blanche mais toujours orangée, grâce au sodium porté à
haute pression. Elles ont :
Un réseau d’éclairage public EP est composé de plusieurs éléments principaux dont, des
armoires électriques qui servent à commander et protéger le réseau électrique, ensuite des câbles
électriques qui permettent le transport de l’électricité depuis les sources d’alimentation et enfin
des points lumineux pour éclairer les espaces publics.
On distingue principalement deux types de réseaux dans l’éclairage public dont : le réseau
souterrain indépendant en câbles souterrains qui est le plus recommandé, sécurisé et offre un
éclairage plus approprié et le réseau aérien mixte sur poteaux et sur façade avec des câbles
exposés ou partiellement exposés. Cependant, l’éclairage public sur un réseau aérien ne permet
pas d’obtenir un éclairement conforme aux normes en vigueur car l’interdistance entre les
supports est imposée par le réseau BT de distribution desservant les habitations et non en
fonction des besoins d’éclairement.
5.3. Candélabre
Il n’y a pas d’éclairage public sans point lumineux ce qui fait de lui un élément très important
ou plus encore indispensable du réseau d’éclairage public. Dans l’éclairage public le point
lumineux est définit comme étant le candélabre qui est un élémént très sensible car il porte la
source lumineuse et est le plus exposé aux pannes et problèmes de maintenance. Le candélabre
par définition est un support destiné à porter un ou plusieurs luminaires et qui est composé
essentiellement de : un luminaire, une crosse, un màt ou support, une réhausse et un fùt.
5.4. Luminaire
Le luminaire permet de répartir, transformer ou filtrer la lumière produite par une source de
lumière artificielle. Il est formé d’une enveloppe qui contient plusieurs éléments tels que :
Une source lumineuse ou lampe : objet destiné à produire de la lumière
Un ballast ou appareillage : élément permettant de fournir à la lampe la tension
nécessaire à son allumage. Il peut être ferromagnétique ou électronique.
Le réflecteur ou optique : c’est la partie métallisée qui se trouve autour de la source et
qui va permettre comme son nom l’indique, de refléter la lumière émise par la lampe
dans une direction donnée.
La vasque ou protecteur : élément permettant de protéger la lampe et le réflecteur de
tout élément extérieur. Il peut être en verre ou en plastique.
Les vantelles : elles permettent de protéger l’œil contre l’éblouissement de la lumière
en empêchant la vue directe de la lampe.
La platine : elle permet la fixation des auxiliaires électriques tels que les ballasts et les
starters.
L’armature : elle permet l’assemblage des différents composants du luminaire et la
fixation du luminaire.
5.5. Crosse
La crosse est une console de forme courbe souvent métallique permettant de déporter le
luminaire et est parfois fixée au mat à travers des colliers ajustables.
Le mat est l’élément qui supporte le luminaire mais il est très souvent accompagné d’une crosse.
Il peut être droit ou incliné, en acier, en béton, en bois ou fonte, en aluminium. Généralement,
le mat est fixé sur la semelle en béton à travers une platine métallique pour faciliter son
remplacement en cas de besoin.
5.7. Rehausse
La rehausse est un élément qui, comme son nom l’indique, permet de surélever un mât droit.
Elle constitue la partie verticale, intermédiaire entre le fût et la crosse ou le luminaire.
5.8. Fût
Le fût est la partie qui porte éventuellement une rehausse, une crosse ou le luminaire lui-même.
C’est la partie principale du candélabre.
Pour garantir un meilleur éclairage des voies routières, plusieurs paramètres sont à prendre en
compte tout en mettant l’accent sur les divers types d’implantation des luminaires. Ces
paramètres sont :
Ce type d’implantation exige que tous les foyers soient du même côté de la route. Il est
recommandé que lorsque la largeur de la route est supérieure ou égale à la hauteur des
candélabres. Cependant, il faut noter qu’avec ce type d’implantation, la luminance de la partie
de la chaussée opposée aux luminaires est plus faible que celle du même côté. Il est donc
préférable d’utiliser cette implantation pour l’éclairage d’une route à chaussée simple à double
sens de circulation.
