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Quand La Place Fait Oeuvre D'art

Ce document est le résultat d’un travail d'idée en planification urbaine pour la requalification de la place publique, un travail tenu à Oran en 2016. L’étude s'intéresse à l'architecture, et tout particulièrement à la revalorisation et du rôle de la place urbaine. Cette recherche met en avant deux critères permettant de mesurer l'atteinte des objectifs de l'architecture quant aux enjeux propres à la reconstruction de cet espace public, et qui sont l'exigence de créer, un lieu de rencontre.

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Quand La Place Fait Oeuvre D'art

Ce document est le résultat d’un travail d'idée en planification urbaine pour la requalification de la place publique, un travail tenu à Oran en 2016. L’étude s'intéresse à l'architecture, et tout particulièrement à la revalorisation et du rôle de la place urbaine. Cette recherche met en avant deux critères permettant de mesurer l'atteinte des objectifs de l'architecture quant aux enjeux propres à la reconstruction de cet espace public, et qui sont l'exigence de créer, un lieu de rencontre.

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Quand la place fait œuvre d’art

Ce document est le résultat d’un travail d'idée en


planification urbaine pour la requalification de la
place publique, un travail tenu à Oran en 2016.
L’étude s'intéresse à l'architecture, et tout
particulièrement à la revalorisation et du rôle de la
place urbaine. Cette recherche met en avant deux
critères permettant de mesurer l'atteinte des
objectifs de l'architecture quant aux enjeux propres
à la reconstruction de cet espace public, et qui sont
l'exigence de créer, un lieu de rencontre et de
convivialité, aussi l’importance d’introduire la
végétation dans cet espace. Le livret comporte des
textes accompagnant chaque proposition, et une
lecture de l'espace urbain des plans et des
projections 3D. Les résultats de la recherche
mettent en lumière deux modalités de traitement qui
constituent, reconstruire un espace public surchargé
sur le plan artistique et inclure des éléments naturels
dans cet espace.

Choukchou Braham Fatiha


Quand la place fait œuvre d’art

Choukchou Braham Fatiha


Sommaire

o Préface
o Introduction ……………………………………………………………….1
o Mise en contexte………………………………………………………….3
o Dynamique du parcours………………………………………………….7
Mobilité douce, une priorité…………………………………………….15
o Lieux désaffecté, perte d’usage………………………………………..21
La « friche culturelle », un nouveau rapport de l’art à la société….23
o Ville et nature……………………………………………………………..27
o La place publique, quelques définitions……………………………….29
o Une place pour tout le monde?........................................................31
o Le biomorphisme…………………………………………………………37
o Documents graphiques………………………………………………….51
o Conclusion ………………………………………………………………..57
oBibliographie………………………………………………………………59
Préface
Introduction

L’espace public est multiple par sa forme. Il est place, Afin d'éclairer le rôle de la place publique urbaine, il
jardin, square ou esplanade. Il est aussi rues, faut mettre en évidence les relations entre le
boulevards ou avenues, des parcours structurant de la concept de la place, les pratiques sociales actuelles
ville. se déroulant sur la place et sa spécificité
architecturale. Il s'agit donc d'interroger les relations
Il est avant tout social et culturel. C’est un espace de réciproques entre les pratiques sociales et le cadre
sens, de matière, de temps, d’usages et de forme, qui architectural et urbanistique et de réfléchir aux
est synonyme de paysage vécu et de paysage conditions d'une émergence de l'urbanité au sein de
commun des citadins. Aucun de ces aspects ne doit et la place publique. De ces questions préliminaires,
ne peut être négligé au risque de créer des lieux sans nous dégageons trois différentes dimensions
histoire et sans âme qui sont alors rejetés par la propres à l'espace public que nous appelons
population ou deviennent le siège de tensions l'usage, la forme et la fonction– qui déterminent les
exacerbées. conditions d'une émergence de l'urbanité dans la
place publique.
Selon Robert Krier, « la ville peut seulement être
reconstruite sous la forme de rues, de places et de
quartiers…Les rues et les places doivent avoir un
caractère familier et permanent.» (Dictionnaire
Wikipedia)

1 2
Mise en contexte

Le site de la place publique offre une occasion de


planifier la transformation des espaces urbains et de
profiter de la position privilégiée de cette place
publique, soit à l’intersection de deux axes
importants : le boulevard Emir et la rue
Mostaganem. Le premier, reliant le site à la place du
1er novembre; et le deuxième, abritant une ligne de
tramway, reliant l’est de la ville d’Oran au centre
ville.

