Fiche Pedagogique SVT Tle D Annee 2020-2021
Fiche Pedagogique SVT Tle D Annee 2020-2021
17 à la nutrition et à la santé. 02
Régulation / Evaluation de la L
Février Thème 1: le milieu intérieur.
18 Compétence 4 : Leçon 1 : Le système de défense de l’organisme
19 Traiter une situation relative 02
Régulation / Evaluation de la L1
à la nutrition et à la santé.
Régulation / Evaluation de la L2
Compétence 1 : Leçon : L’amélioration et la protection des sols.
Traiter une situation relative Leçon : Le fonctionnement des organes sexuels chez
à la reproduction et à 02
Avril l’Homme.
l’hérédité
Régulation / Evaluation de la L
25 Thème 1 : la reproduction
chez les mammifères
HABILETES CONTENUS
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre de l’exécution de son programme d’activités pour la réalisation d’un jardin potager ayant un bon rendement dans leur
établissement, les élèves de la coopérative scolaire du Lycée Moderne 1 d’ABOBO effectuent une sortie d’étude sur deux parcelles
expérimentales de culture de maïs réalisées par un service d’ANADER.La parcelle A, a un bon rendement par rapport à la parcelle B et
l’agent de l’ANADER les informe que cela est dû aux bons échanges d’ionsau niveau du sol de la parcelle A. Ainsi, pour comprendre les
échanges d’ions au niveau du sol, ils décident d’expliquer la formation du complexe argilo-humique et le mécanisme d’échanges d’ions au
niveaudu sol.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs : - SVT 4e , Collection Savanes et Forêts.
1
ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
DEROULEMENT DE LA LECON
Stratégies
Moments Activités du Activités de
(Techniques/ Trace écrite
Didactiques/Durée professeur l’élève
Supports)
Situation
PRESENTATION Travail Lisez la
individuel situation Lecture
(5 minutes) silencieusement. silencieuse
2
ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
Face à ce
Travail de constat, dites ce On doit
groupe vous faites. expliquer la
formation du
complexe
argilo-
humique et le
mécanisme
d’échanges
d’ions au
niveaudu sol.
Posez le
problème issu
DEVELOPPEMENT de ce constat
Travail de sous forme de Formulation
groupe question. du titre de la
leçon.
Notez
Travail Prise de notes
individuel du titre dans le
cahier. COMMENT LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU
SOLSE FONT-ILS ?
3
ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
I-LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL FONT-ILS GRACE
AU COMPLEXE ARGILO-HUMIQUE ?
- Expérience 2 :
Premièreétape :
Dans un cristallisoir contenant 100 ml d’eau distillée, on délaie 30 g
de terre argileuse. Après agitation pendant 15 minutes on obtient
un mélange homogène. On laisse décanter puis on filtre le mélange
au-dessus d’un cristallisoir. On verse une certaine quantité du filtrat
obtenu dans deux tubes. Dans l’un des tubes, on ajoute 5ml de
chlorure de calcium (CaCl2) et dans l’autre tube (tube I), on n’ajoute
rien.
Deuxièmeétape :
Dans un cristallisoir contenant 100 ml d’une solution de soude, on
délaie 30 g de terre riche en humus. Après agitation pendant 15
minutes on obtient un mélange homogène. On laisse décanter et on
verse 10 ml du surnageant dans deux tubes à essais. Dans l’un des
tubes, on ajoute 5ml de chlorure de calcium (CaCl2) et dans l’autre
(tube II), on n’ajoute rien.
Troisièmeétape :
On verse le contenu des tubes I et II dans un cristallisoir puis on
mélange.
On verse ensuite une certaine quantité de ce mélange dans deux
tubes à essais. Dans l’un des tubes, on ajoute 5ml de chlorure de
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ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
calcium (CaCl2) et dans l’autre, on n’ajoute rien.
2- Résultats(Voir documents 1 et 2)
- Expérience 2 :
Première étape :
Lorsqu’on ajoute 5 ml de chlorure de calcium au filtrat, on obtient
une floculation alors que dans le tube I qui n’a pas reçu de CaCl2,
l’argile fine reste en suspension.
Deuxième étape :
Lorsqu’on ajoute 5 ml de chlorure de calcium au surnageant, on
obtient une floculation alors que dans le tube IIqui n’a pas reçu de
CaCl2, l’humus reste en solution colloïdale.
Troisième étape :
Lorsqu’on ajoute 5 ml de chlorure de calcium au mélange des tubes
I et II, on obtient une floculation importante alors que dans l’autre
tube à essaiqui n’a pas reçu de CaCl2, le mélange est stable.
5- Conclusion
Les échanges d’ions au niveau du sol se font grâce au complexe
argilo-humique.
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ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
de terre différentes ayant la même masse et placés dans des
entonnoirs de même forme.
La concentration en ions K+ est plus faible dans les filtrats que dans
la solution initiale de KCl. Le filtrat 1 est plus concentré en ions K+
que le filtrat 2.
La concentration en ions Cl- reste inchangée dans les 2 filtrats.
Les ions Ca++ qui ne se trouvaient pas dans la solution mère de KCl
se retrouvent dans les 2 filtrats mais en plus grande quantité dans
le filtrat 2.
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ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
Le changement peut survenir lorsque les racines des plantes
absorbent les ions ou bien si les ions sont entrainés par lessivage.
Dans ce cas il y a déficit d’ions dans la solution du sol. Pour
combler ce déficit, le complexe argilo-humique va libérer des
ions pour rétablir l’équilibre (voir document 8).
Le changement peut aussi survenir lorsqu’ il y a apport d’ions à la
solution du sol par des engrais ou des amendements tels que les
amendements calcaires. Dans ce cas il y a excès d’ions dans la
solution du sol. Pour rétablir l’équilibre ionique dans la solution du
sol, le complexe argilo-humique va adsorber ou fixerdes
ions(voir document 8).
5- Conclusion
Le échanges d’ions au niveau du sol se font selon un mécanisme.
CONCLUSION GENERALE
Les échanges d’ionsau niveau du sol se font grâce au complexe
argilo-humique et selon un mécanisme.