Dans ce type d’implantation, les luminaires sont placés de part et d’autre de la route en
alternance ou en zigzag. Cette implantation est utilisée lorsque la largeur de la route mesure
entre 1 à 1,5 fois la hauteur des candélabres. Cependant, il faut apporter une minutieuse
attention à l’uniformité des luminances de la chaussée car l’alternance des zones sombres puis
éclairées peut causer un effet zigzag désagréable. Ce genre d’implantation est utilisé pour des
routes à chaussée simple à double sens de circulation.
La disposition vis-à-vis des luminaires est entre autres, l’implantation des luminaires de chaque
côté de la route et en face à face. Elle est utilisée lorsque la largeur de la route est supérieure à
1,5 fois la hauteur des candélabres. Ce type d’implantation se fait une sur route à chaussée
simple à double sens de circulation.
Comme son nom l’indique, les luminaires sont placés sur l’axe de la chaussée autrement dit,
au-dessus de la zone centrale. Cette implantation peut être utilisée sur des routes étroites dont
la largeur ne dépasse pas la hauteur des candélabres. Elle est équivalente à l’implantation
unilatérale pour chaque chaussée individuelle.
Nous allons récapituler les principaux types d’implantation ci-dessus dans un tableau selon la
hauteur des feux et la largeur de la chaussée.
La luminance de la partie
de la chaussée située loin
Implantation
l≤h des luminaires est plus
unilatérale
faible que celle située du
même côté
Implantation
1,5 < h
bilatérale vis-à-vis
8. Conclusion
Durant ce chapitre de notre projet, nous avons abordé ensemble tous les termes à connaitre pour
entamer sereinement la dernière partie de notre projet qui est le corps même de notre projet
CHAPITRE III:
DIMENTIONNEMENT ET
CONCEPTION D’UN RESEAU
D’ECLAIRAGE PUBLIC
1. INTRODUCTION
La réalisation d’un réseau d’éclairage public demande une grande attention et un travail
minutieux. Cela passe inévitablement par l’étape la plus importante qui est le dimensionnement
dans lequel aucune erreur n’est tolérée puisque son but principal est avant tout, assurer un
niveau d’éclairement imposé par la norme tout en réduisant le plus possible le coût final de
l’installation. Dans ce présent chapitre, nous allons procéder au dimensionnement de notre
réseau d’éclairage puis à sa conception. Pour se faire, nous allons dans la première partie faire
le choix des luminaires et candélabres, puis faire le choix des câbles tout en respectant la chute
de tension imposée par le STEG.
On ne peut parler d’un projet d’éclairage public sans passer par l’étude photométrique. C’est-
elle qui nous donne une orientation parfaite de notre projet sur les différents composants.
Le type de chaussée :
Le type d’implantation des candélabres :
Le type de candélabre :
Le type de lampe
2.1. Le type de chaussée :
Il est très important de déterminer les différentes données concernant la chaussée. C’est-à-dire
déterminer :
Implantation axiale
Implantation bilatérale en quinconce
Implantation bilatérale vis-à-vis
Implantation unilatérale
2.3. Le type de candélabre :
Il est indispensable de connaitre toutes les caractéristiques du candélabre :
𝑒
En pratique, on fixe des valeurs pour le rapport : à ne pas dépasser : routes principales, voies
𝐻
𝑒
à grand trafic : 3 ≤ ≤ 3.5 Avec H: Hauteur du feu
𝐻
Puissance de la lampe
Le type de lampe
Il s’agit de dimensionner un réseau d’éclairage Public de l’avenue RVE 533 sise au gouvernorat
d’Ariana du kilomètre 10 : PK10, au kilomètre 22.5 : PK 22,5. C’est une route en deux fois
deux voies avec un Terre-Plein-Central (TPC) en double Glissière en Béton Adhérent : type de
séparateur (GBA) d’une longueur de 12,5 km. Et du dimensionnement d’un pont sur Oued
Medjerda de longueur de l’ordre de 128m.