Le site comprend deux friches, une militaire et


l’autre industrielle qui est l’Etablissement Louis
Billard, une entreprise de quincaillerie, vente et
construction de matériel agricole. La réhabilitation
de ces deux dernières est l’occasion de recréer des
lieux de vie locaux pour les habitants de ce quartier
ou issus d’autres quartiers.

3 4
Dynamique du parcours
Dynamique du parcours

« Le piéton n’est pas simple à


appréhender, à gérer, ni
même à canaliser sur un
espace public ou privé.
D’abord parce qu’il est
multiple. Et parce que la
marche n’est pas seulement
un mode de déplacement !
Contrairement aux autres
modes, elle peut se passer de
motif : le piéton s’arrête,
stationne et flâne, voire
vagabonde » [1] Véronique
Michaud et Blanche Segrestin.
La marche au cœur des
mobilités

La rue Marcel Cerdan, vue depuis le BD Emir


7 8
Selon Théo van Doesburg « Pour l'architecture
nouvelle, la couleur a une importance considérable;
elle est un des éléments essentiels de ses moyens
d'expression. C'est grâce à la couleur que les
rapports des volumes, recherchés par l'architecte,
deviennent visibles; ainsi la couleur complète
l'architecture et en est un élément essentiel. » [2]

faire un espace piétonnier de la rue Marcel Cerdan


entre la place Hoche et le boulevard Emir est un fait
qui s’impose

Pour réaliser cela l’intégration de la couleur dans


l’aménagement de la rue structure la géométrie de
l’espace construit et permet sa diversité, sa
singularité, mais également son renouvellement et
son enrichissement.
Avec les jeux de la couleur, des formes et de la
lumière, la rue possède, « un sens supplémentaire »

9 10
« En règle générale, la
couleur est donc un
moyen d'exercer une
influence directe sur
l'âme. La couleur est la
touche. L'œil est le
marteau. L'âme est le
piano aux cordes
nombreuses. L'artiste
est la main qui, par
l'usage convenable de
telle ou telle touche,
met l'âme humaine en
vibration. Il est donc
clair que l'harmonie des
couleurs doit reposer
uniquement sur le
principe de l'entrée en
contact efficace avec
l'âme humaine. Cette
base sera définie
comme le principe de la
nécessité intérieure. »
[3]

11 12
Parfois l’appropriation de l’espace se fait
inconsciemment, car l’usager s’y reconnait des
conduites qui assurent un maniement affectif et
chaleureux, or la froideur d’un lieu mène toujours à sa
désappropriation .c’est le cas de la rue Audebert dont
le bouquiniste s’approprie une portion de la rue alors
que l’autre portion reste inanimée vue la présence de
la friche militaire qui longe toute la rue

Notre intervention consiste a réanimer cette rue et


permettre à l’usager de s’approprier l’espace en
préservant la permanence de l’usage.

le long de la rue adopte des café littéraires, des


librairies et un restaurant à l’intersection avec le
boulevard Emir

13 14
La mobilité douce, une priorité
« Bienvenue ici. Ici avec vos pieds, ici
avec vos oreilles » (Radio Grenouille,
Julie de Muer) [4].

15 16
l’arrivée du tramway dans le centre ville a
contribué au développement d’une mobilité
piétonne importante au niveau du boulevard
Emir., alors qu’il a engendré la perte d’usage au
niveau de la rue Mostaganem et sa
déshumanisation.
La mise en relation entre l’environnement
urbain et la marchabilité permet de mettre en
exergue combien la configuration des espaces
entraîne une pluralité des pratiques de la
marche.
Les itinéraires empruntés dans le quartier se
révèlent être fort différents selon l’identité du
marcheur : passant ou résident. En mutation
constante.
Il faut considérer la mobilité douce comme le
troisième pilier du transport de personnes, au
même titre que le transport individuel motorisé
et les transports publics.

