Bâle 3 Mise À Jour Version Française
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norme aby
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Comité de Bâle
sur le contrôle bancaire
Bâle III : finaliser
les réformes postcrise
Décembre 2017
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Cette publication est disponible sur le site Internet de la BRI (www.bis.org).
© Banque des règlements internationaux 2017. Tous droits réservés. De brefs extraits peuvent être reproduits ou
traduit à condition d'en mentionner la source.
ISBN 9789292590222 (en ligne)
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Contenu
Introduction ................................................. .................................................. .................................................. .................................... 1
Approche standard du risque de crédit .................................................. .................................................. ............................................. 3
Approche par les notations internes pour le risque de crédit .................................. .................................................. ....................... 53
Exigences minimales de fonds propres pour risque de CVA ................................................ .................................................. ....................... 109
Exigences minimales de fonds propres pour risque opérationnel .................................................. .................................................. ......... 128
Plancher de sortie .................................................. .................................................. .................................................. ................................ 137
Ratio de levier .................................................. .................................................. .................................................. ................................ 140
Bâle III : finaliser les réformes postcrise iii
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Introduction
1. Ce document présente la finalisation par le Comité de Bâle du cadre Bâle III. Ce
complète la phase initiale des réformes de Bâle III précédemment finalisée par le Comité. Le cadre de Bâle III est un élément central de la
réponse du Comité de Bâle à la crise financière mondiale. Il corrige un certain nombre de lacunes du cadre réglementaire d'avant la crise et
fournit une base réglementaire pour un système bancaire résilient qui soutient l'économie réelle.
2. L'un des principaux objectifs des révisions de ce document est de réduire la variabilité excessive des actifs pondérés en fonction
des risques (RWA). Au plus fort des crises financières mondiales, un large éventail de parties prenantes, notamment des universitaires, des
analystes et des acteurs du marché, ont perdu confiance dans les ratios de fonds propres pondérés en fonction des risques communiqués
par les banques. Les propres analyses empiriques du Comité ont mis en évidence un degré inquiétant de variabilité dans le calcul des RWA
par les banques.
3. Un calcul prudent et crédible des RWA fait partie intégrante du cadre de capital pondéré en fonction des risques. Les ratios de
fonds propres pondérés en fonction des risques communiqués par les banques devraient être suffisamment transparents et comparables
pour permettre aux parties prenantes d'évaluer leur profil de risque. L'examen stratégique du cadre réglementaire par le Comité a mis en
évidence un certain nombre de failles dans l'architecture existante, en particulier la mesure dans laquelle elle équilibre de manière adéquate
la simplicité, la comparabilité et la sensibilité au risque.
en : (i) renforçant
Les révisions
la robustesse
du cadre
et la
réglementaire
sensibilité au
prrésentées
isque des adpproches
ans ce document
standardisées
contribueront
pour le àrisque
restaurer
de crédit
la crédibilité
et le risque
du 4o. pérationnel,
calcul des RcWA
e
qui facilitera la comparabilité des les ratios de fonds propres des banques ; (ii) limiter l'utilisation d'approches modélisées en interne ; et (iii)
compléter le ratio de capital pondéré en fonction des risques par un ratio de levier finalisé et un plancher de capital révisé et robuste. Un
document d'accompagnement résume les principales caractéristiques de ces révisions.1
5. Lors de la finalisation de ces réformes, le Comité a été guidé par trois grands principes. Premièrement, le Comité est fermement
attaché à son mandat de renforcement de la réglementation, de la supervision et des pratiques des banques dans le monde, dans le but
d'améliorer la stabilité financière. Un système bancaire résilient sera en mesure de soutenir l'économie réelle et de contribuer positivement à
une croissance économique durable à moyen terme.
6. Deuxièmement, le Comité sollicite activement les points de vue des parties prenantes lors de l'élaboration des normes. Pour ces
réformes, le Comité a mené un vaste processus de consultation auprès d'un large éventail de parties prenantes. Le Comité remercie toutes
les parties prenantes pour leurs contributions constructives au cours de cette
traiter.
sept.
Troisièmement, le Comité a procédé à une évaluation complète et rigoureuse de l'impact de ces révisions sur le système bancaire
et la macroéconomie au sens large. À la suite de cette évaluation, le Comité s'est attaché à ne pas augmenter de manière significative les
exigences globales en matière de fonds propres.2 Cela se reflète dans la conception, le calibrage et les dispositions transitoires décrites ci
dessous. Le Comité continuera de surveiller et d'évaluer l'efficacité de ces réformes dans la réduction de la variabilité excessive des RWA.
8. Alors que le cadre révisé continuera d'autoriser l'utilisation d'approches modélisées en interne pour certaines catégories de
risques (sous réserve de l'approbation des autorités de contrôle), une juridiction qui ne met pas en œuvre tout ou partie des approches
modélisées en interne, mais applique uniquement les approches standardisées est conforme avec le cadre de Bâle. Plus généralement, les
juridictions peuvent choisir de mettre en œuvre davantage
1
Le résumé des principales caractéristiques des réformes de Bâle III est disponible sur www.bis.org/bcbs/publ/d424_hlsummary.pdf.
2
L'étude d'impact quantitative est disponible sur www.bis.org/bcbs/publ/d426.htm.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 1
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des exigences conservatrices et/ou des dispositions transitoires accélérées, car le cadre de Bâle ne constitue que
des normes minimales.
Dates de mise en œuvre et dispositions transitoires
9. Le Comité introduit des dispositions transitoires pour mettre en œuvre les nouvelles normes afin d'assurer
une mise en œuvre ordonnée et rapide par les juridictions et un ajustement par les banques. Les principales dates
de mise en œuvre sont indiquées dans le tableau cidessous.
Révision Date de mise en oeuvre
Révisions de l'approche standard pour le risque de crédit • 1er janvier 2022
Révisions du cadre des RIR • 1er janvier 20223
Révisions du cadre CVA • 1er janvier 2022
Révisions du cadre de risque opérationnel • 1er janvier 2022
• Définition de l'exposition existante : 1er janvier 20184
Ratio de levier • Définition de l'exposition révisée : 1er janvier 20225 •
Coussin GSIB : 1er janvier 2022
• 1er janvier 2022 : 50 % •
1er janvier 2023 : 55 % •
1er janvier 2024 : 60 % •
Plancher de sortie
1er janvier 2025 : 65 % •
1er janvier 2026 : 70 % •
1er janvier 2027 : 72,5 %
3
Lors de la mise en œuvre des révisions du cadre pondéré en fonction des risques décrites dans la présente norme et du plancher de production révisé, le facteur
d'échelle de 1,06 qui s'applique aux montants des RWA pour le risque de crédit selon l'approche NI ne s'appliquera plus. Plus précisément, les références au
facteur scalaire aux paragraphes 14 et 44 du dispositif de Bâle II (juin 2006), et aux paragraphes 49, 88, 90 et 91 du dispositif révisé de titrisation (juillet 2016) ne
s'appliqueront plus.
4
Sur la base de la définition de janvier 2014 de la mesure de l'exposition au ratio de levier. Les juridictions sont libres d'appliquer la définition révisée de la mesure
de l'exposition à une date antérieure au 1er janvier 2022.
5
Sur la base de la mesure révisée de l'exposition au ratio de levier présentée dans le présent document.
2 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Approche standard du risque de crédit
Introduction
1. Le Comité permet aux banques de choisir entre deux grandes méthodologies pour calculer leurs exigences de fonds propres
fondées sur le risque pour risque de crédit. La première, l'approche standard, attribue des pondérations de risque standardisées aux
expositions, comme décrit aux paragraphes 4 à 97. Pour déterminer les pondérations de risque dans l'approche standard pour certaines
catégories d'expositions, dans les juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires, les banques
peuvent , comme point de départ, utiliser les évaluations effectuées par des organismes externes d'évaluation du crédit qui sont reconnus
comme éligibles aux fins des fonds propres par les autorités de surveillance nationales, conformément aux points 98 à 116. Dans le cadre
de l'approche standard, les expositions doivent être pondérées en fonction des risques, déduction faite des provisions spécifiques (y
compris amortissements partiels).
2. Le deuxième traitement du capital pondéré en fonction des risques pour mesurer le risque de crédit, l'approche fondée sur les
notations internes (IRB), permet aux banques d'utiliser leurs systèmes de notation interne pour le risque de crédit, sous réserve de
l'approbation explicite du superviseur de la banque.
3. Les expositions de titrisation sont traitées dans la norme de titrisation. 1 Les montants en équivalentcrédit des dérivés de gré
à gré, des dérivés négociés en bourse et des transactions à règlement long qui exposent une banque au risque de crédit de contrepartie
2 doivent être calculés selon les normes
de risque
aux dce
expositions crédit de contrepartie.
ontreparties 3 Les iênvestissements
centrales doivent eleurs
tre traités selon n actions
dans
propres des fonds
cadres et les
spécifiques.4
1
La norme de titrisation est disponible sur www.bis.org/bcbs/publ/d374.pdf.
2
Le risque de crédit de contrepartie est défini comme le risque que la contrepartie à une transaction fasse défaut avant le règlement final des flux de trésorerie de la
transaction. Une perte économique se produirait si les transactions ou le portefeuille de transactions avec la contrepartie avaient une valeur économique positive au
moment du défaut. Contrairement à l'exposition d'une entreprise au risque de crédit par le biais d'un prêt, où l'exposition au risque de crédit est unilatérale et seule la
banque prêteuse est exposée au risque de perte, le risque de crédit de contrepartie crée un risque de perte bilatéral : la valeur de marché de la transaction peut être
positive ou négatif à l'une ou l'autre des contreparties à la transaction. La valeur de marché est incertaine et peut varier dans le temps en fonction de l'évolution des
facteurs de marché sousjacents.
3
Les normes relatives au risque de crédit de contrepartie sont énoncées à l'annexe 4 du cadre de Bâle II (juin 2006), modifiée pour refléter les modifications énoncées
dans : (i) Bâle III : un cadre réglementaire mondial pour des banques et des systèmes bancaires plus résilients (juin 2011 ), disponible sur www.bis.org/publ/bcbs189.pdf ;
(ii) L'approche standard pour mesurer les expositions au risque de contrepartie (avril 2014), disponible sur www.bis.org/publ/bcbs279.pdf ; et (iii) Exigences de fonds
propres pour les expositions des banques aux contreparties centrales (avril 2014), disponible sur www.bis.org/publ/bcbs282.pdf.
4
Les normes sur les exigences de fonds propres pour les investissements en actions des banques dans des fonds sont disponibles à l'adresse www.bis.org/publ/
bcbs266.pdf ; et pour les exigences de fonds propres pour les expositions des banques aux contreparties centrales sont définies à la section XI des normes sur le risque
de crédit de contrepartie.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 3
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UN. Expositions individuelles
Exigences de diligence raisonnable
4. Conformément aux orientations du Comité sur l'évaluation du risque de crédit5 et aux paragraphes 733 à 735 du cadre
de Bâle II (juin 2006), les banques doivent exercer une diligence raisonnable pour s'assurer qu'elles ont une compréhension
adéquate, à l'origine et par la suite sur une base régulière (au au moins une fois par an), du profil de risque et des caractéristiques
de leurs contreparties. Dans les cas où des notations sont utilisées, une diligence raisonnable est nécessaire pour évaluer le
risque de l'exposition à des fins de gestion des risques et si la pondération de risque appliquée est appropriée et prudente6. La
sophistication de la diligence raisonnable doit être adaptée à la taille et à la complexité des banques. ' Activités. Les banques
doivent prendre des mesures raisonnables et adéquates pour évaluer les niveaux et les tendances de performance opérationnelle
et financière par le biais d'une analyse de crédit interne et/ou d'autres analyses externalisées à un tiers, selon le cas pour chaque
contrepartie. Les banques doivent pouvoir accéder régulièrement aux informations sur leurs contreparties pour réaliser des
analyses de due diligence.
5. Pour les expositions sur des entités appartenant à des groupes consolidés, la diligence raisonnable doit, dans la
mesure du possible, être effectuée au niveau de l'entité individuelle à laquelle il existe une exposition de crédit. Lors de l'évaluation
de la capacité de remboursement de l'entité individuelle, les banques sont censées tenir compte du soutien du groupe et de la
possibilité qu'il soit affecté par des problèmes au sein du groupe.
6. Les banques devraient disposer de politiques, processus, systèmes et contrôles internes efficaces pour garantir que
les pondérations de risque appropriées sont attribuées aux contreparties. Les banques doivent être en mesure de démontrer à
leurs superviseurs que leurs analyses de diligence raisonnable sont appropriées. Dans le cadre de leur examen prudentiel, les
autorités de contrôle doivent s'assurer que les banques ont effectué de manière appropriée leurs analyses de diligence raisonnable
et doivent prendre des mesures de surveillance lorsque cellesci n'ont pas été effectuées.
1. Expositions aux souverains
(Traitement inchangé par rapport au cadre Bâle II (juin 2006))
sept.
Les expositions aux souverains et à leurs banques centrales seront pondérées comme suit :
Tableau des pondérations de risque pour les souverains et les banques centrales Tableau 1
5
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Orientations sur le risque de crédit et comptabilisation des pertes de crédit attendues, décembre
2015, disponible sur www.bis.org/bcbs/publ/d350.pdf.
6 Les obligations de diligence raisonnable ne s'appliquent pas aux expositions visées aux paragraphes 7 à 12.
4 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(ou banque cÀ
entrale)
la discrétion
de constitution
nationale,
libellées
une pondération
en monnaie
de n
risque
ationale
plus
et
faible
financées7
peut êd
tre
ans
appliquée
cette monnaie8.
aux expositions
Lorsque dces
e pbouvoir
anques
discrétionnaire
à leur souverain
est
8.
exercé, d'autres autorités nationales de surveillance peuvent également autoriser à leurs banques d'appliquer la même pondération de risque aux
expositions en monnaie nationale à ce souverain (ou banque centrale) financées dans cette monnaie.
9. Aux fins de la pondération des expositions aux souverains, les autorités de contrôle peuvent reconnaître les notes de risque pays
attribuées par les agences de crédit à l'exportation (ACE). Pour être éligible, un OCE doit publier ses scores de risque et souscrire à la méthodologie
agréée par l'OCDE. Les banques peuvent choisir d'utiliser les scores de risque publiés par les OCE individuels qui sont reconnus par leur
superviseur, ou les scores de risque consensuels des OCE participant à l'"Arrangement sur les crédits à l'exportation bénéficiant d'un soutien
public". 9 La méthodologie agréée par l'OCDE établit huit catégories de score de risque associées aux primes minimales d'assurance à l'exportation.
Ces scores de risque ECA correspondront aux catégories de pondération des risques, comme indiqué cidessous.
Tableau des pondérations de risque pour les souverains et les banques centrales Tableau 2
dix. Les expositions sur la Banque des règlements internationaux, le Fonds monétaire international, la Banque centrale européenne, l'Union
européenne, le Mécanisme européen de stabilité (MES) et le Fonds européen de stabilité financière (FESF) peuvent recevoir une pondération de
risque de 0 %.
2. Expositions sur des entités du secteur public (ESP) ne relevant pas de l'administration centrale
(Traitement inchangé par rapport au cadre Bâle II (juin 2006), seules des modifications éditoriales mineures ont été apportées pour supprimer la
référence aux options actuelles pour les banques.)
11. Les expositions aux ESP domestiques seront pondérées en fonction des risques à la discrétion nationale, selon l'une ou l'autre des
les deux options suivantes.
Tableau de pondération des risques pour les ESP
Option 1 : Basée sur la notation externe du souverain Tableau 3
C'estàdire que la banque aurait également des passifs correspondants libellés dans la monnaie nationale.
sept
8
Cette pondération de risque plus faible peut être étendue à la pondération de risque des sûretés et des garanties dans le cadre du CRM.
9 La classification consensuelle des risques pays est disponible sur le site Web de l'OCDE (www.oecd.org) sur la page Web des accords de crédit à l'exportation de la Direction
des échanges.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 5
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Tableau de pondération des risques pour les ESP
Option 2 : Basée sur la notation externe de l'ESP Tableau 4
Notation externe du PSE AAA à AA– A+ à A– BBB+ à BBB– BB+ à B– Inférieur à B– Non noté
peuvent également
Sous réserve
être traitées
du pouvoir
comme
discrétionnaire
des expositions
national,
aux Éles
tats
expositions
souverains
àd cans
ertains
les jP
uridictions
SE nationaux
desquelles
10 12. les PSE sont établis. Lorsque ce
pouvoir discrétionnaire est exercé, d'autres autorités de surveillance nationales peuvent autoriser leurs banques à pondérer les expositions à
ces OSP dans la
même manière.
3. Expositions aux banques multilatérales de développement (BMD)
13. Aux fins du calcul des exigences de fonds propres, une Banque multilatérale de développement (BMD) est une institution créée par
un groupe de pays qui fournit des financements et des conseils professionnels pour des projets de développement économique et social. Les
BMD ont de nombreux membres souverains et peuvent inclure à la fois des pays développés et/ou des pays en développement. Chaque BMD a
son propre statut juridique et opérationnel indépendant, mais avec un mandat similaire et un nombre considérable de copropriétaires.
14. Une pondération de risque de 0 % sera appliquée aux expositions sur les BMD qui remplissent, à la satisfaction du Comité, les
critères d'éligibilité indiqués cidessous.11 Le Comité continuera d'évaluer l'éligibilité au cas par cas. Les critères d'éligibilité pour les BMD
pondérés en fonction des risques à 0 % sont les suivants :
(je) des notations d'émetteurs à long terme de très haute qualité, c'estàdire qu'une majorité des notations externes d'une BMD doit être
AAA;12
10 Les exemples suivants décrivent comment les ESP peuvent être catégorisés lorsqu'ils se concentrent sur une caractéristique spécifique, à savoir le pouvoir de générer des recettes. Cependant, il peut exister
d'autres manières de déterminer les différents traitements applicables aux différents types d'ESP, par exemple en se concentrant sur l'étendue des garanties fournies par l'État :
Les gouvernements régionaux et les collectivités locales pourraient bénéficier du même traitement que les créances sur leur gouvernement souverain
ou central si ces gouvernements et collectivités locales disposent de pouvoirs spécifiques en matière de collecte de recettes et disposent de dispositifs
institutionnels spécifiques ayant pour effet de réduire leur risque de défaillance.
Les organes administratifs responsables devant les gouvernements centraux, les gouvernements régionaux ou les collectivités locales et d'autres
entreprises non commerciales détenues par les gouvernements ou les collectivités locales peuvent ne pas bénéficier du même traitement que les
créances sur leur souverain si les entités n'ont pas de pouvoirs de perception de recettes ou d'autres arrangements comme décrit cidessus. Si des
règles de prêt strictes s'appliquent à ces entités et qu'une déclaration de faillite n'est pas possible en raison de leur statut public particulier, il peut être
approprié de traiter ces créances selon l'option 1 ou 2 pour les PSE.
Les entreprises commerciales détenues par les administrations centrales, les administrations régionales ou les collectivités locales peuvent être
traitées comme des entreprises commerciales normales. Toutefois, si ces entités fonctionnent comme une entreprise sur des marchés concurrentiels
même si l'État, une autorité régionale ou une autorité locale est le principal actionnaire de ces entités, les autorités de contrôle devraient décider de
les considérer comme des entreprises et donc leur attribuer les pondérations de risque applicables.
11
Les BMD actuellement éligibles à une pondération de risque de 0 % sont : le Groupe de la Banque mondiale comprenant la Banque internationale pour la
reconstruction et le développement (BIRD), la Société financière internationale (IFC), l'Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) et
l'Association internationale de développement (IDA ), la Banque asiatique de développement (BAD), la Banque africaine de développement (BAfD), la
Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque interaméricaine de développement (BID), la Banque européenne
d'investissement (BEI), la Banque européenne d'investissement (FEI), la Banque nordique d'investissement (NIB), la Banque de développement des
Caraïbes (CDB), la Banque islamique de développement (BID), la Banque de développement du Conseil de l'Europe (CEDB), la Facilité internationale de
financement pour la vaccination (IFFIm) et la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (AIIB).
12
Les BMD qui demandent à être ajoutées à la liste des BMD éligibles à une pondération de risque de 0 % doivent se conformer au critère de notation AAA
au moment de la demande. Une fois incluse dans la liste des BMD éligibles, la note peut être dégradée, mais en aucun cas inférieure à AA–. Dans le cas
contraire, les expositions sur ces BMD seront soumises au traitement décrit au paragraphe 15.
6 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(ii) soit la structure de l'actionnariat comprend une proportion significative d'États souverains avec des notations externes
d'émetteur à long terme de AA– ou mieux, soit la majorité des levées de fonds de la BMD se fait sous la forme de fonds
propres/capital libérés et il y a peu ou pas d'effet de levier ;
(iii) un fort soutien des actionnaires démontré par le montant du capital versé apporté par les actionnaires ; le montant du
capital supplémentaire que les BMD ont le droit d'appeler, si nécessaire, pour rembourser leurs dettes ; et la poursuite
des apports en capital et des nouveaux nantissements des actionnaires souverains ;
(iv) niveau adéquat de capital et de liquidité (une approche au cas par cas est nécessaire pour évaluer si le capital et la
liquidité de chaque BMD sont adéquats) ; et,
(v) des exigences statutaires strictes en matière de prêt et des politiques financières prudentes, qui comprendraient entre
autres conditions un processus d'approbation structuré, des limites internes de solvabilité et de concentration des risques
(par pays, secteur et exposition individuelle et catégorie de crédit), l'approbation des grands risques par le conseil
d'administration ou un comité de le conseil d'administration, des calendriers de remboursement fixes, un contrôle efficace
de l'utilisation des fonds, un processus d'examen de la situation et une évaluation rigoureuse des risques et un
provisionnement de la réserve pour pertes sur prêts.
15. Pour les expositions à toutes les autres BMD, les banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de
notations externes à des fins réglementaires attribueront à leurs expositions aux BMD les pondérations de risque « de base »
correspondantes déterminées par les notations externes conformément au tableau 5. Les banques constituées dans des juridictions
qui n'autorisant pas les notations externes à des fins réglementaires, ces expositions seront pondérées à 50 %.
Tableau de pondération des risques pour les expositions aux BMD Tableau 5
4. Expositions aux banques
16. Aux fins du calcul des exigences de fonds propres, une exposition bancaire est définie comme une créance (y compris
les prêts et les titres de créance de premier rang, sauf s'ils sont considérés comme des dettes subordonnées aux fins du paragraphe
53) sur tout établissement financier agréé pour recevoir des dépôts du public et est soumis à des normes prudentielles et à un
niveau de surveillance appropriés. 13 Le traitement associé à la dette bancaire
subordonnée et aux actions est traité aux paragraphes 49 à 53.
Détermination de la pondération des risques
17. Les expositions bancaires seront pondérées selon la hiérarchie suivante14 :
13
Pour les banques actives à l'échelle internationale, les normes prudentielles appropriées (par exemple, les exigences en matière de fonds propres et de liquidité) et le niveau de
surveillance doivent être conformes au cadre de Bâle. Pour les banques nationales, des normes prudentielles appropriées sont déterminées par les autorités de surveillance
nationales, mais doivent inclure au moins une exigence minimale de fonds propres réglementaires.
14
À l'exception des expositions donnant lieu à des éléments de fonds propres de base de catégorie 1, de catégorie supplémentaire de catégorie 1 et de catégorie 2, les autorités
de contrôle nationales peuvent autoriser les banques appartenant au même régime de protection institutionnel (comme les mutuelles, les coopératives ou les institutions d'épargne)
Bâle III : finaliser les réformes postcrise sept
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(un) Approche externe d'évaluation du risque de crédit (ECRA) : cette approche est destinée aux banques constituées dans
des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires. Elle s'applique à l'ensemble
de leurs expositions sur des banques notées. Les banques appliqueront les paragraphes 98 à 116 pour déterminer
quelle notation peut être utilisée et pour quelles expositions.
(b) Approche standardisée d'évaluation du risque de crédit (SCRA) : cette approche s'applique à toutes les expositions des
banques constituées dans des juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires.
Pour les expositions sur des banques qui ne sont pas notées, cette approche s'applique également aux banques
constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires.
(un) Approche d'évaluation externe du risque de crédit (ECRA)
18. Les banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires
la attribueront à leurs expositions bancaires notées des
15
nlotations
es pondérations
externes
dce
onformément
risque « de ba
ase
u tableau
» correspondantes
6. Ces notations
déterminées
ne doivent
par
pas intégrer d'hypothèses de soutien implicite du gouvernement, sauf si la notation fait référence à une banque publique détenue
par son gouvernement. 16 Les
banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires ne doivent
appliquer le SCRA qu'à leurs expositions bancaires non notées, conformément au paragraphe 21.
Tableau de pondération des risques pour les expositions bancaires
Approche d'évaluation externe du risque de crédit Tableau 6
19. Les expositions sur les banques dont l'échéance initiale est inférieure ou égale à trois mois, ainsi que les expositions
sur les banques résultant de mouvements transfrontaliers de marchandises avec une échéance initiale de six mois ou moins17
peuvent se voir attribuer une pondération de risque correspondant aux pondérations de risque pour les expositions à court terme
dans le tableau 6.
dans leurs juridictions d'appliquer une pondération de risque inférieure à celle indiquée par l'ECRA et le SCRA à leurs expositions intragroupe ou dans le
réseau à condition que les deux contreparties aux expositions soient membres du même régime de protection institutionnel effectif qui est un dispositif
contractuel ou statutaire mis en place pour protéger ces institutions et cherche à assurer leur liquidité et leur solvabilité pour éviter la faillite.
15
Une exposition est notée du point de vue d'une banque si l'exposition est notée par un « établissement d'évaluation du crédit éligible » (ECAI) reconnu qui
a été désigné par la banque (c'estàdire que la banque a informé son autorité de contrôle de son intention d'utiliser les notations de cet OEEC à des fins
réglementaires de manière cohérente (points 103). En d'autres termes, si une notation externe existe mais que l'agence de notation de crédit n'est pas un
OEEC reconnu par l'autorité de surveillance nationale, ou si la notation a été émise par un OEEC qui n'a pas été désignée par la banque, l'exposition serait
considérée comme non notée du point de vue de la banque.
16
Le soutien gouvernemental implicite fait référence à la notion selon laquelle le gouvernement agirait pour empêcher les créanciers bancaires de subir des
pertes en cas de défaillance ou de détresse bancaire. Les superviseurs nationaux peuvent continuer à autoriser les banques à utiliser des notations
externes qui intègrent des hypothèses de soutien public implicite pendant une période maximale de cinq ans, à compter de la date de mise en œuvre de la
présente norme, lors de l'attribution des pondérations de risque « de base » du tableau 6 à leur banque. expositions.
17
Il peut s'agir d'expositions au bilan telles que des prêts et d'expositions hors bilan telles que des éléments conditionnels autoliquidables liés au commerce.
8 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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20. Les banques doivent exercer une diligence raisonnable pour s'assurer que les notations externes reflètent de manière
appropriée et prudente la solvabilité des contreparties bancaires. Si l'analyse de diligence raisonnable reflète des caractéristiques
de risque plus élevées que celles qu'implique la tranche de notation externe de l'exposition (c'estàdire AAA à AA– ; A+ à A–,
etc.), la banque doit attribuer une pondération de risque au moins une tranche supérieure à la « base ” pondération du risque
déterminée par la notation externe. L'analyse due diligence ne doit jamais conduire à l'application d'une pondération de risque
inférieure à celle déterminée par la notation externe.
(b) Approche standardisée d'évaluation du risque de crédit (SCRA)
21. Les banques constituées dans des juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins
réglementaires appliqueront le SCRA à toutes leurs expositions bancaires. Le SCRA s'applique également aux expositions
bancaires non notées pour les banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins
réglementaires. Le SCRA exige que la banque classe les expositions bancaires dans l'une des trois tranches de pondération des
risques (c'estàdire les catégories A, B et C) et attribue les pondérations de risque correspondantes dans le tableau 7. les
paragraphes 22 à 29 excluent les normes de liquidité.
Tableau de pondération des risques pour les expositions bancaires
Approche standardisée d'évaluation du risque de crédit Tableau 7
Pondération de risque « de base »
40 %18 75% 150%
Classe A
22. La catégorie A fait référence aux expositions sur des banques, lorsque la banque contrepartie a une capacité suffisante
pour honorer ses engagements financiers (y compris les remboursements du principal et des intérêts) en temps opportun, pendant
la durée de vie projetée des actifs ou des expositions et quels que soient les cycles économiques et les activités. les conditions.
23. Une banque de contrepartie classée dans la catégorie A doit respecter ou dépasser les exigences réglementaires
minimales publiées et les coussins établis par son autorité de contrôle nationale, tels qu'ils sont mis en œuvre dans la juridiction
où elle est constituée, à l'exception des exigences réglementaires minimales spécifiques à la banque ou des coussins qui peuvent
être imposés par des mesures de surveillance. (par exemple via le Pilier 2) et non rendues publiques. Si ces exigences
réglementaires minimales et ces coussins (autres que les exigences minimales ou les coussins spécifiques à la banque) ne sont
pas rendus publics ou autrement mis à disposition par la banque contrepartie, celleci doit être évaluée au niveau B ou inférieur.
24. Si, dans le cadre de son devoir de diligence, une banque évalue qu'une banque contrepartie ne répond pas à la
définition de catégorie A aux paragraphes 22 et 23, les expositions sur la banque contrepartie doivent être classées en catégorie
B ou C.
Classe B
25. La catégorie B fait référence aux expositions sur les banques, lorsque la banque contrepartie est soumise à un risque
de crédit substantiel, tel que des capacités de remboursement qui dépendent de conditions économiques ou commerciales stables
ou favorables.
26. Une banque contrepartie classée dans la catégorie B doit respecter ou dépasser les exigences réglementaires
minimales publiées (à l'exclusion des coussins) établies par son autorité de contrôle nationale telles qu'elles sont mises en œuvre dans la
18 Selon l'approche standardisée d'évaluation du risque de crédit, les expositions sur des banques sans notation de crédit externe peuvent recevoir une
pondération de risque de 30 %, à condition que la banque contrepartie ait un ratio CET1 égal ou supérieur à 14 % et un ratio de levier Tier 1 égal
ou supérieur à 14 %. dépasse 5 %. La banque contrepartie doit également satisfaire à toutes les exigences de la classification de grade A.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 9
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juridiction dans laquelle elle est constituée, à l'exception des exigences réglementaires minimales spécifiques à la banque qui peuvent
être imposées par des mesures de surveillance (par exemple via le pilier 2) et non rendues publiques. Si ces exigences réglementaires
minimales ne sont pas rendues publiques ou autrement mises à disposition par la banque contrepartie, la banque contrepartie doit
être évaluée comme étant de catégorie C.
27. Les banques classeront toutes les expositions qui ne satisfont pas aux exigences énoncées aux paragraphes 22 et
23 au grade B, à moins que l'exposition ne relève du grade C selon les paragraphes 28 et 29.
Classe C
28. La catégorie C fait référence à des expositions plus élevées au risque de crédit envers les banques, lorsque la banque contrepartie
présente des risques de défaut importants et des marges de sécurité limitées. Pour ces contreparties, des conditions commerciales, financières
ou économiques défavorables sont très susceptibles de conduire ou ont conduit à une incapacité à honorer leurs engagements financiers.
29. Au minimum, si l'un des déclencheurs suivants est dépassé, une banque doit classer l'exposition en
Classe C :
• La banque contrepartie ne remplit pas les critères pour être classée dans la catégorie B en ce qui concerne ses exigences
réglementaires minimales publiées, comme indiqué aux paragraphes 25 et 26 ; ou
• Lorsque des états financiers audités sont requis, l'auditeur externe a émis une opinion d'audit défavorable ou a exprimé
un doute substantiel sur la capacité de la banque contrepartie à poursuivre son exploitation dans ses états financiers ou
ses rapports audités au cours des 12 derniers mois.
Même si ces déclencheurs ne sont pas dépassés, une banque peut évaluer que la banque contrepartie répond à la
définition du paragraphe 28. Dans ce cas, l'exposition à cette banque contrepartie doit être classée dans la catégorie C.
30. Les expositions sur les banques dont l'échéance initiale est inférieure ou égale à trois mois, ainsi que les expositions sur
les banques résultant de mouvements transfrontaliers de marchandises dont l'échéance initiale est inférieure ou égale à six mois19,
peuvent se voir attribuer une pondération de risque correspondant à la pondérations de risque pour les expositions à court terme
dans le tableau 7.
31. Afin de refléter le risque de transfert et de convertibilité dans le cadre du SCRA, un plancher de pondération de risque
basé sur la pondération de risque applicable aux expositions sur le souverain du pays où la contrepartie bancaire est constituée sera
appliqué à la pondération de risque attribuée aux expositions bancaires. Le plancher souverain s'applique lorsque l'exposition n'est
pas dans la devise locale de la juridiction de constitution de la banque débitrice et pour un emprunt enregistré dans une succursale
de la banque débitrice dans une juridiction étrangère, lorsque l'exposition n'est pas dans la devise locale de la juridiction dans laquelle
opère la succursale. Le plancher souverain ne s'appliquera pas aux éléments contingents à court terme (c'estàdire avec une
échéance inférieure à un an) autoliquidés et liés au commerce qui résultent du mouvement des marchandises.20
5. Expositions aux obligations sécurisées
par la loi à 3Les
2. uone
bligations
surveillance
sécurisées
publique
sont
spéciale
des obligations
destinée à
é
mises
protéger
par
les
une
détenteurs
banque ou
d'obligations.
une institution
Les
hypothécaire
produits provenant
qui sont
dse
oumises
l'émission de ces obligations doivent être investis conformément à la loi dans des actifs qui, pendant toute la durée de validité des
obligations, sont susceptibles de couvrir les créances attachées aux obligations et qui, en cas de défaillance de l'émetteur, seraient
utilisés en priorité pour le remboursement du principal et le paiement des intérêts courus.
19
Il peut s'agir d'expositions au bilan telles que des prêts et d'expositions hors bilan telles que des éléments conditionnels auto
liquidables liés au commerce.
20
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Treatment of trade finance under the Basel capital framework, octobre 2011, disponible
sur http://www.bis.org/publ/bcbs205.pdf.
dix Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Actifs éligibles
33. Afin d'être éligibles aux pondérations de risque énoncées au paragraphe 35, les actifs sousjacents (le portefeuille de
couverture) des obligations sécurisées telles que définies au paragraphe 32 satisfont aux exigences énoncées au paragraphe 34 et
comprennent l'un des éléments suivants:
• des créances sur ou garanties par des États souverains, leurs banques centrales, des entités du secteur public ou des banques
multilatérales de développement ;
• les créances garanties par un bien immobilier résidentiel qui répondent aux critères énoncés au paragraphe 60 et dont le
ratio prêt/valeur est égal ou inférieur à 80 % ;
• les créances garanties par un bien immobilier commercial qui répond aux critères énoncés au paragraphe 60 et dont le ratio
prêt/valeur est égal ou inférieur à 60 % ; ou
• les créances sur les banques ou garanties par cellesci qui se qualifient pour une pondération de risque de 30 % ou moins. Toutefois,
ces actifs ne peuvent excéder 15 % des émissions d'obligations sécurisées.
La valeur nominale du pool d'actifs affectés au(x) instrument(s) d'obligations sécurisées par son émetteur doit dépasser son
encours nominal d'au moins 10 %. La valeur du pool d'actifs à cette fin n'a pas besoin d'être celle requise par le cadre législatif. Toutefois,
si le cadre législatif ne stipule pas une exigence d'au moins 10 %, la banque émettrice doit divulguer régulièrement au public que son
portefeuille de couverture respecte l'exigence de 10 % dans la pratique. Outre les actifs de base énumérés dans le présent paragraphe,
les sûretés supplémentaires peuvent comprendre des actifs de substitution (espèces ou actifs liquides et sûrs à court terme détenus en
remplacement des actifs de base pour compléter le portefeuille de couverture à des fins de gestion) et des dérivés conclus aux fins de
couverture des risques liés à l'obligation sécurisée
programme.
Les conditions énoncées dans ce paragraphe doivent être remplies à la création de l'obligation sécurisée et pendant toute sa
durée résiduelle.
Exigences de divulgation
34. Les expositions sous forme d'obligations sécurisées sont éligibles au traitement décrit au paragraphe 35,
à condition que la banque qui investit dans les obligations sécurisées puisse démontrer à ses autorités nationales de surveillance que :
(un) il reçoit des informations sur le portefeuille au moins sur : (i) la valeur du portefeuille de couverture et des obligations
sécurisées en circulation ; (ii) la répartition géographique et le type d'actifs de couverture, la taille du prêt, les risques de taux
d'intérêt et de change ; (iii) la structure des échéances des actifs de couverture et des obligations sécurisées ; et (iv) le
pourcentage de prêts en souffrance depuis plus de 90 jours ;
(b) l'émetteur met les informations visées au point a) à la disposition de la banque au moins semestriellement.
35. Les obligations sécurisées qui satisfont aux critères énoncés aux paragraphes 33 et 34 sont pondérées en fonction des risques sur
la base de la notation spécifique à l'émission ou de la pondération de risque de l'émetteur conformément aux règles énoncées aux paragraphes
98 à 116. Pour les obligations sécurisées avec des notations spécifiques à l'émission ,
21
au tableau la
8. Ppour
ondération de risque
les obligations est déterminée
sécurisées conformément
non notées,
la
pondération de risque serait déduite de la pondération de risque ECRA ou SCRA de l'émetteur conformément au tableau 9.
21
Une exposition est notée du point de vue d'une banque si l'exposition est notée par un « établissement d'évaluation du crédit éligible
» (ECAI) reconnu qui a été désigné par la banque (c'estàdire que la banque a informé son autorité de contrôle de son intention d'utiliser
les notations de cet OEEC à des fins réglementaires de manière cohérente (voir points 103). En d'autres termes, si une notation externe
existe mais que l'agence de notation de crédit n'est pas un OEEC reconnu par l'autorité de surveillance nationale, ou si la notation a été
émise par un OEEC qui a n'a pas été désignée par la banque, l'exposition serait considérée comme non notée du point de vue de la
banque.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 11
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Tableau de pondération des risques pour les expositions notées aux obligations sécurisées Tableau 8
Tableau de pondération des risques pour les expositions aux obligations sécurisées non notées Tableau 9
36. Les banques doivent exercer une diligence raisonnable pour s'assurer que les notations externes reflètent de manière appropriée et
prudente la solvabilité de l'obligation sécurisée et de la banque émettrice. Si l'analyse de diligence raisonnable reflète des caractéristiques de risque
plus élevées que celles qu'implique la tranche de notation externe de l'exposition (c'estàdire AAA à AA– ; A+ à A–, etc.), la banque doit attribuer une
pondération de risque au moins une tranche supérieure à la « base ” pondération du risque déterminée par la notation externe. L'analyse due diligence
ne doit jamais conduire à l'application d'une pondération de risque inférieure à celle déterminée par la notation externe.
6. Expositions aux maisons de titres et autres institutions financières
37. Les expositions sur les maisons de titres et autres établissements financiers seront traitées comme des expositions sur les banques à
condition que ces entreprises soient soumises à des normes prudentielles et à un niveau de surveillance équivalent à ceux appliqués aux banques (y
compris les exigences de fonds propres et de liquidité). Les autorités nationales de surveillance devraient déterminer si le cadre réglementaire et
prudentiel régissant les maisons de titres et autres établissements financiers dans leur propre juridiction est équivalent à celui qui s'applique aux
banques dans leur propre juridiction. Lorsqu'il est déterminé que le cadre de réglementation et de surveillance régissant les maisons de titres et autres
établissements financiers est équivalent à celui appliqué aux banques dans une juridiction, d'autres autorités nationales de surveillance peuvent autoriser
leurs banques à pondérer ces expositions sur les maisons de titres et autres établissements financiers comme des expositions sur les banques . Les
expositions sur toutes les autres maisons de titres et institutions financières seront traitées comme des expositions sur les entreprises.
sept.
Expositions aux entreprises
38. Aux fins du calcul des exigences de fonds propres, les expositions sur les entreprises comprennent les expositions (prêts, obligations,
créances, etc.) sur des entités constituées en société, des associations, des sociétés de personnes, des entreprises individuelles, des fiducies, des
fonds et d'autres entités présentant des caractéristiques similaires, à l'exception de celles qui remplissent les conditions pour l'une des autres classes
d'exposition. Le traitement associé aux dettes subordonnées et aux actions de ces contreparties est traité aux paragraphes 49 à 53. La catégorie des
expositions sur les entreprises comprend les expositions sur les compagnies d'assurance et autres entreprises financières qui ne répondent pas aux
définitions des expositions sur les banques, les maisons de titres et les autres institutions financières. , tels que déterminés respectivement aux points
16 et 37. La catégorie des expositions sur les entreprises n'inclut pas les expositions sur les particuliers. La catégorie d'exposition aux entreprises
distingue les souscatégories suivantes :
(je) Expositions générales sur les entreprises ;
(ii) Expositions sur prêts spécialisés, telles que définies au paragraphe 44.
12 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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7.1 Expositions générales sur les entreprises
Détermination de la pondération des risques
39. Pour les expositions sur les entreprises des banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations
externes à des fins réglementaires, les banques attribueront des pondérations de risque « de base » conformément au tableau 10.22 Les
banques doivent exercer une diligence raisonnable pour s'assurer que les notations externes reflètent de manière appropriée et prudente
la solvabilité contreparties. Les banques qui ont attribué des pondérations de risque à leurs expositions bancaires notées sur la base du
paragraphe 18 doivent attribuer des pondérations de risque à toutes leurs expositions sur les entreprises conformément au tableau 10. Si
l'analyse de diligence raisonnable reflète des caractéristiques de risque plus élevées que celles qu'implique la tranche de notation externe
de l'exposition ( c'estàdire AAA à AA– ; A+ à A–, etc.), la banque doit attribuer une pondération de risque au moins supérieure d'une
tranche à la pondération de risque « de base » déterminée par la notation externe. L'analyse due diligence ne doit jamais conduire à
l'application d'une pondération de risque inférieure à celle déterminée par la notation externe.
40. Les expositions non notées sur les entreprises des banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de
notations externes à des fins réglementaires recevront une pondération de 100 %, à l'exception des expositions non notées sur les petites
et moyennes entreprises (PME), comme décrit au paragraphe 43.
Tableau de pondération des risques pour les expositions sur les entreprises
Juridictions qui utilisent les notations externes à des fins réglementaires Tableau 10
Notation externe de la contrepartie AAA à AA– A+ à A– BBB+ à BBB– BB+ à BB– Inférieur à BB– Non noté
41. Pour les expositions sur les entreprises des banques constituées dans des juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de
notations externes à des fins réglementaires, les banques attribueront une pondération de 100 % à toutes les expositions sur les
entreprises, à l'exception de :
• les expositions sur des entreprises identifiées comme « investment grade » au paragraphe 42 ; et
• les expositions sur les entreprises PME au paragraphe 43.
Les banques doivent appliquer le traitement décrit dans le présent paragraphe à leurs expositions sur les entreprises si elles
ont attribué des pondérations de risque à leurs expositions bancaires notées sur la base du paragraphe 21.
42. Les banques situées dans des juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires
peuvent attribuer une pondération de risque de 65 % aux expositions aux entreprises « investment grade ». Une entreprise « investment
grade » est une personne morale qui a la capacité adéquate de respecter ses engagements financiers en temps opportun et sa capacité
à le faire est évaluée comme étant robuste face aux changements défavorables du cycle économique et des conditions commerciales.
Lors de cette détermination, la banque doit évaluer l'entreprise par rapport à la définition de qualité d'investissement en tenant compte de
la complexité de son modèle économique, de ses performances par rapport au secteur et à ses pairs, et des risques posés par
l'environnement opérationnel de l'entité. De plus, la personne morale (ou sa société mère) doit avoir des titres en circulation sur une
bourse de valeurs reconnue.
ventes annuelles
Pour ldes
éclarées
expositions
pour nle
on
groupe
notées
consolidé
sur les entreprises
dont la contrepartie
PME (définies
entreprise
comme
fait
les
partie
expositions
sont inférieures
sur les eontreprises
u égales àd 5
ont
0 m
les
illions
43.
d'euros pour l'exercice le plus récent), un taux de 85 % une pondération de risque sera appliquée. Les expositions sur les PME qui
satisfont aux critères du paragraphe 55 seront traitées comme des expositions réglementaires sur les PME de détail et pondérées à 75 %.
22
Une exposition est notée du point de vue d'une banque si l'exposition est notée par un « établissement d'évaluation du crédit éligible
» (ECAI) reconnu qui a été désigné par la banque (c'estàdire que la banque a informé son autorité de contrôle de son intention d'utiliser
les notations de cet OEEC à des fins réglementaires de manière cohérente (points 103). En d'autres termes, si une notation externe
existe mais que l'agence de notation de crédit n'est pas un OEEC reconnu par l'autorité de surveillance nationale, ou si la notation a été
émise par un OEEC qui n'a pas été désignée par la banque, l'exposition serait considérée comme non notée du point de vue de la banque.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 13
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7.2 Prêts spécialisés
44. Une exposition sur une entreprise sera traitée comme une exposition sur prêt spécialisé si ce prêt possède
certaines ou toutes les caractéristiques suivantes, soit dans leur forme juridique, soit dans leur substance économique :
• L'exposition n'est pas liée à l'immobilier et relève des définitions de financement d'objet, de financement de projet ou de
financement de matières premières au paragraphe 45. Si l'activité est liée à l'immobilier, le traitement serait déterminé
conformément aux paragraphes 59 à 75 ;
• L'exposition concerne généralement une entité (souvent une entité ad hoc (SPV)) qui a été créée spécifiquement pour
financer et/ou exploiter des actifs physiques ;
• L'entité emprunteuse a peu ou pas d'autres actifs ou activités significatifs, et donc peu ou pas de capacité indépendante
à rembourser l'obligation, en dehors des revenus qu'elle tire du ou des actifs financés. La principale source de
remboursement de l'obligation est le revenu généré par le ou les actifs, plutôt que la capacité indépendante de l'entité
emprunteuse ; et
• Les termes de l'obligation donnent au prêteur un degré substantiel de contrôle sur le ou les actifs et les revenus qu'ils
génèrent.
45. Les expositions décrites au paragraphe 44 seront classées dans l'une des trois souscatégories suivantes
de prêts spécialisés :
(je) Le financement de projet fait référence à la méthode de financement dans laquelle le prêteur se tourne principalement
vers les revenus générés par un seul projet, à la fois comme source de remboursement et comme garantie du prêt. Ce
type de financement est généralement destiné aux grandes installations complexes et coûteuses telles que les centrales
électriques, les usines de traitement chimique, les mines, les infrastructures de transport, l'environnement, les médias
et les télécommunications. Le financement de projet peut prendre la forme du financement de la construction d'une
nouvelle installation capitale ou du refinancement d'une installation existante, avec ou sans améliorations.
(ii) Le financement d'objets fait référence à la méthode de financement de l'acquisition d'équipements (par exemple, des
navires, des avions, des satellites, des wagons et des flottes) où le remboursement du prêt dépend des flux de trésorerie
générés par les actifs spécifiques qui ont été financés et mis en gage ou cédés. au prêteur.
(iii) Le financement des matières premières fait référence aux prêts à court terme pour financer les réserves, les stocks ou les
créances de matières premières négociées en bourse (par exemple, le pétrole brut, les métaux ou les cultures), où le prêt
sera remboursé à partir du produit de la vente de la matière première et de l'emprunteur n'a pas la capacité indépendante
de rembourser le prêt.
46. Les banques constituées dans des juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires
attribueront à leurs expositions de prêt spécialisées les pondérations de risque déterminées par les notations externes spécifiques à
l'émission, si elles sont disponibles, conformément au tableau 10. Les notations d'émetteur ne doivent pas être utilisées ( c'estàdire
que le paragraphe 107 ne s'applique pas dans le cas d'expositions sur prêts spécialisés).
47. Pour les expositions sur prêts spécialisés pour lesquelles une notation externe spécifique à l'émission n'est pas disponible,
et pour toutes les expositions sur prêts spécialisés de banques constituées dans des juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de
notations externes à des fins réglementaires, les pondérations de risque suivantes s'appliqueront :
• Les expositions sur la finance d'objets et de matières premières seront pondérées à 100 % ;
• Les expositions au financement de projets seront pondérées à 130 % pendant la phase préopérationnelle et à 100 %
pendant la phase opérationnelle. Les expositions au financement de projets en phase opérationnelle qui sont jugées
de haute qualité, comme décrit au paragraphe 48, seront pondérées à 80 %. À cette fin, la phase opérationnelle est
définie comme la phase au cours de laquelle l'entité qui a été spécifiquement créée pour financer le projet dispose (i)
d'un flux de trésorerie net positif suffisant pour couvrir toute obligation contractuelle restante, et (ii) d'une dette à long
terme décroissante .
48. Une exposition au financement de projets de haute qualité fait référence à une exposition à une entité de financement
de projets qui est en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et dont la capacité à le faire est jugée solide
14 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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contre les changements défavorables du cycle économique et de la conjoncture économique. Les conditions suivantes doivent également
être remplies :
• L'entité de financement de projet est empêchée d'agir au détriment des créanciers (par exemple en ne pouvant
pas émettre de dette supplémentaire sans le consentement des créanciers existants) ;
• L'entité de financement de projet dispose de fonds de réserve suffisants ou d'autres arrangements financiers
pour couvrir les besoins de fonds de prévoyance et de fonds de roulement du projet ;
• Les revenus sont basés sur la disponibilité23 ou soumis à une réglementation du taux de rendement ou à un contrat
d'achat ferme ;
• Les revenus de l'entité de financement de projets dépendent d'une contrepartie principale et cette contrepartie principale
doit être une administration centrale, une ESP ou une personne morale dont la pondération de risque est inférieure ou
égale à 80 % ;
• Les dispositions contractuelles régissant l'exposition à l'entité de financement de projet prévoient un degré
élevé de protection des créanciers en cas de défaillance de l'entité de financement de projet ;
• La contrepartie principale ou d'autres contreparties qui remplissent également les critères d'éligibilité de la
contrepartie principale protégeront les créanciers des pertes résultant d'un arrêt du projet ;
• Tous les actifs et contrats nécessaires à l'exploitation du projet ont été donnés en gage aux créanciers dans
la mesure permise par la loi applicable ; et
• Les créanciers peuvent prendre le contrôle de l'entité de financement de projet en cas de défaillance de celleci.
8. Dettes subordonnées, fonds propres et autres instruments de fonds propres
49. Le traitement décrit aux paragraphes 50 à 53 s'applique aux titres de créance subordonnés, aux actions et
aux autres instruments de fonds propres réglementaires émis par des entreprises ou des banques, à condition que
ces instruments ne soient pas déduits des fonds propres réglementaires ou pondérés en fonction des risques à 250 %
conformément aux paragraphes 87 à 90 du le cadre Bâle III (juin 2011). Les expositions sur actions sont définies sur
la base de la substance économique de l'instrument. Ils comprennent les participations directes et indirectes24, avec
ou sans droit de vote, dans les actifs et les revenus d'une entreprise commerciale ou d'une institution financière qui ne
sont ni consolidés ni déduits. Un instrument est considéré comme une exposition sur actions s'il satisfait à toutes les
exigences suivantes :
• Il est irrécupérable en ce sens que le rendement des fonds investis ne peut être obtenu que par la vente de
l'investissement ou la vente des droits à l'investissement ou par la liquidation de l'émetteur ;
• Il n'implique pas d'obligation de la part de l'émetteur ; et
• Il transmet une créance résiduelle sur les actifs ou les revenus de l'émetteur.
En outre, l'un des instruments suivants doit être classé comme une exposition aux actions :
23
Les revenus basés sur la disponibilité signifient qu'une fois la construction achevée, l'entité de financement du projet a droit à des paiements de ses contreparties
contractuelles (par exemple, le gouvernement), tant que les conditions du contrat sont remplies. Les paiements de disponibilité sont dimensionnés pour couvrir les
coûts d'exploitation et de maintenance, les coûts du service de la dette et les rendements des capitaux propres lorsque l'entité de financement du projet exploite le
projet. Les paiements de disponibilité ne sont pas soumis aux fluctuations de la demande, telles que les niveaux de trafic, et ne sont généralement ajustés qu'en
cas de manque de performance ou de manque de disponibilité de l'actif pour le public.
24
Les participations indirectes comprennent les détentions d'instruments dérivés liés à des participations et les participations dans des sociétés, des partenariats,
des sociétés à responsabilité limitée ou d'autres types d'entreprises qui émettent des participations et dont l'activité principale consiste à investir dans des
instruments de capitaux propres.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 15
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• Un instrument avec la même structure que ceux autorisés comme fonds propres Tier 1 pour les organismes
bancaires.
• Instrument qui exprime une obligation de la part de l'émetteur et remplit l'une des conditions suivantes :
1) L'émetteur peut différer indéfiniment le règlement de l'obligation ;
2) L'obligation requiert (ou permet, à la discrétion de l'émetteur) le règlement par l'émission d'un
nombre fixe d'actions de l'émetteur ;
3) L'obligation exige (ou permet, à la discrétion de l'émetteur) le règlement par l'émission d'un nombre
variable d'actions de l'émetteur et (ceteris paribus) toute variation de la valeur de l'obligation est
attribuable à, comparable à et dans le même sens que, la variation de la valeur d'un nombre fixe
d'actions de l'émetteur 25 ; ou,
4) Le détenteur a la possibilité d'exiger que l'obligation soit réglée en actions, à moins que (i) dans le
cas d'un instrument négocié, l'autorité de contrôle soit convaincue que la banque a démontré que
l'instrument se négocie davantage comme la dette de l'émetteur que comme ses fonds propres,
ou (ii) dans le cas d'instruments non négociés, l'autorité de contrôle est convaincue que la banque
a démontré que l'instrument doit être traité comme une dette
position. Dans les cas (i) et (ii), la banque peut décomposer les risques à des fins réglementaires,
avec l'accord du superviseur.
Les titres de créance et autres titres, sociétés de personnes, produits dérivés ou autres véhicules structurés
dans le but de transmettre la substance économique de l'actionnariat sont considérés comme un avoir en actions.26
Cela comprend les passifs dont le rendement est lié à celui des actions.27 À l'inverse, les investissements en actions
qui sont structurés dans le but de transmettre la substance économique des titres de créance ou des expositions de
titrisation ne seraient pas considérés comme des titres de participation28.
25
Pour certaines obligations qui nécessitent ou permettent le règlement par l'émission d'un nombre variable d'actions de participation de l'émetteur, la variation
de la valeur monétaire de l'obligation est égale à la variation de la juste valeur d'un nombre fixe d'actions de participation multipliée par un facteur spécifié .
Ces obligations remplissent les conditions du point 3 si tant le facteur que le nombre d'actions de référence sont fixes. Par exemple, un émetteur peut être
tenu de régler une obligation en émettant des actions d'une valeur égale à trois fois l'appréciation de la juste valeur de 1 000 actions. Cette obligation est
assimilée à une obligation qui nécessite un règlement par émission d'actions égale à l'appréciation de la juste valeur de 3 000 actions.
26
Les actions qui sont enregistrées comme un prêt mais qui résultent d'un échange de dettes/actions réalisé dans le cadre de la réalisation ordonnée ou de la
restructuration de la dette sont incluses dans la définition des participations. Toutefois, ces instruments peuvent ne pas entraîner une charge de capital
inférieure à celle qui s'appliquerait si les avoirs restaient dans le portefeuille de la dette.
27
Les autorités de contrôle peuvent décider de ne pas exiger que ces passifs soient inclus lorsqu'ils sont directement couverts par une participation en actions,
de sorte que la position nette n'implique pas de risque significatif.
28 L'autorité de contrôle nationale a le pouvoir discrétionnaire de requalifier les avoirs en titres de créance en actions à des fins réglementaires et d'assurer par ailleurs le traitement approprié des avoirs au titre du pilier 2.
16 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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50. Les banques attribueront une pondération de risque de 400 % aux expositions spéculatives sur actions non cotées décrites au
paragraphe 51 et une pondération de risque de 250 % à toutes les autres participations en actions, à l'exception des participations en
actions visées au paragraphe 52.29
51. Les expositions spéculatives sur actions non cotées sont définies comme des investissements en actions dans des sociétés
non cotées qui sont investis à des fins de revente à court terme ou sont considérés comme du capitalrisque ou des investissements
similaires qui sont soumis à la volatilité des prix et qui sont acquis en prévision de plusvalues futures importantes30.
détenues en
52.
vertu
Les
de
superviseurs
programmes
nationaux
nationaux
peuvent
légiférés
autoriser
qui accordent
les banques
des subventions
à attribuer uimportantes
ne pondération
pour
dle
'investissement
risque de 100 à
% l a
aux
banque
participations
et
impliquent une surveillance et des restrictions gouvernementales sur les investissements en actions. Un tel traitement ne peut être accordé
qu'aux participations en actions jusqu'à un total de 10 % des fonds propres Tier 1 et Tier 2 combinés de la banque. Des exemples de
restrictions sont les limitations sur la taille et les types d'entreprises dans lesquelles la banque investit, les montants admissibles de
participations, la situation géographique et d'autres facteurs pertinents qui limitent le risque potentiel de l'investissement pour la banque.
que 53. les aLes
ctions.
banques
Les passifs
attribueront
qui répondent
une pondération
à la définition
de risque
des d
«e
a1
utres
50 %p assifs
aux dettes
TLAC
subordonnées
» aux paragraphes
et aux
6instruments
6b et 66c de
de
la
cvapital
ersion
autres
amendée de Bâle III énoncée dans la norme de détention TLAC (octobre 2016) et qui ne sont pas déduits des fonds propres réglementaires
sont considérés comme des dettes subordonnées pour aux fins de ce paragraphe.
9. Expositions de détail
54. Les expositions sur la clientèle de détail sont des expositions sur une ou plusieurs personnes physiques ou sur des PME de détail
réglementées31. Les expositions sur la clientèle de détail garanties par des biens immobiliers seront traitées conformément aux paragraphes 59 à 75. Toutes
les autres expositions sur la clientèle de détail seront traitées comme indiqué aux paragraphes 55 à 58.
55. Les expositions sur la clientèle de détail qui satisfont à tous les critères énumérés cidessous seront classées dans la catégorie
des expositions « réglementation sur la clientèle de détail » et pondérées à 75 %. Les expositions de détail en défaut doivent être exclues
du portefeuille global de détail réglementaire lors de l'évaluation du critère de granularité.
• Critère du produit : l'exposition prend la forme de l'un des éléments suivants : crédits renouvelables et lignes de crédit (y compris
les cartes de crédit, les cartes de paiement et les découverts), prêts personnels à terme et contrats de location (par exemple,
prêts à tempérament, prêts et contrats de location automobiles, prêts étudiants et étudiants , finances personnelles) et
29 Le traitement de pondération des risques décrit au paragraphe 50, à l'exclusion des participations visées au paragraphe 52, fera l'objet d'un accord progressif linéaire de cinq ans à compter
de la date de mise en œuvre de la présente norme. Pour les expositions spéculatives sur actions non cotées, la pondération de risque applicable commencera à 100 % et augmentera
de 60 points de pourcentage à la fin de chaque année jusqu'à la fin de l'année 5. Pour toutes les autres participations en actions, la pondération de risque applicable commencera à
100 % et augmenter de 30 points de pourcentage à la fin de chaque année jusqu'à la fin de l'année 5.
30
Par exemple, les investissements dans des actions non cotées d'entreprises clientes avec lesquelles la banque a ou a l'intention d'établir une relation d'affaires
à long terme et les échanges de dettes contre des actions à des fins de restructuration d'entreprise seraient exclus.
31
Les PME de détail réglementées sont des PME, définies conformément au paragraphe 43, qui satisfont aux exigences énoncées au paragraphe 55.
Dans certaines juridictions (par exemple, les économies émergentes), les superviseurs nationaux pourraient juger approprié de définir les PME de manière
plus conservatrice (c'estàdire avec un niveau de ventes inférieur).
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 17
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installations et engagements des petites entreprises. Les prêts hypothécaires, les produits dérivés et les autres titres (tels
que les obligations et les actions), cotés ou non, sont spécifiquement exclus de cette catégorie.
• Faible valeur des expositions individuelles : l'exposition maximale agrégée sur une contrepartie ne peut excéder un seuil
absolu de 1 million d'euros.
• Critère de granularité : aucune exposition agrégée à une contrepartie32 ne peut dépasser 0,2 %33 du portefeuille global
de détail réglementaire, à moins que les superviseurs nationaux n'aient déterminé une autre méthode pour assurer une
diversification satisfaisante du portefeuille de détail réglementaire.
56. Les expositions « réglementaires de détail » qui satisfont aux critères du paragraphe 55 et qui découlent de débiteurs
qualifiés de négociateurs seront pondérées à 45 %. Les agents de transaction sont débiteurs en ce qui concerne les facilités telles
que les cartes de crédit et les cartes de paiement dont le solde a été intégralement remboursé à chaque date de remboursement
prévue pour les 12 mois précédents. Les débiteurs liés aux facilités de découvert seraient également considérés comme des agents
de transaction s'il n'y a pas eu de prélèvements au cours des 12 derniers mois.
57. « Autres commerces de détail » : les expositions sur une ou plusieurs personnes physiques qui ne remplissent pas tous
les critères du paragraphe 55 seront pondérées à 100 %.
58. Les expositions sur les PME qui ne satisfont pas à tous les critères énoncés au paragraphe 55 seront traitées comme des expositions sur les
PME entreprises en vertu du paragraphe 43, à moins qu'elles ne soient garanties par un bien immobilier.
dix. Classe d'exposition immobilière
59. Les pondérations de risque des tableaux 11, 12, 13 et 14 et les approches exposées aux paragraphes 65 et 71
s'appliqueront aux juridictions où des facteurs structurels entraînent des pertes de crédit durablement faibles associées aux
expositions au marché immobilier. Les superviseurs nationaux devraient évaluer si les pondérations de risque dans les tableaux de
pondération de risque correspondants sont trop faibles pour ces types d'expositions dans leurs juridictions en fonction de l'expérience
en matière de défaut et d'autres facteurs tels que la stabilité des prix du marché. Les autorités de contrôle peuvent exiger des banques
de leur juridiction qu'elles augmentent ces pondérations de risque, le cas échéant.
60. Pour appliquer les pondérations de risque des tableaux 11, 12, 13 et 14 et les approches exposées aux paragraphes 65
et 71, le prêt doit satisfaire aux exigences suivantes:
• Bien fini : le bien garantissant l'exposition doit être entièrement achevé. Cette exigence ne s'applique pas aux terres
forestières et agricoles. Sous réserve de la discrétion nationale, les autorités de contrôle peuvent appliquer le traitement
de pondération des risques décrit aux paragraphes 64 et 65 pour les prêts aux particuliers qui sont garantis par un bien
résidentiel en construction ou un terrain sur lequel un bien résidentiel serait construit, à condition que: (i) le bien soit une
unité d'habitation résidentielle unifamiliale à quatre familles qui sera la résidence principale de l'emprunteur et le prêt au
particulier n'est pas, en
32
L'exposition agrégée désigne le montant brut (c'estàdire sans tenir compte d'aucune atténuation du risque de crédit) de toutes les formes
d'expositions sur la clientèle de détail, à l'exclusion des expositions sur l'immobilier résidentiel. En cas de créances hors bilan, le montant brut
serait calculé après application des facteurs de conversion de crédit. En outre, « à une contrepartie » désigne une ou plusieurs entités pouvant
être considérées comme un seul bénéficiaire (par exemple, dans le cas d'une petite entreprise affiliée à une autre petite entreprise, la limite
s'appliquerait à l'exposition agrégée de la banque sur les deux entreprises ).
33
Pour éviter les calculs circulaires, le critère de granularité ne sera vérifié qu'une seule fois. Le calcul doit être fait sur le portefeuille d'expositions
retail répondant aux critères de produit et d'orientation ainsi que sur la faible valeur de l'exposition.
18 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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effet, finançant indirectement les risques liés à l'acquisition, au développement et à la construction de
terrains décrits au paragraphe 74 ; ou (ii) lorsque le souverain ou les PSE concernés ont les pouvoirs
légaux et la capacité de garantir que le bien en construction sera terminé.
• Force exécutoire légale : toute réclamation sur la propriété prise doit être juridiquement exécutoire dans
toutes les juridictions concernées. L'accord de garantie et le processus juridique qui le soustend doivent
être tels qu'ils permettent à la banque de réaliser la valeur du bien dans un délai raisonnable.
• Créances sur la propriété : le prêt est une créance sur la propriété où la banque prêteuse détient un premier
privilège sur la propriété, ou une seule banque détient le premier privilège et tout privilège de rang inférieur
(c'estàdire qu'il n'y a pas de privilège intermédiaire de une autre banque) sur la même propriété. Toutefois,
dans les juridictions où les privilèges juniors fournissent au détenteur une créance de garantie qui est
juridiquement exécutoire et constitue une atténuation efficace du risque de crédit, les privilèges juniors détenus
détient le privilège senior peuvent également être reconnu. exigences, les cpar
une
naationaux
adres utre banque que clelle
régissant es qui
privilèges devraient garantir ce qui suit : (i) chaque banque détenant un privilège sur un bien peut initier la
vente du bien indépendamment des autres entités détenant un privilège sur le bien ; et (ii) lorsque la vente du
bien n'est pas effectuée au moyen d'une vente aux enchères publiques, les entités détenant un privilège de
premier rang prennent des mesures raisonnables pour obtenir une juste valeur marchande ou le meilleur prix
qui peut être obtenu dans les circonstances lors de l'exercice de tout pouvoir de vente par euxmêmes (c'està
dire qu'il n'est pas possible pour l'entité détenant le privilège de premier rang de vendre le bien seul à une
valeur actualisée au détriment du privilège de rang inférieur).35
• Capacité de remboursement de l'emprunteur : l'emprunteur doit satisfaire aux exigences fixées conformément
au paragraphe 61.
• Valeur prudente du bien : le bien doit être évalué selon les critères du paragraphe 62 pour déterminer la
valeur dans le ratio prêt/valeur (LTV). De plus, la valeur du bien ne doit pas dépendre matériellement de
la performance de l'emprunteur.
34
De même, cela s'appliquerait aux privilèges juniors détenus par la même banque qui détient le privilège senior en cas de privilège intermédiaire d'une autre
banque (c'estàdire que les privilèges senior et junior détenus par la banque ne sont pas classés par ordre séquentiel).
35
Dans certaines juridictions, la majorité des prêts bancaires aux particuliers pour l'achat d'une propriété résidentielle ne sont pas accordés sous forme d'hypothèques
sous forme juridique. Au lieu de cela, ils sont généralement fournis sous forme de prêts garantis par un garant monoline hautement coté qui est tenu de rembourser
intégralement la banque si l'emprunteur fait défaut, et où la banque a le droit légal de prendre une hypothèque sur la propriété dans le cas où le le garant fait
défaut. Ces prêts peuvent être traités comme des expositions sur l'immobilier résidentiel (plutôt que comme des prêts garantis) si les conditions supplémentaires
suivantes sont remplies :
(i) l'emprunteur s'engage contractuellement à ne consentir aucun privilège hypothécaire sans l'accord de la banque qui
accordé le prêt ;
(ii) le garant est soit une banque, soit un établissement financier soumis à des exigences de fonds propres comparables à celles appliquées
à des banques ou à une entreprise d'assurance ;
iii) le garant établit un fonds mutuel de garantie entièrement financé ou une protection équivalente pour les entreprises d'assurance afin d'absorber les pertes liées
au risque de crédit, dont le calibrage est périodiquement revu par ses autorités de contrôle et soumis à des tests de résistance périodiques ; et
(iv) la banque sera contractuellement et légalement autorisée à prendre une hypothèque sur le bien dans le cas où le garant
échoue.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 19
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• Documentation requise : toutes les informations requises à l'origine du prêt et à des fins de suivi doivent être
correctement documentées, y compris les informations sur la capacité de remboursement de l'emprunteur et sur
l'évaluation de la propriété.
61. Les superviseurs nationaux devraient veiller à ce que les banques mettent en place des politiques de souscription
en ce qui concerne l'octroi de prêts hypothécaires, qui incluent l'évaluation de la capacité de remboursement de l'emprunteur.
Les politiques de souscription doivent définir une ou plusieurs mesures (telles que le ratio de couverture du service de la dette
du prêt) et spécifier son (leurs) niveau(x) pertinent(s) correspondant(s) pour effectuer une telle évaluation.36 Les politiques de
souscription doivent également être appropriées lorsque le remboursement du prêt hypothécaire dépend sensiblement des
flux de trésorerie générés par la propriété, y compris des mesures pertinentes (telles que le taux d'occupation de la propriété).