ÉVALUATION
Activité d’évaluation
(10 min)
1- Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
a) Le complexe argilo-humique fixe seulement les cations
de la solution du sol.
8
ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
b) Le complexe argilo-humique fixe des ions en cas de
déficit dans la solution du sol.
c) Le complexe argilo-humique est constitué de particules
d’argile et d’humus uniquement.
d) Le complexe argilo-humique libère des ions dans la
solution du sol quand celle-ci s’enrichit en ions.
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ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
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ère
COURS 1 D 2019 LES ECHANGES D’IONS AU NIVEAU DU SOL
DOCUMENT 1 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DES CHARGES DES PARTICULES D’ARGILE ET D’HUMUS
DOCUMENT 1 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DES CHARGES DES PARTICULES D’ARGILE ET D’HUMUS
DOCUMENT 1 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DES CHARGES DES PARTICULES D’ARGILE ET D’HUMUS
DOCUMENT 1 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DES CHARGES DES PARTICULES D’ARGILE ET D’HUMUS
Premièrement Premièrement Premièrement
DOCUMENT 2 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DOCUMENT 2 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DOCUMENT 2 : EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE
DE LA FORMATION DU COMPLEXE ARGILO- DE LA FORMATION DU COMPLEXE ARGILO- DE LA FORMATION DU COMPLEXE ARGILO-
HUMIQUE HUMIQUE HUMIQUE
eau
cation
micelle d’humus
micelle d’argile
charges positives
du calcium
HABILETES CONTENUS
l'influence de la lumière, de la température et du
1. Mettre en évidence
dioxyde de carbone sur laphotosynthèse
2. Localiser la chlorophylle dans la cellule végétale
3. Schématiser l’ultrastructure du chloroplaste.
- les principaux pigments de la chlorophylle brute ;
4. Déterminer - les propriétés de la chlorophylle ;
- le rôle de la chlorophylle ;
5. Expliquer le mécanisme de la photosynthèse.
6. Ecrire l’équation générale de la photosynthèse
7. Réaliser le schéma de synthèse de la photosynthèse
8. Dégager l’importance de la photosynthèse dans la biosphère
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre des activités de leur coopérative, des élèves du PMFA, ont créé un champ de tomate sur deux parcelles. Au bout de
quelques mois, les plants de tomate donnent de gros fruits sur une parcelle alors que sur l’autre parcelle où les feuilles de tomate ne sont
pas abondantes, les fruits sont de petites tailles. Leur professeur de SVT leur apprend que ces fruits sont des réserves de matière
organique. Pour comprendre l’apparition des tomates, ils décident d’identifier les facteurs qui influencent la photosynthèse, de
déterminer le rôle de la chlorophylle, d’expliquer le mécanisme de la photosynthèse et de dégager l’importance de la photosynthèse dans
la biosphère.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
- Planche montrant la chromatographie sur papier - S.V.T 2nde Coll. BORDAS, TAVERNIER/ C. LIZEAUX.
- Images de feuille contenant de l’amidon après traitement - BIOLOGIE TERMINALE D, J. ESCALIER
- Documents montrant la phase claire et obscure de la photosynthèse
DEROULEMENT DE LA LECON
Stratégies
Moments Activités du Activités de
(Techniques/ Trace écrite
Didactiques/Durée professeur l’élève
Supports)
Situation
PRESENTATION Travail Lisez la
individuel situation Lecture
(5 minutes) silencieusement. silencieuse
1- Présentation de l’expérience.
L’expérience consiste à mettre en évidence l’influence de la
lumière, de la température et du dioxyde de carbone sur
l’intensité de la photosynthèse.
Des fragments de feuilles vertes d’élodée sont placés dans un
bioréacteur.
Premièrement, on éclaire ces feuilles à l’aide d’un simple
projecteur de diapositives puis on fait varier l’intensité de
l’éclairement en déplaçant le projecteur. La température reste
constante.
Deuxièmement, les fragments végétaux placés dans le
bioréacteur reçoivent un éclairement important et constant
puis on fait varier la température.
Enfin, les fragments végétaux placés dans le bioréacteur et
recevant en permanence un éclairement important et
constant,
sont placés dans de l’eau soigneusement dégazée (eau bouillie,
puis refroidie). Oninjecte ensuite à des moments précis, 0,1ml,
d’une solution d’hydrogénocarbonate de potassium dont la
concentration est connue. Par une réaction chimique simple,
cette solution libère du dioxyde de carbone sous forme
dissoute dans le milieu.
Document 2 :
L’intensité de la photosynthèse augmente progressivement de
0,03 à 0,3%. Au-delà de 0,3%, l’intensité de la photosynthèse
reste constante.
Document 3 :
L’intensité de la photosynthèse augmente progressivement de
0 à 40°C. au-delà de 40°C, l’intensité de la photosynthèse
chute.
5- Conclusion.
La plante verte produit la matière organique sous l’influence
de certains facteurs.
Activité d’évaluation
Parmi les mots ou groupe de mot suivants, soulignez ceux qui
sont des facteurs qui influencent la photosynthèse :
Air – CO2 – Azote – Lumière – Température – O2 – Matière
organique.
A – Localisation de la chlorophylle.
1 – Observation
L’observationporte sur une cellule chlorophyllienne.
5 – Conclusion
La chlorophylle est localisée dans les chloroplastes au niveau des
thylakoïdes.
B – Pigments chlorophylliens
1 – Présentation de l’expérience
L’expérience consiste à extraire la chlorophylle brute d’une feuille.
On laisse macérer des feuilles d’épinard pendant 24 heures dansde
l’alcool ou de l’acétone et la chlorophylle diffuse et les chloroplastes
sont décolorés.
On peut procéder plus rapidement en broyant les feuilles d’épinard, dans
un mortier, en présence d’alcool à 70°C (ou d’acétone). On filtre et on
recueille alors une solution verte de chlorophylle brute dans l’alcool (ou
l’acétone).
