Contrôle continue/ DST (24 octobre)/ Partiel

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Civilisation grecque

Cités et citoyens en Grèce ancienne (de l’âge du bronze à la mort d’Alexandre)

● INTRODUCTION AU COUR

Géographie

Monde grec, espace étendu (mer Egée/macédoine) et fragmenté (pas d’espace

géopolitique unifié). Les Grecs= hoi Hellenes

Identité grecque
Hérodote : ce qui unis tous les Grecs (to hellènikon) sang, langue, sanctuaire, sacrifice
commun, mœurs et coutume semblable.
Hellên héro grec considérer comme un ancêtre commun (fiction généalogique)
Pas de langue grecque commune fixe, multitude de dialecte (dialecte ionien, ionien-
attique, dorien, eolien)

Religion

Polythéiste (sanctuaire panhellénique (qui est commun à tous les Grecs))

Culturel

Par opposition aux barbare (ceux qui ne parle pas le grecs, ne vivent pas en cité)

Identité grec= construction culturelle historique, produite principalement par la

nécessité de se distinguer des non-grecs (barbares)

II. QU’EST-CE QU’UNE CITE GRECQUE

Polis= cité constitué d’individus, autonome, lois indépendantes, définit la « politeia »
constitution, le régime et le mode de vie, présence d’institutions de diffèrent types
(monarchie, oligarchie, démocratie)

Asty= la « ville » autosuffisante, territoire créant des litiges. (Acropole/ Agora)

Chôra= la « campagne » domaine de l’agriculture, petit villages, moulins

Athènes : 2400km2 Sparte : 8500km2

Aristote estime que c’est le propre du genre humain de vivre en cité (zôon politikon), c’est
ce qui le différencie des autres êtres vivants. A l’exception des dieux qui sont supérieur.
Il existe des régions ou les peuples ne vivent pas en cités mais sont organisé en ethnos
(moins structuré)

III. LES SOURCES DE L’HISTOIRE GRECQUE

La littérature diverse, la poésie, l’Iliade (épopée homérique), Hérodote, Thucydide. Les
textes de l’époque classique viennent d’auteurs athéniens (prestige ultérieur) il est donc
difficile d’éviter une forme d’athénocentrisme. Seul une infime partie de la littérature
grecques à été retenue ou conservé.

Les sources épigraphique (pierre, métal, argile)

Les sources archéologiques (statue, monnaie, vase)

Les sources iconographique (image, peinture, sculpture) qui informe sur le quotidien, les
épisodes mythologiques (Olpé « chigi »)

Les sources numismatique (étude des monnaies)

IV de l’age de bronze à la mort d’Alexandre

Début de l’âge de bronze en Grèce 3000-1200 civilisation minoeme mycénienne

Mort d’Alexandre le grand 323

Hellénique (semblable à l’adj grec) diffèrent d’hellénistique (période)

Les siècles obscure 1200-800

Période archaïque 8e s-490 (première guerre médique)

Période classique 490-323 (mort Alexandre)

PARTIE 1 : LA GRECE AVANT LES CITES

Début de l’âge de bronze (alliage d’ethin et de cuire) = 3000

4 grandes aires culturelles distinguées entre 2700-2200 : Minoen ancien ; Helladique
ancien ; Cycladique ancien (figurine cycladiques) ; Culture maritime de Troie.

I PREMIERS ETABLISSEMENTS

Arrivé des Hellénophones, envahissement du monde égéen en partant de Russie (faux)

Catastrophe naturelle, trouble interne au différentes sociétés.

Palatiales (civilisation ayant des palais)

II LA CIVILISATION MINOENNE DE CRETE (2200-1375)

Nom tiré de Minos (roi mythologique de Crète).

Les palais minoens

2 périodes : 2200-1700 tps des premiers palais 1700-1375 tps des seconds
palais

Civilisation minoenne très peu guerrière, indice de défense (muraille, tours).

Palais : Phaistos, Knossos (13 000 m2), Malia, Zakros (3250 m2)= complexe palatiaux
zone habitations, stockage, lieu de culte.
Cours rectangulaire entouré de pièce sur plusieurs étages
Système politique et socioéconomique

2 hypothèses : chaque palais a sa forme d’indépendance, une influence politique propre

sur son territoire proche

Système plus centralisé (hégémonie de Knossos)

Civilisation minoenne (thalassocratie) trace matériel d’une maitrise des mers,

établissements minoens sur certaines iles (commerce), fresque de la flottille,

La chute des palais crétois

Vers 1450 tous les sites crétois sont détruit sauf Knossos qui sera détruit vers 1375.
Texte linéaire B retrouvé (écriture des mycéniens)

Minos, roi des minoens ?