Les superviseurs nationaux peuvent fournir des conseils sur les définitions et les niveaux appropriés pour ces paramètres dans
leurs juridictions.
62. Le ratio LTV est le montant du prêt divisé par la valeur du bien. La valeur de la propriété sera maintenue à la valeur
mesurée à l'origine à moins que les superviseurs nationaux ne décident d'exiger des banques qu'elles révisent la valeur de la
propriété à la baisse.37 La valeur doit être ajustée si un événement extraordinaire et idiosyncrasique se produit entraînant une
réduction permanente de la valeur de la propriété. . Les modifications apportées à la propriété qui augmentent sans équivoque
sa valeur pourraient également être prises en compte dans le LTV. Lors du calcul du ratio LTV, le montant du prêt sera réduit
à mesure que le prêt s'amortit.
Le ratio LTV doit être calculé avec prudence conformément aux exigences suivantes :
• Montant du prêt : comprend le montant du prêt en cours et tout montant engagé non utilisé du prêt hypothécaire.38
Le montant du prêt doit être calculé brut de toutes les provisions et autres atténuateurs de risque, à l'exception des
comptes de dépôt gagés auprès de la banque prêteuse qui satisfont à toutes les exigences compensation au bilan
et ont été nanties inconditionnellement et irrévocablement aux seules fins du remboursement du prêt hypothécaire39.
36
Les paramètres et les niveaux de mesure de la capacité de remboursement doivent refléter les Principes du FSB pour de saines pratiques de souscription
de prêts hypothécaires résidentiels (avril 2012).
37
Si la valeur a été ajustée à la baisse, un ajustement ultérieur à la hausse peut être effectué mais pas à une valeur supérieure à la valeur à l'origine.
38
Si une banque accorde différents prêts garantis par le même bien et qu'ils sont séquentiels dans l'ordre de classement (c'estàdire qu'il n'y a pas de privilège
intermédiaire d'une autre banque), les différents prêts doivent être considérés comme une exposition unique à des fins de pondération des risques, et le
montant de les prêts doivent être ajoutés pour calculer le ratio LTV.
39
Dans les juridictions où les privilèges de second rang détenus par une banque différente de celle qui détient le privilège de rang supérieur sont reconnus
(conformément au paragraphe 60), le montant du prêt des privilèges de rang inférieur doit inclure tous les autres prêts garantis par des privilèges de rang
égal ou supérieur au privilège de la banque garantir le prêt aux fins de définir la tranche LTV et la pondération des risques pour le privilège junior.
S'il n'y a pas suffisamment d'informations pour déterminer le rang des autres privilèges, la banque doit supposer que ces privilèges sont de même rang que
le privilège junior détenu par la banque. Ce traitement ne s'applique pas aux expositions pondérées selon les paragraphes 65 et 71, où le privilège de second
rang serait pris en compte dans le calcul de la valeur du bien. La banque déterminera d'abord la pondération de risque « de base » sur la base des tableaux
11, 12, 13 ou 14, selon le cas, et ajustera la pondération de risque « de base » par un multiplicateur de 1,25, pour l'appliquer au montant du prêt du privilège
junior. Si la pondération de risque « de base » correspond à la tranche de LTV la plus basse, le multiplicateur ne sera pas appliqué. La pondération de risque
résultante de la multiplication de la pondération de risque « de base » par 1,25 sera plafonnée à la pondération de risque appliquée à l'exposition lorsque les
exigences du paragraphe 60 sont respectées.
pas rencontré.
20 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• 40
Valeur du bien : l'évaluation doit être effectuée de manière indépendante en utilisant des critères
d'évaluation prudents
et conservateurs. Afin de s'assurer que la valeur de la propriété est évaluée d'une manière prudente et prudente,
l'évaluation doit exclure les attentes sur les augmentations de prix et doit être ajustée pour tenir compte de la possibilité
que le prix actuel du marché soit nettement supérieur à la valeur qui serait soutenable sur la durée de vie du prêt. Les
autorités nationales de surveillance devraient fournir des orientations définissant des critères d'évaluation prudents
lorsque de telles orientations n'existent pas déjà en vertu du droit national. Si une valeur de marché peut être
déterminée, l'évaluation ne doit pas être supérieure à la valeur de marché.41
Une garantie ou une sûreté financière peut être reconnue comme un facteur d'atténuation du risque de crédit en ce
qui concerne les expositions garanties par des biens immobiliers si elle est admissible en tant que sûreté éligible en vertu du
cadre d'atténuation du risque de crédit. Cela peut inclure une assurance hypothécaire42 si elle répond aux exigences
opérationnelles du cadre d'atténuation du risque de crédit pour une garantie. Les banques peuvent tenir compte de ces facteurs
d'atténuation du risque dans le calcul du montant d'exposition ; cependant, la tranche LTV et la pondération de risque à appliquer
au montant d'exposition doivent être déterminées avant l'application de la technique appropriée d'atténuation du risque de crédit.
10.1 Expositions sécurisées par l'immobilier résidentiel
63. Une exposition immobilière résidentielle est une exposition garantie par un bien immeuble ayant le caractère d'un
logement et qui satisfait à toutes les lois et réglementations applicables permettant d'occuper le bien à des fins d'habitation (c'est
àdire un bien résidentiel)43.
64. Lorsque les exigences du paragraphe 60 sont remplies et sous réserve que les paragraphes 67, 74 et 75 ne
s'appliquent pas, la pondération de risque à attribuer au montant total de l'exposition sera déterminée sur la base du ratio LTV de
l'exposition dans le tableau 11.
Tableau de pondération des risques pour les expositions sur l'immobilier résidentiel
(Le remboursement ne dépend pas matériellement des flux de trésorerie générés par la propriété) Tableau 11
65. Comme alternative à l'approche du paragraphe 64, lorsque les exigences du paragraphe 60 sont remplies et à
condition que les paragraphes 67, 74 et 75 ne soient pas applicables, les juridictions peuvent appliquer une pondération de risque
de 20 % à la partie de l'exposition jusqu'à 55 % de la valeur de la propriété et de la pondération de risque de la contrepartie 44
tels que prescrits dans la note de bas de page 45 à l'exposition résiduelle.
Lorsqu'il deétenus
xiste des
par
privilèges
la banque,
sur
le
la
traitement
propriété e
qst
ui lne
e
ssuivant :
ont pas
• Cas 1 : la banque détient le privilège junior et il existe des privilèges seniors non détenus par la banque. Lorsque la
valeur de tous les privilèges dépasse 55 % de la valeur de la propriété, le montant du privilège de la banque qui est
éligible à la pondération de risque de 20 % doit être calculé comme le maximum de : (i) 55 % de la valeur de la
propriété moins le montant de les privilèges de premier rang ; et (ii) zéro. Par exemple, pour un prêt de 70 000 € à un
40 L'évaluation doit être effectuée indépendamment du processus d'acquisition de prêts hypothécaires, de traitement des prêts et de décision de prêt de la banque.
41
Dans le cas où le prêt hypothécaire finance l'achat de la propriété, la valeur de la propriété aux fins de LTV ne sera pas supérieure au prix d'achat effectif.
42
L'utilisation de l'assurance hypothécaire par une banque doit refléter les principes du FSB pour une souscription saine de prêts hypothécaires résidentiels (avril 2012).
43
Pour les biens résidentiels en construction décrits au paragraphe 60, cela signifie qu'il faut s'attendre à ce que le bien satisfasse à toutes les lois et réglementations
applicables permettant au bien d'être occupé à des fins de logement.
44
Par exemple, pour un prêt de 70 000 € à un particulier garanti sur un bien immobilier évalué à 100 000 €, la banque appliquera une pondération de risque de 20 % à
55 000 € de l'exposition et, selon la note de bas de page 45, une pondération de risque de 75 % à l'exposition résiduelle de 15 000 €.
Cela donne un total d'actifs pondérés en fonction des risques pour l'exposition de 22 250 € = (0,20 * 55 000 €) + (0,75 * 15 000 €).
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 21
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particulier garanti sur un bien immobilier évalué à 100 000 €, où il existe également un privilège de premier rang de
10 000 € détenu par un autre établissement, la banque appliquera une pondération de risque de 20 % à 45 000 €
(=max(55 000 € 10 000 €, 0 )) de l'exposition et, selon la note de bas de page 45, une pondération de risque de 75
% à l'exposition résiduelle de 25 000 €. Lorsque la valeur de tous les privilèges ne dépasse pas 55 % de la valeur
de la propriété, une pondération de risque de 20 % sera appliquée à l'exposition de la banque.
• Cas 2 : il existe des privilèges non détenus par la banque qui sont de rang égal au privilège de la banque et il n'y a
pas d'autres privilèges de premier rang ou de rang inférieur. Lorsque la valeur de tous les privilèges dépasse 55 %
de la valeur de la propriété, la part de l'exposition de la banque éligible à la pondération de risque de 20 % doit être
calculée comme le produit : (i) de 55 % de la valeur de la propriété ; et (ii) l'exposition de la banque divisée par la
somme de tous les privilèges pari passu. Par exemple, pour un prêt de 70 000 € à un particulier garanti sur un bien
immobilier évalué à 100 000 €, où il existe également un privilège de rang égal de 10 000 € détenu par un autre
établissement, la banque appliquera une pondération de risque de 20 % à € 48 125 (= 55 000 € * 70 000 €/80 000
€) de l'exposition et, selon la note de bas de page 45, une pondération de risque de 75 % à l'exposition résiduelle
de 21 875 €. Lorsque la valeur de tous les privilèges ne dépasse pas 55 % de la valeur de la propriété, une
pondération de risque de 20 % sera appliquée à l'exposition de la banque.
66. Pour les expositions où l'une des exigences du paragraphe 60 n'est pas remplie et des paragraphes 67, 74
et 75 ne sont pas applicables, la pondération de risque applicable sera la pondération de risque de la contrepartie45.
67. Lorsque les perspectives de service du prêt dépendent sensiblement46 des flux de trésorerie générés par le bien
garantissant le prêt plutôt que de la capacité sousjacente de l'emprunteur à assurer le service de la dette à partir d'autres
sources, et sous réserve que les paragraphes 74 et 75 ne s'appliquent pas, l'exposition seront pondérés comme suit :
• si les exigences du paragraphe 60 sont remplies, selon le ratio LTV tel que défini dans le tableau 12 cidessous ; et
• si l'une des conditions du paragraphe 60 n'est pas remplie, à 150 %.
La principale source de ces flux de trésorerie serait généralement le loyer ou les paiements de location, ou la vente
de la propriété résidentielle. La caractéristique distinctive de ces expositions par rapport aux autres expositions sur l'immobilier
résidentiel est que tant le service du prêt que les perspectives de recouvrement en cas de défaut dépendent significativement
des flux de trésorerie générés par le bien garantissant l'exposition.
Tableau de pondération des risques pour les expositions sur l'immobilier résidentiel
(Le remboursement dépend sensiblement des flux de trésorerie générés par la propriété) Tableau 12
68. Les types d'expositions suivants sont exclus du traitement décrit au paragraphe 67 et sont plutôt soumis au traitement
décrit aux paragraphes 64 à 66 :
• Une exposition garantie par une propriété qui est la résidence principale de l'emprunteur ;
45
Pour les expositions sur les particuliers, la pondération de risque appliquée sera de 75 %. Pour les expositions sur les PME, la pondération de risque appliquée sera de 85 %.
Pour les expositions sur d'autres contreparties, la pondération de risque appliquée est la pondération de risque qui serait attribuée à une exposition non garantie sur cette
contrepartie.
46
Il est prévu que la condition de dépendance matérielle s'applique principalement aux prêts aux entreprises, aux PME ou aux SPV, mais ne se limite pas à ces types
d'emprunteurs. Par exemple, un prêt peut être considéré comme matériellement dépendant si plus de 50 % des revenus de l'emprunteur utilisés dans l'évaluation par la
banque de sa capacité à assurer le service du prêt proviennent des flux de trésorerie générés par la propriété résidentielle. Les contrôleurs nationaux peuvent fournir des
orientations supplémentaires définissant des critères sur la manière dont la dépendance matérielle doit être évaluée pour des types d'exposition spécifiques.
22 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Une exposition garantie par un logement résidentiel générateur de revenus, à une personne qui a hypothéqué moins
d'un certain nombre de propriétés ou de logements, tel que spécifié par les superviseurs nationaux ;
• Une exposition garantie par un bien immobilier résidentiel à des associations ou coopératives de personnes
physiques régies par le droit national et existant dans le seul but d'accorder à ses membres l'usage d'une résidence
principale dans le bien garantissant les prêts ; et
• Une exposition garantie par l'immobilier résidentiel aux sociétés de logement public et aux associations à but non
lucratif régies par le droit national qui existent pour servir des objectifs sociaux et pour offrir aux locataires un
logement à long terme.
10.2 Expositions sécurisées par l'immobilier commercial
69. Une exposition sur immobilier d'entreprise est une exposition garantie par tout bien immobilier qui n'est pas
un bien immobilier résidentiel tel que défini au paragraphe 63.
70. Lorsque les exigences du paragraphe 60 sont remplies et sous réserve que les paragraphes 73, 74 et 75 ne
s'appliquent pas, la pondération de risque à attribuer au montant total de l'exposition sera déterminée sur la base du ratio LTV
de l'exposition dans le tableau 13. Aux fins des paragraphes 70 à 72, la « pondération de risque de la contrepartie » fait
référence à 75 % pour les expositions sur les particuliers, 85 % pour les expositions sur les PME et pour les expositions sur
d'autres contreparties, la pondération de risque appliquée est la pondération de risque qui serait attribuée à une exposition non
garantie sur cette contrepartie.
Tableau de pondération des risques pour les expositions sur l'immobilier commercial
(Le remboursement ne dépend pas matériellement des flux de trésorerie générés par la propriété) Tableau 13
LTV ≤ 60% LTV > 60%
71. Comme alternative à l'approche du paragraphe 70, lorsque les exigences du paragraphe 60 sont remplies et à
condition que les paragraphes 73, 74 et 75 ne soient pas applicables, les juridictions peuvent appliquer une pondération de
risque de 60 % ou la pondération de risque de la contrepartie, selon celle qui est inférieure, à la part de l'exposition jusqu'à 55
% de la valeur du bien47, et la pondération de risque de la contrepartie à l'exposition résiduelle.
72. Lorsque l'une des exigences du paragraphe 60 n'est pas remplie et que les paragraphes 73, 74 et 75 ne sont pas
applicables, la pondération de risque appliquée sera la pondération de risque de la contrepartie.
73. Lorsque les perspectives de service du prêt dépendent matériellement48 des flux de trésorerie générés par le bien
garantissant le prêt plutôt que de la capacité sousjacente de l'emprunteur à assurer le service de la dette
47
Lorsqu'il y a des privilèges sur la propriété qui ne sont pas détenus par la banque, la partie de l'exposition jusqu'à 55 % de la valeur de la propriété doit être
réduite du montant des privilèges de premier rang non détenus par la banque et d'un pourcentage au prorata de tout privilège pari passu avec le privilège de la
banque mais non détenu par la banque. Voir le paragraphe 65 pour des exemples de la manière dont cette méthodologie s'applique dans le cas des expositions
résidentielles sur la clientèle de détail.
48
Il est prévu que la condition de dépendance matérielle s'applique principalement aux prêts aux entreprises, aux PME ou aux SPV, mais ne se limite pas à ces
types d'emprunteurs. Par exemple, un prêt peut être considéré comme matériellement dépendant si plus de 50 % des revenus de l'emprunteur utilisés dans
l'évaluation par la banque de sa capacité à assurer le service du prêt proviennent des flux de trésorerie générés par le
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 23
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provenant d'autres sources, 49 et sous réserve que les paragraphes 74 et 75 ne s'appliquent pas, l'exposition sera
pondérée comme suit : 50
• si les exigences du paragraphe 60 sont remplies, selon le ratio LTV tel que défini dans le tableau de pondération
des risques 14 cidessous ; et
• si l'une des conditions du paragraphe 60 n'est pas remplie, à 150 %.
La principale source de ces flux de trésorerie serait généralement le bail ou les paiements de location, ou la
vente, de la propriété commerciale. La caractéristique distinctive de ces expositions par rapport aux autres expositions sur
l'immobilier commercial est que tant le service du prêt que le recouvrement en cas de défaut dépendent sensiblement des
flux de trésorerie générés par le bien garantissant l'exposition.
Tableau de pondération des risques pour les expositions sur l'immobilier commercial
(Le remboursement dépend sensiblement des flux de trésorerie générés par la propriété) Tableau 14
10.3 Expositions liées à l'acquisition, au développement et à la construction de terrains
prêts aux sLes
ociétés
expositions
74. ou SsPV
ur lf'acquisition,
inançant l'acquisition
le développement
de terrains
et àla
dces
onstruction
fins de développement
de terrains (ADC)
et de
51
construction,
font référence
ou ale
ux
développement et la construction de toute propriété résidentielle ou commerciale. Les expositions ADC seront pondérées
à 150 %, sauf si elles satisfont aux critères du paragraphe 75.
75. Les expositions ADC à l'immobilier résidentiel peuvent être pondérées à 100 %, à condition que
les critères suivants sont remplis :
• les normes prudentielles de souscription satisfont aux exigences du paragraphe 60, le cas échéant ;
• les contrats de prévente ou de prélocation représentent une part importante du total des contrats ou des capitaux
propres substantiels à risque. 52 Les contrats de prévente ou de prélocation doivent être des contrats écrits juridiquement
contraignants et l'acheteur/le locataire doit avoir versé un dépôt en espèces substantiel susceptible d'être confisqué en
cas de résiliation du contrat. Les capitaux propres à risque doivent être déterminés comme un montant approprié de
capitaux propres apportés par l'emprunteur par rapport à la valeur d'évaluation du bien immobilier à l'achèvement.
propriété commerciale. Les contrôleurs nationaux peuvent fournir des orientations supplémentaires définissant des critères sur la manière dont la dépendance
matérielle doit être évaluée pour des types d'exposition spécifiques.
49
Pour ces expositions, les autorités de contrôle nationales peuvent autoriser les banques à appliquer le traitement décrit aux paragraphes 70 à 71 sous réserve des
conditions suivantes : (i) les pertes résultant des prêts immobiliers commerciaux jusqu'à 60 % du LTV ne doivent pas dépasser 0,3 % de l'encours prêts au cours
d'une année donnée et (ii) les pertes globales résultant des prêts immobiliers commerciaux ne doivent pas dépasser 0,5 % de l'encours des prêts au cours d'une
année donnée. Si l'un ou l'autre de ces critères n'est pas satisfait au cours d'une année donnée, l'éligibilité à l'exonération cessera et les expositions pour lesquelles
la perspective de remboursement du prêt dépendra sensiblement des flux de trésorerie générés par le bien garantissant le prêt plutôt que de la capacité sousjacente
de l'emprunteur pour assurer le service de la dette à partir d'autres sources sera à nouveau pondérée en fonction des risques conformément au paragraphe 73
jusqu'à ce que les deux tests soient à nouveau satisfaits à l'avenir. Les juridictions appliquant un tel traitement doivent divulguer publiquement si ces conditions sont
remplies.
50
Les autorités de contrôle nationales peuvent exiger que le traitement de pondération des risques décrit au paragraphe 73 soit appliqué aux expositions lorsque le
service du prêt dépend sensiblement des flux de trésorerie générés par un portefeuille de biens immobiliers appartenant à l'emprunteur.
51
Les expositions ADC n'incluent pas l'acquisition de terres forestières ou agricoles, lorsqu'il n'y a pas de permis de construire ou d'intention de demander un permis
de construire.
52
Les superviseurs nationaux donneront des indications supplémentaires sur les niveaux appropriés de contrats de prévente ou de prélocation et/ou de capitaux
propres à risque à appliquer dans leurs juridictions.
24 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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11. Multiplicateur de pondération des risques pour certaines expositions présentant une asymétrie de devises
76. Pour les expositions non couvertes sur l'immobilier de détail et résidentiel sur des particuliers dont la devise
de prêt diffère de la devise de la source de revenu de l'emprunteur, les banques appliqueront un multiplicateur de 1,5
fois la pondération de risque applicable conformément aux paragraphes 54 à 58 et 63 à 68, sous réserve de une
pondération de risque maximale de 150 %.
77. Aux fins du paragraphe 76, une exposition non couverte fait référence à une exposition sur un emprunteur
qui n'a pas de couverture naturelle ou financière contre le risque de change résultant de l'asymétrie de devises entre
la devise des revenus de l'emprunteur et la devise du prêt. Une couverture naturelle existe lorsque l'emprunteur, dans
ses procédures opérationnelles normales, reçoit des revenus en devises correspondant à la devise d'un prêt donné
(par exemple, envois de fonds, revenus locatifs, salaires). Une couverture financière comprend généralement un
contrat légal avec une institution financière (par exemple un contrat à terme). Pour les besoins de l'application du
multiplicateur, seules ces couvertures naturelles ou financières sont considérées comme suffisantes lorsqu'elles
couvrent au moins 90 % de l'échéance du prêt, quel que soit le nombre de couvertures.
12. Éléments hors bilan
78. Les éléments hors bilan seront convertis en équivalents de risque de crédit au moyen de facteurs de
conversion de crédit (CCF). Dans le cas d'engagements, le montant engagé mais non utilisé de l'exposition
serait multiplié par le CCF. À ces fins, l'engagement désigne tout accord contractuel qui a été proposé par la
banque et accepté par le client pour accorder un crédit, acheter des actifs ou émettre des substituts de crédit.53
Il comprend tout accord de ce type qui peut être annulé sans condition par la banque à tout moment sans
notification préalable au débiteur. Il comprend également tout accord de ce type qui peut être annulé par la
banque si le débiteur ne remplit pas les conditions énoncées dans la documentation de la facilité, y compris les
conditions qui doivent être remplies par le débiteur avant tout prélèvement initial ou ultérieur dans le cadre de
l'accord. Les pondérations du risque de contrepartie pour les transactions sur dérivés de gré à gré ne seront
soumises à aucun plafond spécifique.
79. Un CCF de 100% sera appliqué sur les éléments suivants :
• Substituts directs de crédit, p.
53
À la discrétion nationale, une juridiction peut exempter certains accords de la définition des engagements à condition que les conditions
suivantes soient remplies : (i) la banque ne perçoit aucun frais ou commission pour établir ou maintenir les accords ; (ii) le client est tenu de
s'adresser à la banque pour le prélèvement initial et chaque prélèvement ultérieur ; (iii) la banque a pleine autorité, indépendamment du
respect par le client des conditions énoncées dans la documentation de la facilité, sur l'exécution de chaque prélèvement ; et (iv) la décision
de la banque sur l'exécution de chaque prélèvement n'est prise qu'après avoir évalué la solvabilité du client immédiatement avant le
prélèvement. Les accords exemptés qui répondent aux critères cidessus sont limités à certains accords pour les entreprises et les PME,
où les contreparties sont étroitement surveillées en permanence.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 25
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• Contrats de vente et de rachat et ventes d'actifs avec recours54 où le risque de crédit reste à la banque.
• Le prêt de titres bancaires ou le dépôt de titres en garantie par des banques, y compris les cas où ceuxci résultent
d'opérations de type pension (c'estàdire des opérations de mise en pension/prise en pension et de prêt/emprunt
de titres). Le traitement de pondération des risques pour le risque de crédit de contrepartie doit être appliqué en
plus de l'exigence pour risque de crédit sur les titres ou les sûretés fournies, lorsque le risque de crédit des titres
prêtés ou déposés en garantie incombe à la banque. Le présent paragraphe ne s'applique pas aux sûretés fournies
liées à des opérations sur dérivés qui sont traitées conformément aux normes de risque de crédit de contrepartie.
• Achats d'actifs à terme, dépôts à terme à terme et actions et titres partiellement libérés55, qui représentent des
engagements avec un certain tirage.
• Éléments de hors bilan qui sont des substituts de crédit et qui ne sont explicitement inclus dans aucune autre catégorie.
80. Un CCF de 50 % sera appliqué aux facilités d'émission de billets (NIF) et aux facilités de souscription renouvelables
(RUF), quelle que soit l'échéance de la facilité sousjacente.
81. Un CCF de 50 % sera appliqué à certains éléments conditionnels liés à la transaction (par exemple, les cautionnements d'exécution,
cautions de soumission, garanties et lettres de crédit standby liées à des transactions particulières).
82. Un CCF de 40 % sera appliqué aux engagements, quelle que soit l'échéance de la facilité sousjacente, à moins
qu'ils ne soient éligibles à un CCF inférieur.
83. Un CCF de 20 % sera appliqué à la fois aux banques émettrices et confirmatrices des lettres de crédit
commerciales autoliquidatrices à court terme56 découlant du mouvement des marchandises (par exemple, les crédits
documentaires garantis par l'expédition sousjacente).
84. Un CCF de 10% sera appliqué aux engagements résiliables sans condition et à tout moment par la banque sans
préavis, ou qui prévoient effectivement une résiliation automatique en raison de la détérioration de la solvabilité d'un
emprunteur. Les superviseurs nationaux devraient évaluer divers facteurs dans la juridiction, qui peuvent limiter la capacité
des banques à annuler l'engagement dans la pratique, et envisager d'appliquer un CCF plus élevé à certains engagements,
le cas échéant.
85. En cas d'engagement de s'engager sur un poste hors bilan, les banques sont
d'appliquer le plus bas des deux CCF applicables.57
86. Le montant en équivalentcrédit des OFT qui exposent une banque au risque de crédit de contrepartie doit être calculé
selon l'approche globale décrite aux paragraphes 155 à 178. Le montant en équivalentcrédit des dérivés de gré à gré qui exposent
une banque au risque de crédit de contrepartie doit être calculé selon les règles pour le risque de crédit de contrepartie au
paragraphe 189. Comme alternative pour les opérations de financement sur titres et les dérivés de gré à gré, les banques peuvent
utiliser la méthode du modèle interne telle qu'énoncée dans les normes de risque de crédit de contrepartie pour le calcul du montant
équivalentcrédit, sous réserve de l'approbation des autorités de contrôle.
54 Ces éléments sont à pondérer selon le type d'actif et non selon le type de contrepartie avec laquelle
transaction a été conclue.
55 Ces éléments sont à pondérer selon le type d'actif et non selon le type de contrepartie avec laquelle
transaction a été conclue.
56 C'estàdire avec une échéance inférieure à un an. Pour plus de détails, voir Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Traitement du commerce
finance under the Basel capital framework, octobre 2011, www.bis.org/publ/bcbs205.pdf.
57
Par exemple, si une banque s'est engagée à ouvrir des lettres de crédit commerciales autoliquidatrices à court terme découlant de la circulation
des marchandises, un CCF de 20 % sera appliqué (au lieu d'un CCF de 40 %) ; et si une banque a un engagement annulable sans condition
décrit au paragraphe 84 pour émettre des substituts directs de crédit, un CCF de 10 % sera appliqué (au lieu d'un CCF de 100 %).
26 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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87. Les banques doivent surveiller de près les transactions sur titres, matières premières et devises qui ont échoué,
dès le premier jour de leur échec. Une charge de capital sur les transactions échouées doit être calculée conformément à
l'annexe 3 du cadre Bâle II (juin 2006).
88. Les banques sont exposées au risque associé aux transactions sur titres, matières premières et devises non
réglées à compter de la date de transaction. Indépendamment de la comptabilisation ou de la comptabilisation de la
transaction, les transactions non réglées doivent être prises en compte aux fins des exigences de fonds propres
réglementaires. Lorsqu'ils n'apparaissent pas au bilan (c'estàdire la comptabilisation à la date de règlement), le montant
de l'exposition non réglée recevra un CCF de 100 %. Les banques sont encouragées à développer, mettre en œuvre et
améliorer des systèmes de suivi et de contrôle de l'exposition au risque de crédit résultant de transactions non réglées, le
cas échéant, afin qu'elles puissent produire des informations de gestion qui facilitent une action rapide. En outre, lorsque
ces transactions ne sont pas traitées par un mécanisme de livraison contre paiement (DvP) ou de paiement contre
paiement (PvP), les banques doivent calculer une exigence de fonds propres comme indiqué à l'annexe 3 du cadre de
Bâle II (juin 2006) .
défaut est 89.
soumise
Une bàanque
des exigences
qui offre udne
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instruments.
le biais d'un
Pour
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au deuxième
défaut,
les pondérations de risque des actifs inclus dans le panier doivent être agrégées jusqu'à un maximum de 1250 % et
multipliées par le montant nominal de la protection fournie par le dérivé de crédit pour obtenir le montant d'actif pondéré
en fonction des risques. . Pour les dérivés de crédit au second défaut, le traitement est similaire ; toutefois, lors de
l'agrégation des pondérations de risque, l'actif dont le montant pondéré en fonction des risques est le plus faible peut être
exclu du calcul. Ce traitement s'applique respectivement aux dérivés de crédit au nième défaut, pour lesquels les n1
actifs dont les montants pondérés des risques sont les plus faibles peuvent être exclus du calcul.
13. Expositions par défaut
90. Aux fins de pondération des risques dans le cadre de l'approche standard, une exposition en défaut est définie
comme une exposition en souffrance depuis plus de 90 jours ou comme une exposition à un emprunteur en défaut. Un
emprunteur défaillant est un emprunteur à l'égard duquel l'un des événements suivants s'est produit :
• Toute obligation de crédit importante en souffrance depuis plus de 90 jours. Les découverts seront considérés
comme échus une fois que le client aura dépassé une limite conseillée ou aura été informé d'une limite
inférieure à l'encours actuel ;
• Toute obligation de crédit importante a un statut non couru (par exemple, la banque prêteuse ne comptabilise plus les
intérêts courus en tant que produits ou, si elle les comptabilise, constitue un montant équivalent de provisions) ;
• Une radiation ou une provision spécifique au compte est constituée à la suite d'une baisse significative perçue
de la qualité du crédit après que la banque a pris une exposition au crédit de l'emprunteur ;
• Toute obligation de crédit est vendue avec une perte économique importante liée au crédit ;
• Une restructuration en difficulté de toute obligation de crédit (c'estàdire une restructuration qui peut entraîner
une diminution de l'obligation financière causée par l'annulation ou le report important du principal, des intérêts
ou (le cas échéant) des frais) est acceptée par la banque ;
• La faillite de l'emprunteur ou une ordonnance similaire concernant l'une des obligations de crédit de l'emprunteur
envers le groupe bancaire a été déposée ;
• L'emprunteur a demandé ou a été placé en faillite ou en protection similaire lorsque cela éviterait ou retarderait
le remboursement de l'une des obligations de crédit envers le groupe bancaire ; ou
• Toute autre situation dans laquelle la banque considère qu'il est peu probable que l'emprunteur s'acquitte intégralement
de ses obligations de crédit sans recours par la banque à des actions telles que la réalisation de sûretés.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 27
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91. Pour les expositions sur la clientèle de détail, la définition du défaut peut être appliquée au niveau d'une obligation de
crédit particulière plutôt qu'au niveau de l'emprunteur. En tant que tel, le défaut d'un emprunteur sur une obligation n'oblige pas une
banque à traiter toutes les autres obligations envers le groupe bancaire comme étant en défaut.
92. À l'exception des expositions sur l'immobilier résidentiel traitées conformément au paragraphe 93, la part non garantie ou
non garantie d'une exposition en défaut est pondérée en fonction des risques, déduction faite des provisions spécifiques et des
annulations partielles, comme suit:
• 150 % de pondération des risques lorsque les provisions spécifiques sont inférieures à 20 % de l'encours du prêt ; et
• Pondération de risque de 100 % lorsque les provisions spécifiques sont égales ou supérieures à 20 % de l'encours du
prêt58.
93. Les expositions immobilières résidentielles en défaut dont les remboursements ne dépendent pas significativement des
flux de trésorerie générés par le bien garantissant le prêt sont pondérées en fonction des risques nets des provisions spécifiques et
des annulations partielles à 100 %. Les garanties ou sûretés financières qui sont éligibles conformément au cadre d'atténuation du
risque de crédit pourraient être prises en compte dans le calcul de l'exposition conformément au paragraphe 62.
94. Aux fins de la définition de la partie sécurisée ou garantie de l'exposition en défaut, les
les sûretés et les garanties seront les mêmes qu'à des fins d'atténuation du risque de crédit (voir la section D).
14. Autres actifs
95. La pondération de risque standard pour tous les autres actifs sera de 100 %, à l'exception des expositions mentionnées
aux paragraphes 96 et 97.
96. Une pondération de risque de 0 % s'appliquera aux (i) espèces détenues et détenues à la banque ou en transit ; et (ii) des
lingots d'or détenus à la banque ou détenus dans une autre banque sur une base allouée, dans la mesure où les actifs en lingots d'or
sont adossés à des passifs en lingots d'or.
97. Une pondération de risque de 20 % s'appliquera aux espèces en cours d'encaissement.
B Reconnaissance des notations externes par les superviseurs nationaux
1. Le processus de reconnaissance
98. Dans les juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires, seules les évaluations de
crédit provenant d'agences de notation de crédit reconnues comme des organismes externes d'évaluation de crédit (ECAI) seront
autorisées. Les contrôleurs nationaux sont chargés de déterminer en permanence si un ECAI satisfait aux critères énumérés au
paragraphe 99 et la reconnaissance ne devrait être accordée qu'en ce qui concerne les notations ECAI pour les types de sinistres
lorsque tous les critères et conditions sont remplis. Les autorités nationales de surveillance devraient également tenir compte des
critères et des conditions énoncés dans le code de conduite de l'OICV sur les principes fondamentaux des agences de notation de
crédit59 lorsqu'elles déterminent l'éligibilité à un ECAI. Le processus de surveillance pour la reconnaissance des OEEC devrait être
rendu public afin d'éviter des obstacles inutiles à l'entrée.
58
Les superviseurs nationaux ont le pouvoir discrétionnaire de réduire la pondération du risque à 50 % lorsque les provisions spécifiques ne sont pas
inférieures à 50 % de l'encours du prêt.
59
Disponible sur www.iosco.org/library/pubdocs/pdf/IOSCOPD482.pdf.
28 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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2. Critère d'éligibilité
99. Un OEEC doit satisfaire à chacun des huit critères suivants.
• Objectivité : La méthodologie d'attribution des notations externes doit être rigoureuse, systématique et soumise
à une certaine forme de validation basée sur l'expérience historique. De plus, les notations externes doivent
faire l'objet d'un examen continu et être adaptées aux changements de la situation financière. Avant d'être
reconnue par les superviseurs, une méthodologie de notation pour chaque segment de marché, comprenant
un backtesting rigoureux, doit avoir été établie depuis au moins un an et de préférence trois ans.
• Indépendance : Un OEEC doit être indépendant et ne doit pas être soumis à des pressions politiques ou
économiques susceptibles d'influencer la notation. En particulier, un OEEC ne devrait pas retarder ou s'abstenir
de prendre une mesure de notation en raison de son effet potentiel (économique, politique ou autre).
Le processus de notation devrait être aussi libre que possible de toute contrainte qui pourrait survenir dans
des situations où la composition du conseil d'administration ou la structure de l'actionnariat de l'ARC pourrait
être considérée comme créant un conflit d'intérêts. En outre, un OEEC devrait séparer sur le plan opérationnel,
juridique et, si possible, physiquement ses activités de notation des autres entreprises et analystes.
• Accès international/transparence : les notations individuelles, les éléments clés soustendant les évaluations
et la participation ou non de l'émetteur au processus de notation doivent être accessibles au public sur une
base non sélective, sauf s'il s'agit de notations privées, qui doivent être au moins accessibles aux deux et les
institutions étrangères ayant un intérêt légitime et dans des conditions équivalentes. En outre, les procédures,
méthodologies et hypothèses générales de l'ECAI pour l'établissement des notations devraient être rendues
publiques.
• Divulgation : Un OEEC doit divulguer les informations suivantes : son code de conduite ; la nature générale de
ses accords de rémunération avec les entités évaluées ; tout conflit d'intérêts60, les modalités d'indemnisation
de l'ECAI61, ses méthodologies d'évaluation, y compris la définition du défaut, l'horizon temporel et la
signification de chaque notation ; les taux de défaut réels rencontrés dans chaque catégorie d'évaluation ; et
les transitions des notations, par exemple la probabilité que les notations AA deviennent A au fil du temps. Une
notation doit être publiée dès que possible après son émission.
60
Au minimum, les situations suivantes et leur influence sur les méthodologies de notation de crédit ou les actions de notation de crédit de l'OEEC doivent être
divulguées :
• L'ECAI est payé pour émettre une notation de crédit par l'entité notée ou par le débiteur, l'initiateur, le souscripteur ou l'arrangeur de
l'obligation notée ;
• L'ECAI est payé par des souscripteurs ayant un intérêt financier qui pourrait être affecté par une action de notation de crédit de l'ECAI ;
• L'ECAI est payé par des entités notées, des débiteurs, des initiateurs, des souscripteurs, des arrangeurs ou des abonnés pour des services autres que
émettre des notations de crédit ou donner accès aux notations de crédit de l'ECAI ;
• L'ECAI fournit une indication préliminaire ou une indication similaire de la qualité du crédit à une entité, un débiteur, un initiateur, un souscripteur ou un
arrangeur avant d'être engagé pour déterminer la notation de crédit finale de l'entité, du débiteur, du initiateur, du souscripteur ou de l'arrangeur ; et
• L'ECAI détient une participation directe ou indirecte dans une entité notée ou un débiteur, ou une entité notée ou un débiteur détient une participation directe ou
participation indirecte dans l'ECAI.
61
Un OEEC devrait divulguer la nature générale de ses accords de rémunération avec les entités notées, les débiteurs, les principaux souscripteurs,
ou arrangeurs.
Lorsque l'OEEC reçoit d'une entité notée, d'un débiteur, d'un initiateur, d'un chef de file ou d'un arrangeur une rémunération non liée à ses services de notation
de crédit, l'OEEC devrait divulguer cette rémunération non liée en pourcentage de la rémunération annuelle totale reçue de cette entité notée, de ce débiteur,
de ce chef de file , ou l'arrangeur dans le rapport de notation de crédit concerné ou ailleurs, selon le cas.
Un OEEC devrait indiquer dans le rapport de notation de crédit pertinent ou ailleurs, selon le cas, s'il reçoit 10 % ou plus de son chiffre d'affaires annuel d'un
seul client (par exemple, une entité notée, un débiteur, un initiateur, un chef de file, un arrangeur ou un abonné, ou l'un de leurs affiliés).
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 29
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Lors de la divulgation d'une notation, les informations doivent être fournies dans un langage simple, indiquant la nature
et les limites des notations de crédit et le risque de s'appuyer indûment sur elles pour effectuer des investissements.
• Ressources : un OEEC doit disposer de ressources suffisantes pour effectuer des évaluations de crédit de haute qualité.
Ces ressources devraient permettre un contact continu substantiel avec les niveaux supérieurs et opérationnels au sein
des entités évaluées afin d'ajouter de la valeur aux évaluations de crédit. En particulier, les OEEC devraient désigner des
analystes possédant les connaissances et l'expérience appropriées pour évaluer la solvabilité du type d'entité ou
d'obligation faisant l'objet de la notation. Ces évaluations devraient être fondées sur des méthodologies combinant des
approches qualitatives et quantitatives.
• Crédibilité : Dans une certaine mesure, la crédibilité découle des critères cidessus. En outre, le recours aux notations
externes d'un OEEC par des parties indépendantes (investisseurs, assureurs, partenaires commerciaux) est la preuve
de la crédibilité des notations d'un OEEC. La crédibilité d'un OEEC repose également sur l'existence de procédures
internes visant à prévenir l'utilisation abusive d'informations confidentielles. Pour être éligible à la reconnaissance, un
OEEC n'a pas à évaluer les entreprises dans plus d'un pays.
• Pas d'abus des notations non sollicitées : les OEEC ne doivent pas utiliser les notations non sollicitées pour faire pression sur
les entités afin qu'elles obtiennent des notations sollicitées. Les autorités de contrôle devraient envisager de continuer à
reconnaître ces OEEC comme éligibles aux fins de l'adéquation des fonds propres, si un tel comportement est identifié.
• Coopération avec l'autorité de contrôle : les OEEC doivent notifier à l'autorité de contrôle les changements importants
apportés aux méthodologies et donner accès aux notations externes et à d'autres données pertinentes afin d'étayer la
détermination initiale et continue de l'éligibilité.
C Considérations de mise en œuvre dans les juridictions qui autorisent l'utilisation
de notations externes à des fins réglementaires
1. Le processus de cartographie
100. Les autorités de contrôle seront chargées d'attribuer les notations des OEEC éligibles aux pondérations de risque
disponibles dans le cadre standardisé de pondération des risques, c'estàdire de décider quelles catégories de notation
correspondent à quelles pondérations de risque. Le processus de cartographie doit être objectif et doit aboutir à une attribution de
pondération de risque cohérente avec celle du niveau de risque de crédit reflété dans les tableaux cidessus. Il devrait couvrir
l'éventail complet des pondérations de risque.
101. Lors de la réalisation d'un tel processus de cartographie, les facteurs que les autorités de contrôle doivent évaluer comprennent,
entre autres, la taille et l'étendue du groupe d'émetteurs couverts par chaque OEEC, la gamme et la signification des notations qu'il
attribue et la définition du défaut utilisée. par l'ECAI.
102. Afin de promouvoir une cartographie plus cohérente des notations dans les pondérations de risque disponibles et d'aider
les autorités de contrôle à mener un tel processus, l'annexe 2 du cadre de Bâle II (juin 2006) fournit des orientations sur la manière
dont un tel processus de cartographie peut être mené.
103. Les banques doivent utiliser les OEEC choisis et leurs notations de manière cohérente pour tous les types de créances
lorsqu'elles ont été reconnues par leur autorité de contrôle comme OEEC éligibles, tant à des fins de pondération des risques que
de gestion des risques. Les banques ne seront pas autorisées à "choisir" les notations fournies par différents ECAI et à modifier
arbitrairement l'utilisation des ECAI.
30 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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2. Notations externes multiples
104. S'il n'y a qu'une seule notation par un OEEC choisi par une banque pour une créance particulière, cette notation devrait
être utilisé pour déterminer la pondération de risque de l'exposition.
105. S'il existe deux notations par des OEEC choisies par une banque qui correspondent à des pondérations de risque différentes, la plus élevée
Une pondération de risque sera appliquée.
106. S'il existe trois notations ou plus avec des pondérations de risque différentes, il convient de se référer aux deux notations qui
correspondent aux pondérations de risque les plus faibles. Si ceuxci donnent lieu à la même pondération de risque, cette pondération de
risque doit être appliquée. S'il est différent, la pondération de risque la plus élevée doit être appliquée.
3. Détermination de la notation d'une exposition : notations spécifiques à l'émission et à l'émetteur
107. Lorsqu'une banque investit dans une émission particulière assortie d'une notation spécifique, la pondération de risque de l'exposition
sera basée sur cette notation. Lorsque l'exposition de la banque n'est pas un investissement dans une émission notée spécifique, les
principes généraux suivants s'appliquent.
• Dans les circonstances où l'emprunteur a une notation spécifique pour une dette émise mais l'exposition de la banque n'est
pas un investissement dans cette dette particulière une notation de crédit de haute qualité (qui correspond à une pondération
de risque inférieure à celle qui s'applique à une créance non notée ) sur cette dette spécifique ne peut être appliquée à
l'exposition non notée de la banque que si cette créance est à tous égards de rang égal ou prioritaire par rapport à la créance
assortie d'une notation. Dans le cas contraire, la notation externe ne peut pas être utilisée et la créance non évaluée recevra la
pondération de risque pour les expositions non notées.
• Dans les cas où l'emprunteur a une cote d'émetteur, cette cote s'applique généralement aux créances non garanties de premier
rang sur cet émetteur. Par conséquent, seules les créances senior sur cet émetteur bénéficieront d'une notation d'émetteur de
haute qualité. Les autres expositions non évaluées d'un émetteur bien noté seront traitées comme non notées. Si l'émetteur ou
une seule émission a une notation de faible qualité (correspondant à une pondération de risque égale ou supérieure à celle qui
s'applique aux expositions non notées), une exposition non évaluée à la même contrepartie qui est classée pari passu ou est
subordonnée soit à la la notation d'émetteur non garanti de premier rang ou l'exposition assortie d'une notation de faible qualité
se verra attribuer la même pondération de risque que celle applicable à l'évaluation de faible qualité.
• Dans les cas où l'émetteur a une notation spécifique de haute qualité (qui correspond à une pondération de risque plus faible)
qui ne s'applique qu'à une catégorie limitée de passifs (comme une évaluation des dépôts ou une évaluation du risque de
contrepartie), celleci ne peut être utilisée que dans à l'égard des expositions qui relèvent de cette catégorie.
108. Que la banque ait l'intention de s'appuyer sur une notation d'émetteur ou sur une notation spécifique à une émission, la notation
doit prendre en compte et refléter le montant total de l'exposition au risque de crédit de la banque en ce qui concerne tous les paiements qui
lui sont dus.62
62
Par exemple, si une banque doit à la fois le principal et les intérêts, l'évaluation doit pleinement prendre en compte et refléter le risque
de crédit associé au remboursement du principal et des intérêts.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 31
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109. Afin d'éviter tout double comptage des facteurs de rehaussement de crédit, aucune reconnaissance prudentielle des
techniques d'atténuation du risque de crédit ne sera prise en compte si le rehaussement de crédit est déjà pris en compte dans la
notation spécifique à l'émission (voir paragraphe 121).
4. Notations en monnaie nationale et en devises étrangères
110. Lorsque les expositions sont pondérées en fonction des risques sur la base de la notation d'une exposition équivalente à cet
emprunteur, la règle générale est que les notations en devises seraient utilisées pour les expositions en devises.
Les notations en monnaie nationale, si elles sont distinctes, ne seraient utilisées que pour pondérer les risques libellés dans la monnaie
nationale63.
5. Notations court terme/long terme
111. Aux fins de pondération des risques, les notations à court terme sont considérées comme spécifiques à une émission. Ils ne
peuvent être utilisés que pour dériver des pondérations de risque pour les expositions découlant de la facilité notée. Elles ne peuvent
être généralisées à d'autres expositions à court terme, sauf dans les conditions du paragraphe 113. En aucun cas, une notation à court
terme ne peut être utilisée pour étayer une pondération de risque pour une exposition à long terme non notée. Les notations à court
terme ne peuvent être utilisées que pour les expositions à court terme sur les banques et les entreprises. Le tableau cidessous fournit
un cadre pour les expositions des banques à des facilités à court terme spécifiques, telles qu'une émission particulière de papier commercial :
Tableau de pondération des risques pour les notations spécifiques à court terme Tableau 15
112. Si une facilité à court terme notée attire une pondération de risque de 50 %, les expositions à court terme non notées ne peuvent
pas attirer une pondération de risque inférieure à 100 %. Si un émetteur dispose d'une facilité à court terme avec une notation externe qui
justifie une pondération de risque de 150 %, toutes les expositions non notées, qu'elles soient à long terme ou à court terme, devraient également
recevoir une pondération de risque de 150 %, à moins que la banque n'utilise des crédits reconnus. techniques d'atténuation des risques pour
de telles expositions.
113. Dans les cas où des notations à court terme sont disponibles, l'interaction suivante avec les
le traitement préférentiel des expositions à court terme sur les banques tel que décrit au paragraphe 19 s'appliquera :
• Le traitement préférentiel général pour les expositions à court terme s'applique à toutes les expositions sur les banques d'une
échéance initiale inférieure ou égale à trois mois lorsqu'il n'y a pas d'évaluation spécifique des créances à court terme.
• Lorsqu'il existe une notation à court terme et qu'une telle notation correspond à une pondération de risque plus favorable
(c'estàdire inférieure) ou identique à celle dérivée du traitement préférentiel général, la notation à court terme doit être
utilisée uniquement pour l'exposition spécifique. D'autres expositions à court terme bénéficieraient du traitement préférentiel
général.
63
Toutefois, lorsqu'une exposition découle de la participation d'une banque à un prêt qui a été accordé, ou a été garanti contre le risque de convertibilité et
de transfert, par certaines BMD, son risque de convertibilité et de transfert peut être considéré par les autorités de surveillance nationales comme étant
effectivement atténué. Pour être éligibles, les BMD doivent avoir le statut de créancier privilégié reconnu sur le marché et figurer dans la note de bas de
page 11 (au paragraphe 14). Dans de tels cas, à des fins de pondération des risques, la notation en monnaie nationale de l'emprunteur peut être utilisée
au lieu de sa notation en devise étrangère. Dans le cas d'une garantie contre le risque de convertibilité et de transfert, la notation en monnaie locale ne
peut être utilisée que pour la partie qui a été garantie. La partie du prêt ne bénéficiant pas d'une telle garantie sera pondérée en fonction de la notation
en devises.
64 Les notations suivent la méthodologie utilisée par Standard & Poor's et Moody's Investors Service. La note A1 de Standard
& Poor's comprend à la fois A1+ et A1–.
65
Cette catégorie comprend toutes les notations nonprime et B ou C.
32 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Lorsqu'une notation à court terme spécifique pour une exposition à court terme sur une banque correspond à une pondération de
risque moins favorable (plus élevée), le traitement préférentiel général à court terme pour les expositions interbancaires ne peut
pas être utilisé. Toutes les expositions à court terme non notées doivent recevoir la même pondération de risque que celle
impliquée par la notation à court terme spécifique.
114. Lorsqu'une notation à court terme doit être utilisée, l'établissement procédant à l'évaluation doit satisfaire à tous les critères d'éligibilité
pour la reconnaissance des OEEC, tels que décrits au point 99, en ce qui concerne ses notations à court terme.
6. Niveau d'application de la notation
115. Les notations externes d'une entité au sein d'un groupe de sociétés ne peuvent pas être utilisées pour pondérer d'autres
entités au sein d'un même groupe.
sept.
Utilisation de notes non sollicitées
116. En règle générale, les banques doivent utiliser les notations sollicitées auprès des OEEC éligibles. Les superviseurs nationaux
peuvent autoriser les banques à utiliser les notations non sollicitées de la même manière que les notations sollicitées s'ils sont convaincus
que les évaluations de crédit des notations non sollicitées ne sont pas de qualité inférieure à la qualité générale des notations sollicitées.
RÉ. Techniques d'atténuation du risque de crédit pour les expositions pondérées selon l'approche
standard
1. Problèmes généraux
(je) Introduction
117. Les banques utilisent un certain nombre de techniques pour atténuer les risques de crédit auxquels elles sont exposées. Par
exemple, les expositions peuvent être garanties par des créances de premier rang, en totalité ou en partie avec des liquidités ou des titres,
une exposition de prêt peut être garantie par un tiers, ou une banque peut acheter un dérivé de crédit pour compenser diverses formes de
risque de crédit. De plus, les banques peuvent accepter des prêts nets qui leur sont dus contre des dépôts de la même contrepartie66.
118. Le cadre décrit dans cette section s'applique aux expositions du portefeuille bancaire pondérées selon l'approche standard.
(ii) Exigences générales
119. Aucune transaction dans laquelle des techniques CRM sont utilisées ne doit recevoir une exigence de capital plus élevée qu'une
transaction par ailleurs identique dans laquelle de telles techniques ne sont pas utilisées.
120. Les exigences du pilier 3 doivent être remplies pour que les banques obtiennent un allègement de capital à l'égard de toute
technique CRM.
121. Les effets du CRM ne doivent pas être comptés deux fois. Par conséquent, aucune reconnaissance prudentielle supplémentaire
de la CRM aux fins des fonds propres réglementaires ne sera accordée aux expositions pour lesquelles la pondération de risque
66
Dans cette section, le terme « contrepartie » est utilisé pour désigner une partie visàvis de laquelle une banque a un risque de crédit au
bilan ou hors bilan. Cette exposition peut, par exemple, prendre la forme d'un prêt d'espèces ou de titres (la contrepartie étant traditionnellement
appelée l'emprunteur), de titres donnés en garantie, d'un engagement ou d'une exposition au titre d'un contrat dérivé de gré à gré.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 33
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reflète ce CRM. Conformément au paragraphe 108, les notations réservées au principal ne seront pas non plus autorisées dans
le cadre CRM.
122. Alors que l'utilisation de techniques CRM réduit ou transfère le risque de crédit, elle peut simultanément augmenter d'autres
risques (c'estàdire les risques résiduels). Les risques résiduels comprennent les risques juridiques, opérationnels, de liquidité et de
marché. Par conséquent, les banques doivent utiliser des procédures et des processus solides pour contrôler ces risques, y compris la
stratégie ; prise en compte du crédit sousjacent ; évaluation; les politiques et les procédures; systèmes ; maîtrise des risques de rolloff ;
et la gestion du risque de concentration découlant de l'utilisation par la banque des techniques CRM et de son interaction avec le profil de
risque de crédit global de la banque. Lorsque ces risques ne sont pas contrôlés de manière adéquate, les autorités de contrôle peuvent
imposer des charges de fonds propres supplémentaires ou prendre d'autres mesures de contrôle comme indiqué dans le Pilier 2.
123. Pour que les techniques CRM offrent une protection, la qualité de crédit de la contrepartie ne doit pas avoir de
corrélation positive significative avec la technique CRM utilisée ou avec les risques résiduels qui en résultent (tels que définis au
paragraphe 122). Par exemple, les titres émis par la contrepartie (ou par toute entité liée à la contrepartie) offrent peu de
protection en tant que garantie et sont donc inéligibles.
124. Dans le cas où une banque dispose de plusieurs techniques CRM couvrant une seule exposition (par exemple, une
banque dispose à la fois d'un collatéral et d'une garantie couvrant partiellement une exposition), la banque doit subdiviser
l'exposition en parties couvertes par chaque type de technique CRM (par exemple partie couverte par garantie, partie couverte
par la garantie) et les actifs pondérés en fonction des risques de chaque partie doivent être calculés séparément. Lorsque la
protection de crédit fournie par un seul fournisseur de protection a des échéances différentes, elles doivent également être
subdivisées en une protection distincte.
(iii) Exigences légales
125. Afin que les banques obtiennent un allègement de capital pour toute utilisation des techniques CRM, toute la
documentation utilisée dans les transactions garanties, les accords de compensation au bilan, les garanties et les dérivés de
crédit doit être contraignante pour toutes les parties et juridiquement exécutoire dans toutes les juridictions concernées. Les
banques doivent avoir effectué un examen juridique suffisant pour vérifier cela et disposer d'une base juridique solide pour
parvenir à cette conclusion, et entreprendre tout examen supplémentaire nécessaire pour garantir le maintien de l'applicabilité.
(iv) Traitement général des asymétries d'échéances
126. Aux fins du calcul des actifs pondérés en fonction des risques, une asymétrie des échéances se produit lorsque
l'échéance résiduelle d'un accord de protection de crédit (par exemple, une couverture) est inférieure à celle du sousjacent.
exposition.
127. Dans le cas des sûretés financières, les asymétries d'échéances ne sont pas autorisées dans le cadre de l'approche
simple (voir paragraphe 147).
128. Selon les autres approches, lorsqu'il existe une asymétrie des échéances, le contrat de protection de crédit ne peut
être comptabilisé que si l'échéance initiale du contrat est supérieure ou égale à un an et que son échéance résiduelle est
supérieure ou égale à trois mois. Dans de tels cas, l'atténuation du risque de crédit peut être partiellement comptabilisée comme
détaillé cidessous au paragraphe 129.
129. En cas d'asymétrie des échéances avec les facteurs d'atténuation du risque de crédit reconnus, l'ajustement suivant
s'applique
t − 0,25
=
polypropylène
un
J − 0,25
où:
• Pa= valeur de la protection de crédit corrigée de l'asymétrie des échéances
• P = montant de la protection de crédit (par exemple, montant de la garantie, montant de la garantie) ajusté pour toute décote
• t = min {T, durée résiduelle du contrat de protection de crédit exprimée en années}
34 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• T =min {cinq ans, durée résiduelle de l'exposition exprimée en années}
130. L'échéance de l'exposition sousjacente et l'échéance de la couverture doivent toutes deux être définies avec prudence.
L'échéance effective du sousjacent doit être évaluée comme le temps restant le plus long possible avant que la contrepartie ne
soit censée remplir son obligation, en tenant compte de tout délai de grâce applicable. Pour la couverture, les options (intégrées)
susceptibles de réduire la durée de la couverture doivent être prises en compte afin d'utiliser la durée effective la plus courte
possible. Par exemple : lorsque, dans le cas d'un dérivé de crédit, le vendeur de la protection dispose d'une option d'achat,
l'échéance est la première date d'appel. De même, si l'acheteur de la protection détient l'option d'achat et a une forte incitation à
racheter l'opération à la première date de rachat, par exemple en raison d'un renchérissement du coût à partir de cette date,
l'échéance effective est le temps restant jusqu'à la première date de rachat. date d'appel.
(v) Asymétries de devises
131. Les asymétries de devises sont autorisées dans toutes les approches. Dans le cadre de l'approche simple, il n'y a pas
de traitement spécifique pour les asymétries de devises, étant donné qu'une pondération de risque minimale de 20 % (plancher)
est généralement appliquée. Dans le cadre de l'approche globale et en cas de garanties et de dérivés de crédit, un ajustement
spécifique pour asymétries de devises est prescrit aux paragraphes 165 et 204, respectivement.
2. Aperçu des techniques d'atténuation du risque de crédit67
(je) Transactions garanties
132. Une opération garantie est une opération dans laquelle :
• les banques ont un risque de crédit ou un risque de crédit potentiel ; et
• cette exposition de crédit ou exposition de crédit potentielle est couverte en tout ou en partie par des sûretés fournies
par une contrepartie ou par un tiers pour le compte de la contrepartie.
Lorsque les banques acceptent des garanties financières éligibles, elles peuvent réduire leur capital réglementaire
exigences par l'application de techniques CRM.68
133. Les banques peuvent opter soit pour :
(je) L'approche simple, qui remplace la pondération de risque de la contrepartie par la pondération de risque du collatéral
pour la partie collatéralisée de l'exposition (généralement soumise à un plancher de 20 %) ; ou
(ii) L'approche globale, qui permet une compensation plus précise des garanties par rapport aux expositions, en réduisant
efficacement le montant d'exposition d'une valeur ajustée pour volatilité attribuée à la garantie.
Les exigences opérationnelles détaillées pour les deux approches sont indiquées aux paragraphes 146 à 178. Banques
peuvent opérer selon l'une ou l'autre des approches, mais pas les deux, dans le portefeuille bancaire.
134. Pour les transactions de gré à gré garanties, les dérivés négociés en bourse et les transactions à règlement long, les
banques peuvent utiliser l'approche standard pour le risque de crédit de contrepartie (SACCR) ou la méthode du modèle interne
pour calculer le montant d'exposition, conformément au paragraphe 189.
67
Voir l'annexe 10 de Bâle II (juin 2006) pour un aperçu des méthodologies de traitement des fonds propres des transactions garanties par des
sûretés financières dans le cadre des approches standard et NI.
68
Alternativement, les banques avec l'approbation prudentielle appropriée peuvent utiliser à la place la méthode du modèle interne pour déterminer
le montant d'exposition, en tenant compte des sûretés.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 35
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(ii) Compensation au bilan
135. Lorsque les banques ont conclu des accords de compensation juridiquement exécutoires pour les prêts et les dépôts qui remplissent
les conditions énoncées au paragraphe 190, elles peuvent calculer les exigences de fonds propres sur la base des expositions de crédit
nettes comme indiqué dans ce paragraphe.
(iii) Garanties et dérivés de crédit
136. Lorsque les garanties ou les dérivés de crédit remplissent les conditions opérationnelles minimales énoncées aux
paragraphes 191 à 193, les banques peuvent tenir compte de la protection du crédit offerte par ces techniques d'atténuation du
risque de crédit dans le calcul des exigences de fonds propres.
137. Une gamme de garants et de fournisseurs de protection est reconnue et une approche de substitution s'applique pour les
calculs des exigences de fonds propres. Seules les garanties émises par ou la protection fournie par des entités ayant une
pondération de risque inférieure à celle de la contrepartie entraînent des charges de fonds propres réduites pour l'exposition
garantie, étant donné que la partie protégée de l'exposition de contrepartie se voit attribuer la pondération de risque du garant ou
du fournisseur de protection, alors que la partie non couverte conserve la pondération de risque de la contrepartie sousjacente.
138. Les conditions détaillées et les exigences opérationnelles pour les garanties et les dérivés de crédit sont données
aux paragraphes 191 à 205.
3. Transactions garanties
(je) Exigences générales
139. Avant que l'exonération de capital ne soit accordée pour toute forme de garantie, les normes énoncées cidessous
aux paragraphes 140 à 145 doivent être respectées, que l'approche simple ou globale soit utilisée. Les banques qui prêtent des
titres ou fournissent des garanties doivent calculer les exigences de fonds propres pour les deux éléments suivants : (i) le risque
de crédit ou le risque de marché des titres, s'il reste à la charge de la banque ; et (ii) le risque de crédit de contrepartie découlant
du risque de défaillance de l'emprunteur des titres.
140. Le mécanisme juridique par lequel la garantie est mise en gage ou transférée doit garantir que la banque a le droit de
la liquider ou d'en prendre possession légale, en temps opportun, en cas de défaillance, d'insolvabilité ou de faillite (ou d'une ou
de plusieurs situations autrement définies événements de crédit figurant dans la documentation de la transaction) de la contrepartie
(et, le cas échéant, du dépositaire détenant le collatéral).
En outre, les banques doivent prendre toutes les mesures nécessaires pour satisfaire aux exigences de la loi applicable au droit
de la banque sur la sûreté pour obtenir et maintenir une sûreté exécutoire, par exemple en l'enregistrant auprès d'un agent
d'enregistrement, ou pour exercer un droit de compensation ou de compensation en relation avec le transfert de propriété de la
garantie.
141. Les banques doivent disposer de procédures claires et solides pour la liquidation rapide des garanties afin de garantir
que toutes les conditions légales requises pour déclarer le défaut de la contrepartie et liquider les garanties sont respectées, et
que les garanties peuvent être liquidées rapidement.
accords de
142.
marge
Les
avec
banques
les dérivés
doivent
de
vgeiller
ré à àg ré
ce
eqt
ue
les
dces
ontreparties
ressources
de
suffisantes
financement
soient
de tcitres,
onsacrées
tels que
au
mbesurés
on fonctionnement
par la rapidité
des
et
l'exactitude de ses appels de marge sortants et le temps de réponse aux appels de marge entrants. Les banques doivent mettre
en place des politiques de gestion des risques liés aux garanties pour contrôler, surveiller et signaler :
• le risque auquel les accords de marge les exposent (comme la volatilité et la liquidité des titres échangés en collatéral) ;
• le risque de concentration sur des types particuliers de garantie ;
• la réutilisation des sûretés (tant en espèces qu'en nature), y compris les éventuelles insuffisances de liquidité résultant
de la réutilisation des sûretés reçues des contreparties ; et
36 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• la restitution des droits sur les sûretés fournies aux contreparties.
143. Lorsque la sûreté est détenue par un dépositaire, les banques doivent prendre des mesures raisonnables pour s'assurer que
le dépositaire sépare la sûreté de ses propres actifs.
144. Une exigence de capital doit être appliquée des deux côtés d'une transaction. Par exemple, les pensions et les prises en
pension seront soumises à des exigences de fonds propres. De même, les deux côtés d'une opération de prêt et d'emprunt de
titres seront soumis à des charges de capital explicites, tout comme le dépôt de titres en relation avec des expositions sur dérivés
ou avec toute autre opération d'emprunt.
145. Lorsqu'une banque, agissant en tant qu'agent, organise une opération de type pension (c'estàdire des opérations de mise
en pension/prise en pension et de prêt/emprunt de titres) entre un client et un tiers et garantit au client que le tiers exécutera sur
ses obligations, alors le risque pour la banque est le même que si la banque avait conclu l'opération en tant que mandant. Dans de
telles circonstances, une banque doit calculer les exigences de fonds propres comme si elle était ellemême le mandant.
(ii) L'approche simple
Exigences générales pour l'approche simple
146. Dans l'approche simple, la pondération de risque de la contrepartie est remplacée par la pondération de risque de
l'instrument de sûreté garantissant ou garantissant partiellement l'exposition.
147. Pour que les sûretés soient comptabilisées dans l'approche simple, elles doivent être mises en gage au moins pour la
durée de vie de l'exposition et elles doivent être évaluées au prix du marché et réévaluées avec une fréquence minimale de six mois.
Les parties des expositions garanties par la valeur de marché des sûretés reconnues reçoivent la pondération de risque applicable
à l'instrument de sûreté. La pondération de risque sur la partie garantie est soumise à un plancher de 20 %, sauf dans les conditions
précisées aux paragraphes 150 à 154. Le reste de l'exposition doit se voir attribuer la pondération de risque appropriée à la
contrepartie. Les asymétries d'échéances ne sont pas autorisées dans le cadre de l'approche simple (voir points 126 et 127).
Garanties financières éligibles selon l'approche simple
148. Les instruments de sûreté suivants sont éligibles à la comptabilisation en approche simple :
(un) Espèces (ainsi que certificats de dépôt ou instruments comparables émis par la banque prêteuse) en dépôt auprès de
la banque qui encourt le risque de contrepartie.69, 70
(b) Or.
(c) Dans les juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires :
(i) Titres de créance notés par un OEEC reconnu, lorsqu'ils sont soit :
− au moins BB– lorsqu'ils sont émis par des souverains ou des PSE traités comme des souverains par
superviseur national ; ou
− au moins BBB– lorsqu'elles sont émises par d'autres entités (y compris les banques et autres institutions financières
soumises à une réglementation prudentielle) ; ou
− au moins A3/P3 pour les instruments de dette à court terme.
69 Billets liés à un crédit financés en espèces émis par la banque contre des expositions dans le portefeuille bancaire qui remplissent les critères de crédit
les dérivés sont traités comme des transactions garanties par des liquidités.
70 Lorsque des espèces en dépôt, des certificats de dépôt ou des instruments comparables émis par la banque prêteuse sont détenus en garantie auprès
d'une banque tierce dans le cadre d'un accord non dépositaire, s'ils sont ouvertement gagés/cédés à la banque prêteuse et si le gage/ cession est
inconditionnelle et irrévocable, le montant d'exposition couvert par la garantie (après toute décote nécessaire pour risque de change) reçoit la
pondération de risque de la banque tierce.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 37
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(ii) Titres de créance non notés par un OEEC reconnu, lorsqu'ils sont :
− émis par une banque ; et
− cotée sur une bourse reconnue ; et
− classée en dette senior ; et
− toutes les émissions notées de même rang par la banque émettrice sont notées au minimum BBB– ou A
3/P3 par un ECAI reconnu ; et
− la banque qui détient les titres en garantie ne dispose d'aucune information suggérant que l'émission
justifie d'une notation inférieure à BBB– ou A3/P3 (selon le cas) ; et
− le superviseur est suffisamment sûr que la liquidité de marché du titre est
adéquat.
(ré) Dans les juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires, les titres suivants
seront éligibles à condition que l'autorité de contrôle soit suffisamment convaincue que la liquidité du marché du titre
est adéquate :
(i) Titres de créance émis par des souverains ou des PSE qui sont traités comme des souverains par
superviseur;
(ii) Titres de créance émis par des banques affectées au Grade A dans le cadre du SCRA ;
(iii) d'autres titres de créance émis par des entités « investment grade » telles que définies au paragraphe 197, et
(iv) Expositions de titrisation avec une pondération de risque inférieure à 100 %.
(e) Actions (y compris les obligations convertibles) incluses dans un indice principal.
(F) Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM) et fonds communs de placement où :
• un prix pour les parts est coté publiquement quotidiennement ; et
• l'OPCVM/OPC se limite à investir dans les instruments listés dans ce paragraphe71.
149. Les retitrisations telles que définies dans le cadre de la titrisation ne sont pas des sûretés financières éligibles.
Exonérations dans le cadre de l'approche simple du plancher de pondération des risques
150. Les transactions assimilables à des pensions qui remplissent toutes les conditions suivantes sont exemptées du plancher de
pondération des risques dans le cadre de l'approche simple :
(un) L'exposition et la garantie sont des liquidités ou un titre souverain ou un titre PSE éligible à une pondération de risque
de 0 % selon l'approche standard ;
(b) L'exposition et la sûreté sont libellées dans la même devise ;
(c) Soit la transaction se fait au jour le jour, soit l'exposition et la garantie sont évaluées quotidiennement au prix du
marché et font l'objet d'un remargining quotidien ;
(ré) Suite au défaut de remargin d'une contrepartie, le délai qui s'écoule entre le dernier mark to market avant le défaut
de remargin et la liquidation du collatéral est considéré comme n'excédant pas quatre jours ouvrés ;
(e) La transaction est réglée via un système de règlement éprouvé pour ce type de transaction ;
71
Toutefois, l'utilisation ou l'utilisation potentielle par un OPCVM/OPC d'instruments dérivés uniquement pour couvrir les investissements
énumérés au présent paragraphe et au paragraphe 159 n'empêche pas les parts de cet OPCVM/OPC d'être des sûretés financières éligibles.