On ajoute, à la solution alcoolique de chlorophylle brute, un peu de
benzène, et on agite. Au repos le liquide se sépare en deux couches :
l’une supérieure, verte, dissoute dans le benzène ; l’autre, inférieure,
jaune, dissoute dans l’alcool.
Dans la solution alcoolique de chlorophylle brute, on trempe l’extrémité
inférieure d’une bande de papier filtre.
2 – Résultats(voir document 7)
4 – Conclusion
La chlorophylle brutecontient quatre pigments (chlorophylles a et b,
xanthophylle et carotène).
C – Propriétés de la chlorophylle
1 – Présentationde l’expérience
L’expérience consiste à déterminer les propriétés optiques de la
chlorophylle.
On intercale une solution alcoolique de chlorophylle brute sur une partie
du trajet d’un faisceau lumineux (lumière blanche). On place un prisme
(spectroscope) entre un écran et la solution de chlorophylle.
5 – Conclusion
La chlorophyllecapte les radiations lumineuses et les utilise pour la
synthèse des matières organiques.
D – Conclusion
La plante verte produit la matière organique grâce à la
chlorophylle.
Activité d’évaluation
Répondez par vrai ou faux aux affirmations ci-dessous :
1- Les thylakoïdes sont des pigments chlorophylliens……
2- La chlorophylle est localisée dans le chloroplaste……..
3- On distingue 5 pigments chlorophylliens……….
4- La chlorophylle absorbe toutes les radiations dela
lumière blanche sauf le rouge………
III- LA PLANTE VERTE PRODUIT-ELLE LA MATIERE
ORGANIQUE SELON UN MECANISME ?
1- Présentation de l’expérience
L’expérience consiste à rechercher de l’amidon (matière
organique) dans des feuilles d’une plante verte soumises ou non à
la lumière du soleil.
On prélève une feuille en fin de journée sur un pied de Géranium
(exposéeà la lumière du jour).
On prélève une autre feuille de ce même pied à la fin de la
nuit.Aussitôt après prélèvement, on réalise différents traitements.
Chaque feuille est successivement :
tuée à l’eau bouillante,
décolorée à l’alcool bouillant,
traitée à l’eau iodée.
2- Résultats
- Feuille prélevée en fin de journée : coloration bleue-
violacée
- Feuille prélevée à la fin de la nuit : pas de coloration
bleue-violacée
lumière
H2O 2H+ + ½ O2+ 2e_
Tandis que l’oxygène est dégagé, les protons s’accumulent dans la cavité
des saccules. Les protons accumulés peuvent gagner le stroma par
l’intermédiairedes sphères pédonculées qui se comportent comme
enzymes actives. Elles catalysent la formation d’ATP à partir d’ADP et
de P (phosphate) : c’est la phosphorylationavec formation d’une liaison
riche en énergie.
ADP+Pi ATP
T++2H++2e_ TH2
5- Conclusion
La plante verte produit la matière organique selon un
mécanisme.
CONCLUSION GENERALE
La plante verte produit la matière organique sous l’influence
de de certains facteurs, grâce à la chlorophylle et selon un
mécanisme.
Activité d’évaluation
Taux de CO2 en %
Température (°C)
chloroplaste
vacuole
cytoplasme
méat
paroi cellulosique
noyau
membrane externe
espace intermembranaire enveloppe
membrane interne
stroma
membranes des thylakoïdes
granum
thylakoïdes de granum
thylakoïdes de
stroma
spectre d’absorption de la
photosynthèse
source de lumière
fente étroite
HABILETES CONTENUS
1. Identifier les conditions de la mise en place d’un réflexe acquis ou
conditionnel.
2- Expliquer la mise en place du reflexe acquis ou conditionnel.
3. Schématiser le trajet de l’influx nerveux dans un réflexe acquis.
4. déduire la notion de réflexe acquis ou conditionnel
SITUATION D’APPRENTISSAGE
Pendant les vacances, Zokou qui a suivi le cours sur les réflexes innés en classe 1èreD, accompagne son pèredans un centre de dressage où il travaille.Une fois
dans ce centre, il est surpris de voir que certains singes étaient à mesure de danser au son d’une musique. Son père l’informe que ces singes ont suivi plusieurs
séances d’apprentissage.
Auretour des vacances, Il informe ses camarades de la TD 1 de la réaction des singes au son de la musique. Ils décident alors de chercher à comprendre cette
réactionet d’expliquer sa mise en place.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
Aux résultats de l’expérience de Pavlov - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection J. ESCALIER.
Au document montrant le trajet suivi par l’influx nerveux dans le - BIOLOGIE 3e, Collection MAGNARD.
cas du réflexe salivaire
[Tapez un texte]
PAGE DU DEROULEMENT DE LA LEÇON
[Tapez un texte]
Leçon 1 :
Travail individuel Prenez vos cahiers et
notez ce problème qui Prise de notes COMMENTCERTAINS TYPES DE REFLEXES SE
Brainstorming constitue le titre de la METTENT-ILS EN PLACE ?
leçon 1
Emission des
DEVELOPPEMENT Formulez des hypothèses
Travail collectif hypothèses en vue de
…… min résoudre le problème
posé
Proposez un résumé
introductif qui prend en Elaboration du résumé
Travail individuel compte le constat et les introductif
hypothèses.
Prise de notes.
Notez dans le cahier. L’exploitation dutexte relatif à des singes qui dansent au
son d’une musique, a permis de constater que d’autres types
de réflexesse mettent en place.
On peut alors suppose que :
- Certains types de réflexes se mettent en place dans
certaines conditions.
- Certains types de réflexes se mettent en place selon un
Travail collectif mécanisme.
Notez !
I- CERTAINS TYPES DE REFLEXES SE METTENT-
ILS EN PLACE DANS CERTAINES CONDITIONS?
[Tapez un texte]
1- Présentation de l’expérience de Pavlov.