Puisque on a une route en deux fois deux voies avec un Terre-Plein-Central, on a choisi une
implantation bilatérale vis-à-vis. Dans ce cas d’implantation la hauteur H du candélabre doit
dépasser la largeur de la chaussée d’où on a choisi des candélabres Galvanisé à chaud de hauteur
H de 8m avec une saillit de 1m.
Pour calculer l’espacement des candélabres, vu qu’on a une route principale avec voie à grand
𝑒
trafic on applique la formule : 3 ≤ ≤ 3.5
𝐻
⟹ 3𝐻 ≤ e ≤ 3.5𝐻 ⟹ 24 ≤ e ≤ 28
Le niveau d’éclairement moyen de la chaussée à prévoir dans les projets varie avec le type de
voie selon le tableau suivant :
Ces niveaux d’éclairement correspondent à des valeurs de luminance comprises entre 2 et 0,5
cd/m². Il est important de maintenir une bonne uniformité et un éclairement idéal pour éviter la
succession de zones sombres et de zones claires, raison pour laquelle on définit un facteur
𝐸𝑚𝑖𝑛
d’uniformité qui doit être supérieur ou égal à 0,5.
𝐸𝑚𝑎𝑥
Pour ce type d’avenue la norme exige un éclairement qui varie de 20 à 30 lux (voir tableau ci-
dessus), pour le choix de notre luminaire, on prendra un Eclairement moyen de 28lux
𝐸×𝑙×𝑒
ɸ =
𝐶𝑣 × 𝐶𝑢
28×25×7
AN: ɸ = =15312 lm
0.8×0.4
Avec
Cu: coefficient d’utilisation, caractéristique du luminaire est obtenu à partir de la courbe donnée
par le constructeur (0.4)
E : éclairement moyen
Les caractéristiques ci-dessus nous ont permis de faire un choix judicieux de lampe à décharge
de type haute pression à vapeur de sodium de puissance 150W de la marque Kacem Skylux qui
est une marque locale. (Voir ANNEXE 1)
𝐿
𝑁= Avec L : la longueur de la route 12.5km
𝑒
e : espacement entre deux candélabres :
12500
𝑁= = 500
25
On prendra 500 candélabres à installer sur la route.
128
𝑁= = 5.14
25
On prendra 6 candélabres à installer sur le pont.
Pour les ronds point, on doit assurer un meilleur éclairement qui dépasse 30lux. Pour respecter
le côté esthétique on va installer même type des luminaires de 150W sur même type de
candélabre ainsi on va jouer sur l’interdistance.
Sur chaque candélabre on a placé deux luminaires, donc pour trouver le nombre de luminaires
à placer sur tout le projet, il suffit de multiplier le nombre de candélabres par deux.
𝐿 𝑝𝑡 × 100
𝑉 = 𝛼×( )×(𝑛× )
2 UѴ3
𝑉
La chute de tension en % est : 𝛥𝑉 = 𝑈 × 100
Avec :
α = la chute de tension du câble exprimée en V/A/km et elle est donnée par le fabricant
L est la longueur la plus importante du réseau en km.
n est le nombre de lampe d'une même puissance sur ce tronçon.
P est la puissance électrique de la lampe en VA :
U est la tension d’alimentation en V.
La fixation des candélabres est très délicate, c’est pourquoi plusieurs calculs doivent être faits
pour que les candélabres soient stables. Pour ce faire, on utilise des massifs qui ont pour rôle
de fournir une assise aux candélabres afin de leur permettre de résister aux facteurs extérieurs
tels que le vent et les chocs.