38 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(F) La documentation relative au contrat est la documentation standard du marché pour les opérations assimilables à des pensions sur
les titres concernés ;
(g) La transaction est régie par une documentation précisant que si la contrepartie ne satisfait pas à une obligation de livraison
d'espèces ou de titres ou de livraison de marge ou fait autrement défaut, alors la transaction est immédiatement résiliable ; et
(h) En cas de défaut, que la contrepartie soit insolvable ou en faillite, la banque a le droit absolu et juridiquement exécutoire de saisir et
de liquider immédiatement la garantie à son profit.
151. Les acteurs principaux du marché peuvent inclure, à la discrétion du superviseur national, les éléments suivants
entités :
(un) Souverains, banques centrales et ESP ;
(b) Banques et maisons de titres ;
(c) Autres sociétés financières (y compris les compagnies d'assurance) éligibles à une pondération de risque de 20 % en approche
standard ;
(ré) Les fonds communs de placement réglementés soumis à des exigences en matière de capital ou d'effet de levier ;
(e) Fonds de pension réglementés; et
(F) Contreparties centrales qualifiées (QCCP).
152. Les opérations de mise en pension qui satisfont à l'exigence du paragraphe 150 reçoivent une pondération de risque de 10 %, en
tant qu'exemption du plancher de pondération de risque décrit au paragraphe 147. Si la contrepartie à la transaction est un acteur principal du
marché, les banques peuvent appliquer une pondération de risque de 0 %. à la transaction.
153. Les transactions sur dérivés de gré à gré soumises à une évaluation quotidienne au prix du marché, garanties par des liquidités et lorsqu'il
n'y a pas d'asymétrie de devises peuvent recevoir une pondération de risque de 0 %. Ces transactions garanties par des titres souverains ou
PSE bénéficiant d'une pondération de risque de 0 % dans l'approche standard peuvent recevoir une pondération de risque de 10 %.
154. Le plancher de 20 % pour la pondération de risque sur une transaction garantie ne s'applique pas et une pondération de risque de
0 % peut être appliquée lorsque l'exposition et la sûreté sont libellées dans la même devise, et soit :
• la sûreté est un dépôt en espèces tel que défini au paragraphe 148(a) ; ou
• le collatéral prend la forme de titres souverains/PSE éligibles à une pondération de risque de 0 % et sa valeur de marché a été
décotée de 20 %.
(iii) L'approche globale
(un) Exigences générales pour l'approche globale
155. Dans l'approche globale, lorsqu'elles acceptent une sûreté, les banques doivent calculer leur exposition ajustée à une contrepartie
afin de tenir compte de l'effet d'atténuation du risque de cette sûreté. Les banques doivent utiliser les décotes prudentielles applicables pour
ajuster à la fois le montant de l'exposition à la contrepartie et la valeur de toute sûreté reçue à l'appui de cette contrepartie afin de tenir compte
d'éventuelles fluctuations futures de la valeur de l'une ou l'autre,72 occasionnées par les mouvements du marché. Sauf si l'une ou l'autre des
parties de la transaction est en espèces ou si une décote nulle est appliquée, le montant d'exposition ajusté pour volatilité est supérieur à
l'exposition nominale et la valeur de garantie ajustée pour volatilité est inférieure à la valeur de garantie nominale.
72
Les montants d'exposition peuvent varier lorsque, par exemple, des titres sont prêtés.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 39
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156. L'importance des décotes individuelles dépend du type d'instrument, du type de transaction, de l'échéance résiduelle
et de la fréquence d'évaluation au prix du marché et de remargining, comme prévu aux paragraphes 163 et 164.
Les décotes doivent être augmentées à l'aide de la formule de la racine carrée du temps en fonction de la fréquence de
remarginage ou de mise sur le marché. Cette formule est incluse au paragraphe 172.
157. En outre, lorsque l'exposition et la sûreté sont détenues dans des devises différentes, les banques doivent appliquer
une décote supplémentaire au montant de la sûreté corrigé pour volatilité conformément aux paragraphes 165 et 204 afin de
tenir compte d'éventuelles fluctuations futures des taux de change.
158. L'effet des accordscadres de compensation couvrant les opérations de type pension peut être pris en compte pour
le calcul des exigences de fonds propres sous réserve des conditions et exigences énoncées aux paragraphes 175 à 178.
(b) Sûretés financières éligibles dans le cadre de l'approche globale
159. Les instruments de garantie suivants sont éligibles à la comptabilisation dans l'approche globale :
(un) Tous les instruments énumérés au paragraphe 148 ;
(b) Actions et obligations convertibles qui ne sont pas incluses dans un indice principal mais qui sont cotées sur une
bourse de valeurs reconnue ;
(c) OPCVM/fonds communs de placement qui comprennent les instruments visés au point (b).
(c) Calcul du capital requis pour les opérations garanties par des sûretés financières
160. Pour une transaction garantie, le montant d'exposition après atténuation du risque est calculé comme suit :
*
= ax E 10, − 1
E m H ( + − c − )}
( fx HCH
e)
{
où:
E* = la valeur d'exposition après atténuation du risque
E = valeur actuelle de l'exposition
He = coupe de cheveux adaptée à l'exposition
C = la valeur actuelle de la garantie reçue
Hc = décote appropriée au collatéral
Hfx = décote appropriée pour l'asymétrie de devise entre la garantie et l'exposition
161. En cas d'asymétrie des échéances, la valeur de la garantie reçue (montant de la garantie) doit
être ajusté conformément aux paragraphes 126 à 130.
162. Le montant d'exposition après atténuation du risque (E* ) doit être multiplié par la pondération de risque du
contrepartie pour obtenir le montant de l'actif pondéré en fonction des risques pour la transaction garantie.
163. Dans les juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires, les décotes
prudentielles suivantes (en supposant une évaluation au prix du marché quotidienne, un remargining quotidien et une période
de détention de 10 jours ouvrables), exprimées en pourcentages, doivent être utilisées pour déterminer les décotes appropriées
au collatéral (Hc) et à l'exposition (He) :
40 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Décotes prudentielles pour une approche globale
Juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires Tableau 14
Notation d'émission des Titrisation
Maturité résiduelle Souverains73 Autres émetteurs74
titres de créance expositions75
≤ 1 an 0,5 1 2
>1 an, ≤ 3 ans 2 3 8
AAA à AA–/A1 >3 ans, ≤ 5 ans 4
>5 ans, ≤ 10 ans 4 6 16
> 10 ans 12
≤ 1 an 1 2 4
A+ à BBB–/
>1 an, ≤ 3 ans 3 4 12
A2/A3/P3 et titres
bancaires non notés >3 ans, ≤ 5 ans 6
selon l'al. 148(c)(ii) 6 12 24
>5 ans, ≤ 10 ans
> 10 ans 20
Principaux indices actions (dont obligations 20
convertibles) et or
Autres actions et obligations convertibles cotées sur 30
une bourse reconnue
OPCVM/fonds communs de placement Décote la plus élevée applicable à tout titre dans lequel le fonds peut
investir, sauf si la banque peut appliquer l'approche par transparence (LTA)
pour les investissements en actions dans des fonds, auquel cas la banque
peut utiliser une moyenne pondérée des décotes applicables aux instruments
détenus par le fonds.
Espèces dans la même devise76 0
164. Dans les juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires, les décotes
prudentielles suivantes (en supposant une évaluation au prix du marché quotidienne, un remargining quotidien et une période de
détention de 10 jours ouvrables), exprimées en pourcentages, doivent être utilisées pour déterminer la décotes adaptées au collatéral
(Hc) et à l'exposition (He):
73
Inclut : les ESP qui sont traités comme souverains par le superviseur national, ainsi que les banques multilatérales de développement recevant une pondération
de risque de 0 %.
74
Inclut les ESP qui ne sont pas traités comme souverains par le superviseur national.
75 Les expositions qui répondent à la définition énoncée dans le cadre de titrisation.
76
Sûretés en espèces éligibles spécifiées au paragraphe 148(a).
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 41
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Décotes prudentielles pour une approche globale
Juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires Tableau 15
Pondération du risque de l'émetteur Autres titres de bonne qualité,
(uniquement pour les titres émis par conformément aux paragraphes 148(d)(iii)78
des souverains77
Maturité résiduelle
Non Titrisation senior
20 % ou
0% 100% titrisation expositions avec
50%
expositions pondération de risque < 100 %
>1 an, ≤ 3 ans 4
2 3 15 12
>3 ans, ≤ 5 ans 6
>5 ans, ≤ 10 ans 12
4 6 15 24
> 10 ans 20
Principaux indices
actions (dont obligations 20
convertibles) et or
Autres actions et
obligations convertibles
30
cotées sur une bourse
reconnue
OPCVM/fonds communs de placement Décote la plus élevée applicable à tout titre dans lequel le fonds peut investir, sauf si la banque peut
appliquer l'approche par transparence (LTA) pour les investissements en actions dans des fonds, auquel cas la
banque peut utiliser une moyenne pondérée des décotes applicables aux instruments détenus par le fonds.
Encaisser le même
0
monnaie79
Autres types d'exposition 30
165. La décote pour risque de change (Hfx) lorsque l'exposition et la garantie sont libellées dans des
devises est de 8 % (également sur la base d'une période de détention de 10 jours ouvrables et d'une évaluation quotidienne au prix du marché).
166. Pour les OFT et les opérations de prêt garanti, un ajustement de décote peut devoir être appliqué conformément
aux paragraphes 169 à 172.
167. Pour les OFT dans lesquelles la banque prête, ou donne en garantie, des instruments non éligibles, la décote à
appliquer sur l'exposition doit être de 30 %. Pour les transactions dans lesquelles la banque emprunte des instruments non
éligibles, l'atténuation du risque de crédit peut ne pas être appliquée.
168. Lorsque la garantie est un panier d'actifs, la décote sur le panier doit être lH
à oaùH = ∑ , je
je je
ai est le poids de l'actif (mesuré en unités monétaires) dans le panier et Hi la décote applicable à cet actif.
(ré) Ajustement pour différentes périodes de détention et évaluation non quotidienne au prix du marché ou remargining
169. Pour certaines transactions, selon la nature et la fréquence des clauses de réévaluation et de remargining,
différentes périodes de détention et donc différentes décotes doivent être appliquées. Le cadre des décotes de garantie fait
la distinction entre les transactions de type pension (c'estàdire les pensions/reprises en pension et
77
Inclut : les ESP qui sont traités comme souverains par le superviseur national, ainsi que les banques multilatérales de développement recevant une pondération
de risque de 0 %.
78
Inclut les ESP qui ne sont pas traités comme souverains par le superviseur national.
79
Sûretés en espèces éligibles spécifiées au paragraphe 148(a).
42 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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prêts/emprunts de titres), « autres opérations axées sur les marchés de capitaux » (c'estàdire opérations sur dérivés de gré à
gré et prêts sur marge) et prêts garantis. Dans les transactions axées sur le marché des capitaux et les transactions de type
pension, la documentation contient des clauses de remargining ; dans les opérations de prêt garanti, ce n'est généralement pas
le cas.
170. La période de détention minimale des différents produits est résumée dans le tableau suivant :
Ajustement aux décotes de surveillance
Pour différentes périodes de détention et une évaluation au prix du marché ou un remargining non quotidien Tableau 16
171. Lorsqu'une banque a une transaction ou un ensemble de compensation qui satisfait aux critères énoncés aux paragraphes
41(i) ou 41(ii) des normes relatives au risque de contrepartie, la période de détention minimale doit être la période de marge de
risque qui s'appliquerait en vertu de ces normes. paragraphes.
172. Lorsque la fréquence de remarginage ou de réévaluation est supérieure au minimum, les nombres de décotes minimales
doivent être augmentés en fonction du nombre réel de jours ouvrables entre le remarginage ou la réévaluation. Les décotes sur
10 jours ouvrables prévues aux paragraphes 163 et 164 sont les décotes par défaut et ces décotes doivent être augmentées ou
réduites à l'aide de la formule cidessous :
NT
R + −
( M 1)
HH= dix
dix
où:
H = coupe de cheveux
H10 = coupe de cheveux de 10 jours ouvrables pour l'instrument
NR = nombre réel de jours ouvrables entre le remarginage pour les transactions sur le marché des capitaux ou
réévaluation pour les opérations sécurisées
TM = période de détention minimale pour le type de transaction.
(e) Exemptions dans le cadre de l'approche globale pour les transactions éligibles assimilables à des pensions impliquant des
acteurs principaux du marché
173. Pour les transactions assimilables à des pensions avec des acteurs principaux du marché tels que définis au paragraphe 151 et qui
remplissent les conditions du paragraphe 150, les autorités de contrôle peuvent appliquer une décote de zéro.
174. Lorsque, dans le cadre de l'approche globale, une autorité de contrôle applique une exclusion spécifique aux
transactions assimilables à des pensions sur titres émis par son gouvernement national, d'autres autorités de contrôle peuvent
choisir d'autoriser les banques constituées dans leur juridiction à adopter la même approche pour les mêmes transactions.
(F) Traitement dans le cadre de l'approche globale des opérations de financement sur titres couvertes par des accordscadres
de compensation
175. Les effets des accords de compensation bilatéraux couvrant les opérations assimilables aux pensions peuvent être
comptabilisés contrepartie par contrepartie si les accords sont juridiquement exécutoires dans chaque juridiction concernée dès
la survenance d'un cas de défaut et que la contrepartie soit insolvable ou en faillite . De plus, les accords de compensation doivent :
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 43
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(un) donner à la partie non défaillante le droit de résilier et de clôturer en temps opportun toutes les transactions en vertu
de l'accord en cas de défaut, y compris en cas d'insolvabilité ou de faillite de la contrepartie ;
(b) prévoir la compensation des gains et des pertes sur les transactions (y compris la valeur de toute garantie) résiliées et
clôturées en vertu de celleci de sorte qu'un montant net unique soit dû par une partie à l'autre ;
(c) permettre la liquidation ou la compensation rapide de la garantie en cas de défaut ; et
(ré) être, avec les droits découlant des dispositions requises aux points (a) à (c) cidessus, juridiquement exécutoires dans
chaque juridiction concernée dès la survenance d'un cas de défaut et indépendamment de l'insolvabilité ou de la faillite
de la contrepartie.
176. La compensation entre les positions du portefeuille bancaire et du portefeuille de négociation ne peut être comptabilisée que lorsque le
Les opérations compensées remplissent les conditions suivantes :
• Toutes les transactions sont évaluées quotidiennement au prix du marché80 ;
• Les instruments de garantie utilisés dans les transactions sont comptabilisés en tant que garantie financière éligible
dans le portefeuille bancaire.
177. La formule du paragraphe 178 sera utilisée pour calculer les exigences de fonds propres pour risque de crédit de
contrepartie pour les transactions avec des accords de compensation. Cette formule comprend l'exposition actuelle, un montant
pour l'exposition systématique des titres sur la base de l'exposition nette, un montant pour l'exposition idiosyncrasique des titres
sur la base de l'exposition brute et un montant pour l'asymétrie des devises. Toutes les autres règles concernant le calcul des
décotes dans le cadre de l'approche globale énoncée aux paragraphes 155 à 174 s'appliquent de manière équivalente aux
banques utilisant des accords de compensation bilatéraux pour les transactions assimilables aux pensions.
178. Banques utilisant des décotes prudentielles standard pour les transactions de type pension effectuées dans le cadre d'un contratcadre
l'accord de compensation doivent utiliser la formule suivante pour calculer leur montant d'exposition : )
*
exposition brute
E m=ax 0; ∑
∑C 0,4 − +
où:
E* = valeur exposée au risque de l'ensemble de compensation après atténuation du risque
Ei = valeur actuelle de toutes les espèces et titres prêtés, vendus avec un accord de rachat ou autrement remis à la
contrepartie en vertu de l'accord de compensation
Cj = valeur actuelle de toutes les espèces et titres empruntés, achetés avec un accord de revente ou autrement détenus
par la banque en vertu de l'accord de compensation
exposition nette EH = ∑ss
s
exposition
= ∑
brute EH s s
s
Es = La valeur actuelle nette de chaque émission de titres dans le cadre de l'ensemble de compensation (toujours
évaluer)
Hs = décote appropriée à Es telle que décrite dans les tableaux des paragraphes 163 ou 164, selon le cas,
80 La période de détention des décotes dépend, comme dans d'autres transactions de type pension, de la fréquence de la marge.
44 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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− Hs a un signe positif si le titre est prêté, vendu avec un accord de rachat ou traité d'une manière
similaire au prêt de titres ou à un accord de rachat
− Hs a un signe négatif si le titre est emprunté, acheté avec un accord de revente ou traité d'une manière
similaire à un emprunt de titres ou à un accord de prise en pension
N est le nombre d'émissions de titres contenues dans l'ensemble de compensation (sauf que les émissions dont la
valeur Es est inférieure à un dixième de la valeur du plus grand Es de l'ensemble de compensation ne sont pas
incluses dans le décompte)
Efx = valeur absolue de la position nette dans chaque devise fx différente du règlement
devise
Hfx = décote appropriée pour la nonconcordance des devises du fx des devises.
(iv) Planchers de décote minimum pour les SFT
179. Les paragraphes 180 à 188 précisent le traitement de certaines SFT non compensées centralement avec certaines
contreparties. Les exigences ne s'appliquent pas aux banques situées dans des juridictions qui ne sont pas autorisées à
effectuer de telles transactions en dessous des planchers de décote minimum spécifiés au paragraphe 184 cidessous.
180. Les planchers de décote indiqués au paragraphe 184 cidessous s'appliquent aux transactions suivantes :
• SFT non compensées centralement dans lesquelles le financement (c'estàdire le prêt d'espèces) contre des
garanties autres que des titres d'État est fourni à des contreparties qui ne sont pas supervisées par un organisme de
réglementation qui impose des exigences prudentielles conformes aux normes internationales.
• Opérations de mise à niveau du collatéral avec ces mêmes contreparties. Une transaction de mise à niveau de
garantie se produit lorsqu'une banque prête un titre à sa contrepartie et que la contrepartie donne en garantie un
titre de qualité inférieure, permettant ainsi à la contrepartie d'échanger un titre de qualité inférieure contre un titre de
qualité supérieure. Pour ces opérations, les planchers doivent être calculés selon la formule énoncée au paragraphe
187.
181. Les SFT avec banques centrales ne sont pas soumises aux planchers de décote.
182. Les opérations de prêt de titres garantis par des liquidités sont exemptées des planchers de décote lorsque :
• Les titres sont prêtés (à la banque) à des échéances longues et le prêteur de titres réinvestit ou emploie les liquidités
à la même échéance ou à une échéance plus courte, ne donnant donc pas lieu à une asymétrie importante des
échéances ou des liquidités.
• Les titres sont prêtés (à la banque) à vue ou à court terme, ce qui entraîne un risque de liquidité, uniquement si le
prêteur des titres réinvestit la garantie en espèces dans un fonds ou un compte de réinvestissement soumis à des
réglementations ou à des directives réglementaires répondant aux normes minimales de réinvestissement des
garanties en espèces par les prêteurs de titres, tel qu'énoncé à la section 3.1 du Cadre stratégique pour le traitement
sur les risques bancaires parallèles dans les prêts de titres et les mises
81 Àe n
cette
pension.
fin, les
les
banques
déclarations
peuvent
des
sp'appuyer
rêteurs de
titres selon lesquelles leur réinvestissement des garanties en espèces respecte les normes minimales.
183. Les banques qui prêtent des titres sont exemptées des planchers de décote sur les opérations de mise à niveau de
garantie si elles ne sont pas en mesure de réutiliser, ou de fournir des déclarations qu'elles ne réutilisent pas et ne réutiliseront
pas, les titres reçus en garantie contre les titres prêtés.
81
Conseil de stabilité financière, Renforcement de la surveillance et de la réglementation du système bancaire parallèle, Cadre stratégique pour faire face aux
risques du système bancaire parallèle dans le prêt de titres et les mises en pension, 29 août 2013, www.fsb.org/wpcontent/uploads/r_130829b.pdf.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 45
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184. Il s'agit des planchers de décote pour les SFT mentionnés cidessus (ciaprès dénommés "SFT dans le champ d'application"),
exprimé en pourcentage :
Niveau de coupe de cheveux
Maturité résiduelle des sûretés
Entreprises et autres émetteurs Produits titrisés
Titres de créance ≤ 1 an et
0,5 % 1%
obligations à taux variable (FRN)
> 1 an, ≤ 5 ans titres de créance 1,5 % 4%
> 5 ans, ≤ 10 ans d'endettement
3% 6%
titres
> Titres de créance à 10 ans 4% sept%
Principales actions de l'indice 6%
Autres actifs entrant dans le périmètre du
dix%
cadre
185. Les SFT dans le champ d'application qui ne respectent pas les planchers de décote doivent être traités comme des prêts non garantis au
contreparties.
186. Pour déterminer si le traitement du paragraphe 185 s'applique à une SFT dans le champ d'application (ou à un ensemble de
compensation de SFT dans le cas de décotes au niveau du portefeuille), nous devons comparer la décote de garantie H (réelle ou
calculée selon les règles cidessous) et un plancher de décote f (selon le paragraphe 184 cidessus ou calculé selon les règles cidessous).
187. Pour une SFT unique dans le champ d'application non incluse dans un ensemble de compensation, les valeurs de H et f sont calculées comme suit :
• Pour une SFT unique en espèces prêtée contre garantie, H et f sont connus puisque H est simplement défini par le montant
de la garantie reçue et f est donné au paragraphe 184. Aux fins de ce calcul, la garantie qui est appelée par l'une ou l'autre
des contreparties peuvent être traitées les sûretés reçues à partir du moment où elles sont appelées (c'estàdire que le
traitement est indépendant de la période de règlement).
Par exemple, considérons une SFT dans le champ d'application où 100 espèces sont prêtées contre 101 titres de créance
d'une entreprise avec une échéance de 12 ans, H est de 1 % [(101100)/100] et f est de 4 % (selon le paragraphe 184 ).
Par conséquent, l'OFT en question serait soumise au traitement prévu au paragraphe 185.
• Dans le cas d'une SFT unique garantie pour garantie, prêtant la garantie A et recevant la garantie B, le H est toujours défini
par le montant de la garantie reçue, mais le plancher effectif de l'opération doit intégrer le plancher des deux types de garantie
et peut être calculé comme suit :
CB
qui sera comparée à la décote effective de l'opération, soit − 1.
C UN
Par exemple, considérons une SFT dans le champ d'application où 102 d'un titre de créance d'entreprise à échéance de 10
ans sont échangés contre 104 d'actions, la décote effective H de la transaction est de 104/102 1 = 1,96 %, ce qui doit être
comparé avec un plancher effectif f de 1,06/1,03 – 1 =2,91 %.
Par conséquent, l'OFT en question serait soumise au traitement prévu au paragraphe 185.
188. Pour une compensation d'OFT, un plancher de « portefeuille » effectif de la transaction doit être calculé comme suit :
∑Es s
∑ tCt
( ∑
=
×+
Ef C
s ss tt
1f ) ∑
t ×+
(
1
46 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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où Es est la position nette sur chaque titre (ou trésorerie) s qui est prêté net, Ct la position nette qui est empruntée nette, et fs
et ft sont les planchers de décote pour les titres qui sont respectivement prêtés et empruntés nets. Ce calcul est donc le
plancher moyen pondéré du portefeuille. Ensuite, le portefeuille ne dépasse pas le plancher où :
CE
− ∑ t ∑ ∑ s
≥ f Portefeuille
E
s
Si la décote du portefeuille dépasse le plancher, alors l'ensemble de compensation des SFT est soumis au traitement
décrit au paragraphe 185. Ce traitement doit être appliqué à toutes les transactions pour lesquelles la garantie reçue apparaît
dans le tableau du paragraphe 184 et pour lesquelles, dans le netting set, la banque est également un receveur net de ce titre.
Aux fins de ce calcul, les sûretés appelées par l'une ou l'autre des contreparties peuvent être traitées comme des sûretés
reçues à partir du moment où elles sont appelées (c'estàdire que le traitement est indépendant de la période de règlement).
Le portefeuille de transactions suivant donne un exemple du fonctionnement de cette méthodologie (il montre un
portefeuille qui ne dépasse pas le plancher).
Transactions réelles En espèces
Dette souveraine Garantie A Sûreté B
Plancher (fs) 0% 0% 6% dix%
Es 50 100 0 250
CT 0 0 400 0
FPortefeuille 0,0024
∑ C∑t − Es
0
Es
∑
(v) Transactions sur dérivés de gré à gré collatéralisés
189. Dans le cadre de l'approche standard du risque de contrepartie (SACCR), le calcul du
les frais de risque de contrepartie pour un contact individuel seront les suivants :
Montant d'exposition
DFP alpha
= + (R )C
où:
Alpha = 1,4,
RC = le coût de remplacement calculé selon les paragraphes 130 à 145 de la contrepartie
normes de risque de crédit, et
PFE = le montant de l'exposition potentielle future calculé selon les paragraphes 146 à 187 des normes sur le risque
de contrepartie.
Comme alternative au SACCR pour le calcul de l'exigence de risque de crédit de contrepartie, les banques peuvent également
utiliser la méthode du modèle interne telle qu'énoncée dans les normes de risque de crédit de contrepartie, sous réserve de l'approbation
des autorités de contrôle.
4. Compensation au bilan
190. Lorsqu'une banque :
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 47
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(un) dispose d'une base juridique solide permettant de conclure que l'accord de compensation ou de compensation est exécutoire dans
chaque juridiction concernée, que la contrepartie soit insolvable ou en faillite ;
(b) est en mesure à tout moment de déterminer les actifs et passifs avec la même contrepartie qui font l'objet de l'accord de
compensation ;
(c) surveille et contrôle ses risques de rolloff ; et
(ré) surveille et contrôle les expositions pertinentes sur une base nette,
il peut utiliser l'exposition nette des prêts et des dépôts comme base pour son calcul de l'adéquation des fonds propres conformément à la
formule du paragraphe 160. Les actifs (prêts) sont traités comme des expositions et les passifs (dépôts) comme des sûretés. Les décotes sont
nulles, sauf en cas d'inadéquation des devises. Une période de détention de 10 jours ouvrables s'applique lorsque l'évaluation quotidienne au
prix du marché est effectuée. Pour la compensation au bilan, les exigences des paragraphes 163 et 172 et 126 à 130 doivent être appliquées.
5. Garanties et dérivés de crédit
(je) Exigences opérationnelles pour les garanties et les dérivés de crédit
191. Si les conditions fixées cidessous sont remplies, les banques peuvent substituer la pondération de risque de la contrepartie par la
pondération de risque du garant.
192. Une garantie (contregarantie) ou un dérivé de crédit doit satisfaire aux exigences suivantes :
(un) il représente une créance directe sur le fournisseur de protection ;
(b) elle fait explicitement référence à des expositions spécifiques ou à un ensemble d'expositions, de sorte que l'étendue de la
couverture est clairement définie et incontestable ;
(c) autre que le nonpaiement par un acheteur de protection des sommes dues au titre du contrat de protection de crédit, il est
irrévocable ; il n'y a pas de clause dans le contrat qui permettrait au fournisseur de protection d'annuler unilatéralement la couverture
de crédit ou qui augmenterait le coût effectif de la couverture en raison de la détérioration de la qualité de crédit de l'exposition
couverte82 ;
(ré) elle doit être inconditionnelle ; il ne devrait pas y avoir de clause dans le contrat de protection échappant au contrôle direct de la
banque qui pourrait empêcher le fournisseur de la protection d'être obligé de payer en temps opportun si la contrepartie sous
jacente n'effectue pas le ou les paiements dus.
193. En cas d'asymétrie des échéances, le montant de la protection de crédit fournie doit être
ajusté conformément aux paragraphes 126 à 130.
(ii) Exigences opérationnelles spécifiques pour les garanties
194. Outre les exigences de sécurité juridique visées au paragraphe 125, pour qu'une garantie soit reconnue, les exigences suivantes
doivent être satisfaites:
(un) En cas de défaut/nonpaiement admissible de la contrepartie, la banque peut poursuivre en temps opportun le garant pour toute
somme impayée en vertu de la documentation régissant la transaction. Le garant peut effectuer un paiement forfaitaire de toutes
les sommes en vertu de ces documents à la banque, ou le garant peut assumer les futures obligations de paiement de la contrepartie
couverte par la garantie. La banque doit avoir le droit de recevoir de tels paiements de la part du garant sans avoir à engager au
préalable une action en justice afin de poursuivre la contrepartie pour le paiement.
82 Le fournisseur de protection ne doit pas avoir la possibilité de modifier a posteriori l'échéance convenue.
48 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(b) La garantie est une obligation explicitement documentée assumée par le garant.
(c) Sauf indication contraire dans la phrase suivante, la garantie couvre tous les types de paiements que la contrepartie sousjacente
est censée effectuer en vertu de la documentation régissant la transaction, par exemple le montant notionnel, les paiements de
marge, etc. Lorsqu'une garantie couvre le paiement du principal uniquement, les intérêts et les autres paiements non couverts
doivent être traités comme un montant non garanti conformément aux règles de couverture proportionnelle décrites au paragraphe
202.
(iii) Exigences opérationnelles spécifiques aux dérivés de crédit
195. Outre les exigences de sécurité juridique énoncées au paragraphe 125, pour qu'un dérivé de crédit
contrat pour être reconnu, les conditions suivantes doivent être remplies :
(un) Les événements de crédit spécifiés par les parties contractantes doivent au minimum couvrir :
− défaut de paiement des montants dus en vertu des conditions de l'obligation sousjacente en vigueur au moment de ce défaut
(avec un délai de grâce qui correspond étroitement au délai de grâce de l'obligation sousjacente) ;
− la faillite, l'insolvabilité ou l'incapacité du débiteur à payer ses dettes, ou son défaut ou l'aveu par écrit de son incapacité générale
à payer ses dettes à leur échéance, et événements analogues ; et
de restructuration qui entraîne
83 de u
l'obligation
n événement
sousjacente
de perte die
mpliquant
crédit (c'estàdire
l'annulation
une
ou
radiation,
le report duu
ne
− pprovision
rincipal, sdpécifique
es intérêts
ou
ouu
n
daes
utre
frais
débit
similaire du compte de profits et pertes).
(b) Si le dérivé de crédit couvre des obligations qui n'incluent pas l'obligation sousjacente, la section (g) cidessous détermine si
l'asymétrie d'actifs est autorisée.
(c) Le dérivé de crédit ne doit pas être résilié avant l'expiration de toute période de grâce requise pour qu'un défaut sur l'obligation sous
jacente se produise à la suite d'un défaut de paiement. En cas d'asymétrie des échéances, les dispositions des paragraphes 126 à
130 doivent être appliquées.
(ré) Les dérivés de crédit permettant un règlement en espèces sont comptabilisés en fonds propres dans la mesure où un processus de
valorisation robuste est en place afin d'estimer la perte de manière fiable. Il doit y avoir une période clairement spécifiée pour obtenir
des évaluations postévénement de crédit de l'obligation sousjacente. Si l'obligation de référence spécifiée dans le dérivé de crédit
aux fins du règlement en espèces est différente de l'obligation sousjacente, la section (g) cidessous détermine si l'asymétrie d'actifs
est autorisée.
(e) Si le droit/la capacité de l'acheteur de la protection de transférer l'obligation sousjacente au fournisseur de protection est requis
pour le règlement, les termes de l'obligation sousjacente doivent prévoir que tout consentement requis à un tel transfert ne peut
pas être refusé de manière déraisonnable.
(F) L'identité des parties chargées de déterminer si un événement de crédit s'est produit doit être clairement définie. Cette détermination
ne doit pas relever de la seule responsabilité du vendeur de la protection.
L'acheteur de protection doit avoir le droit/la capacité d'informer le fournisseur de protection de la survenance d'un événement de
crédit.
83 Lors de la couverture d'expositions sur des entreprises, il n'est pas nécessaire de spécifier cet événement de crédit particulier à condition que (i)
un vote à 100 % soit nécessaire pour modifier l'échéance, le principal, le coupon, la devise ou le statut de l'exposition sousjacente sur des
entreprises ; (ii) Le domicile légal dans lequel l'exposition de l'entreprise est régie dispose d'un code de la faillite bien établi qui permet à une
entreprise de se réorganiser/restructurer et prévoit un règlement ordonné des réclamations des créanciers. Si ces conditions ne sont pas
remplies, le traitement décrit au paragraphe 196 peut être éligible.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 49
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(g) Une asymétrie entre l'obligation sousjacente et l'obligation de référence au titre du dérivé de crédit (c'estàdire
l'obligation utilisée aux fins de déterminer la valeur de règlement en espèces ou l'obligation livrable) est autorisée si (1)
l'obligation de référence est de rang égal ou inférieur à l'obligation sousjacente et (2) l'obligation sousjacente et
l'obligation de référence partagent le même débiteur (c'estàdire la même entité juridique) et des clauses de défaut
croisé ou d'accélération croisée juridiquement exécutoires sont en place.
(h) Une asymétrie entre l'obligation sousjacente et l'obligation utilisée aux fins de déterminer si un événement de crédit
s'est produit est admissible si (1) cette dernière obligation est de rang égal ou inférieur à l'obligation sousjacente, et
(2) l'obligation sousjacente et l'obligation de référence obligation partagent le même débiteur (c'estàdire la même
entité juridique) et des clauses de défaut croisé ou d'accélération croisée juridiquement exécutoires sont en place.
196. Lorsque la restructuration de l'obligation sousjacente n'est pas couverte par le dérivé de crédit, mais que les autres exigences
du paragraphe 195 sont remplies, la comptabilisation partielle du dérivé de crédit sera autorisée. Si le montant du dérivé de crédit
est inférieur ou égal au montant de l'obligation sousjacente, 60 % du montant de la couverture peut être reconnu comme couvert.
Si le montant du dérivé de crédit est supérieur à celui de l'obligation sousjacente, alors le montant de couverture éligible est
plafonné à 60 % du montant de l'obligation sousjacente.
(iv) Gamme de garants éligibles (contregarants)/fournisseurs de protection et dérivés de
crédit
197. La protection de crédit accordée par les entités suivantes peut être reconnue lorsqu'elles présentent un risque plus faible
poids que la contrepartie :
• Entités souveraines84, ESP, BMD, banques, maisons de titres et autres institutions financières soumises à une réglementation
prudentielle ayant une pondération de risque inférieure à celle de la contrepartie85 ;
• Dans les juridictions qui autorisent l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires :
− d'autres entités notées par des tiers, sauf lorsqu'une protection de crédit est fournie à une exposition de titrisation.
Cela comprendrait la protection de crédit fournie par une société mère, une filiale et des sociétés affiliées
lorsqu'elles ont une pondération de risque inférieure à celle du débiteur ;
− lorsqu'une protection de crédit est fournie à une exposition de titrisation, d'autres entités qui sont actuellement notées
BBB– ou mieux et qui étaient notées A– ou mieux au moment où la protection de crédit a été fournie. Cela
comprendrait la protection de crédit fournie par la société mère, les filiales et les sociétés affiliées lorsqu'elles ont
une pondération de risque inférieure à celle du débiteur.
• Dans les juridictions qui n'autorisent pas l'utilisation de notations externes à des fins réglementaires :
− Autres entités, définies comme « investment grade », ce qui signifie qu'elles ont une capacité suffisante pour honorer
leurs engagements financiers (y compris les remboursements de principal et d'intérêts) en temps opportun,
indépendamment du cycle économique et des conditions commerciales.
84
Cela comprend la Banque des règlements internationaux, le Fonds monétaire international, la Banque centrale européenne, l'Union européenne,
le Mécanisme européen de stabilité (MES) et le Fonds européen de stabilité financière (FESF), ainsi que les BMD éligibles à une pondération de
risque de 0 %. tels que définis au paragraphe 14 et visés à la note de bas de page 11.
85
Une institution financière à réglementation prudentielle est définie comme : une entité juridique supervisée par un régulateur qui impose des
exigences prudentielles conformes aux normes internationales ou une entité juridique (société mère ou filiale) incluse dans un groupe consolidé
où toute entité juridique substantielle du groupe consolidé est surveillée par un régulateur qui impose des exigences prudentielles conformes aux
normes internationales. Il s'agit notamment, mais sans s'y limiter, des compagnies d'assurance réglementées par la prudence, des courtiers/
négociants, des marchands de commissions d'épargne et de contrats à terme et des contreparties centrales éligibles telles que définies dans le
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Cadre réglementaire de capital requis pour les expositions bancaires aux contreparties centrales, juillet
2012 , www.bis.org/publ/bcbs227.pdf.
50 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Lors de cette détermination, la banque doit évaluer l'entité par rapport à la définition de qualité d'investissement
en tenant compte de la complexité de son modèle économique, de ses performances par rapport au secteur
et à ses pairs, et des risques posés par l'environnement opérationnel de l'entité.
De plus, les conditions suivantes devront être respectées :
o Pour les personnes morales (ou la société mère de l'entité), elles doivent détenir des titres
en circulation sur une bourse de valeurs reconnue ;
o La solvabilité de ces « entités investment grade » n'est pas corrélée positivement avec le risque de crédit
des expositions pour lesquelles elles ont fourni des garanties.
− Sociétés mères, filiales et sociétés affiliées du débiteur lorsque leur solvabilité n'est pas positivement corrélée
avec le risque de crédit des expositions pour lesquelles elles ont fourni des garanties.
Pour qu'une société intragroupe soit reconnue comme garant éligible, le risque de crédit de l'ensemble du
groupe doit être pris en compte.
198. Seuls les swaps sur défaillance de crédit et les swaps sur rendement total qui offrent une protection de crédit
équivalente à des garanties peuvent être reconnus.
86 L'exception suivante s'applique: lorsqu'une banque achète une protection
de crédit par le biais d'un swap sur rendement total et enregistre les paiements nets reçus sur le swap en tant que revenu
net, mais n'enregistre pas la détérioration compensatoire de la valeur de l'actif protégé (soit par des réductions de juste
valeur ou par un ajout aux réserves), la protection de crédit ne sera pas comptabilisée.
199. Premier défaut et tous les autres dérivés de crédit au nième défaut (c'estàdire par lesquels une banque obtient
une protection de crédit pour un panier de noms de référence et où le premier ou le nième défaut parmi les noms de
référence déclenche la protection de crédit et résilie le contrat) ne sont pas éligibles en tant que technique d'atténuation du
risque de crédit et ne peuvent donc fournir aucun allègement de capital réglementaire. Dans les transactions dans lesquelles
une banque a fourni une protection de crédit au moyen de tels instruments, elle applique le traitement décrit au paragraphe
89.
(v) Traitement par pondération des risques des transactions dans lesquelles une protection de crédit éligible est fournie
Traitement général de la pondération des risques
200. La part protégée se voit attribuer la pondération de risque du fournisseur de protection. Le découvert
une partie de l'exposition se voit attribuer la pondération de risque de la contrepartie sousjacente.
201. Les seuils de matérialité sur les paiements en dessous desquels le fournisseur de protection est exonéré de
paiement en cas de perte sont équivalents à des positions de première perte conservées. La partie de l'exposition qui est
inférieure à un seuil de matérialité doit se voir attribuer une pondération de risque de 1250 % par la banque qui achète la
protection de crédit.
Couverture proportionnelle
202. Lorsque les pertes sont partagées pari passu au prorata entre la banque et le garant, l'allégement du capital est accordé
sur une base proportionnelle, c'estàdire que la partie protégée de l'exposition reçoit le traitement applicable aux garanties/
dérivés de crédit éligibles, le reste traité comme non garanti.
Couverture en tranches
203. Lorsque la banque transfère une partie du risque d'une exposition en une ou plusieurs tranches à un ou plusieurs
vendeurs de protection et conserve un certain niveau de risque du prêt, et que le risque transféré et le risque conservé sont
de rang différent, les banques peut obtenir une protection de crédit soit pour les tranches senior
86 Les billets liés à un crédit financés en espèces émis par la banque contre des expositions dans le portefeuille bancaire qui satisfont à toutes les exigences
minimales pour les dérivés de crédit sont traités comme des transactions garanties par des espèces. Toutefois, dans ce cas, les limitations concernant le
fournisseur de protection telles qu'énoncées au paragraphe 197 ne s'appliquent pas.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 51
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(par exemple, la partie de deuxième perte) ou la tranche junior (par exemple, la partie de première perte). Dans ce cas, les règles
énoncées dans la norme de titrisation s'appliquent.
(v) Asymétries de devises
204. Lorsque la protection de crédit est libellée dans une devise différente de celle dans laquelle l'exposition est libellée – c'est
àdire qu'il existe une asymétrie de devises – le montant de l'exposition réputée protégée doit être réduit par l'application d'une
décote HFX, c'està dire
1 GG
= H
UN
− ( Effets
)
où:
G = montant nominal de la protection de crédit
HFX = décote appropriée pour l'asymétrie des devises entre la protection du crédit et le sousjacent
obligation.
La décote pour asymétrie de devises pour une période de détention de 10 jours ouvrables (en supposant une
évaluation quotidienne au marché) est de 8 %. Cette décote doit être majorée à l'aide de la formule de la racine carrée du temps,
en fonction de la fréquence de réévaluation de la protection de crédit, comme décrit au paragraphe 172.
(vii) Garanties souveraines et contregaranties
205. Comme précisé au paragraphe 8, une pondération de risque plus faible peut être appliquée, à la discrétion nationale,
aux expositions d'une banque sur l'État souverain (ou la banque centrale) où la banque est constituée et lorsque l'exposition est
libellée en monnaie nationale et financée dans cette monnaie. Les superviseurs nationaux peuvent étendre ce traitement à des
portions d'expositions garanties par l'État (ou la banque centrale), lorsque la garantie est libellée dans la monnaie nationale et
que l'exposition est financée dans cette monnaie. Une exposition peut être couverte par une garantie indirectement contre
garantie par un souverain. Une telle exposition peut être considérée comme couverte par une garantie souveraine à condition
que :
(un) la contregarantie souveraine couvre tous les éléments de risque de crédit de l'exposition ;
(b) la garantie initiale et la contregarantie satisfont à toutes les exigences opérationnelles pour les garanties, sauf que la
contregarantie n'a pas besoin d'être directe et explicite visàvis de l'exposition initiale ; et
(c) le contrôleur est convaincu que la couverture est solide et qu'aucune preuve historique ne suggère que la couverture
de la contregarantie est moins qu'effectivement équivalente à celle d'une garantie souveraine directe.
52 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Approche notations internes pour le risque de crédit
UN. Aperçu
1. Cette section décrit l'approche NI pour le risque de crédit. Sous réserve de certaines conditions minimales et obligations
d'information, les banques qui ont reçu l'approbation des autorités de contrôle pour utiliser l'approche NI peuvent s'appuyer sur leurs
propres estimations internes des composantes de risque pour déterminer l'exigence de fonds propres pour une exposition donnée.
Les composantes du risque comprennent des mesures de la probabilité de défaut (PD), de la perte en cas de défaut (LGD), de
l'exposition en cas de défaut (EAD) et de l'échéance effective (M). Dans certains cas, les banques peuvent être tenues d'utiliser une
valeur prudentielle plutôt qu'une estimation interne pour une ou plusieurs des composantes du risque.
2. L'approche IRB est basée sur des mesures de pertes inattendues (UL) et de pertes attendues (EL). Les fonctions de
pondération des risques produisent des exigences de fonds propres pour la part UL. Les pertes attendues sont traitées séparément,
comme indiqué au paragraphe 43 du dispositif de Bâle II (juin 2006)1 et à la section G cidessous.
3. Dans cette section, les classes d'actifs sont définies en premier. L'adoption de l'approche NI dans toutes les classes
d'actifs est également abordée au début de cette section. Les composantes de risque, dont chacune est définie plus loin dans cette
section, servent d'entrées aux fonctions de pondération des risques qui ont été développées pour des classes d'actifs distinctes.
Par exemple, il existe une fonction de pondération des risques pour les expositions sur les entreprises et une autre pour les
expositions renouvelables éligibles sur la clientèle de détail. Le traitement de chaque classe d'actifs commence par une présentation
de la ou des fonctions de pondération des risques pertinentes, suivie des composantes de risque et d'autres facteurs pertinents, tels
que le traitement des facteurs d'atténuation du risque de crédit. Les normes de sécurité juridique pour la reconnaissance de la MRC
telles qu'énoncées aux points 117 à 205 de l'approche standard s'appliquent à la fois à l'approche fondamentale et à l'approche IRB
avancée. Les exigences minimales que les banques doivent satisfaire pour utiliser l'approche NI sont présentées à la fin de cette
section à partir de la section H, paragraphe 154.
B Mécanique de l'approche IRB
4. Dans la section 1 qui suit, les classes d'actifs (par exemple, les expositions sur les entreprises et les expositions sur la
clientèle de détail) éligibles à l'approche NI sont définies. La section 2 décrit les composantes de risque à utiliser par les banques
par classe d'actifs. La section 3 traite de l'adoption par une banque de l'approche NI au niveau de la catégorie d'actifs et des
exigences de déploiement connexes. Dans les cas où un traitement NI n'est pas spécifié, la pondération de risque pour ces autres
expositions est de 100 %, sauf lorsqu'une pondération de risque de 0 % s'applique dans le cadre de l'approche standard, et les actifs
pondérés en fonction des risques qui en résultent sont supposés représenter UL uniquement.
1. Catégorisation des expositions
5. Dans le cadre de l'approche NI, les banques doivent classer les expositions du portefeuille bancaire en grandes
catégories d'actifs présentant différentes caractéristiques de risque sousjacentes, sous réserve des définitions énoncées cidessous.
Les classes d'actifs sont (a) les entreprises, (b) les souverains, (c) les banques, (d) les particuliers et (e) les actions. Au sein de la
classe d'actifs des entreprises, cinq sousclasses de prêts spécialisés sont identifiées séparément. Au sein de la classe d'actifs de
détail, trois sousclasses sont identifiées séparément. Au sein des catégories d'actifs des entreprises et des particuliers, un traitement
distinct pour les créances achetées peut également s'appliquer si certaines conditions sont remplies. Pour la classe d'actifs actions,
l'approche NI n'est pas autorisée, comme indiqué cidessous.
1 Les références au cadre de Bâle II (juin 2006) renvoient à la version complète disponible sur : www.bis.org/publ/bcbs128.pdf.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 53
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6. La classification des expositions de cette manière est globalement conforme à la pratique bancaire établie.
Cependant, certaines banques peuvent utiliser des définitions différentes dans leurs systèmes internes de gestion et de mesure des
risques. Bien que le Comité n'ait pas l'intention d'exiger des banques qu'elles modifient la manière dont elles gèrent leurs activités et
leurs risques, les banques sont tenues d'appliquer le traitement approprié à chaque exposition aux fins du calcul de leur exigence
de capital minimum. Les banques doivent démontrer aux autorités de contrôle que leur méthodologie d'affectation des expositions
aux différentes catégories est appropriée et cohérente dans le temps.
sept.
Pour le traitement des expositions de titrisation, voir les Révisions du Comité au cadre de titrisation.
2
(je) Définition des expositions sur les entreprises
8. En général, une exposition d'entreprise est définie comme un titre de créance d'une société, d'une société de personnes
ou d'une entreprise individuelle. Les banques sont autorisées à distinguer séparément les expositions aux petites et moyennes
entités (PME), telles que définies au paragraphe 54.
9. En plus des entreprises générales, au sein de la classe d'actifs des entreprises, cinq sousclasses de prêts spécialisés
(SL) sont identifiées. Ces prêts présentent toutes les caractéristiques suivantes, soit dans leur forme juridique, soit dans leur
substance économique :
• L'exposition porte généralement sur une entité (souvent une entité ad hoc (SPE)) qui a été créée spécifiquement pour
financer et/ou exploiter des actifs physiques ;
• L'entité emprunteuse n'a que peu ou pas d'autres actifs ou activités significatifs, et donc peu ou pas de capacité
indépendante à rembourser l'obligation, en dehors des revenus qu'elle tire du ou des actifs financés ;
• Les termes de l'obligation donnent au prêteur un degré substantiel de contrôle sur le ou les actifs et les revenus qu'ils
génèrent ; et
• En raison des facteurs précédents, la principale source de remboursement de l'obligation est le revenu généré par le ou
les actifs, plutôt que la capacité indépendante d'une entreprise commerciale plus large.
dix. Les cinq sousclasses de prêts spécialisés (SL) sont le financement de projets, le financement d'objets, le financement
de matières premières, l'immobilier productif de revenus et l'immobilier commercial à forte volatilité. Chacune de ces sousclasses
est définie cidessous.
Financement de projet
11. Le financement de projet (PF) est une méthode de financement dans laquelle le prêteur se tourne principalement vers
les revenus générés par un seul projet, à la fois comme source de remboursement et comme garantie de l'exposition. Ce type de
financement est généralement destiné à de grandes installations complexes et coûteuses pouvant inclure, par exemple, des
centrales électriques, des usines de traitement chimique, des mines, des infrastructures de transport, des infrastructures
environnementales et de télécommunications. Le financement de projet peut prendre la forme du financement de la construction
d'une nouvelle installation capitale ou du refinancement d'une installation existante, avec ou sans améliorations.
12. Dans de telles transactions, le prêteur est généralement payé uniquement ou presque exclusivement sur l'argent généré
par les contrats de production de l'installation, comme l'électricité vendue par une centrale électrique. L'emprunteur est généralement
une structure d'accueil qui n'est pas autorisée à exercer une fonction autre que le développement, la propriété et l'exploitation de
l'installation. La conséquence est que le remboursement dépend principalement des flux de trésorerie du projet et de la valeur
collatérale des actifs du projet. En revanche, si le remboursement de l'exposition dépend
2
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Revisions to the securitization framework, 11 décembre 2014 (révisé en juillet 2016),
www.bis.org/bcbs/publ/d374.pdf.
54 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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principalement sur un utilisateur final bien établi, diversifié, solvable et contractuellement tenu de rembourser, il est considéré
comme une exposition garantie à cet utilisateur final.
Finance d'objet
13. Le financement d'objets (OF) fait référence à une méthode de financement de l'acquisition d'actifs physiques (par
exemple, des navires, des avions, des satellites, des wagons et des flottes) où le remboursement de l'exposition dépend des flux
de trésorerie générés par les actifs spécifiques qui ont été financés. et nantissement ou cession au prêteur. Une source principale
de ces flux de trésorerie pourrait être des contrats de location ou de créditbail avec un ou plusieurs tiers. En revanche, si l'exposition
porte sur un emprunteur dont la situation financière et la capacité de service de la dette lui permettent de rembourser la dette sans
dépendre indûment des actifs spécifiquement mis en gage, l'exposition doit être traitée comme une exposition d'entreprise garantie.
Financement des matières premières
14. Le financement des matières premières (FC) fait référence aux prêts structurés à court terme pour financer les réserves,
les stocks ou les créances de matières premières négociées en bourse (par exemple, le pétrole brut, les métaux ou les cultures),
où l'exposition sera remboursée à partir du produit de la vente du marchandise et l'emprunteur n'a pas la capacité indépendante de
rembourser l'exposition. C'est le cas lorsque l'emprunteur n'a pas d'autres activités et pas d'autres actifs significatifs à son bilan. La
nature structurée du financement est conçue pour compenser la faible qualité de crédit de l'emprunteur. La notation de l'exposition
reflète sa nature autoliquidatrice et la capacité du prêteur à structurer la transaction plutôt que la qualité de crédit de l'emprunteur.
15. Le Comité estime que ces prêts peuvent être distingués des expositions finançant les réserves, les stocks ou les
créances d'autres entreprises emprunteuses plus diversifiées. Les banques sont en mesure d'évaluer la qualité de crédit de ce
dernier type d'emprunteurs sur la base de leurs opérations en cours plus larges. Dans de tels cas, la valeur de la marchandise sert
d'atténuateur de risque plutôt que de principale source de remboursement.
Immobilier à revenus
16. L'immobilier productif de revenus (IPRE) fait référence à une méthode de financement de biens immobiliers (tels que
des immeubles de bureaux à louer, des espaces commerciaux, des immeubles résidentiels multifamiliaux, des espaces industriels
ou d'entrepôt et des hôtels) où les perspectives de remboursement et de récupération sur l'exposition dépend principalement des
flux de trésorerie générés par l'actif. La principale source de ces flux de trésorerie serait généralement le loyer ou les paiements de
location ou la vente de l'actif. L'emprunteur peut être, mais n'est pas tenu d'être, une structure d'accueil, une société d'exploitation
axée sur la construction ou la détention de biens immobiliers, ou une société d'exploitation ayant des sources de revenus autres
que l'immobilier. La caractéristique distinctive de l'IPRE par rapport aux autres expositions sur les entreprises garanties par un bien
immobilier est la forte corrélation positive entre les perspectives de remboursement de l'exposition et les perspectives de
recouvrement en cas de défaut, les deux dépendant principalement des flux de trésorerie générés par un propriété.
Immobilier commercial à haute volatilité
17. Les prêts immobiliers commerciaux à haute volatilité (HVCRE) sont le financement de l'immobilier commercial qui
présente une volatilité du taux de perte plus élevée (c'estàdire une corrélation des actifs plus élevée) par rapport aux autres types de SL.
HVCRE comprend :
• Les expositions sur l'immobilier commercial garanties par des propriétés de types classés par le superviseur national
comme partageant des volatilités plus élevées dans les taux de défaut du portefeuille ;
• Prêts finançant l'une des phases d'acquisition, de développement et de construction de terrains (ADC) pour des
propriétés de ce type dans ces juridictions ; et
• Prêts finançant l'ADC de toute autre propriété où la source de remboursement à l'origine de l'exposition est soit la vente
future incertaine de la propriété, soit des flux de trésorerie dont la source de remboursement est substantiellement
incertaine (par exemple, la propriété n'a pas encore été louée à l'occupant
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 55
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taux en vigueur sur ce marché géographique pour ce type de biens immobiliers commerciaux), à moins que l'emprunteur n'ait des
capitaux propres substantiels à risque. Les prêts ADC commerciaux exemptés du traitement en tant que prêts HVCRE sur la base
de la certitude du remboursement des capitaux propres de l'emprunteur ne sont toutefois pas éligibles aux réductions supplémentaires
pour les expositions SL décrites au paragraphe 58.
18. Lorsque les autorités de contrôle classent certains types d'expositions immobilières commerciales comme HVCRE dans leurs
juridictions, elles sont tenues de rendre publiques ces déterminations. Les autres autorités de contrôle doivent veiller à ce que ce traitement soit
ensuite appliqué de la même manière aux banques sous leur contrôle lorsqu'elles accordent de tels prêts HVCRE dans cette juridiction.
(ii) Définition des expositions souveraines
19. Cette classe d'actifs recouvre l'ensemble des expositions sur des contreparties assimilées à des souverains en approche standard.
Cela inclut les États souverains (et leurs banques centrales), certains ESP identifiés comme souverains dans l'approche standard, les BMD qui
répondent aux critères d'une pondération de risque de 0 % et visés à la note de bas de page 11 de l'approche standard, et les entités visées au
paragraphe 10 de l'approche standardisée. Le traitement des expositions souveraines est inchangé par rapport au cadre Bâle II (juin 2006).
(iii) Définition des expositions bancaires
20. Cette catégorie d'actifs couvre les expositions sur les banques telles que définies au paragraphe 16 de l'approche standard pour le
risque de crédit et les maisons de titres et autres établissements financiers visés au paragraphe 37 de l'approche standard pour le risque de
crédit qui sont traitées comme des expositions sur les banques. Les expositions bancaires comprennent également les créances sur tous les
ESP nationaux qui ne sont pas traités comme des expositions sur les emprunteurs souverains dans le cadre de l'approche standard, et les BMD
qui ne remplissent pas les critères d'une pondération de risque de 0 % dans le cadre de l'approche standard (c'estàdire les BMD qui ne sont
pas répertoriées dans la note de bas de page 11 de l'approche standardisée).
(iv) Définition des expositions sur la clientèle de détail
21. Une exposition est classée dans la catégorie des expositions sur la clientèle de détail si elle répond à tous les critères suivants :
Nature de l'emprunteur ou faible valeur des expositions individuelles
• Expositions aux particuliers telles que les crédits renouvelables et les lignes de crédit (par exemple, les cartes de crédit, les
découverts et les facilités de vente au détail garanties par des instruments financiers) ainsi que les prêts personnels à terme et les
baux (par exemple, les prêts à tempérament, les prêts et baux automobiles, les prêts étudiants et éducatifs, finances personnelles
et autres expositions présentant des caractéristiques similaires) – sont généralement éligibles au traitement de détail quelle que soit
la taille de l'exposition, bien que les autorités de contrôle puissent souhaiter établir des seuils d'exposition pour faire la distinction
entre les expositions de détail et les expositions sur les entreprises.
• Les prêts hypothécaires résidentiels3 (y compris les privilèges de premier rang et les privilèges subséquents, les prêts à terme et les marges
de crédit renouvelables sur valeur domiciliaire) sont admissibles au traitement de détail, quelle que soit la taille de l'exposition, pourvu que le
crédit soit :
(ii) une exposition à des associations ou coopératives de particuliers régies par le droit national et existant dans le seul but
d'accorder à ses membres l'usage d'une résidence principale dans la propriété garantissant le prêt.
3
Les prêts qui satisfont aux conditions énoncées à la note de bas de page 35 du paragraphe 60 de l'approche standard pour le risque de crédit peuvent
également être inclus dans la souscatégorie des prêts hypothécaires résidentiels de détail NI.
4
À la discrétion nationale, les autorités de contrôle peuvent exclure de la souscatégorie d'actifs hypothécaires résidentiels de détail les prêts aux particuliers
qui ont hypothéqué plus d'un nombre spécifié de propriétés ou d'unités d'habitation, et traiter ces prêts comme des expositions sur les entreprises.
56 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Les prêts accordés aux petites entreprises et gérés comme des expositions de détail sont éligibles au traitement de détail à condition
que l'exposition totale du groupe bancaire à une petite entreprise emprunteuse (sur une base consolidée le cas échéant) soit
inférieure à 1 million d'euros. Les prêts aux petites entreprises consentis ou garantis par un particulier sont assujettis au même seuil
d'exposition.
• On s'attend à ce que les autorités de contrôle offrent une flexibilité dans l'application pratique de ces seuils, de sorte que les
banques ne soient pas obligées de développer de nouveaux systèmes d'information étendus simplement dans le but d'assurer une
parfaite conformité. Il est toutefois important que les superviseurs s'assurent que cette flexibilité (et l'acceptation implicite de
montants d'exposition dépassant les seuils qui ne sont pas traités comme des violations) ne fait pas l'objet d'abus.
Grand nombre d'expositions
22. L'exposition doit faire partie d'un large éventail d'expositions, qui sont gérées par la banque sur une base groupée.
• Les expositions aux petites entreprises inférieures à 1 million d'euros peuvent être traitées comme des expositions sur la clientèle
de détail si la banque traite ces expositions dans ses systèmes internes de gestion des risques de manière cohérente dans le temps
et de la même manière que les autres expositions sur la clientèle de détail. Cela exige qu'une telle exposition soit initiée de la même
manière que d'autres expositions sur la clientèle de détail. En outre, elles ne doivent pas être gérées individuellement d'une manière
comparable aux expositions sur les entreprises, mais plutôt dans le cadre d'un segment de portefeuille ou d'un ensemble
d'expositions présentant des caractéristiques de risque similaires à des fins d'évaluation et de quantification des risques.
Toutefois, cela n'empêche pas que les expositions sur la clientèle de détail soient traitées individuellement à certaines étapes du
processus de gestion des risques. Le fait qu'une exposition soit notée individuellement ne nie pas en soi son éligibilité en tant
qu'exposition sur la clientèle de détail.
23. Au sein de la catégorie d'actifs sur la clientèle de détail, les banques sont tenues d'identifier séparément trois souscatégories
d'expositions : (a) les prêts hypothécaires résidentiels, tels que définis cidessus, (b) les expositions renouvelables éligibles sur la clientèle de
détail, telles que définies au paragraphe suivant, et (c) toutes les autres expositions de détail.
(v) Définition des expositions renouvelables éligibles sur la clientèle de détail
24. Tous les critères suivants doivent être satisfaits pour qu'un sousportefeuille soit traité comme une exposition renouvelable éligible
sur la clientèle de détail (QRRE). Ces critères doivent être appliqués à un niveau de sousportefeuille cohérent avec la segmentation de la
banque de ses activités de détail en général. La segmentation au niveau national ou national (ou inférieur) devrait être la règle générale.
(un) Les expositions sont renouvelables, non garanties et non engagées (tant contractuellement qu'en pratique).
Dans ce contexte, les expositions renouvelables sont définies comme celles pour lesquelles les soldes impayés des clients sont
autorisés à fluctuer en fonction de leurs décisions d'emprunter et de rembourser, jusqu'à une limite établie par la banque.
(b) Les expositions concernent les individus.
(c) L'exposition maximale à un seul individu dans le sousportefeuille est de 100 000 € ou moins.
(ré) Étant donné que les hypothèses de corrélation des actifs pour la fonction de pondération des risques QRRE sont nettement
inférieures à celles de l'autre fonction de pondération des risques de détail à de faibles valeurs de PD, les banques doivent démontrer
que l'utilisation de la fonction de pondération des risques QRRE est limitée aux portefeuilles qui ont affiché de faibles volatilité des
taux de perte, par rapport à leur niveau moyen de taux de perte, en particulier dans les bandes de faible PD.
Les superviseurs examineront la volatilité relative des taux de perte dans les sousportefeuilles QRRE, ainsi que le portefeuille
QRRE global, et ont l'intention de partager des informations sur les caractéristiques typiques des taux de perte QRRE entre les
juridictions.
(e) Les données sur les taux de perte du sousportefeuille doivent être conservées afin de permettre l'analyse de la volatilité des taux
de perte.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 57
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(F) L'autorité de contrôle doit convenir que le traitement en tant qu'exposition renouvelable éligible sur la clientèle de détail est
cohérent avec les caractéristiques de risque sousjacentes du sousportefeuille.
25. La sousclasse QRRE est divisée en expositions aux agents de transaction et aux revolvers. Un agent QRRE est une
exposition à un débiteur qui répond à la définition énoncée au paragraphe 56 de l'approche standard.
Autrement dit, l'exposition concerne un débiteur en relation avec une facilité telle qu'une carte de crédit ou une carte de paiement dont le
solde a été intégralement remboursé à chaque date de remboursement prévue pour les 12 mois précédents, ou l'exposition concerne
une facilité de découvert s'il n'y a pas eu de prélèvements au cours des 12 derniers mois. Toutes les expositions qui ne sont pas des
transacteurs QRRE sont des revolvers QRRE.
(v) Définition des expositions sur actions
26. Cette classe d'actifs recouvre les expositions sur actions telles que définies au paragraphe 49 de la norme
approche du risque de crédit.
(vii) Définition des créances achetées éligibles
27. Les créances achetées éligibles sont divisées en créances de détail et créances d'entreprise telles que définies cidessous.
Créances de détail
28. Les créances sur la clientèle de détail achetées, à condition que la banque acheteuse respecte les règles NI pour les
expositions sur la clientèle de détail, sont éligibles à l'approche descendante, comme le permettent les normes existantes pour les
expositions sur la clientèle de détail. La banque doit également appliquer les exigences opérationnelles minimales énoncées dans les
sections F et H.
Créances d'entreprise
29. En général, pour les créances achetées sur les entreprises, les banques sont censées évaluer le risque de défaut des
débiteurs individuels comme spécifié à la section C.1 (à partir du paragraphe 52) conformément au traitement des autres expositions sur
les entreprises. Toutefois, l'approche descendante peut être utilisée, à condition que le programme de la banque acheteuse pour les
créances d'entreprise respecte à la fois les critères d'éligibilité des créances et les exigences opérationnelles minimales de cette
approche. L'utilisation du traitement descendant des créances achetées est limitée aux situations dans lesquelles il serait inutile pour une
banque d'être soumise aux exigences minimales de l'approche NI des expositions sur les entreprises qui s'appliqueraient autrement. Elle
est principalement destinée aux créances achetées pour être incluses dans des structures de titrisation adossées à des actifs, mais les
banques peuvent également utiliser cette approche, avec l'approbation des autorités de contrôle nationales, pour les expositions
appropriées au bilan qui partagent les mêmes caractéristiques.
30. Les superviseurs peuvent refuser l'utilisation de l'approche descendante pour les créances d'entreprise achetées en fonction
du respect par la banque des exigences minimales. En particulier, pour être éligibles au traitement « top down » proposé, les créances
acquises sur les entreprises doivent satisfaire aux conditions suivantes :
• Les créances sont achetées auprès de vendeurs tiers non liés et, à ce titre, la banque n'a pas créé les créances, ni
directement ni indirectement.
58 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Les créances doivent être générées dans des conditions de pleine concurrence entre le vendeur et le débiteur.
(Ainsi, les comptes débiteurs intersociétés et les comptes débiteurs faisant l'objet de contrecomptes entre
entreprises qui s'achètent et se vendent ne sont pas éligibles.5)
• La banque acheteuse a un droit sur tous les produits du pool de créances ou un intérêt au prorata sur les produits6.
• Les superviseurs nationaux doivent également établir des limites de concentration audessus desquelles les
exigences de fonds propres doivent être calculées en utilisant les exigences minimales de l'approche ascendante
pour les expositions sur les entreprises. Ces limites de concentration peuvent faire référence à l'une ou à une
combinaison des mesures suivantes : la taille d'une exposition individuelle par rapport au pool total, la taille du pool
de créances en pourcentage des fonds propres réglementaires ou la taille maximale d'une exposition individuelle
dans la piscine.
31. L'existence d'un recours total ou partiel contre le vendeur n'empêche pas automatiquement une banque d'adopter
cette approche descendante, tant que les flux de trésorerie provenant des créances achetées sur les entreprises constituent la
principale protection contre le risque de défaut, tel que déterminé par les règles énoncées aux paragraphes 132 à 135 pour les
créances achetées et que la banque satisfait aux critères d'éligibilité et aux exigences opérationnelles.
2. Approches fondamentales et avancées
32. Pour chacune des classes d'actifs couvertes par le cadre IRB, il existe trois éléments clés :
• Composantes de risque : estimations des paramètres de risque fournies par les banques, dont certaines sont des estimations
prudentielles.
• Fonctions de pondération des risques : moyens par lesquels les composantes de risque sont transformées en actifs pondérés en
fonction des risques et donc en exigences de fonds propres.
• Exigences minimales : les normes minimales qui doivent être respectées pour qu'une banque utilise l'approche IRB
pour une classe d'actifs donnée.
33. Pour de nombreuses catégories d'actifs, le Comité a mis à disposition deux grandes approches : une approche de
base et une approche avancée. Dans le cadre de l'approche fondation (approche FIRB), en règle générale, les banques
fournissent leurs propres estimations de PD et s'appuient sur des estimations prudentielles pour les autres composantes du risque.
Dans le cadre de l'approche avancée (approche AIRB), les banques fournissent davantage leurs propres estimations de PD,
LGD et EAD, ainsi que leur propre calcul de M, sous réserve du respect de normes minimales. Tant pour l'approche de base
que pour l'approche avancée, les banques doivent toujours utiliser les fonctions de pondération des risques fournies dans le
présent cadre aux fins du calcul des exigences de fonds propres. La suite complète des approches est décrite cidessous.
34. Pour les expositions sur actions, définies au paragraphe 26 cidessus, les approches IRB ne sont pas autorisées
(voir paragraphe 42). De plus, l'approche AIRB ne peut pas être utilisée pour les éléments suivants :
(je) Expositions sur des entreprises générales appartenant à un groupe dont le chiffre d'affaires annuel consolidé total
est supérieur à 500 M€.
(ii) Expositions dans la classe d'actifs des banques (paragraphe 20), et autres maisons de titres et institutions
financières (y compris les compagnies d'assurance et toutes autres institutions financières de la classe d'actifs des
entreprises).
En faisant l'évaluation cidessus pour le seuil de revenus, les montants doivent être tels que déclarés dans les états
financiers audités des entreprises ou, pour les entreprises qui font partie de groupes consolidés,
5
Les comptes de contrepartie impliquent qu'un client achète et vende à la même entreprise. Le risque est que les dettes soient réglées par des paiements en
nature plutôt qu'en espèces. Les factures entre les entreprises peuvent être compensées entre elles au lieu d'être payées.
Cette pratique peut faire échec à une sûreté lorsqu'elle est contestée devant un tribunal.