17 18
« Il est fondamental de considérer les usagers et les
usages comme la base de travail pour améliorer les
espaces publics »[5]

19 20
Lieux désaffecté, perte d’usage
Lieux désaffecté, perte d’usage

Pour les historiens, une friche


industrielle constitue un objet
d’études intéressant, car à travers
elle, ils peuvent tenter de
reconstituer non seulement l’histoire
d’un site industriel mais aussi la
mémoire ouvrière d’un établissement
productif, voire de tout un quartier.
Une friche industrielle ou urbaine
sera alors perçue comme une sorte
de témoin d’une époque révolue.
Le processus de désindustrialisation
s’accompagne du bouleversement
d’un style de vie rythmé par l’activité
des industries, autrefois nerfs de ces
villes et creuset d’une culture
ouvrière forte.
Ancien Etablissement Louis Billard, une entreprise de
quincaillerie, vente et construction de matériel agricole

21 22
La « friche culturelle », un nouveau rapport de
l’art à la société

En composant avec les espaces en friche, reflets Utiliser le territoire comme support de projets
des résidus d’une activité économique fertile, notre artistiques permettant de constituer des relations
intervention tente de les transformer en nouveaux avec les habitants est une expérimentation
terrains d’expériences, en « lieux des sociale qui renouvelle alors les processus de
possibles »[6]: fabrication de la ville comme les mondes de l’art
« L’art advient toujours à l’endroit où on l’attend le [9]
moins. Il n’occupe pas une place, au contraire, il
libère des espaces, ouvre des horizons qui seront
d’abord considérés comme marginaux, pour
finalement renverser notre rapport à la norme. »
[7]

Les espaces délaissés semblent ici convenir, par


leur nature même, aux besoins d’espace et
d’organisation exprimés par les artistes[8]. Ce qui
nous importe de cette friche industrielle est la
configuration de ce lieux, mais également les
circonstances historiques et les transformations
sociales et urbaines qui l’ ont conduits à se trouver
dans son état actuel.

23 24
Ville et nature
Ville et nature

«II faut regarder une ville comme une forêt. Les rues
de celle-là sont les routes de celle-ci et doivent être
percées de même. Faisons l'application de cette idée
et que le dessin de nos parcs serve de plan à nos
villes. » Laugier « Essai sur l'architecture », Paris
1765 ¹ [10]

La végétation est de plus en plus désirée par les


urbains pour leur permettre de supporter la ville, de
l'accepter dans leurs pratiques et usages quotidiens.
Les espaces verts sont des lieux de détente et de
récréation, prisés par les citadins (Emelianoff, 2007;
Da Cunha, 2009). Les apports de la végétation sont
indéniables : elle est une source de bien-être et de
plaisir.

Le citadin éprouve le besoin de nature qui s’exprime


dans la ville de multiples manières, au travers des
parcs et jardins, de l’attrait pour les oiseaux, de la
recherche des animaux de compagnie. À la racine de
ce besoin se trouve un imaginaire de la nature
apaisante, poumon du citadin, porteuse de valeurs
positives. La nature est sur le balcon, la terrasse, le
toit et le mur végétalisé, dans le quartier avec ses
squares et jardins, dans la ville avec ses coulées
vertes.
Le square Garbe

27 28
La place publique, quelques définitions

Dérivée du mot latin « platea » qui signifie rue large


ou place. Cette dernière est née de la nécessité de
se rassembler, se rencontrer, conserver, négocier,
assister à un évènement, dans un centre
administratif, religieux ou commercial de la cité
antique. Une place pour tout le monde?
Depuis des siècles, la définition de la place est
fondée sur différents aspects : fonctionnel, formel,
émotionnel et informationnel Selon Bertrand et
Listowski [11], « la place est un large espace
découvert auquel aboutissent plusieurs rues de la
ville. »
Quant à Denis Delbaere la définit comme étant «une
forme bien définie, dont le pourtour est clairement
dessiné par un encadrement architectural largement
planifié. Une implantation en cœur de la ville, à la
croisée d’axes de circulation importants, et à
proximité immédiate des grands édifices accueillant
l’essentiel de la vie sociale ……les citoyens
pouvaient s’y rassembler librement et gratuitement,
pour y échanger biens, opinions et informations ».
[12]

29 30
Une place pour tout le monde?