Aucune preuve d’existence mais associé aux récits (minotaure) et il est rattaché a la
colonisation et à la thalassocratie. Flotte importante dans les mythes.

19/09

Thucydide, Histoire de la guerre de Péloponnèse.

Dans la démocratie athénienne être stratège est une magistrature. Thucydide est
considéré comme stratège. AU début de son œuvre, pour introduire son sujet il fait un
développement sur la puissance du monde grec et ses origine jusqu’à la richesse qu’il a
acquis. C’est une partie de son œuvre appelé archéologie (discours du commencement).
Ce sont les premiers chapitres de son œuvres. Thucydide est réputé pour sa rigueur.

Plutarque, Vie de Thésée

Plutarque est un citoyen romains venu de Chéronée. Les Moralia sont les œuvres moral
tel que les lettres, les dialogues, les traités à l’inverse des Vie parallèles d’où est issu
sont œuvre Thésée.

Comment ses deux auteurs nous disent connaitre les entreprises de Minos ?
Pour Thucydide c’est par la tradition orale alors que Plutarque se base sur les historiens
et mentionne aussi Euripide.

Quelles caractéristiques ?
Thucydide le représente par la flotte, la colonisation et ses actes contre la piraterie.
Plutarque lui donne un aspect plus cruel, individuel et psychologique.

Quelles différences ?
Plutarque fait ressortir un aspect mythologique avec l’intervention des dieux, des
oracles. Thucydide Minos pacifie la mer et s’enrichie, la vie deviens plus stable.

III LA CIVILISATION MYCENIENNE

Cette civilisation porte ce nom car c’est le plus ancien et imposant site fouillé. Ecriture
syllabique (1 caractère= 1 syllabe). Cette écriture a été déchiffré par Michel Vendris et
John Chadwick. Cette écriture demandé une grande compétence. Les marqueurs les plus
anciens sont les tombes collectives, les Tumulus, dans ces tombes ont à retrouvé des
diadèmes, des bijoux, des armes mais surtout le masque funéraire en or d’Agamemnon.
Cette tombe à été fouillé par Heinrich Schliemann en 1873. On trouve aussi des tombes
à Tholoy. Plusieurs grands palais voient le jour entre 1450 et 1200. Ils servaient de
résidence, d’entrepôts, de caverne. C’étaient à la fois des lieux politique, économique,
militaire. C’est cette aspect militaire qui discerne la civilisation mycénienne a la
civilisation méonienne. On connait mieux la société mycénienne grâce au tablette en
linéaire B. Le souverain Wanax à autorité sur la communauté rural, elle est appelée sur
les tablette le Damos (le peuple). Le wanax dispose d’un conseil des anciens nommée
geronsiai.

Mycène et Agamemnon Iliade

La disparition de l’usage du linéaire B et plus globalement de toute forme d’écriture pour

plusieurs siècles. Entrée dans la période des siècles obscures. On observe d’abord une
régression démographique considérable, on passe de 320 à 40 sites habités dans le
monde grec. L’usage de l’habitat en pierre disparait.

Régression de la sédentarité, des échanges et de la politique. Les petits chefs locaux

conserve difficilement leurs pouvoirs. Le bronze est réservé aux produits de luxe à cause
de la régression des échanges maritimes. On sort de l’âge de bronze pour passer à l’âge
de fer.

Une amélioration climatique permet de meilleures récoltes, un développement de

l’agriculture. Les sites recommence à être occupé après avoir été abandonner aux siècles
obscure. Le commerce reprend au 8e siècle avec l’orient. Vers 800 un comptoir Grec
apparait sur le site d’Al Mina.

L’écriture réapparait dans un élan culturel et cultuel. L’alphabet grec apparait.  Cet
alphabet était initialement au Phénicien. Les Grecs y ont ajouté des voyelles. La poésie
apparait avec Homer et Hésiode. Les œuvre de ses poètes devienne le patrimoine grecs,
on enseigné avec Homer, il était considéré comme père de l’éducation grec.

De nouvelles structures voient le jours au 8e siècle. Le sanctuaire se composé d’une

enceinte sacre Temenos, avec à l’intérieur un temple (statut de culte) et un autel (lieu de
sacrifice). Le 8e siècle instaure aussi les fêtes panhellénique (jeux olympique).

26/09

PARTIE 2  : Les cités grecques à l’époque archaïque

I APPARITION DES PREMIERE CITES

Les cités apparaissent au 8e siècle. Plusieurs critère archéologique définissent les

premières cité, c’est le regroupement de l’habitat, parfois marqué par une enceinte
urbaine (Smyrne), salle de conseil, la présence d’un sanctuaire central. Il existe une
divinité poliade. Un héros pour les Grecs est pour eux un personnage historique devenu
divin après sa mort grâce aux exploit s accomplie de son vivant (hercule). Les première
offrande sont réaliser, elle suppose qu’elle sont faites aux ancêtres d’une cité.