6
Les créances sur les tranches du produit (position de première perte, position de deuxième perte, etc.) relèveraient du traitement de la titrisation.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 59
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leurs groupes consolidés (selon le référentiel comptable applicable à la société mère ultime du groupe consolidé). Les chiffres doivent être
basés sur les montants moyens calculés sur les trois années précédentes, ou sur les derniers montants mis à jour tous les trois ans par la
banque.
(je) Expositions entreprises et banques
35. Dans le cadre de l'approche fondation, les banques doivent fournir leurs propres estimations de PD associées à chacune de
leurs catégories d'emprunteurs, mais doivent utiliser des estimations prudentielles pour les autres composantes de risque pertinentes.
Les autres composantes de risque sont LGD, EAD et M.7
36. Dans le cadre de l'approche avancée, les banques doivent calculer l'échéance effective (M)8 et fournir leurs propres estimations
de PD, LGD et EAD.
37. Il existe une exception à cette règle générale pour les cinq souscatégories d'actifs identifiés comme SL.
Les catégories SL : PF, OF, CF, IPRE et HVCRE
38. Les banques qui ne satisfont pas aux exigences d'estimation de la PD dans le cadre de l'approche des fondations d'entreprise
pour leurs expositions SL sont tenues de cartographier leurs niveaux de risque internes en cinq catégories prudentielles, chacune étant
associée à une pondération de risque spécifique. Cette version est appelée « approche des critères de classement prudentiels ».
39. Les banques qui satisfont aux exigences d'estimation de la PD peuvent utiliser l'approche fondation pour les expositions sur les
entreprises afin de dériver des pondérations de risque pour toutes les catégories d'expositions SL à l'exception de HVCRE. À la discrétion
nationale, les banques qui satisfont aux exigences d'exposition HVCRE peuvent utiliser une approche fondation qui est similaire à tous égards
à l'approche entreprise, à l'exception d'une fonction de pondération des risques distincte, comme décrit au paragraphe 64.
40. Les banques qui satisfont aux exigences d'estimation de la PD, de la LGD et de l'EAD peuvent utiliser l'approche avancée des
expositions sur les entreprises pour dériver des pondérations de risque pour toutes les catégories d'expositions SL à l'exception de HVCRE.
À la discrétion nationale, les banques qui satisfont à ces exigences d'exposition HVCRE peuvent utiliser une approche avancée qui est
similaire à tous égards à l'approche entreprise, à l'exception d'une fonction de pondération des risques distincte, comme décrit au paragraphe
64.
(ii) Expositions de détail
41. Pour les expositions sur la clientèle de détail, les banques doivent fournir leurs propres estimations de PD, LGD et EAD. Il n'y a
pas d'approche fondamentale pour cette classe d'actifs.
(iii) Expositions aux actions
42. Toutes les expositions sur actions sont soumises à l'approche standard décrite au paragraphe 509 de l'approche standard pour
le risque de crédit, à l'exception des investissements en actions dans des fonds qui sont soumis aux exigences de la norme publiée par le
Comité de Bâle en décembre 2013.10
sept
Comme indiqué au paragraphe 107, certaines autorités de contrôle peuvent exiger des banques utilisant l'approche fondation qu'elles calculent M en utilisant la définition fournie
aux paragraphes 109 à 114.
8
À la discrétion de l'autorité de contrôle nationale, certaines expositions nationales peuvent être exemptées du calcul de M (voir paragraphe 108).
9 L'interdiction d'utiliser l'approche NI pour les expositions sur actions fera l'objet d'un accord progressif linéaire de cinq ans à compter de la date de mise en œuvre de la présente norme. Pendant la période de transition, la pondération des risques pour les expositions sur
actions sera la plus élevée entre : (i) la pondération des risques calculée selon l'approche NI ; et (ii) la pondération de risque fixée pour le dispositif linéaire dans le cadre de l'approche standard pour le risque de crédit (voir paragraphe 50, note de bas de page 29
de l'approche standard).
Alternativement, les autorités de contrôle peuvent exiger des banques qu'elles appliquent le traitement de l'approche standard entièrement progressive à compter de la date de
mise en œuvre de la présente norme.
dix
Les normes définitives sur les exigences de fonds propres pour les prises de participation des banques dans des fonds sont disponibles à l'adresse www.bis.org/publ/bcbs266.pdf.
60 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
Machine Translated by Google
(iv) Créances achetées éligibles
43. Le traitement chevauche potentiellement deux classes d'actifs. Pour les créances d'entreprise éligibles, une
approche de base et une approche avancée sont disponibles sous réserve du respect de certaines exigences opérationnelles.
Comme indiqué au paragraphe 29, pour les créances achetées sur les entreprises, les banques sont généralement
censées évaluer le risque de défaut des débiteurs individuels. La banque peut utiliser le traitement AIRB pour les créances
sur les entreprises achetées (paragraphes 134 et 135) uniquement pour les expositions sur des entreprises individuelles
débitrices qui sont éligibles à l'approche AIRB conformément au paragraphe 34. Sinon, le traitement FIRB pour les
entreprises achetées créances doivent être utilisées. Pour les créances retail éligibles, comme pour la classe d'actifs retail,
seule l'approche AIRB est disponible.
3. Adoption de l'approche IRB pour les classes d'actifs
44. Une fois qu'une banque adopte une approche IRB pour une partie de ses avoirs au sein d'une classe d'actifs,
elle est censée l'étendre à tous les avoirs de cette classe d'actifs. Dans ce cadre, les classes d'actifs concernées sont les
suivantes :
• Banques
• Entreprises (hors crédits spécialisés et créances achetées)
• Prêts spécialisés
• Créances achetées par l'entreprise
• Expositions renouvelables éligibles sur la clientèle de détail
• Prêts hypothécaires résidentiels de détail
• Autres commerces de détail (hors créances achetées)
• Créances achetées au détail
Le Comité reconnaît toutefois que, pour de nombreuses banques, il peut ne pas être possible, pour diverses
raisons, de mettre en œuvre l'approche NI pour une classe d'actifs entière dans toutes les unités opérationnelles en même temps.
En outre, une fois en IRB, les limites des données peuvent signifier que les banques peuvent respecter les normes d'utilisation de leurs
propres estimations de LGD et d'EAD pour certaines, mais pas toutes, de leurs expositions au sein d'une classe d'actifs en même temps
(par exemple, les expositions qui sont en la même classe d'actifs, mais appartiennent à des unités commerciales différentes).
45. classe dAinsi,
'actifs.
les
Le
superviseurs
déploiement
ppeuvent
rogressif
autoriser
comprend :
les banques
(i) l'adoption
à adopter
de l'IRB
un ddéploiement
ans toute la
pcrogressif
lasse d'actifs
de l'approche
au sein dN
e I
la
sur
même
une
unité commerciale ; (ii) l'adoption de l'IRB pour la classe d'actifs dans toutes les unités commerciales d'un même groupe
bancaire ; et (iii) passer de l'approche fondamentale à l'approche avancée pour certaines composantes de risque lorsque
l'utilisation de l'approche avancée est autorisée. Toutefois, lorsqu'une banque adopte une approche NI pour une catégorie
d'actifs au sein d'une unité commerciale particulière, elle doit appliquer l'approche NI à toutes les expositions au sein de cette
catégorie d'actifs dans cette unité.
46. mise en
Si
œuuvre,
ne banque
précisant
a l'intention
dans quelle
d'adopter
mesure
une
et aqpproche
uand elle
IRB
entend
pour
duéployer
ne classe
les
da'actifs,
pproches
elle IdRB
oit apu
roduire
sein de
un
la
pclan
lasse
de
d'actifs et des business units. Le plan doit être réaliste et doit être convenu avec le superviseur. Elle doit être motivée par
l'aspect pratique et la faisabilité du passage à des approches plus avancées, et non motivée par le désir d'adopter une
approche Pilier 1 qui minimise sa charge en capital. Au cours de la période de déploiement, les autorités de contrôle
veilleront à ce qu'aucun allègement de capital ne soit accordé pour les transactions intragroupe qui visent à réduire
l'exigence de capital globale d'un groupe bancaire en transférant le risque de crédit entre les entités selon l'approche
standard, l'approche fondation et l'approche NI avancée. Cela inclut, mais sans s'y limiter, les ventes d'actifs ou les
garanties croisées.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 61
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47. Certaines expositions qui ne sont pas significatives en termes de taille et de profil de risque perçu au sein de leur classe
d'actifs peuvent être exemptées des exigences des deux paragraphes précédents, sous réserve de l'approbation des autorités de
contrôle. Les exigences de capital pour de telles opérations seront déterminées selon l'approche standard, le superviseur national
déterminant si une banque doit détenir plus de capital au titre du pilier 2 pour ces positions.
48. Les banques qui adoptent une approche NI pour une classe d'actifs devraient continuer à appliquer une approche NI pour
cette classe d'actifs. Un retour volontaire à l'approche standard ou fondamentale n'est autorisé que dans des circonstances
extraordinaires, telles que la cession d'une grande partie des activités de crédit de la banque dans cette classe d'actifs, et doit être
approuvé par l'autorité de contrôle.
49. Compte tenu des limitations de données associées aux expositions SL, une banque peut rester sur l'approche des critères
de classement prudentiel pour une ou plusieurs des sousclasses PF, OF, CF, IPRE ou HVCRE, et passer à l'approche fondamentale
ou avancée pour l'autre sousclasse. Des classes. Cependant, une banque ne devrait pas passer à l'approche avancée pour la sous
classe HVCRE sans le faire également pour les expositions IPRE significatives en même temps.
50. Indépendamment de leur matérialité, les expositions aux contreparties centrales résultant de dérivés de gré à gré,
d'opérations sur dérivés négociés en bourse et d'opérations de financement sur titres doivent être traitées selon le traitement dédié
prévu à la section XI des normes relatives au risque de crédit de contrepartie.
C Règles pour les expositions sur les entreprises et les banques
51. La section C présente la méthode de calcul des exigences de fonds propres pour pertes inattendues (UL) pour les
expositions sur les entreprises et les banques. Comme indiqué à la section C.1, une seule fonction de pondération des risques est
prévue pour déterminer l'exigence de fonds propres pour les expositions sur les entreprises et les banques. Des pondérations de risque
prudentielles sont fournies pour chacune des souscatégories de prêts spécialisés d'entreprises, et une fonction de pondération de
risque distincte est également fournie pour HVCRE. La section C.2 traite des composantes de risque. La méthode de calcul des pertes
attendues et de détermination de la différence entre cette mesure et les provisions est décrite à la section G.
1. Actifs pondérés en fonction des risques pour les expositions sur les entreprises et les banques
(je) Formule de calcul des actifs pondérés en fonction des risques pour les expositions sur les entreprises et les banques
52. La dérivation des actifs pondérés en fonction des risques dépend des estimations de la PD, de la LGD, de l'EAD et, dans
certains cas, de l'échéance effective (M), pour une exposition donnée.
53. Tout au long de cette section, la PD et la LGD sont mesurées en décimales et l'EAD est mesurée en devise (par exemple
en euros), sauf indication contraire explicite. Pour les expositions non en défaut, la formule de calcul des actifs pondérés en fonction
des risques est :11, 12
11
ln désigne le logarithme népérien.
12
N(x) désigne la fonction de distribution cumulative pour une variable aléatoire normale standard (c'estàdire la probabilité qu'une variable
aléatoire normale avec une moyenne de zéro et une variance de un soit inférieure ou égale à x). G(z) désigne la distribution cumulative inverse
62 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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50 DP 50 DP
1− e 1− e
− −
2
Ajustement pour échéance (b) = 0,11852 0,05478
− ln PD
( )
(
G PD R
( 1 2,5
( −
M b + )
Capital requis13,14(K) = LGD N + g ( 0,999 −
LGD PD
1− R )
( 1 1,5 b) )
(1 R
− ) ) −
Actifs pondérés en fonction des risques (RWA) = K 12,5 EAD
L'exigence de fonds propres (K) pour une exposition en défaut est égale au plus élevé de zéro et de la différence entre sa LGD
(décrite au paragraphe 235) et la meilleure estimation de la perte attendue de la banque (décrite au paragraphe 238). Le montant
de l'actif pondéré en fonction des risques pour l'exposition en défaut est le produit de K, 12,5 et de l'EAD.
Un multiplicateur de 1,25 est appliqué au paramètre de corrélation de toutes les expositions aux institutions financières
répondant aux critères suivants :
• Institutions financières réglementées dont le total des actifs est supérieur ou égal à 100 milliards de dollars américains.
Les états financiers vérifiés les plus récents de la société mère et des filiales consolidées doivent être utilisés pour
déterminer la taille de l'actif. Aux fins du présent paragraphe, une institution financière réglementée est définie comme
une société mère et ses filiales lorsque toute entité juridique importante du groupe consolidé est supervisée par un
organisme de réglementation qui impose des exigences prudentielles conformes aux normes internationales. Il s'agit
notamment, mais sans s'y limiter, des compagnies d'assurance, des courtiers/négociants, des banques, des marchands
d'épargne et des commissions sur contrats à terme prudentiellement réglementés ;
• Institutions financières non réglementées, quelle que soit leur taille. Les institutions financières non réglementées sont,
aux fins du présent paragraphe, les personnes morales dont l'activité principale comprend : la gestion d'actifs financiers,
le prêt, l'affacturage, le créditbail, la fourniture de rehaussements de crédit, la titrisation, les investissements, la
conservation financière, les services de contrepartie centrale, le commerce pour compte propre et autres activités de
services financiers identifiées par les autorités de contrôle.
1− e −
50 DP 1− e −
50 DP
• Corrélation (R_FI)
0,12
= 1,25 0,24
1 + −
( ( 1− e − 50
) ) ( ( 1− e − 50
) )
Des pondérations de risque illustratives sont présentées à l'annexe 5 du cadre de Bâle II (juin 2006).
fonction pour une variable aléatoire normale standard (c'estàdire la valeur de x telle que N(x) = z). La fonction de distribution cumulative normale et l'inverse de la
fonction de distribution cumulative normale sont, par exemple, disponibles dans Excel en tant que fonctions NORMSDIST et NORMSINV.
13
Si ce calcul aboutit à une exigence de fonds propres négative pour une exposition souveraine individuelle, les banques doivent appliquer une exigence de fonds propres
nulle pour cette exposition.
14
Les termes suivants sont utilisés pour désigner des parties spécifiques de la formule des exigences de fonds propres :
(1 2,5
( M b +− )
• Ajustement pour pleine échéance =
1 1,5
−
b) )
(
•
Ajustement explicite pour échéance = (1
2,5 ) M
( +− b)
• M est l'échéance effective, calculée conformément aux paragraphes 107 à 114
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 63
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(ii) Ajustement selon la taille de l'entreprise pour les petites et moyennes entités (PME)
expositions sDans
ur les
le
PME
cadre
emprunteuses
de l'approche
(définies
NI pour cles
omme
crédits
les aeux
xpositions
entreprises,
sur les
les
ebntreprises
anques seront
dont laes
utorisées
ventes dàéclarées
distinguer
pour
54.
le
séparément
groupe consolidé
les
dont l'entreprise fait partie sont inférieures à 50 millions d'euros) de celles aux grandes entreprises. Un ajustement de la taille de l'entreprise (c'est
àdire 0,04 x (1 – (S – 5) / 45)) est apporté à la formule de pondération des risques des entreprises pour les expositions sur les PME emprunteuses.
S est exprimé en tant que ventes annuelles totales en millions d'euros avec des valeurs de S comprises dans la fourchette égale ou inférieure à
50 millions d'euros ou supérieure ou égale à 5 millions d'euros. Les ventes déclarées inférieures à 5 millions d'euros seront traitées comme si
elles équivalaient à 5 millions d'euros aux fins de l'ajustement en fonction de la taille de l'entreprise pour les PME emprunteuses.
50 DP 50 DP
1− e S 5
− −
1− e − )
55. Sous réserve du pouvoir discrétionnaire national, les autorités de contrôle peuvent autoriser les banques, à titre de sécurité, à
substituer le total des actifs du groupe consolidé au total des ventes dans le calcul du seuil PME et de l'ajustement en fonction de la taille de l'entreprise.
Cependant, le total des actifs ne doit être utilisé que lorsque le total des ventes n'est pas un indicateur significatif de la taille de l'entreprise.
(iii) Pondérations de risque pour les prêts spécialisés
Pondérations de risque pour PF, OF, CF et IPRE
56. Les banques qui ne satisfont pas aux exigences d'estimation de la PD dans le cadre de l'approche NI des entreprises seront tenues
d'attribuer leurs notes internes à cinq catégories prudentielles, chacune étant associée à une pondération de risque spécifique. Les critères de
classement sur lesquels cette cartographie doit s'appuyer sont fournis dans l'annexe 6 du cadre Bâle II (juin 2006). Les pondérations de risque
pour les pertes inattendues associées à chaque catégorie prudentielle sont :
Catégories prudentielles et pondérations de risque UL pour les autres expositions SL
57. Bien que les banques soient censées associer leurs notations internes aux catégories prudentielles pour les prêts spécialisés en
utilisant les critères de classement fournis à l'annexe 6 du cadre de Bâle II (juin 2006), chaque catégorie prudentielle correspond globalement à
une gamme d'évaluations externes du crédit, comme indiqué cidessous.
58. À la discrétion nationale, les autorités de contrôle peuvent autoriser les banques à attribuer des pondérations de risque préférentielles
de 50 % aux « fortes » expositions et de 70 % aux « bonnes » expositions, à condition qu'elles aient une échéance résiduelle inférieure à 2,5 ans
ou que l'autorité de contrôle détermine que la politique de souscription des banques et d'autres caractéristiques de risque sont sensiblement plus
fortes que celles spécifiées dans les critères de classement pour la catégorie de risque prudentiel pertinente.
59. Les banques qui satisfont aux exigences d'estimation de la PD pourront utiliser l'approche FIRB pour la classe d'actifs des
entreprises afin de dériver des pondérations de risque pour les sousclasses SL.
60. Les banques qui satisfont aux exigences d'estimation de la PD, de la LGD et de l'EAD (le cas échéant) pourront utiliser l'approche A
IRB pour la classe d'actifs des entreprises afin de calculer les pondérations de risque pour les sousclasses SL.
64 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Pondérations de risque pour HVCRE
61. Les banques qui ne satisfont pas aux exigences d'estimation de la PD, ou dont l'autorité de contrôle a choisi de ne pas
mettre en œuvre les approches fondamentales ou avancées de HVCRE, doivent attribuer leurs notes internes à cinq catégories de
contrôle, chacune étant associée à une pondération de risque spécifique. Les critères de classement sur lesquels cette cartographie
doit s'appuyer sont les mêmes que ceux de l'IPRE, tels que prévus à l'annexe 6 du cadre Bâle II (juin 2006). Les pondérations de risque
associées à chaque catégorie prudentielle sont :
Catégories de surveillance et pondérations de risque UL pour l'immobilier commercial à forte volatilité
62. Comme indiqué au paragraphe 57, chaque catégorie prudentielle correspond globalement à une gamme de
évaluations externes du crédit.
63. À la discrétion nationale, les autorités de contrôle peuvent autoriser les banques à attribuer des pondérations de risque
préférentielles de 70 % aux « fortes » expositions et de 95 % aux « bonnes » expositions, à condition qu'elles aient une échéance
résiduelle inférieure à 2,5 ans ou que l'autorité de contrôle détermine que la souscription des banques et d'autres caractéristiques de
risque sont sensiblement plus fortes que celles spécifiées dans les critères de classement pour la catégorie de risque prudentiel pertinente.
64. Les banques qui satisfont aux exigences d'estimation de la PD et dont l'autorité de contrôle a choisi de mettre en œuvre
une approche fondamentale ou avancée des expositions HVCRE utiliseront la même formule pour le calcul des pondérations de risque
que celle utilisée pour les autres expositions SL, sauf qu'elles appliqueront la formule de corrélation des actifs suivante :
50 DP 50 DP
1− e 1− e
− −
)
65. Les banques qui ne satisfont pas aux exigences d'estimation de LGD et d'EAD pour les expositions HVCRE doivent utiliser
les paramètres prudentiels de LGD et d'EAD pour les expositions sur les entreprises.
2. Composantes de risque
66. Cette section, paragraphes 67 à 115, décrit le calcul des composantes de risque pour les expositions sur les entreprises et
les banques. Dans le cas d'une exposition garantie par un souverain, les planchers qui s'appliquent aux composantes de risque ne
s'appliquent pas à la partie de l'exposition couverte par la garantie souveraine (c'estàdire que toute partie de l'exposition qui n'est pas
couverte par la garantie est sous réserve des étages concernés).
(je) Probabilité de défaut (PD)
67. Pour les expositions sur les entreprises et les banques, la PD est la PD sur un an associée à la note d'emprunteur interne
à laquelle cette exposition est affectée. La PD des emprunteurs affectés à une ou plusieurs notes de défaut, conformément à la
définition de référence du défaut, est de 100 %. Les exigences minimales pour le calcul des estimations de PD associées à chaque
catégorie d'emprunteur interne sont décrites aux paragraphes 229 à 231.
68. La PD de chaque exposition utilisée comme donnée d'entrée dans la formule de pondération des risques et le calcul de la
perte attendue ne doit pas être inférieure à 0,05 %.
(ii) Perte en cas de défaut (LGD)
69. Une banque doit fournir une estimation de la LGD pour chaque exposition aux entreprises et aux banques. Il existe deux
approches pour dériver cette estimation : une approche de base et une approche avancée. Comme indiqué au paragraphe 34,
l'approche avancée n'est pas autorisée pour les expositions sur certaines entités.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 65
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LGD en approche fondation
Traitement des créances non garanties et des sûretés non reconnues
70. Dans le cadre de l'approche fondation, les créances de premier rang sur les banques, les maisons de titres et autres
institutions financières (y compris les compagnies d'assurance et toutes les institutions financières de la classe d'actifs des entreprises)
qui ne sont pas garanties par des sûretés reconnues se verront attribuer une LGD de 45 %. Les créances de premier rang sur d'autres
entreprises qui ne sont pas garanties par des sûretés reconnues se verront attribuer une LGD de 40 %.
71. Toutes les créances subordonnées sur les entreprises et les banques se verront attribuer une LGD de 75 %. Un prêt
subordonné est une facilité expressément subordonnée à une autre facilité. À la discrétion nationale, les autorités de contrôle
peuvent choisir d'employer une définition plus large de la subordination. Cela peut inclure la subordination économique, comme
dans les cas où la facilité n'est pas garantie et où la majeure partie des actifs de l'emprunteur est utilisée pour garantir d'autres
expositions.
Sûretés selon l'approche fondation
72. En plus des sûretés financières éligibles reconnues dans l'approche standard, certaines autres formes de
sûretés, appelées sûretés NI éligibles, sont également reconnues dans le cadre de l'approche NI fondation. Il s'agit
notamment des créances, des biens immobiliers commerciaux et résidentiels spécifiés (CRE/RRE) et d'autres garanties
matérielles, lorsqu'elles satisfont aux exigences minimales énoncées aux paragraphes 283 à 299.
Pour les sûretés financières éligibles, les exigences sont identiques aux normes opérationnelles telles qu'énoncées dans
la section relative à l'atténuation du risque de crédit de l'approche standard.
Méthodologie de comptabilisation des sûretés éligibles dans le cadre de l'approche fondation
73. L'approche simple des sûretés présentée dans l'approche standard n'est pas disponible pour les banques
appliquant l'approche NI.
74. La LGD applicable à une transaction garantie (LGD*) doit être calculée comme la moyenne pondérée par
l'exposition de la LGD applicable à la partie non garantie d'une exposition (LGDU) et de la LGD applicable à la partie
garantie d'une exposition (LGDS). Spécifiquement:
* E ES
LGD L=GD tu + 1LGD
1
tu
( EH +E +
EH S
(
) E )
où:
• E est la valeur actuelle de l'exposition (c'estàdire les liquidités prêtées ou les titres prêtés ou remis). Dans le
cas de titres prêtés ou déposés, la valeur exposée au risque doit être augmentée en appliquant les décotes
appropriées (HE) conformément à l'approche globale pour les sûretés financières.
• ES est la valeur actuelle de la sûreté reçue après application de la décote applicable au type de sûreté (Hc) et
pour toute asymétrie de devises entre l'exposition et la sûreté, comme précisé aux paragraphes 75 à 76. ES est
(
).
plafonnée à la valeur de 1 EH + E
• EE
UES ( 1 + −
HE = . Les termes EU et ES ne sont utilisés que pour calculer LGD*. Les banques doivent
)
continuer à calculer l'EAD sans tenir compte de la présence d'aucune garantie, sauf indication contraire.
• LGDU = la LGD applicable à une exposition non garantie, comme indiqué aux paragraphes 70 à 71.
• LGDS = la LGD applicable aux expositions garanties par le type de sûreté utilisé dans la transaction, comme
précisé au paragraphe 75.
75. Le tableau suivant précise les LGDS et les décotes applicables dans la formule prévue au
paragraphe 74 :
66 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Sûretés financières éligibles 0 % Tel que déterminé par les décotes qui s'appliquent dans le
formule de l'approche standard pour le risque de crédit (paragraphe 163 pour les
juridictions qui autorisent l'utilisation des notations à des fins réglementaires et
paragraphe 164 pour les juridictions qui ne le permettent pas).
Les décotes doivent être ajustées en fonction des différentes périodes de détention
et de la remargination ou de la réévaluation non quotidienne conformément aux
paragraphes 169 à 172 de l'approche standard.
76. Lorsque la sûreté éligible est libellée dans une devise différente de celle de l'exposition, la décote pour risque de change est la même
que celle qui s'applique dans l'approche globale (paragraphe 165 de l'approche standard).
éléments suivants :
77. Les
(bi)
anques
le risque
qui
de
prêtent
crédit odu
es
le
titres
risque
ou
dfe
ournissent
marché ddes
es
titres,
garanties
s'il reste
doivent
à la calculer
harge dles
e la
exigences
banque ; e
dt
e
(fii)
onds
le risque
propres
de pcour
rédit
les
de
deux
contrepartie découlant du risque de défaillance de l'emprunteur des titres. Pour les transactions assimilables à des pensions, les banques peuvent
comptabiliser une réduction de l'exigence pour risque de crédit de contrepartie résultant de l'effet d'un accordcadre de compensation à condition
qu'il satisfasse aux critères énoncés aux paragraphes 175 et 176 de l'approche standard. La banque doit calculer E*, qui est l'exposition à utiliser
pour l'exigence pour risque de crédit de contrepartie en tenant compte de l'atténuation du risque des sûretés reçues, en utilisant la formule
énoncée au paragraphe 178 de l'approche standard. Lors du calcul des montants RWA et EL pour le risque de crédit de contrepartie découlant
de l'ensemble des transactions couvertes par l'accordcadre de compensation, E* doit être utilisé comme EAD de la contrepartie et la LGD de la
contrepartie doit être déterminée en utilisant la LGD spécifiée pour les opérations non garanties. expositions, comme indiqué aux paragraphes 70
et 71.
Utilisation de modèles pour calculer l'EAD pour le risque de crédit de contrepartie
78. Comme alternative à l'utilisation de décotes standard pour le calcul de l'exigence pour risque de crédit de contrepartie pour les OFT
visée au paragraphe 77, les banques peuvent être autorisées à utiliser une approche fondée sur des modèles VaR pour refléter la volatilité des
prix des expositions et des sûretés financières. Cette approche peut prendre en compte les effets de corrélation entre les positions sur titres.
Cette approche s'applique aux SFT simples et aux SFT couvertes par des accords de compensation sur une base contrepartie par contrepartie,
à condition que la sûreté soit réévaluée quotidiennement. Cela vaut pour les titres sousjacents qui sont différents et sans rapport avec les
titrisations. L'accordcadre de compensation doit satisfaire aux critères énoncés aux paragraphes 175 et 176 de l'approche standard. L'approche
des modèles VaR est disponible pour les banques qui ont reçu une reconnaissance prudentielle pour un modèle de risque de marché interne
conformément au paragraphe 177 des « Exigences minimales de fonds propres pour risque de marché ». Les banques qui n'ont pas reçu la
reconnaissance du modèle de risque de marché peuvent demander séparément la reconnaissance prudentielle pour utiliser leurs modèles de
VaR internes pour le calcul de la volatilité potentielle des prix des SFT, à condition que le modèle satisfasse aux exigences du paragraphe 177.
Bien que les normes de risque de marché aient changé d'un VaR de 99 % à un déficit attendu de 97,5 %, l'approche des modèles de VaR pour
les SFT conserve l'utilisation d'une VaR de 99 % pour calculer le risque de crédit de contrepartie pour les SFT. Le modèle VaR doit capturer un
risque suffisant pour réussir les tests ex post et les tests d'attribution des profits et pertes du paragraphe 183 des « Exigences minimales de fonds
propres pour risque de marché ». L'exigence pour risque de défaut du paragraphe 186 n'est pas requise dans le modèle de VaR pour les SFT.
79. Les critères quantitatifs et qualitatifs de reconnaissance des modèles internes de risque de marché pour les SFT sont en principe les
mêmes que ceux énoncés aux paragraphes 180 et 181 des « Exigences minimales de fonds propres pour risque de marché ».
L'horizon de liquidité minimum ou la période de détention pour les SFT est de 5 jours ouvrables pour les opérations de type repo avec marge
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 67
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transactions, plutôt que les 10 jours ouvrables du paragraphe 181 (k). Pour les autres transactions éligibles à l'approche des modèles
VaR, la période de détention de 10 jours ouvrés sera retenue. La période de détention minimale devrait être ajustée à la hausse pour
les instruments de marché lorsqu'une telle période de détention serait inappropriée compte tenu de la liquidité de l'instrument
concerné.
80. Le calcul de l'exposition E* pour les banques utilisant leur modèle interne pour calculer leur
l'exigence de risque de contrepartie sera la suivante :
E* = max {0, [(ΣE – ΣC) + sortie VaR du modèle interne]}
Pour calculer les exigences de fonds propres, les banques utiliseront le nombre de VaR du jour ouvrable précédent.
81. Sous réserve de l'approbation des autorités de contrôle, au lieu d'utiliser l'approche VaR, les banques peuvent également
calculer une exposition positive attendue effective pour les SFT de type pension et autres SFT similaires, conformément à la méthode
du modèle interne définie dans les normes de risque de crédit de contrepartie.
Sortir de l'approche globale
82. Comme dans l'approche standard, pour les transactions pour lesquelles les conditions énoncées au paragraphe 150 sont
remplies et, en outre, la contrepartie est un acteur principal du marché tel que spécifié au paragraphe 151, les autorités de contrôle
peuvent choisir de ne pas appliquer les décotes spécifiées dans l'approche globale, mais à la place d'appliquer un zéro H. Un
ensemble de compensation qui contient une transaction qui ne satisfait pas aux exigences du paragraphe 150 de l'approche standard
n'est pas éligible à ce traitement.
Méthodologie de traitement des pools de sûretés
83. Dans le cas où une banque a obtenu plusieurs types de sûretés, elle peut appliquer séquentiellement la formule énoncée
au paragraphe 74 pour chaque type de sûreté. Ce faisant, après chaque étape de comptabilisation d'un type individuel de garantie,
la valeur résiduelle de l'exposition non garantie (EU) sera réduite de la valeur ajustée de la garantie (ES) reconnue à cette étape.
Conformément au paragraphe 74, le total des ES pour tous les types de garantie est plafonné à la valeur de (
EH +1) E. Cela se traduit par ce qui suit
formule:
* Etu E
LGD L=GD + ∑ LGD
S je
tu
1( E H ) +
EH ( +
S je
E
je 1 E )
où pour chaque type de garantie i :
• LGDSi est la LGD applicable à cette forme de garantie (comme précisé au paragraphe 75); et
• ESi est la valeur actuelle de la sûreté reçue après application de la décote applicable au type de sûreté (Hc) (comme
précisé au paragraphe 75).
LGD selon l'approche avancée
84. Sous réserve de certaines exigences minimales supplémentaires précisées cidessous (et des conditions énoncées au
paragraphe 34), les autorités de contrôle peuvent autoriser les banques à utiliser leurs propres estimations internes de LGD pour les
expositions sur les entreprises. La LGD doit être mesurée comme la perte en cas de défaut en pourcentage de l'EAD. Les banques
éligibles à l'approche NI qui ne sont pas en mesure de satisfaire à ces exigences minimales supplémentaires doivent utiliser le
traitement LGD de base décrit cidessus.
85. La LGD pour chaque exposition qui est utilisée comme donnée d'entrée dans la formule de pondération des risques et le calcul
de la perte attendue ne doit pas être inférieure aux paramètres planchers indiqués dans le tableau cidessous :
68 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Planchers de paramètres LGD
LGD
Non garanti Sécurisé
• 10 % des créances
• 10 % de biens immobiliers commerciaux ou résidentiels
• 15 % d'autres physiques
86. Les planchers de LGD pour les expositions garanties dans le tableau cidessus s'appliquent lorsque l'exposition est
entièrement garantie (c'estàdire que la valeur de la sûreté après application des décotes dépasse la valeur de l'exposition). Le
plancher de LGD pour une exposition partiellement garantie est calculé comme une moyenne pondérée du plancher de LGD non
garantie pour la partie non garantie et du plancher de LGD garantie pour la partie garantie. Autrement dit, la formule suivante doit
être utilisée pour déterminer le plancher LGD :
Etu ES
= LGD
Plancher S
+ LGD Étage
U étage
( EH
EH
1 + ) ( +
1 )
E E
où:
• Le plancher LGDU et le plancher LGDS sont respectivement les valeurs planchers pour les expositions entièrement non garanties et
entièrement garanties, comme indiqué dans le tableau du paragraphe 85.
• Les autres termes sont définis comme indiqué aux paragraphes 74 et 75.
87. Dans les cas où une banque a rempli les conditions lui permettant d'utiliser ses propres estimations internes de
LGD pour un ensemble d'expositions non garanties et prend une garantie contre l'une de ces expositions, elle peut ne pas
être en mesure de modéliser les effets de la garantie (c'estàdire qu'elle peut ne pas suffisamment de données pour
modéliser l'effet de la sûreté sur les recouvrements). Dans de tels cas, la banque est autorisée à appliquer la formule
énoncée au paragraphe 74 ou 83, à l'exception du fait que le terme LGDU serait sa propre estimation interne de la LGD
non garantie. Pour adopter ce traitement, la garantie doit être éligible au titre du FIRB et l'estimation de LGDU par la
banque ne doit pas tenir compte des effets des recouvrements de garantie.
88. Les exigences minimales pour le calcul des estimations de LGD sont décrites aux paragraphes 235
à 240.
Traitement de certaines transactions assimilables à des pensions
assimilables
Les
à dbes
anques
pensions
qui s8ouhaitent
9. à des fcins
omptabiliser
de fonds plropres
es effets
doivent
des accordscadres
appliquer la méthodologie
de compensation
décrite
sur
au
les
paragraphe
transactions
77 pour
déterminer E* à utiliser comme EAD dans le calcul du risque de crédit de contrepartie. Pour les banques utilisant l'approche
avancée, leurs propres estimations de LGD seraient autorisées pour le montant équivalent non garanti (E*) utilisé pour
calculer le risque de crédit de contrepartie. Dans les deux cas, les banques, en plus du risque de crédit de contrepartie,
doivent également calculer les exigences de fonds propres relatives à tout risque de crédit ou de marché auquel elles restent
exposées découlant des titres sousjacents dans l'accordcadre de compensation.
Traitement des garanties et des dérivés de crédit
90. Il existe deux approches pour la comptabilisation de la CRM sous forme de garanties et de dérivés de crédit
dans l'approche IRB : une approche de base pour les banques utilisant des valeurs prudentielles de LGD, et une approche
avancée pour les banques utilisant leurs propres estimations internes de LGD.
91. Dans l'une ou l'autre approche, l'ARC sous la forme de garanties et de dérivés de crédit ne doit pas refléter
l'effet d'un double défaut (voir paragraphe 254). Ainsi, dans la mesure où le CRM est reconnu par le
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 69
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banque, la pondération de risque ajustée ne sera pas inférieure à celle d'une exposition directe comparable au fournisseur de
protection. Conformément à l'approche standard, les banques peuvent choisir de ne pas reconnaître la protection du crédit si
cela se traduit par une exigence de fonds propres plus élevée.
Reconnaissance dans le cadre de l'approche fondation
92. Pour les banques utilisant l'approche fondation pour LGD, l'approche des garanties et des dérivés de crédit suit de
près le traitement de l'approche standard tel que spécifié aux paragraphes 191 à 205 de l'approche standard. L'éventail des
garants éligibles est le même que dans le cadre de l'approche standard, sauf que les sociétés notées en interne peuvent
également être reconnues dans le cadre de l'approche fondation. Pour être reconnu, les exigences énoncées aux paragraphes
191 à 196 de l'approche standard doivent être satisfaites.
93. Les garanties éligibles des garants éligibles seront comptabilisées comme suit :
• Pour la partie couverte de l'exposition, une pondération de risque est obtenue en prenant :
− la fonction de pondération des risques appropriée au type de garant, et
− la PD appropriée à la qualité d'emprunteur du garant.
• La banque peut remplacer la LGD de l'opération sousjacente par la LGD applicable à la garantie en tenant compte
de l'ancienneté et d'une éventuelle collatéralisation d'un engagement garanti.
Par exemple, lorsqu'une banque a une créance subordonnée sur l'emprunteur mais que la garantie représente une
créance prioritaire sur le garant, cela peut se traduire par l'utilisation d'une LGD applicable aux expositions de
premier rang (voir paragraphe 70) au lieu d'une LGD applicable aux expositions subordonnées.
• Si la banque applique l'approche standard aux expositions directes sur le garant, elle ne peut comptabiliser la
garantie qu'en appliquant l'approche standard à la partie couverte de l'exposition.
94. La partie non couverte de l'exposition se voit attribuer la pondération de risque associée au débiteur sousjacent.
95. Lorsqu'une couverture partielle existe, ou lorsqu'il existe une asymétrie de devises entre l'obligation sousjacente et
la protection de crédit, il est nécessaire de scinder l'exposition en un montant couvert et un montant non couvert. Le traitement
dans l'approche fondation suit celui décrit aux paragraphes 202 à 204 de l'approche standard et dépend du fait que la couverture
est proportionnelle ou par tranches.
Reconnaissance selon l'approche avancée
96. Les banques qui utilisent l'approche avancée pour estimer les LGD peuvent refléter l'effet d'atténuation des risques
des garanties et des dérivés de crédit en ajustant les estimations de PD ou de LGD. Que les ajustements soient effectués via
PD ou LGD, ils doivent être effectués de manière cohérente pour une garantie donnée ou un type de dérivé de crédit. Ce
faisant, les banques ne doivent pas inclure l'effet du double défaut dans ces ajustements. Ainsi, la pondération de risque ajustée
ne doit pas être inférieure à celle d'une exposition directe comparable au fournisseur de protection. Si la banque applique
l'approche standard aux expositions directes sur le garant, elle ne peut comptabiliser la garantie qu'en appliquant l'approche
standard à la partie couverte de l'exposition. Si la banque applique l'approche NI fondation aux expositions directes sur le
garant, elle ne peut comptabiliser la garantie qu'en déterminant la pondération de risque pour l'exposition directe comparable
sur le garant selon l'approche NI fondation.
97. Une banque qui s'appuie sur ses propres estimations de LGD a la possibilité d'adopter le traitement décrit cidessus
pour les banques dans le cadre de l'approche NI fondation (paragraphes 92 à 95) ou de procéder à un ajustement de son
estimation LGD de l'exposition pour refléter la présence de la garantie ou dérivé de crédit. Dans le cadre de cette option, il n'y
a pas de limite à l'éventail des garants éligibles bien que l'ensemble d'exigences minimales prévues aux paragraphes 256 et
257 concernant le type de garantie doivent être satisfaites. Pour les dérivés de crédit, la
70 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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les exigences des paragraphes 262 et 263 doivent être satisfaites. 15 Pour les expositions pour lesquelles une banque
est autorisée à utiliser ses propres estimations de LGD, la banque peut reconnaître les effets d'atténuation du risque des
dérivés de crédit au premier défaut, mais peut ne pas reconnaître les effets d'atténuation du risque du second défaut ou
plus généralement dérivés de crédit au nième défaut.
(iii) Exposition en cas de défaut (EAD)
mesurées Les
brutes
sections
de provisions
suivantes
spécifiques
s'appliquent
ou a
dux
e radiations
positions paartielles.
u bilan et
Lh'EAD
ors bsilan.
ur les
Toutes
montants
les etxpositions
irés ne doit
sont
pas
9ê8.
tre
inférieure à la somme de : (i) le montant dont les fonds propres réglementaires d'une banque seraient réduits si l'exposition
était entièrement annulée ; et (ii) toutes provisions spécifiques et abandons de créances partiels. Lorsque la différence
entre l'EAD de l'instrument et la somme de (i) et (ii) est positive, ce montant est qualifié de décote. Le calcul des actifs
pondérés en fonction des risques est indépendant de toute décote. Dans les circonstances limitées décrites au paragraphe
147, les remises peuvent être incluses dans l'évaluation du total des provisions éligibles aux fins du calcul de la provision
EL énoncé à la section G.
Mesure de l'exposition pour les éléments du bilan
paragraphe
La
190
compensation
de l'approche
au
sbtandard.
ilan des Epn
rêts
cas
et
dd'asymétrie
épôts sera
de
comptabilisée
devises ou ds'échéances
ous les mêmes
dans
cla
onditions
compensation
99. qu'en
au vbertu
ilan,
dle
u
traitement suit l'approche standard, comme indiqué aux paragraphes 126 et 128 à 131.
Mesure de l'exposition pour les éléments hors bilan (à l'exception des dérivés)
100. Pour les éléments hors bilan, il existe deux approches pour l'estimation de l'EAD : une approche de base et une
approche avancée. Lorsque seuls les soldes tirés des facilités renouvelables ont été titrisés, les banques doivent s'assurer
qu'elles continuent à détenir le capital requis par rapport aux soldes non tirés associés aux expositions titrisées.
CCF. Dans
Dans
l'approche
l'approche
avancée,
fondation,
l'EAD
l'EAD
pour lees
st ecngagements
alculée comme
non
le
tirés
montant
peut eêngagé
tre calculée
mais n
comme
on tiré lm
e ultiplié
montant 101.
engagé
par un
mais
non tiré multiplié par un CCF ou dérivé d'estimations directes de l'EAD totale de la facilité.
EAD dans le cadre de l'approche fondation
102. Les types d'instruments et les CCF qui leur sont appliqués sont les mêmes que ceux de l'approche standard,
comme indiqué aux points 78 à 89.
103. Le montant auquel le CCF est appliqué est le plus bas entre la valeur de la ligne de crédit confirmée non utilisée
et la valeur qui reflète toute contrainte éventuelle de la disponibilité de la facilité, telle que l'existence d'un plafond sur le
montant potentiel du prêt qui est liées aux flux de trésorerie déclarés d'un emprunteur.
Si la facilité est contrainte de cette manière, la banque doit disposer de procédures de surveillance et de gestion de ligne
suffisantes pour étayer cette affirmation.
15 Lorsque les dérivés de crédit ne couvrent pas la restructuration de l'obligation sousjacente, la comptabilisation partielle prévue au paragraphe
196 de l'approche standard s'applique.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 71
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104. Lorsqu'un engagement est obtenu sur une autre exposition hors bilan, les banques selon l'approche fondation doivent appliquer le plus
bas des CCF applicables.
EAD dans le cadre de l'approche avancée
105. Les banques qui satisfont aux exigences minimales d'utilisation de leurs propres estimations de l'EAD (voir points 241 à 250)
seront autorisées, pour les expositions pour lesquelles l'AIRB est autorisée (voir point 34), à utiliser leurs propres estimations internes de
l'EAD pour les engagements renouvelables non utilisés16 d'étendre le crédit, d'acheter des actifs ou d'émettre des substituts de crédit à
condition que l'exposition ne soit pas soumise à un CCF de 100 % dans l'approche fondation (voir paragraphe 102). Les CCF selon l'approche
standard doivent être utilisés pour tous les autres éléments hors bilan (par exemple, les engagements non renouvelables non utilisés) et
doivent être utilisés lorsque les exigences minimales pour les propres estimations de l'EAD ne sont pas remplies. L'EAD pour chaque exposition
utilisée comme donnée d'entrée dans la formule de pondération des risques et le calcul de la perte attendue est soumise à un plancher qui est
la somme : (i) du montant au bilan ; et (ii) 50 % de l'exposition hors bilan en utilisant le CCF applicable dans l'approche standard.
Mesure de l'exposition pour les transactions qui exposent les banques au risque de crédit de contrepartie
dans le cadre
106.
de L
l'approche
es mesures
NI ds'exposition
eront calculées
pour cles
onformément
SFT et les daérivés
ux règles
de géré
noncées
à gré qdui
ans
exposent
les normes
les banques
relatives
aau
u
risque
risque
dde
e
ccrédit
rédit
dde
e
contrepartie
contrepartie.
(iv) Maturité effective (M)
107. Pour les banques utilisant l'approche fondation pour les expositions sur les entreprises, l'échéance effective (M) sera de 2,5 ans,
sauf pour les transactions de type repo où l'échéance effective sera de 6 mois (c'estàdire M=0,5).
Les superviseurs nationaux peuvent choisir d'exiger de toutes les banques de leur juridiction (celles qui utilisent les approches fondamentales
et avancées) qu'elles mesurent M pour chaque facilité en utilisant la définition fournie cidessous.
108. Les banques utilisant n'importe quel élément de l'approche IRB avancée sont tenues de mesurer la maturité effective de chaque
facilité, comme défini cidessous. Toutefois, les autorités de contrôle nationales peuvent autoriser que l'échéance effective soit fixée à 2,5 ans
(le «traitement à échéance fixe») pour les facilités accordées à certaines petites entreprises nationales emprunteuses si les ventes déclarées
(c'estàdire le chiffre d'affaires) ainsi que le total des actifs pour le groupe consolidé dont dont l'entreprise fait partie sont inférieurs à 500
millions d'euros. Le groupe consolidé doit être une société nationale basée dans le pays où le traitement à échéance fixe est appliqué. S'il est
adopté, les superviseurs nationaux doivent appliquer le traitement à échéance fixe à toutes les banques NI utilisant l'approche avancée dans
ce pays, plutôt que banque par banque.
109. Sauf indication contraire au paragraphe 110, l'échéance effective (M) est soumise à un plancher d'un an et à un plafond de 5 ans
et est définie comme suit :
• Pour un instrument soumis à un échéancier de trésorerie déterminé, la maturité effective M est définie comme :
Échéance effective (M) = ∑ ∑ t CF CF /t
t
t t
où CFt désigne les flux de trésorerie (principal, paiements d'intérêts et frais) contractuellement payables par l'emprunteur à la
période t.
• Si une banque n'est pas en mesure de calculer l'échéance effective des paiements contractuels comme indiqué cidessus, elle est
autorisée à utiliser une mesure plus conservatrice de M, telle qu'elle soit égale au temps restant maximum (en années) pendant
lequel l'emprunteur est autorisé prendre pour s'acquitter pleinement de ses
16
Une facilité de prêt renouvelable est une facilité qui permet à un emprunteur d'obtenir un prêt où l'emprunteur a la flexibilité de décider à quelle fréquence se
retirer du prêt et à quels intervalles de temps. Une facilité renouvelable permet à l'emprunteur de prélever, de rembourser et de tirer à nouveau les prêts qui lui
ont été avancés. Les facilités qui autorisent les remboursements anticipés et les retraits ultérieurs de ces remboursements anticipés sont considérées comme
renouvelables.
72 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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obligation contractuelle (principal, intérêts et frais) aux termes de l'accord de prêt. Normalement, cela correspondra
à l'échéance nominale de l'instrument.
• Pour les dérivés soumis à un accordcadre de compensation, l'échéance effective est définie comme l'échéance
moyenne pondérée des transactions dans le cadre de l'accord de compensation. En outre, le montant notionnel de
chaque transaction doit être utilisé pour pondérer l'échéance.
• Pour les expositions renouvelables, l'échéance effective doit être déterminée en utilisant la date de résiliation
contractuelle maximale de la facilité. Les banques ne doivent pas utiliser la date de remboursement du tirage en cours.
110. Le plancher d'un an ne s'applique pas à certaines expositions à court terme, comprenant des transactions
entièrement ou presque entièrement garanties
à gré et des pm
ar
prêts sur les mearchés
arge) de capitaux
t des transactions a(ssimilables
c'estàdire d
àes transactions
des sur dérivés
ddes
pensions (c'estàdire e gré
mises en pension/prises en pension et des prêts de titres /emprunt) d'une échéance initiale inférieure à un an, dont la
documentation contient des clauses de remargining journalier. Pour toutes les transactions éligibles, la documentation doit
exiger une réévaluation quotidienne et doit inclure des dispositions qui doivent permettre la liquidation ou la compensation
rapide de la garantie en cas de défaut ou de défaut de remarge. L'échéance de ces transactions doit être calculée comme la
plus élevée entre un jour et l'échéance effective (M, conformément à la définition cidessus), sauf pour les transactions
soumises à un accordcadre de compensation, où le plancher est déterminé par la période de détention minimale pour le type
de transaction, comme l'exige le paragraphe 113.
111. Le plancher d'un an ne s'applique pas non plus aux expositions suivantes :
(je) Transactions commerciales autoliquidatrices à court terme. Les lettres de crédit d'importation et d'exportation et
les transactions similaires doivent être comptabilisées à leur échéance résiduelle réelle.
(ii) Lettres de crédit émises et confirmées à court terme (c'estàdire ayant une échéance inférieure à un an) et auto
liquidatrices.
112. Outre les opérations envisagées au paragraphe 110 cidessus, d'autres expositions à court terme d'une échéance
initiale de moins d'un an qui ne font pas partie du financement en cours d'un débiteur par une banque peuvent être éligibles à
l'exemption du plancher d'un an. Après un examen minutieux des circonstances particulières de leur juridiction, les autorités
nationales de surveillance devraient définir les types d'expositions à court terme qui pourraient être considérées comme
éligibles à ce traitement. Les résultats de ces examens pourraient, par exemple, inclure des transactions telles que :
• Certaines opérations axées sur le marché des capitaux et opérations assimilables à des pensions qui pourraient ne pas relever du
champ d'application du paragraphe 110 ;
• Certaines opérations de financement du commerce qui ne sont pas exemptées par le paragraphe 111.
• Certains risques découlant du règlement d'achats et de ventes de titres. Cela pourrait également inclure les
découverts résultant d'échecs de règlement de titres, à condition que ces découverts ne durent pas plus d'un
nombre court et fixe de jours ouvrables ;
• Certaines expositions résultant de règlements en espèces par virement bancaire, y compris les découverts résultant
de transferts échoués, à condition que ces découverts ne durent pas plus d'un nombre court et fixe de jours
ouvrables ;
• Certaines expositions aux banques découlant des règlements de change ; et
• Certains prêts et dépôts à court terme.
113. Pour les transactions entrant dans le champ d'application du paragraphe 110 soumises à un accordcadre de
compensation, l'échéance effective est définie comme l'échéance moyenne pondérée des transactions. Un plancher égal à la
période de détention minimale pour le type de transaction défini au paragraphe 170 de l'approche standard
17
L'intention est d'inclure les deux parties d'une transaction remplissant ces conditions lorsqu'aucune des parties n'est
systématiquement sousgarantie.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 73
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s'appliquera à la moyenne. Lorsque plus d'un type de transaction est contenu dans l'accordcadre de compensation, un plancher égal à la
période de détention la plus élevée s'appliquera à la moyenne. En outre, le montant notionnel de chaque transaction doit être utilisé pour
pondérer l'échéance.
114. En l'absence de définition explicite, l'échéance effective (M) attribuée à toutes les expositions est fixée à 2,5 ans, sauf indication
contraire au paragraphe 107.
Traitement des asymétries d'échéances
115. Le traitement des asymétries d'échéances en IRB est identique à celui de l'approche standard
(voir points 126 à 130).
RÉ. Règles pour les expositions sur la clientèle de détail
116. La section D présente en détail la méthode de calcul des exigences de fonds propres UL pour les expositions sur la clientèle de
détail. La section D.1 fournit les fonctions de pondération des risques. La section D.2 présente les composantes de risque devant servir
d'intrants aux fonctions de pondération des risques. La méthode de calcul des pertes attendues et de détermination de la différence entre
cette mesure et les provisions est décrite à la section G.
1. Actifs pondérés en fonction des risques pour les expositions sur la clientèle de détail
117. Il existe trois fonctions distinctes de pondération des risques pour les expositions sur la clientèle de détail, telles que définies aux paragraphes 118
à 120. Les pondérations des risques pour les expositions sur la clientèle de détail sont fondées sur des évaluations distinctes de la PD et de la LGD en tant que
données d'entrée des fonctions de pondération des risques. Aucune des trois fonctions de pondération des risques sur la clientèle de détail ne contient la
composante complète d'ajustement par échéance qui est présente dans la fonction de pondération des risques pour les expositions sur les banques et les entreprises.
Dans cette section, la PD et la LGD sont mesurées en décimales et l'EAD est mesurée en devise (par exemple, l'euro).
(je) Expositions aux prêts hypothécaires résidentiels de détail
118. Pour les expositions définies au paragraphe 21 qui ne sont pas en défaut et qui sont garanties ou partiellement garanties18
par des hypothèques résidentielles, des pondérations de risque seront attribuées selon la formule suivante :
Corrélation (R) = 0,15
G PD
( R
Capital requis (K) = LGD N + g −
LGD PD
1 − R) ) 1− R ( ) 0,999
(
Actifs pondérés en fonction des risques = K
12,5 EAD
L'exigence de fonds propres (K) pour une exposition en défaut est égale au plus élevé de zéro et de la différence entre sa LGD
(décrite au paragraphe 235) et la meilleure estimation de la perte attendue de la banque (décrite au paragraphe 238). Le montant de l'actif
pondéré en fonction des risques pour l'exposition en défaut est le produit de K, 12,5 et de l'EAD.
(ii) Expositions renouvelables éligibles sur la clientèle de détail
119. Pour les expositions renouvelables éligibles sur la clientèle de détail telles que définies aux paragraphes 24 et 25 qui ne sont
pas en défaut, les pondérations de risque sont définies sur la base de la formule suivante:
18 Cela signifie que les pondérations de risque pour les prêts hypothécaires résidentiels s'appliquent également à la partie non garantie de ces prêts hypothécaires résidentiels.
74 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Corrélation (R) = 0,04
(
G PD
Capital requis (K) = R
LGD N + g −
LGD PD
R) ) 1− R ( ) 0,999
(1
−
Actifs pondérés en fonction des risques = K 12,5 EAD
L'exigence de fonds propres (K) pour une exposition en défaut est égale au plus élevé de zéro et de la différence entre
sa LGD (décrite au paragraphe 235) et la meilleure estimation de la perte attendue de la banque (décrite au paragraphe 238). Le
montant de l'actif pondéré en fonction des risques pour l'exposition en défaut est le produit de K, 12,5 et de l'EAD.
(iii) Autres expositions sur le commerce de détail
120. Pour toutes les autres expositions sur la clientèle de détail qui ne sont pas en défaut, des pondérations de risque sont attribuées sur la
fonction suivante, qui permet de faire varier la corrélation avec PD :
− 35 DP 35 DP
e 1− e
− −
1 )
(
G PD
Capital requis (K) = R
LGD N + g −
LGD PD
R) ) 1− R ( ) 0,999
(1
−
Actifs pondérés en fonction des risques = K 12,5 EAD
L'exigence de fonds propres (K) pour une exposition en défaut est égale au plus élevé de zéro et de la différence entre
sa LGD (décrite au paragraphe 235) et la meilleure estimation de la perte attendue de la banque (décrite au paragraphe 238). Le
montant de l'actif pondéré en fonction des risques pour l'exposition en défaut est le produit de K, 12,5 et de l'EAD.
Des pondérations de risque illustratives sont présentées à l'annexe 5 du cadre de Bâle II (juin 2006).
2. Composantes de risque
(je) Probabilité de défaut (PD) et perte en cas de défaut (LGD)
121. Pour chaque groupe identifié d'expositions sur la clientèle de détail, les banques sont censées fournir une estimation de
la PD et de la LGD associées au groupe, sous réserve des exigences minimales énoncées à la section H.
En outre, la PD pour les expositions sur la clientèle de détail est la plus élevée des valeurs suivantes : (i) la PD sur un an associée
à la note d'emprunteur interne à laquelle le pool d'expositions sur la clientèle de détail est attribué ; et (ii) 0,1 % pour les revolvers
QRRE (voir paragraphe 25 pour la définition des revolvers QRRE) et 0,05 % pour toutes les autres expositions. La LGD de chaque
exposition utilisée comme donnée d'entrée dans la formule de pondération des risques et le calcul de la perte attendue ne doit pas
être inférieure aux paramètres planchers indiqués dans le tableau cidessous :
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 75
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Planchers de paramètres LGD
LGD
Non garanti Sécurisé
Cours de vente au détail :
Hypothèques N / A 5%
• 10 % des créances
• 10 % de biens immobiliers commerciaux ou résidentiels
• 15 % d'autres physiques
Les planchers de LGD pour les expositions partiellement garanties dans la catégorie « Autres commerces de détail » doivent être calculés selon la formule
énoncée au paragraphe 86. Le plancher de LGD pour les prêts hypothécaires résidentiels est fixé à 5 %, quel que soit le niveau de garantie fourni par le bien.
(ii) Comptabilisation des garanties et des dérivés de crédit
122. Les banques peuvent tenir compte des effets de réduction des risques des garanties et des dérivés de crédit, soit à l'appui
d'une obligation individuelle, soit d'un ensemble d'expositions, par un ajustement de l'estimation de la PD ou de la LGD, sous réserve des
exigences minimales énoncées aux paragraphes 252 à 263. les ajustements sont effectués via PD ou LGD, ils doivent être effectués de
manière cohérente pour un type de garantie ou de dérivé de crédit donné. Si la banque applique l'approche standard aux expositions
directes sur le garant, elle doit attribuer la pondération de risque de l'approche standard à la partie couverte de l'exposition.
123. Conformément aux exigences décrites cidessus pour les expositions sur les entreprises et les banques, les banques ne
doivent pas inclure l'effet du double défaut dans ces ajustements. La pondération de risque ajustée ne doit pas être inférieure à celle
d'une exposition directe comparable au fournisseur de protection. Conformément à l'approche standard, les banques peuvent choisir de
ne pas reconnaître la protection du crédit si cela se traduit par une exigence de fonds propres plus élevée.
(iii) Exposition en cas de défaut (EAD)
124. Les expositions sur la clientèle de détail au bilan et hors bilan sont mesurées brutes de provisions spécifiques ou d'annulations
partielles. L'EAD sur les montants tirés ne doit pas être inférieure à la somme de : (i) le montant dont les fonds propres réglementaires
d'une banque seraient réduits si l'exposition était entièrement annulée ; et (ii) toutes provisions spécifiques et abandons de créances
partiels. Lorsque la différence entre l'EAD de l'instrument et la somme de (i) et (ii) est positive, ce montant est qualifié de décote. Le calcul
des actifs pondérés en fonction des risques est indépendant de toute décote. Dans les circonstances limitées décrites au paragraphe
147, les remises peuvent être incluses dans l'évaluation du total des provisions éligibles aux fins du calcul de la provision EL énoncé à la
section G.
autorisée sous
125.
réserve
La compensation
des mêmes
au
conditions
bilan des
qpue
rêts
celles
et dépôts
énoncées
d'une
ab
u
anque
paragraphe
à destination
190 de o
l'approche
u en provenance
standard.
d'un
Les
client
banques
de détail
doivent
sera
utiliser leurs propres estimations de l'EAD pour les engagements renouvelables non utilisés pour accorder des crédits, acheter des actifs
ou émettre des substituts de crédit, à condition que l'exposition ne soit pas soumise à un CCF de 100 % dans l'approche standard (voir
le paragraphe 79 de l'approche standard) et que le minimum les exigences des paragraphes 241 à 251 sont satisfaites. L'approche
fondation Les CCF doivent être utilisés pour tous les autres éléments hors bilan (par exemple, les engagements non renouvelables non
utilisés) et doivent être utilisés lorsque les exigences minimales pour les propres estimations de l'EAD ne sont pas remplies.
126. Pour les expositions sur la clientèle de détail dont les prélèvements futurs sont incertains, comme les cartes de crédit, les
banques doivent tenir compte de leur historique et/ou de l'attente de prélèvements supplémentaires avant le défaut dans leur calibrage global
76 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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des estimations de perte. En particulier, lorsqu'une banque ne tient pas compte des facteurs de conversion pour les lignes non tirées
dans ses estimations d'EAD, elle doit refléter dans ses estimations de LGD la probabilité de tirages supplémentaires avant le défaut.
A l'inverse, si la banque n'intègre pas la possibilité de tirages supplémentaires dans ses estimations de LGD, elle doit le faire dans ses
estimations d'EAD.
127. Lorsque seuls les soldes tirés des facilités de détail renouvelables ont été titrisés, les banques doivent s'assurer qu'elles continuent
de détenir le capital requis par rapport aux soldes non tirés associés aux expositions titrisées en utilisant l'approche NI du risque de crédit
pour les engagements.
128. Dans la mesure où des engagements de change et de taux d'intérêt existent dans le portefeuille de détail d'une banque aux
fins de l'IRB, les banques ne sont pas autorisées à fournir leurs évaluations internes des montants en équivalentcrédit. Au lieu de cela,
les règles de l'approche standard continuent de s'appliquer.
F. Règles pour les créances achetées
129. La section F présente la méthode de calcul des exigences de fonds propres UL pour les créances achetées. Pour ces actifs,
il existe des charges de capital IRB pour le risque de défaut et le risque de dilution. La section F.1 traite du calcul des actifs pondérés en
fonction des risques pour le risque de défaut. Le calcul des actifs pondérés en fonction des risques pour le risque de dilution est présenté
à la section F.2. La méthode de calcul des pertes attendues et de détermination de la différence entre cette mesure et les provisions est
décrite à la section G.
1. Actifs pondérés en fonction des risques pour le risque de défaut
130. Pour les créances appartenant sans ambiguïté à une classe d'actifs, la pondération de risque IRB pour le risque de défaut est
basée sur la fonction de pondération de risque applicable à ce type d'exposition particulier, tant que la banque peut répondre aux normes
de qualification pour cette fonction de pondération de risque particulière. Par exemple, si les banques ne peuvent pas se conformer aux
normes de qualification des expositions renouvelables sur la clientèle de détail (définies au paragraphe 24), elles doivent utiliser la
fonction de pondération des risques pour les autres expositions sur la clientèle de détail. Pour les pools hybrides contenant des mélanges
de types d'expositions, si la banque acheteuse ne peut pas séparer les expositions par type, la fonction de pondération des risques
produisant les exigences de fonds propres les plus élevées pour les types d'expositions dans le pool de créances s'applique.
(je) Créances commerciales achetées
131. Pour les créances de détail achetées, une banque doit respecter les normes de quantification des risques pour les expositions
de détail, mais peut utiliser des données de référence externes et internes pour estimer les PD et les LGD. Les estimations pour PD et
LGD (ou EL) doivent être calculées pour les créances sur une base autonome ; c'estàdire, sans égard à toute hypothèse de recours ou
de garantie du vendeur ou d'autres parties.
(ii) Créances d'entreprise achetées
132. Pour les créances d'entreprise achetées, la banque acheteuse est censée appliquer les normes de quantification des risques
NI existantes pour l'approche ascendante. Toutefois, pour les créances d'entreprise achetées éligibles, et sous réserve de l'autorisation
des autorités de contrôle, une banque peut utiliser la procédure descendante suivante pour calculer les pondérations de risque NI pour le
risque de défaut :
• La banque acheteuse estimera l'EL à un an du pool pour le risque de défaut, exprimé en pourcentage du montant de
l'exposition (c'estàdire le montant total de l'EAD pour la banque par tous les débiteurs du pool de créances). Le EL estimé
doit être calculé pour les créances sur une base autonome ; c'estàdire, sans égard à toute hypothèse de recours ou de
garantie du vendeur ou d'autres parties. Le traitement des recours ou des garanties couvrant le risque de défaut (et/ou le
risque de dilution) est discuté séparément cidessous.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 77
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• Compte tenu de l'estimation EL pour les pertes de défaut du pool, la pondération du risque de défaut est déterminée
par la fonction de pondération des risques pour les expositions sur les entreprises.19 Comme décrit cidessous, le
calcul précis des pondérations de risque pour le risque de défaut dépend de la capacité de la banque à décomposer EL
dans ses composantes PD et LGD de manière fiable. Les banques peuvent utiliser des données externes et internes
pour estimer les PD et les LGD. Toutefois, l'approche avancée ne sera pas disponible pour les banques qui utilisent
l'approche de base pour les expositions sur les entreprises.
Traitement IRB Fondation
133. Si la banque acheteuse n'est pas en mesure de décomposer EL en ses composantes PD et LGD de manière fiable, la
pondération du risque est déterminée à partir de la fonction de pondération du risque corporate en utilisant les spécifications
suivantes : si la banque peut démontrer que les expositions sont exclusivement des créances senior sur entreprises, une LGD de
40 % peut être utilisée. La PD sera calculée en divisant l'EL à l'aide de cette LGD. L'EAD sera calculée comme l'encours moins
l'exigence de fonds propres pour dilution avant l'atténuation du risque de crédit (KDilution). Sinon, PD est l'estimation de EL par la
banque ; LGD sera de 100 % ; et EAD est le montant restant dû moins KDilution. L'EAD pour une facilité d'achat renouvelable est
la somme du montant actuel des créances achetées plus 40 % de tout engagement d'achat non tiré moins KDilution. Si la banque
acheteuse est en mesure d'estimer la PD de manière fiable, la pondération de risque est déterminée à partir des fonctions de
pondération de risque de l'entreprise selon les spécifications pour LGD, M et le traitement des garanties selon l'approche fondation
comme indiqué aux paragraphes 70 à 83 , 89 à 95 et 107.
Traitement IRB avancé
134. Si la banque acheteuse peut estimer soit les taux de perte moyens pondérés par défaut du pool en cas de défaut (tels
que définis au paragraphe 235) soit la PD moyenne de manière fiable, la banque peut estimer l'autre paramètre sur la base d'une
estimation de la perte attendue à long terme évaluer. La banque peut : (i) utiliser une estimation appropriée de la PD pour déduire
le taux de perte moyen pondéré par défaut à long terme en cas de défaut ; ou (ii) utiliser un taux de perte moyen pondéré par
défaut à long terme en cas de défaut pour déduire la PD appropriée. Dans les deux cas, il est important de reconnaître que la LGD
utilisée pour le calcul du capital NI pour les créances achetées ne peut être inférieure au taux de perte moyen pondéré par défaut
à long terme en cas de défaut et doit être conforme aux concepts définis au paragraphe 235. la pondération des risques pour les
créances achetées sera déterminée en utilisant la PD et la LGD estimées de la banque comme données d'entrée de la fonction de
pondération des risques de l'entreprise. Semblable au traitement IRB de base, l'EAD sera le montant impayé moins KDilution.
L'EAD pour une facilité d'achat renouvelable sera la somme du montant actuel des créances achetées plus 40 % de tout
engagement d'achat non tiré moins KDilution (ainsi, les banques utilisant l'approche NI avancée ne seront pas autorisées à utiliser
leurs estimations internes d'EAD pour les engagements d'achat non tirés ).
135. Pour les montants tirés, M sera égal à l'échéance effective moyenne pondérée en fonction de l'exposition du panier
(telle que définie aux paragraphes 109 à 114). Cette même valeur de M sera également utilisée pour les montants non tirés dans
le cadre d'une facilité d'achat confirmée, à condition que la facilité contienne des clauses restrictives effectives, des déclencheurs
d'amortissement anticipé ou d'autres caractéristiques qui protègent la banque acheteuse contre une détérioration significative de la
qualité des créances futures dont elle a besoin à acheter pendant la durée de l'installation. En l'absence de telles protections efficaces, le
19 L'ajustement en fonction de la taille de l'entreprise pour les PME, tel que défini au paragraphe 54, sera la moyenne pondérée par exposition individuelle de l'ensemble
des créances achetées sur les entreprises. Si la banque ne dispose pas des informations nécessaires pour calculer la taille moyenne du pool, l'ajustement en
fonction de la taille de l'entreprise ne s'appliquera pas.
78 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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M pour les montants non tirés sera calculé comme la somme de : (a) la créance potentielle la plus ancienne en vertu du contrat
d'achat ; et (b) l'échéance résiduelle de la facilité d'achat.