L'animal (chien) à jeun ou non rassasié est enfermé dans une
pièce close, obscure, parfaitement isolée. Des sangles le
maintiennent en place sans gêner ses mouvements. L'extrémité du
canal excréteur d'une glande salivaire est abouchée à l'extérieur
(fistule salivaire) et un dispositif électrique enregistre
automatiquement l'émission des gouttes de salive. Des dispositifs
commandés du dehors permettent à l'opérateur de produire des
excitations visuelles (lumière), auditives (diapasons, sifflets,
bruits de métronome) ou cutanées (chocs électriques) et de
présenter à l'animal, soit une écuelle renfermant des
aliments. Un système de visée permet de surveiller son
comportement tout au long de l'opération (Document 1 :
DISPOSITIF EXPERIMENTAL DE PAVLOV).
5- Conclusion
Certains types de réflexes se mettent en place dans certaines
conditions.
Activité d’évaluation.
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1- Le réflexe conditionnel est immuable….
2- L’extinction du réflexe conditionnel se produit à la suite
du renforcement….
3- Le réflexe conditionnel s’acquiert par apprentissage….
4- Dans la mise en place d’un réflexe conditionnel,
l’excitant absolu précède l’excitant neutre…..
5- Un excitant neutre peut devenir un excitant
conditionnel….
1- Observation.
L’observation porte sur un document montrant le
mécanisme de mise en place du réflexe salivaire acquis chez
le chien.
[Tapez un texte]
(son)
4- Conclusion
CONCLUSION GÉNÉRALE
Certains types de réflexes se mettent en place dans certaines
conditions et selon un mécanisme.
ACTIVITÉ D’EVALUATION
ÉVALUATION 1- Complète le schéma ci-dessous à l’aide des mots ou
groupes de mots suivants intervenant dans le réflexe
10 min conditionnel de salivation chez le chien : effecteur (glandes
salivaires), récepteur sensoriel (oreille), centre réflexe,
[Tapez un texte]
aire gustative, fibre sécrétrice motrice, aire auditive, fibre
sensitives.
[Tapez un texte]
DOCUMENT 1 : DISPOSITIF EXPERIMENTAL DE PAVLOV
PENDANT LE
PENDANT LE
CONDITIONNEMENT
CONDITIONNEMENT
APRÈS LE
APRÈS LE
CONDITIONNEMENT
CONDITIONNEMENT
CLASSE(S) : Terminale D
THÈME :La communication dans l’organisme.
LEÇON 5: COMMENT LE TISSU NERVEUX FONCTIONNE-T-IL ?
DURÉE :02 semaines.
HABILETES CONTENUS
- la coupe transversale du nerf ;
1. Annoter - le schéma du neurone ;
- l’ultrastructure des synapses neuro-neuroniques et neuro- musculaires.
- la nature du message nerveux ;
2. Déterminer
-les propriétés des structures nerveuses.
3. Expliquer le fonctionnement d'une synapse.
4. Réaliser le schéma explicatif de la transmission synaptique.
les notions de : potentiel de membrane; potentiel d'action; synapse ;synapses
5. Déduire
excitatrice et inhibitrice.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre de ses activités, le club des Biologistes du PMFA a suscité une conférence sur le fonctionnement du système nerveux. Au cours de cette
conférence, les élèves apprennent que le système nerveux comprend le tissu nerveuxet certaines structures nerveuses permettant à l’organisme de
communiquer avec l’extérieurpar le biais de messages nerveux. Les élèves de terminale D ayant eu un intérêt particulier pour cette conférence,
veulent en savoir plus sur le fonctionnement du tissu nerveux. Elles décident alors de déterminer l’organisation des structures nerveuses, la nature
du message nerveux, les propriétés du tissu nerveux, et d’expliquer le mécanisme de transmission de l’influx nerveux.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
- photographies et schéma d’interprétation de coupe transversale d’un nerf ; - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection J. ESCALIER.
- schémas de la structure du neurone ; - BIOLOGIE TERMINALE C, Collection J. ESCALIER.
- schémas du principe de fonctionnement de l’oscilloscope et du dispositif - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection ADN
expérimental ;
- schémas d’enregistrement des PM et PA ;
- la courbe d’exploitation ionique des PM et PA ;
- la mise en évidence des périodes réfractaires ;
- la mesure de la vitesse de conduction de l’IN dans un axone ;
- la conduction de l’IN dans les fibres myélinisées et amyélinisées ;
- l’enregistrement de PA en différents points d’un axone ;
- schémas d’une jonction neuro-musculaire et d’une synapse neuro-
neuronique ;
- l’explication du fonctionnement d’une synapse.
MOMENTS STRATÉGIES ACTIVITÉS DU ACTIVITÉS TRACE ÉCRITE
DIDACTIQUES ET (Techniques / PROFESSEUR DE L’ELEVE
DURÉE Supports)
PRESENTATION Par un jeu de
questions/réponses,
(5 min) le professeur Rappel
vérifie les
prérequis des
Texte relatif à élèves.
la situation
d’apprentissage - Présentez la
situation
Travail d’apprentissage
individuel
4- Conclusion.
Le tissu nerveux fonctionne grâce à certaines structures
nerveuses qui sont le nerf et le neurone.
Activité d’évaluation n°1
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1- Le nerf est constitué d’un ensemble de fibres
nerveuses.
2- La fibre nerveuse est une partie de l’axone.
3- L’axone est encore appelé péricaryon.
4- Le neurone est une cellule nerveuse qui est constituée
de trois parties.
5- Le prolongement long du neurone est la dendrite.
II-LE TISSU NERVEUX FONCTIONNE-T-IL GRÂCE
AU MESSAGE NERVEUX ?
1- Présentation de l’expérience.
A l’aide d’un dispositif expérimental (voir document 5),
constitué d’un dispositif de stimulation, d’un dispositif
d’enregistrementet d’une cuve à nerf, on étudie la nature du
message nerveux.
Un axone du neurone géant de calmar fraîchement prélevé est
allongé dans la cuve à nerf munie de nombreuses électrodes
impolarisable en argent et contenant de l’eau de mer. Seules
les électrodes branchées seront fonctionnelles. Les deux
électrodes reliées au circuit d’excitation (dispositif de
stimulation) sont dites électrodes excitatrices. Les deux
électrodes reliées à l’oscilloscope cathodique par
l’intermédiaire d’un amplificateur (dispositif
d’enregistrement) sont dites électrodes réceptrices.
