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CF SMIA S1 2019 2020 Corrigébarème

Ce document décrit trois exercices de thermodynamique. L'exercice 1 définit le coefficient calorimétrique h pour un fluide réel subissant une transformation infinitésimale réversible. L'exercice 2 considère une mole de gaz parfait dans un cylindre et analyse trois transformations entre différents états d'équilibre. L'exercice 3 calcule les variations d'entropie pour ces transformations.
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CF SMIA S1 2019 2020 Corrigébarème

Ce document décrit trois exercices de thermodynamique. L'exercice 1 définit le coefficient calorimétrique h pour un fluide réel subissant une transformation infinitésimale réversible. L'exercice 2 considère une mole de gaz parfait dans un cylindre et analyse trois transformations entre différents états d'équilibre. L'exercice 3 calcule les variations d'entropie pour ces transformations.
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N° de table :………………………

Nom : ……………………………………………………………………………………………………..….UNIVERSITE CADI AYYAD


Prénom : …………………………………………………………………………………..FSS de MARRAKECH. Année 2019/2020
Le 30/12/2019
Note/20.

EPREUVE DE THERMODYNAMIQUE. Durée : 2h


Filières SMIA-S1. CF. Corrigé & barème
Lire attentivement tout le sujet du contrôle avant de commencer à répondre.
Travailler au brouillon avant de reporter le résumé de vos réponses sur la copie-réponse du contrôle.
Exercice 1. (3,5 pts)
Soit une mole d’un fluide réel subissant une transformation infinitésimale réversible.
1) En considérant la différentielle de l’enthalpie, dH et celle de l’entropie, dS comme des différentielles totales
exactes, établir l’expression du coefficient calorimétrique, 𝒉 0,25
0,25
𝑑𝐻 = dU + d PV = cP dT + hdP − PdV + d(PV) = cP dT + (h + V)dP ;
0,25
𝜕(ℎ+𝑉) 𝜕𝑐𝑃
H est une fonction d’état, dH (d.t.e) : ⟹ = , (1).
𝜕𝑇 𝜕𝑃
0,25 𝛿𝑄𝑟𝑒𝑣 𝑐𝑃 ℎ
𝑑𝑆 = = 𝑑𝑇 + 𝑑𝑃 ; 0,25
𝑇 𝑇 𝑇
𝜕(ℎ/𝑇) 𝜕(𝑐𝑃 /𝑇)
S est une fonction d’état, dS (d.t.e) ⟹ = , (2).
𝜕𝑇 𝜕𝑃 0,25
A partir de (1), on a : 0,25
𝒉
𝝏(𝒉) 𝝏(𝑽) 𝝏𝒄𝑷 𝝏 𝟏𝝏 𝒉 𝟏
+ = , (3) et à partir de (2), on a : 𝑻
= − 𝒉. 𝟐 , d’une part et
𝝏𝑻 𝝏𝑻 𝝏𝑷 𝝏𝑻 𝑻 𝝏𝑻 𝑻
𝟏 𝟏
0,25
𝝏(𝒄𝑷 /𝑻) 𝟏 𝝏(𝒄𝑷 ) 𝝏( ) 𝟏 𝝏(𝒄𝑷 ) 0,25 𝝏( )
= + 𝒄𝑷 𝑻
= , d’autre part car, 𝑻
=𝟎;
𝝏𝑷 𝑻 𝝏𝑷 𝝏𝑷 𝑻 𝝏𝑷 𝝏𝑷

( T et P étant les variables indépendantes de 𝒅𝑯 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒅𝑺). 0,25Ce qui implique que :


𝟏𝝏 𝒉 𝟏 𝟏 𝝏(𝒄𝑷 ) 𝝏 𝒉 𝟏 𝝏𝒄𝑷
− 𝒉. = soit : − 𝒉. = , (4). Comme (4) = (3), on a donc :
𝑻 𝝏𝑻 𝑻𝟐 𝑻 𝝏𝑷 𝝏𝑻 𝑻 𝝏𝑷