2. Actifs pondérés en fonction des risques pour le risque de dilution
136. La dilution fait référence à la possibilité que le montant à recevoir soit réduit par des crédits en espèces ou non en
espèces au débiteur de la créance. 20 Tant pour les créances sur les entreprises que pour les particuliers, à moins que la
banque ne puisse démontrer à son autorité de contrôle que le risque de dilution pour la banque acheteuse n'est pas significatif, le
traitement du risque de dilution doit être le suivant : soit au niveau du pool dans son ensemble (top down) ou les créances
individuelles composant le pool (bottomup), la banque acheteuse estimera le EL à un an pour le risque de dilution, également
exprimé en pourcentage du montant des créances. Les banques peuvent utiliser des données externes et internes pour estimer EL.
Comme pour les traitements du risque de défaut, cette estimation doit être calculée sur une base autonome ; c'estàdire sous
l'hypothèse d'aucun recours ou autre soutien de la part du vendeur ou de tiers garants. Aux fins du calcul des pondérations de risque
pour le risque de dilution, la fonction de pondération de risque d'entreprise doit être utilisée avec les paramètres suivants : la PD doit
être égale à la valeur EL estimée et la LGD doit être fixée à 100 %. Un traitement approprié des échéances s'applique lors de la
détermination de l'exigence de capital pour risque de dilution. Si une banque peut démontrer que le risque de dilution est surveillé et
géré de manière appropriée pour être résolu dans un délai d'un an, l'autorité de contrôle peut autoriser la banque à appliquer une
échéance d'un an.
137. Ce traitement sera appliqué, que les créances sousjacentes soient des expositions sur des entreprises ou des particuliers,
et que les pondérations du risque de défaut soient calculées à l'aide des traitements NI standard ou, pour les créances sur les
entreprises, du traitement descendant décrit cidessus.
3. Traitement des remises sur prix d'achat des créances
138. Dans de nombreux cas, le prix d'achat des créances reflétera une décote (à ne pas confondre avec le concept de décote
défini aux paragraphes 98 et 124) qui offre une protection de première perte pour les pertes par défaut, les pertes par dilution ou les
deux. Dans la mesure où une partie d'une telle remise sur le prix d'achat peut être remboursée au vendeur en fonction de la
performance des créances, l'acheteur peut comptabiliser ce montant remboursable en tant que protection de première perte et donc
traiter cette exposition dans le cadre de la titrisation, tandis que le le vendeur offrant une telle remise remboursable sur le prix d'achat
doit traiter le montant remboursable comme une position de première perte dans le cadre de la titrisation. Les remises non
remboursables sur le prix d'achat des créances n'affectent ni le calcul de la provision EL de la section G ni le calcul des actifs
pondérés en fonction des risques.
139. Lorsque des sûretés ou des garanties partielles obtenues sur des créances offrent une protection de premier niveau
(collectivement appelées facteurs d'atténuation dans le présent paragraphe) et que ces facteurs d'atténuation couvrent les pertes par
défaut, les pertes de dilution ou les deux, ils peuvent également être traités comme une protection de premier niveau dans le cadre
de la titrisation. cadre de titrisation (voir paragraphe 51 du cadre de titrisation). Lorsque le même atténuant couvre à la fois le défaut et la dilution
20
Les exemples incluent les compensations ou les indemnités résultant des retours de marchandises vendues, les litiges concernant la qualité du produit, les
éventuelles dettes de l'emprunteur envers un débiteur débiteur et tout paiement ou rabais promotionnel offert par l'emprunteur (par exemple, un crédit pour les
paiements en espèces dans les 30 jours).
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 79
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risque, les banques utilisant l'approche fondée sur les notations internes de titrisation (SECIRBA) qui sont en mesure de calculer
une LGD pondérée en fonction de l'exposition doivent le faire comme défini au paragraphe 60 du cadre de titrisation.
4. Reconnaissance des facteurs d'atténuation du risque de crédit
140. Les facteurs d'atténuation du risque de crédit seront généralement comptabilisés en utilisant le même type de cadre
que celui énoncé aux paragraphes 90 à 97.21 En particulier, une garantie fournie par le vendeur ou un tiers sera traitée en utilisant
les règles NI existantes pour les garanties, que la garantie couvre le risque de défaut, le risque de dilution ou les deux.
• Si la garantie couvre à la fois le risque de défaut et le risque de dilution du pool, la banque substituera la pondération
de risque d'une exposition au garant à la pondération de risque totale du pool pour le risque de défaut et de dilution.
• Si la garantie ne couvre que le risque de défaut ou le risque de dilution, mais pas les deux, la banque substituera la
pondération de risque d'une exposition au garant à la pondération de risque du pool pour la composante de risque
correspondante (défaut ou dilution). L'exigence de capital pour l'autre composante sera alors ajoutée.
• Si une garantie ne couvre qu'une partie du risque de défaut et/ou de dilution, la partie non couverte du risque de défaut
et/ou de dilution sera traitée conformément aux règles CRM existantes pour la couverture proportionnelle ou par
tranches (c'estàdire les pondérations de risque du risque non couvert composantes de risque seront ajoutées aux
pondérations de risque des composantes de risque couvertes).
G. Traitement des pertes attendues et comptabilisation des provisions
141. La section G traite de la méthode par laquelle la différence entre les provisions (par exemple, les provisions spécifiques,
les provisions générales spécifiques à un portefeuille telles que les provisions pour risque pays ou les provisions générales) et les
pertes attendues peut être incluse dans ou doit être déduite du capital réglementaire, comme indiqué dans la définition des fonds
propres du dispositif Bâle III (juin 2011).
1. Calcul des pertes attendues
142. Une banque doit additionner le montant EL (défini comme EL multiplié par EAD) associé à ses expositions auxquelles
l'approche NI est appliquée (à l'exclusion du montant EL associé aux expositions de titrisation) pour obtenir un montant EL total.
Le traitement des EL pour les expositions de titrisation est décrit au paragraphe 37 du cadre de titrisation.
(je) Perte attendue pour les expositions autres que les expositions soumises aux critères de classement prudentiel
143. Les banques doivent calculer EL comme PD x LGD pour les expositions sur les entreprises, les banques et les
particuliers qui ne sont pas en défaut. Pour les expositions sur les entreprises, les banques et les particuliers qui sont en défaut,
les banques doivent utiliser leur meilleure estimation de la perte attendue telle que définie au paragraphe 238 pour les expositions
soumises à l'approche avancée et pour les expositions soumises à l'approche fondation, les banques doivent utiliser la LGD
prudentielle. Pour les expositions soumises aux critères de classement prudentiel, EL est calculé comme décrit aux paragraphes
144 à 146. Les expositions de titrisation ne contribuent pas au montant EL, comme indiqué au paragraphe 37 du dispositif de titrisation.
21
À la discrétion des superviseurs nationaux, les banques peuvent reconnaître les garants qui sont notés en interne et associés à une PD équivalente
à moins de A dans le cadre de l'approche NI fondation aux fins de la détermination des exigences de fonds propres pour risque de dilution.
80 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(ii) Perte attendue pour les expositions en prêts spécialisés (SL) soumises aux critères de classement prudentiels
144. Pour les expositions SL soumises aux critères de classement prudentiel, le montant EL est déterminé en multipliant 8 % par les
actifs pondérés en fonction des risques produits à partir des pondérations de risque appropriées, comme indiqué cidessous, multipliés par
l'EAD.
Catégories prudentielles et pondérations de risque EL pour les expositions SL non HVCRE
145. Les pondérations de risque pour SL, autre que HVCRE, sont les suivantes :
Lorsque, à la discrétion nationale, les autorités de contrôle autorisent les banques à attribuer des pondérations de risque
préférentielles aux expositions non HVCRE SL relevant des catégories prudentielles « fortes » et « bonnes », comme indiqué au paragraphe
58, la pondération de risque EL correspondante est de 0 % pour les expositions « fortes ». , et 5 % pour les « bonnes » expositions.
Catégories prudentielles et pondérations de risque EL pour HVCRE
146. Les pondérations de risque pour HVCRE sont les suivantes :
Même lorsque, à la discrétion nationale, les autorités de contrôle autorisent les banques à attribuer des pondérations de risque
préférentielles aux expositions HVCRE relevant des catégories prudentielles « fortes » et « bonnes », comme indiqué au paragraphe 63, la
pondération de risque EL correspondante restera à 5 % pour les expositions « fortes » et « bonnes ». » et les « bonnes » expositions.
2. Calcul des provisions
(je) Expositions soumises à l'approche IRB
147. Le total des provisions éligibles est défini comme la somme de toutes les provisions (par exemple, les provisions spécifiques, les
abandons partiels, les provisions générales spécifiques à un portefeuille telles que les provisions pour risque pays ou les provisions générales)
qui sont attribuées aux expositions traitées selon l'approche NI. En outre, le total des provisions éligibles peut inclure toute décote sur les actifs
en défaut. Les provisions spécifiques constituées sur les expositions de titrisation ne doivent pas être incluses dans le total des provisions
éligibles.
(ii) Part des expositions soumises à l'approche standard du risque de crédit
148. Les banques qui utilisent l'approche standard pour une partie de leurs expositions au risque de crédit (voir paragraphes 44 à 48)
doivent déterminer la part des provisions générales attribuée au traitement standard ou NI des provisions selon les méthodes décrites aux
paragraphes 149 et 150.
149. Les banques devraient généralement imputer le total des provisions générales au prorata de la proportion d'actifs pondérés en
fonction du risque de crédit soumis aux approches standard et NI. Toutefois, lorsqu'une approche de détermination des actifs pondérés en
fonction du risque de crédit (approche standard ou approche IRB) est utilisée exclusivement au sein d'une entité, les provisions générales
comptabilisées au sein de l'entité selon l'approche standard peuvent être attribuées au traitement standard. De même, les provisions générales
comptabilisées au sein des entités utilisant l'approche IRB peuvent être imputées au total des provisions éligibles tel que défini au paragraphe
147.
150. À la discrétion des superviseurs nationaux, les banques utilisant à la fois l'approche standard et l'approche NI peuvent s'appuyer
sur leurs méthodes internes pour allouer les provisions générales à comptabiliser dans les fonds propres selon l'approche standard ou l'approche
NI, sous réserve des conditions suivantes. Lorsque la méthode d'allocation interne
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 81
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est mis à disposition, le superviseur national établira les normes entourant leur utilisation. Les banques devront obtenir
l'approbation préalable de leurs superviseurs pour utiliser une méthode d'allocation interne à cette fin.
3. Traitement des EL et provisions
151. Comme spécifié aux paragraphes 61 et 73 du cadre de Bâle III (juin 2011), les banques utilisant l'approche NI
doivent comparer le montant total des provisions éligibles totales (telles que définies au paragraphe 147) avec le montant EL
total tel que calculé dans le cadre de l'approche NI ( tel que défini au paragraphe 142). En outre, le paragraphe 60 du cadre de
Bâle III (juin 2011) décrit le traitement de la partie d'une banque qui est soumise à l'approche standard du risque de crédit
lorsque la banque utilise à la fois l'approche standard et l'approche NI.
152. Lorsque le montant EL calculé est inférieur au total des provisions éligibles de la banque, ses autorités de contrôle doivent
examiner si l'EL reflète pleinement les conditions du marché sur lequel elle opère avant d'autoriser l'inclusion de la différence
dans les fonds propres de catégorie 2. Si des provisions spécifiques dépassent le montant EL sur les actifs en défaut, cette
évaluation doit également être effectuée avant d'utiliser la différence pour compenser le montant EL sur les actifs non en défaut.
de titrisation.
Le traitement des EL et des provisions liées aux expositions de titrisation est décrit au paragraphe 153.37 du cadre
H. Exigences minimales pour l'approche IRB
154. La section H présente les exigences minimales pour l'entrée et l'utilisation continue de l'approche IRB.
Les exigences minimales sont définies dans 12 sections distinctes concernant : (a) la composition des exigences minimales ;
(b) le respect des exigences minimales ; (c) la conception du système de notation ; (d) les opérations du système de notation
des risques ; e) gouvernance et contrôle d'entreprise; (f) utilisation de notations internes ; (g) quantification des risques; (h)
validation des estimations internes ; (i) les estimations prudentielles de LGD et d'EAD ; (j) les conditions de reconnaissance du
créditbail; (k) calcul des exigences de fonds propres pour les expositions sur actions; et (l) les exigences de divulgation. Il peut
être utile de noter que les exigences minimales recoupent toutes les catégories d'actifs. Par conséquent, plus d'une classe
d'actifs peut être discutée dans le contexte d'une exigence minimale donnée.
1. Composition des exigences minimales
155. Pour être éligible à l'approche IRB, une banque doit démontrer à son autorité de contrôle qu'elle satisfait à certaines
exigences minimales dès le départ et sur une base continue. Bon nombre de ces exigences se présentent sous la forme
d'objectifs que les systèmes de notation des risques d'une banque éligible doivent remplir. L'accent est mis sur la capacité des
banques à hiérarchiser et à quantifier les risques de manière cohérente, fiable et valide.
156. Le principe fondamental qui soustend ces exigences est que les systèmes et processus de notation et d'estimation
des risques permettent une évaluation significative des caractéristiques de l'emprunteur et de la transaction ; une différenciation
significative du risque; et des estimations quantitatives raisonnablement exactes et cohérentes du risque.
De plus, les systèmes et processus doivent être cohérents avec l'utilisation interne de ces estimations. Le Comité reconnaît
que les différences entre les marchés, les méthodologies de notation, les produits bancaires et les pratiques obligent les
banques et les superviseurs à personnaliser leurs procédures opérationnelles. Le Comité n'a pas l'intention de dicter la forme
ou les détails opérationnels des politiques et pratiques de gestion des risques des banques. Chaque superviseur élaborera
des procédures d'examen détaillées pour s'assurer que les systèmes et contrôles des banques sont adéquats pour servir de
base à l'approche NI.
157. Les exigences minimales énoncées dans le présent document s'appliquent à toutes les catégories d'actifs, sauf
indication contraire. Les normes relatives au processus d'attribution des expositions aux notes des emprunteurs ou des facilités (et
82 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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la surveillance connexe, la validation, etc.) s'appliquent également au processus d'attribution des expositions sur la clientèle de détail à
des groupes d'expositions homogènes, sauf indication contraire.
158. Les exigences minimales énoncées dans le présent document s'appliquent à la fois aux approches de base et avancées,
sauf indication contraire. En règle générale, toutes les banques IRB doivent produire leurs propres estimations de la PD22 et doivent
respecter les exigences générales en matière de conception, d'exploitation, de contrôle et de gouvernance d'entreprise du système de
notation, ainsi que les exigences requises pour l'estimation et la validation des mesures de la PD. Les banques qui souhaitent utiliser
leurs propres estimations de LGD et d'EAD doivent également respecter les exigences minimales supplémentaires pour ces facteurs de
risque énoncées aux paragraphes 235 à 263.
2. Conformité aux exigences minimales
159. Pour être éligible à une approche IRB, une banque doit démontrer à son autorité de contrôle qu'elle satisfait aux exigences
IRB du présent document, dès le départ et sur une base continue. Les pratiques globales de gestion du risque de crédit des banques
doivent également être conformes aux lignes directrices en constante évolution émises par le Comité et les superviseurs nationaux.
160. Il peut y avoir des circonstances dans lesquelles une banque ne se conforme pas entièrement à toutes les exigences
minimales. Si tel est le cas, la banque doit produire un plan pour un retour rapide à la conformité et demander l'approbation de son
autorité de contrôle, ou la banque doit démontrer que l'effet d'une telle nonconformité est non significatif en termes de risque posé à
l'établissement. . Le défaut de produire un plan acceptable ou de mettre en œuvre le plan de manière satisfaisante ou de démontrer
l'immatérialité conduira les autorités de contrôle à reconsidérer l'éligibilité de la banque à l'approche NI. En outre, pendant toute la durée
de toute nonconformité, les autorités de contrôle examineront la nécessité pour la banque de détenir des fonds propres supplémentaires
au titre du pilier 2 ou prendront d'autres mesures de contrôle appropriées.
3. Conception du système de notation
161. Le terme « système de notation » comprend l'ensemble des méthodes, processus, contrôles, collecte de données et
systèmes informatiques qui prennent en charge l'évaluation du risque de crédit, l'attribution de notations de risque internes et la
quantification des estimations de défaut et de perte.
162. Au sein de chaque classe d'actifs, une banque peut utiliser plusieurs méthodologies/systèmes de notation. Par exemple, une
banque peut avoir des systèmes de notation personnalisés pour des secteurs ou des segments de marché spécifiques (par exemple, le
marché intermédiaire et les grandes entreprises). Si une banque choisit d'utiliser plusieurs systèmes, la justification de l'affectation d'un
emprunteur à un système de notation doit être documentée et appliquée de la manière qui reflète le mieux le niveau de risque de
l'emprunteur. Les banques ne doivent pas répartir les emprunteurs entre les systèmes de notation de manière inappropriée afin de
minimiser les exigences réglementaires en matière de fonds propres (c'estàdire une sélection sélective par le choix du système de
notation). Les banques doivent démontrer que chaque système utilisé aux fins de l'IRB est conforme aux exigences minimales dès le
départ et sur une base continue.
(je) Cotes d'évaluation
Normes pour les expositions sur les entreprises et les banques
163. Un système de notation IRB éligible doit avoir deux dimensions séparées et distinctes : (i) le risque de défaillance de l'emprunteur ;
et (ii) les facteurs spécifiques à la transaction.
164. La première dimension doit être orientée vers le risque de défaillance de l'emprunteur. Des expositions distinctes sur le
même emprunteur doivent être affectées à la même catégorie d'emprunteur, indépendamment de toute différence dans la nature de
chaque transaction spécifique. Il y a deux exceptions à cela. Premièrement, dans le cas du risque de transfert de pays,
22
Les banques ne sont pas tenues de produire leurs propres estimations de PD pour les expositions soumises à l'approche prudentielle de classement.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 83
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où une banque peut attribuer différentes catégories d'emprunteurs selon que la facilité est libellée en monnaie locale ou étrangère.
Deuxièmement, lorsque le traitement des garanties associées à une facilité peut être reflété dans une note d'emprunteur ajustée.
Dans les deux cas, des expositions distinctes peuvent entraîner plusieurs notes pour le même emprunteur. Une banque doit articuler
dans sa politique de crédit la relation entre les catégories d'emprunteurs en termes de niveau de risque que chaque catégorie
implique. Le risque perçu et mesuré doit augmenter à mesure que la qualité du crédit diminue d'une note à l'autre. La politique doit
articuler le risque de chaque note en termes à la fois d'une description de la probabilité de risque de défaut typique pour les
emprunteurs affectés à la note et des critères utilisés pour distinguer ce niveau de risque de crédit.
165. La deuxième dimension doit refléter des facteurs spécifiques à la transaction, tels que la garantie, l'ancienneté, le type de
produit, etc. facteurs spécifiques. Par exemple, une dimension de notation qui reflète EL en incorporant à la fois des considérations
de solidité de l'emprunteur (PD) et de gravité des pertes (LGD) serait admissible. De même, un système de notation reflétant
exclusivement la LGD serait éligible.
Lorsqu'une dimension de notation reflète EL et ne quantifie pas séparément LGD, les estimations prudentielles de LGD doivent être
utilisées.
166. Pour les banques utilisant l'approche avancée, les notations des facilités doivent refléter exclusivement la LGD. Ces
notations peuvent refléter tous les facteurs susceptibles d'influencer la LGD, y compris, mais sans s'y limiter, le type de garantie, le
produit, le secteur et l'objectif. Les caractéristiques de l'emprunteur peuvent être incluses comme critères de notation LGD uniquement
dans la mesure où elles sont prédictives de la LGD. Les banques peuvent modifier les facteurs qui influencent les notations des
facilités dans tous les segments du portefeuille tant qu'elles peuvent convaincre leur superviseur que cela améliore la pertinence et la
précision de leurs estimations.
167. Les banques utilisant les critères de classement prudentiels sont exemptées de cette exigence bidimensionnelle pour ces
expositions. Compte tenu de l'interdépendance entre les caractéristiques de l'emprunteur/de la transaction dans les expositions
soumises aux approches prudentielles de classement, les banques peuvent satisfaire aux exigences de cette rubrique au moyen
d'une dimension de notation unique qui reflète EL en incorporant à la fois des considérations de solidité de l'emprunteur (PD) et de
gravité des pertes (LGD). Cette exemption ne s'applique pas aux banques utilisant la fondation générale de l'entreprise ou l'approche
avancée pour la sousclasse SL.
Normes pour les expositions de détail
168. Les systèmes de notation des expositions sur la clientèle de détail doivent être axés à la fois sur le risque de l'emprunteur
et sur le risque de transaction, et doivent saisir toutes les caractéristiques pertinentes de l'emprunteur et de la transaction. Les
banques doivent affecter chaque exposition qui relève de la définition de la clientèle de détail aux fins de l'IRB à un pool particulier.
Les banques doivent démontrer que ce processus permet une différenciation significative des risques, un regroupement d'expositions
suffisamment homogènes et permet une estimation précise et cohérente des caractéristiques des pertes au niveau du pool.
169. Pour chaque pool, les banques doivent estimer la PD, la LGD et l'EAD. Plusieurs pools peuvent partager des estimations
identiques de PD, LGD et EAD. Au minimum, les banques doivent tenir compte des facteurs de risque suivants lors de l'affectation
d'expositions à un pool :
• Caractéristiques de risque de l'emprunteur (par exemple, type d'emprunteur, données démographiques telles que l'âge/la profession) ;
• Caractéristiques du risque de transaction, y compris les types de produits et/ou de garanties (par exemple, les mesures prêt
valeur, l'assaisonnement, les 23
garanties ;
et l'ancienneté
les dispositions (premier
relatives ou deuxième
aux garanties privilège)).
croisées Les
lorsqu'elles banques doivent explicitement traiter
existent.
23
Pour chaque groupe où les banques estiment la PD et la LGD, les banques doivent analyser la représentativité de l'âge des facilités (en termes de temps
depuis l'émission pour la PD et de temps depuis la date de défaut pour la LGD) dans les données utilisées pour dériver les estimations de les installations
réelles de la banque. Dans certaines juridictions, les taux de défaut culminent plusieurs années après que les taux d'origination ou de recouvrement aient
atteint un point bas plusieurs années après le défaut, les banques doivent ajuster les estimations avec une marge de prudence adéquate pour tenir
compte du manque de représentativité ainsi que des implications anticipées d'une croissance rapide des expositions.
84 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Impayés des expositions : les banques sont censées identifier séparément les expositions qui sont en souffrance et celles
qui ne le sont pas.
(ii) Structure de notation
Normes pour les expositions sur les entreprises et les banques
170. Une banque doit disposer d'une répartition significative des expositions entre les catégories sans concentrations excessives, tant
sur ses échelles de notation des emprunteurs que sur ses échelles de notation des facilités.
171. Pour atteindre cet objectif, une banque doit avoir un minimum de sept catégories d'emprunteurs pour les emprunteurs non
défaillants et une pour ceux qui sont défaillants. Les banques dont les activités de prêt se concentrent sur un segment de marché
particulier peuvent satisfaire à cette exigence avec le nombre minimum de grades.
172. Une note d'emprunteur est définie comme une évaluation du risque de l'emprunteur sur la base d'un ensemble spécifié et distinct
de critères de notation, à partir desquels les estimations de PD sont dérivées. La définition de la note doit inclure à la fois une description
du degré de risque de défaut typique pour les emprunteurs auxquels la note est attribuée et les critères utilisés pour distinguer ce niveau
de risque de crédit. De plus, les modificateurs « + » ou « » des notes alphabétiques ou numériques ne seront considérés comme des
notes distinctes que si la banque a développé des descriptions et des critères de notation complets pour leur attribution, et quantifie
séparément les PD pour ces notes modifiées.
173. Les banques dont les portefeuilles de prêts sont concentrés sur un segment de marché et une gamme de risques de défaut
particuliers doivent avoir suffisamment de notes dans cette fourchette pour éviter des concentrations indues d'emprunteurs dans des
catégories particulières. Des concentrations significatives au sein d'une ou plusieurs catégories doivent être étayées par des preuves
empiriques convaincantes que la ou les catégories couvrent des fourchettes de PD raisonnablement étroites et que le risque de défaut
posé par tous les emprunteurs d'une catégorie se situe dans cette fourchette.
174. Il n'y a pas de nombre minimum spécifique de catégories de facilités pour les banques utilisant l'approche avancée pour
estimer la LGD. Une banque doit avoir un nombre suffisant de catégories de facilités pour éviter de regrouper des facilités avec des
LGD très variables en une seule catégorie. Les critères utilisés pour définir les niveaux des installations doivent être fondés sur des
preuves empiriques.
non défaillants
175.
et
Lues
ne
bpanques
our les
qeui
mprunteurs
utilisent les
défaillants.
critères de
Les
classement
exigences
prudentiel
pour les edxpositions
oivent avoir
SL
au
éligibles
moins qauatre
ux approches
notes pour
Fondation
les emprunteurs
d'entreprise et Avancée sont les mêmes que celles pour les expositions générales sur les entreprises.
Normes pour les expositions de détail
176. Pour chaque pool identifié, la banque doit être en mesure de fournir des mesures quantitatives des caractéristiques de perte
(PD, LGD et EAD) pour ce pool. Le niveau de différenciation aux fins de l'IRB doit garantir que le nombre d'expositions dans un pool
donné est suffisant pour permettre une quantification et une validation significatives des caractéristiques de perte au niveau du pool. Il
doit y avoir une répartition significative des emprunteurs et des expositions entre les pools. Un pool unique ne doit pas inclure une
concentration indue de l'exposition totale de la banque sur la clientèle de détail.
(iii) Critères de notation
177. Une banque doit disposer de définitions, de processus et de critères de notation spécifiques pour attribuer des expositions à des
notes au sein d'un système de notation. Les définitions et les critères de notation doivent être à la fois plausibles et intuitifs et doivent
aboutir à une différenciation significative du risque.
• Les descriptions et les critères de notation doivent être suffisamment détaillés pour permettre aux personnes chargées
d'attribuer les notations d'attribuer systématiquement la même note aux emprunteurs ou aux installations présentant un
risque similaire. Cette cohérence doit exister entre les secteurs d'activité, les départements et les emplacements géographiques.
Si les critères et les procédures de notation diffèrent selon les types d'emprunteurs ou de facilités, la banque doit
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 85
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surveiller les éventuelles incohérences et doit modifier les critères de notation pour améliorer la cohérence, le cas
échéant.
• Les définitions écrites des notations doivent être suffisamment claires et détaillées pour permettre à des tiers de
comprendre l'attribution des notations, telles que l'audit interne ou une fonction et des superviseurs tout aussi
indépendants, de reproduire les attributions de notation et d'évaluer la pertinence des attributions de grade/groupe.
• Les critères doivent également être cohérents avec les normes de prêt internes de la banque et ses politiques de
gestion des emprunteurs et des facilités en difficulté.
178. Pour s'assurer que les banques tiennent systématiquement compte des informations disponibles, elles doivent utiliser
toutes les informations pertinentes et significatives pour attribuer des notations aux emprunteurs et aux facilités. Les informations
doivent être à jour. Moins une banque dispose d'informations, plus ses affectations d'expositions aux catégories ou groupes
d'emprunteurs et de facilités doivent être prudentes. Une notation externe peut être le principal facteur déterminant une attribution
de notation interne ; cependant, la banque doit s'assurer qu'elle tient compte d'autres informations pertinentes.
Expositions soumises à l'approche de classement prudentiel
179. Les banques utilisant les critères de classement prudentiels doivent affecter les expositions à leurs notations internes
sur la base de leurs propres critères, systèmes et processus, sous réserve du respect des exigences minimales requises. Les
banques doivent ensuite cartographier ces notations internes dans les cinq catégories de notation prudentielle.
Les tableaux 1 à 4 de l'annexe 6 du dispositif Bâle II (juin 2006) fournissent, pour chaque sousclasse d'expositions SL, les
facteurs d'évaluation généraux et les caractéristiques présentées par les expositions relevant de chacune des catégories
prudentielles. Chaque activité de prêt a un tableau unique décrivant les facteurs d'évaluation et les caractéristiques.
180. Le Comité reconnaît que les critères utilisés par les banques pour affecter les expositions aux notes internes ne
s'aligneront pas parfaitement sur les critères qui définissent les catégories prudentielles ; cependant, les banques doivent
démontrer que leur processus de cartographie a abouti à un alignement des notes qui est cohérent avec la prépondérance des
caractéristiques dans la catégorie prudentielle respective. Les banques doivent veiller tout particulièrement à ce que tout
dépassement de leurs critères internes ne rende pas le processus de cartographie inefficace.
(iv) Horizon d'attribution des notations
181. Bien que l'horizon temporel utilisé dans l'estimation de la PD soit d'un an (comme décrit au paragraphe 215), les
banques sont censées utiliser un horizon temporel plus long pour attribuer des notations.
182. Une notation d'emprunteur doit représenter l'évaluation par la banque de la capacité et de la volonté de l'emprunteur
d'exécuter le contrat malgré des conditions économiques défavorables ou la survenance d'événements imprévus.
L'éventail des conditions économiques prises en compte lors des évaluations doit être cohérent avec les conditions actuelles et
celles qui sont susceptibles de se produire au cours d'un cycle économique dans l'industrie/la région géographique respective.
Les systèmes de notation doivent être conçus de manière à ce que les changements idiosyncratiques ou spécifiques à l'industrie
soient un moteur des migrations d'une catégorie à une autre, et les effets du cycle économique peuvent également être un
moteur.
183. Les estimations de PD pour les emprunteurs fortement endettés ou pour les emprunteurs dont les actifs sont
principalement des actifs négociés doivent refléter la performance des actifs sousjacents sur la base de périodes de volatilité
tendue.
184. Étant donné les difficultés à prévoir les événements futurs et l'influence qu'ils auront sur la situation financière d'un
emprunteur particulier, une banque doit adopter une vision prudente des informations projetées.
De plus, lorsque des données limitées sont disponibles, une banque doit adopter un biais conservateur dans son analyse.
86 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(v) Utilisation de modèles
185. Les exigences de cette section s'appliquent aux modèles statistiques et aux autres méthodes mécaniques utilisées
pour attribuer des notations aux emprunteurs ou aux installations ou pour estimer les PD, LGD ou EAD. Les modèles d'évaluation
du crédit et autres procédures de notation mécanique n'utilisent généralement qu'un sousensemble d'informations disponibles.
Bien que les procédures de notation mécanique puissent parfois éviter certaines des erreurs idiosyncratiques commises par les
systèmes de notation dans lesquels le jugement humain joue un rôle important, l'utilisation mécanique d'informations limitées est
également une source d'erreurs de notation. Les modèles d'évaluation du crédit et d'autres procédures mécaniques sont autorisés
comme base principale ou partielle des attributions de notation et peuvent jouer un rôle dans l'estimation des caractéristiques des pertes.
Un jugement humain et une surveillance humaine suffisants sont nécessaires pour garantir que toutes les informations pertinentes
et matérielles, y compris celles qui ne relèvent pas du champ d'application du modèle, sont également prises en considération et
que le modèle est utilisé de manière appropriée.
• Il incombe à la banque de convaincre son autorité de contrôle qu'un modèle ou une procédure a un bon pouvoir
prédictif et que les exigences de fonds propres réglementaires ne seront pas faussées du fait de son utilisation.
Les variables entrées dans le modèle doivent former un ensemble raisonnable de prédicteurs. Le modèle doit être
précis en moyenne sur l'ensemble des emprunteurs ou des facilités auxquels la banque est exposée et il ne doit y
avoir aucun biais significatif connu.
• La banque doit avoir mis en place un processus de vérification des entrées de données dans un modèle statistique
de prévision des défauts ou des pertes qui comprend une évaluation de l'exactitude, de l'exhaustivité et de la
pertinence des données spécifiques à l'attribution d'une notation approuvée.
• La banque doit démontrer que les données utilisées pour construire le modèle sont représentatives de la population
des emprunteurs ou facilités réels de la banque.
• Lors de la combinaison des résultats du modèle avec le jugement humain, le jugement doit prendre en compte
toutes les informations pertinentes et matérielles non prises en compte par le modèle. La banque doit avoir des
directives écrites décrivant comment le jugement humain et les résultats du modèle doivent être combinés.
• La banque doit disposer de procédures d'examen humain des attributions de notation basées sur des modèles. Ces
procédures doivent se concentrer sur la recherche et la limitation des erreurs associées aux faiblesses connues du
modèle et doivent également inclure des efforts continus crédibles pour améliorer les performances du modèle.
• La banque doit avoir un cycle régulier de validation du modèle qui comprend la surveillance des performances et
de la stabilité du modèle ; examen des relations modèles ; et la mise à l'essai des extrants du modèle par rapport
aux résultats.
(v) Documentation de la conception du système de notation
186. Les banques doivent documenter par écrit la conception et les détails opérationnels de leurs systèmes de notation.
La documentation doit prouver la conformité des banques aux normes minimales et doit aborder des sujets tels que la
différenciation du portefeuille, les critères de notation, les responsabilités des parties qui notent les emprunteurs et les
facilités, la définition de ce qui constitue une exception de notation, les parties qui ont le pouvoir d'approuver les exceptions,
la fréquence des revues de notation et la supervision par la direction du processus de notation. Une banque doit documenter
la justification de son choix de critères de notation interne et doit être en mesure de fournir des analyses démontrant que les
critères et procédures de notation sont susceptibles d'aboutir à des notations qui différencient significativement le risque. Les
critères et procédures de notation doivent être revus périodiquement pour déterminer s'ils restent pleinement applicables au
portefeuille actuel et aux conditions externes. En outre, une banque doit documenter un historique des changements majeurs
dans le processus de notation des risques, et cette documentation doit étayer l'identification des modifications apportées au
processus de notation des risques à la suite du dernier examen prudentiel. L'organisation de l'attribution des notations, y
compris la structure de contrôle interne, doit également être documentée.
187. Les banques doivent documenter les définitions spécifiques de défaut et de perte utilisées en interne et démontrer
leur cohérence avec les définitions de référence énoncées aux paragraphes 220 à 228.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 87
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188. Si la banque utilise des modèles statistiques dans le processus de notation, elle doit documenter leurs méthodologies.
Ce matériel doit :
• Fournir un aperçu détaillé de la théorie, des hypothèses et/ou des bases mathématiques et empiriques de l'attribution
des estimations aux échelons, aux débiteurs individuels, aux expositions ou aux groupes, et la ou les sources de
données utilisées pour estimer le modèle ;
• Établir un processus statistique rigoureux (y compris des tests de performance hors temps et hors échantillon) pour
valider le modèle ; et
• Indiquez toutes les circonstances dans lesquelles le modèle ne fonctionne pas efficacement.
189. L'utilisation d'un modèle obtenu auprès d'un fournisseur tiers qui revendique une technologie propriétaire ne justifie
pas l'exemption de la documentation ou de toute autre exigence des systèmes de notation internes. Il incombe au fournisseur du
modèle et à la banque de satisfaire les superviseurs.
4. Opérations du système de notation des risques
(je) Couverture des notations
190. Pour les expositions sur les entreprises et les banques, chaque emprunteur et tous les garants reconnus doivent se voir
attribuer une notation et chaque exposition doit être associée à une notation de facilité dans le cadre du processus d'approbation des
prêts. De même, pour la clientèle de détail, chaque exposition doit être affectée à un pool dans le cadre du processus d'approbation des prêts.
191. Chaque entité juridique distincte à laquelle la banque est exposée doit être notée séparément. Une banque doit avoir
des politiques acceptables pour son autorité de contrôle concernant le traitement des entités individuelles dans un groupe lié, y
compris les circonstances dans lesquelles la même notation peut ou non être attribuée à certaines ou à toutes les entités liées.
Ces politiques doivent inclure un processus d'identification du risque d'erreur de sens spécifique pour chaque entité juridique à
laquelle la banque est exposée. Les transactions avec des contreparties pour lesquelles un risque de corrélation défavorable
spécifique a été identifié doivent être traitées différemment lors du calcul de l'EAD pour ces expositions (voir le paragraphe 58
des normes relatives au risque de contrepartie).
(ii) Intégrité du processus de notation
Normes pour les expositions sur les entreprises et les banques
192. Les attributions de notation et les révisions de notation périodiques doivent être effectuées ou approuvées par une
partie qui ne bénéficie pas directement de l'extension de crédit. L'indépendance du processus d'attribution des notes peut être
obtenue grâce à une gamme de pratiques qui seront soigneusement examinées par les superviseurs. Ces processus opérationnels
doivent être documentés dans les procédures de la banque et intégrés dans les politiques de la banque.
Les politiques de crédit et les procédures de souscription doivent renforcer et favoriser l'indépendance du processus de notation.
193. Les emprunteurs et les établissements doivent voir leurs notations actualisées au moins une fois par an. Certains
crédits, en particulier les emprunteurs à haut risque ou les expositions problématiques, doivent faire l'objet d'un examen plus fréquent.
De plus, les banques doivent initier une nouvelle notation si des informations importantes sur l'emprunteur ou la facilité sont
révélées.
194. La banque doit disposer d'un processus efficace pour obtenir et mettre à jour les informations pertinentes et
significatives sur la situation financière de l'emprunteur et sur les caractéristiques des facilités qui affectent les LGD et les EAD
(telles que l'état des sûretés). Dès réception, la banque doit disposer d'une procédure pour mettre à jour la notation de l'emprunteur
en temps opportun.
88 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Normes pour les expositions de détail
195. Une banque doit examiner au moins une fois par an les caractéristiques des pertes et l'état d'impayé de chaque pool de risques identifié. Il
doit également examiner le statut des emprunteurs individuels au sein de chaque groupe afin de s'assurer que les expositions continuent d'être
affectées au groupe approprié. Cette exigence peut être satisfaite par l'examen d'un échantillon représentatif d'expositions dans le pool.
(iii) Remplacements
196. Pour les attributions de notation basées sur le jugement d'experts, les banques doivent clairement énoncer les situations dans
lesquelles les agents de la banque peuvent passer outre les résultats du processus de notation, y compris comment et dans quelle mesure ces
dérogations peuvent être utilisées et par qui. Pour les notations basées sur un modèle, la banque doit disposer de lignes directrices et de
processus pour surveiller les cas où le jugement humain a supplanté la notation du modèle, des variables ont été exclues ou des intrants ont été
modifiés. Ces lignes directrices doivent inclure l'identification du personnel responsable de l'approbation de ces dérogations. Les banques doivent
identifier les dérogations et suivre séparément leurs performances.
(iv) Maintenance des données
197. Une banque doit collecter et stocker des données sur les principales caractéristiques des emprunteurs et des facilités de crédit pour fournir
un soutien efficace à son processus interne de mesure et de gestion du risque de crédit, pour permettre à la banque de satisfaire aux autres
exigences du présent document et pour servir de base aux contrôles prudentiels. rapports. Ces données doivent être suffisamment détaillées
pour permettre une réaffectation rétrospective des débiteurs et des facilités aux niveaux, par exemple si la sophistication croissante du système
de notation interne suggère qu'une séparation plus fine des portefeuilles peut être réalisée. En outre, les banques doivent collecter et conserver
des données sur certains aspects de leurs notations internes, comme l'exige le Pilier 3 du présent Cadre.
Pour les expositions sur les entreprises et les banques
198. Les banques doivent conserver des historiques de notation des emprunteurs et des garants reconnus, y compris la notation depuis
que l'emprunteur/le garant s'est vu attribuer une note interne, les dates auxquelles les notations ont été attribuées, la méthodologie et les
données clés utilisées pour dériver la notation et la personne/le modèle responsable. L'identité des emprunteurs et des établissements défaillants,
ainsi que le moment et les circonstances de ces défauts, doivent être conservés. Les banques doivent également conserver des données sur les
PD et les taux de défaut réalisés associés aux notations et à la migration des notations afin de suivre le pouvoir prédictif du système de notation
des emprunteurs.
199. Les banques utilisant l'approche IRB avancée doivent également collecter et stocker un historique complet des données sur les
estimations de LGD et d'EAD associées à chaque installation et les données clés utilisées pour dériver l'estimation et la personne/le modèle
responsable. Les banques doivent également collecter des données sur les LGD et les EAD estimés et réalisés associés à chaque facilité en
défaut. Les banques qui reflètent les effets d'atténuation du risque de crédit des garanties/dérivés de crédit par le biais de LGD doivent conserver
des données sur la LGD de la facilité avant et après l'évaluation des effets de la garantie/du dérivé de crédit. Les informations sur les composantes
de la perte ou du recouvrement pour chaque exposition en défaut doivent être conservées, telles que les montants recouvrés, la source de
recouvrement (par exemple, les sûretés, le produit de la liquidation et les garanties), le délai requis pour le recouvrement et les frais administratifs.
200. Les banques sous l'approche fondation qui utilisent des estimations prudentielles sont encouragées à conserver les données
pertinentes (c'estàdire les données sur l'expérience de perte et de recouvrement pour les expositions sur les entreprises sous l'approche
fondation, les données sur les pertes réalisées pour les banques utilisant les critères de classement prudentiels).
Pour les expositions de détail
201. Les banques doivent conserver les données utilisées dans le processus d'allocation des expositions aux pools, y compris les
données sur les caractéristiques de risque des emprunteurs et des transactions utilisées directement ou par l'utilisation d'un modèle, ainsi que
les données sur les défauts de paiement. Les banques doivent également conserver des données sur les PD, LGD et EAD estimées, associées aux pools
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 89
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d'expositions. Pour les expositions en défaut, les banques doivent conserver les données sur les pools auxquels l'exposition a été affectée au
cours de l'année précédant le défaut et les résultats réalisés sur la LGD et l'EAD.
(v) Tests de résistance utilisés dans l'évaluation de l'adéquation des fonds propres
202. Une banque NI doit avoir mis en place de solides processus de test de résistance à utiliser dans l'évaluation de l'adéquation des fonds
propres. Les tests de résistance doivent impliquer l'identification d'événements possibles ou de changements futurs dans les conditions
économiques qui pourraient avoir des effets défavorables sur les expositions de crédit d'une banque et l'évaluation de la capacité de la banque
à résister à de tels changements. Des exemples de scénarios qui pourraient être utilisés sont (i) les ralentissements économiques ou
industriels ; (ii) les événements de risque de marché ; et (iii) les conditions de liquidité.
203. En plus des tests plus généraux décrits cidessus, la banque doit effectuer un test de résistance au risque de crédit pour évaluer
l'effet de certaines conditions spécifiques sur ses exigences de fonds propres réglementaires NI. Le critère à employer serait celui choisi par la
banque, sous réserve d'un contrôle prudentiel. Le critère à utiliser doit être significatif et raisonnablement conservateur. Les banques
individuelles peuvent développer différentes approches pour entreprendre cette exigence de test de résistance, en fonction de leur situation. A
cet effet, l'objectif n'est pas d'obliger les banques à envisager les pires scénarios. Le test de résistance de la banque dans ce contexte devrait
toutefois tenir compte au moins de l'effet de scénarios de récession modérée. Dans ce cas, un exemple pourrait être d'utiliser deux trimestres
consécutifs de croissance nulle pour évaluer l'effet sur les PD, LGD et EAD de la banque, en tenant compte – de manière prudente – de la
diversification internationale de la banque.
204. Quelle que soit la méthode utilisée, la banque doit tenir compte des sources d'information suivantes. Premièrement, les données
propres à une banque doivent permettre d'estimer la migration des notations d'au moins certaines de ses expositions. Deuxièmement, les
banques devraient tenir compte des informations sur l'impact d'une moindre détérioration de l'environnement du crédit sur les notations d'une
banque, en donnant des informations sur l'effet probable de circonstances de crise plus importantes. Troisièmement, les banques devraient
évaluer les preuves de la migration des notations dans les notations externes. Cela inclurait la banque faisant largement correspondre ses
compartiments aux catégories de notation.
205. Les superviseurs nationaux peuvent souhaiter donner des orientations à leurs banques sur la manière dont les tests à utiliser à
cette fin doivent être conçus, en gardant à l'esprit les conditions prévalant dans leur juridiction. Les résultats du test de résistance peuvent
n'indiquer aucune différence dans le capital calculé selon les règles IRB décrites dans cette section du présent Cadre si la banque utilise déjà
une telle approche pour ses besoins de notation interne. Lorsqu'une banque opère sur plusieurs marchés, elle n'a pas besoin de tester ces
conditions sur tous ces marchés, mais une banque devrait stresser les portefeuilles contenant la grande majorité de ses expositions totales.
5. Gouvernance d'entreprise et surveillance
(je) Gouvernance d'entreprise
206. Tous les aspects importants des processus de notation et d'estimation doivent être approuvés par le conseil d'administration de la
banque ou un comité désigné par celuici et la haute direction.24 Ces parties doivent posséder une compréhension générale du système de
notation des risques de la banque et une compréhension détaillée de ses rapports de gestion associés. La haute direction doit aviser le conseil
d'administration ou l'un de ses comités désignés des changements importants ou des exceptions aux politiques établies qui auront une
incidence importante sur les opérations du système de notation de la banque.
24
Cette norme fait référence à une structure de gestion composée d'un conseil d'administration et d'une haute direction. Le Comité est
conscient qu'il existe des différences importantes dans les cadres législatifs et réglementaires d'un pays à l'autre en ce qui concerne les
fonctions du conseil d'administration et de la haute direction. Dans certains pays, le conseil d'administration a pour fonction principale, voire
exclusive, de contrôler l'organe exécutif (direction générale, direction générale) afin de s'assurer que celuici remplit ses missions. Pour cette
raison, dans certains cas, il est appelé conseil de surveillance. Cela signifie que le conseil n'a pas de fonctions exécutives. Dans d'autres
pays, en revanche, le conseil d'administration a une compétence plus large dans la mesure où il fixe le cadre général de la gestion de la
banque. En raison de ces différences, les notions de conseil d'administration et de direction générale sont utilisées dans cet article non pas
pour identifier des constructions juridiques, mais plutôt pour désigner deux fonctions décisionnelles au sein d'une banque.
90 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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207. La haute direction doit également avoir une bonne compréhension de la conception et du fonctionnement du système
de notation et doit approuver les différences importantes entre la procédure établie et la pratique réelle.
La direction doit également s'assurer, de façon continue, du bon fonctionnement du système de cotation.
La direction et le personnel de la fonction de contrôle du crédit doivent se réunir régulièrement pour discuter de la performance du
processus de notation, des domaines nécessitant des améliorations et de l'état des efforts visant à améliorer les lacunes
précédemment identifiées.
profil de risque
Les pnar
otations
grade,
internes
la migration
doivent
entre
être
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un
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élément
l'estimation
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reporting
paramètres
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pertinents
parties. 2p08.
ar gLrade
es rapports
et la comparaison
doivent inclure
des le
taux de défaut réalisés (et des LGD et EAD pour les banques utilisant des approches avancées) par rapport aux attentes. La
fréquence des rapports peut varier selon l'importance et le type d'information et le niveau du destinataire.
(ii) Contrôle du risque de crédit
209. Les banques doivent disposer d'unités indépendantes de contrôle du risque de crédit qui sont responsables de la
conception ou de la sélection, de la mise en œuvre et de la performance de leurs systèmes de notation interne. L'unité ou les unités
doivent être fonctionnellement indépendantes du personnel et des fonctions de gestion responsables de l'origine des expositions.
Les domaines de responsabilité doivent inclure :
• Tester et surveiller les notes internes ;
• Production et analyse de rapports de synthèse du système de notation de la banque, comprenant des données
historiques de défaut triées par note au moment du défaut et un an avant le défaut, des analyses de migration de note
et un suivi des tendances des principaux critères de notation ;
• Mettre en œuvre des procédures pour vérifier que les définitions de notation sont appliquées de manière cohérente dans
tous les départements et zones géographiques ;
• Examiner et documenter tout changement apporté au processus de notation, y compris les raisons des changements ;
et
• Examiner les critères de notation pour évaluer s'ils restent prédictifs du risque. Les modifications apportées au processus de
notation, aux critères ou aux paramètres de notation individuels doivent être documentées et conservées pour examen par les
superviseurs.
210. Une unité de contrôle du risque de crédit doit participer activement au développement, à la sélection, à la mise en œuvre et à
la validation des modèles de notation. Il doit assumer les responsabilités de surveillance et de supervision de tous les modèles
utilisés dans le processus de notation, et la responsabilité ultime de l'examen continu et des modifications des modèles de notation.
(iii) Audit interne et externe
211. L'audit interne ou une fonction tout aussi indépendante doit examiner au moins une fois par an le système de notation
de la banque et ses opérations, y compris les opérations de la fonction de crédit et l'estimation des PD, LGD et EAD. Les domaines
d'examen comprennent le respect de toutes les exigences minimales applicables. L'audit interne doit documenter ses conclusions.
6. Utilisation des notations internes
212. Les notations internes et les estimations de défaut et de perte doivent jouer un rôle essentiel dans les fonctions
d'approbation de crédit, de gestion des risques, d'allocation de capital interne et de gouvernance d'entreprise des banques utilisant
l'approche IRB. Les systèmes de notation et les estimations conçus et mis en œuvre exclusivement dans le but de se qualifier pour
l'approche IRB et utilisés uniquement pour fournir des informations IRB ne sont pas acceptables. Il est reconnu que les banques
n'utiliseront pas nécessairement exactement les mêmes estimations à la fois pour l'IRB et à toutes fins internes.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 91
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Par exemple, les modèles de tarification sont susceptibles d'utiliser des PD et des LGD pertinentes pour la durée de vie de l'actif. Lorsqu'il existe
de telles différences, une banque doit les documenter et démontrer leur caractère raisonnable au superviseur.
213. Une banque doit avoir des antécédents crédibles dans l'utilisation des informations des notations internes. Ainsi, la banque doit démontrer
qu'elle a utilisé un système de notation globalement conforme aux exigences minimales énoncées dans le présent document pendant au moins
les trois années précédant la qualification. Une banque utilisant l'approche NI avancée doit démontrer qu'elle a estimé et utilisé les LGD et les
EAD d'une manière qui est globalement conforme aux exigences minimales pour l'utilisation de ses propres estimations des LGD et des EAD
pendant au moins les trois années précédant la qualification. Les améliorations apportées au système de notation d'une banque ne rendront pas
une banque non conforme à l'exigence de trois ans.
sept.
Quantification des risques
(je) Exigences globales pour l'estimation
Structure et intention
banques utilisant
Cette
les
section
approches
traite dNes
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pour
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les entreprises
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et les banques ou pour chaque portefeuille dans le cas des expositions sur la clientèle de détail.
215. à l'exception
Les estimations
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234.
un Laes
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xigences
les emprunteurs
spécifiques
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catégorie
de la PD sont fournies aux paragraphes 229 à 234. Les banques selon l'approche avancée doivent estimer une LGD appropriée (telle que définie
aux paragraphes 235 à 240) pour chacune de leurs facilités (ou pools de détail). Pour les expositions soumises à l'approche avancée, les
banques doivent également estimer une EAD moyenne pondérée par défaut appropriée à long terme pour chacune de leurs facilités, comme
défini aux paragraphes 241 et 242. Les exigences spécifiques à l'estimation de l'EAD figurent aux paragraphes 241 à 251. Pour les entreprises
et les banques expositions, les banques qui ne satisfont pas aux exigences d'autoestimation de l'EAD ou de la LGD, cidessus, doivent utiliser
les estimations prudentielles de ces paramètres. Les normes d'utilisation de ces estimations sont énoncées aux paragraphes 280 à 297.
216. Les estimations internes de PD, LGD et EAD doivent intégrer toutes les données, informations et méthodes pertinentes, matérielles
et disponibles. Une banque peut utiliser des données internes et des données provenant de sources externes (y compris des données
regroupées). Lorsque des données internes ou externes sont utilisées, la banque doit démontrer que ses estimations sont représentatives d'une
expérience à long terme.
217. Les estimations doivent être fondées sur l'expérience historique et des preuves empiriques, et non basées uniquement sur des
considérations subjectives ou de jugement. Toute modification des pratiques de crédit ou du processus de poursuite des recouvrements sur la
période d'observation doit être prise en compte. Les estimations d'une banque doivent refléter rapidement les implications des progrès techniques
et des nouvelles données et autres informations, dès qu'elles sont disponibles. Les banques doivent revoir leurs estimations annuellement ou
plus fréquemment.
218. La population d'expositions représentée dans les données utilisées pour l'estimation, les normes de prêt en vigueur lorsque les
données ont été générées et d'autres caractéristiques pertinentes doivent être étroitement liées ou au moins comparables à celles des expositions
et des normes de la banque. La banque doit également démontrer que les conditions économiques ou de marché qui soustendent les données
sont pertinentes par rapport aux conditions actuelles et prévisibles. Pour les estimations de LGD et d'EAD, les banques doivent tenir compte des
paragraphes 235 à 251. Le nombre d'expositions dans l'échantillon et la période de données utilisée pour la quantification doivent être suffisants
pour donner à la banque confiance dans l'exactitude et la robustesse de ses estimations. La technique d'estimation doit bien fonctionner dans
les tests hors échantillon.
25
Les banques ne sont pas tenues de produire leurs propres estimations de PD pour les expositions soumises à l'approche prudentielle de classement.
92 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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219. En général, les estimations des PD, des LGD et des EAD sont susceptibles d'impliquer des erreurs imprévisibles.
Afin d'éviter un excès d'optimisme, une banque doit ajouter à ses estimations une marge de prudence liée à la marge
d'erreur probable. Lorsque les méthodes et les données sont moins satisfaisantes et que la plage d'erreurs probable est
plus grande, la marge de prudence doit être plus grande. Les contrôleurs peuvent autoriser une certaine flexibilité dans
l'application des normes requises pour les données collectées avant la date de mise en œuvre du présent cadre.
Toutefois, dans de tels cas, les banques doivent démontrer à leurs autorités de contrôle que les ajustements appropriés ont
été effectués pour parvenir à une large équivalence avec les données sans une telle flexibilité. Les données collectées au
delà de la date de mise en œuvre doivent être conformes aux normes minimales, sauf indication contraire.
(ii) Définition du défaut
220. Un défaut est considéré comme s'étant produit à l'égard d'un débiteur particulier lorsque l'un ou l'autre ou les deux
événements suivants se sont produits.
• La banque considère qu'il est peu probable que le débiteur s'acquitte intégralement de ses obligations de crédit envers le groupe
bancaire, sans recours par la banque à des actions telles que la réalisation de la sûreté (si elle est détenue).
• Le débiteur est en souffrance depuis plus de 90 jours sur toute obligation de crédit importante envers le groupe
bancaire.26 Les découverts seront considérés comme en souffrance une fois que le client a dépassé une limite
conseillée ou a été informé d'une limite inférieure à l'encours actuel.
221. Les éléments à prendre en compte comme indices d'une improbabilité de paiement sont notamment :
• La banque met l'obligation de crédit sur le statut non couru.
• La banque constitue une charge ou une provision spécifique au compte résultant d'une baisse significative perçue
de la qualité du crédit après que la banque a pris l'exposition.
• La banque vend l'obligation de crédit avec une perte économique importante liée au crédit.
• La banque consent à une restructuration en difficulté de l'obligation de crédit lorsqu'elle est susceptible d'entraîner
une diminution de l'obligation financière causée par l'annulation ou le report important du principal, des intérêts
ou (le cas échéant) des frais.
• La banque a déposé une demande de mise en faillite du débiteur ou une ordonnance similaire concernant l'obligation de
crédit du débiteur envers le groupe bancaire.
• Le débiteur a demandé ou a été placé en faillite ou en protection similaire lorsque cela éviterait ou retarderait le
remboursement de l'obligation de crédit au groupe bancaire.
222. Les superviseurs nationaux fourniront des orientations appropriées sur la manière dont ces éléments doivent être
mises en œuvre et suivies.
223. Pour les expositions sur la clientèle de détail, la définition du défaut peut être appliquée au niveau d'une facilité
particulière plutôt qu'au niveau du débiteur. En tant que tel, le défaut d'un emprunteur sur une obligation n'oblige pas une
banque à traiter toutes les autres obligations envers le groupe bancaire comme étant en défaut.
224. Une banque doit enregistrer les défauts réels sur les catégories d'expositions NI en utilisant cette définition de référence.
Une banque doit également utiliser la définition de référence pour son estimation des PD et (le cas échéant) des LGD et des
EAD. Pour parvenir à ces estimations, une banque peut utiliser des données externes à sa disposition qui ne sont pas elles
mêmes conformes à cette définition, sous réserve des exigences énoncées au paragraphe 230. Toutefois, dans de tels cas, les
banques doivent démontrer à leurs autorités de contrôle que les ajustements appropriés à les données ont été faites pour
atteindre une large équivalence avec la définition de référence. Cette même condition s'appliquerait à toutes les données
internes utilisées jusqu'à la mise en œuvre de ce Cadre. Les données internes (y compris celles mutualisées par les banques) utilisées dans ce
26
Dans le cas des obligations de vente au détail et d'ESP, pour le chiffre de 90 jours, un superviseur peut substituer un chiffre allant jusqu'à 180 jours
pour différents produits, s'il le juge approprié aux conditions locales.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 93
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les estimations audelà de la date de mise en œuvre du présent Cadre doivent être cohérentes avec la définition de référence.
225. Si la banque considère que le statut d'une exposition antérieurement en défaut est tel qu'aucun déclencheur de la définition
de référence ne s'applique plus, la banque doit noter l'emprunteur et estimer la LGD comme elle le ferait pour une facilité non en
défaut. Si la définition de référence devait être déclenchée par la suite, un deuxième défaut serait réputé s'être produit.
(iii) Revieillissement
226. La banque doit avoir des politiques clairement articulées et documentées en ce qui concerne le décompte des jours de
retard, en particulier en ce qui concerne le vieillissement des facilités et l'octroi de prolongations, de reports, de renouvellements et de
réécritures sur les comptes existants. Au minimum, la politique de revieillissement doit inclure : (a) les autorités d'approbation et les
exigences en matière de rapports ; (b) l'âge minimum d'une installation avant qu'elle ne soit éligible au revieillissement ; (c) les niveaux
de délinquance des établissements éligibles au revieillissement ; d) nombre maximal de revieillissements par installation ; et e) une
réévaluation de la capacité de remboursement de l'emprunteur. Ces politiques doivent être appliquées de manière cohérente dans le
temps et doivent étayer le « test d'utilisation » (c'estàdire que si une banque traite une exposition vieillie de la même manière que
d'autres expositions en souffrance audelà du point de coupure des retards de paiement, cette exposition doit être enregistré comme
en défaut aux fins de l'IRB).
(iv) Traitement des découverts
227. Les découverts autorisés doivent faire l'objet d'une limite de crédit fixée par la banque et portée à la connaissance du client.
Tout dépassement de cette limite doit être surveillé ; si le compte n'était pas ramené sous la limite après 90 à 180 jours (sous réserve
du déclencheur de retard applicable), il serait considéré comme en défaut. Les découverts non autorisés seront associés à une limite
zéro aux fins de l'IRB. Ainsi, les jours de retard commencent dès qu'un crédit est accordé à un client non autorisé ; si ce crédit n'était
pas remboursé dans un délai de 90 à 180 jours, l'exposition serait considérée en défaut. Les banques doivent mettre en place des
politiques internes rigoureuses pour évaluer la solvabilité des clients qui se voient proposer des comptes à découvert.
(v) Définition de la perte pour toutes les classes d'actifs
228. La définition de la perte utilisée pour estimer la LGD est la perte économique. Lors de la mesure de la perte économique,
tous les facteurs pertinents doivent être pris en compte. Cela doit inclure les effets d'actualisation importants et les coûts directs et
indirects importants associés au recouvrement de l'exposition. Les banques ne doivent pas simplement mesurer la perte enregistrée
dans les registres comptables, mais elles doivent pouvoir comparer les pertes comptables et économiques. L'expertise de la banque
en matière de restructuration et de recouvrement influence considérablement ses taux de recouvrement et doit être reflétée dans ses
estimations de LGD, mais les ajustements des estimations pour cette expertise doivent être prudents jusqu'à ce que la banque dispose
de preuves empiriques internes suffisantes de l'impact de son expertise.
(v) Exigences spécifiques à l'estimation de PD
Expositions entreprises et banques
terme lors d229.
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banques
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utiliser une oàu
long
plusieurs des trois techniques spécifiques décrites cidessous : l'expérience de défaut interne, la mise en correspondance avec des
données externes et les modèles statistiques de défaut.
230. Les banques peuvent avoir une technique principale et en utiliser d'autres comme point de comparaison et ajustement
potentiel. Les superviseurs ne seront pas satisfaits par l'application mécanique d'une technique sans analyse à l'appui. Les banques
doivent reconnaître l'importance des considérations de jugement dans la combinaison des résultats des techniques et dans l'ajustement
des limites des techniques et des informations.
94 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Une banque peut utiliser des données sur l'expérience de défaut interne pour l'estimation de la PD. Une banque doit
démontrer dans son analyse que les estimations reflètent les normes de souscription et toute différence entre le système
de notation qui a généré les données et le système de notation actuel. Lorsque seules des données limitées sont
disponibles, ou lorsque les normes de souscription ou les systèmes de notation ont changé, la banque doit ajouter une
plus grande marge de prudence dans son estimation de la PD. L'utilisation de données regroupées entre les institutions
peut également être reconnue. Une banque doit démontrer que les systèmes et critères de notation interne des autres
banques du pool sont comparables aux siens.
• Les banques peuvent associer ou cartographier leurs notes internes à l'échelle utilisée par un organisme externe
d'évaluation du crédit ou une institution similaire, puis attribuer le taux de défaut observé pour le
les notes de l'institution externe aux notes de la banque. Les correspondances doivent être basées sur une comparaison
des critères de notation interne avec les critères utilisés par l'institution externe et sur une comparaison des notations
internes et externes des éventuels emprunteurs communs. Les biais ou les incohérences dans l'approche cartographique
ou les données sousjacentes doivent être évités. Les critères de l'institution externe qui soustendent les données utilisées
pour la quantification doivent être orientés vers le risque de l'emprunteur et non refléter les caractéristiques de la
transaction. L'analyse de la banque doit inclure une comparaison des définitions de défaut utilisées, sous réserve des
exigences des paragraphes 220 à 225. La banque doit documenter la base de la mise en correspondance.
• Une banque est autorisée à utiliser une moyenne simple des estimations de probabilité de défaut pour des emprunteurs
individuels d'une catégorie donnée, lorsque ces estimations sont tirées de modèles statistiques de prévision de défaut.
L'utilisation par la banque de modèles de probabilité de défaut à cette fin doit respecter les normes précisées au
paragraphe 185.
Pour toutes les méthodes cidessus, les banques doivent estimer une PD pour chaque niveau de notation sur la base du taux de
défaut moyen historique observé sur un an, qui est une moyenne simple basée sur le nombre de débiteurs (pondéré par le nombre).
Les approches de pondération, telles que la pondération EAD, ne sont pas autorisées.
231. Indépendamment du fait qu'une banque utilise des sources de données externes, internes ou regroupées, ou une
combinaison des trois, pour son estimation de PD, la durée de la période d'observation historique sousjacente utilisée doit être d'au
moins cinq ans pour au moins une source. Si la période d'observation disponible s'étend sur une période plus longue pour n'importe
quelle source, et que ces données sont pertinentes et matérielles, cette période plus longue doit être utilisée. Les données doivent
inclure un mélange représentatif de bonnes et de mauvaises années.
Expositions de détail
232. Compte tenu de la base propre à chaque banque d'affectation des expositions aux paniers, les banques doivent considérer
les données internes comme la principale source d'information pour estimer les caractéristiques des pertes. Les banques sont autorisées
à utiliser des données externes ou des modèles statistiques pour la quantification à condition qu'un lien solide puisse être démontré
entre: (a) le processus de la banque d'affectation des expositions à un panier et le processus utilisé par la source de données externe;
et (b) entre le profil de risque interne de la banque et la composition des données externes. Dans tous les cas, les banques doivent
utiliser toutes les sources de données pertinentes et matérielles comme points de comparaison.
233. Une méthode permettant de dériver des estimations moyennes à long terme de la PD et des taux de perte moyens pondérés par
défaut en cas de défaut (tels que définis au paragraphe 235) pour le commerce de détail serait fondée sur une estimation du taux de
perte à long terme attendu. Une banque peut (i) utiliser une estimation appropriée de la PD pour déduire le taux de perte moyen
pondéré par défaut à long terme en cas de défaut, ou (ii) utiliser un taux de perte moyen pondéré par défaut à long terme en cas de
défaut pour déduire la PD appropriée. Dans les deux cas, il est important de reconnaître que la LGD utilisée pour le calcul du capital
NI ne peut être inférieure au taux de perte moyen pondéré par défaut à long terme en cas de défaut et doit être cohérente avec les
concepts définis au paragraphe 235.
234. Indépendamment du fait que les banques utilisent des sources de données externes, internes ou regroupées, ou une
combinaison des trois, pour leur estimation des caractéristiques des pertes, la durée de la période d'observation historique sous
jacente utilisée doit être d'au moins cinq ans. Si l'observation disponible couvre une période plus longue pour n'importe quelle source,
et que ces données sont pertinentes, cette période plus longue doit être utilisée. Les données doivent inclure un mélange représentatif
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 95
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des bonnes et des mauvaises années du cycle économique pertinentes pour le portefeuille. La PD doit être basée sur le taux de défaut
moyen historique observé sur un an.
(vii) Exigences spécifiques aux propres estimations de LGD
Normes pour toutes les classes d'actifs
235. Une banque doit estimer une LGD pour chaque facilité qui vise à refléter les conditions de ralentissement économique lorsque cela
est nécessaire pour saisir les risques pertinents. Cette LGD ne peut pas être inférieure au taux de perte moyen pondéré par défaut à long
terme en cas de défaut calculé sur la base de la perte économique moyenne de tous les défauts observés dans la source de données
pour ce type d'installation. En outre, une banque doit tenir compte de la possibilité que la LGD de la facilité soit supérieure à la moyenne
pondérée par défaut pendant une période où les pertes sur créances sont nettement supérieures à la moyenne. Pour certains types
d'expositions, la gravité des pertes peut ne pas présenter une telle variabilité cyclique et les estimations de LGD peuvent ne pas différer
sensiblement de la moyenne pondérée par défaut à long terme. Cependant, pour d'autres expositions, cette variabilité cyclique de la
gravité des pertes peut être importante et les banques devront l'intégrer dans leurs estimations de LGD. À cette fin, les banques peuvent
se référer aux moyennes des gravités des pertes observées pendant les périodes de pertes de crédit élevées, à des prévisions fondées
sur des hypothèses suffisamment prudentes ou à d'autres méthodes similaires. Des estimations appropriées de la LGD pendant les
périodes de pertes de crédit élevées peuvent être formées à l'aide de données internes et/ou externes. Les superviseurs continueront de
surveiller et d'encourager le développement d'approches appropriées à ce problème.
236. Dans son analyse, la banque doit tenir compte de l'étendue de toute dépendance entre le risque de l'emprunteur et celui du
collatéral ou du fournisseur de collatéral. Les cas où il existe un degré important de dépendance doivent être traités avec prudence. Toute
asymétrie de devises entre l'obligation sousjacente et la garantie doit également être prise en compte et traitée avec prudence dans
l'évaluation de la LGD par la banque.
237. Les estimations de LGD doivent être fondées sur les taux de recouvrement historiques et, le cas échéant, ne doivent pas être
uniquement basées sur la valeur de marché estimée de la garantie. Cette exigence reconnaît l'incapacité potentielle des banques à
prendre le contrôle de leur garantie et à la liquider rapidement. Dans la mesure où les estimations de LGD tiennent compte de l'existence
de garanties, les banques doivent établir des exigences internes en matière de gestion des garanties, de procédures opérationnelles, de
sécurité juridique et de processus de gestion des risques qui sont généralement conformes à celles requises pour l'approche NI fondation.
238. Reconnaissant le principe selon lequel les pertes réalisées peuvent parfois dépasser systématiquement les niveaux attendus,
la LGD attribuée à un actif en défaut devrait refléter la possibilité que la banque doive comptabiliser des pertes supplémentaires inattendues
pendant la période de recouvrement. Pour chaque actif en défaut, la banque doit également construire sa meilleure estimation de la perte
attendue sur cet actif en fonction des circonstances économiques actuelles et de l'état des installations. Le montant, le cas échéant, par
lequel la LGD sur un actif en défaut dépasse la meilleure estimation de la perte attendue de la banque sur l'actif représente l'exigence de
capital pour cet actif, et devrait être fixé par la banque sur une base sensible au risque conformément aux paragraphes 53 et 118 à 120.
Les cas où la meilleure estimation de la perte attendue sur un actif en défaut est inférieur à la somme des provisions spécifiques et des
imputations partielles sur cet actif feront l'objet d'un contrôle prudentiel et doivent être justifiés par la banque.
Normes supplémentaires pour les expositions sur les entreprises
239. Les estimations de LGD doivent être basées sur une période minimale d'observation des données qui devrait idéalement
couvrir au moins un cycle économique complet mais ne doit en aucun cas être inférieure à une période de sept ans pour au moins une
source. Si la période d'observation disponible s'étend sur une période plus longue pour n'importe quelle source et que les données sont
pertinentes, cette période plus longue doit être utilisée.