Les cause de la naissance de la cité fait débat. Le synœcisme représente le fait d’habiter
ensemble. Il y à une un passage à l’état, pour les athéniens c’est Thésée qui décide de
réunir les personnes.

Les historiens eux, expliquent l’apparition de cités par un accroissement démographique

couplé à une sédentarisation des populations. Menant au besoin de créé un centre
politique. D’autres pense que c’est une question militaire, pour gérer les différents
politique, renforcer les liens entre les hommes. Ce seront donc les guerriers qui auraient
mis en place les pratiques dans les cités.

La cité est un noyau urbain, un territoire de taille limité astu, asty ou chôra. Une cité est
une communauté d’individus, noble à l’organisation politique original. On y retrouve une
assemblé ecclesia, un conseil (à Athènes un boulé) ainsi qu’une magistrature arché. Un
nouveau type de rapport apparait, la ville et son territoire (chôra) s’intègre dans une
nouvelle et même perception économique, stratégique, politique. Chaque membre de la
communauté participe pour la cité. La cohésion s’exprime autrement que par la
généalogie avec des manifestation collective en faveur d’une même divinité protectrice
accepté par tout le monde.

II EXPANSION COLONIAL

Les Grecs fondent des apoikia (colonies), des état indépendants, à la différence des
colonies en Europe, les liens entretenue avec les terres colonisé se base pas surf une
domination total, la société ne tente pas d’imposer sa pratique religieuse. Les premières
vagues de colonisation touche l’Italie du sud, qui se renommera même la grande Grèce. Il
existes des colonies secondaire. Une deuxième vague de colonisation voit le jour entre
675 et 550.

Les historiens relève trois grands types de causes, le surpeuplement de la Grèce dû à

un manque de terre (sténochoria) ce qui peut engendrer des crises importantes lors des
récoltes. Les motivations politique jouent aussi un rôle dans la colonisation, On envoyer
parfois les mécontent faire une cité ailleurs, certains cas voulaient plus d’équilibre dans
les cités. Enfin les cités en crise voulaient atteindre des objectifs commerciaux, certains
besoin expliquent la colonisation notamment dans la recherche du bois.

Les colons désigné partait sous la charge d’un oikiste (celui qui part colonisé), le choix de
la destination dépendait souvent de la religion, Appolon conseillé aux déléguer de la cité
qu’elle cité aller fondé, comment s’y rendre. La colonisation était une entreprise risqué,
les colons suivait donc les directives des oracles pour s’assurer la protection des dieux.
Les colons partaient avec un navire au nombre de 100 à 200 personnes avec un équipage
composé d’hommes. La nouvelle cité resté indépendante de la métropole. Les institution
de la colonie était calqué sur ceux de leur cité mère (même dialecte, fête, dieux,
traditions). Le métissage était une nécessité pour fondée une colonisation. Les rapport
entre colons et indigène varié suivant les cités, certains s’allié et d’autre se dominé.
Plutarque, Vie de Thésée, 24, 1-4

Dans ce texte, on observe un synœcisme, Thésée est un démagogue, il est crain et

respecté. Thésée veut intégrer le principe d’isonomie (égalité des droits). Il fondent des
sacrifices communs, le Panathénée et celui des metoecia. Il élève une institution
commune à tous les athéniens et aboli la magistrature.

III LES MUTATIONS DE LA CITE A L’EPOQUE ARCHAIQUE

Le développement interne des citées est du aux crises sociales. Au 7e siècle des cité entre
en crise, c’est une crise Stasis (guerre civile). Elle s’inscrit dans le contexte de la
croissance économique mais trouvent ses origines dans une croissance d’inégalités dû
aux différents groupes sociaux (homme du peuple, pauvre, notable) entre les citoyens
libres et les non-citoyens (les esclaves…). Les grandes famille se proclame elle-même
agathoi (les bon), aristoi (les meilleures), elles détiennent le monopole d’une
magistrature. Les plus se sont enrichies et les plus pauvres se sont appauvries. Les plus
riches détiennent également le pouvoir politique ce qui crée des tensions.

La reforme hoplitique, les hoplite sont des soldats qui combattent en phalange (au coude
à coude). Une cohésion et une égalité d’armement était nécessaire et ne laisser pas de
place aux exploits personnels. Ce système à deux conséquences importante, en défendant
la cité on avait accès au rang politique, les hoplites devaient payer eux-mêmes leur
armement, les citoyens pauvres étaient donc exclus.

Cette crise politique a débouché sur 2 grands types de réformes. Des reformes juridique
et des reformes politique avec l’instauration de tyrannie.