L’oscillographe ou oscilloscope cathodique est constitué de
:
untube renfermant une source d’électrons qui émet
un faisceau d’électrons,
une paire de plaques horizontales de déviation
verticalereliée à 2 électrodes réceptrices permettant la
déviation verticale du spot suivant l’axe vertical y’oy
(axe des amplitudes). Ces plaques reçoivent après
amplification (x 1000) les potentiels en traçant la
courbe de variation du potentiel en fonction du
temps.
une paire de plaques verticales de déviation
horizontale permettant la déviation horizontale du
spot. Ces plaques sont soumises à une « tension de
balayage » et elles font déplacer le spot suivant l’axe
horizontal x’ox(axe des temps) d’un mouvement
uniforme.
unécran fluorescent gradué sur lequel le faisceau
d’électrons décrit une courbe. Une déviation du spot
dans le sens vertical, sur l’écran correspond à
l’apparition d’une différence de potentiel entre les
deux électrodes réceptrices.
*En absence d’électrodes excitatrices, on procède à un
enregistrement dans deux cas :
- 1er cas : les deux électrodes réceptrices (R1 et R2)
sont posées sur l’axone géant de calmar ;
- 2e cas : on enfonce l’électrode R2 à l’intérieur de
l’axone.
*On applique ensuite uneexcitationsuffisante sur l’axone
géant de calmarpuis on procède à un enregistrement dans
deux cas :
- 1er cas : les deux électrodes réceptrices (R1 et R2)
sont placées à la surfacede l’axone ;
- 2nd cas : l’une des électrodes réceptrices (R1) est
placée à la surface de l’axone et l’autre (R2) introduite
à l’intérieur.
5- Conclusion.
Le tissu nerveux fonctionne grâce au message nerveuse qui se
présente sous forme de Potentiel d’Action.
5- Conclusion.
Le nerfest excitable et conducteur.
1- Presentation de l’expérience
L’intensitéétantfixé, onporteuneexcitationefficacesur
unnerfsciatiquede grenouille à l’aide du dispositif
expérimental,puisonfait varierladurée(temps de stimulation)
en commençant par le temps le plus court.
Ondéterminepourchaquetempsdepassageducourant,l’intensitéé
lectriquenécessairepourobteniruneréponse.
Onrépètecettem ê m e expérienceen prenant à chaque fois
u n e intensité un peu plus grande et note tous les résultats.
On trace ensuite une courbe.
5 - Conclusion.
La réponse du nerf à une excitation dépend de l’intensité et de
la durée de stimulation.
* Cas du nerf:
L’intensitéI1pourlaquellelenerfnedonneaucuneréponseestune
intensitéinfraliminaire.Etl’intensitéI2quiprovoquela1èrerép
onsedunerfestl’intensitéseuilourhéobase.Cetteréponseestdon
néeparlesfibreslesplusexcitables.
DeI2àI4, l’augmentationde
l’amplitudedesréponses(PA)estdueaufaitquelenerfestconstitué
deplusieurs fibres nerveusesréunies en faisceauetqueles
intensités
croissantesdestimulationmettentenjeuunnombredeplusenplusc
roissantdefibresnerveusesquisontexcitées:c’estlasommationd
esréponsesouphasederecrutement.La réponsedu
nerfentierestégaleàla
sommedesréponsesélémentairesdetouteslesfibresquileconstitu
ent:onditquele nerfobéit àlaloide sommation.
Au-delàdeI4,
l’amplitudedesréponsesn’augmentepluscartouteslesfibres
sontexcitées.
Lesdifférentesfibresnerveusesquiconstituentunnerfn’ontpasle
mêmeseuild’excitabilitécarellesn’ontpaslemême diamètre.
5- Conclusion.
Le neurone obéit à la loi du tout ou rien et le nerf obéit à la loi
de sommation.
D- Cas desexcitations rapprochées.
1- Presentation de l’expérience.
Al’aidedudispositifexpérimental,on procède à des
excitations rapprochées sur le nerf ou sur le neurone.
5- Conclusion.
Le nerf et le neurone possèdent une période réfractaire.
1- Présentation de l’expérience.
- A l’aide du dispositif expérimental, on fait deux
enregistrements. Dans le 1er cas, la distance entre la cathode
et la 1ère électrode réceptrice est d1 ; dans le 2e cas,
l’électrode réceptrice, rapprochée, n’est plus qu’à une
distance d2. On superpose les deux tracés des potentiels
d’action en faisant coïncider l’artéfact.
∆d
v = (m.s-1)
∆t
1- Présentation de l’expérience.
On place des électrodes excitatrices sur une fibre isolée en
E1. Des électrodes réceptrices sont mises de chaque côté en
E2 et E3. Chaque paire d’électrodes étant reliée à un
oscillographe cathodique. On porte une excitation efficace S
en E1.
Chezunanimal onsectionnela racinepostérieure dela
moelleépinièrepuisonexcite leboutcentralduneurone(enS1)à
l’aided’undispositifexpérimentalapproprié.
Chezunautre animal,onsectionnecettefoisci
laracineantérieuredelamoelleépinièrepuison excite
leboutcentral(en S2)àl’aide d’undispositifexpérimental
approprié.
5- Conclusion.
Le nerf et neurone conduisent l’influx nerveux. Cette
conduction est saltatoire dans les fibres myélinisée et continue
dans les fibres amyéliniques.
G- Conclusion
Le tissu nerveux fonctionne grâce à des propriétés
particulières qui sont l’excitabilité et la conductibilité.
Activité d’évaluation
Associez les propriétés ci-dessous aux structures nerveuses
qui conviennent.
Loi du tout ou rien nerf
Loi de sommation
Excitabilité
Conductibilité neurone
Au microscope électronique,chaqueramification de
l’arborisationterminale du neuroneprésynaptique se renfleen
un bouton synaptique riche enmitochondries et envésicules.