𝝏(𝒉) 𝝏(𝑽) 𝝏 𝒉 𝟏 𝝏(𝑽) 𝟏 𝝏𝑽 0,5


+ = − 𝒉.  = −𝒉. ⟹ 𝒉 = −𝑻. ( )𝑷 .
𝝏𝑻 𝝏𝑻 𝝏𝑻 𝑻 𝝏𝑻 𝑻 𝝏𝑻

2) En déduire la valeur de 𝒉 pour un gaz parfait. 0,5


𝝏𝑽 𝑹 𝑽
𝑷𝑽 = 𝑹𝑻, ( )𝑷 = =  𝒉 = −𝑽
𝝏𝑻 𝑷 𝑻

Exercice 2. (5 pts)
On considère une mole d’un gaz parfait enfermée par un piston dans un cylindre. L’état d’équilibre initial étant
𝐜
caractérisé par le point A(P1, V1, T1). On donne : 𝐜𝐏 − 𝐜𝐕 = 𝐑 et 𝐏 = 𝛄 = cte. 𝐜𝐏 et 𝐜𝐕 sont les chaleurs
𝐜𝐕
spécifiques molaires, respectivement, à pression et à volume constants.
1) On comprime le gaz de façon isotherme réversible de l’état d’équilibre A jusqu’à l’état d’équilibre B(P2, V2, T2).
1-a) Déterminer l’expression du travail 𝑾𝑨𝑩 échangé au cours de cette transformation en fonction de 𝑽𝟏 et 𝑽𝟐 .
𝑅𝑇1 𝑉
Transf. Isotherme :𝑇2 = 𝑇1 ⟹ 𝛿𝑊 = −𝑃𝑑𝑉 = − . 𝑑𝑉 ⟹ 𝑊𝐴𝐵 = −𝑅𝑇1 . 𝑙𝑛 𝑉2 0,25
𝑉 1
1-b) En déduire l’expression de la quantité de chaleur 𝑸𝑨𝑩 échangée au cours de cette transformation.
D’après le 1er principe, ∆UAB = WAB + QAB = 0, car transf. isotherme
0,25
𝑉2
⟹ QAB = −WAB = 𝑅𝑇1 . 𝑙𝑛 𝑉 ,
1

1
2) Au lieu de comprimer le gaz de manière isotherme réversible, on lui fait subir deux transformations successives
réversibles : Une compression adiabatique jusqu’à l’état d’équilibre C (P2, V3, T3) suivie d’une compression isobare
jusqu’à l’état d’équilibre B(P2, V2, T2).
2-a- Représenter sur un diagramme de Clapeyron P
les trois transformations AB , AC et CB en
0,75
précisant leur sens.

2-b- En utilisant la première loi de Joule pour un gaz parfait, B C


P2
donner l’expression de la variation d’énergie interne ∆𝑼𝑨𝑪 et ∆𝑼𝑪𝑩
et en déduire celle de ∆𝑼𝑨𝑪𝑩 .
0,25 0,25 P1 A

Δ𝑈𝐴𝐶 = 𝑐𝑉 (𝑇3 − 𝑇1 ) et Δ𝑈𝐶𝐵 = 𝑐𝑉 (𝑇2 − 𝑇3 ) V2 V3 V1 V

∆𝑈𝐴𝐶𝐵 = Δ𝑈𝐴𝐶 + Δ𝑈𝐶𝐵 = 𝑐𝑉 𝑇3 − 𝑇1 + 𝑐𝑉 𝑇2 − 𝑇3 = 0


0,25
Car 𝑇2 = 𝑇1

3) Calcul de la variation d’entropie des transformations AB , et AC B.