Aujourd’hui, la place concernée par le projet est


perçue comme un lieu de convergence ou de
divergence, les places ont pourtant un rôle
nécessaire dans la vie citoyenne de la ville.

Pour Yoshihara Akiko, de l’Institut d’urbanisme de


Paris, « la place est à tout le monde, on peut se
l’approprier – se sentir chez soi –, cependant elle
n’appartient jamais à personne ». [13]

Malgré les potentialités que présentent la place


dont la planéité et le dégagement, l’absence du
véhicule qui offre une place sécurisante à l’usager,
ce dernier ne l’approprie pas.

L’appropriation de la place peut éventuellement


changer au cours de la journée, de la semaine ou
de l’année et suivant sa répartition spatiale. Une
partie de la place peut notamment devenir semi-
publique par des occupations des acteurs
économiques (commerçants, restaurateurs).

31 32
« La ville, le village, le quartier, la place, le jardin, la rue Confronter le passant à des formes
doivent être considérés comme des œuvres d’art »[14] nouvelles : une fresque murale, une sculpture

33 34
Le biomorphisme
Le biomorphisme

L’art biomorphique est « un art abstrait où les formes


et les masses sont abstraites de préférence des
objets animés plutôt que des objets géométriques
inertes ». Les formes biomorphiques ou organiques
sont reliées aux processus naturels ; elles permettent
à l’artiste d’explorer le monde naturel sans le
représenter directement. Les œuvres d’art
résultantes sont caractérisées par des formes
organiques, des figures curvilinéaires et des images
abstraites rappelant les formes de vie sous marine et
microscopique. Reprenant les questions
fondamentales posées par les historiens et
théoriciens de l’art comme Alois Riegl ou Alfred Barr,
le terme biomorphique caractérise un langage
artistique formel particulier. Dans un texte écrit pour
l’exposition de 1936 sur « le Cubisme et l’Art Abstrait
» Barr écrit : « L’abstraction organique ou
biomorphique relève de l’intuition et de l’émotion
plutôt que de l’intellect …. Elle est curviligne plutôt
que rectiligne, décorative plutôt que structurale et
romantique plutôt que classique dans son exaltation
du mystique du spontané et de l’irrationnel, la plaçant
dans la tradition non géométrique de Gauguin et de
l’Expressionnisme. ».

37 38
Le courant principal de l’art moderne étant non figuratif et
ne prêtant que peu d’attention à la nature, les historiens
d’art considèrent en un sens comme une anomalie
l’inspiration organique de certains artistes d’avant garde
comme les sculpteurs Hans Arp, Constantin Brancusi,
Max Ernst ou les peintres Paul Klee, Pavel Filonov, Arthur
Dove, Georgia O’Keeffe , comme une résurgence du
romantisme ou une influence de l’ésotérisme. Il n’en est
pas moins que l’entre deux guerres verra se développer
une production biomorphique sous l’influence du
surréalisme et avec des artistes comme André Masson ou
Joan Miro. Cette mouvance a été étudiée par Guitemie
Maldonado dans un ouvrage récent : « Le cercle et
l’amibe. Le biomorphisme dans l’art des années 1930 »
CTHS-INHA , Paris, 2006.
Le biomorphisme et sa diffusion, à tous les champs de la
création (peinture, sculpture, photographie, design et
architecture), pendant l’entre-deux-guerres est une
tendance transcourants repérable par des formes
irrégulières aux contours souples et porteuses
d’associations physiques autant que psychiques. Sur
cette base, des regroupements s’opèrent qu’interdisent
les catégories usuelles et la polarisation du débat d’alors
entre abstraction et surréalisme.