Les massifs sont en béton formés de 350kg de ciment HRS pour 400 litres de sable et 800 litres
de gravillon 15/25.
𝑷×𝑪 𝟐×𝑷×𝑪 𝟖𝟎 𝑪𝟐 × 𝑸𝟐 × 𝑯𝟑
𝑴𝒔 = ( )–( )+( × )
𝟐 𝟑×𝑪×𝑸 𝟔𝟓𝟔𝟏 𝑷
Avec :
Pour que l’ensemble de la structure massif + mât soit stable, il faut que le moment de stabilité
Ms soit supérieur ou égal au moment de renversement Mr et ceci se justifie par la relation
suivante :
Mr = Mf + (T×H)
Avec :
Pour vérifier que Ms est bien supérieur ou égal à Mr, il faut vérifier le rapport suivant :
𝑴𝒔
𝑲𝒔 = ≥𝟏
𝑴𝒓
La fouille est un creusement réalisée dans le sol et destinée à être remplie par le béton des
semelles de fondation. La tranchée quant à elle, est une excavation plus profonde que large.
C’est donc l’ensemble qui servira de nid ou de foyer au candélabre et qui lui permettra d’être
bien positionné.
Les fouilles et tranchées seront réalisées mécaniquement par une pelle ou une trancheuse, ou
manuellement par l’emploi un engin. Les dimensions suivantes des tranchées seront fixes
quelques soient la nature du sol et des obstacles :
– Largeur 0.4m
– Un grillage avertisseur
Après remblayage, les terres seront damées c’est-à-dire battues avec une dame afin de les
rendre compactes et planes. Pour la traversée de la chaussée, la profondeur des tranchées
sera portée à 1m par rapport au niveau du sol fini avec enrobage en béton de 15cm.
Pour l’installation sur chantier, il nous faut connaitre tous les détails tout en prenant en
compte les dimensionnements soumis dans le CCTP. Les paramètres à identifier sont les
suivants :
– La distance de rehausse
– La distance de la crosse
– La hauteur du feu
– La porte de visite
– La conduite de câbles
– La jupe coulissante
Au niveau du massif d’ancrage
– La plaque d’appui
– L’ancrage de câble BT
– La nature du massif
– Le type de transformateur
La conception est la partie finale de notre projet d’éclairage public. C’est la partie réalisation
de notre projet. Elle consistera à faire la construction de notre réseau d’éclairage avec toutes les
installations sur un réseau électrique MT/BT tout en faisant les calculs théoriques qu’on
justifiera avec les normes en vigueur et en vérifiant les différents paramètres de l’installation.
5. Etude photométrique
Après des calculs théoriques, nous avons obtenus les résultats suivants pour les paramètres de
l’étude photométrique à savoir :
Le candélabre que nous allons utiliser pour notre installation est en tôle d’acier galvanisé à
chaud conformément à la norme NF P 97-402 et de section octogonale tronconique.
Nous allons travailler avec des lampes à vapeur de sodium haute pression de puissance 150W
pour les routes et le pont.
Tous ces paramètres nous ont permis de choisir le luminaire de la marque KACEM
ELECTRIQUE du type SKYLUX Play II de référence SKY 150 PLII.
6. Partie pratique
Par la suite, il sera prévu à l’emplacement indiqué sur le plan ci-joint, un transformateur
MT/MT de marque Tunisie transfo ayant les caractéristiques suivantes :
- Fréquence : 50Hz
- Puissance : 5kVA
- Couplage : monophasé/monophasé
Pour alléger la chute de tension dans les câbles on va regrouper un ensemble de luminaire avec
un même transformateur de puissance de 5kVA/ 5.5kV/220V. La puissance de l’ensemble des
luminaires à alimenter par un seul transformateur doit être inférieure ou égale à la puissance de
ce transformateur.