3-a- Calculer la variation d’entropie ∆𝐒𝐀𝐁 relative au chemin AB .
A  B : transformation isotherme réversible : 𝛿𝑄𝑟𝑒𝑣 = 𝑐𝑉 . 𝑑𝑇 + 𝑃. 𝑑𝑉 = 𝑃. 𝑑𝑉
𝑃.𝑑𝑉 𝑑𝑉 𝑉
⟹ 𝑑𝑆 = 𝑇 = 𝑅. 𝑉 ⟹ 𝛥𝑆𝐴𝐵 = 𝑅. 𝑙𝑛 𝑉2 0,5
1

3-b- Calculer l’expression de la variation d’entropie ∆𝐒𝐀𝐂𝐁 relative au chemin ACB.


- Sur le chemin ACB, ΔSACB = ΔSAC + ΔSCB , avec :
0,25
 A  C, transf. adiabatique 𝛿𝑄 = 0 ⟹ 𝑑𝑆 = 0 ⟹ 𝜟𝑺𝑨𝑪 = 𝟎
𝑐 𝑃 𝑑𝑇 𝑻
 C B, transf. isobare : 𝛿𝑄 = 𝑐𝑃 𝑑𝑇 + ℎ. 𝑑𝑃 ⟹ 𝑑𝑆 = ⟹ 𝜟𝑺𝑪𝑩 = 𝑐𝑃 𝒍𝒏 𝑻𝟐 0,5
𝑇 𝟑

𝑻 0,25
𝜟𝑺𝑨𝑪𝑩 = 𝜟𝑺𝑪𝑩 = 𝒄𝑷 𝒍𝒏 𝑻𝟏, . Car 𝑇2 = 𝑇1
𝟑
3-c- Sachant que S est une fonction d’étant, montrer que ∆𝑺𝑨𝑪𝑩 = 𝜟𝑺𝑨𝑩 .

A  C : transformation adiabatique réversible : 𝑇. 𝑉 𝛾−1 = 𝑐𝑠𝑡𝑒, d’où : 𝑇1 . 𝑉1 𝛾−1 = 𝑇3 . 𝑉3 𝛾−1 ⟹


𝑻𝟏 𝑽 0,25
= (𝑽𝟑 )𝛾−1 ,
𝑻𝟑 𝟏
𝑻𝟏 𝑽 0,25
D’où : 𝜟𝑺𝑨𝑪𝑩 = 𝒄𝑷 𝒍𝒏 = 𝒄𝑷 𝒍𝒏( 𝟑 )𝛾−1
𝑻𝟑 𝑽𝟏

C B, transf. isobare : 𝑃3 𝑉3 = 𝑅. 𝑇3 et 𝑃2 𝑉2 = 𝑅. 𝑇2 = 𝑅. 𝑇1 , comme 𝑃3 = 𝑃2


𝑻𝟐 𝑻 𝑽
On obtient donc : = 𝑻𝟏 = 𝑽𝟐
𝑻𝟑 𝟑 𝟑
𝟏 0,25
𝑽𝟐 𝑽 𝑽𝟐 𝑽𝟐 𝑽𝟏 𝑽 𝑽𝟐 𝑽 𝑽𝟑 𝑽𝟐
On a donc: = (𝑽𝟑 )𝛾−1 ; comme 𝑽 = 𝑽 . 𝑽 = (𝑽𝟑 )𝛾−1 ⟹𝑽 = (𝑽𝟑 )𝛾 ⟹ 𝑽 = (𝑽 ) 𝜸
𝑽𝟑 𝟏 𝟑 𝟏 𝟑 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏

𝜸−𝟏
𝑻 𝑽 𝑽 𝜸−𝟏 𝑽
𝜟𝑺𝑨𝑪𝑩 = 𝒄𝑷 𝒍𝒏 𝑻𝟏 = 𝒄𝑷 𝒍𝒏(𝑽𝟑 )𝛾−1 = 𝒄𝑷 . 𝒍𝒏(𝑽𝟐 ) 𝜸 = . 𝒄𝑷 . 𝒍𝒏 𝑽𝟐 , 0,25
𝟑 𝟏 𝟏 𝜸 𝟏