Au niveau du bouton synaptique, les membranes des deux
neuronessontséparées par unefentesynaptique (environ 20
nm). On constateaussi que la synapse n’est pas symétrique
:l’un des élémentscomporte des vésicules et l’autre non.
La partie postsynaptique de la plaque motrice est
formée par une cellule musculaire. La surface de la
membrane dans la zone synaptique est très
augmentée par la formation de plis qui constitue
l’appareilsousneural de cette cellule musculaire(voir
document 25).
Lafixationduneurotransmetteursurlesrécepteursspécifiquesd
elamembranepost-
synaptiqueentraineunemodificationplusoumoinsimportantede
lapolaritéélectriquedecettemembranedonnantnaissanceàunpot
entielpost-synaptique(PPS):
-
LePPSestditexcitateur(PPSE)lorsqu’ilentraîneunedépolarisa
tionlocaledelamembranepost-
synaptiquesuiteàuneentréed’ionsNa+danslacellule.Lorsquelas
ommedesPPSEatteintleseuildenaissanced’unPA,celadéclenche
unP.Aquisepropagedanslacellulepost-
synaptique.Unesynapsequientrainelatransmissiondumessagene
rveuxestditesynapseexcitatrice(document27).Lesneuromédia
teursimpliqués danscetypedesynapsessontl’acétylcholine,
ladopamine,lanoradrénaline,l’adrénaline…
-
LePPSestditinhibiteur(PPSI)lorsqu’ilentraineunehyperpol
arisationlocaledelamembranepost-
synaptiquesuiteàuneentréed’ionsCl–
danslacellule.LesPPSIempêchentle déclenchement duP.A.
Unesynapsequiempêche la transmission dumessagenerveux
estditesynapseinhibitrice(voir
document27).Lesneuromédiateursimpliquésdanscetypedesy
napsessontleGABA(GammaAmino-Butyric-
Acid),laglycine,lataurine.
5- Conclusion.
Le tissu nerveux fonctionne grâce à la transmission du
message nerveux.
Réponse :
1) a-F ;b-V ; c-V ; d-F
2) G-B-A-C-E-H-D-F
faisceaux de fibres gaine conjonctive
cellules adipeuses
gaine conjonctive faisceau de fibre
vaisseau enveloppe conjonctive
sanguin fibres nerveuses
vaisseaux sanguins
dendrite
corps cellulaire
oupericaryon cytoplasme
noyau
membraneplasmique
axone
gaine demyéline
axone ou
cylindraxe
cellule deSchwann
arborisation arborisationterminale
terminale
terminale
DOCUMENT 2 : STRUCTURE DU NEURONE
DOCUMENT 3 : MISE EN PLACE DE LA GAINE DE MYELINE
x’ o x
y’
B. DISPOSITIF EXPERIMENTAL
DOCUMENT 5 : DISPOSITIF EXPERIMENTAL POUR L’ETUDE DU MESSAGE
temps de latence
DOCUMENT
12:INTERPRETATION
phase de dépolarisation IONIQUE DU P.A
MONOPHASIQUE
phase de répolarisation
dendrite
neurone
corps cellulaire
neurone
DIAMÈTRE TEMPERATURE
N° TYPES DE FIBRES VITESSE (m/s)
(µm) (°C)
dendrites
cytoplasme
péricaryon ou soma
noyau
synapse axo-somatique
axo
axone
synapse axo--axonique
1. neurofibrilles
2. mitochondries
neurone pré-synaptique 6.
3. vésicules synaptique
membrane pré-synaptique 7.
4. fente synaptique
1 gaine de myéline
neurofibrille 11
2cellule
cellule de Schwann
noyau de la cellule de Schwann 12 3 mitochondries
appareil sous-neural 13 4 vésicule synaptique
5 membrane pré-synaptique
pré
fente synaptique 14 6 membrane post-synaptique
post
7sarcoplasme
sarcoplasme
8noyau
noyau
fibre musculaire 15
9myofibrille
myofibrille
10 réticulum endoplasmique
A B
A : Electronographie
B : Schéma d’interprétation
DOCUMENT 25 : ELECTRONOGRAPHIE ET SCHEMA D’INTERPRETATION D’UNE
SYNAPSE NEUROMUSCULAIRE
Pas de P.A
P.A
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre de la journée mondiale des handicapés moteurs, le collectif des handicapés organise une journée sportive à laquelle la population est invitée. Un
élève de terminale ayant assisté à la rencontre s’étonne de voir qu’ils ont de l’endurance et qu’ils sont capables d’utiliser leurs mainsde façon très habiles pour
jouer au basketball alors que les jambesrestent immobiles. De retour en classe, il raconte à ses camarades l’expérience vécue. Ces élèves veulent comprendre le
fonctionnement du muscle strié squelettique.Ils décident alors de déterminer sa structure, d’identifier les manifestations de son activité, d’expliquer le
mécanisme de son fonctionnement.
Face à ce constat,
Travail collectif dites ce que vous On doit
faites. déterminer la
strucutre du
Travail individuel Notez dans le cahier. Prise de notes. L’étude du texte relatifaux handicapés moteurs qui exécutent des
mouvements des bras, a permis de constater que le muscle strié
squelettique fonctionnece qui permet d’exécuter des mouvements.
On peut alors supposer que :
1- Présentation de l’expérience.
L’expérience consiste à exciter directement le muscle
gastrocnémien d’une grenouille.
Sur une patte postérieure de Grenouille dont l’encéphale et la
moelle épinière ont été détruit, on dégage le muscle du mollet
(muscle gastrocnémien). A l’aide d’une aiguille, on pique le
muscle dégagé.
2- Résultats.
Contraction brève du muscle.
5- Conclusion.
Le muscle est excitable, contractile et élastique.
1- Présentation de l’expérience.
L’expérience consiste à porter une excitation isolée sur le muscle
et à enregistrer la réponse.