Normes supplémentaires pour les expositions sur la clientèle de détail
240. La période minimale d'observation des données pour les estimations de LGD pour les expositions de détail est de cinq ans. La
moins une banque possède de données, plus elle doit être prudente dans son estimation.
96 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(viii) Exigences spécifiques aux estimations de l'EAD propre
Normes pour toutes les classes d'actifs
241. L'EAD pour un élément au bilan ou hors bilan est définie comme l'exposition brute attendue de la facilité en cas de défaillance du
débiteur. Pour les éléments du bilan, les banques doivent estimer l'EAD à au moins le montant actuellement prélevé, sous réserve de la prise
en compte des effets de la compensation au bilan comme spécifié dans l'approche fondation. Les exigences minimales pour la comptabilisation
de la compensation sont les mêmes que celles de l'approche fondation. Les exigences minimales supplémentaires pour l'estimation interne de
l'EAD dans le cadre de l'approche avancée se concentrent donc sur l'estimation de l'EAD pour les éléments hors bilan (à l'exclusion des
transactions qui exposent les banques au risque de crédit de contrepartie tel que défini dans les normes de risque de crédit de contrepartie).
Les banques utilisant l'approche avancée doivent avoir établi des procédures en place pour l'estimation de l'EAD pour les éléments hors bilan.
Cellesci doivent préciser les estimations d'EAD à utiliser pour chaque type d'installation. Les estimations de l'EAD par les banques doivent
refléter la possibilité de prélèvements supplémentaires par l'emprunteur jusqu'au moment où un événement de défaut est déclenché et après
celuici. Lorsque les estimations de l'EAD diffèrent selon le type d'installation, la délimitation de ces installations doit être claire et sans ambiguïté.
doit s'agir d'une
Dans
estimation
le cadre dde
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éligible.
sur une
242. Il
période suffisamment longue, mais avec une marge de prudence appropriée à la marge d'erreur probable de l'estimation. Si l'on peut
raisonnablement s'attendre à une corrélation positive entre la fréquence des défauts et l'ampleur de l'EAD, l'estimation de l'EAD doit intégrer
une plus grande marge de prudence.
De plus, pour les expositions pour lesquelles les estimations de l'EAD sont volatiles au cours du cycle économique, la banque doit utiliser des
estimations de l'EAD appropriées pour un ralentissement économique, si elles sont plus conservatrices que la moyenne à long terme. Pour les
banques qui ont été en mesure de développer leurs propres modèles EAD, cela pourrait être réalisé en tenant compte de la nature cyclique, le
cas échéant, des moteurs de ces modèles. D'autres banques peuvent disposer de suffisamment de données internes pour examiner l'impact
de la ou des récessions précédentes. Cependant, certaines banques peuvent n'avoir que la possibilité de faire un usage prudent des données
externes. En outre, lorsqu'une banque fonde ses estimations sur d'autres mesures de la tendance centrale (telles que la médiane ou une
estimation du centile supérieur) ou uniquement sur des données de « ralentissement », elle doit explicitement confirmer que l'exigence de base
en matière de ralentissement du cadre est satisfaite, c'estàdire la les estimations de la banque ne sont pas inférieures à une estimation
(prudente) de l'EAD moyenne pondérée par défaut à long terme pour des facilités similaires.
243. Les critères par lesquels les estimations de l'EAD sont dérivées doivent être plausibles et intuitifs, et représenter ce que la banque
estime être les principaux moteurs de l'EAD. Les choix doivent être étayés par une analyse interne crédible de la banque. La banque doit être
en mesure de fournir une ventilation de son expérience EAD selon les facteurs qu'elle considère comme les moteurs de l'EAD. Une banque
doit utiliser toutes les informations pertinentes et matérielles dans sa dérivation
des estimations de l'EAD. Pour tous les types de facilités, une banque doit revoir ses estimations d'EAD lorsque de nouvelles informations
importantes sont révélées et au moins une fois par an.
244. La banque doit dûment tenir compte de ses politiques et stratégies spécifiques adoptées en matière de suivi des comptes et de
traitement des paiements. La banque doit également tenir compte de sa capacité et de sa volonté d'empêcher d'autres prélèvements dans des
circonstances autres qu'un défaut de paiement, telles que des violations de clauses restrictives ou d'autres cas de défaillance technique. Les
banques doivent également disposer de systèmes et de procédures adéquats pour surveiller les montants des facilités, l'encours actuel par
rapport aux lignes engagées et les variations de l'encours par emprunteur et par catégorie. La banque doit être en mesure de suivre
quotidiennement les soldes impayés.
245. Les estimations de l'EAD des banques doivent être élaborées selon une approche à horizon fixe de 12 mois ; c'estàdire que pour
chaque observation dans l'ensemble de données de référence, les résultats de défaut doivent être liés aux caractéristiques pertinentes du
débiteur et de la facilité douze mois avant le défaut.
246. Comme indiqué au paragraphe 218, les estimations de l'EAD des banques devraient être fondées sur des données de référence
qui reflètent les caractéristiques du débiteur, de la facilité et des pratiques de gestion de la banque des expositions sur lesquelles les estimations
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 97
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sont appliqués. Conformément à ce principe, les estimations de l'EAD appliquées à des expositions particulières ne doivent
pas être fondées sur des données qui mélangent les effets de caractéristiques disparates ou sur des données provenant
d'expositions qui présentent des caractéristiques différentes (par exemple, même groupe de produits mais différents clients
gérés différemment par la banque). Les estimations doivent être basées sur des segments suffisamment homogènes.
Alternativement, les estimations doivent être basées sur une approche d'estimation qui démêle efficacement l'impact des
différentes caractéristiques présentées dans l'ensemble de données pertinent. Les pratiques qui ne respectent généralement
pas ce principe incluent l'utilisation d'estimations fondées ou partiellement fondées sur :
• Les données sur les PME/ETI sont appliquées aux grandes entreprises débitrices.
• Les données des engagements avec une "petite" disponibilité de limite inutilisée sont appliquées aux installations avec une "grande"
disponibilité de limite inutilisée.
• Les données des débiteurs déjà identifiés comme problématiques à la date de référence sont appliquées aux débiteurs
actuels sans problème connu (par exemple, les clients à la date de référence qui étaient déjà en souffrance, mis sur
liste de surveillance par la banque, soumis à des réductions de limite initiées récemment par la banque, bloqués pour
d'autres prélèvements ou sujets à d'autres types d'activités de recouvrement).
• Données qui ont été affectées par des changements dans la composition des débiteurs en matière d'emprunts et d'autres
produits liés au crédit au cours de la période d'observation, à moins que ces données n'aient été efficacement atténuées pour
ces changements, par exemple en ajustant les données pour éliminer les effets des changements dans la composition des produits .
Les autorités de contrôle doivent s'attendre à ce que les banques démontrent une compréhension détaillée de l'impact
des changements dans la gamme de produits des clients sur les ensembles de données de référence EAD (et les
estimations EAD associées) et que l'impact est non significatif ou a été efficacement atténué dans le cadre du processus
d'estimation de chaque banque. Les analyses des banques à cet égard devraient être activement contestées par les
superviseurs. Une atténuation efficace n'inclurait pas : l'établissement de planchers pour les observations CCF/EAD ;
l'utilisation d'estimations au niveau du débiteur qui ne couvrent pas entièrement les options de transformation de produit
pertinentes ou qui combinent de manière inappropriée des produits aux caractéristiques très différentes (par exemple,
des produits renouvelables et non renouvelables) ; n'ajustant que les observations « matérielles » affectées par la
transformation du produit ; excluant généralement les observations affectées par la transformation du profil de produit
(faisant ainsi potentiellement fausser la représentativité des données restantes).
247. Une caractéristique bien connue de l'approche du facteur limite non tiré (ULF)27 couramment utilisée pour estimer les
CCF est la région d'instabilité associée aux installations qui sont presque entièrement tirées à la date de référence. Les
banques doivent s'assurer que leurs estimations d'EAD sont effectivement mises en quarantaine des effets potentiels de
cette région d'instabilité.
• Une approche acceptable pourrait inclure l'utilisation d'une méthode d'estimation autre que l'approche ULF qui
évite le problème d'instabilité en n'utilisant pas de limites non tracées potentiellement petites qui pourraient
approcher zéro dans le dénominateur ou, le cas échéant, le passage à une méthode autre que l'ULF comme
région de l'instabilité est approchée, par exemple un facteur limite, un facteur d'équilibre ou un facteur d'utilisation
supplémentaire . de
27
Un type spécifique de CCF, où les prélèvements supplémentaires prévus dans la période précédant le défaut sont exprimés en pourcentage
de la limite non tirée qui reste disponible pour le débiteur selon les termes et conditions d'une facilité, c'estàdire EAD=B0=Bt+ULF[ Lt –Bt],
où B0 = solde de la facilité à la date du défaut ; Bt = solde courant (pour l'EAD prévue) ou solde à la date de référence (pour l'EAD constatée) ;
Lt = limite actuelle (pour l'EAD prévue) ou limite à la date de référence (pour l'EAD réalisée/observée).
28
Un facteur de limite (LF) est un type spécifique de CCF, où le solde prévu en cas de défaut est exprimé en pourcentage de la limite totale
disponible pour le débiteur selon les termes et conditions d'une facilité de crédit, c'estàdire EAD = B0 = LF [Lt], où B0 = solde de la facilité à
la date du défaut ; Bt = solde courant (pour l'EAD prévue) ou solde à la date de référence (pour l'EAD constatée) ; Lt = limite actuelle (pour
l'EAD prévue) ou limite à la date de référence (pour l'EAD réalisée/observée). Un facteur d'équilibre (BF) est un type spécifique de CCF, dans
lequel le solde prévu en cas de défaut est exprimé en pourcentage du solde courant qui a été tiré dans le cadre d'une facilité de crédit, c'est
àdire EAD=B0=BF[Bt]. Un facteur d'utilisation supplémentaire (AUF) est un type spécifique de CCF, où les prélèvements supplémentaires
prévus dans la période précédant le défaut sont exprimés en pourcentage de la limite totale disponible pour le débiteur en vertu des termes
et conditions d'une facilité de crédit, c'estàdire EAD = B0 = Bt + AUF[Lt].
98 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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d'autres actions, laisse ouverte la manière de développer des estimations appropriées de l'EAD à appliquer aux expositions dans
la région d'instabilité.
• Les approches courantes mais inefficaces pour atténuer ce problème comprennent les données de référence de plafonnement
et de plancher (par exemple, les CCF observés à 100 % et zéro respectivement) ou l'omission des observations jugées affectées.
248. Les données de référence EAD ne doivent pas être plafonnées à l'encours du principal ou aux limites des facilités.
Les intérêts courus, les autres paiements dus et les dépassements de limites doivent être inclus dans les données de référence EAD.
249. Pour les transactions qui exposent les banques au risque de crédit de contrepartie, les estimations de l'EAD doivent respecter les
exigences énoncées dans les normes de risque de contrepartie.
Normes supplémentaires pour les expositions sur les entreprises
250. Les estimations de l'EAD doivent être basées sur une période qui doit idéalement couvrir un cycle économique complet mais ne
doit en aucun cas être inférieure à une période de sept ans. Si la période d'observation disponible s'étend sur une période plus longue pour
n'importe quelle source et que les données sont pertinentes, cette période plus longue doit être utilisée. Les estimations de l'EAD doivent être
calculées à l'aide d'une moyenne pondérée par défaut et non d'une moyenne pondérée dans le temps.
Normes supplémentaires pour les expositions sur la clientèle de détail
251. La période minimale d'observation des données pour les estimations de l'EAD pour les expositions au commerce de détail est de
cinq ans. Moins une banque dispose de données, plus elle doit être prudente dans son estimation. Une banque n'a pas besoin d'accorder la
même importance aux données historiques si elle peut démontrer à son autorité de contrôle que des données plus récentes sont un meilleur
prédicteur des prélèvements.
(ix) Exigences minimales pour évaluer l'effet des garanties et des dérivés de crédit
Normes pour les expositions des entreprises où les propres estimations de LGD sont utilisées et normes pour le commerce de détail
expositions
Garanties
252. Lorsqu'une banque utilise ses propres estimations de LGD, elle peut refléter l'effet d'atténuation des risques des garanties par un
ajustement des estimations de PD ou de LGD. L'option d'ajustement des LGD n'est disponible que pour les banques qui ont été autorisées à
utiliser leurs propres estimations internes de LGD. Pour les expositions sur la clientèle de détail, lorsqu'il existe des garanties, soit à l'appui
d'une obligation individuelle, soit d'un ensemble d'expositions, une banque peut refléter l'effet de réduction du risque soit par le biais de ses
estimations de PD ou de LGD, à condition que cela soit fait de manière cohérente. En adoptant l'une ou l'autre technique, une banque doit
adopter une approche cohérente, à la fois entre les types de garanties et dans le temps.
253. Dans tous les cas, tant l'emprunteur que tous les garants reconnus doivent se voir attribuer une cote d'emprunteur au départ et
de façon continue. Une banque doit respecter toutes les exigences minimales pour l'attribution des notations d'emprunteur énoncées dans le
présent document, y compris le suivi régulier de l'état du garant ainsi que sa capacité et sa volonté d'honorer ses obligations. Conformément
aux exigences des paragraphes 198 et 199, une banque doit conserver toutes les informations pertinentes sur l'emprunteur en l'absence de
la garantie et du garant. Dans le cas des garanties de détail, ces exigences s'appliquent également à l'affectation d'une exposition à un panier
et à l'estimation de PD.
254. En aucun cas, la banque ne peut attribuer à l'exposition garantie une PD ou une LGD ajustée telle que la pondération ajustée du
risque soit inférieure à celle d'une exposition directe comparable sur le garant. Ni les critères ni les processus de notation ne sont autorisés à
prendre en compte les éventuels effets favorables d'une corrélation attendue imparfaite entre les événements de défaut de l'emprunteur et du
garant aux fins des exigences réglementaires en matière de capital minimum. Ainsi, la pondération ajustée du risque ne doit pas refléter
l'atténuation du risque de « double défaut ».
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 99
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255. Si la banque applique l'approche standard aux expositions directes sur le garant, la garantie ne peut être comptabilisée qu'en
traitant la partie couverte de l'exposition comme une exposition directe sur le garant selon l'approche standard. De même, si la banque
applique l'approche FIRB aux expositions directes sur le garant, la garantie ne peut être comptabilisée qu'en appliquant l'approche F
IRB à la partie couverte de l'exposition. Alternativement, les banques peuvent choisir de ne pas comptabiliser l'effet des garanties sur
leurs expositions.
Garants éligibles et garanties
256. Il n'y a aucune restriction sur les types de garants éligibles. La banque doit cependant avoir clairement
des critères précis pour les types de garants qu'il reconnaîtra aux fins du capital réglementaire.
257. La garantie doit être constatée par écrit, non annulable de la part du garant, en vigueur jusqu'au règlement intégral de la
dette (dans la mesure du montant et de la teneur de la garantie) et opposable au garant dans une juridiction où le garant a des biens
pour saisir et faire exécuter un jugement. La garantie doit également être inconditionnelle ; il ne devrait pas y avoir de clause dans le
contrat de protection échappant au contrôle direct de la banque qui pourrait empêcher le fournisseur de la protection d'être obligé de
payer en temps opportun si la contrepartie d'origine n'effectue pas le(s) paiement(s) dû(s).
Toutefois, à titre d'exception aux fins des propres estimations de l'EAD dans le cadre de l'AIRB, les garanties qui ne couvrent que les
pertes restantes après que la banque a d'abord poursuivi le débiteur initial pour le paiement et a terminé le processus de redressement
peuvent être reconnues.
258. En cas de garanties pour lesquelles la banque applique l'approche standard à la partie couverte de l'exposition, l'éventail des
garants et les exigences minimales conformément à l'approche standard s'appliquent.
Critères d'ajustement
259. Une banque doit disposer de critères clairement spécifiés pour ajuster les notations des emprunteurs ou les estimations de LGD
(ou, dans le cas des créances de détail et éligibles achetées, le processus d'allocation des expositions aux pools) afin de refléter l'impact
des garanties sur les fonds propres réglementaires. Ces critères doivent être aussi détaillés que les critères d'attribution des expositions
aux notes conformément aux paragraphes 177 et 178, et doivent respecter toutes les exigences minimales d'attribution des notes
d'emprunteur ou de facilité énoncées dans le présent document.
260. Les critères doivent être plausibles et intuitifs et doivent porter sur la capacité et la volonté du garant d'exécuter la garantie.
Les critères doivent également porter sur le calendrier probable de tout paiement et sur le degré de corrélation entre la capacité du garant
à exécuter la garantie et la capacité de remboursement de l'emprunteur. Les critères de la banque doivent également tenir compte de la
mesure dans laquelle le risque résiduel pour l'emprunteur demeure, par exemple une asymétrie de devise entre la garantie et l'exposition
sousjacente.
261. Lors de l'ajustement des notations des emprunteurs ou des estimations de LGD (ou, dans le cas des créances achetées sur
la clientèle de détail et éligibles, du processus d'allocation des expositions aux pools), les banques doivent tenir compte de toutes les
informations disponibles pertinentes.
Dérivés de crédit
262. Les exigences minimales en matière de garanties s'appliquent également aux dérivés de crédit à signature unique.
Des considérations supplémentaires se posent en ce qui concerne les asymétries d'actifs. Les critères utilisés pour attribuer des notations
d'emprunteur ajustées ou des estimations (ou paniers) de LGD pour les expositions couvertes par des dérivés de crédit doivent exiger
que l'actif sur lequel repose la protection (l'actif de référence) ne puisse pas être différent de l'actif sousjacent, à moins que les conditions
énoncées dans l'approche de base sont remplies.
263. En outre, les critères doivent tenir compte de la structure de paiement du dérivé de crédit et évaluer avec prudence l'impact
que cela a sur le niveau et le calendrier des recouvrements. La banque doit également considérer dans quelle mesure d'autres formes
de risque résiduel subsistent.
100 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Pour les banques utilisant des estimations LGD de base
264. Les exigences minimales décrites aux paragraphes 252 à 263 s'appliquent aux banques utilisant les estimations LGD de
base, avec les exceptions suivantes :
(je) La banque n'est pas en mesure d'utiliser une option « ajustement LGD » ; et
(ii) L'éventail des garanties et des garants éligibles est limité à ceux décrits au paragraphe 92.
(X) Exigences spécifiques à l'estimation de PD et LGD (ou EL) pour les créances achetées éligibles
265. Les exigences minimales suivantes pour la quantification des risques doivent être satisfaites pour toutes les créances
achetées (entreprises ou particuliers) utilisant le traitement descendant du risque de défaut et/ou le traitement IRB du risque de dilution.
266. La banque acheteuse sera tenue de regrouper les créances en lots suffisamment homogènes pour que des estimations
précises et cohérentes de PD et de LGD (ou EL) pour les pertes par défaut et des estimations EL des pertes par dilution puissent être
déterminées. En général, le processus de répartition des risques reflétera les pratiques de souscription du vendeur et l'hétérogénéité
de ses clients. En outre, les méthodes et les données d'estimation de PD, LGD et EL doivent être conformes aux normes de
quantification des risques existantes pour les expositions de détail.
En particulier, la quantification devrait refléter toutes les informations dont dispose la banque acheteuse concernant la qualité des
créances sousjacentes, y compris les données relatives à des lots similaires fournies par le vendeur, par la banque acheteuse ou par
des sources externes. La banque acheteuse doit déterminer si les données fournies par le vendeur sont conformes aux attentes
convenues par les deux parties concernant, par exemple, le type, le volume et la qualité continue des créances achetées. Lorsque ce
n'est pas le cas, la banque acheteuse est censée obtenir et s'appuyer sur des données plus pertinentes.
Exigences opérationnelles minimales
267. Une banque qui achète des créances doit justifier sa confiance dans le fait que les avances actuelles et futures peuvent être
remboursées à partir de la liquidation (ou du recouvrement) du pool de créances. Pour bénéficier du traitement descendant du risque
de défaut, le pool de créances et la relation de prêt globale doivent être étroitement surveillés et contrôlés. Plus précisément, une
banque devra démontrer ce qui suit :
Sécurité juridique
268. La structure de la facilité doit garantir que, dans toutes les circonstances prévisibles, la banque a la propriété et le contrôle
effectifs des remises en espèces des créances, y compris les cas de détresse et de faillite du vendeur ou de l'administrateur. Lorsque
le débiteur effectue des paiements directement à un vendeur ou à un prestataire, la banque doit vérifier régulièrement que les paiements
sont transmis intégralement et dans les délais convenus contractuellement. De plus, la propriété des créances et des rentrées de fonds
doit être protégée contre les faillites ou les contestations judiciaires qui pourraient retarder considérablement la capacité du prêteur à
liquider/céder les créances ou à conserver le contrôle des rentrées de fonds.
Efficacité des systèmes de suivi
269. La banque doit être en mesure de surveiller à la fois la qualité des créances et la situation financière du vendeur et de
l'agent de gestion. En particulier:
• La banque doit (a) évaluer la corrélation entre la qualité des créances et la situation financière du vendeur et de
l'administrateur, et (b) avoir mis en place des politiques et procédures internes qui fournissent des garanties adéquates
pour se protéger contre de telles éventualités, y compris la cession d'une notation de risque interne pour chaque vendeur
et réparateur.
• La banque doit avoir des politiques et des procédures claires et efficaces pour déterminer l'admissibilité des vendeurs et
des gestionnaires. La banque ou son agent doit procéder à des examens périodiques des vendeurs et des gestionnaires dans
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 101
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afin de vérifier l'exactitude des rapports du vendeur/réparateur, de détecter les fraudes ou les faiblesses
opérationnelles et de vérifier la qualité des politiques de crédit du vendeur et des politiques et procédures de
recouvrement du réparateur. Les conclusions de ces examens doivent être bien documentées.
• La banque doit être en mesure d'évaluer les caractéristiques du pool de créances, notamment : (a) les avances excédentaires ; (b)
l'historique des arriérés, des créances irrécouvrables et des provisions pour créances irrécouvrables du vendeur ; (c) les conditions
de paiement ; et (d) les comptes de contrepartie potentiels.
• La banque doit avoir des politiques et des procédures efficaces pour surveiller sur une base globale les concentrations
d'un seul débiteur à la fois au sein et entre les pools de créances.
• La banque doit recevoir des rapports opportuns et suffisamment détaillés sur les échéances et les dilutions des
créances pour (a) garantir le respect des critères d'éligibilité et des politiques d'avance de la banque régissant les
créances achetées, et (b) fournir un moyen efficace de contrôler et de confirmer les conditions de vente du vendeur.
vente (par exemple, vieillissement de la date de facturation) et dilution.
Efficacité des systèmes d'entraînement
270. Un programme efficace nécessite des systèmes et des procédures non seulement pour détecter la détérioration de la
situation financière du vendeur et la détérioration de la qualité des créances à un stade précoce, mais aussi pour traiter les
problèmes émergents de manière proactive. En particulier,
• La banque doit disposer de politiques, de procédures et de systèmes d'information clairs et efficaces pour surveiller le
respect (a) de toutes les conditions contractuelles de la facilité (y compris les clauses restrictives, les formules d'avance,
les limites de concentration, les déclencheurs d'amortissement anticipé, etc.) ainsi que (b) les les politiques internes de
la banque régissant les taux d'avance et l'admissibilité des créances. Les systèmes de la banque doivent suivre les
violations des clauses restrictives et les renonciations ainsi que les exceptions aux politiques et procédures établies.
• Pour limiter les tirages inappropriés, la banque doit disposer de politiques et de procédures efficaces pour détecter,
approuver, surveiller et corriger les avances excédentaires.
• La banque doit avoir des politiques et des procédures efficaces pour traiter avec des vendeurs ou des gestionnaires
financièrement affaiblis et/ou une détérioration de la qualité des pools de créances. Cellesci incluent, mais sans s'y
limiter, des déclencheurs de résiliation anticipée dans les facilités renouvelables et d'autres protections d'engagement,
une approche structurée et disciplinée pour traiter les violations d'engagement, et des politiques et procédures claires
et efficaces pour engager des actions en justice et traiter les créances problématiques.
Efficacité des systèmes de contrôle des garanties, de la disponibilité du crédit et des liquidités
271. La banque doit avoir des politiques et des procédures claires et efficaces régissant le contrôle des créances, du
crédit et de la trésorerie. En particulier,
• Les politiques internes écrites doivent spécifier tous les éléments matériels du programme d'achat de créances, y
compris les taux d'avancement, les garanties éligibles, la documentation nécessaire, les limites de concentration et
la manière dont les encaissements doivent être traités. Ces éléments doivent tenir compte de manière appropriée de
tous les facteurs pertinents et significatifs, y compris la situation financière du vendeur/répartiteur, les concentrations
de risques et les tendances de la qualité des créances et de la clientèle du vendeur.
• Les systèmes internes doivent garantir que les fonds ne sont avancés que contre des garanties et des documents
justificatifs spécifiés (tels que des attestations de service, des factures, des documents d'expédition, etc.).
Respect des politiques et procédures internes de la banque
272. Compte tenu du recours aux systèmes de surveillance et de contrôle pour limiter le risque de crédit, la banque devrait avoir
un processus interne efficace pour évaluer la conformité à toutes les politiques et procédures essentielles, y compris
102 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• des audits internes et/ou externes réguliers de toutes les phases critiques de l'achat des créances de la banque
programme.
• vérification de la séparation des tâches (i) entre l'évaluation du vendeur/régisseur et l'évaluation du débiteur et (ii) entre
l'évaluation du vendeur/régisseur et l'audit sur le terrain du vendeur/régisseur.
273. Le processus interne efficace d'une banque pour évaluer la conformité avec toutes les politiques et procédures essentielles devrait
également inclure des évaluations des opérations de backoffice, avec un accent particulier sur les qualifications, l'expérience, les
niveaux de dotation en personnel et les systèmes de soutien.
8. Validation des devis internes
274. Les banques doivent disposer d'un système solide pour valider l'exactitude et la cohérence des systèmes de notation, des
processus et de l'estimation de toutes les composantes de risque pertinentes. Une banque doit démontrer à son autorité de contrôle
que le processus de validation interne lui permet d'évaluer la performance des systèmes de notation interne et d'estimation des risques
de manière cohérente et significative.
275. Les banques doivent régulièrement comparer les taux de défaut réalisés avec les PD estimées pour chaque classe et être
en mesure de démontrer que les taux de défaut réalisés se situent dans la fourchette attendue pour cette classe. Les banques utilisant
l'approche IRB avancée doivent effectuer cette analyse pour leurs estimations des LGD et des EAD. Ces comparaisons doivent
s'appuyer sur des données historiques couvrant une période aussi longue que possible. Les méthodes et les données utilisées dans
ces comparaisons par la banque doivent être clairement documentées par la banque. Cette analyse et cette documentation doivent
être mises à jour au moins une fois par an.
276. Les banques doivent également utiliser d'autres outils de validation quantitative et des comparaisons avec des sources de
données externes pertinentes. L'analyse doit s'appuyer sur des données adaptées au portefeuille, mises à jour régulièrement et couvrir
une période d'observation pertinente. Les évaluations internes des banques de la performance de leurs propres systèmes de notation
doivent être basées sur de longs historiques de données, couvrant une gamme de conditions économiques, et idéalement un ou
plusieurs cycles économiques complets.
277. Les banques doivent démontrer que les méthodes de test quantitatives et autres méthodes de validation ne varient pas
systématiquement avec le cycle économique. Les changements de méthodes et de données (à la fois les sources de données et les
périodes couvertes) doivent être documentés de manière claire et complète.
278. Les banques doivent disposer de normes internes bien articulées pour les situations où les écarts entre les PD, LGD et
EAD réalisées par rapport aux attentes deviennent suffisamment importants pour remettre en cause la validité des estimations. Ces
normes doivent tenir compte des cycles économiques et de la variabilité systématique similaire des expériences de défaut. Lorsque les
valeurs réalisées continuent d'être supérieures aux valeurs attendues, les banques doivent réviser à la hausse les estimations pour
refléter leur expérience en matière de défaut et de perte.
279. Lorsque les banques s'appuient sur des estimations prudentielles plutôt qu'internes des paramètres de risque, elles sont
encouragées à comparer les LGD et les EAD réalisées à celles fixées par les autorités de contrôle. Les informations sur les LGD et les
EAD réalisées doivent faire partie de l'évaluation du capital économique par la banque.
9. Estimations prudentielles de LGD et EAD
280. Les banques sous l'approche NI fondation, qui ne satisfont pas aux exigences d'estimations propres de LGD et EAD, ci
dessus, doivent satisfaire aux exigences minimales décrites dans l'approche standard pour recevoir la reconnaissance des sûretés
financières éligibles (comme indiqué dans la section sur l'atténuation du risque de crédit (Section D) de l'approche standard). Ils doivent
satisfaire aux exigences minimales supplémentaires suivantes afin de recevoir la reconnaissance pour des types de garanties
supplémentaires.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 103
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(je) Définition de l'éligibilité des CRE et RRE en garantie
281. Les garanties CRE et RRE éligibles pour les expositions sur les entreprises et les banques sont définies comme suit :
• Sûreté où le risque de l'emprunteur ne dépend pas matériellement de la performance du bien ou du projet sousjacent,
mais plutôt de la capacité sousjacente de l'emprunteur à rembourser la dette à partir d'autres sources. En tant que tel, le
remboursement de la facilité ne dépend pas matériellement des flux de trésorerie générés par la CRE/RRE sousjacente
servant de garantie29 ; et
• De plus, la valeur de la garantie mise en gage ne doit pas dépendre matériellement de la performance de l'emprunteur.
Cette exigence n'est pas destinée à exclure les situations où des facteurs purement macroéconomiques affectent à la
fois la valeur de la garantie et la performance de l'emprunteur.
282. À la lumière de la description générique cidessus et de la définition des expositions sur les entreprises, les biens
immobiliers productifs de revenus qui relèvent de la catégorie d'actifs SL sont spécifiquement exclus de la comptabilisation en tant
30
que garantie pour les expositions sur les entreprises.
(ii) Exigences opérationnelles pour les CRE/RRE éligibles
garantie pour
283.
les S
créances
ous réserve
des dee
ntreprises
satisfaire
uàniquement
la définition
si ctoutes
idessus,
les ela
xigences
CRE et loa
pérationnelles
RRE seront éligibles
suivantes
à la
sont
reconnaissance
remplies. en tant que
• Force exécutoire légale : toute réclamation sur garantie prise doit être juridiquement exécutoire dans toutes les juridictions
concernées, et toute réclamation sur garantie doit être correctement déposée en temps opportun. Les intérêts collatéraux
doivent refléter un privilège opposable (c'estàdire que toutes les exigences légales pour établir la créance ont été
remplies). En outre, le contrat de garantie et la procédure juridique qui le soustend doivent être tels qu'ils permettent à la
banque de réaliser la valeur de la garantie dans un délai raisonnable.
• Valeur marchande objective de la garantie : la valeur de la garantie doit être égale ou inférieure à la juste valeur actuelle
en vertu de laquelle la propriété pourrait être vendue dans le cadre d'un contrat privé entre un vendeur consentant et un
acheteur sans lien de dépendance à la date de l'évaluation.
29 Le Comité reconnaît que dans certains pays où les logements collectifs constituent une part importante du marché du logement et où la politique publique soutient ce secteur,
y compris les entreprises du secteur public spécialement établies en tant que principaux fournisseurs, les caractéristiques de risque des prêts garantis par hypothèque sur
ces l'immobilier résidentiel peut être similaire à celles des expositions traditionnelles sur les entreprises. L'autorité de contrôle nationale peut, dans de telles circonstances,
reconnaître une hypothèque sur un bien immobilier résidentiel multifamilial comme garantie éligible pour les expositions sur les entreprises.
30
Dans des circonstances exceptionnelles pour des marchés bien développés et établis de longue date, les hypothèques sur des bureaux et/ou
des locaux commerciaux polyvalents et/ou des locaux commerciaux multilocataires peuvent avoir le potentiel d'être reconnues comme garantie
dans le portefeuille de l'entreprise. Ce traitement exceptionnel sera soumis à des conditions très strictes. En particulier, deux critères doivent
être remplis, à savoir que (i) les pertes résultant de prêts immobiliers commerciaux jusqu'à la valeur la plus faible entre 50 % de la valeur de
marché ou 60 % de la valeur prêtàvaleur (LTV) basée sur la valeur de prêt hypothécaire (MLV) ne doit pas dépasser 0,3 % de l'encours des
prêts au cours d'une année donnée ; et que (ii) les pertes globales résultant des prêts immobiliers commerciaux ne doivent pas dépasser 0,5 %
de l'encours des prêts au cours d'une année donnée. Autrement dit, si l'un de ces tests n'est pas satisfait au cours d'une année donnée,
l'éligibilité à utiliser ce traitement cessera et les critères d'éligibilité initiaux devront à nouveau être satisfaits avant qu'il ne puisse être appliqué à
l'avenir. Les pays appliquant un tel traitement doivent divulguer publiquement qu'ils sont respectés.
104 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Réévaluation fréquente : la banque est censée surveiller la valeur de la garantie de manière fréquente et au moins
une fois par an. Une surveillance plus fréquente est suggérée lorsque le marché est soumis à des changements
importants de conditions. Des méthodes statistiques d'évaluation (par exemple, référence aux indices des prix des
logements, échantillonnage) peuvent être utilisées pour mettre à jour les estimations ou pour identifier les sûretés
dont la valeur peut avoir diminué et qui peuvent nécessiter une réévaluation. Un professionnel qualifié doit évaluer
la propriété lorsque des informations indiquent que la valeur de la garantie peut avoir diminué considérablement
par rapport aux prix généraux du marché ou lorsqu'un événement de crédit, tel qu'un défaut de paiement,
se produit.
• Privilèges subordonnés : dans certains pays membres, les sûretés éligibles seront limitées aux situations dans
lesquelles le prêteur a un premier privilège sur le bien.31 Les privilèges subordonnés peuvent être pris en compte
lorsqu'il ne fait aucun doute que la demande de garantie est juridiquement exécutoire et constitue une atténuation
efficace du risque de crédit. Lorsque les privilèges juniors sont reconnus, la banque doit d'abord prendre la valeur
de décote de la garantie, puis la réduire de la somme de tous les prêts avec des privilèges de rang supérieur au
privilège junior, la valeur restante est la garantie qui soutient le prêt avec le privilège junior . Dans les cas où des
privilèges sont détenus par des tiers qui sont de rang égal au privilège de la banque, seule la proportion de la
garantie (après l'application des décotes et des réductions dues à la valeur des prêts avec des privilèges de rang
supérieur au privilège de la banque banque) qui est attribuable à la banque peut être comptabilisé.
284. Les exigences supplémentaires en matière de gestion des garanties sont les suivantes :
• Les types de garanties CRE et RRE acceptées par la banque et les politiques de prêt (taux d'avance) lorsque ce
type de garantie est pris doivent être clairement documentées.
• La banque doit prendre des mesures pour s'assurer que les biens donnés en garantie sont suffisamment assurés
contre les dommages ou la détérioration.
• La banque doit surveiller en permanence l'étendue des créances prioritaires autorisées (par exemple, l'impôt) sur
la propriété.
• La banque doit surveiller de manière appropriée le risque de responsabilité environnementale découlant de la
garantie, comme la présence de matières toxiques sur une propriété.
(iii) Conditions de comptabilisation des créances financières
Définition des créances éligibles
285. Les créances financières éligibles sont des créances d'une échéance initiale inférieure ou égale à un an dont le
remboursement s'effectuera par le biais des flux commerciaux ou financiers liés aux actifs sousjacents de l'emprunteur. Cela
comprend à la fois les dettes autoamortissantes résultant de la vente de biens ou de services liés à une transaction
commerciale et les montants généraux dus par les acheteurs, les fournisseurs, les locataires, les autorités gouvernementales
nationales et locales ou d'autres parties non affiliées non liées à la vente de biens ou des services liés à une transaction
commerciale. Les créances éligibles ne comprennent pas celles liées à des titrisations, sousparticipations ou dérivés de crédit.
Exigences opérationnelles
Sécurité juridique
286. Le mécanisme juridique par lequel la garantie est donnée doit être solide et garantir que le prêteur
des droits clairs sur le produit de la garantie.
31
Dans certaines de ces juridictions, les privilèges de premier rang sont soumis au droit prioritaire des créanciers privilégiés, tels que les créances fiscales en souffrance
et les salaires des employés.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 105
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287. Les banques doivent prendre toutes les mesures nécessaires pour satisfaire aux exigences locales en matière de force
exécutoire des sûretés, par exemple en enregistrant une sûreté auprès d'un agent d'enregistrement. Il devrait y avoir un cadre qui
permette au prêteur potentiel d'avoir une prétention prioritaire parfaite sur la garantie.
288. Tous les documents utilisés dans les transactions garanties doivent être contraignants pour toutes les parties et
juridiquement exécutoires dans toutes les juridictions concernées. Les banques doivent avoir effectué un examen juridique suffisant
pour vérifier cela et disposer d'une base juridique solide pour parvenir à cette conclusion, et entreprendre tout examen supplémentaire
nécessaire pour garantir le maintien de l'applicabilité.
289. Les accords de garantie doivent être correctement documentés, avec une procédure claire et solide pour la collecte en
temps opportun du produit de la garantie. Les procédures des banques devraient garantir le respect de toutes les conditions légales
requises pour déclarer la défaillance du client et recouvrer en temps voulu la garantie. En cas de difficultés financières ou de
défaillance du débiteur, la banque devrait avoir le pouvoir légal de vendre ou de céder les créances à d'autres parties sans le
consentement des débiteurs des créances.
Gestion des risques
devrait inclure,
La beanque
ntre autres,
doit disposer
des analyses
d'un processus
de l'activité
solide
et de
pour
l'industrie
déterminer
de l'emprunteur
le risque de
(par
crédit
exemple,
des créances.
les effets
290.
du U
cycle
n tel
épconomique)
rocessus
et des types de clients avec lesquels l'emprunteur fait affaire. Lorsque la banque compte sur l'emprunteur pour déterminer le risque
de crédit des clients, la banque doit revoir la politique de crédit de l'emprunteur pour s'assurer de sa solidité et de sa crédibilité.
291. La marge entre le montant de l'exposition et la valeur des créances doit refléter tous les facteurs appropriés, y compris le
coût de recouvrement, la concentration au sein du pool de créances mises en gage par un emprunteur individuel et le risque potentiel
de concentration au sein des expositions totales de la banque.
292. La banque doit maintenir un processus de surveillance continue adapté aux expositions spécifiques (immédiates ou
éventuelles) attribuables à la sûreté à utiliser comme atténuation du risque.
Ce processus peut inclure, selon les cas et selon les besoins, des rapports chronologiques, le contrôle des documents commerciaux,
les certificats de base d'emprunt, des audits fréquents des sûretés, la confirmation des comptes, le contrôle du produit des comptes
payés, des analyses de dilution (crédits accordés par l'emprunteur au émetteurs) et une analyse financière régulière tant de
l'emprunteur que des émetteurs des créances, en particulier dans le cas où un petit nombre de créances importantes sont prises en
garantie. Le respect des limites de concentration globales de la banque doit être contrôlé. En outre, la conformité aux clauses
restrictives du prêt, aux restrictions environnementales et aux autres exigences légales doit être examinée régulièrement.
293. Les créances mises en gage par un emprunteur doivent être diversifiées et ne pas être indûment corrélées avec
l'emprunteur. Lorsque la corrélation est élevée, par exemple lorsque certains émetteurs de créances dépendent de l'emprunteur pour
leur viabilité ou que l'emprunteur et les émetteurs appartiennent à un secteur commun, les risques qui en découlent doivent être pris
en compte lors de la fixation des marges pour le pool de garanties dans son ensemble. Les créances sur les sociétés affiliées de
l'emprunteur (y compris les filiales et les employés) ne seront pas reconnues comme atténuant les risques.
294. La banque doit disposer d'un processus documenté pour recouvrer les paiements à recevoir dans les situations difficiles.
Les installations nécessaires au recouvrement doivent être en place, même lorsque la banque se tourne normalement vers
l'emprunteur pour les recouvrements.
Exigences relatives à la comptabilisation d'autres sûretés physiques
295. Les autorités de contrôle peuvent autoriser la reconnaissance de l'effet d'atténuation du risque de crédit de certains autres
garanties lorsque les conditions suivantes sont remplies :
• La banque démontre à la satisfaction de l'autorité de contrôle qu'il existe des marchés liquides pour la cession de garanties
de manière rapide et économiquement efficace. Les banques doivent effectuer
106 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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une réévaluation de cette condition à la fois périodiquement et lorsque des informations indiquent des changements
importants sur le marché.
• La banque démontre à la satisfaction de l'autorité de contrôle qu'il existe des prix de marché bien établis et
accessibles au public pour la garantie. Les banques doivent également démontrer que le montant qu'elles
reçoivent lorsque la garantie est réalisée ne s'écarte pas de manière significative de ces prix de marché.
296. Pour qu'une banque donnée reçoive la reconnaissance d'une sûreté physique supplémentaire, elle doit
satisfaire à toutes les normes des paragraphes 283 et 284, sous réserve des modifications suivantes.
• Première créance : À la seule exception des créances prioritaires autorisées spécifiées dans la note de bas de page 31,
seuls les privilèges de premier rang ou les sûretés sur les sûretés sont autorisés. En tant que telle, la banque doit avoir
priorité sur tous les autres prêteurs sur le produit réalisé de la garantie.
• Le contrat de prêt doit inclure des descriptions détaillées de la garantie et le droit d'examiner et de réévaluer la
garantie chaque fois que cela est jugé nécessaire par la banque prêteuse.
• Les types de garantie physique acceptés par la banque et les politiques et pratiques concernant le montant
approprié de chaque type de garantie par rapport au montant d'exposition doivent être clairement documentés
dans les politiques et procédures de crédit internes et disponibles pour examen et/ou examen d'audit.
• Les politiques de crédit de la banque en ce qui concerne la structure de la transaction doivent répondre aux
exigences de garantie appropriées par rapport au montant de l'exposition, à la capacité de liquider rapidement la
garantie, à la capacité d'établir objectivement un prix ou une valeur de marché, à la fréquence à laquelle la valeur
peut être facilement obtenue ( y compris une évaluation ou une évaluation professionnelle) et la volatilité de la
valeur de la garantie. Le processus de réévaluation périodique doit accorder une attention particulière aux garanties
« sensibles à la mode » pour garantir que les évaluations sont correctement ajustées à la baisse par rapport à la
mode ou à l'année modèle, à l'obsolescence ainsi qu'à l'obsolescence physique ou à la détérioration.
• Dans le cas des stocks (par exemple matières premières, travaux en cours, produits finis, stocks des concessionnaires
d'automobiles) et de l'équipement, le processus de réévaluation périodique doit inclure une inspection physique de la
garantie.
297. Les accords de garantie générale et d'autres formes de charge flottante peuvent fournir à la banque prêteuse
une créance enregistrée sur les actifs d'une entreprise. Dans les cas où la créance enregistrée comprend à la fois des
actifs qui ne sont pas éligibles en garantie au titre du FIRB et des actifs éligibles en garantie au titre du FIRB, la banque
peut comptabiliser ces derniers. La reconnaissance est conditionnelle à ce que les réclamations satisfassent aux exigences
opérationnelles énoncées aux paragraphes 280 à 296.
dix. Conditions de reconnaissance du leasing
298. Les contrats de location autres que ceux qui exposent la banque à un risque de valeur résiduelle (voir
paragraphe 299) se verront accorder le même traitement que les expositions garanties par le même type de sûreté. Les
exigences minimales pour le type de garantie doivent être remplies (CRE/RRE ou autre garantie). De plus, la banque doit
également respecter les normes suivantes :
• Une gestion rigoureuse des risques de la part du bailleur en ce qui concerne la localisation du bien, l'usage qui
en est fait, son ancienneté et son obsolescence programmée ;
• Un cadre juridique solide établissant la propriété juridique du bailleur sur l'actif et sa capacité à exercer ses
droits en tant que propriétaire en temps opportun ; et
• La différence entre le taux d'amortissement de l'actif physique et le taux d'amortissement des paiements de
location ne doit pas être suffisamment importante pour surestimer le CRM attribué au bien loué
des atouts.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 107
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299. Les contrats de location qui exposent la banque à un risque de valeur résiduelle seront traités de la manière suivante. Le risque
de valeur résiduelle est l'exposition de la banque à une perte potentielle due à la baisse de la juste valeur de l'équipement en dessous de son
estimation résiduelle au début du contrat de location.
• Le flux de paiement de location actualisé recevra une pondération de risque appropriée pour la solidité
financière (PD) du preneur et la surveillance ou l'estimation personnelle de LGD, selon le cas.
• La valeur résiduelle sera pondérée à 100 %.
11. Exigences de divulgation
300. Afin d'être éligibles à l'approche IRB, les banques doivent satisfaire aux exigences de divulgation énoncées dans le Pilier
3. Il s'agit d'exigences minimales pour l'utilisation de l'approche IRB : le nonrespect de ces exigences rendra les banques inéligibles
à l'utilisation de l'approche IRB pertinente.
108 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Exigences minimales de fonds propres pour risque de CVA
UN. Dispositions générales
1. Dans le contexte de ce document, CVA signifie ajustement de l'évaluation du crédit spécifié au niveau de la contrepartie. La
CVA reflète l'ajustement des prix sans risque de défaut des dérivés et des opérations de financement sur titres (SFT) tels que définis aux
paragraphes 4 et 5 de l'annexe 4 du dispositif Bâle II1 en raison d'une défaillance potentielle de la contrepartie. Le CVA réglementaire peut
différer du CVA utilisé à des fins comptables comme suit : (i) le CVA réglementaire exclut l'effet de la propre défaillance de la banque ; (ii)
plusieurs contraintes reflétant les meilleures pratiques en matière de CVA comptable sont imposées sur les calculs du CVA réglementaire,
de sorte que certaines banques peuvent constater que le CVA réglementaire s'écarte de leur CVA comptable. Sauf indication contraire
explicite, le terme « CVA » dans le présent document signifie « CVA réglementaire ».
2. Le risque de CVA est défini comme le risque de pertes résultant de la variation des valeurs de CVA en réponse aux variations
des écarts de crédit des contreparties et des facteurs de risque de marché qui déterminent les prix des transactions sur dérivés et des SFT.
couvertes. LL'exigence
es transactions
de fonds
couvertes
propres
comprennent
pour risque tdous
e ClVA
es pdroduits
oit être dcérivés,
alculée
àp lar
'exception
toutes les
de
bcanques
eux négociés
3. impliquées
directement
dans a
dvec
es oupérations
ne
contrepartie centrale qualifiée. En outre, les transactions couvertes incluent également les SFT qui sont évalués à la juste valeur par une
banque à des fins comptables.
4. L'exigence de capitalrisque CVA est calculée pour le « portefeuille CVA » d'une banque sur une base individuelle.
Le portefeuille CVA comprend le CVA pour l'ensemble du portefeuille de transactions couvertes d'une banque et les couvertures CVA
éligibles.
5. Deux approches sont disponibles pour le calcul du capital CVA : l'approche standard (SACVA) et l'approche de base (BA
CVA). Les banques doivent utiliser le BACVA à moins qu'elles ne reçoivent l'approbation de leur autorité de contrôle compétente pour
utiliser le SACVA.2
6. Les banques qui ont reçu l'approbation de leur autorité de contrôle pour utiliser le SACVA peuvent exclure des calculs du SA
CVA un nombre quelconque d'ensembles de compensation. Le capital CVA pour tous les ensembles de compensation découpés doit être
calculé via le BACVA.
est inférieur
Un
ou séeuil
gal àd e
100
matérialité
milliards
edst
'euros
établi.
est
Toute
considérée
banque
cdomme
ont le é
mtant
ontant
inférieure
notionnel
au asgrégé
euil de
dmes
atérialité.
dérivés 7T.
oute
non b
compensés
anque en dcessous
entralement
du
seuil de matérialité peut choisir de fixer son capital CVA égal à 100% de l'exigence de capital de la banque pour risque de crédit de
contrepartie (CCR). Les couvertures CVA ne sont pas comptabilisées sous ce traitement. S'il est choisi, ce traitement doit être appliqué à
l'ensemble du portefeuille de la banque au lieu du BACVA ou du SACVA. L'autorité de contrôle compétente d'une banque peut toutefois
supprimer cette option si elle détermine que le risque de CVA résultant des positions sur dérivés de la banque contribue de manière
significative au risque global de la banque.
8. Les critères d'éligibilité des couvertures CVA sont précisés aux paragraphes 15 à 17 pour le BACVA et aux paragraphes 36 à
38 pour le SACVA.
avec 9. l'un Les
des itnstruments
rading desks
de
de
couverture
la banque).
CVA peuvent être externes (c'estàdire avec une contrepartie externe) ou internes (c'estàdire
1
Voir Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Bâle II : Convergence internationale de la mesure et des normes de fonds propres – Version complète,
juin 2006, www.bis.org/publ/bcbs128.htm.
2
Notez que cela contraste avec le cadre révisé du risque de marché, où les banques n'ont pas besoin de l'approbation des autorités de contrôle pour
utiliser l'approche standard.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 109
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• Toutes les couvertures CVA externes (éligibles ou non) qui sont des transactions couvertes doivent être incluses
dans le calcul du CVA pour la contrepartie à la couverture.
• Toutes les couvertures CVA externes éligibles doivent être exclues des calculs d'exigence de fonds propres pour risque de marché
d'une banque dans le portefeuille de négociation.
• Les couvertures de CVA externes non éligibles sont traitées comme des instruments du portefeuille de négociation et sont
capitalisées via la norme de risque de marché révisée.3
• Une couverture CVA interne implique deux positions parfaitement compensées : l'une du desk CVA et la position
opposée du desk de trading.
− Si une couverture CVA interne n'est pas éligible, les deux positions appartiennent au portefeuille de négociation où
elles s'annulent, il n'y a donc pas d'impact ni sur le portefeuille CVA ni sur le portefeuille de négociation.
− Si une couverture CVA interne est éligible, la position du desk CVA fait partie du portefeuille CVA où elle est
capitalisée via le cadre CVA révisé, tandis que la position du desk de négociation fait partie du portefeuille de
négociation où elle est capitalisée via la norme de risque de marché révisée .
• Si une couverture CVA interne implique un instrument soumis à un risque de courbure, à une charge pour risque de
défaut ou à la majoration pour risque résiduel selon l'approche standard de la norme révisée sur le risque de marché,
elle ne peut être éligible que si la table de négociation qui est la table de négociation de la table CVA « contrepartie »
exécute une transaction avec une contrepartie externe qui compense exactement la position du pupitre de négociation
avec le pupitre CVA.
dix. Les banques qui utilisent le BACVA ou le SACVA pour calculer les exigences de fonds propres CVA peuvent plafonner
le facteur d'ajustement de l'échéance à 1 pour tous les ensembles de compensation contribuant au capital CVA lorsqu'elles calculent
le capital CCR selon l'approche basée sur les notations internes (IRB).
B Approche de base pour CVA
1. Dispositions générales
11. Les calculs BACVA peuvent être effectués soit via la version réduite, soit via la version complète. La version complète
reconnaît les couvertures de spread de contrepartie et est destinée aux banques qui couvrent le risque CVA. La version allégée
est obtenue à partir de la version complète via la suppression de la comptabilisation des couvertures. La version réduite est
conçue pour simplifier la mise en œuvre du BACVA pour les banques moins sophistiquées qui ne couvrent pas le CVA. Le BA
CVA réduit fait également partie des calculs de capital complets du BACVA en tant que moyen conservateur de limiter l'efficacité
de la couverture, de sorte que toutes les banques utilisant le BACVA doivent effectuer ces calculs. Toute banque sous l'approche
BACVA peut choisir de mettre en œuvre la version complète ou la version réduite.
2. Version réduite du BACVA (les couvertures ne sont pas reconnues)
12. L'exigence de capital pour risque de CVA dans la version réduite du BACVA (Kréduit) est calculée comme suit, où
les sommations sont prises sur toutes les contreparties qui sont dans le périmètre du
Frais CVA :
2
réduit ∑
K = SCVA ( − ρ 2 )
1 + ∑ cSCVA
2
c ρ c c
3
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Minimum capital requirements for market risk, janvier 2016 , www.bis.org/bcbs/publ/
d352.pdf.
110 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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où:
•
SCVAc est l'exigence de capital CVA que la contrepartie c recevrait si elle était considérée sur une base
autonome (appelée « capital CVA autonome » cidessous). Voir le paragraphe 13 pour son calcul.
• ρ= 50 %. C'est le paramètre de corrélation de supervision. Son carré, ρ2=25 %, représente la corrélation entre
les spreads de crédit de deux contreparties.4 Dans la formule cidessus, l'effet de ρ est de reconnaître le fait
que le risque de CVA auquel une banque est exposée est inférieur à la somme des le risque de CVA pour
chaque contrepartie, étant donné que les spreads de crédit des contreparties ne sont généralement pas
parfaitement corrélés.
Le premier terme sous la racine carrée dans la formule cidessus regroupe les composantes systématiques du
risque de CVA, et le second terme sous la racine carrée regroupe les composantes idiosyncrasiques du risque
de CVA.
13. Le capital CVA autonome pour la contrepartie c qui est utilisé dans la formule du paragraphe 12 (SCVAc)
est calculé comme suit (où la somme s'applique à tous les ensembles de compensation avec la contrepartie) :
1
SCVA R M EAD
= W
c c
DF ∑ N.É. N.É. N.É.
α N.É.
où:
•
RWc est la pondération de risque de la contrepartie c qui reflète la volatilité de son écart de crédit. Ces pondérations
de risque sont fondées sur une combinaison du secteur et de la qualité de crédit de la contrepartie, comme prescrit
au paragraphe 14.
•
MNS est l'échéance effective pour l'ensemble de compensation NS. Pour les banques qui ont l'approbation des autorités
de contrôle pour utiliser l'IMM (méthode des m39
odèles internes) ,
de l'annexe 4 dlu
e cMadre
NS edst
calculé
e B âle II, àc
onformément afux
l'exception du ait pqaragraphes 38
ue le plafond et
de
cinq ans du paragraphe 38 n'est pas appliqué.
Pour les banques qui n'ont pas l'approbation des autorités de contrôle pour utiliser l'IMM, le MNS est calculé
conformément aux paragraphes 320 à 323 du cadre de Bâle II, à l'exception du fait que le plafond de cinq ans
du paragraphe 320 n'est pas appliqué.
•
EADNS est l'exposition en cas de défaut (EAD) de l'ensemble de compensation NS, calculée de la même manière que la
banque la calcule pour les exigences minimales de fonds propres pour le CCR.
•
DFNS est un facteur d'actualisation prudentiel. Il est de 1 pour les banques utilisant le (IMM pour calculer l'EAD, et est
0 05 MNS
1− e
− .
pour les banques n'utilisant pas IMM.5
0 .05 M N.É.
• a = 1.4.6
14. Les pondérations prudentielles (RWC) sont présentées dans les tableaux cidessous. La qualité de crédit est spécifiée comme
étant de qualité investissement (IG), à haut rendement (HY) ou non notée (NR). Lorsqu'il n'y a pas de notations externes ou lorsque les
notations externes ne sont pas reconnues dans une juridiction, les banques peuvent, sous réserve de l'approbation des autorités de contrôle,
4
L'une des hypothèses de base sousjacentes à la BACVA est que le risque systématique d'écart de crédit est déterminé par un facteur unique. Sous cette
hypothèse, peut être interprété comme la corrélation entre le spread de crédit d'une contrepartie et le facteur systématique de spread de crédit unique.
5
DF est le facteur de décote prudentiel moyenné dans le temps entre aujourd'hui et la date d'échéance effective de l'ensemble de compensation. Le taux
d'intérêt utilisé pour l'actualisation est fixé à 5 %, soit 0,05 dans la formule. Le produit de l'EAD et de l'échéance effective dans la formule BA CVA est une
approximation de la zone sous le profil d'exposition attendue actualisée (EE) de l'ensemble de compensation. La définition IMM de l'échéance effective
inclut déjà ce facteur d'actualisation, par conséquent DF est fixé à 1 pour les banques IMM. En dehors de l'IMM, l'échéance effective de l'ensemble de
compensation est définie comme une moyenne des échéances réelles des transactions. Cette définition manque d'actualisation, de sorte que le facteur
d'actualisation prudentiel est ajouté pour compenser cela.
6
α est le multiplicateur utilisé pour convertir l'exposition positive attendue effective (EEPE) en EAD dans SACCR et IMM. Son rôle dans le calcul est donc de
reconvertir l'EAD de l'ensemble de compensation (EADNS) en EEPE.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 111
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mapper la notation interne à une notation externe et attribuer une pondération de risque correspondant soit à IG, soit à HY.
Dans le cas contraire, les pondérations de risque correspondant à NR doivent être appliquées.
Secteur de la contrepartie Qualité de crédit de la contrepartie
IG HY et NR
de soutien
3. Version complète du BACVA (les couvertures sont reconnues)
(un) Haies éligibles
15. Seules les transactions utilisées dans le but d'atténuer la composante d'écart de crédit de contrepartie du risque
CVA, et gérées comme telles, peuvent être des couvertures éligibles.
16. Seuls les CDS à signature unique, les CDS contingents à signature unique et les CDS indiciels peuvent être des couvertures CVA éligibles.
une entité jLes
uridiquement
instruments
liée
de
à cla
rédit
contrepartie ;
nominatifs oéu
ligibles
(iii) faire
doivent :
référence
(i) référencer
à une entité
directement
appartenant
la caontrepartie ;
u même secteur
(ii) référence
et à la 17.
même région que la contrepartie.
(b) Calculs
18. Les banques qui ont l'intention d'utiliser la version complète de BACVA doivent également calculer Kreduced . Dans la
version complète, l'exigence de fonds propres pour risque CVA Kfull est calculée comme suit :
KK
plein
(1 βréduit
K =β +− couvert
)
où β = 0,25 et est le paramètre de surveillance utilisé pour fournir un plancher qui limite la mesure dans laquelle la couverture
peut réduire le capital requis pour couvrir le risque de CVA.
19. La part des exigences de fonds propres qui comptabilise les couvertures éligibles (Khedged) est calculée selon
la formule suivante, où les sommations sont prises sur toutes les contreparties c entrant dans le périmètre de la charge
CVA :
2
∑ ∑∑
c ( 2
K
couvert
= ρ ) SCVA SNH IH c − +−
− (1 ρ 2 ) −
(SCVA
c SNH c ) + HMAc
c c c
où:
• Le capital CVA autonome (SCVAC) et le paramètre de corrélation (ρ) sont définis exactement de la même
manière que pour le calcul de la forme réduite BACVA.
112 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• La SNHC est un paramètre qui prend en compte la réduction du risque de CVA de la contrepartie c résultant de
l'utilisation par la banque de couvertures monoémetteurs du risque de spread de crédit. Voir le paragraphe 21
pour son calcul.
• IH est un paramètre qui prend en compte la réduction du risque de CVA sur toutes les contreparties résultant de
l'utilisation par la banque de couvertures indicielles. Voir le paragraphe 22 pour son calcul.
• HMAC est un paramètre de désalignement de couverture, qui est conçu pour limiter la mesure dans laquelle les couvertures
indirectes peuvent réduire les exigences de fonds propres étant donné qu'elles ne compenseront pas entièrement les
mouvements de l'écart de crédit d'une contrepartie. Autrement dit, avec des haies indirectes présentes , Khedged ne peut pas atteindre zéro.
Voir le paragraphe 23 pour son calcul.
20. Concernant les trois principaux termes de la formule de Khedged au paragraphe 19 :
2
Le premier terme
• ρ ∑( ) SCVA SNH IHc
agrège
c les composantes
−−
systématiques du risque de CVA
c
provenant des contreparties de la banque, des couvertures nominatives et des couvertures indicielles.
risque lié aux contreparties de la banque et aux couvertures monoémetteur.
• Le troisième terme ∑ agrège
c HMA les composantes des couvertures indirectes qui ne sont pas alignées sur
c
spreads de crédit des contreparties.
21. La quantité SNHc est calculée comme suit (où la somme s'applique à toutes les couvertures à nom unique
h que la banque a souscrit pour couvrir le risque CVA de la contrepartie c) :
= hc∑ r hcRW MhB DFh
SN SN SN
SNH
h h
c
où:
• rhc est la corrélation réglementaire prescrite entre l'écart de crédit de la contrepartie c et l'écart de crédit d'une
couverture à signature unique h de la contrepartie c. Il est fixé à partir du tableau du paragraphe 24. Il est fixé à
100 % si la couverture fait directement référence à la contrepartie, et fixé à des valeurs inférieures dans le cas
contraire.
SN
• Mh est l'échéance résiduelle de la couverture à nom unique h.
SN
• B
h
est le notionnel de couverture à nom unique h. Pour les CDS contingents à signature unique, le notionnel est
déterminé par la valeur de marché actuelle du portefeuille ou de l'instrument de référence.
SN
0 05 Mh
− .
SN 1− e
• DFh est le facteur d'actualisation prudentiel calculé comme suit SN
0 .05 M h
• RWh est la pondération de risque prudentielle de la couverture à signature unique h qui reflète la volatilité de
l'écart de crédit du nom de référence de l'instrument de couverture. Ces pondérations de risque sont basées sur
une combinaison du secteur et de la qualité de crédit du nom de référence de l'instrument de couverture, comme
prescrit au paragraphe 14.
22. La quantité IH est calculée comme suit (où la somme porte sur toutes les couvertures indicielles i que la banque a
souscrites pour couvrir le risque CVA) :
IH R W
∑M B Dje jFe
Indiana Indiana Indiana
= je
je
où
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 113
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•
Indiana
Mi est l'échéance résiduelle de la couverture indicielle i.
• B est le notionnel de la couverture d'indice i.
Indiana
je
Indiana
0 05
− .
Mi
Indiana
1− e
• DFi est le facteur d'actualisation prudentiel calculé comme suit Indiana
0 .05 M
je
• RWi est la pondération prudentielle de la couverture indicielle i. RWi est tiré du tableau du paragraphe 14 sur la base
du secteur et de la qualité de crédit des composants de l'indice et ajusté comme suit :
− Pour les indices où tous les composants de l'indice appartiennent au même secteur et sont de la même qualité de
crédit, la valeur pertinente dans le tableau du paragraphe 14 est multipliée par 0,7 pour tenir compte de la
diversification du risque idiosyncrasique au sein de l'indice.
− Pour les indices couvrant plusieurs secteurs ou avec un mélange de composants de qualité investissement et
d'autres composants, la moyenne pondérée par nom des pondérations de risque du tableau du paragraphe 14
doit être calculée puis multipliée par 0,7.
23. La quantité HMAC est calculée comme suit :
SN 2
HMAc
( = (1 −r LE )
∑
2 MB DF hc hh
h
SN SN h
hc )
où la sommation porte sur toutes les couvertures à nom unique h qui ont été souscrites pour couvrir le risque de CVA de la
SN SN SN
contrepartie c, et où r MB DF et RWh ont
hc
, mhêmes
les , h que celles énoncées au paragraphe 21.
, hdéfinitions
24. Les corrélations prudentielles prescrites rhc entre le spread de crédit de la contrepartie c et le spread de crédit de sa
couverture à signature unique h sont fixées comme suit :
Couverture sur une seule signature h de la contrepartie c Valeur de rhc
références la contrepartie c a directement 100%
une relation juridique avec la contrepartie c 80%
partage le secteur et la région avec la contrepartie c 50%
C Approche standardisée pour CVA
1. Dispositions générales
25. L'approche standardisée pour le CVA (SACVA) est une adaptation de l'approche standardisée pour le risque de
marché (SATB) dans le cadre de la norme révisée sur le risque de marché. Les principales différences entre le SACVA et le SA
TB sont les suivantes : (i) le SACVA présente une granularité réduite des facteurs de risque de marché ; (ii) le SACVA n'inclut
pas le risque de défaut et le risque de courbure ; (iii) le SACVA utilise une agrégation des risques plus prudente ; (iv) le SACVA
utilise le multiplicateur de prudence mCVA.
26. Le SACVA doit être calculé et communiqué aux superviseurs à la même fréquence mensuelle que le SATB. En
outre, les banques utilisant le SACVA doivent calculer, et avoir la capacité de produire à leurs superviseurs, les calculs SACVA
sur demande.
27. Le SACVA utilise comme données d'entrée les sensibilités du CVA réglementaire aux écarts de crédit des
contreparties et aux facteurs de risque de marché déterminant les valeurs des transactions couvertes. Les sensibilités doivent
être calculées par les banques conformément aux normes de validation de sensibilité décrites pour le SATB dans la norme de
risque de marché révisée.
114 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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28. Les critères minimaux d'éligibilité au SACVA sont les suivants :
• Une banque doit être en mesure de modéliser l'exposition et de calculer, au moins une fois par mois, le CVA et les
sensibilités du CVA aux facteurs de risque de marché spécifiés à la section C.6 du présent cadre.
• Une banque doit avoir un bureau CVA (ou une fonction dédiée similaire) responsable de la gestion des risques et
de la couverture du CVA.
2. Calculs de CVA réglementaires
29. Le CVA réglementaire est la base du calcul de l'exigence de capitalrisque CVA dans le cadre du SA CVA. Les
calculs de CVA réglementaire doivent être effectués pour chaque contrepartie avec laquelle une banque a au moins une
position couverte.
30. Le CVA réglementaire au niveau de la contrepartie doit être calculé selon les principes suivants,
avec l'adhésion de la banque aux principes devant être démontrés par la banque à son autorité de contrôle compétente :
• Le CVA réglementaire doit être calculé comme l'anticipation des pertes futures résultant du défaut de la contrepartie
dans l'hypothèse où la banque ellemême est sans risque de défaut.
• Le calcul doit être basé sur au moins les données d'entrée suivantes : (i) la structure par terme de la probabilité
implicite de défaut (PD) du marché ; (ii) les pertes attendues en cas de défaut (ELGD) selon le consensus du
marché ; (3) trajectoires simulées d'exposition future actualisée.
• La structure par terme de la PD implicite du marché doit être estimée à partir des écarts de crédit observés sur les
marchés. Pour les contreparties dont le crédit n'est pas activement négocié (c'estàdire les contreparties illiquides),
la PD implicite du marché doit être estimée à partir des écarts de crédit approximatifs estimés pour ces contreparties
conformément aux exigences suivantes :
− Une banque doit estimer les courbes de spreads de crédit des contreparties illiquides à partir des spreads de
crédit observés sur les marchés des pairs liquides de la contrepartie via un algorithme discriminant au moins
trois variables : une mesure de la qualité de crédit (par exemple la notation), le secteur et la région.
− Dans certains cas, la mise en correspondance d'une contrepartie illiquide avec un seul nom de référence liquide peut
être autorisée. Un exemple typique serait la cartographie d'une municipalité à son pays d'origine (c'estàdire la
fixation de l'écart de crédit de la municipalité égal à l'écart de crédit souverain plus une prime). Une banque doit
justifier auprès de son autorité de contrôle chaque cas de correspondance à des noms uniques.
− Lorsqu'aucun spread de crédit de l'un des pairs de la contrepartie n'est disponible en raison du type spécifique de
la contrepartie (par exemple, financement de projets, fonds), une banque est autorisée à utiliser une analyse
plus fondamentale du risque de crédit pour représenter le spread d'une contrepartie illiquide. Cependant,
lorsque des PD historiques sont utilisées dans le cadre de cette évaluation, l'écart qui en résulte ne peut pas
être basé uniquement sur la PD historique – il doit se rapporter aux marchés du crédit.
• La valeur ELGD du consensus du marché utilisée pour le calcul de la CVA réglementaire doit être la même que celle
utilisée pour calculer la PD neutre au risque à partir des écarts de crédit, sauf si la banque peut démontrer que
l'ancienneté de l'exposition aux dérivés diffère de l'ancienneté des obligations non garanties de premier rang.
La garantie fournie par la contrepartie ne modifie pas l'ancienneté de l'exposition au dérivé.
• Les trajectoires d'exposition future actualisée sont produites via la tarification de toutes les transactions sur dérivés avec
la contrepartie sur des trajectoires simulées de facteurs de risque de marché pertinents et en actualisant les prix jusqu'à
aujourd'hui en utilisant des taux d'intérêt sans risque le long de la trajectoire.
• Tous les facteurs de risque de marché significatifs pour les transactions avec une contrepartie doivent être simulés
en tant que processus stochastiques pour un nombre approprié de trajectoires définies sur un ensemble approprié
de points futurs s'étendant jusqu'à l'échéance de la transaction la plus longue.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 115
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• Pour les transactions présentant un niveau significatif de dépendance entre l'exposition et la qualité de crédit de la
contrepartie, cette dépendance doit être prise en compte.