39 40
Le biomorphisme y dessine une voie alternative
qui, tout en étant contemporaine de la lecture
formaliste de l’art moderne - en particulier par
Alfred Barr -, contrebalance sa rigidité sur le
mode de l’entre-deux et de l’oscillation entre
recherche formelle et analogie créatrice, entre
autonomie de l’art et référence au réel. Une telle
position s’avère des plus riches à la lumière des
propositions des artistes, en particulier
américains, des années 1940, comme Jackson
Pollock ; elle permet également de jeter un autre
éclairage sur les années 1930 et de donner
toute son ampleur à cette période
communément dite 4 de transition. Expositions
et publications témoignent de ce biomorphisme
en particulier vivant dans l’architecture : Guenter
Feuerstein « Biomorphic architecture : human
and animal forms in architecture » Axel Meyers
2002

Action painting, Jackson Pollock

41 42
La ligne courbe, libre, sinueuse pour
créer la forme irrégulière du café. La
ligne courbe symbolise l'évolution du
temps, l'aléatoire, la contingence

43 44
Les contours des parois sont
affirmés avec le jeu de
niveaux et l’usage polyvalent
de l’espace café.
l’accentuation de l’effet bois
sur le dessus du bar et les
marches harmonisent le tout

45 46
Des percées régulières dans
notre écorce d’asphalte pour
laisser passer un mur végétal
et des madriers en bois

47 48
La végétalisation suspendue
pourrait être assimilée à
l’adaptation d’une toiture
végétale sur le plan vertical.
La végétation ne prend pas
racine au sol mais pousse
directement sur un substrat
couvrant toute la surface du
mur.

49 50
Documents graphiques

Plan de masse

51 52
Plan du Café

53 54
Coupe longitudinale

55 56
conclusion

Lieu de liberté et de diversité, l’espace public est


accessible aux individus, gratuit mais qui n’a
toujours pas une définition rigoureuse.
Ce concept flexible désigne des lieux dont la taille
n’est pas toujours en rapport avec la fonction. Donc
chaque élément cité précédemment constitue une
composante importante de l’espace public.

57 58
bibliographie

[1]Véronique Michaud et Blanche Segrestin. La [10] P.Laugier, essai sur l’architecture, de


marche au cœur des mobilités : une démarche l’embellissement des villes, Paris 1765, P209
innovante. Paris : RATP, Prospective et conception [11]-Bertrand M.J., Listowski H., « Les places
innovante, [2008]. dans la ville », Dunod, Paris, 96 p, 1984.
[2] La Cité: Urbanisme, Architecture, Art Public, [12]- Denis Delbaere, « La fabrique de l’espace
Volume 4, Numéro 10, Mai 1924 public, ville paysage et démocratie », Paris,
[3]Du Spirituel dans l'art et dans la peinture en ellipses, Collection « La France de demain »,
particulier de Vassily Kandinsky 187 p, 2011
[4] http://www.demainlaville.com/le-chant-des-villes- [13]http://www.demainlaville.com/la-place-
2-ecouter-la-ville-conter-lurbain/ publique-dans-la-ville/
[5] Jean-Marie Gillon, revue Les places publiques [14] Gustavo Giovannoni, L'urbanisme face aux
un enjeu régional, Danielle Sarlet, 2006 villes anciennes, Seuil 1998, p143
[6] Fabrice Lextrait, Frédéric Kahn, « Nouveaux
territoires de l’art », in Claude Renard-Chapiro et
Laurence Castany,Nouveaux territoires de l’art,
paroles d’élus, 2005
[7] Ibid
[8] « Les usines vides sont bien parce qu’elles sont
vides et immenses et donnent la possibilité de
travailler et de prendre des risques. »
Source : Howard Becker, Les Mondes de l’art,
Paris, Flammarion, 1988 ; trad. de Art Worlds,
Berkeley, 1982.
[9] Idem

59 60

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