Le dispositif expérimental permettant d’enregistrer les réponses
du muscle (aspect mécanique de la contraction) est le myographe
(voir document 1). Le myographe est constitué d’un circuit
d’excitationet d’un circuit d’enregistrement. La réponse du
muscle est enregistrée sous forme de courbe appelée
myogramme.
On porte unestimulation efficace isolée sur le muscle.
5- Conclusion.
La réponse du muscle à une excitation est une secousse isolée.
5- Conclusion.
La réponse du muscle à deux excitations successives de plus en
plus rapprochées varie en fonction de l’intensité de stimulation.
5- Conclusion.
La réponse du muscle à plusieurs excitations successives donne
soit un tétanos imparfait, soit un tétanos parfait.
5- Conclusion.
1- Présentation de l'expérience
La technique est celle utilisée pour l’étude des propriétés du tissu
nerveux.
On place un muscle gastrocnémien de grenouille fraîchement
isolée dans une cuve à nerf munie d’électrodes. Les électrodes
réceptrices sont reliées à l’oscilloscope. L’une des électrodes
réceptrices est enfoncée dans le muscle et l’autre est placée à la
surface. A l'aide du dispositif expérimental (voir document 6), on
porte une excitation d’intensité liminaire sur le muscle.
4- Conclusion
La contraction musculaire s’accompagne de phénomènes
électriques.
1- Présentation de l'expérience
L’expérience consiste à mesurer la quantité de certains
constituants chimiques du muscle avant et après une activité.
Par des techniques histochimiques, on mesure les quantités de
certains composants chimiques (O2, CO2, glucose, acide lactique,
ATP et Glycogène) d’un muscle au repos et en activité.
5- Conclusion.
La contraction musculaire s’accompagne de phénomènes
H- Conclusion
Le muscle strié squelettique fonctionne grâce à des propriétés
particulières qui sont l’excitabilité, la contractilité et l’élasticité.
Sa contraction s’accompagne de phénomènes électriques et
chimiques.
1- Observation
- Documents 9 :
La coupe transversale du muscle montre que le muscle est
constitué d’une enveloppe constituée d’un tissu conjonctif et des
cloisons délimitant des domaines de plus en plus restreints à
l’intérieur du muscle (champs musculaires et faisceaux de fibres).
COURS Tle D LECON 5 : COMMENT LE MUSCLE SQUELETIQUE FONCTIONNE-T-IL ?
Le plus petit domaine est un faisceau defibres musculaires.
L'intérieur du muscle est parcouru par des vaisseaux sanguins et
des nerfs.
- Document 10 :
La fibre musculaire présente des striations (striations longitudinale
et transversale) : on parle de fibre musculaire striée.
La fibre musculaire est une cellule géante (de 1 à 5 cm de long)
qui contient plusieurs noyaux. C'est une cellule géante
plurinucléée : on parle de syncytium.
Le cytoplasme (sarcoplasme) de la fibre musculaire contient de
nombreuses myofibrilles qui s'étendent sur sa longueur. La
myofibrille est constituée d'une succession d'unités structurales
appelées sarcomères. Les sarcomères successifs sont réunis au
niveau de la strie Z. Chaque sarcomère est constitué de deux
types de filaments ou myofilaments :
Les filaments épais de myosine (A) localisés au niveau
des bandes sombres ou disques A,
Les filaments fins d'actine (B) rattachés aux stries Z
constituant la bande claire ou disque I.
Les bandes claires ou bandes I sont constituées uniquement de
filaments fins d'actine tandis que les bandes sombres ou disques
A, sont constituées de filaments épais de myosine entourés de
filaments fins d'actine sauf au niveau de la strie H ou bande H.
Le sarcoplasme de la fibre musculaire contient tous les organites
cellulaires (mitochondries, appareils de Golgi, ribosomes,
réticulums endoplasmiques etc…), une grande quantité de
glycogène et de la myoglobine (protéine musculaire fixant
l'oxygène). Le réticulum endoplasmique lisse (REL) qui a la
propriété d'accumuler de grandes quantités de calcium est très
développé dans la fibre musculaire et il s'infiltre entre les
myofibrilles.
4- Conclusion
Le muscle est un ensemble de fibres musculaires ayantune
structure particulière.
1- Observation
5- Conclusion
Le muscle fonctionne selon un mécanisme qui se déroule en trois
étapes (attachement, glissement et détachement).
1- Présentation de l’expérience.
L’observation porte sur un document montrant les voies de
régénération de l’ATP au cours de la contraction musculaire.
La voie de lafermentation
En absence ou insuffisance d’oxygène (en anaérobiose), l’acide
pyruvique subit la fermentation lactique et donne l’acide
lactique avec une faible quantité d’ATP (2ATP), car la
dégradation du glucose est partielle. De plus, l’accumulation de
l’acide lactique baisse lepH musculaire ce qui entraine la fatigue
musculaire.
glycolyse -O2
Glycogène glucose acide pyruvique
acide lactique + 2ATP
5- Conclusion
Le muscle fonctionne grâce au renouvellement de l’énergie qui se
présente sous forme chimique : l’ATP.
CONCLUSION GENERALE
Le muscle fonctionne grâce à des propriétés particulières et à sa
structure selon un mécanisme. Il est aussi capable de
fonctionnergrâce au renouvellement de l’énergie.
10 min
1- Associez les différentes voies de régénération de l’ATP à
celle qui conviennent.
Voies lentes Par la myokinase
Respiration
Par la phosphocréatine
Voies rapides Fermentation
cylindre d’enregistrement
stylet inscripteur
levier signal
générateur
DOCUMENT 1 : MYOGRAPHE
myogramme
a b c d
a b c d e
signal
1 2 1 2 1 2 1 2 12
tissu conjonctif
champs musculaires
faisceaux de fibres
fibres musculaires
vaisseau sanguin
nerf
myofibrille
myofibrille
Tête de myosine
2 chaînes torsadées
de molécules d’actine
Troponine
Tropomyosine
voies rapides
voies lentes
crête
ADN
granule
matrice
HABILETES CONTENUS
1. Mettre en évidence l'automatisme cardiaque.
2. Localiser le siège de l’automatisme cardiaque
3. Annoter le schéma de la coupe longitudinale du cœur montrant le tissu nodal.
4. Expliquer l'automatisme cardiaque.
- le rôle du système nerveux dans l’activité cardiaque ;
5. Déterminer
- les médiateurs chimiques intervenant dans l’activité cardiaque.