Au 7e siècle les citoyens ont droit à un droit écrit pour inscrire des textes juridique. Ce
recours a l’écriture permet de fixer les lois et d’instaurer une publicité des lois (dans les
sanctuaires de Zeus, d’Appolon etc).
L’inscription de Dréros a été écrite en boustrophédon vers 600. Il souhait limiter le
pouvoir de certains individus en limitant le renouvellement des mandats, on ne peut être
Cosme que durant 10 ans.

Ces lois sont instauré par des législateurs, trois restent célèbre : Dracon, Solon et
Lycurgue. Leurs but sont d’obtenir, l’Eunomie (la bonne loi) qui permet la stabilité de la
cité, les crises ont tout de même perduré.

Les tyrannies sont caractéristiques de l’époque archaïque, il faut faire la différence

entre royauté et tyrannie, la tyrannie est aussi une monarchie, sont pouvoir est
considérer comme illégitime et non codifié. Les tyrans se déplacé toujours avec des
gardes du corps, il oppose à l’oligarchie mise en place en s’appuyant sur le demos
(peuple), on parle lors de tyrans démagogues. Ils règne par la violence avec une politique
d’épuration au seins des familles de l’élite. Les tyrans ne transforment pas les
institutions mise en place. Socialement les tyrans aidé les petits propriétaires qui les
avaient porté au pouvoirs. Ils avaient une politique économiques très dynamique,
l’activité commercial est stimulé. Ils sont acteur d’une forme de modernisation de la cité
(mesure fiscale). Les tyrans on ressouder le corps civique autour de cultes communs, ils
s’entouraient d’artiste et de savant.
Sparte n’a pas connu de tyrannie, il renversé les régimes tyranniques. Le phénomène
tyranniques à durée sur environ 3 générations.

PARTIE 3 L’ATHENES ARCHAIQUE, DE DRACON A CLISTHENE

I AVANT CLISTHENE : REFORMATEUR ET TYRAN

Les athéniens se considère comme autochtones (née de la terre elle-même). Cécrops

serait le premier athénien, née de Héphaïstos et Gaya. La cité d’Athènes est rester en
retrait du mouvement colonial, surement du à son entendu territorial, et à son
agriculture. Athènes à une assembler du peuple, des archontes (magistrats) au nombre
de 9 désigné parmi les Eupatrides (bien nés), un conseil d’ancien appelé les aéropage se
trouvant sur la colline Ares.

Athènes fait appelles à des législateurs : Dracon et Selon. Dracon établie des lois vers
621, notamment des lois criminel, il a instauré des procès, tous le monde subit les même
peine aucun traitement de faveur n’est accordé. Solon lui fait partie de l’élite de la cité,
c’est un archonte suite à un accord entre les aristocrate et le demos, on doit à son nom
deux mesures principales : l’abolissement des dettes et l’interdiction de l’asservissement
pour dettes. Les seuls esclave present à Athènes ne pouvaient être que des etranger
(esclaves marchandise).

Selon mets en place une hiérarchie fondé sur la richesse en créant 4 classes censitaire
solonienne

Les pentacosiomédimnes Revenu >= à 500 médimnes

Les hippeis (cavaliers) Revenues entre 300 et 500 médimnes

Les zeugites Revenues entre 200 et 300 médimnes

Les thètes Revenue en dessous de 200 médimnes

Solon met en place un Conseil des Quatre-cents, il prépare le travail de l’assemblé.

Composé de 100 membres par tributs (4 tributs).

Les eupatrides sont en conflits entre elles. Il y a un conflit interne et externe. Pisistrate
en 561 mets en place une tyrannies avec l’aide du peuple. Il meurt en 527 à l’arrivée au
pouvoir de ses fils Hippias et Hipparque.

Les premières monnaie caractéristiques d’Athènes apparaissent. Les Panathénées sont

restauré et des Grandes Panathénées ont lieux tous les 4 ans. La tyrannies évolue à sa
mort. Ses fils sont beaucoup moins bien accepter, en 514, Hipparque est assassiné par
Harmodios et Aristogiton (pour des histoires politique ou encore amoureuse). Les deux
assassins vont être héroïsé et vue comme des symboles de la lutte contre la tyrannie. Un
culte leur est dévoué (statuts, vases etc). L’assassinat à été raconter en détails par
Thucydide dans Histoire de la guerre de Péloponnèse, VI 57-59

Après la mort de son frère Hippias gère seul le pouvoir. En 510 Clisthène reçoit l’aide de
Delphes, et Athènes et libéré des tyran, Hippias s’enfuie.