𝑹 𝜸.𝑹 𝑉
Sachant que ; 𝒄𝑽 = , et 𝒄𝑷 = 𝜸−𝟏 , on en déduit que : 𝜟𝑺𝑨𝑪𝑩 = 𝑅. 𝑙𝑛 𝑉2
0,25 𝜸−𝟏 1
0,25

2
Exercice 3: (5 pts).
Durant un cycle ditherme, un fluide thermodynamique échange de la chaleur 𝐐𝟏 avec la source de chaleur
chaude à la température 𝐓𝟏 , de la chaleur 𝐐𝟐 avec la source de chaleur froide à la température 𝐓𝟐 , et du travail
𝐖 avec l’extérieur.
1) Compléter les schémas de principes suivants en indiquant le sens et le signe des échanges énergétiques de
la machine thermique avec les sources de chaleur et le milieux exterieur.

1)
T1 : source chaude T1 : source chaude T1 : source chaude
0,25
0,25 0,25
𝐐𝟏 < 0 0,25 𝐐𝟏 > 0 0,25 𝐐𝟏 < 0 0,25

frigo Moteur Pompe à


chaleur 𝐖>0
𝐖>0 0,25 𝐖<0
0,25 0,25
𝐐𝟐 > 0 𝐐𝟐 < 0 𝐐𝟐 > 0

T2 : source froide T2 : source froide T2 : source froide

Schéma de principe d’un réfrigérateur Schéma de principe d’un moteur


Schéma de principe d’une pompe à
chaleur.
2) Définir et donner l’expression du rendement 𝜼 et de l’éfficacité « e » de chaque machine thermique en
fonction de 𝐐𝟏 et 𝐐𝟐 .
Le rendement d’un moteur est: L’efficacité d’une machine L’efficacité d’une pompe à chaleur
figorifique est : est :
0,25 0,25 0,25
𝑊 𝑄2 𝑄1
𝜂=− ; comme : 𝑒= ; comme : 𝑒=− ; comme :
𝑄1 𝑊 𝑊
0,25

ΔU = 𝑄1 + 𝑄2 + 𝑊 = 0 ; ΔU = 𝑄1 + 𝑄2 + 𝑊 = 0 ; ΔU = 𝑄1 + 𝑄2 + 𝑊 = 0 ;
0,25
𝑊 𝑄1 + 𝑄2 0,25 𝑄2 𝑄2 𝑄1 𝑄1
𝜂 = −𝑄 = 𝑄1
, 𝑒=
𝑊
=
−𝑄1 − 𝑄2
; 0,25 𝑒=− =
1
𝑊 𝑄1 + 𝑄2

3) Donner l’expression du rendement 𝛈 et de l’éfficacité « e » de chaque machine thermique dans le cas où le


cycle dithermes est réversible.

Rendement : Efficacité: production du froid Efficacité: chauffage

𝑊 𝑄1 + 𝑄2 𝑄2 𝑄2 𝑄1 𝑄1
𝜂=− = ; 𝑒= = ; 𝑒=− = ;
𝑄1 𝑄1 𝑊 −𝑄1 − 𝑄2 𝑊 𝑄1 + 𝑄2
De plus : 0,25 De plus : De plus :
𝑄 𝑄2 𝑄 𝑄2 𝑄 𝑄2
ΔS = 𝑇1 + 𝑇2
=0, ΔS = 𝑇1 + 𝑇2
= 0, ΔS = 𝑇1 + 𝑇2
= 0,
1 1 1
0,25 0,25 0,25
𝑇1 − 𝑇2 𝑇2 𝑇1
D’où : 𝜂 = D’où : 𝑒 = D’où : 𝑒 =
𝑇1 𝑇1 − 𝑇2 𝑇1 − 𝑇2

Exercice 4: (6,5 pts).