𝑃
Or, P = S.cos ф => 𝑆 = 𝑐𝑜𝑠ф
3,024𝑘𝑊
𝐴. 𝑁: 𝑆 = = 3,78𝑘𝑉𝐴 < 5𝑘𝑉𝐴
0,8
3,78𝑘𝑊
𝑆′ = = 4,72𝑘𝑉𝐴 < 5𝑘𝑉𝐴
0,8
Or dans notre installation, chaque candélabre porte deux luminaires et on associe à chaque
transformateur 18 luminaire donc 9 candélabres.
Grace au logiciel X-relais nous avons pu faire une simulation des emplacements des différents
luminaires.
Les candélabres sont reliés au transformateur via des câbles bipolaires enterrés type R2V. Pour
choisir la section de câble convenable, nous allons calculer le courant d’emploi Ib :
𝟓𝒌𝑽𝑨
𝐼𝑏 = = 22.72𝐴 Qui nous donne un courant admissible Iz =24A
𝟐𝟐𝟎
𝟐𝟒
Donc : K=0.38 d’où : 𝐼𝑧 ′ = 𝟎.𝟑𝟖 = 63𝐴
Avec :
α = la chute de tension du câble exprimée en V/A/km et elle est donnée par le fabricant
L est la longueur la plus importante du réseau en km.
n est le nombre de lampe d'une même puissance sur ce tronçon.
P est la puissance électrique de la lampe en VA :
U est la tension d’alimentation en V.
Application numérique :
On a :
α = 3.66 V/A/km
L = 7.225en km.
n =29
𝟏𝟓𝟎+𝟏𝟖
𝑷 = = 210𝑉𝐴 :
𝟎.𝟖
U =220 V
V= 365.98 V
donc 𝛥𝑉 = 1.66%
Conclusion 1.66% < 2% est autorise
La chute de tension ne doit pas dépasser le 3% selon les exigences de la STEG. Alors pour plus
de sécurité nous avons choisi d’utiliser 80% de la puissance du transformateur ce qui nous a
permis d’admettre une chute de tension de 2% qui a été respectée dans les calculs ci-dessus.
Nous avons choisi 2× 10 mm² les câbles BT.
𝐿 𝑝𝑡 × 1000
𝑉 = 𝛼×( )×(𝑛× )
2 UѴ3
𝑉
La chute de tension en % est : 𝛥𝑉 = 𝑈 × 100
Avec :
α = la chute de tension du câble exprimée en V/A/km et elle est donnée par le fabricant
L est la longueur la plus importante du réseau en km.
n est le nombre de lampe d'une même puissance sur ce tronçon.
Pt est la puissance électrique du transfo en kVA :
U est la tension d’alimentation en V.
DEPART MT N°1
N °TR. Α L N P U V ΔV
1 3,66 0,146 9 210 230 2,20 0,95
2 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
3 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
4 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
5 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
6 2,34 0,373 14 210 230 5,58 2,43
7 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
8 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
9 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
10 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
11 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
12 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
13 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
14 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
15 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
16 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
17 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
18 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
19 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
20 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
21 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
22 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
23 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
24 3,66 0,183 8 210 230 2,45 1,06
25 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
DEPART MT N°2
N °TR. α L n P U V ΔV
1 3,66 0,146 8 210 230 1,95 0,85
2 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
3 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
4 3,66 0,122 10 210 230 2,04 0,89
5 2,34 0,122 10 210 230 1,30 0,57
6 2,34 0,122 10 210 230 1,30 0,57
7 2,34 0,122 10 210 230 1,30 0,57
8 2,34 0,122 10 210 230 1,30 0,57
9 2,34 0,125 9 210 230 1,20 0,52
10 2,34 0,134 8 210 230 1,15 0,50
11 2,34 0,122 10 210 230 1,30 0,57
12 2,34 0,122 10 210 230 1,30 0,57
13 2,34 0,125 10 210 230 1,34 0,58
14 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
15 3,66 0,144 10 210 230 2,41 1,05
16 3,66 0,188 8 210 230 2,51 1,09
17 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
18 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
19 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
20 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
21 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
22 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
23 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
24 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
25 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
26 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
27 3,66 0,140 10 210 230 2,34 1,02
28 3,66 0,155 10 210 230 2,59 1,13
29 3,66 0,155 10 210 230 2,59 1,13
Tableaux 4: calcul de chute de tension distribution MT départ n2
La norme C17-200 nous recommande d’avoir une chute de tension inférieur à 6% on admet 2%
pour la chute de tension en MT.