• Pour les contreparties sur marge, les sûretés peuvent être reconnues comme atténuant le risque dans les conditions
suivantes :
− Les exigences en matière de gestion des sûretés énoncées au paragraphe 51(i)–(ii) de l'annexe 4 du dispositif de
Bâle II sont satisfaites.
− Tous les documents utilisés dans les transactions garanties doivent être contraignants pour toutes les parties et
juridiquement exécutoires dans toutes les juridictions concernées. Les banques doivent avoir effectué un
examen juridique suffisant pour vérifier cela et disposer d'une base juridique solide pour parvenir à cette
conclusion, et entreprendre tout examen supplémentaire nécessaire pour garantir le maintien de l'applicabilité.
• Pour les contreparties sur marge, la simulation d'exposition doit saisir les effets de la garantie de marge qui est
reconnue comme un facteur d'atténuation du risque le long de chaque chemin d'exposition. Toutes les caractéristiques
contractuelles pertinentes telles que la nature de l'accord de marge (unilatéral ou bilatéral), la fréquence des appels
de marge, le type de collatéral, les seuils, les montants indépendants, les marges initiales et les montants de transfert
minimum doivent être capturées de manière appropriée par le modèle d'exposition. Pour déterminer la sûreté
disponible pour une banque à un moment donné de mesure de l'exposition, le modèle d'exposition doit supposer que
la contrepartie ne déposera ni ne restituera aucune sûreté dans un certain délai immédiatement avant ce moment.
La valeur supposée de cette période, appelée période de marge de risque (MPoR), ne peut être inférieure à un
plancher prudentiel. Le plancher de surveillance est égal à 9 + N jours ouvrables, où N est la période de remarginage
spécifiée dans l'accord de marge (en particulier, pour les accords de marge avec échange de marge quotidien ou
intrajournalier, le MPoR minimum est de 10 jours ouvrables) .
31. Les chemins d'exposition actualisés sont obtenus via des modèles d'exposition utilisés par une banque pour le calcul
du CVA front office/comptable, ajustés (si nécessaire) pour répondre aux exigences imposées pour le calcul réglementaire du
CVA. Le processus de calibrage du modèle (à l'exception du MPoR), les données de marché et de transaction utilisées pour le
calcul du CVA réglementaire doivent être les mêmes que celles utilisées pour le calcul du CVA comptable.
32. La génération des trajectoires des facteurs de risque de marché sousjacents aux modèles d'exposition doit satisfaire
aux exigences suivantes, le respect de ces exigences par la banque devant être démontré par la banque à son autorité de
contrôle compétente :
• Les dérives des facteurs de risque doivent être compatibles avec une mesure de probabilité neutre au risque. L'étalonnage
historique des dérives n'est pas autorisé.
• Les volatilités et les corrélations des facteurs de risque de marché doivent être calibrées sur les données du marché
chaque fois qu'il existe suffisamment de données sur un marché donné. Sinon, l'étalonnage historique est autorisé.
• La distribution des facteurs de risque modélisés doit tenir compte de l'éventuelle nonnormalité de la distribution des
expositions, y compris l'existence de leptokurtose ("fat tails"), le cas échéant.
33. La comptabilisation de la compensation est la même que dans les calculs comptables de la CVA. En particulier, le filet
l'incertitude peut être modélisée.
34. Les exigences relatives aux positions illiquides, qui sont comptabilisées à la juste valeur dans le cadre révisé du
risque de marché, s'étendent aux calculs comptables de la CVA. En particulier, tous les composants des modèles d'exposition
basés sur la comptabilité doivent être validés de manière indépendante.
35. Les exigences suivantes s'appliquent, le respect par la banque de ces exigences devant être
démontré par la banque à son autorité de contrôle compétente :
• Les modèles d'exposition utilisés pour calculer le CVA réglementaire doivent faire partie d'un cadre de gestion des
risques de CVA qui comprend l'identification, la mesure, la gestion, l'approbation et la
116 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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reporting du risque de marché CVA. Une banque doit avoir des antécédents crédibles dans l'utilisation de ces modèles
d'exposition pour calculer la CVA et les sensibilités de la CVA aux facteurs de risque de marché.
• La haute direction doit être activement impliquée dans le processus de contrôle des risques et doit considérer le
contrôle des risques de CVA comme un aspect essentiel de l'entreprise auquel des ressources importantes doivent
être consacrées.
• Les banques doivent mettre en place un processus pour garantir le respect d'un ensemble documenté de
politiques, contrôles et procédures internes concernant le fonctionnement du système d'exposition utilisé
pour les calculs comptables du CVA.
• Les banques doivent disposer d'une unité de contrôle indépendante responsable de la validation initiale et
continue effective des modèles d'exposition. Cette unité doit être indépendante des unités de crédit aux
entreprises et de négociation (y compris le bureau CVA), doit être dotée d'un personnel adéquat et doit rendre
compte directement à la direction générale de l'entreprise.
• Les banques doivent documenter le processus de validation initiale et continue de leurs modèles d'exposition
à un niveau de détail qui permettrait à un tiers de comprendre le fonctionnement du modèle, ses limites et
ses hypothèses clés ; et recréer l'analyse. Cette documentation doit indiquer la fréquence minimale à
laquelle la validation continue sera effectuée ainsi que d'autres circonstances (telles qu'un changement
soudain du comportement du marché). De plus, la documentation doit décrire comment la validation est
effectuée en ce qui concerne les flux de données et les portefeuilles, quelles analyses sont utilisées et
comment les portefeuilles représentatifs des contreparties sont construits.
• Les modèles de tarification utilisés pour calculer l'exposition pour une trajectoire donnée de facteurs de risque de marché
doivent être testés par rapport à des références indépendantes appropriées pour un large éventail d'états du marché dans
le cadre du processus de validation initial et continu du modèle. Les modèles d'évaluation des options doivent tenir compte
de la nonlinéarité de la valeur de l'option par rapport aux facteurs de risque du marché.
• Un examen indépendant du processus global de gestion du risque CVA doit être effectué régulièrement
dans le cadre du processus d'audit interne de la banque. Cet examen devrait inclure à la fois les activités
du bureau CVA et de l'unité indépendante de contrôle des risques.
• Les banques doivent définir les critères d'évaluation des modèles d'exposition et de leurs données d'entrée
et mettre en place une politique écrite décrivant le processus par lequel les performances inacceptables
seront déterminées et corrigées.
• Un modèle d'exposition doit capturer des informations spécifiques à la transaction afin d'agréger les expositions
au niveau de l'ensemble de compensation. Les banques doivent vérifier que les transactions sont affectées à
l'ensemble de compensation approprié dans le modèle.
• Les modèles d'exposition doivent refléter les conditions et les spécifications de la transaction de manière opportune,
complète et prudente. Les termes et spécifications doivent résider dans une base de données sécurisée qui fait
l'objet d'un audit formel et périodique. La transmission des données sur les conditions et les spécifications des
transactions au modèle d'exposition doit également faire l'objet d'un audit interne, et des processus de
rapprochement formels doivent être en place entre le modèle interne et les systèmes de données sources pour
vérifier en permanence que les conditions et les spécifications des transactions sont reflétées. dans le système
d'exposition correctement ou au moins prudemment.
• Les données de marché actuelles et historiques doivent être acquises indépendamment des métiers et être
conformes à la comptabilité. Ils doivent être introduits dans le modèle d'exposition en temps opportun et de
manière complète, et conservés dans une base de données sécurisée soumise à un audit formel et périodique.
Les banques doivent également disposer d'un processus d'intégrité des données bien développé pour traiter les
données d'observations erronées et/ou anormales. Dans la mesure où le modèle d'exposition s'appuie sur des
données de marché par procuration, les politiques internes doivent identifier les substituts appropriés et la banque
doit démontrer de manière empirique et continue que le substitut fournit une représentation prudente du risque sous
jacent dans des conditions de marché défavorables.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 117
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3. Haies éligibles
36. Seules les transactions complètes7 qui sont utilisées dans le but d'atténuer le risque de CVA et gérées comme
telles, peuvent être des couvertures éligibles.
37. Les couvertures de l'écart de crédit de la contrepartie et des composantes d'exposition au risque de CVA peuvent être
éligibles.
38. Instruments qui ne peuvent pas être inclus dans l'approche du modèle interne pour le risque de marché en vertu de la
la norme de risque de marché révisée (par exemple, les dérivés de crédit en tranches) ne peuvent pas être des couvertures CVA éligibles.
4. Multiplicateur
39. Pour compenser un niveau plus élevé de risque de modèle dans le calcul des sensibilités CVA par rapport aux sensibilités
de la valeur de marché des instruments du portefeuille de négociation, la mesure équivalente utilisée dans la norme de risque de marché
révisée est augmentée via un multiplicateur mCVA.
40. Le multiplicateur mCVA a une valeur par défaut de 1,25. Toutefois, la valeur par défaut du multiplicateur peut être augmentée
par l'autorité de contrôle de la banque si elle détermine que le risque du modèle CVA de la banque le justifie (par exemple, la dépendance
entre l'exposition de la banque à une contrepartie et la qualité de crédit de la contrepartie n'est pas prise en compte dans son calculs
CVA).
5. Calculs
41. L'exigence de fonds propres SACVA est calculée comme la somme des exigences de fonds propres pour risques delta et
vega calculées pour l'ensemble du portefeuille CVA (y compris les couvertures éligibles).
42. L'exigence de capital pour le risque delta est calculée comme la simple somme des exigences de capital delta calculées
indépendamment pour les six types de risque suivants : (i) taux d'intérêt (IR) ; (ii) change (FX) ; (iii) les spreads de crédit des contreparties ;
(iv) les spreads de crédit de référence (c'estàdire les spreads de crédit qui déterminent l'exposition) ; (v) fonds propres ; (vi) marchandise.
43. Si un instrument est considéré comme une couverture éligible pour le risque delta de spread de crédit, il doit être affecté
dans son intégralité (voir note de bas de page 7) soit au spread de crédit de la contrepartie, soit au type de risque de spread de crédit de
référence. Les instruments ne peuvent pas être répartis entre les deux types de risque.
44. L'exigence de capital pour risque vega est calculée comme la simple somme des exigences de capital vega calculées
indépendamment pour les cinq types de risque suivants : (i) taux d'intérêt (IR) ; (ii) change (FX) ; (iii) spreads de crédit de référence ; (iv)
capitaux propres ; (v) marchandise. Il n'y a pas d'exigence de capital vega pour le risque d'écart de crédit de la contrepartie.
45. Les exigences de fonds propres delta et vega sont calculées selon la même procédure décrite cidessous aux paragraphes
46 à 52.
AVC
46. Pour un type de risque donné, calculer la sensibilité du CVA agrégé, sk , et la sensibilité de
Hdg
la valeur de marché de tous les instruments de couverture éligibles du portefeuille CVA, type s
k , à chaque facteur de risque k dans
de risque. Les sensibilités sont définies comme le rapport entre le changement de la quantité en question (CVA agrégé ou valeur de
marché de toutes les couvertures CVA) causé par un petit changement de la valeur actuelle du facteur de risque et l'ampleur du
changement. Des définitions plus précises sont fournies pour chaque classe d'actifs à la section C.6. Ces définitions incluent des valeurs
spécifiques de déplacement des facteurs de risque. Toutefois, une banque peut utiliser des valeurs plus faibles de déplacement des
facteurs de risque si cela est conforme aux calculs internes de gestion des risques.
Les transactions ne peuvent pas être fractionnées en plusieurs transactions effectives.
sept
118 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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47. Lorsque les sensibilités CVA pour le risque vega sont calculées, le décalage de volatilité doit s'appliquer aux deux types de volatilités
qui apparaissent dans les modèles d'exposition : (i) les volatilités utilisées pour générer les trajectoires des facteurs de risque ; et (ii) les volatilités
utilisées pour évaluer les options. Les sensibilités CVA au risque vega sont toujours significatives et doivent être calculées que le portefeuille
contienne ou non des options.
48. Si un instrument de couverture est un indice, ses sensibilités à tous les facteurs de risque dont dépend la valeur de l'indice doivent
être calculées. La sensibilité de l'indice au facteur de risque k doit être calculée en appliquant le déplacement du facteur de risque k à tous les
composants de l'indice qui dépendent de ce facteur de risque et en recalculant l'indice.
Par exemple, pour calculer la sensibilité delta du S&P500 aux grandes sociétés financières, les banques doivent appliquer le décalage
correspondant aux cours des actions de toutes les grandes sociétés financières qui font partie du S&P500 et recalculer l'indice.
49. AVC
Obtenir les sensibilités pondérées WSk e
pt
our
Hdgchaque
facteur de risque k en multipliant les sensibilités nettes s et Hdg ,
respectivement, par la pondération de risque correspondante RWk (les pondérations de risque applicables
CVAk sk
à chaque type de risque sont précisés à la section C.6).
AVC AVC
WS
k
RW
=s
kk
WS RW s
Hdg =
k k k
Hdg
50. La sensibilité nette pondérée du portefeuille CVA sk au facteur de risque k est obtenue via :
AVC Hdg
= WS + kk k
WS WS
51. Les sensibilités pondérées doivent être agrégées en une exigence de capital Kb au sein de chaque tranche b (les tranches et les
ρ cl de risque sont précisés à la section C.6).
paramètres de corrélation applicables à chaque type
= 2 Hdg 2
Kb ∑ WS +
∑∑ k ρ cl
WS WS R +
k je
∑
( WS )
k
k b k ; bl bl
≠k ko
où R est le paramètre d'interdiction de couverture, fixé à 0,01, qui empêche la possibilité d'une couverture parfaite du risque de CVA.
52. Les charges de capital au niveau de la tranche doivent ensuite être agrégées pour toutes les tranches au sein de chaque type de risque
paramètres de corrélation (les exigences applicables à chaque type de risque sont précisées à la section C.6.
γ avant JC
KmK
=
CVA ∑ ∑∑ b
2
+ γ avant JC
KK
b c
b bcb ≠
A noter que cette équation diffère de l'équation correspondante dans la norme révisée de risque de marché par l'absence de valeur résiduelle et
de quantités Sb et la présence du multiplicateur mCVA.
6. Compartiments, facteurs de risque, sensibilités, pondérations de risque et corrélations8
(un) Taux d'intérêt
53. Pour les risques delta et vega de taux d'intérêt, les compartiments sont des devises individuelles.
55. Facteurs de risque de delta de taux d'intérêt pour la devise nationale d'une banque et pour les devises suivantes :
USD, EUR, GBP, AUD, CAD, SEK ou JPY :
8 Les pondérations de risque et les corrélations correspondent à celles du SATB, à l'exception des corrélations interténors des taux
d'intérêt qui sont obtenues via la formule sousjacente aux corrélations des taux d'intérêt dans le SACCR (voir pages 1417 de
approche de mesure des expositions au risque de contrepartie », www.bis.org/publ/bcbs_wp26.pdf). Les nombres dans les tableaux
sont susceptibles de changer si l'étalonnage du SATB change.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 119
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• Les facteurs de risque delta des taux d'intérêt sont les variations absolues du taux d'inflation et des rendements
sans risque pour les cinq durées suivantes : 1 an, 2 ans, 5 ans, 10 ans et 30 ans.
• Les sensibilités aux rendements susmentionnés sont mesurées en modifiant le rendement sans risque dans
une devise donnée de 1 point de base (0,0001 en valeur absolue) et en divisant la variation résultante du
CVA agrégé (ou de la valeur des couvertures de CVA) par 0,0001. La sensibilité au taux d'inflation est obtenue
en modifiant le taux d'inflation de 1 point de base et en divisant la variation résultante du CVA agrégé (ou de
la valeur des couvertures de CVA) par 0,0001.
• Les pondérations de risque RWk sont données par :
• Corrélations ρ cl entre les paires de facteurs de risque sont :
Inflation 100%
56. Facteurs de risque delta de taux d'intérêt pour toute devise non spécifiée au paragraphe 55 :
• Les facteurs de risque de taux d'intérêt sont la variation absolue du taux d'inflation et le déplacement parallèle de l'ensemble
de la courbe des taux sans risque pour une devise donnée.
• La sensibilité à la courbe de rendement est mesurée en décalant toutes les courbes de rendement sans
risque dans une devise donnée de 1 point de base (0,0001 en termes absolus) et en divisant la variation
résultante du CVA agrégé (ou de la valeur des couvertures de CVA) par 0,0001. La sensibilité au taux
d'inflation est obtenue en modifiant le taux d'inflation de 1 point de base et en divisant la variation résultante
du CVA agrégé (ou de la valeur des couvertures de CVA) par 0,0001.
• Les pondérations de risque pour la courbe des rendements sans risque et le taux d'inflation sont fixées à RWk = 2 25 . % .
• Les corrélations entre la courbe des taux sans risque et le taux d'inflation sont fixées à ρ cl = 40% .
57. Facteurs de risque de taux d'intérêt vega pour n'importe quelle devise :
• Les facteurs de risque vega des taux d'intérêt sont un changement relatif simultané de toutes les volatilités du taux
d'inflation et un changement relatif simultané de toutes les volatilités des taux d'intérêt pour une devise donnée.
• La sensibilité aux volatilités des taux d'intérêt (ou du taux d'inflation) est mesurée en déplaçant simultanément
toutes les volatilités des taux d'intérêt (ou du taux d'inflation) de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et
en divisant la variation résultante du CVA agrégé (ou la valeur du CVA haies) de 0,01.
• Les pondérations de risque pour les volatilités des taux d'intérêt et de l'inflation sont fixées à RW
kR=W 6 σ , où
RW est fixé à 55 %.
σ
• Les corrélations entre les volatilités des taux d'intérêt et les volatilités de l'inflation sont fixées à ρ = 40% .
cl
120 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(b) Change (FX)
58. Pour les risques de change delta et vega, les compartiments sont des devises individuelles, à l'exception des devises nationales d'une banque.
devise.
60. Facteurs de risque delta FX pour toute devise étrangère :
• Le seul facteur de risque delta de change est la variation relative du taux de change au comptant entre une devise étrangère
donnée et la devise nationale d'une banque (c'estàdire que seuls les taux de change étrangersnationaux sont des facteurs
de risque).
• Les sensibilités au taux de change au comptant sont mesurées en modifiant un taux de change étrangerintérieur donné de
1 % par rapport à sa valeur actuelle et en divisant la variation résultante du CVA agrégé (ou la valeur des couvertures de
CVA) par 0,01. Tous les taux étrangersétrangers impliquant la devise du taux étrangerintérieur décalé sont décalés en
conséquence via la représentation du taux étrangerétranger comme le rapport de deux taux étrangersintérieurs (par
exemple, si l'EUR est la devise nationale et que l'USDEUR est décalé , la valeur décalée de USDGBP est obtenue comme
le rapport de la valeur décalée de USDEUR à la valeur non décalée de GBPEUR).
•
Les pondérations de risque pour tous les taux de change étrangersintérieurs sont fixées à RWk = 21 % .
61. Facteurs de risque FX vega pour toute devise étrangère :
• Le facteur de risque vega de change unique est un changement relatif simultané de toutes les volatilités pour un taux de
change étrangerintérieur donné.
• Les sensibilités aux volatilités de change sont mesurées en décalant simultanément toutes les volatilités pour un taux de
change intérieurétranger donné de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et en divisant la variation résultante du CVA
agrégé (ou la valeur des couvertures de CVA) par 0,01. Les volatilités de tous les taux de change impliquant la devise
modifiée sont décalées en fonction de la représentation de la volatilité du taux de change étranger via deux volatilités du
taux de change étrangerintérieur et de la corrélation implicite pertinente (cette dernière est supposée fixe).
• Les pondérations de risque pour les volatilités de change sont fixées à kR=
RW W 4 , où RW est fixé
σ
à 55 %.
σ
(c) Spread de contrepartie
62. Pour le spread de crédit de la contrepartie, le risque vega n'est pas calculé. Les compartiments pour le risque delta sont :
Numéro de compartiment Secteur
1 a) Souverains, y compris les banques centrales, les banques multilatérales de développement
b) Gouvernements locaux, sociétés non financières soutenues par le gouvernement, éducation et administration publique
2 Services financiers, y compris les services financiers soutenus par le gouvernement
3 Matériaux de base, énergie, industrie, agriculture, fabrication, mines et carrières
4 Biens et services de consommation, transport et entreposage, activités de services administratifs et de soutien
5 Technologie, télécommunications
6 Soins de santé, services publics, activités professionnelles et techniques
sept Autre secteur
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 121
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Seau 1 2 3 4 5 6
4 100% 25% 5%
5 100% 5%
6 100%
• Pour les corrélations interbuckets
γ avant JC appliquer à travers le godet 7 et un autre godet, γ avant JC
= 0 %.
64. Facteurs de risque delta de spread de crédit de contrepartie pour un bucket donné :
• Les facteurs de risque delta de spread de crédit de contrepartie sont des variations absolues des spreads de crédit
d'entités individuelles (contreparties et noms de référence pour les couvertures de spread de crédit de contrepartie) aux
échéances suivantes : 0,5 an, 1 an, 3 ans, 5 ans et 10 ans.
• Pour une entité et un point de durée donnés, les sensibilités sont mesurées en décalant le spread de crédit pertinent de
1 point de base (0,0001 en termes absolus) et en divisant la variation résultante du CVA agrégé (ou de la valeur des
couvertures de CVA) par 0,0001.
• Les pondérations de risque RWk sont les mêmes pour toutes les durées et dépendent de la tranche de l'entité selon :
où IG, HY et NR sont les notations abrégées pour « investment grade », « high yield » et « notrated ». Cette désignation
de qualité de crédit est la même que dans le BACVA (voir paragraphe 14).
• Corrélations ρ cl entre différentes durées pour une même entité sont fixées à 90 %.
Pour les entités non liées de même qualité de crédit (IG et IG ou HY/NR et HY/NR) :
• Corrélations ρ cl entre les mêmes teneurs sont fixées à 50 %.
• Corrélations ρ cl entre différentes durées sont fixées à 45 %.
Pour les entités non liées de qualité de crédit différente (IG et HY/NR) :
• Corrélations ρ cl entre les mêmes ténors sont fixés à 40 %.
• Corrélations ρ cl entre les différents ténors sont fixés à 36 %.
Pour les entités juridiquement liées :
• Corrélations ρ cl entre les mêmes teneurs sont fixées à 90 %.
• Corrélations ρ cl entre différents ténors sont fixés à 81 %.
(ré) Spread de crédit de référence
65. Pour les spreads de crédit de référence, les risques delta et vega sont calculés. Les tranches pour les risques delta et
vega sont les suivantes (avec les désignations de qualité de crédit IG, HY et NR identiques à celles du paragraphe 14 du BACVA) :
122 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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1 Souverains dont banques centrales, banques multilatérales de développement
2 Gouvernement local, nonfinanciers soutenus par le gouvernement, éducation et administration
publique
3 Services financiers, y compris les services financiers soutenus par le gouvernement
4 Qualité d'investissement Matériaux de base, énergie, industrie, agriculture, fabrication, mines et carrières
(IG)
5 Biens et services de consommation, transport et entreposage, activités de services administratifs et de
soutien
6 Technologie, télécommunications
sept
Soins de santé, services publics, activités professionnelles et techniques
8 Souverains dont banques centrales, banques multilatérales de développement
9 Gouvernement local, nonfinanciers soutenus par le gouvernement, éducation et administration
publique
dix Services financiers, y compris les services financiers soutenus par le gouvernement
11 Haut rendement (HY) Matériaux de base, énergie, industrie, agriculture, fabrication, mines et carrières
& non noté (NR)
12 Biens et services de consommation, transport et entreposage, activités de services administratifs et de
soutien
13 Technologie, télécommunications
14 Soins de santé, services publics, activités professionnelles et techniques
15 (Non applicable) Autre secteur
la catégorie de qualité de crédit (c'estàdire IG ou HY&NR) sont données par
6/13 100% 5%
7/14 100%
• Pour les corrélations interbuckets γ avant JC
s'appliquant aux catégories IG et HY&NR, ces corrélations
sont divisés par 2.
• Pour les corrélations interbuckets γ avant JC
appliquer à travers le godet 15 et un autre godet, γ avant JC
est réglé sur 0 %.
67. Facteurs de risque delta de spread de crédit de référence pour une tranche donnée :
• Le facteur de risque delta de spread de crédit de référence unique est un déplacement absolu simultané des spreads de
crédit de toutes les échéances pour tous les noms de référence de la tranche.
• La sensibilité aux spreads de crédit de référence est mesurée en décalant les spreads de crédit de tous les noms de référence
de la tranche de 1 point de base (0,0001 en termes absolus) et en divisant la variation résultante du CVA agrégé (ou de la
valeur des couvertures de CVA) par 0,0001.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 123
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• Pondérations de risque RW
kdépendent du bucket du nom de référence selon :
Godet IG 1 2 3 4 5 6 sept
Godet HY/NR 8 9 dix 11 12 13 14 15
68. Facteurs de risque vega de spread de crédit de référence pour une tranche donnée :
• Le facteur de risque vega de spread de crédit de référence unique est un déplacement relatif simultané des volatilités des
spreads de crédit de toutes les échéances pour tous les noms de référence de la tranche.
• La sensibilité à la volatilité du spread de crédit de référence est mesurée en décalant les volatilités des
spreads de crédit de tous les noms de référence de la tranche de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et
en divisant la variation résultante du CVA agrégé (ou de la valeur des couvertures CVA) par 0,01 .
• = 12
Les pondérations de risque pour les volatilités des spreads de crédit de référence sont fixées à RW kRW σ , où RW
σ
est
fixé à 55 %.
(e) Équité
69. Pour les risques delta et vega sur actions, les tranches sont définies comme suit :
1 Biens et services de consommation, transport et entreposage, activités de services administratifs et de
soutien, soins de santé, services publics
2 Marché Télécommunications, industriels
émergent
3 Matériaux de base, énergie, agriculture, industrie manufacturière, mines et carrières
économies
4 Services financiers, y compris les services financiers soutenus par le gouvernement, les activités
immobilières, la technologie
Grand
5 Biens et services de consommation, transport et entreposage, activités de services administratifs et de
soutien, soins de santé, services publics
6 Avancé Télécommunications, industriels
économies
sept
Matériaux de base, énergie, agriculture, industrie manufacturière, mines et carrières
8 Services financiers, y compris les services financiers soutenus par le gouvernement, les activités
immobilières, la technologie
9 Marché Tous les secteurs décrits sous les buckets numéros 1, 2, 3 et 4
émergent
Petit économies
11 (N'est pas applicable) Autre secteur
La terminologie utilisée dans la définition de la tranche actions doit être comprise comme suit :
• La capitalisation boursière (« capitalisation boursière ») est définie comme la somme des capitalisations boursières de
la même entité juridique ou groupe d'entités juridiques sur tous les marchés boursiers du monde.
• La « grande capitalisation boursière » est définie comme une capitalisation boursière égale ou supérieure à 2 milliards USD
et la « petite capitalisation boursière » est définie comme une capitalisation boursière inférieure à 2 milliards USD.
124 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• Les économies avancées sont le Canada, les ÉtatsUnis, le Mexique, la zone euro, les pays d'Europe
occidentale hors zone euro (RoyaumeUni, Norvège, Suède, Danemark et Suisse), le Japon, l'Océanie
(Australie et NouvelleZélande), Singapour et RAS de Hong Kong.
• Pour attribuer une exposition au risque à un secteur, les banques doivent s'appuyer sur une classification couramment
utilisée sur le marché pour regrouper les émetteurs par secteur d'activité. La banque doit affecter chaque émetteur à
l'un des compartiments sectoriels du tableau cidessus et elle doit affecter tous les émetteurs du même secteur au
même secteur. Les positions de risque de tout émetteur qu'une banque ne peut pas affecter à un secteur de cette
manière doivent être affectées à « l'autre secteur » (c'estàdire la catégorie 11). Pour les émetteurs multinationaux
d'actions multisectoriels, l'allocation à une tranche particulière doit être effectuée en fonction de la région et du
secteur les plus importants dans lesquels l'émetteur opère.
71. Facteurs de risque delta actions pour une tranche donnée :
• Le facteur de risque delta des actions unique est un changement relatif simultané des prix au comptant des actions pour
tous les noms de référence de la tranche.
• Les sensibilités aux facteurs de risque delta actions sont mesurées en modifiant les prix au comptant des actions
pour tous les noms de référence de la tranche de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et en divisant la variation
résultante du CVA agrégé (ou la valeur des couvertures CVA) par 0,01.
• Les pondérations de risque RWk dépendent du bucket du nom de référence selon le tableau suivant :
Numéro de compartiment Pondération du risque
1 55%
2 60%
3 45%
4 55%
5 30%
6 35%
sept 40%
8 50%
9 70%
dix 50%
11 70%
72. Facteurs de risque vega actions pour une tranche donnée :
• Le facteur de risque vega sur actions unique est un déplacement relatif simultané des volatilités pour tous les titres
de référence de la tranche.
• Les sensibilités aux facteurs de risque actions vega sont mesurées en décalant les volatilités de tous les noms de
référence de la tranche de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et en divisant la variation résultante du CVA
agrégé (ou de la valeur des couvertures de CVA) par 0,01.
• = 2 pour les tranches de grande capitalisation et
RW kRW
Les pondérations de risque pour les volatilités des actions sont fixées à σ
= 6 pour
RW kRW σ les tranches de petites capitalisations, où RW est fixé à 5σ5 %. à
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 125
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(F) Produit de base
73. Pour les risques delta et vega sur matières premières, les tranches sont définies comme suit :
1 Énergie – Combustibles solides charbon, charbon de bois, granulés de bois, combustible nucléaire (comme l'uranium)
2 Énergie – Combustibles liquides pétrole brut (tel que légerdoux, lourd, WTI et Brent); les biocarburants (tels que le
bioéthanol et le biodiesel); les produits pétrochimiques (tels que le propane, l'éthane,
l'essence, le méthanol et le butane); carburants raffinés (comme le carburéacteur, le
kérosène, le gasoil, le mazout, le naphta, le mazout et le diesel)
3 Énergie – Commerce de l'électricité et électricité (telle que spot, dayahead, pointe et hors pointe); échange d'émissions
du carbone de carbone (telles que les réductions d'émissions certifiées, l'EUA du mois de
livraison, l'allocation de CO2 RGGI et les certificats d'énergie renouvelable)
4 Fret route du vrac sec (telle que capesize, panamex, handysize et supramax);
route de transport de vrac liquide/gaz (comme suezmax, aframax et les très
grands transporteurs de pétrole brut)
5 Métaux – non précieux métaux de base (tels que l'aluminium, le cuivre, le plomb, le nickel, l'étain et le zinc);
matières premières en acier (telles que billettes d'acier, fil d'acier, bobines d'acier,
ferraille d'acier et barres d'armature en acier, minerai de fer, tungstène, vanadium,
titane et tantale); métaux mineurs (tels que le cobalt, le manganèse, le molybdène)
6 Combustibles gazeux gaz naturel; or gaz naturel liquéfié; argent;
sept
Métaux précieux (y compris l'or) platine; maïs palladié; du blé; le soja
8 Céréales et oléagineux (comme les graines de soja, l'huile de soja et la farine de soja); L'avoine; huile
de palme; colza; orge; les graines de colza (telles que les graines de colza, l'huile
de colza et la farine de colza); haricot rouge, sorgho; huile de noix de coco; huile
d'olive; huile d'arachide; huile de tournesol; riz
9 Bétail et produits laitiers bovins (tels vivants et d'engraissement); porc; la volaille; agneau; poisson; crevette; produits
laitiers (comme le lait, le lactosérum, les œufs, le beurre et le fromage)
11 Autre marchandise les minéraux industriels (tels que la potasse, les engrais et les roches phosphatées), les
terres rares ; l'acide téréphtalique; verre plat
qui relèvent des numéros de compartiment 1 à 10. γ avant JC
= 0 % pour toutes les paires crossbuckets qui incluent le bucket 11.
75. Facteurs de risque delta des matières premières pour un bucket donné :
• Le facteur de risque delta unique pour les matières premières est un changement relatif simultané des prix au comptant des matières premières
pour toutes les matières premières de la tranche.
• Les sensibilités aux facteurs de risque delta des matières premières sont mesurées en modifiant les prix au comptant de toutes
les matières premières de la tranche de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et en divisant la variation résultante de la CVA
agrégée (ou la valeur des couvertures CVA) par 0,01.
• Les pondérations de risque RWk dépendent du bucket du nom de référence selon le tableau suivant :
RW 30% 35% 60% 80% 40% 45% 20% 35% 25% 35% 50%
126 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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76. Facteurs de risque vega des matières premières pour un seau donné :
• Le facteur de risque vega pour une seule matière première est un déplacement relatif simultané des volatilités pour toutes
les matières premières de la tranche.
• Les sensibilités aux facteurs de risque vega des matières premières sont mesurées en décalant les volatilités de
toutes les matières premières de la tranche de 1 % par rapport à leurs valeurs actuelles et en divisant la variation
résultante de la CVA agrégée (ou la valeur des couvertures de CVA) par 0,01.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 127
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Exigences minimales de fonds propres pour risque opérationnel
1. Introduction
systèmes inadéquats
Le risque oopérationnel
u défaillants
est
ou
défini
d'événements
comme le erisque
xternes.
de C
perte
ette d
résultant
éfinition dinclut
e processus
le risque
1.
juridique1,
internes, dm
e
ais
personnes
exclut le
ert
isque
de
stratégique et de réputation.
toutes les aL'approche
pproches esxistantes
tandard pdour
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exigences
âle II2 . Am
utrement
inimales
ddit,
e
cfette
onds
nporme
ropres
remplace
pour le lres
isque
paragraphes
opérationnel
644
2.
àr 6
emplace
83 du
cadre de Bâle II.
3. Conformément à la Partie I (Champ d'application) du Cadre de Bâle II, l'approche standard s'applique aux banques
actives à l'échelle internationale sur une base consolidée. Les autorités de contrôle conservent le pouvoir discrétionnaire
d'appliquer le cadre de l'approche standard aux banques non actives à l'international.
2. L'approche standardisée
4. La méthodologie de l'approche standard est basée sur les composants suivants : (i) l'indicateur d'activité (BI) qui est
une approximation du risque opérationnel basée sur les états financiers ; (ii) le Business Indicator Component (BIC), qui est
calculé en multipliant le BI par un ensemble de coefficients marginaux déterminés par la réglementation (αi) ; et (iii) l'Internal
Loss Multiplier (ILM), qui est un facteur d'échelle basé sur les pertes historiques moyennes d'une banque et le BIC.
L'indicateur d'activité
L'indicateur d'activité (BI) comprend trois composantes : les intérêts, les baux et le dividende
5. composant (ILDC); la composante services (SC) et la composante financière (FC).
6. Le BI est défini comme :
BI ILDC SC FC = ++
Dans la formule cidessous, une barre audessus d'un terme indique qu'il est calculé comme la moyenne sur trois ans : t, t1 et
t2, et :3
SC =
Max Autres
revenus d'exploitation
+ Max FeeRevenu ;FeeExpense
; Autres dépenses d'exploitation
CF Abs
= & n(et P Abs Net P LBankingBook
LTradingBook ) + &
( )
1
Le risque juridique comprend, mais sans s'y limiter, l'exposition à des amendes, des pénalités ou des dommagesintérêts punitifs résultant d'actions de
surveillance, ainsi que des règlements privés.
2
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Bâle II : Convergence internationale de la mesure et des normes de fonds propres : Un cadre révisé – Version
complète, juin 2006, www.bis.org/pub/bcbs128.htm.
3
La valeur absolue des éléments nets (par exemple, revenus d'intérêts – charges d'intérêts) doit être calculée d'abord année par année. Ce n'est qu'après ce
calcul année par année qu'il faut calculer la moyenne des trois années.
128 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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sept.
Les définitions de chacune des composantes de l'IB sont fournies en annexe de cette section.
Le composant d'indicateur d'activité
8. Pour calculer le BIC, le BI est multiplié par les coefficients marginaux (αi). Les coefficients marginaux augmentent avec
la taille du BI comme le montre le tableau 1. Pour les banques de la première tranche (c'estàdire avec un BI inférieur ou égal à 1
Md€), le BIC est égal à BI x 12 %. L'augmentation marginale du BIC résultant d'une augmentation d'une unité du BI est de 12% dans
le bucket 1, 15% dans le bucket 2 et 18% dans le bucket 3. Par exemple, étant donné un BI = 35 milliards d'euros, le BIC = (1 x
12%) + (301) x 15% + (3530) x 18% = 5,37 Md€.
Fourchettes BI et coefficients marginaux Tableau 1
1 ≤1 12%
2 1 < IB ≤30 15%
3 > 30 18%
Le multiplicateur de perte interne
9. L'expérience interne de perte de risque opérationnel d'une banque affecte le calcul du capital de risque opérationnel par
le biais du multiplicateur de perte interne (ILM). L'ILM est défini comme :
0,8
CL
1 −+
ILM Ln exp 1
= ( )
BIC
où la composante de perte (LC) est égale à 15 fois les pertes annuelles moyennes de risque opérationnel subies au cours des 10
années précédentes. L'ILM est égal à un où les composantes perte et indicateur d'activité sont égales. Lorsque le LC est supérieur
au BIC, l'ILM est supérieur à un. Autrement dit, une banque dont les pertes sont élevées par rapport à son BIC est tenue de détenir
des fonds propres plus élevés en raison de l'incorporation des pertes internes dans la méthodologie de calcul. Inversement, lorsque
le LC est inférieur au BIC, l'ILM est inférieur à un. Autrement dit, une banque dont les pertes sont faibles par rapport à son BIC est
tenue de détenir des fonds propres inférieurs en raison de l'incorporation des pertes internes dans la méthodologie de calcul.
dix. Le calcul des pertes moyennes dans la composante des pertes doit être basé sur 10 ans de données de haute qualité
sur les pertes annuelles. Les exigences qualitatives pour la collecte de données sur les pertes sont décrites aux paragraphes 19 à
31. Dans le cadre de la transition vers l'approche standard, les banques qui ne disposent pas de données de haute qualité sur 10
ans peuvent utiliser un minimum de cinq années de données pour calculer la perte. Composante.4 Les banques qui ne disposent
pas de cinq années de données de haute qualité sur les pertes doivent calculer l'exigence de capital sur la seule base de la
composante BI. Les superviseurs peuvent toutefois exiger d'une banque qu'elle calcule les exigences de fonds propres en utilisant
moins de cinq ans de pertes si l'ILM est supérieur à 1 et si les superviseurs estiment que les pertes sont représentatives de
l'exposition de la banque au risque opérationnel.
L'exigence de fonds propres pour risque opérationnel selon l'approche standard
11. L'exigence de fonds propres pour risque opérationnel est déterminée par le produit du BIC et de l'ILM. Pour les banques
du bucket 1 (c'estàdire avec BI ≤ 1 milliard d'euros), les données de pertes internes n'affectent pas le calcul du capital. C'estàdire
que l'ILM est égal à 1, de sorte que le capital risque opérationnel est égal au BIC (=12% · BI).
4
Ce traitement ne devrait pas s'appliquer aux banques qui utilisent actuellement les approches de mesure avancées pour déterminer les exigences
de fonds propres pour risque opérationnel.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 129
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12. À la discrétion nationale, les autorités de contrôle peuvent autoriser l'inclusion de données internes sur les pertes dans le cadre
pour les banques de la tranche 1, sous réserve du respect des exigences de collecte de données sur les pertes précisées aux paragraphes
19 à 31. En outre, à la discrétion nationale, les autorités de contrôle peuvent fixer la valeur de ILM égal à 1 pour toutes les banques de leur
juridiction. En cas d'exercice de ce pouvoir discrétionnaire, les banques seraient toujours soumises à l'ensemble complet des obligations
d'information résumées au paragraphe 32.
13. Le capital minimum pour risque opérationnel (ORC) est calculé en multipliant le BIC et l'ILM : 5
ORC =B IC ILM
3. Application de l'approche standardisée au sein d'un groupe
14. Au niveau consolidé, les calculs de l'approche standard utilisent les chiffres BI consolidés en intégration globale, nets de tous les
produits et charges intragroupe. Les calculs à un niveau sousconsolidé utilisent les chiffres BI pour les banques consolidées à ce sous
niveau particulier. Les calculs au niveau de la filiale utilisent les chiffres BI de la filiale.
15. À l'instar des sociétés holding bancaires, lorsque les chiffres de la BI pour les banques sousconsolidées ou filiales atteignent le
niveau 2, ces banques sont tenues d'utiliser l'expérience des pertes dans les calculs de l'approche standard.
Une banque sousconsolidée ou une banque filiale utilise uniquement les pertes qu'elle a subies dans les calculs de l'approche standard (et
n'inclut pas les pertes subies par d'autres parties de la société holding bancaire).
16. Dans le cas où une filiale d'une banque appartenant au bucket 2 ou supérieur ne répond pas aux normes qualitatives pour
l'utilisation de la composante de perte, cette filiale doit calculer les exigences de fonds propres de l'approche standard en appliquant 100 %
de la composante BI. Dans de tels cas, les autorités de contrôle peuvent exiger de la banque qu'elle applique un ILM supérieur à 1.
4. Normes minimales pour l'utilisation des données sur les pertes dans le cadre de l'approche standard
17. Les banques dont le BI est supérieur à 1 milliard d'euros sont tenues d'utiliser les données sur les pertes comme entrée directe
dans les calculs du capital de risque opérationnel. La fiabilité de la collecte des données ainsi que la qualité et l'intégrité des données sont
essentielles pour générer des résultats en capital alignés sur l'exposition aux pertes opérationnelles de la banque. Les normes minimales
relatives aux données sur les pertes sont décrites aux paragraphes 19 à 31. Les autorités de contrôle nationales devraient examiner
périodiquement la qualité des données sur les pertes des banques.
18. Les banques qui ne respectent pas les normes de données sur les pertes sont tenues de détenir un capital au minimum égal à
100 % du BIC. Dans de tels cas, les autorités de contrôle peuvent exiger de la banque qu'elle applique un ILM supérieur à 1. L'exclusion des
données internes sur les pertes en raison du nonrespect des normes relatives aux données sur les pertes et l'application de tout multiplicateur
qui en résulte doivent être rendues publiques.
5. Critères généraux sur l'identification, la collecte et le traitement des données sur les pertes
19. L'identification, la collecte et le traitement appropriés des données internes sur les pertes sont des conditions préalables
essentielles au calcul du capital dans le cadre de l'approche standard. Les critères généraux d'utilisation du LC sont les suivants :
5
Les actifs pondérés en fonction des risques pour le risque opérationnel sont égaux à 12,5 fois l'ORC.
130 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(un) Les calculs de données sur les pertes générés en interne et utilisés à des fins de fonds propres réglementaires doivent être basés sur une
période d'observation de 10 ans. Lorsque la banque passe pour la première fois à l'approche standard, une période d'observation de cinq ans
est exceptionnellement acceptable lorsque des données de bonne qualité ne sont pas disponibles pendant plus de cinq ans.
(b) Les données internes sur les pertes sont plus pertinentes lorsqu'elles sont clairement liées aux activités commerciales, aux processus
technologiques et aux procédures de gestion des risques actuels d'une banque. Par conséquent, une banque doit disposer de procédures et de
processus documentés pour l'identification, la collecte et le traitement des données internes sur les pertes. Ces procédures et processus doivent
faire l'objet d'une validation avant l'utilisation des données sur les pertes dans le cadre de la méthodologie de mesure des exigences de fonds
propres pour risque opérationnel, et de revues indépendantes régulières par des fonctions d'audit interne et/ou externe.
(c) À des fins de gestion des risques et pour faciliter la validation et/ou l'examen prudentiel, un contrôleur peut demander à une banque de
cartographier ses données historiques de pertes internes dans les catégories prudentielles de niveau 1 pertinentes telles que définies à l'annexe
9 du cadre de Bâle II et de fournir ces données. données aux superviseurs.
La banque doit documenter les critères d'affectation des pertes aux types d'événements spécifiés.
(ré) Les données internes sur les pertes d'une banque doivent être complètes et saisir toutes les activités et expositions matérielles de tous les sous
systèmes et emplacements géographiques appropriés. Le seuil minimum d'inclusion d'un sinistre dans la collecte des données et le calcul des
sinistres moyens annuels est fixé à 20 000 €. À la discrétion nationale, aux fins du calcul des pertes annuelles moyennes, les superviseurs
peuvent augmenter le seuil à 100 000 € pour les banques des tranches 2 et 3 (c'estàdire lorsque le BI est supérieur à 1 Md€).
(e) Outre les informations sur les montants des pertes brutes, la banque doit collecter des informations sur les dates de référence des événements
de risque opérationnel, y compris la date à laquelle l'événement s'est produit ou a commencé ("date d'occurrence"), le cas échéant ; la date à
laquelle la banque a eu connaissance de l'événement ("date de découverte"); et la date (ou les dates) à laquelle un événement générateur de
pertes entraîne une perte, une réserve ou une provision contre une perte comptabilisée dans les comptes de profits et pertes (P&L) de la banque
("date de comptabilisation"). En outre, la banque doit collecter des informations sur les recouvrements des montants des pertes brutes ainsi que
des informations descriptives sur les moteurs ou les causes de l'événement de perte.6 Le niveau de détail de toute information descriptive doit
être proportionné à l'ampleur du montant des pertes brutes.
(F) Les événements de perte opérationnelle liés au risque de crédit et qui sont comptabilisés dans les RWA du risque de crédit ne doivent pas être
inclus dans l'ensemble de données sur les pertes. Les événements de perte opérationnelle liés au risque de crédit, mais qui ne sont pas pris en
compte dans les RWA du risque de crédit, doivent être inclus dans l'ensemble de données sur les pertes.
(g) Les pertes liées au risque opérationnel liées au risque de marché sont traitées comme un risque opérationnel aux fins du calcul du capital
réglementaire minimum en vertu de ce cadre et seront donc soumises à l'approche standard du risque opérationnel.
(h) Les banques doivent disposer de processus pour examiner de manière indépendante l'exhaustivité et l'exactitude des données sur les pertes.
6
Les incidences fiscales (par exemple, les réductions de l'impôt sur les sociétés dû à des pertes opérationnelles) ne sont pas des récupérations aux
fins de l'approche standard du risque opérationnel.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 131
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6. Critères spécifiques sur l'identification, la collecte et le traitement des données de perte
Construction de l'ensemble de données de perte d'approche standardisée
20. Construire un ensemble de données de perte acceptable à partir des données internes disponibles nécessite que la banque développe
des politiques et des procédures pour traiter plusieurs caractéristiques, y compris la définition de la perte brute, la date de référence et les pertes
groupées.
Définitions de la perte brute, de la perte nette et du recouvrement
21. La perte brute est une perte avant les recouvrements de tout type. La perte nette est définie comme la perte après prise en compte de
l'impact des recouvrements. Le recouvrement est un événement indépendant, lié à l'événement de perte initial, séparé dans le temps, dans lequel
des fonds ou des entrées d'avantages économiques sont reçus d'un tiers.7
22. Les banques doivent être en mesure d'identifier les montants des pertes brutes, les recouvrements hors assurance et les recouvrements
d'assurance pour tous les événements de perte opérationnelle. Les banques doivent utiliser les pertes nettes des recouvrements (y compris les
recouvrements d'assurance) dans l'ensemble de données sur les pertes. Cependant, les recouvrements ne peuvent être utilisés pour réduire les
pertes qu'après que la banque a reçu le paiement. Les créances ne sont pas considérées comme des recouvrements. La vérification des paiements
reçus pour les pertes nettes doit être fournie aux superviseurs sur demande.
23. Les éléments suivants doivent être inclus dans le calcul des pertes brutes de l'ensemble de données sur les pertes :
(un) Les imputations directes, y compris les dépréciations et les règlements, sur les comptes de résultat de la banque et les dépréciations
dues à l'événement de risque opérationnel ;
(b) Les coûts encourus à la suite de l'événement, y compris les dépenses externes ayant un lien direct avec l'événement de risque
opérationnel (par exemple, les frais juridiques directement liés à l'événement et les honoraires payés aux conseillers, avocats ou
fournisseurs) et les coûts de réparation ou de remplacement, engagés pour rétablir le position qui prévalait avant l'événement de risque
opérationnel ;
(c) Provisions ou réserves comptabilisées dans le compte de résultat par rapport à l'impact potentiel sur les pertes opérationnelles ;
(ré) Les pertes résultant d'événements de risque opérationnel ayant un impact financier définitif, qui sont temporairement comptabilisées
dans des comptes transitoires et/ou d'attente et qui ne sont pas encore reflétées dans le P&L ("pertes en attente").8 Les pertes
importantes en attente doivent être incluses dans l'ensemble de données sur les pertes dans un délai proportionné à la taille et à
l'ancienneté de l'élément en attente ; et
(e) Impacts économiques négatifs comptabilisés au cours d'une période comptable, en raison d'événements de risque opérationnel ayant
une incidence sur les flux de trésorerie ou les états financiers des périodes comptables précédentes (pertes temporelles).9 Les « pertes
temporelles » importantes doivent être incluses dans l'ensemble de données sur les en raison d'événements de risque opérationnel qui
s'étendent sur plus d'un exercice comptable et donnent lieu à un risque juridique.
sept
Des exemples de recouvrements sont les paiements reçus des assureurs, les remboursements reçus des auteurs de fraude et les recouvrements de
virements mal acheminés.
8
Par exemple, dans certains pays, l'impact de certains événements (par exemple, des événements juridiques, des dommages aux biens matériels) peut
être connu et clairement identifiable avant que ces événements ne soient reconnus par la constitution d'une réserve. De plus, la façon dont cette réserve
est établie (par exemple la date de découverte) peut varier selon les banques ou les pays.
9
Les impacts temporels sont généralement liés à la survenance d'événements de risque opérationnel qui entraînent une distorsion temporaire des
comptes financiers d'un établissement (par exemple, surévaluation des revenus, erreurs comptables et erreurs d'évaluation au prix du marché). Bien
que ces événements ne représentent pas un véritable impact financier sur l'établissement (l'impact net dans le temps est nul), si l'erreur persiste sur
plus d'un exercice comptable, cela peut représenter une fausse déclaration importante des états financiers de l'établissement.
132 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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24. Les éléments suivants doivent être exclus du calcul des pertes brutes de l'ensemble de données sur les pertes :
(un) Coûts des contrats d'entretien général des immobilisations corporelles ;
(b) Dépenses internes ou externes pour améliorer l'activité après les pertes liées au risque opérationnel : mises à niveau,
améliorations, initiatives d'évaluation des risques et améliorations ; et
(c) Les primes d'assurance.
25. Les banques doivent utiliser la date de comptabilisation pour constituer l'ensemble de données sur les pertes. La banque doit utiliser
une date au plus tard à la date de comptabilisation pour inclure les pertes liées à des événements juridiques dans l'ensemble de données sur les
pertes. Pour les événements de pertes juridiques, la date de comptabilisation est la date à laquelle une réserve légale est constituée pour la perte
probable estimée dans le compte de résultat.
26. Les pertes causées par un événement de risque opérationnel commun ou par des événements de risque opérationnel
connexes dans le temps, mais comptabilisées sur plusieurs années, doivent être affectées aux années correspondantes de la base
de données des pertes, conformément à leur traitement comptable.
sept.
Exclusion des pertes de la composante perte
27. Les organismes bancaires peuvent demander l'approbation du superviseur pour exclure certains événements de perte
opérationnelle qui ne sont plus pertinents pour le profil de risque de l'organisme bancaire. L'exclusion des événements de perte
internes doit être rare et étayée par une justification solide. Lors de l'évaluation de la pertinence des événements de perte
opérationnelle par rapport au profil de risque de la banque, les autorités de contrôle examineront si la cause de l'événement de
perte pourrait se produire dans d'autres domaines d'activité de la banque. En prenant comme exemples les expositions juridiques
réglées et les activités cédées, les autorités de contrôle s'attendent à ce que l'analyse de l'organisation démontre qu'il n'y a pas
d'exposition juridique similaire ou résiduelle et que l'expérience de perte exclue n'a aucun rapport avec d'autres activités ou produits
poursuivis.
28. Le montant total de la perte et le nombre d'exclusions doivent être divulgués au titre du pilier 3 avec les descriptions
appropriées, y compris le montant total de la perte et le nombre d'exclusions.
29. Une demande d'exclusion de pertes est soumise à un seuil de matérialité à fixer par le superviseur (par exemple,
l'événement de perte exclu doit être supérieur à 5 % des pertes moyennes de la banque). En outre, les pertes ne peuvent être
exclues qu'après avoir été incluses dans la base de données des pertes liées au risque opérationnel d'une banque pendant une
période minimale (par exemple, trois ans), à préciser par l'autorité de contrôle. Les pertes liées aux activités cédées ne seront pas
soumises à une période minimale de conservation de la base de données sur les pertes liées au risque opérationnel.
8. Exclusions des activités cédées de l'indicateur d'activité
30. Les organismes bancaires peuvent demander l'approbation des autorités de tutelle pour exclure les activités cédées du
calcul du BI. Ces exclusions doivent être divulguées au titre du pilier 3.
9. Prise en compte des pertes et éléments BI liés aux fusions et acquisitions
31. Les pertes et la mesure du BI doivent inclure les pertes et les éléments du BI qui résultent de
acquisitions d'entreprises pertinentes et fusions.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 133
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10. Divulgation
32. Toutes les banques ayant un BI supérieur à 1 milliard d'euros, ou qui utilisent des données de pertes internes dans le
calcul du capital pour risque opérationnel, sont tenues de publier leurs données de pertes annuelles pour chacune des dix années
dans la fenêtre de calcul ILM. Cela inclut les banques dans les juridictions qui ont choisi de fixer ILM égal à un. Les données sur
les pertes doivent être déclarées à la fois sur une base brute et après les recouvrements et les exclusions de pertes. Toutes les
banques sont tenues de divulguer chacun des souséléments BI pour chacune des trois années de la fenêtre de calcul de la
composante BI10.
Annexe : Définition des composants de l'indicateur d'activité
Définitions des indicateurs commerciaux
BI P&L ou solde
La description Souséléments typiques
Composant éléments de feuille
• Les revenus d'intérêts sur les prêts et
avances, actifs disponibles à la vente, actifs
Les revenus d'intérêts de tous les détenus jusqu'à l'échéance, actifs de
actifs et autres revenus d'intérêts transaction, locations financières et locations
Le revenu d'intérêts opérationnelles
(comprend les revenus d'intérêts des
• Produits d'intérêts sur dérivés de
contrats de locationfinancement et de location
simple et les bénéfices des actifs loués) comptabilité de couverture
• Autres revenus d'intérêts
• Bénéfices des actifs loués
• Charges d'intérêts sur dépôts, titres de créance
émis, leasing financier et leasing opérationnel
Charges d'intérêts sur tous les passifs
Intérêts, bail et financiers et autres intérêts
dividende • Charges d'intérêts sur dérivés de
dépenses
Frais d'intérêt (comprend les intérêts débiteurs des
comptabilité de couverture • Autres
contrats de locationfinancement et de charges d'intérêts
location simple, les pertes, les amortissements et • Pertes sur actifs loués
les dépréciations des actifs en location simple) • Amortissements et dépréciations des
actifs en location simple
Actifs productifs
Total des encours bruts de prêts, avances, titres portant intérêts (y compris obligations d'État) et
d'intérêts (poste du
actifs locatifs évalués à la fin de chaque exercice
bilan)
Revenu de dividendes provenant d'investissements dans des actions et des fonds non consolidés
Les revenus de dividendes dans les états financiers de la banque, y compris les revenus de dividendes de filiales non
consolidées, d'entreprises associées et de coentreprises.
Revenus d'honoraires et de commissions provenant de :
• Titres (émission, origination, réception,
transmission, exécution d'ordres pour le
Revenus tirés de la fourniture de
Frais et compte de clients)
conseils et de services. Inclut le revenu
commission
Prestations de service
le revenu
reçues par la banque en tant que • Compensation et règlement ; La
soustraitant de services financiers. gestion d'actifs; Garde; Opérations
fiduciaires ; services de paiement ;
financements structurés ; Service de
titrisations; Engagements de prêt
10 Le Comité entreprendra une consultation publique distincte sur les modèles de divulgation des risques opérationnels.
134 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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et garanties données ; et opérations à
l'étranger
Dépenses payées pour recevoir des conseils
et des services. Inclut les frais de sous Dépenses d'honoraires et de commissions provenant de :
Frais et traitance payés par la banque pour la fourniture • Compensation et règlement ; Garde;
commission de services financiers, mais pas les frais de Service de titrisations; Engagements
dépenses soustraitance payés pour la fourniture de de prêt et garanties reçues ; et
services non financiers (par exemple logistique, Opérations à l'étranger
informatique, ressources humaines)
• Revenus locatifs des immeubles de
Produits des opérations bancaires
placement
courantes non inclus dans les autres
Autres produits • Gains sur actifs non courants et
postes du BI mais de même nature
d'exploitation groupes destinés à être cédés classés comme
(les revenus des contrats de location
détenus en vue de la vente non qualifiés
simple doivent être exclus)
d'activités abandonnées (IFRS 5.37)
• Pertes sur actifs non courants et groupes
destinés à être cédés classés comme
détenus en vue de la vente non qualifiés
d'activités abandonnées (IFRS 5.37)
Charges et pertes sur opérations bancaires • Pertes subies à la suite d'événements de
courantes non comprises dans les autres
perte d'exploitation (par exemple, amendes,
Autres opérations postes du BI mais de même nature
pénalités, règlements, coût de remplacement
dépenses et des événements de perte
des actifs endommagés), qui n'ont pas été
opérationnelle (les dépenses de location
provisionnés/réservés au cours des années
simple doivent être exclues)
précédentes Dépenses liées à la constitution
• de provisions/réserves pour les événements
de perte d'exploitation
• Résultat net sur actifs et passifs de trading (dérivés, dettes
Bénéfice (perte) net valeurs mobilières, titres de participation, prêts et avances, positions courtes, autres actifs et
sur le portefeuille de
passifs)
négociation • Gain/perte net de la comptabilité de couverture •
Gain/perte net des différences de change
Financier • Résultat net sur actifs et passifs financiers évalués à la juste valeur
par profits et pertes
• Gains/pertes réalisés sur actifs et passifs financiers non évalués à la juste valeur par résultat
Bénéfice (perte) net
sur le portefeuille (prêts et créances, actifs disponibles à la vente, actifs détenus jusqu'à l'échéance, passifs
bancaire financiers évalués au coût amorti)
• Gain/perte net de la comptabilité de couverture •
Gain/perte net des différences de change
Les éléments de P&L suivants ne contribuent à aucun des éléments du BI :
• Produits et charges des entreprises d'assurance ou de réassurance
• Primes payées et remboursements/paiements reçus des polices d'assurance ou de réassurance souscrites
• Dépenses administratives, y compris les dépenses de personnel, les frais de soustraitance payés pour la fourniture de services non
financiers (par exemple logistique, informatique, ressources humaines) et autres dépenses administratives (par exemple informatique,
services publics, téléphone, déplacements, fournitures de bureau, frais postaux)
• Recouvrement des frais administratifs, y compris le recouvrement des paiements pour le compte des clients (par
exemple, les taxes débitées aux clients)
• Dépenses des locaux et immobilisations (sauf lorsque ces dépenses résultent d'événements de perte
d'exploitation)
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 135
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• Dotations aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles (à l'exception des amortissements liés
aux actifs de location simple, qui doivent être inclus dans les charges de location financière et de location simple)
• Dotations/reprises de provisions (par exemple sur pensions, engagements et garanties donnés) à l'exception des
provisions liées à des événements de perte d'exploitation
• Charges dues au capital social remboursables à vue
• Dépréciation/reprise de dépréciation (par exemple sur actifs financiers, actifs non financiers, participations dans
des filiales, coentreprises et entreprises associées)
• Variations des écarts d'acquisition comptabilisées en résultat
• Impôt sur les sociétés (impôt assis sur les bénéfices incluant l'impôt courant et différé).
136 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Plancher de sortie
Introduction
1. Afin de réduire la variabilité excessive des actifs pondérés en fonction des risques et d'améliorer la comparabilité des ratios de fonds
propres pondérés en fonction des risques, les banques seront soumises à une exigence plancher qui s'appliquera aux actifs pondérés en fonction des risques.
Le plancher de production garantira que les exigences de fonds propres des banques ne tombent pas en dessous d'un certain
pourcentage des exigences de fonds propres dérivées des approches standard.
Exigences de plancher de sortie
2. Comme indiqué dans le cadre de Bâle III, les banques doivent respecter les exigences de fonds propres suivantes :
• Les fonds propres de base de catégorie 1 doivent représenter au moins 4,5 % des actifs pondérés en fonction des risques à tout moment.
• Les fonds propres de catégorie 1 doivent représenter au moins 6,0 % des actifs pondérés en fonction des risques à tout moment.
• Le capital total (capital de catégorie 1 et capital de catégorie 2) doit représenter au moins 8,0 % des actifs pondérés en fonction des risques à tout
moment.1
3. En outre, un coussin de conservation des fonds propres de base de catégorie 1 est fixé à 2,5 % des actifs pondérés en fonction des
risques pour toutes les banques2. Les banques peuvent également être soumises à une exigence de coussin de fonds propres contracyclique.
Les banques identifiées comme des banques d'importance systémique mondiale (GSIB) sont également soumises à des exigences
supplémentaires d'absorption des pertes plus élevées et à des exigences de capacité totale d'absorption des pertes3.
4. Les actifs pondérés en fonction des risques que les banques doivent utiliser pour déterminer le respect des exigences
énoncées aux paragraphes 2 à 3 cidessus doivent être calculés comme le maximum de : (i) le total des actifs pondérés en fonction
des risques calculé à l'aide des approches que la banque a approuvées par l'autorité de contrôle à utiliser conformément au cadre de
fonds propres de Bâle (y compris les approches standardisées et modélisées en interne) ; et (ii) 72,5 % du total des actifs pondérés en
fonction des risques, calculés uniquement à l'aide des approches standard énumérées au paragraphe 6. Ce dernier élément de cette
exigence est appelé plancher de production.
5. À la lumière des révisions comptables à venir pour les pertes de crédit attendues, le Comité
revoir la cohérence du traitement des provisions pour le calcul du plancher de production.
Calcul du plancher de sortie
6. Les approches normalisées à utiliser lors du calcul du plancher de production décrites dans
paragraphe 4 sont les suivants :
• Risque de crédit : l'approche standard du risque de crédit.4 Lors du calcul du degré d'atténuation du risque de crédit, les
banques doivent utiliser la valeur comptable lorsqu'elles appliquent l'approche simple ou la
1
Le cadre Bâle III est disponible sur www.bis.org/publ/bcbs189.pdf.
2
Comme indiqué dans le cadre de Bâle III, disponible sur www.bis.org/publ/bcbs189.pdf.
3
Comme indiqué dans la feuille de conditions TLAC du FSB, disponible sur www.fsb.org/wpcontent/uploads/TLACPrinciplesandTermSheet
for publicationfinal.pdf.
4
Comme indiqué dans l'approche standard révisée du risque de crédit décrite dans le présent document.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 137
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approche globale avec des décotes prudentielles standard. Cela comprend également les opérations échouées et
les opérations de nonlivraison contre paiement telles qu'elles sont définies à l'annexe 3 du cadre de Bâle II (juin
2006).
• Risque de crédit de contrepartie : pour calculer l'exposition aux dérivés, les banques doivent utiliser l'approche
standard de mesure du risque de crédit de contrepartie (SACCR). Les montants d'exposition doivent ensuite être
multipliés par la pondération du risque de l'emprunteur concerné en utilisant l'approche standard pour le risque de
crédit afin de calculer les RWA selon l'approche standard pour le risque de crédit.
• Risque d'ajustement de l'évaluation de crédit : approche standard pour CVA (SACVA), approche de base (BA
CVA) ou 100 % de l'exigence de fonds propres pour risque de crédit de contrepartie d'une banque (selon l'approche
utilisée par la banque pour le risque de CVA)5.
• Cadre de titrisation : l'approche par les notations externes (SECERBA), l'approche standard (SECSA) ou une
pondération de risque de 1250%6
• Risque de marché : l'approche standardisée du risque de marché. La SECERBA, la SECSA ou une pondération de risque de
1250 % doivent également être utilisées pour déterminer la composante d'exigence de risque de défaut pour les titrisations
détenues dans le portefeuille de négociation7.
• Risque opérationnel : l'approche standardisée du risque opérationnel8.
sept.
Le tableau cidessous donne un exemple simple de la façon dont le plancher de capital doit être calculé.
RWA préplancher RWA standardisés 72,5 % des RWA standardisés
dont classe d'actifs A 45 80 58
dont classe d'actifs B 5 32 23.2
dont classe d'actifs C (non modélisée) 12 12 8.7
Risque du marché 2 4 2.9
Risque opérationnel (non modélisé) 12 12 8.7
Comme les RWA planchers (101,5) sont plus élevés que les RWA pré plancher (76) dans cet exemple, la banque utiliserait les premiers pour déterminer les
exigences de fonds propres énoncées aux paragraphes 2 à 4.
Exigences de divulgation
8. Les banques doivent publier deux ensembles de ratios de fonds propres pondérés en fonction des risques : (i) des ratios qui
excluent le plancher de fonds propres dans le calcul des actifs pondérés en fonction des risques ; et (ii) des ratios qui incluent le plancher
de fonds propres dans le calcul des actifs pondérés en fonction des risques. En outre, les banques doivent divulguer des informations plus
détaillées concernant le calcul de leurs actifs pondérés en fonction des risques selon des approches modélisées en interne et
standardisées, qui seront présentées dans les prochains modèles de divulgation dans le cadre du cadre de divulgation du pilier 3 du Comité.
5
Comme indiqué dans le cadre révisé d'ajustement de l'évaluation du crédit dans le présent document.
6
Comme indiqué dans le cadre de titrisation, disponible sur www.bis.org/bcbs/publ/d374.pdf.
sept
Comme indiqué dans le cadre révisé du risque de marché, disponible sur www.bis.org/bcbs/publ/d352.pdf.
8
Comme indiqué dans le cadre révisé du risque opérationnel dans le présent document.
138 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Date de mise en œuvre et mesures transitoires
9. Le plancher de production sera mis en œuvre à compter du 1er janvier 2022 , sur la base de l'étalonnage suivant
arrangement progressif :
Date Étalonnage du plancher de sortie
1 janv. 2022 50%
1 janv. 2023 55%
1 janv. 2024 60%
1 janv. 2025 65%
1 janv. 2026 70%
1 janv. 2027 72,5 %
dix. Au cours de la période de transition, les autorités de contrôle peuvent exercer leur pouvoir discrétionnaire national pour
plafonner l'augmentation progressive du total des RWA d'une banque qui résulte de l'application du plancher. Ce plafond transitoire sera
fixé à 25 % des RWA d'une banque avant l'application du plancher. Dans l'exemple présenté au paragraphe 7, l'application de ce pouvoir
discrétionnaire national par le superviseur plafonnerait les RWA de la banque à 95 (soit une augmentation de 25 % de ses RWA pré
plancher de 76).
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 139
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Ratio de levier
Introduction
1. L'une des causes sousjacentes de la crise financière mondiale a été l'accumulation d'un effet de levier excessif au bilan et
hors bilan dans le système bancaire. Dans de nombreux cas, les banques ont accumulé un effet de levier excessif tout en affichant de
solides ratios de fonds propres fondés sur le risque. Au plus fort de la crise, les marchés financiers ont contraint le secteur bancaire à
réduire son endettement d'une manière qui a amplifié les pressions à la baisse sur les prix des actifs. Ce processus de désendettement a
exacerbé la boucle de rétroaction entre les pertes, la chute du capital bancaire et la contraction de la disponibilité du crédit.
2. Le cadre de Bâle III a introduit un ratio de levier simple, transparent et non fondé sur le risque pour agir comme une mesure
supplémentaire crédible aux exigences de fonds propres fondées sur le risque.1 Le ratio de levier est destiné
à:
• limiter l'accumulation d'endettement dans le secteur bancaire afin d'éviter de déstabiliser les processus de désendettement
susceptibles de nuire au système financier au sens large et à l'économie ; et
• renforcer les exigences fondées sur les risques par une simple mesure de « filet de sécurité » non fondée sur les risques.
3. Le Comité est d'avis qu'un cadre de ratio de levier simple est essentiel et complémentaire au cadre de fonds propres fondé sur
le risque, et que le ratio de levier devrait refléter de manière adéquate les sources de levier des banques au bilan et hors bilan.