Une pompe à chaleur est utilisée pour chauffer une salle. On notera 𝐐𝟏 la quantité de chaleur échangée avec la
source chaude de température 𝐓𝟏 et 𝐐𝟐 la quantité de chaleur échangée avec la source froide de température
𝐓𝟐 . On supposera que le fluide avec lequel fonctionne cette machine est un gaz parfait.

3
1) En considérant que cette machine fonctionne selon un cycle de CARNOT, représenter ce cycle dans un
diagramme (P, V) puis dans le diagramme (T, S) en indiquant son sens dans chaque diagramme.
P T
0,5 ; cycle
0,5 ; cycle 0,5 ; sens
C B
C 0,5 ; sens T1

B
T1
D
T2 T2 A
A D

VA V SC = SD SB = SA S
Que représente l’aire du cycle dans ce diagramme ? Que représente l’aire du cycle dans ce diagramme ?
L’aire du cycle représente le travail total W L’aire du cycle représente la quantité de chaleur totale Q
0,5
0,5
2) Etablir l’expression de l’efficacité « 𝒆 » de cette machine. 0,5 0,5
𝑄1 𝑄1 𝑄2
0,5 𝑒 = − , avec , Δ𝑈 = 𝑊 + 𝑄1 + 𝑄2 = 0 (1) et Δ𝑆 = + = 0 (2), d’où :
𝑊 𝑇1 𝑇2
𝑄1 𝑄1 1 𝑄2 𝑇2 1 1 𝑇1
𝑒=− = = 𝑄 , or d’après (2), =− ⟹ 𝑄 = 𝑇 =𝑇 d’où :
𝑊 𝑄1 +𝑄2 1+ 2 𝑄1 𝑇1 1+ 2
𝑄1
1− 2
𝑇1 1 −𝑇2
𝑄1
𝑇1
𝑒= , 0,25
𝑇1 −𝑇2
3) On fournit un « travail électrique » de 𝟏 𝐤𝐖𝐡 à la machine.
a- quelle est la quantité de chaleur maximale reçue par la salle ?

𝑇1 0,5
𝑄1 = 𝑒. 𝑊 = . 𝑊,
𝑇1 −𝑇2
b- Faire l’application numérique avec 𝜽𝟏 = 𝟐𝟐 °𝑪 (température de la salle) et 𝜽𝟐 = −𝟏𝟎 °𝑪 (température de
l’extérieur).
A.N : avec 𝜃1 = 22 °𝐶 (température de la salle) et 𝜃2 = −10 °𝐶(température de l’extérieur),
Soient : 𝑇1 = 273 + 22 = 295 𝐾 et ). 𝑇2 = 273 − 10 = 263 𝐾 et 𝑊 = 1 𝑘𝑊ℎ.
𝑇1
𝑄1 = . 𝑊 = 9,22 .1. 𝑘𝑊ℎ ⟹ 𝑄1 = 9,22 𝑘𝑊ℎ 0,25
𝑇1 −𝑇2
4) On veut fournir à la salle la même quantité de chaleur qu’à la question précédente mais en utilisant un radiateur
électrique (résistance chauffante par effet joule).
a- Quelle est la valeur du travail électrique 𝑾𝒆𝒍 qui sera consommé par le radiateur ?
Par effet Joule, (résistance chauffante), l’énergie électrique est complètement transformée en
chaleur, le radiateur consommera donc : 𝑊𝑒𝑙 = 𝑄1 = 9,22 𝑘𝑊ℎ, 0,5
b- D’après vos calculs, quel est l’appareil le plus économique, pompe à chaleur ou radiateur?
Justifier votre réponse.
Le radiateur consomme 9,22 kWh, alors que la machine consomme 1kWh pour donner la même quantité de
chaleur Q1 = 9,22 kWh. La pompe à chaleur est plus économique. 0,5

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