Au retour de la statis un conflit oppose Clisthène et Isagoras. Le temples de Delphes qui

à brulé en 548 est restauré par les clisthéniens. Isagoras faisait aussi partie de l’élite de
la cité, en 508 il devient archonte de la cité. Clisthène propose donc un programme
territorial rationnelle en réorganisant complètement l’espace de la cité en répartissant
l’ensemble de la population au seins de 139 dèmes (unité administrative, petites
collectivité local) de tailles et de populations inégales. Les dèmes deviennent les lieux
d’enregistrement des citoyens âgé de 18 ans. Le démotique sert à désigné un citoyen
(Périclès fils de Xanthippe, du dème de Cholargos). Tout individus se rattache au dème
de ses ancêtres au siècle de Clisthène.

Clisthène partages les dèmes en 3 régions géographiques : Astu : Athènes et ses

environs ; mesogeia : l’intérieur ; paralia : la cote
Chacune de ses 3 régions et divisé en 10 zones 3O trittyes
Clisthène instaure 10 tributs, chaque tributs comprend 1 trittye des 3 grandes régions.
Les trittyes sont très éloignés les unes des autres géographiquement.

Aristote née à Pella en Macédoine. Il vient étudié à Athènes. Il suit l’enseignement de

Platon à l’académie jusqu’à la mort de Platon. Il quitte Athènes et devient le précepteur
du jeune Alexandre.

12. Aristote, Constitution des Athéniens, XXI

La citoyenneté est redéfinis, de nouveaux citoyens sont introduits, le corps civique

s’élargie et la population est redistribuer avec les trittyes et les tributs. La reforme
bouleverse autant qu’elle fixe la cité.

La création de la Boulé (les bouleutes) qui remplace le conseil des Quatre-cents est un
conseil de 50 membres par tribut, tirés au sort pour un an, âgés de plus de 30 ans, il ne
peuvent l’être que deux fois dans leur vie.

III LA REFORME DE LA DEMOCRATIE

Hérodote écrit que la démocratie est à son pleine épanouissement. A la réforme

clisthénienne le terme de démocratie n’existe pas encore. On parle d’isonomie, un
partage égal des charges politiques (tout citoyen a vocation de participé à la vie
politique), cette participation reste néanmoins encore théorique jusqu’à la moitié du 5 e
siècle pour parler de réelle démocratie. Clisthène conserve tout de même certaines
institutions, les institution ancienne telle que les guéné qui sont des associations
religieuse détentrices d’un sanctuaire fournissant des prêtres, les phratries qui sont des
association de famille fondé sur une parenté fictive célébrant les événements de la vie
individuelle des membres Apatouries (mariage, naissance etc) reste en dehors du cadre
de la réforme. Malgré ses réserves c’est par ses reformes que les conditions de la
démocratie ont été fondé. Dans les années suivante on observe d’autres reformes qui
stabilisent le régime.
 Il y a une série d’innovation, une mesure défensive, l’ostracisme qui protège le régime
d’un retour à la tyrannie ou l’influence excessive d’un seul personnage dans la société,
cette loi est appliqué pour la première fois contre Hipparque en 488. A l’assemblé un vote
à main levé demander au peuple s’il souhaiter procéder à un ostracisme. Si la majorité le
voulait un second vote anonyme décidé de la personne visé. Les votes étaient à l’écrit sur
des tessons de poterie. Le nom revenant le plus souvent était bannit 10 ans du sol
athéniens. Au bout de sa peine l’ostracisé pouvais rentré est retrouvé tous ces droits.
Les hommes politiques les plus populaires étaient les plus visé.

Les mesures offensive réorganisation des magistratures en limitant l’influence des

grandes familles. Des stratèges ont été mis en place au nombre de 1à avec un stratège
par tribut. En 501 les stratège étaient élu par les citoyens à l’assemblée. C’était une des
rares magistrature elictible. Les stratège devant dans un but premier dirigé l’armée puis
ils sont devenu des figures politiques, dépassant les archontes. Les stratège tire leur
légitimité de l’élection pat l’assemblée, ils étaient souvent choisi parmi les citoyens les
plus riches.

La reforme de l’archontat, d’après Aristote, les archontes vont être tiré au sort en 487
dans chaque tribut sur une liste de 100 nom parmi les membres des 2 premières classes
censitaire. Il deviendront les principaux leader de la société. Limitant l’influences des
principales famille aristocratique de la société

PARTIE 4 LES GUERRES MEDIQUES

La guerre (polemos). Les cité grecs sont en guerre les une contre les autre du à des
conflit territoriaux, à l’esprit de compétition (esprit agonistique). Chaque citoyen est en
droit et en devoir patriotique de défendre sa cité. La guerre contribue à l’identité des
cités. Les guerres médiques sont des guerres contre un adversaire non grecs qui
auront des conséquences.