Nous donnerons ici une approximation qui simplifie les calculs et donne des résultats
acceptables :
𝑳 𝐏𝐓×𝟏𝟎𝟎𝟎
V= α × × (n × )
𝟐 𝐔Ѵ𝟑
Avec :
α: est la chute de tension du câble 3x25mm² cuivre en V/A km et elle est donnée par le
fabricant. (Voir ANNEXE 2)
L : est la longueur la plus importante du réseau en Km.
n: est le nombre de transformateurs d’une même puissance sur ce tronçon.
PT : est la puissance électrique de transformateur en kVA.
U : est la tension d’alimentation en V.
α = 1.51 V/A km
L = 5.275 km.
n = 25
PT = 5 kVA.
U= 5.5 kV.
5.275 25𝑥5
𝑉 = 1.51 × × ( ) = 52,258 𝑉
2 5.5𝑥Ѵ3
52.258
Ou ΔV= x 100 = 0.95%
5500
Conclusion : 0.95 % < 2% est autorisée
α = 1.51 V/A km
L = 7.225 km.
n = 29
PT = 5 kVA.
U= 5.5 kV.
7.225 29𝑥5𝑥1000
𝑉 = 1.51 × × ( ) = 83.028 𝑉
2 5500𝑥Ѵ3
83.028
Ou ΔV= x 100 = 1.50%
5500
Conclusion : 1.50% < 2% est autorisé
On a testé avec le câble de 25mm² dans les deux départs MT et on a obtenu une chute de tension
inférieure à 2%. On en déduit alors que la méthode adoptée est la bonne.
C’est la première étape de la réalisation d’un réseau d’éclairage, elle est donc indispensable
pour la suite du projet d’éclairage (voir tableau ci-dessous).
Avant toute chose, il est impératif de déterminer le type de régime de neutre à adopter. On
distingue plusieurs types de protection TT, TN ou IT.
Le régime de neutre que nous allons adopter est le régime TT (neutre du transformateur à la
terre et masses de l’installation à la terre) car c’est le régime le plus adéquat pour l’éclairage
public avec :
D’après la norme IEC EN 611558, les transformateurs doivent être protégés contre les
surcharges et les courts-circuits.
La protection contre les surcharges d’un transformateur est assurée par un relais électronique
qui commande le disjoncteur installé au secondaire du transformateur et capable de donner le
temps de déclenchement par surcharge et la durée de refroidissement après déclenchement.
Nous allons protéger notre transformateur MT avec un disjoncteur tripolaire de calibre 24A.
Le transformateur est protégé contre les courts-circuits par les fusibles primaires selon les
normes NF C 13-100 NF C 15-100.
Pour notre part, nous allons utiliser des sectionneurs portes-fusibles de calibre 4A pour les
transformateurs BT et des fusibles de calibre 2A pour les candélabres.
– Une cellule arrivée munie d’un sectionneur de mise à la terre et d’un interrupteur
sectionneur tripolaire de 400 A.
– Une cellule départ munie d’un sectionneur de mise à la terre et d’un interrupteur
sectionneur tripolaire de 400 A.
Vu que le transformateur principal est de tension d’entrée 30kV et de tension de sortie 5,5kV,
on va utiliser une cellule de protection générale équipée d’un sectionneur rotatif de 400A, d’un
disjoncteur tripolaire de 630A – 12,5kA et d’un sectionneur de mise à la terre. Ce transformateur
va alimenter les transformateurs du réseau BT de façon équilibrée.