Définition et exigences
4. Le ratio de levier est défini comme la mesure du capital (le numérateur) divisée par l'exposition
mesure (le dénominateur), avec ce ratio exprimé en pourcentage :
Mesure de capital
Ratio de levier =
Mesure d'exposition
instruments
La
de
mfonds
esure
propres
des fonds
de bpase
ropres
de cpatégorie
our le ratio
1 edt/ou
e levier
des icnstruments
orrespond adux
e cfatégorie
onds propres
1 supplémentaires
de catégorie 1– –
t
els
comprenant
que définis
5.
adux
es
paragraphes 49 à 96 du dispositif de Bâle III. En d'autres termes, la mesure du capital utilisée pour le ratio de levier à un moment donné
est la mesure du capital de catégorie 1 applicable à ce momentlà en vertu du cadre fondé sur le risque. La mesure de l'exposition pour le
ratio de levier est définie aux paragraphes 20 à 59 de la présente section.
6. La mesure du capital et la mesure de l'exposition doivent être calculées sur une base de fin de trimestre.
Toutefois, les banques peuvent, sous réserve de l'approbation des autorités de contrôle, utiliser des calculs plus fréquents (par exemple, moyenne quotidienne
ou mensuelle) pour autant qu'ils le fassent de manière cohérente.
sept.
Les banques doivent respecter à tout moment une exigence minimale de ratio de levier de 3 %.
8. En outre, pour maintenir les rôles respectifs des exigences de pondération des risques et de ratio de levier, les banques
identifiées comme des banques d'importance systémique mondiale (GSIB) selon la norme GSIB doivent également respecter une
exigence de coussin de ratio de levier. 2 Conformément à la mesure de capital requise pour répondre aux
1
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Bâle III : Un cadre réglementaire mondial pour des banques et des systèmes bancaires plus
résilients, juin 2011, www.bis.org/publ/bcbs189.pdf.
2
Voir Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Banques d'importance systémique mondiale : méthodologie d'évaluation mise à jour et
exigence d'absorption des pertes plus élevée, juillet 2013, www.bis.org/publ/bcbs255.pdf.
140 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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minimum du ratio de levier décrit au paragraphe 5, les GSIB doivent respecter le coussin du ratio de levier avec des fonds propres de
catégorie 1.
9. Le coussin du ratio de levier sera fixé à 50 % des exigences pondérées en fonction des risques d'absorption des pertes les plus
élevées d'un GSIB. Par exemple, un GSIB soumis à une exigence d'absorption des pertes supérieure de 2 % serait soumis à une exigence
de coussin de ratio de levier de 1 %.
dix. La conception du coussin de ratio de levier s'apparente à celle des coussins de fonds propres du cadre pondéré en fonction des
risques. À ce titre, le coussin de ratio de levier comprendra des ratios minimaux de conservation des fonds propres divisés en cinq
fourchettes. Des contraintes de distribution de capital seront imposées à un GSIB qui ne respecte pas son exigence de coussin de ratio de
levier.
11. Les contraintes de répartition du capital imposées aux GSIB dépendront du ratio pondéré en fonction des risques CET1 du G
SIB et de son ratio de levier. Un GSIB qui respecte à la fois ses exigences pondérées en fonction des risques CET1 (définies comme une
exigence minimale de 4,5 %, un coussin de conservation des fonds propres de 2,5 %, l'exigence d'absorption des pertes plus élevée du G
SIB et un coussin de fonds propres contracyclique le cas échéant) et son ratio de levier Tier 1 (définie comme une exigence minimale de
ratio de levier de 3 % et le coussin de ratio de levier GSIB) ne sera pas soumise à des normes minimales de conservation du capital. Un G
SIB qui ne satisfait pas à l'une de ces exigences sera soumis aux normes minimales de conservation du capital associées. Un GSIB qui ne
satisfait pas aux deux exigences sera soumis à la norme de conservation de capital minimum plus élevée liée à son exigence de capital
pondérée en fonction des risques ou à son ratio de levier.
12. À titre d'exemple, le tableau cidessous présente les normes minimales de conservation des fonds propres pour les exigences
pondérées en fonction des risques CET1 et les exigences de ratio de levier de niveau 1 d'un GSIB dans la première tranche des exigences
d'absorption des pertes les plus élevées (c'estàdire lorsqu'un risque de 1 % coussin de fonds propres GSIB pondéré s'applique).
Ratios minimaux de conservation du capital (exprimés en
Ratio pondéré des risques CET1 Ratio de levier Tier 1
pourcentage des bénéfices)
> 8,0 % > 3,50 % 0%
Mise en œuvre et suivi
13. Le calendrier de mise en œuvre de l'exigence de ratio de levier est le suivant :
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 141
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• 1er janvier 2018 : Mise en œuvre de l'exigence minimale du Pilier 1 selon la version de janvier 2014 de la norme3 (en
plus de la divulgation continue du Pilier 3 selon la même version de la norme).4
• 1er janvier 2022 : Mise en œuvre de l'exigence minimale du Pilier 1 (en plus de toute exigence de coussin GSIB
applicable) et des exigences de divulgation associées du Pilier 35 conformément à la version révisée de la norme
décrite dans cette section.
14. L'exigence de coussin pour le ratio de levier au 1er janvier 2022 sera basée sur la liste 2020 des GSIB du Conseil de
stabilité financière (basée sur les données de fin 2019). Pour les banques qui sont ultérieurement identifiées comme des GSIB
ou qui ne sont plus identifiées comme des GSIB, les mêmes dispositions transitoires s'appliqueront que dans le cadre des
exigences plus élevées en matière d'absorption des pertes
15. L'exigence de coussin du ratio de levier sera mise à jour chaque année pour refléter la liste mise à jour annuellement
des exigences du GSIB. Les GSIB soumis à une exigence révisée d'absorption des pertes plus élevée seraient également
soumis à une exigence révisée de coussin pour le ratio de levier, calibrée à 50 % de l'ancienne exigence. Les deux exigences
suivraient les mêmes modalités de mise en œuvre. Les juridictions peuvent imposer une exigence de coussin de ratio de levier
plus élevée.
16. Le Comité continuera de surveiller l'impact du cadre du ratio de levier au moyen de l'exercice d'étude d'impact quantitatif
(QIS) de Bâle III. Le contrôle du comité portera principalement sur l'évaluation de tout impact que la norme pourrait avoir sur les
activités commerciales des banques et les marchés financiers en général, y compris l'examen de tout impact sur les marchés SFT
et la liquidité du marché.
17. En outre, le comité continuera de surveiller l'impact du traitement par le ratio de levier des transactions sur dérivés
compensées par les clients et, dans les deux ans suivant la publication de ce document, conclura un examen de l'impact du ratio
de levier sur la fourniture de services de compensation par les banques. et tout impact conséquent sur la résilience de la
compensation avec la contrepartie centrale.
Périmètre de consolidation
18. Le cadre du ratio de levier suit le même périmètre de consolidation réglementaire, y compris les critères de
consolidation, que celui utilisé pour le cadre de fonds propres fondé sur le risque.6 Ceci est défini dans la partie I (champ
d'application) du cadre de Bâle II (juin 2006).
19. Traitement des participations dans le capital d'entités bancaires, financières, d'assurance et commerciales hors
périmètre de consolidation réglementaire : lorsqu'une entité bancaire, financière, d'assurance ou commerciale est hors périmètre
de consolidation réglementaire, seule la participation dans le capital de cette entités (c'estàdire uniquement la valeur comptable
de l'investissement, par opposition aux actifs sousjacents et aux autres expositions de l'entité détenue) doit être incluse dans la
mesure de l'exposition liée au ratio de levier. Toutefois, les investissements dans les fonds propres de ces entités qui sont déduits
des fonds propres de catégorie 1 comme indiqué au paragraphe 22 peuvent être exclus de la mesure de l'exposition aux fins du
ratio de levier.
3
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Cadre du ratio de levier de Bâle III et exigences de divulgation, janvier 2014, www.bis.org/publ/
bcbs270.pdf.
4
Les exigences de publication du ratio de levier ont été mises en œuvre le 1er janvier 2015. Les exigences de publication du Pilier 3 pour la
version de janvier 2014 du cadre du ratio de levier ont été consolidées dans un document consultatif sur les exigences du Pilier 3 publié en
mars 2016. Voir Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Document consultatif – Les obligations d'information du Pilier 3 – cadre consolidé et
renforcé ; mars 2016, www.bis.org/bcbs/publ/d356.pdf.
5 Le Comité proposera des révisions des exigences de divulgation pour tenir compte de la version révisée du cadre du ratio de levier dans une prochaine phase du processus de révision du Pilier 3.
6
Par exemple, si la consolidation proportionnelle est appliquée pour la consolidation réglementaire dans le cadre fondé sur les risques, les
mêmes critères doivent être appliqués aux fins du ratio de levier.
142 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Mesure d'exposition
20. La mesure de l'exposition au ratio de levier suit généralement les valeurs comptables brutes.
21. Sauf indication contraire cidessous, les banques ne doivent pas tenir compte des sûretés physiques ou financières, des
garanties ou d'autres techniques d'atténuation du risque de crédit pour réduire la mesure de l'exposition au ratio de levier, et les banques
ne peuvent pas non plus net les actifs et les passifs.
22. Par souci de cohérence, tout élément déduit des fonds propres Tier 1 selon le cadre Bâle III et les ajustements
réglementaires autres que ceux liés aux passifs peut être déduit de la mesure d'exposition du ratio de levier. Trois exemples suivent :
• lorsqu'une entité bancaire, financière ou d'assurance n'est pas incluse dans le périmètre de consolidation réglementaire tel
qu'énoncé au paragraphe 18, le montant de tout investissement dans le capital de cette entité qui est totalement ou
partiellement déduit des fonds propres de base de catégorie 1 (CET1) ou de
Les fonds propres de catégorie 1 supplémentaires de la banque suivant l'approche de déduction correspondante des
paragraphes 84 à 89 du dispositif de Bâle III peuvent également être déduits du ratio de levier
mesure de l'exposition ;
• pour les banques utilisant l'approche fondée sur les notations internes (IRB) pour déterminer les exigences de fonds
propres pour risque de crédit, le paragraphe 73 du dispositif de Bâle III exige que toute insuffisance du stock de provisions
éligibles par rapport aux montants des pertes attendues soit déduite des fonds propres CET1. Le même montant peut être
déduit de la mesure d'exposition du ratio de levier ; et
• ajustements de valorisation prudents (APV) pour les expositions à des positions moins liquides, autres que celles liées à
des passifs, qui sont déduites des fonds propres de catégorie 1 conformément au paragraphe 718 (cxii) du dispositif de
Bâle II tel que modifié par la norme Exigences minimales de capital pour risque de marché7 (ciaprès « cadre de risque de
marché ») peut être déduit de la mesure de l'exposition du ratio de levier.
23. Les éléments de passif ne doivent pas être déduits de la mesure d'exposition du ratio de levier. Par exemple, les gains/
pertes sur les passifs évalués à la juste valeur ou les ajustements de valeur comptable sur les passifs dérivés dus aux variations du
risque de crédit de la banque, tels que décrits au paragraphe 75 du dispositif de Bâle III, ne doivent pas être déduits de la mesure de
l'exposition au titre du ratio de levier.
24. En ce qui concerne les titrisations traditionnelles, une banque cédante peut exclure les expositions titrisées de sa mesure
d'exposition aux fins du ratio de levier si la titrisation satisfait aux exigences opérationnelles de reconnaissance du transfert de risque
conformément au paragraphe 24 de la norme Révisions du cadre de titrisation.
8 Les banques remplissant ces conditions doivent inclure toute exposition de titrisation conservée dans leur mesure
d'exposition au titre du ratio de levier. Dans tous les autres cas, par exemple les titrisations traditionnelles qui ne satisfont pas aux
exigences opérationnelles pour la reconnaissance du transfert des risques ou les titrisations synthétiques, les expositions titrisées
doivent être incluses dans la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier9.
25. Les banques et les autorités de contrôle doivent être particulièrement vigilantes visàvis des transactions et des structures
qui ont pour résultat de capter de manière inadéquate les sources de levier des banques. Parmi les exemples de problèmes pouvant
survenir dans une telle mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier minimisant les transactions et les structures, citons : les
opérations de financement sur titres dans lesquelles l'exposition à la contrepartie augmente à mesure que la qualité de crédit de la
contrepartie diminue ou les opérations de financement sur titres dans lesquelles la qualité de crédit de la contrepartie est positivement corrélée
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Exigences minimales de capital pour risque de marché, janvier 2016,
sept
www.bis.org/bcbs/publ/d352.pdf.
8
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Revisions to the securitization framework, décembre 2014 (rév. juillet 2016),
www.bis.org/bcbs/publ/d374.pdf.
9 Le Comité confirme le traitement spécifié au paragraphe 24 en tant qu'interprétation de la version de janvier 2014 de la norme relative au ratio de levier. Par conséquent, le traitement peut également être appliqué dans la version
de janvier 2014 de la norme de ratio de levier alors que cette version sert d'exigence minimale du pilier 1.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 143
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avec la valeur des titres reçus dans le cadre de la transaction (c'estàdire que la qualité de crédit de la contrepartie baisse lorsque la
valeur des titres baisse) ; les banques qui agissent normalement en qualité de contrepartiste mais adoptent un modèle d'agence pour
effectuer des opérations sur dérivés et SFT afin de bénéficier du traitement plus favorable autorisé pour les transactions d'agence
dans le cadre du ratio de levier ; les opérations d'échange de garanties structurées pour atténuer l'inclusion dans la mesure de
l'exposition au ratio de levier ; ou l'utilisation de structures pour retirer des actifs du bilan.
Cette liste d'exemples n'est en aucun cas exhaustive. Lorsque les autorités de contrôle craignent que ces transactions ne soient pas
correctement prises en compte dans la mesure de l'exposition au ratio de levier ou qu'elles puissent conduire à un processus de
désendettement potentiellement déstabilisateur, elles doivent examiner attentivement ces transactions et envisager une série de
mesures pour répondre à ces préoccupations. Les mesures de surveillance peuvent consister à exiger des améliorations dans la
gestion de l'effet de levier des banques, à imposer des exigences opérationnelles (par exemple, des rapports supplémentaires aux
autorités de surveillance) et/ou à exiger que l'exposition concernée soit correctement capitalisée par le biais d'une exigence de fonds propres du pilier 2.
Ces exemples d'actions de surveillance sont purement indicatifs et en aucun cas exhaustifs.
26. À la discrétion nationale, et pour faciliter la mise en œuvre des politiques monétaires, une juridiction peut exempter
temporairement les réserves de la banque centrale de la mesure de l'exposition au ratio de levier dans des circonstances
macroéconomiques exceptionnelles. Pour maintenir le même niveau de résilience fourni par le ratio de levier, une juridiction appliquant
ce pouvoir discrétionnaire doit également augmenter proportionnellement le calibrage de l'exigence de ratio de levier minimal pour
compenser l'impact de l'exemption des réserves de la banque centrale. En outre, afin de maintenir la comparabilité et la transparence
du cadre du ratio de levier de Bâle III, les banques seront tenues de divulguer l'impact de toute exemption temporaire parallèlement à
la publication continue du ratio de levier sans application d'une telle exemption10.
27. La mesure de l'exposition totale d'une banque au titre du ratio de levier est la somme des expositions suivantes : (a) sur
les expositions au bilan (à l'exclusion des expositions au bilan sur les dérivés et les opérations de financement sur titres) ; (b) les
expositions sur dérivés ; (c) les expositions aux opérations de financement sur titres (OFT) ; et (d) éléments hors bilan (OBS). Les
traitements spécifiques pour ces quatre principaux types d'exposition sont définis cidessous.
(un) Expositions au bilan
28. Les banques doivent inclure tous les actifs du bilan dans leur mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier, y compris
les sûretés sur dérivés au bilan et les sûretés pour SFT, à l'exception des dérivés au bilan et des actifs SFT qui sont couverts aux
paragraphes 32 à 56 cidessous.11
29. Au bilan, les actifs non dérivés sont inclus dans la mesure de l'exposition du ratio de levier à leurs valeurs comptables
moins les déductions pour provisions spécifiques associées. En outre, les provisions générales ou les réserves générales pour pertes
sur prêts telles que définies au paragraphe 60 du dispositif de Bâle III qui ont réduit les fonds propres de catégorie 1 peuvent être
déduites de la mesure de l'exposition au titre du ratio de levier12.
30. La comptabilisation des achats ou des ventes réguliers13 d'actifs financiers qui n'ont pas été réglés (ciaprès « transactions
non réglées ») diffère selon les référentiels comptables et au sein de ceuxci, de sorte que ces transactions non réglées peuvent être
comptabilisées soit à la date de transaction (date de transaction comptabilité) ou sur le règlement
10 Le traitement spécifié au paragraphe 26 peut également être appliqué dans la version de janvier 2014 de la norme relative au ratio de levier alors que cette version sert d'exigence minimale du pilier 1.
11
Lorsqu'une banque, conformément à son référentiel comptable en vigueur, comptabilise des actifs fiduciaires au bilan, ces actifs peuvent être exclus
de la mesure de l'exposition au ratio de levier à condition que les actifs répondent aux critères de la norme IFRS 9 pour la décomptabilisation et, le
cas échéant, de la norme IFRS 10 pour la déconsolidation.
12
Bien que le paragraphe 60 du dispositif de Bâle III précise le traitement des provisions générales/réserves générales pour pertes sur prêts pour les
banques utilisant l'approche standard du risque de crédit, aux fins de la mesure de l'exposition au titre du ratio de levier, la définition des provisions
générales/réserves générales pour pertes sur prêts spécifié au paragraphe 60 du dispositif de Bâle III s'applique à toutes les banques, qu'elles
utilisent l'approche standard ou l'approche fondée sur les notations internes (IRB) pour le risque de crédit pour leurs calculs de fonds propres fondés
sur le risque.
13
Aux fins de ce traitement, les « achats ou ventes réguliers » sont des achats ou des ventes d'actifs financiers dans le cadre de contrats dont les
termes exigent la livraison des actifs dans les délais généralement établis par la réglementation ou la convention sur le marché concerné.
144 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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date (date de règlement comptable). Aux fins de la mesure de l'exposition au ratio de levier, les banques utilisant la
comptabilisation à la date de transaction doivent annuler toute compensation entre les espèces à recevoir pour les ventes
non réglées et les espèces à payer pour les achats non réglés d'actifs financiers qui peuvent être comptabilisées en vertu
du référentiel comptable applicable, mais peuvent être compensées entre ces trésorerie à recevoir et trésorerie à payer
(indépendamment du fait que cette compensation soit ou non reconnue dans le cadre comptable applicable) si les
conditions suivantes sont remplies :
• les actifs financiers achetés et vendus qui sont associés à la trésorerie à payer et à recevoir sont évalués à la juste
valeur par le biais du résultat et inclus dans le portefeuille de négociation réglementaire de la banque comme
spécifié par les paragraphes 8 à 20 du cadre du risque de marché ; et
• les transactions des actifs financiers sont réglées sur une base livraison contre paiement (DVP).
Les banques utilisant la comptabilisation à la date de règlement seront soumises au traitement défini aux
paragraphes 57 à 59 et au paragraphe 9 de l'annexe.
31. La centralisation de trésorerie fait référence à des accords impliquant des produits de trésorerie par
lesquels une banque combine les soldes créditeurs et/ou débiteurs de plusieurs comptes clients individuels
participants en un seul solde de compte pour faciliter la gestion de la trésorerie et/ou des liquidités. Aux fins de la
mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier, lorsqu'un accord de centralisation de trésorerie implique un
transfert au moins quotidien des soldes créditeurs et/ou débiteurs des comptes clients individuels participants vers
un solde de compte unique, les comptes clients individuels participants sont réputés être éteint et transformé en
solde de compte unique lors du transfert à condition que la banque ne soit pas responsable des soldes sur une base
individuelle lors du transfert. Ainsi, la base de la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier pour un tel accord
de centralisation de trésorerie est le solde du compte unique et non les comptes individuels des clients participants.
Lorsque le transfert des soldes créditeurs et/ou débiteurs des comptes individuels des clients participants n'a pas
lieu quotidiennement, aux fins de la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier, l'extinction et la transformation
en un solde de compte unique sont réputées avoir lieu et ce solde de compte unique peut servir de la base de la
mesure de l'exposition du ratio de levier à condition que toutes les conditions suivantes soient remplies :
• en plus de prévoir plusieurs comptes clients individuels participants, l'accord de centralisation de trésorerie
prévoit un compte unique, sur lequel les soldes de tous les comptes clients participants individuels
peuvent être transférés et donc éteints ;
• la banque (i) a le droit juridiquement exécutoire de transférer les soldes des comptes individuels des
clients participants sur un compte unique de sorte que la banque n'est pas responsable des soldes sur
une base individuelle et (ii) à tout moment, la banque doit avoir la discrétion et être en mesure d'exercer
ce droit ;
• le superviseur de la banque ne juge pas inadéquate la fréquence à laquelle les soldes des comptes
individuels des clients participants sont transférés vers un compte unique ;
• il n'y a pas d'inadéquation des échéances entre les soldes des comptes des clients participants individuels
inclus dans l'accord de centralisation de la trésorerie ou tous les soldes sont soit au jour le jour, soit à la
demande ; et
• la banque prélève ou verse des intérêts et/ou des frais sur la base du solde combiné des comptes clients
individuels participants inclus dans l'accord de centralisation de trésorerie.
Dans le cas où les conditions susmentionnées ne seraient pas remplies, les soldes individuels des
les comptes des clients participants doivent être pris en compte séparément dans la mesure de l'exposition du ratio de levier.
(b) Expositions sur dérivés
32. Traitement des dérivés : aux fins de la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier, les expositions
aux dérivés sont incluses au moyen de deux composantes : (a) le coût de remplacement (CR) ; et (b) l'avenir potentiel
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 145
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exposition (PFE). Le cadre du ratio de levier utilise la méthode décrite cidessous pour saisir ces deux composantes.
33. Les banques doivent calculer leurs expositions associées à toutes les transactions sur dérivés, y compris lorsqu'une
banque vend une protection au moyen d'un dérivé de crédit, comme un multiplicateur scalaire alpha fixé à 1,4 fois la somme
du RC14 et du PFE, comme décrit au paragraphe 34. Si l'exposition sur dérivés est couvert par un contrat de compensation
bilatérale éligible tel que spécifié dans l'annexe, un traitement spécifique peut être appliqué.15 Les dérivés de crédit vendus
font l'objet d'un traitement supplémentaire, comme indiqué aux paragraphes 44 à 49 cidessous.
34. Pour les transactions sur dérivés non couvertes par un contrat de compensation bilatérale éligible tel que
spécifié aux paragraphes 4 et 5 de l'annexe, le montant à inclure dans la mesure de l'exposition aux fins du ratio de
levier est déterminé, pour chaque transaction séparément, comme suit:
mesure d'exposition = alpha * (RC + PFE)
où
• alfa = 1,4 ;
• RC = le coût de remplacement calculé conformément au paragraphe 2 de l'annexe ; et
• PFE = un montant pour PFE calculé conformément au paragraphe 3 de l'annexe.
35. Compensation bilatérale : lorsqu'un contrat de compensation bilatérale éligible est en place, comme spécifié
aux paragraphes 4 et 5 de l'annexe, la formule du paragraphe 34 est appliquée au niveau de l'ensemble de
compensation tel que décrit aux paragraphes 2 et 3 de l'annexe.
36. Traitement des sûretés liées : les sûretés reçues dans le cadre de contrats dérivés ont deux effets
compensateurs sur l'effet de levier :
• il réduit l'exposition aux contreparties ; mais
• cela peut également augmenter les ressources économiques à la disposition de la banque, car la banque peut
utiliser la garantie pour s'endetter.
37. Les sûretés reçues dans le cadre de contrats dérivés ne réduisent pas nécessairement l'effet de levier
inhérent à la position dérivée d'une banque, ce qui est généralement le cas si l'exposition au règlement découlant
du contrat dérivé sousjacent n'est pas réduite. En tant que principe général du cadre du ratio de levier de Bâle III,
les sûretés reçues ne peuvent pas être compensées par des expositions sur dérivés, que la compensation soit
autorisée ou non par le cadre comptable opérationnel ou fondé sur les risques de la banque. Par conséquent,
lorsqu'elle calcule le montant de l'exposition en appliquant les paragraphes 33 à 35 cidessus, une banque ne doit
pas réduire le montant de la mesure de l'exposition au titre du ratio de levier d'une quelconque sûreté reçue de la
contrepartie. Cela implique que le RC ne peut pas être réduit par la garantie reçue et que le multiplicateur mentionné au paragraphe 3 d
14
Si, selon les normes comptables nationales d'une banque, il n'y a pas de mesure comptable de l'exposition pour certains instruments
dérivés parce qu'ils sont détenus (entièrement) hors bilan, la banque doit utiliser la somme des justes valeurs positives de ces dérivés
comme coût de remplacement.
15 Il s'agit des règles de compensation du cadre de Bâle II, à l'exception des règles de compensation multiproduits de l'annexe 4, section III (c'estàdire que la compensation
entre catégories de produits telles que les dérivés et les SFT n'est pas autorisée pour déterminer la mesure de l'exposition du ratio de levier). Toutefois, lorsqu'une
banque a mis en place un accord de compensation multiproduits qui satisfait aux critères d'éligibilité des paragraphes 4 et 5 de l'annexe, elle peut choisir d'effectuer la
compensation séparément dans chaque catégorie de produits, à condition que toutes les autres conditions de compensation dans cette catégorie de produits applicables
au cadre actuel sont remplies.
146 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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l'annexe est fixée à un pour les besoins du calcul du DFP. Toutefois, le facteur de maturité dans le calcul de la majoration PFE peut
tenir compte de l'effet de réduction de la PFE résultant de l'échange régulier de la marge de variation, comme spécifié au paragraphe
3 de l'annexe.
38. De même, en ce qui concerne les sûretés fournies, les banques doivent majorer la mesure de leur exposition au ratio de
levier du montant de toute sûreté sur dérivés fournie lorsque la fourniture de cette sûreté a réduit la valeur de leurs actifs au bilan
dans leur cadre comptable opérationnel.
de l'exposition
Traitement
39. du ratio
de la
de
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evier,
dle
a vpariation
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spèces
espèces :
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de variation
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échangée
expositions
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aux
les
dérivés
contreparties
aux fins
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e la
êm
tre
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considérée comme une forme de paiement avant règlement si les conditions suivantes sont remplies :
(je) Pour les transactions non compensées par une contrepartie centrale qualifiée (QCCP)16, les espèces reçues par la
contrepartie bénéficiaire ne sont pas séparées. La marge de variation en espèces satisferait au critère de nonségrégation
si la contrepartie bénéficiaire n'a pas de restrictions légales, réglementaires ou de tout accord avec la contrepartie sur la
capacité d'utiliser les espèces reçues (c'estàdire que la marge de variation en espèces reçue est utilisée comme sa
propre trésorerie).
(ii) La marge de variation est calculée et échangée au moins quotidiennement sur la base de l'évaluation au prix du marché
des positions sur dérivés. Pour répondre à ce critère, les positions sur dérivés doivent être évaluées quotidiennement et
la marge de variation en espèces doit être transférée au moins quotidiennement à la contrepartie ou sur le compte de la
contrepartie, selon le cas. La marge de variation en espèces échangée le matin du jour de bourse suivant sur la base
des valeurs de marché précédentes en fin de journée répondrait à ce critère.
(iii) La marge de variation est reçue dans une devise spécifiée dans le contrat dérivé, régissant l'accordcadre de
compensation (MNA), l'annexe de soutien au crédit (CSA) du MNA éligible ou telle que définie par tout accord de
compensation avec une CCP.
(iv) La marge de variation échangée est le montant total qui serait nécessaire pour éteindre l'exposition à la valeur de
marché du dérivé sous réserve du seuil et des montants de transfert minimaux applicables à la contrepartie17.
(v) Les opérations sur dérivés et les marges de variation sont couvertes par un seul MNA entre les entités juridiques qui
sont les contreparties à l'opération sur dérivés. L'ANM doit stipuler explicitement que les contreparties s'engagent à
régler net toutes les obligations de paiement couvertes par un tel accord de compensation, en tenant compte de toute
marge de variation reçue ou fournie en cas d'événement de crédit impliquant l'une ou l'autre des contreparties. L'ANM
doit être juridiquement exécutoire et effective (c'estàdire qu'elle satisfait aux conditions du paragraphe 4 c) et du
paragraphe 5 de l'annexe) dans toutes les juridictions concernées, y compris en cas de défaillance et de faillite ou
d'insolvabilité. Aux fins du présent paragraphe, le terme « MNA » comprend tout accord de compensation qui prévoit des
droits de compensation juridiquement exécutoires18 et un MNA principal peut être considéré comme un MNA unique.
40. Si les conditions énoncées au paragraphe 39 sont remplies, la partie en espèces de la marge de variation reçue peut
être utilisée pour réduire la partie du coût de remplacement de la mesure de l'exposition au titre du ratio de levier, et les actifs à
recevoir provenant de la marge de variation en trésorerie fournie peuvent être déduits de la mesure de l'exposition au titre du ratio
de levier. comme suit:
16
Une QCCP est définie comme à l'Annexe 4, Section I, A. Dispositions générales du dispositif de Bâle II telles que modifiées par la norme Exigences
de fonds propres pour les expositions bancaires aux contreparties centrales (Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Exigences de fonds propres
pour les expositions bancaires aux contreparties centrales, avril 2014, www.bis.org/publ/bcbs282.pdf).
17
Dans les situations où un litige de marge survient, le montant de la marge de variation non contestée qui a été échangée peut être reconnu.
18
Cela tient compte du fait que, pour les accords de compensation utilisés par les contreparties centrales, aucune normalisation n'est actuellement
apparue qui serait comparable en ce qui concerne les accords de compensation de gré à gré pour les échanges bilatéraux.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 147
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• Dans le cas d'une marge de variation en espèces reçue, la banque réceptrice peut réduire le coût de
remplacement (mais pas la composante PFE) du montant d'exposition de l'actif dérivé, comme spécifié au
paragraphe 2 de l'annexe.
• Dans le cas d'une marge de variation de trésorerie fournie à une contrepartie, la banque déposante peut déduire
la créance résultante de sa mesure d'exposition au ratio de levier lorsque la marge de variation de trésorerie a
été comptabilisée comme un actif dans le cadre comptable opérationnel de la banque, et inclure à la place la
variation de trésorerie marge fournie dans le calcul du coût de remplacement du dérivé, comme spécifié au
paragraphe 2 de l'annexe.
41. Traitement des services de compensation : lorsqu'une banque agissant en tant que membre compensateur (MC)19
offre des services de compensation à des clients, les expositions commerciales du MC visàvis de la contrepartie centrale (CCP)
qui surviennent lorsque le MC est tenu de rembourser au client toute perte subie en raison de les variations de la valeur de ses
transactions en cas de défaillance de la contrepartie centrale doivent être prises en compte en appliquant le même traitement
que celui qui s'applique à tout autre type de transaction sur dérivés. Toutefois, si le CM, sur la base des accords contractuels
avec le client, n'est pas tenu de rembourser le client pour les pertes subies en cas de défaillance d'un QCCP, le CM n'a pas
besoin de comptabiliser les expositions commerciales résultantes pour le QCCP dans le ratio de levier mesure de l'exposition.
En outre, lorsqu'une banque fournit des services de compensation en tant que « client de niveau supérieur » au sein d'une
structure de clientèle à plusieurs niveaux,20 la banque n'a pas besoin de comptabiliser dans sa mesure d'exposition du ratio de
levier les expositions commerciales résultantes envers le CM ou une entité qui sert de un client de niveau supérieur à la banque
dans la mesure de l'exposition au ratio de levier s'il remplit toutes les conditions suivantes :
• Les opérations de compensation sont identifiées par le QCCP comme des transactions de clients de niveau
supérieur et la garantie pour les soutenir est détenue par le QCCP et/ou le CM, selon le cas, en vertu
d'arrangements qui empêchent toute perte pour le client de niveau supérieur en raison : (i) de la la défaillance
ou l'insolvabilité du CM, (ii) la défaillance ou l'insolvabilité des autres clients du CM, et (iii) la défaillance ou
l'insolvabilité conjointe du CM et de l'un de ses autres clients 21 ;
• La banque doit avoir procédé à un examen juridique suffisant (et entreprendre tout examen supplémentaire
nécessaire pour assurer le maintien de l'applicabilité) et disposer d'une base solide pour conclure qu'en cas de
contestation judiciaire, les tribunaux et autorités administratives compétents constateraient que cette les
arrangements mentionnés cidessus seraient légaux, valides, contraignants et exécutoires en vertu des lois
pertinentes de la ou des juridictions concernées ;
• Les lois, réglementations, règles, accords contractuels ou administratifs pertinents prévoient que les opérations
de compensation avec le CM défaillant ou insolvable continueront très probablement à être traitées indirectement
par le biais du QCCP, ou par le QCCP, si le CM fait défaut ou devient insolvable.22 dans de telles circonstances,
les positions du client de niveau supérieur et la garantie auprès du QCCP seront transférées à la valeur de
marché, à moins que le client de niveau supérieur ne demande de clôturer la position à la valeur de marché ; et
19
Aux fins du présent paragraphe, les termes « membre compensateur », « exposition commerciale », « contrepartie centrale » et « contrepartie centrale qualifiée » sont définis
comme à l'annexe 4, section I, A. Dispositions générales du dispositif Bâle II tel que modifié .
20
Une structure de clientèle à plusieurs niveaux est une structure dans laquelle les banques peuvent effectuer une compensation centralisée en tant que clients indirects ; c'estàdire
lorsque les services de compensation sont fournis à la banque par un établissement qui n'est pas un membre compensateur direct, mais qui est luimême client d'un membre
compensateur ou d'un autre client compensateur. Le terme « client de niveau supérieur » fait référence à l'institution qui fournit des services de compensation.
21
Autrement dit, en cas d'insolvabilité du membre compensateur, il n'y a aucun obstacle juridique (autre que la nécessité d'obtenir une ordonnance du tribunal à laquelle le client a
droit) au transfert de la garantie appartenant aux clients d'un membre compensateur défaillant à la QCCP , à un ou plusieurs autres membres compensateurs survivants ou au
client ou au mandataire du client.
22
S'il existe un précédent clair pour les transactions transférées à un QCCP et l'intention de l'industrie pour que cette pratique se poursuive, ces facteurs doivent être pris en compte
lors de l'évaluation si les transactions sont très susceptibles d'être transférées. Le fait que la documentation du QCCP n'interdise pas le portage des échanges des clients ne suffit
pas pour dire qu'ils sont très susceptibles d'être portés.
148 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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• La banque n'est pas tenue de rembourser à son client les pertes subies en cas de défaillance du CM ou du
QCCP.
42. Lorsqu'un client conclut directement une transaction sur dérivés avec la CCP et que le GC garantit la
performance des expositions sur dérivés de son client visàvis de la CCP, la banque agissant en tant que GC du client
visàvis de la CCP doit calculer son exposition liée au ratio de levier résultant de la garantie en tant qu'exposition sur
dérivé, comme indiqué aux paragraphes 33 à 40, comme si elle avait conclu directement la transaction avec le client, y
compris en ce qui concerne la réception ou la fourniture d'une marge de variation en espèces.
43. Aux fins des paragraphes 41 et 42, une entité affiliée à la banque agissant en tant que MC peut être considérée
comme un client si elle se situe en dehors du périmètre de consolidation réglementaire pertinent au niveau auquel le ratio
de levier est appliqué. En revanche, si une entité affiliée entre dans le périmètre de consolidation réglementaire, les
échanges entre l'entité affiliée et le CM sont éliminés au cours de la consolidation mais le CM conserve une exposition
commerciale à la CCP. Dans ce cas, la transaction avec la CCP sera considérée comme exclusive et l'exemption du
paragraphe 41 ne s'appliquera pas.
44. juste vTraitement
aleur des contrats,
supplémentaire
les dérivés
pour
de
les
crédit
dérivés
vendus
de ccrédit
réent
vendus :
une exposition
en plus dde
e cl'exposition
rédit notionnelle
au CCR
découlant
découlant
de lda
e la
solvabilité de l'entité de référence. Le Comité estime donc qu'il convient de traiter les dérivés de crédit souscrits de la
même manière que les instruments de trésorerie (par exemple, les prêts, les obligations) aux fins de la mesure de
l'exposition aux fins du ratio de levier.
45. Afin de saisir l'exposition de crédit à l'entité de référence sousjacente, en plus du traitement cidessus pour les
dérivés et les sûretés connexes, le montant notionnel effectif référencé par un dérivé de crédit vendu doit être inclus dans
la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier sauf si le dérivé de crédit vendu est inclus dans une transaction
compensée pour le compte d'un client de la banque agissant en tant que CM (ou agissant en tant que prestataire de
services de compensation dans une structure de clientèle à plusieurs niveaux comme indiqué au paragraphe 41) et la
transaction satisfait aux exigences du paragraphe 41 pour l'exclusion des expositions commerciales au QCCP (ou, dans
le cas d'une structure de clientèle à plusieurs niveaux, les exigences du paragraphe 41 pour l'exclusion des expositions
commerciales au CM ou au QCCP). Le « montant notionnel effectif » est obtenu en ajustant le montant notionnel pour
refléter l'exposition réelle des contrats qui sont à effet de levier ou autrement améliorés par la structure de la transaction.
En outre, le montant notionnel effectif d'un dérivé de crédit vendu peut être réduit de toute variation négative du montant
de la juste valeur qui a été intégrée dans le calcul des fonds propres de catégorie 1 en ce qui concerne le dérivé de crédit
vendu23, 24. Le montant résultant peut être encore diminué du montant notionnel effectif d'un dérivé de crédit acheté sur
le même nom de référence, à condition que :
• la protection de crédit achetée par le biais de dérivés de crédit est par ailleurs soumise aux mêmes conditions
matérielles ou à des conditions matérielles plus prudentes que celles du dérivé de crédit souscrit correspondant.
Cela garantit que si une banque fournit une protection écrite via un certain type de dérivé de crédit, la banque
23
Par exemple, si un dérivé de crédit vendu avait une juste valeur positive de 20 à une date et une juste valeur négative de 10 à une date
de reporting ultérieure, le montant notionnel effectif du dérivé de crédit peut être réduit de 10. Le montant notionnel effectif ne peut pas
être réduit de 30. Toutefois, si à la date de clôture ultérieure le dérivé de crédit a une juste valeur positive de cinq, le montant notionnel
effectif ne peut pas du tout être réduit.
24
Ce traitement est conforme à la logique selon laquelle les montants notionnels effectifs inclus dans la mesure de l'exposition peuvent
être plafonnés au niveau de la perte potentielle maximale, ce qui signifie que la perte potentielle maximale à la date de clôture
correspond au montant notionnel du dérivé de crédit moins toute juste valeur négative qui a déjà réduit le capital de catégorie 1.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 149
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ne peut reconnaître la compensation d'un autre dérivé de crédit acheté que dans la mesure où la protection
achetée est certaine de fournir un paiement dans tous les états futurs potentiels. Les termes importants
comprennent le niveau de subordination, l'optionnalité, les événements de crédit, la référence et toute autre
caractéristique pertinente pour l'évaluation du dérivé 25 ;
• l'échéance résiduelle de la protection de crédit achetée par le biais de dérivés de crédit est égale ou
supérieure à l'échéance résiduelle du dérivé de crédit vendu ;
• la protection de crédit achetée par le biais de dérivés de crédit n'est pas achetée auprès d'une contrepartie
dont la qualité de crédit est fortement corrélée à la valeur de l'obligation de référence au sens précisé au
paragraphe 101 du dispositif de Bâle III ;26
• dans le cas où le montant notionnel effectif d'un dérivé de crédit vendu est réduit de toute variation négative de la
juste valeur reflétée dans les fonds propres de catégorie 1 de la banque, le montant notionnel effectif de la protection
de crédit compensatoire achetée au moyen de dérivés de crédit doit également être réduit de toute variation
résultante variation positive de la juste valeur reflétée dans les fonds propres de catégorie 1 ; et
• la protection de crédit achetée par le biais de dérivés de crédit n'est pas incluse dans une transaction qui a été
compensée pour le compte d'un client (ou qui a été compensée par la banque dans son rôle de fournisseur de
services de compensation dans une structure de services à la clientèle à plusieurs niveaux, comme indiqué dans
paragraphe 41) et pour laquelle le montant notionnel effectif auquel fait référence le dérivé de crédit vendu
correspondant est exclu de la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier conformément au présent paragraphe.
46. Aux fins du paragraphe 45, le terme « dérivé de crédit vendu » fait référence à un large éventail de dérivés
de crédit par le biais desquels une banque fournit effectivement une protection de crédit et ne se limite pas uniquement
aux swaps sur défaillance de crédit et aux swaps sur rendement total. Par exemple, toutes les options pour lesquelles
la banque a l'obligation de fournir une protection de crédit sous certaines conditions sont qualifiées de « dérivés de
crédit vendus ». Le montant notionnel effectif de ces options vendues par la banque peut être compensé par le montant
notionnel effectif des options par lesquelles la banque a le droit d'acheter une protection de crédit qui remplit les
conditions du paragraphe 45. des conditions substantielles telles que celles des dérivés de crédit souscrits
correspondants mentionnés au paragraphe 45 ne peuvent être considérées comme remplies que lorsque le prix
d'exercice de la protection de crédit achetée sousjacente est égal ou inférieur au prix d'exercice de la protection de
crédit vendue sousjacente.
47. Aux fins du paragraphe 45, deux noms de référence sont considérés comme identiques uniquement s'ils font
référence à la même entité juridique. La protection de crédit sur un pool de noms de référence achetés par le biais de
dérivés de crédit peut compenser la protection de crédit vendue sur des noms de référence individuels si la protection
de crédit achetée est économiquement équivalente à l'achat d'une protection de crédit séparément sur chacun des
noms individuels du pool (cela, par exemple, serait le cas si une banque achetait une protection de crédit sur l'ensemble
d'une structure de titrisation). Si une banque achète une protection de crédit sur un pool de noms de référence par le
biais de dérivés de crédit, mais que la protection de crédit achetée ne couvre pas l'ensemble du pool (c'estàdire que la
protection ne couvre qu'un sousensemble du pool, comme dans le cas d'un nième défaut dérivé de crédit ou une
tranche de titrisation), les dérivés de crédit vendus sur les noms de référence individuels ne peuvent pas être compensés. Cependant,
25
Par exemple, l'application d'une même condition matérielle entraînerait les traitements suivants :
• dans le cas de dérivés de crédit à signature unique, la protection de crédit achetée par le biais de dérivés de crédit porte sur une obligation
de référence de rang égal ou inférieur à l'obligation de référence sousjacente du dérivé de crédit vendu.
La protection de crédit achetée par le biais de dérivés de crédit faisant référence à une position subordonnée peut compenser les dérivés
de crédit vendus sur une position plus senior de la même entité de référence tant qu'un événement de crédit sur l'actif de référence senior
entraînerait un événement de crédit sur l'actif de référence subordonné ; pour les produits en tranches, la protection de crédit achetée par
• le biais de dérivés de crédit doit porter sur une obligation de référence avec le même niveau de séniorité.
26
Plus précisément, la qualité de crédit de la contrepartie ne doit pas être positivement corrélée à la valeur de l'obligation de référence (c'està
dire que la qualité de crédit de la contrepartie diminue lorsque la valeur de l'obligation de référence baisse et que la valeur du dérivé de crédit
acheté augmente). Pour effectuer cette détermination, il n'est pas nécessaire qu'il existe un lien juridique entre la contrepartie et l'entité de
référence sousjacente.
150 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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cette protection de crédit achetée peut compenser les dérivés de crédit vendus sur un pool à condition que la protection de
crédit achetée par le biais de dérivés de crédit couvre l'intégralité du sousensemble du pool sur lequel la protection de crédit
a été vendue.
48. Lorsqu'une banque achète une protection de crédit par le biais d'un swap sur rendement total (TRS) et enregistre
les paiements nets reçus en tant que revenu net, mais n'enregistre pas la détérioration compensatoire de la valeur du dérivé
de crédit vendu (soit par des réductions de la juste valeur, soit par une augmentation de réserves) dans les fonds propres de
catégorie 1, la protection de crédit ne sera pas comptabilisée dans le but de compenser les montants notionnels effectifs liés
aux dérivés de crédit vendus.
49. Étant donné que les dérivés de crédit vendus sont inclus dans la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier
à leurs montants notionnels effectifs et qu'ils sont également soumis à des montants pour PFE, la mesure de l'exposition aux
fins du ratio de levier pour les dérivés de crédit vendus peut être surestimée. Les banques peuvent donc choisir d'exclure de
l'ensemble de compensation pour le calcul du PFE la partie d'un dérivé de crédit vendu qui n'est pas compensée conformément
au paragraphe 45 et pour laquelle le montant notionnel effectif est inclus dans l'exposition au titre du ratio de levier
mesure.
(c) Expositions aux opérations de financement sur titres
50. Les SFT27 sont incluses dans la mesure de l'exposition du ratio de levier selon le traitement décrit cidessous. Le
traitement reconnaît que les prêts et emprunts garantis sous la forme d'opérations de financement sur titres sont une
importante source de levier et assure une mise en œuvre internationale cohérente en fournissant une mesure commune pour
traiter les principales différences dans les cadres comptables en vigueur.
51. Traitement général (banque agissant comme mandant) : la somme des montants aux sousalinéas (i) et (ii)
cidessous doit être inclus dans la mesure de l'exposition du ratio de levier :
(je) Actifs SFT bruts28 comptabilisés à des fins comptables (c'estàdire sans comptabilisation de compensation
comptable)29 ajustés comme suit :
• en excluant de la mesure de l'exposition du ratio de levier la valeur de tous les titres reçus dans le cadre d'une
SFT, lorsque la banque a comptabilisé les titres comme un actif dans son bilan 30 ; et
• les espèces à payer et les espèces à recevoir dans des SFT avec la même contrepartie peuvent être évaluées
nettes si tous les critères suivants sont remplis :
(a) les transactions ont la même date de règlement final explicite; en particulier, les opérations sans date de
fin explicite mais pouvant être dénouées à tout moment par l'une ou l'autre des parties à l'opération ne
sont pas éligibles ;
27
Les SFT sont des transactions telles que des accords de rachat, des accords de prise en pension, des prêts et emprunts de titres et des opérations de prêt sur
marge, où la valeur des transactions dépend des évaluations du marché et les transactions sont souvent soumises à des accords de marge.
28
Pour les actifs SFT soumis à novation et compensés via des QCCP, les « actifs SFT bruts comptabilisés à des fins comptables » sont remplacés par l'exposition
contractuelle finale, c'estàdire l'exposition au QCCP après l'application du processus de novation, étant donné que les contrats préexistants ont été remplacées
par de nouvelles obligations légales par le biais du processus de novation. Cependant, les banques ne peuvent compenser les liquidités à recevoir et les
liquidités à payer avec un QCCP que si les critères du paragraphe 51 (i) sont remplis. Toute autre compensation autorisée par le QCCP n'est pas autorisée aux
fins du ratio de levier de Bâle III.
29
Les actifs SFT bruts comptabilisés à des fins comptables ne doivent pas comptabiliser de compensation comptable entre les espèces à payer et les espèces à
recevoir (par exemple, comme le permettent actuellement les référentiels comptables IFRS et US GAAP). Ce traitement réglementaire a l'avantage d'éviter les
incohérences de la compensation qui peuvent survenir entre différents régimes comptables.
30
Cela peut s'appliquer, par exemple, en vertu des PCGR des ÉtatsUnis, où les titres reçus dans le cadre d'une SFT peuvent être comptabilisés comme des
actifs si le bénéficiaire a le droit de réhypothéquer mais ne l'a pas fait.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 151
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(b) le droit de compenser le montant dû à la contrepartie avec le montant dû par la contrepartie est juridiquement
exécutoire tant actuellement dans le cours normal des affaires qu'en cas de (i) défaillance de la contrepartie ;
(ii) l'insolvabilité ; ou (iii) faillite ; et
(c) les contreparties ont l'intention de régler net, de régler simultanément, ou les transactions sont soumises à un
mécanisme de règlement qui aboutit à l'équivalent fonctionnel du règlement net c'estàdire que les flux de
trésorerie des transactions sont équivalents, en fait, à un seul montant net à la date de règlement. Pour
parvenir à une telle équivalence, les deux transactions sont réglées par le même système de règlement et les
accords de règlement sont soutenus par des facilités de trésorerie et/ou de crédit intrajournalier destinées à
garantir que le règlement des deux transactions aura lieu avant la fin de la journée ouvrable et que tout
problème découlant de les volets titres des SFT n'interfèrent pas avec l'achèvement du règlement net des
créances et des dettes en espèces. En particulier, cette dernière condition signifie que l'échec d'une seule
transaction sur titres dans le mécanisme de règlement peut retarder le règlement de la seule jambe en
espèces correspondante ou créer une obligation envers le mécanisme de règlement, soutenue par une facilité
de crédit associée. En cas de défaillance de la jambe titres d'une transaction dans un tel mécanisme à la fin
de la fenêtre de règlement dans le mécanisme de règlement, cette transaction et sa jambe espèces
correspondante doivent être séparées de l'ensemble de compensation et traitées comme brutes31.
(ii) Une mesure du CCR calculée comme l'exposition actuelle sans ajout pour le PFE, calculée comme suit :
• Lorsqu'un MNA éligible32 est en place, l'exposition actuelle (E*) est le plus élevé entre zéro et la juste valeur totale des
titres et des liquidités prêtés à une contrepartie pour toutes les transactions incluses dans le MNA éligible (∑Ei),
moins le total juste valeur des liquidités et des titres reçus de la contrepartie pour ces transactions (∑Ci). Ceci est
illustré dans la formule suivante :
E* = max {0, [∑Ei – ∑Ci]}
• Lorsqu'aucune ANM éligible n'est en place, l'exposition actuelle pour les transactions avec une contrepartie doit être
calculée transaction par transaction , c'estàdire que chaque transaction i est traitée comme son propre ensemble
de compensation, comme indiqué dans la formule suivante :
Ei* = max {0, [Ei – Ci]}
Ei* peut être fixé à zéro si (i) Ei est la trésorerie prêtée à une contrepartie, (ii) cette transaction est traitée comme son
propre ensemble de compensation et (iii) la trésorerie associée à recevoir n'est pas éligible au traitement de compensation
au paragraphe 51 (je).
Aux fins du présent alinéa, le terme « contrepartie » comprend non seulement la contrepartie des opérations bilatérales
de mise en pension, mais également les agents de mise en pension tripartites qui reçoivent la garantie en dépôt et gèrent
la garantie dans le cas d'opérations de mise en pension tripartites. Par conséquent, les titres déposés auprès d'agents
de mise en pension tripartites sont inclus dans la « valeur totale des titres et espèces prêtés à une contrepartie » (E)
jusqu'à concurrence du montant effectivement prêté à la contrepartie dans une opération de mise en pension.
Cependant, les garanties excédentaires qui ont été déposées auprès d'agents tripartites mais qui n'ont pas été prêtées
peuvent être exclues.
31
Plus précisément, les critères énoncés au paragraphe 51 (i) (c) cidessus ne visent pas à exclure un mécanisme de règlement DVP ou un autre type de
mécanisme de règlement, à condition que le mécanisme de règlement satisfasse aux exigences fonctionnelles énoncées au paragraphe 51 (i) (c) . Par
exemple, un mécanisme de règlement peut répondre à ces exigences fonctionnelles si toutes les transactions ayant échoué (c'estàdire les titres qui
n'ont pas été transférés et les espèces à recevoir ou à payer associées) peuvent être réintroduites dans le mécanisme de règlement jusqu'à ce qu'elles
soient réglées.
32
Une ANM « qualifiée » est celle qui satisfait aux exigences des paragraphes 6 et 7 de l'annexe.
152 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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52. Opérations comptables de vente : l' effet de levier peut rester avec le prêteur du titre dans une SFT, que la comptabilité
de vente soit réalisée ou non dans le cadre comptable en vigueur. En tant que tel, lorsque la comptabilisation des ventes est réalisée
pour une SFT dans le cadre comptable opérationnel de la banque, la banque doit annuler toutes les écritures comptables liées aux
ventes, puis calculer son exposition comme si l'OFT avait été traitée comme une opération de financement dans le cadre comptable
opérationnel. (c'estàdire que la banque doit inclure la somme des montants aux alinéas (i) et (ii) du paragraphe 51 pour une telle
OFT) aux fins de déterminer sa mesure d'exposition au titre du ratio de levier.
53. Banque agissant en tant qu'agent : une banque agissant en tant qu'agent dans une SFT fournit généralement une
indemnité ou une garantie à une seule des deux parties impliquées, et uniquement pour la différence entre la valeur du titre ou des
espèces que son client a prêté et la valeur du collatéral l'emprunteur a fourni. Dans cette situation, la banque est exposée à la
contrepartie de son client pour la différence de valeurs plutôt que pour la totalité de l'exposition au titre sousjacent ou aux liquidités
de la transaction (comme c'est le cas lorsque la banque est l'un des donneurs d'ordre dans la transaction ).
une contrepartie
54. Lorsqu'une
pour toute
bdanque
ifférence
agissant
entre ela
n
vtaleur
ant qu'agent
du titre doans
u des
une
espèces
OFT fournit
que le
une
client
indemnité
a prêté oeu
t lu
a
ne
valeur
garantie
de la
àg uarantie
n client
qoue
u à
l'emprunteur a fournie et que la banque ne détiennent ou contrôlent les liquidités ou les titres sousjacents, la banque sera alors
tenue de calculer sa mesure d'exposition au titre du ratio de levier en appliquant uniquement le sousparagraphe (ii) du paragraphe
51.33
55. Une banque agissant en tant qu'agent dans une opération de financement sur titres et fournissant une indemnité ou une
garantie à un client ou à une contrepartie ne sera considérée comme éligible au traitement exceptionnel prévu au paragraphe 54
que si l'exposition de la banque à l'opération est limitée à la différence garantie entre la valeur de le titre ou l'argent que son client a
prêté et la valeur de la garantie que l'emprunteur a fournie. Dans les situations où la banque est davantage exposée économiquement
(c'estàdire audelà de la garantie pour la différence) au titre sousjacent ou aux liquidités dans la transaction,34 une exposition
supplémentaire égale au montant total du titre ou des liquidités doit être incluse dans l'exposition du ratio de levier mesure.
56. Lorsqu'une banque agissant en tant qu'agent fournit une indemnité ou une garantie aux deux parties impliquées dans
une opération de financement sur titres (c'estàdire le prêteur de titres et l'emprunteur de titres), la banque sera tenue de calculer
sa mesure d'exposition au titre du ratio de levier conformément aux paragraphes 53 à 55 séparément pour chaque partie impliqués
dans la transaction.
(ré) Éléments hors bilan (OBS)
57. Cette section explique le traitement des éléments de l'OBS à inclure dans la mesure de l'exposition du ratio de levier.
Ces traitements reflètent ceux définis dans l' approche standard pour le risque de crédit et les révisions standard du cadre de
titrisation, ainsi que les traitements propres au cadre du ratio de levier. Les éléments d'OBS comprennent les engagements (y
compris les facilités de trésorerie), annulables ou non sans condition, les substituts directs de crédit, les acceptations, les lettres de
crédit standby et les lettres de crédit commerciales. Si l'élément OBS est traité comme une exposition sur dérivé selon la norme
comptable pertinente de la banque, alors l'élément doit être évalué comme une exposition sur dérivé aux fins de la mesure de
l'exposition du ratio de levier. Dans ce cas, la banque n'a pas besoin d'appliquer le traitement de l'élément OBS à l'exposition.
33
Lorsque, outre les conditions énoncées aux paragraphes 53 à 55, une banque agissant en tant qu'agent dans une OFT ne fournit aucune
indemnité ou garantie à l'une des parties concernées, la banque n'est pas exposée à l'OFT et n'est donc pas tenue de comptabiliser ces SFT
dans sa mesure d'exposition du ratio de levier.
34
Par exemple, parce que la banque gère les garanties reçues au nom de la banque ou pour son propre compte plutôt que pour le compte du
client ou de l'emprunteur (par exemple en rétrocédant ou en gérant des garanties non séparées, des espèces ou des titres). Toutefois, cela ne
s'applique pas aux comptes omnibus de clients qui sont utilisés par des agents prêteurs pour détenir et gérer des garanties de clients, à
condition que les garanties de clients soient séparées des actifs propres de la banque et que la banque calcule l'exposition client par client.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 153
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58. Dans le cadre de fonds propres fondé sur le risque, les éléments OBS sont convertis selon l'approche
standard du risque de crédit en équivalents d'exposition au crédit au moyen de facteurs de conversion de crédit
(CCF). Aux fins de la détermination du montant d'exposition des éléments de l'OBS pour le ratio de levier, les CCF
indiqués à l'annexe doivent être appliqués au montant notionnel.
59. En outre, les provisions spécifiques et générales constituées sur les expositions OBS ayant diminué les
fonds propres de catégorie 1 peuvent être déduites du montant équivalent d'exposition de crédit de ces expositions
(c'estàdire le montant d'exposition après application du CCF pertinent). Toutefois, le montant total équivalent hors
bilan résultant pour les expositions OBS ne peut être inférieur à zéro.
154 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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Annexe : Ratio de levier
Cette annexe comprend les dispositions pertinentes applicables aux fins du calcul du ratio de levier.
Expositions sur dérivés
1. Le calcul des expositions aux dérivés pour la mesure de l'exposition au titre du ratio de levier est basé sur une version modifiée de
la norme énoncée à l'annexe 4 du dispositif de Bâle II tel que modifié par l'approche standard pour mesurer les expositions au risque de
contrepartie (ciaprès « cadre SACCR »). ).35
Calcul du coût de remplacement
2. Le coût de remplacement d'une transaction ou d'un ensemble de compensation est évalué comme suit :
RC
max
= V{ CVM CVM
−+ r
,0 p }
où (i) V est la valeur de marché de la transaction sur dérivé individuelle ou des transactions sur dérivés dans un ensemble de
compensation; (ii) CVMr est la marge de variation en espèces reçue qui satisfait aux conditions énoncées au paragraphe 39 et dont le montant
n'a pas déjà réduit la valeur de marché de l'opération dérivée V selon la norme comptable en vigueur de la banque; et (iii) CVMp est la marge de
variation de trésorerie fournie par la banque et qui remplit les mêmes conditions.
Calcul de l'exposition future potentielle
3. L'exposition future potentielle (PFE) pour les expositions sur dérivés doit être calculée conformément aux paragraphes 146 à 187
de l'annexe 4 du cadre SACCR. Mathématiquement:
= multiplicateur PFE
AddOn
agrégat
Aux fins du cadre du ratio de levier, le multiplicateur est fixé à un. En outre, lors du calcul de la composante majorée, pour toutes
les transactions sur marge, le facteur de maturité défini au paragraphe 164 de l'annexe 4 du cadre SACCR peut être utilisé. En outre, étant
donné que les options vendues créent une exposition au sousjacent, elles doivent être incluses dans la mesure de l'exposition au titre du ratio
de levier en appliquant le traitement décrit dans la présente annexe, même si certaines options vendues bénéficient du traitement d'exposition
nulle en cas de défaut (EAD) autorisé dans la cadre fondé sur les risques.
Compensation bilatérale
4. Aux fins de la mesure de l'exposition aux fins du ratio de levier, ce qui suit s'appliquera :
(un) Les banques peuvent compenser les transactions soumises à novation en vertu desquelles toute obligation entre une banque et sa
contrepartie de livrer une devise donnée à une date de valeur donnée est automatiquement fusionnée avec toutes les autres
obligations pour la même devise et la même date de valeur, en substituant légalement un montant unique au précédent. obligations
brutes.
35
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, L'approche standard pour mesurer les expositions au risque de crédit de contrepartie,
mars 2014 (rév. avril 2014), www.bis.org/publ/bcbs279.pdf.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 155
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(b) Les banques peuvent également compenser les transactions soumises à toute forme juridiquement valide de compensation bilatérale non
couverte par le point a), y compris d'autres formes de novation.
(c) Dans les deux cas (a) et (b), une banque devra prouver à ses superviseurs nationaux qu'elle a :
(i) un contrat ou un accord de compensation avec la contrepartie qui crée une obligation juridique unique, couvrant toutes les
transactions incluses, de sorte que la banque aurait soit une créance de recevoir soit une obligation de payer uniquement
la somme nette des valeurs positives et négatives les valeurs de marché des transactions individuelles incluses dans le
cas où une contrepartie ne s'exécute pas en raison de l'un des éléments suivants : défaillance, faillite, liquidation ou
circonstances similaires ;
(ii) des avis juridiques écrits et motivés selon lesquels, en cas de contestation judiciaire, les tribunaux et autorités administratives
compétents considéreraient que l'exposition de la banque correspond à un montant net tel que :
la loi de la juridiction dans laquelle la contrepartie est agréée et, si la succursale étrangère d'une contrepartie est
impliquée, alors également en vertu de la loi de la juridiction dans laquelle la succursale est située ;
la loi qui régit les transactions individuelles ; et
la loi qui régit tout contrat ou accord nécessaire pour effectuer la compensation.
L'autorité de contrôle nationale, après avoir consulté si nécessaire d'autres autorités de contrôle concernées, doit
s'assurer que la compensation est exécutoire en vertu des lois de chacune des juridictions concernées ;36 et
iii) des procédures en place pour garantir que les caractéristiques juridiques des accords de compensation sont régulièrement
réexaminées à la lumière d'éventuelles modifications de la législation pertinente.
5. Les contrats contenant des clauses de désengagement ne seront pas éligibles à la compensation aux fins du calcul de la
mesure de l'exposition au ratio de levier conformément à ce cadre. Une clause de retrait est une disposition qui permet à une contrepartie
non défaillante de n'effectuer que des paiements limités, voire aucun paiement, à la succession d'un défaillant, même si le défaillant est un
créancier net.
Expositions aux opérations de financement sur titres
6. Accord cadre de compensation éligible : les effets des accords de compensation bilatéraux37 pour couvrir les OFT seront
reconnus contrepartie par contrepartie si les accords sont juridiquement exécutoires dans chaque juridiction concernée dès la survenance
d'un cas de défaut et que la contrepartie soit ou non insolvable ou en faillite. De plus, les accords de compensation doivent :
(un) donner à la partie non défaillante le droit de résilier et de clôturer en temps opportun toutes les transactions au titre de l'accord
en cas de défaut, y compris en cas d'insolvabilité ou de faillite de la contrepartie ;
(b) prévoir la compensation des gains et des pertes sur les transactions (y compris la valeur de toute garantie) résiliées et clôturées
en vertu de celleci de sorte qu'un montant net unique soit dû par une partie à l'autre ;
(c) permettre la liquidation ou la compensation rapide de la garantie en cas de défaut ; et
36
Ainsi, si l'un de ces superviseurs n'est pas satisfait de l'applicabilité en vertu de ses lois, le contrat ou l'accord de compensation ne remplira pas la condition et aucune des
contreparties ne pourra obtenir d'avantage prudentiel.
37 Les dispositions relatives aux conventionscadres de compensation éligibles pour les SFT sont destinées au calcul de la contrepartie
mesure du risque de crédit des SFT comme indiqué au paragraphe 51 (ii) uniquement.
156 Bâle III : finaliser les réformes postcrise
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(ré) être, avec les droits découlant des dispositions requises aux points (a) et (c) cidessus, juridiquement
exécutoires dans chaque juridiction concernée en cas de survenance d'un cas de défaut, indépendamment
de l'insolvabilité ou de la faillite de la contrepartie.
sept.
La compensation entre les positions détenues dans le portefeuille bancaire et le portefeuille de négociation ne sera comptabilisée que lorsque
les opérations compensées remplissent les conditions suivantes :
(un) toutes les transactions sont évaluées quotidiennement au prix du marché ; et
(b) les instruments de garantie utilisés dans les transactions sont comptabilisés en garantie financière éligible dans
le portefeuille bancaire.
Éléments hors bilan (OBS)
8. Aux fins du ratio de levier, les éléments OBS seront convertis en expositions de crédit en multipliant
le montant engagé mais non tiré par un facteur de conversion de crédit (CCF). À ces fins, l'engagement signifie
tout arrangement contractuel qui a été proposé par la banque et accepté par le client pour accorder un crédit,
acheter des actifs ou émettre des substituts de crédit. Il inclut tout accord de ce type qui peut être annulé sans
condition par la banque à tout moment sans notification préalable au débiteur.38 Il inclut également tout accord
de ce type qui peut être annulé par la banque si le débiteur ne remplit pas les conditions énoncées dans le
document de facilité. , y compris les conditions qui doivent être remplies par le débiteur avant tout accord de
prélèvement initial ou ultérieur.
9. Un CCF de 100% sera appliqué sur les éléments suivants :
• Substituts directs de crédit, p.
• Achats d'actifs à terme, dépôts à terme à terme et actions et titres partiellement libérés, qui
représentent des engagements avec un certain tirage.
• Le montant d'exposition associé aux achats d'actifs financiers non réglés (c'estàdire l'engagement de payer) lorsque
les transactions non réglées de manière régulière sont comptabilisées à la date de règlement. Les banques peuvent
compenser les engagements de paiement pour les achats non réglés et les liquidités à recevoir pour les ventes non
réglées à condition que les conditions suivantes soient remplies : (i) les actifs financiers achetés et vendus qui sont
associés aux dettes et créances en espèces sont évalués à la juste valeur par le biais du résultat et inclus dans le
portefeuille de négociation réglementaire de la banque tel que spécifié par les paragraphes 8 à 20 du cadre du risque
de marché ; et (ii) les transactions des actifs financiers sont réglées sur une base DVP.
38
À la discrétion nationale, une juridiction peut exempter certains accords de la définition des engagements à condition que les conditions
suivantes soient remplies : (i) la banque ne perçoit aucun frais ou commission pour établir ou maintenir les accords ; (ii) le client est tenu de
s'adresser à la banque pour le prélèvement initial et chaque prélèvement ultérieur ; (iii) la banque a pleine autorité, indépendamment du
respect par le client des conditions énoncées dans la documentation de la facilité, sur l'exécution de chaque prélèvement ; et (iv) la décision
de la banque sur l'exécution de chaque prélèvement n'est prise qu'après avoir évalué la solvabilité du client immédiatement avant le
prélèvement. Les accords exemptés qui satisfont aux critères cidessus sont limités à certains accords pour les entreprises et les PME, où
les contreparties sont étroitement surveillées en permanence.
Bâle III : finaliser les réformes postcrise 157
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• Éléments de hors bilan qui sont des substituts de crédit et qui ne sont explicitement inclus dans aucune autre catégorie.
dix. Un CCF de 50 % sera appliqué aux facilités d'émission de billets (NIF) et aux facilités de souscription renouvelables
(RUF), quelle que soit l'échéance de la facilité sousjacente.
11. Un CCF de 50 % sera appliqué à certains éléments conditionnels liés à la transaction (par exemple, les cautionnements d'exécution,
cautions de soumission, garanties et lettres de crédit standby liées à des transactions particulières).
12. Un CCF de 40 % sera appliqué aux engagements, quelle que soit l'échéance de la facilité sousjacente, à moins qu'ils
ne soient éligibles à un CCF inférieur.
13. Un CCF de 20 % sera appliqué à la fois aux banques émettrices et confirmatrices de lettres de crédit commerciales
autoliquidatrices à court terme39 résultant du mouvement de marchandises (par exemple, des crédits documentaires garantis par
l'expédition sousjacente).
14. Un CCF de 10% sera appliqué aux engagements résiliables sans condition et à tout moment par la banque sans préavis,
ou qui prévoient effectivement une résiliation automatique en raison de la détérioration de la solvabilité d'un emprunteur. Les
superviseurs nationaux devraient évaluer divers facteurs dans la juridiction, qui peuvent limiter la capacité des banques à annuler
l'engagement dans la pratique, et envisager d'appliquer un CCF plus élevé à certains engagements, le cas échéant.
15. En cas d'engagement de s'engager sur un poste hors bilan, les banques sont
d'appliquer le plus faible des deux CCF applicables.40
Les expositions de titrisation OBS doivent être traitées conformément au deuxième point du paragraphe 20 du 16.
Dispositif de titrisation de Bâle III.41
39
C'estàdire avec une échéance inférieure à un an. Pour plus de détails, voir Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Treatment of trade finance
under the Basel capital framework, octobre 2011, www.bis.org/publ/bcbs205.pdf.
40
Par exemple, si une banque s'est engagée à ouvrir des lettres de crédit commerciales autoliquidatrices à court terme découlant de la circulation
des marchandises, un CCF de 20 % sera appliqué (au lieu d'un CCF de 40 %) ; et si une banque a un engagement annulable sans condition
décrit au paragraphe 59 pour émettre des substituts directs de crédit, un CCF de 10 % sera appliqué (au lieu d'un CCF de 100 %).
41
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Revisions to the securitization framework, décembre 2014 (rév. juillet 2016), www.bis.org/bcbs/publ/
d303.pdf.
158 Bâle III : finaliser les réformes postcrise