Les mèdes sont un des peuple qui compose l’empire Perse.

Ces guerres ont lieux au début du 5e siècle (490 ; 481/478). Ces guerres montre la
puissance de Sparte et Athènes. Les guerres sont célèbrent pour avoir trouvée leur
historien Hérodote (485-425). Les histoires d’Hérodote racontent les guerres médiques.
Hérodote est lui-même issus d’une cité dominé par la Perse. Il s’installe à Athènes pour
écrire Historia (l’enquête) qui traite des causes et du déroulement des guerres médiques
en 440. Il veut conservé la mémoire des faits accomplie par les Grecs et les barbares.

A l’origine de l’empire Perse on trouve les mèdes et les perses, qui en 550 sont unis par
Cyrus le Grand. Cyrus entreprend a la suite une conquête, il met la mains sur les cités
grecs d’Ionie. Cambyse et Darius 1er ses successeur poursuivent ses idées de conquête,
faisant de l’empire Perse une énorme constitution politique. Ces deux principales capital
deviennent Persépolis et Suse. L’empire lui-même est divisé en une 20aine satrapies
dirigé par un Satrape chargé de maintenir l’ordre, de fournir un tribut (impôts) et de
lever des troupes en cas de guerre. Le roi Perse appelé le grand roi dispose de ressources
conséquentes (militaire, financière etc). Le monde Perse est en contacte étroit avec le
monde Grecs, Ionie est une partie des Ile de la mer Egée font partie de l’empire Perse. La
domination Perse reste toujours indirecte. Pour surveillé les cité grecs, les Perse place
des Tyrans chargé du maintien de l’ordre, le tyrans sont placé sous le contrôle du
Satrape. Ce système fonctionne quelques décennies avant que les Grecs de Ionie
finissent par se révolter (révolte de Ionie 500-494) après l’alourdissement des tribus.

Les habitants de Milet font appelle au grec qui ne sont pas sous domination Perses, aidé
par Athènes et Erétrie. Ils retirent assez rapidement leurs troupes, la révolte est écrasé
en 494 avec la prise de Milet, réduisant sa population en esclavages. Après quelques
années les forces Perse se lancent à l’assauts des cités grecque d’Europe, c’est la
première guerre médique.

Selon Hérodote les Perse font cela pour venger l’incendie de Sartre, les historien pense
eux, que c’était pour contrôler la mer Egée pour la sécurité de l’Asie mineur. En 492 la
première expédition à lieu, elle permet de soumettre la Thrace et la Macédoine. Darius
envoie des messager pour demander la terre et l’eau (soumission). Certaines accepte,
d’autre refusent, notamment les Athéniens, les Spartiate et les Erétriens. Une nouvelle
expédition est mise en place avec une flotte de 20 000 hommes et toute autant en
cavalerie, dont Hippias. La population de Erétrie sera détruite et verra sa population
réduite à l’esclavage, dans les autres villes les Perse se contente de prélever un tribut et
soulever des troupes. Ils s’arrêteront à Marathon ou un affrontement aura lieu entre les
Perse et l’armée d’Athènes. Pour les Perses on compte environ 20 000 perses et de l’autre
coté 9 000 athéniens et 1 000 Platéens (dirigé par Miltiade). Malgré l’infériorité des
Grecs, c’est eux qui remporteront la batailles. D’après Hérodote on aurait 7 000 morts
chez les perses et 200 chez les Grecques. Le nom marathon vient du fait d’avoir envoyé
un messager pour porté la nouvelle de la victoire au Athéniens.

Après la défaite, les Perses essaie de prendre Athènes en débarquant à d’autre endroit, il
reprendront tout de même la mer pour la Perse face a la défense hostile d’Athènes.

Coté Perse, malgré la défaite les expéditions sont une réussite avec la soumission d’une
grande partie des iles et des cité. Coté Athéniens, Marathon est un immense succès,
devenant un mythe durant toute l’époque classique avec des textes parlant es
Marathonomaques (combattant à Marathon). Athènes exploitent cet épisode pour se
poser en gardienne de la liberté des Grecs, un tumulus funéraire serait élevé pour les
morts a Marathon. La victoire sera fêté au sanctuaire de Delphes. Les athéniens devront
élevé le trésors des athéniens commémorant la victoire de Marathon.

Après la première guerre médique, les grecs reprennent leurs rivalité, comme avec
Athènes et Egine (l’ile d’en face) qui est une grande puissance navale. Athènes cherche
donc à se doté d’une marine pouvant rivaliser contre celle d’Egine. En 483 on découvre
des mines. Thémistocle convint l’assemblé de consacré ces nouveau revenu a la création
d’une flotte de 200 trières (navires).