Pour ce transformateur, on utilisera un sectionneur de mise à la terre amont et aval des fusibles
et deux fusibles de protection de 7,2kV – 6,3A.
Pour calculer la stabilité des massifs pour un candélabre en acier galvanisé à chaud de hauteur
9m, nous allons utiliser la formule d’ANDER et NORSA en supposant que :
2𝑃² 2 × (1124,44)²
𝑀2 = = = 60.20 𝑚. 𝑘𝑔
3𝐶𝑄 3 × 0.7 × 20000
𝑀𝑠 1870.854
D’où, 𝑲𝒔 = = = 1.33 ≥ 1
𝑀𝑟 1404.5
Dans ce chapitre nous avons mis à jour tous les étapes nécessaires pour aboutir à une étude et
conception de réseau d’éclairage public en prenant en compte tous les exigences de la norme.
Dans le chapitre suivant, nous allons mettre à jour notre projet de conception d’éclairage public.
Chapitre: IV
VERIFICATION PAR LOGICIEL
1. INTRODUCTION
Nous allons dans ce chapitre vérifier notre dimensionnement à travers le logiciel Dialux-evo.
En effet, on va vérifier les différents paramètres photométriques tel que : le niveau
d’éclairement moyen de la chaussée, l’uniformité de l’éclairement, le taux d’éblouissement…
2. Présentation du Logiciel
Dialux est un logiciel gratuit qui permet de faire les calculs pour un éclairage intérieur ou
extérieur. Ce calcul est base sur la norme allemande DIN 5034(Deutsches Institut fur Normung)
et sur les publications de la CIE (Commission International de Eclairage).
Tout d’abord on doit fixer tous les paramètres nécessaires pour l’étude photométrique, et les
faire entrer dans le logiciel Dialux-evo, tel que :
Dans cette fenêtre, nous allons choisir le luminaire à installer « Kacem Skylux », ainsi que:
Apres implantation du luminaire, nous passons aux vérification des résultats calculées. Cette
fenêtre nous donne les différents résultats obtenus qui doit être conforme à celle déterminé par
l’étude théorique.
Dans cette fenêtre nous observons l’évolution de notre travail et son exécution sur le chantier.
L’implantation des candélabres et le raccordement des différents points lumineux se verra via
le logiciel AUTOCAD (voir ANNEXE)
4. Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
Durant notre parcours universitaire au sein de l’Institut Supérieur des Etudes Technologiques
de Mahdia, nous avons eu l’occasion d’acquérir des connaissances aussi bien théoriques que
pratiques grâce aux stages d’initiation et de perfectionnement que nous avons réalisés dans les
donne l’opportunité en tant que finissant, de mettre en pratique toutes les connaissances que
nous avons acquises en nous permettant de réaliser des projets pour la validation de notre
diplôme.
Ce présent document est l’œuvre de notre travail réalisé pendant notre stage au sein de
l’entreprise SENELEC. Ce stage nous a permis d’accroitre nos connaissances grâce aux
recherches que nous avons faites, de nous familiariser avec le milieu professionnel et d’agrandir
public tout en mettant en évidence des notions très importantes de ce domaine en partant des
public.
Grâce à ces différents paramètres, nous avons pu faire le dimensionnement de notre installation
en nous frottant même au domaine du Génie Civil afin de faire sa conception que nous avons
Au terme de ce projet, nous pouvons dire que nous nous sentons capables de réaliser avec succès
n’importe quel projet d’éclairage public quel que soit son envergure en nous assurant de
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
[1] projet de fin d’étude :Arraki.J & Jawed.I
[2] www.chakira.com
[8] Réseau d’éclairage public conception et réalisation (cahier des clauses techniques
générales, fascicule 36 du CCTG/travaux)
[9] https://fr.electrical-installation.org/frwiki/D%C3%
ANNEXES