La seconde mer médique

A la mort de Darius, Xerxès arrive au pouvoir. Il décide de mettre au point une

expédition de bien plus grande ampleur. L’armée est commandé par Xerxès lui-même
constituant un danger pour l’ensemble du monde Grecs. Hérodote estime les troupes à 5
millions d’homme pour les Perses.

La menaces étant importantes, les cités grecs s’allient (Symmachia) à 31, commandé par
Sparte contre la Perse. Le passage est bloqué a Thermopyles, empêchant le passage des
Perses et annulant leur avantages numérique. Les Perses forceront le passage grâce à la
trahison d’un grec leur donnant un moyen de contourné la route. Les Grecs sont obligé
de battre en retraite en ayant sacrifié 300 spartiates commander par Léonidas
permettant au grecs de se retiré.

Hérodote dans Histoire VII insiste sur le nombre des barbes qui est conséquent. Malgré
leur supériorité numérique les barbares doivent être fouetté pour aller au combat. La
valeur des Grecs et spartiates est mise en avant. On à une opposition entre une armée
d’esclave et une armée d’homme libre. Léonidas meure en héro. Les guerrier certes ont
une part d’anonymat à la différence des guerriers grecs. Hérodote veut connaitre
personnellement les noms des grecs mort au combat pour qu’ils ne tombent pas dans
l’oubli.

● La première campagne (481-480)

La batille de Thermopyles consisté à stopper les perses pour leur retiré leur avantages.
Après cette bataille les Perses accèdent à la Grèce central et de se diriger vers l’Attique.
Athènes hésite entre abandonner la cité ou se battre depuis les remparts. Ils consultent
donc la Pythie à Delphes qui leur parle de remparts de bois. Les femmes et les enfants
sont évacué vers l’île d’Egine pendants que les hommes vont rejoindre la flotte sur l’île de
Salamine. C’est la première bataille navale, Artémision.

La cité abandonner va être prise et son acropole incendié. Une autre bataille navale à
lieu quelques jours plus tard, remporté par les Athéniens à Salamine malgré leurs
infériorité numérique face au perse et leur 200 000 navires.

Pour combler leur infériorité Thémistocle repend une rumeur pour attirer les perses
dans un passage trop étroit, les navires s’entrechoquent les grec donne l’assaut.

● La deuxième campagne

La cité va de nouveau être attaquer et évacué, l’attaque est donné par Mardonios. A
bataille est terrestre, 35 000 homme grec contre quasiment le double chez les Perses. Le
général Mardonios mourra lors de cette bataille de Platée.

Un trépieds de Platée va être ériger.

● Contre-offensive grec

L’armée grecs va libérer plusieurs cité, notamment celle des grandes île près de l’Asie
mineur (Chios, Lesbos, Samos). Une bataille navale aura lieu a Mycale sous la direction
de Xanthippe en 479. En 478 le pont de bateau Perse est détruit sur l’Hellespont. La
ligue de Délos est créé par la cité d’Athènes. C’est une nouvelle alliance militaire pour se
protéger contre de nouvelles invasion Perse.

Bilan contrasté
● Sur le plan politique

Pour l’empire Perse, la bataille de Marathon n’a aucun impacte. L’expansion est
neutralisé. Pour les grecs, qui n’ont jamais opposé de résistance au Perse de façon
unanime, certaines cité étaient même alliées au Perse. Les conséquences politique sont
importante pour Athènes avec la Thalassocratie athénienne. La puissance Athéniennes
remplace la puissance Perse dans la mer Egée et sur les cités grecs de l’Asie mineur. En
478 Athènes devient donc la cité la plus puissante notamment grâce a la ligue de Délos
qui devient l’instrument de l’impérialisme athéniens. Les guerres médique apporte la
démocratisation grecs, le peuple de rameur (classe les plus pauvre) sont mis en avant.

Au 5e siècle deux types de démocraties s’opposent, les hoplites (partie aisé) et les
rameurs (plus modeste)

● Sur le plan imaginaire

Sur le plan imaginaire, les guerres médique fige l’image du barbares qui désigné à
l’origine les populations ne parlant pas grec, après le conflit, le monde barbares devient
par opposition au monde de la cité, de la liberté (eleutheria), du luxe et de la démesure
(hubris) un anti-modèle. Les guerres médique apporte une prise de conscience sur l’unité
du monde grec. Les monde Perse et Grecs ont toujours été liés. Les Perses ont des
savants et des médecins grecs. En 471 Thémistocle est ostracisé. Les aristocrates perse
en disgrâce, se refugié chez les grecs.

Eschyle, Les Perses, est du genre théâtrale, ce genre apparait fin du 6e siècle, il se
compose d’un chœur et d’acteurs. Les acteurs sont masqué et exclusivement masculin. Le
théâtre était composé en Vers, les deux genres principaux sont la tragédie et la
comédie (références actualités). Des concours théâtraux avaient lieux pendant les
Grandes Dionysies (fête). Eschyle (525-456) est un des trois grands tragiques athéniens
avant Sophocle et Euripide. Il a composé 70 tragédies, seulement 7 nous sont parvenus.
Il a participé à la bataille de Marathon et de Salamine. Les Perses est une pièce de 472,
qui parle de Xeres et de la bataille de Salamine. C’est le seul cas qui conserve les fait
tragique historique. C’est une pièce du point de vue des Perses qui raconte attente de la
Reine Atossa, la mère de Xeres et veuve de Darius, pour connaitre l’affrontement et son
issu.

Thémistocle met sa ruse en place. Xeres positionne son armé pour accueillir les grecs qui
tante de s’échapper. Révélation de la présence des grecs prêt à attaquer. Engagement
des combats. Terrains trop étroit, flotte trop nombreuse. Description de l’affrontement
des navires. La défaite Perse est du à la démesure de leur chef trop confiant. Opposition
entre l’unité des grecs et leur valeur avec les barbares.

PARTIE 5 DEMOCRATIE ET VIE POLITIQUE A ATHENES AU V

SIECLE

Après les guerres médique, le système mise en place par Clisthène et devenu
indiscutable à Athènes. Les bases ne seront plus mise en cause par la suite. Désormais
les querelles politique vont opposer deux clans : ceux qui veulent en rester la
politiquement et ceux qui veulent toujours plus de démocratie.

L’affrontement à plusieurs phases.

L’évolution intérieur d’Athènes après les guerres médiques

● Les clivages politiques

On a d’un coté l’élite conservatrice, avec des hommes riches de haute naissance,
l’aristocratie, les archontes. L’influences des aristocrates passe par Aréopage (anciens
archontes). L’institution conserve le pouvoir de l’influence sur les lois qui sont votés.
C’est un pouvoir de véto.

Les 2 principales figure de ce courznt sont Aristide, ostracisé en 482, qui fait partie de
l’élite et Cimon, le fils de Miltiade qui est vainqueur du Marathon

De l’autre coté on a le camp des démocrates avec la figure de Thémistocle issu de famille
prestigieuse, vainqueur de Salamine.
Malgré les divisions, ils viennent de milieux similaire.

En 431 la guerre de Péloponnèse débute. En 471 Thémistocle est ostracisé.

● L’époque de Cimon

Il est d’origine Thrace par sa mère et hérite du prestige de son père. Il domine en la vie
politique a partir de 471. Il se sert du cadre de l’alliance de Délos. Il recrute un grand
nombre de marin dans la 4e classe censitaire. Cimon finance donc les citoyens pauvre, et
leur permet d’améliorer leur condition avec le système des clérouquies qui sont des
colonies militaires qui reçoivent un lot de terre contre le fait de garder militairement la
zone oû ils sont installé.

Avec la ligue de Délos, chaque cité paye un tribut (phoros) mis en commun pour servir à
la défense. Cimon va utiliser cette argent pour reconstruire Athènes et faire des travaux
d’embellissements de la ville. C’est la dimension sociale de la politique de Cimon,
employer des citoyens pauvre en priorité sans pour autant favoriser leur intervention
directe dans le champ politique.

La domination de Cimon se craquèle en 463 avec des échecs militaires, des scandales.

● Les reformes d’éphialte (462)

Le camp démocratique était dominer par Ephialtes (stratège riche)

En 464 il y a un séisme en Laconie et une révolte des Hilotes à Sparte. Les hilotes sont
une classe particulière d’esclaves à Sparte. Les spartiates appelle Cimon a la rescousse,
Cimon et les plus riches Athéniens viennent réprimer la révolte, ce qui laisse de l’espace
à Ephialtes. Il fait passé une lois qui transfère les pouvoir de l’Aréopage vers la Boulè et
vers l’Héliée. Ces institutions étaient ouvertes à tous les citoyens sans conditions.
L’Aréopage conserve les affaires religieuse et les crimes de sang, mais perd la procédure
de eisangelie (haute trahison) qui jugé les crimes les plus graves. Par ces reformes
Ephialtes s’attaque au pouvoir démocratique. Quand Cimon revient de Sparte, il tente
d’attaquer le décret de ses reformes mais il se fait ostracisé de la cité. Les démocrates
plus radicaux ont donc mains libre sur la cité.

Les privilèges des plus riches prenaient fin, la souveraineté du peuple était atténué.
Après les reformes Ephialtes est assassiné et Périclès deviens le principale homme
politique de la cité poursuivant l’œuvre d’Ephialte.