6. Réaliser le schéma de la régulation de l'activité cardiaque.
7. Déduire les notions de : automatisme, médiateur chimique.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Pendant les vacances scolaires, Koffi, un élève de Terminale se rend au village pour aider ses parents dans les travaux champêtres. Le lendemain,
l’un des pièges de son oncle capture un animal encore vivant. Tout heureux, il décide de consommer l’animal au champ. Après l’avoir dépecé, il isole
le cœur. A sa grande surprise, le cœur isolé de l’animal continue de battre pendant un certain temps. Il est impressionné et de retour des vacances il
le raconte à ses camarades de classe et ensemble ils veulent comprendre le fonctionnement du cœur. Ces élèves cherchent alors à expliquer le
fonctionnement du cœur et à déterminer l’influence du système nerveux sur son fonctionnement.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
*à l’activité électrique de cellules du tissu nodal ; - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection J. ESCALIER.
* au schéma de la coupe longitudinale du cœur de Mammifère ; - BIOLOGIE TERMINALE C, Collection J. ESCALIER.
*au principe de fonctionnement du cardiographe à balancier : - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection ADN.
* aux cardiogrammes de Grenouille ; - BIOLOGIE 3e, Collection MAGNARD.
* à l’électrocardiogramme (ECG) ;
* à l’effet de la stimulation ou de la section des nerfs sino-aortique ;
* au schéma de régulation de l’activité cardiaque ;
* aux résultats d’expériences de Loewi ;
* à l’effet de l’acétylcholine et de l’adrénaline sur le cœur de chien.
PAGE DU DEROULEMENT DE LA LEÇON
COMMENT LE CŒUR
FONCTIONNE-T-IL ?
Travail individuel Notez dans le cahier. Prise de notes. La lecture du texte relatif à un cœurisolé qui
continue de battre, a permis de constater que
le cœur fonctionne.
On peut alors suppose que :
- le cœur fonctionne de façon automatique.
- le cœur fonctionne par des battements
réguliers.
-le cœur fonctionne sous l’influence du
système nerveux.
2- Résultats.
Battements rythmiques du cœur.
5- Conclusion
Le cœur est un organe automatique ou
organe autonome.
B- Mise en évidence du rôle tissu nodal.
1- Présentation des expériences.
Expérience 1 : On détruit le tissu nodal d’un
cœur d’un mammifère (voir document 1) isolé
de l’organismeet perfusé dans les conditions
physiologiques normales.
Expérience 2 : Sur un autre cœur de
mammifère, on procède à l’ablation du nœud
sinusal.
Expérience 3 : Sur un 3e cœur, on détruit le
nœud sinusal et le nœud septal sans toucher au
tissu conducteur.
2- Résultats.
Expérience 1 : Accélération du rythme
cardiaque accompagné d’une baisse des
amplitudes des battements puis arrêt ducœur.
Expérience 2 : Ralentissement du
rythmecardiaque.
Expérience 3 : Arrêt de la contraction des
oreillettes,battementdes ventricules avec un
rythme beaucoup pluslent.
5- Conclusion
Le cœur fonctionne grâce au tissu nodal.
C- Conclusion
Le cœur fonctionne de façon automatique
grâce au tissu nodal.
Activité d’évaluation n°1
Répondez par vrai ou faux aux affirmations
suivantes :
1- Le cœur est un organe autonome….
2- Le nœud sinusal assure la contraction des
ventricules….
3- Le nœud septal est le pacemaker de la
contraction cardiaque….
4- Le tissu nodal est constitué du nœud
sinusal, du nœud septal et du faisceau de
His….
5- Le nœud septal est situé est le ventricule…
6- Le cœur bat de façon rythmique….
2- Résultats(Voir documents 6, 7)
3- Analyse des résultats.
Expériences de stimulation et de
section du nerf X :
La stimulation du nerf X entraine le
ralentissement du rythme cardiaque
accompagné de diminution de l’amplitude des
contractions (bradycardie) alors que sa
section entraîne une accélération permanente
du rythme cardiaque.
L’excitation du bout périphérique du X après
sa section provoque une bradycardie suivie de
l’arrêt du cœur en diastole alors que
l’excitation du bout central n’a aucun effet.
La stimulation prolongée du pneumogastrique
entraîne un ralentissement du rythme
cardiaque (bradycardie) suivi d’un arrêt du
cœur en diastole puis d’une reprise
progressive des battements.
Expériences de stimulation et de
section du nerf orthosympathique :
L’excitation directe des fibres de
l’orthosympathique entraîne une tachycardie
pendant toute la durée de la stimulation avec
augmentation de l’amplitude de la contraction
cardiaque alors que sa section entraîne un
ralentissement du rythme cardiaque et
l’excitation des bouts périphériques provoque
une tachycardie.
Expériences de stimulation et de
section des nerfs sino-aortiques :
La section du nerf de Héring ou du nerf de
Cyon entraîne l’accélération du rythme
cardiaque avec augmentation de l’amplitude
de contraction (tachycardie). L’excitation des
bouts centraux de ces nerfs provoque un
ralentissement du rythme cardiaque alors que
l’excitation des bouts périphériques n’a aucun
effet. La section du X suivie de l’excitation
électrique centrale des nerfs sino-aortiques n’a
aucun effet.
Expériences de stimulation,
d’inhibition et de destruction des
centres nerveux cardiaques :
L’excitation des nerfs sino-aortique et nerf X
après la destruction des centres nerveux
cardiaques n’a aucun effet.
La stimulation du centre cardio-modérateur
entraîne une bradycardie alors que son
inhibition entraine une tachycardie.
L’excitation du centre cardio-accélérateur
entraîne une tachycardie alors que son
inhibition entraine une bradycardie.
5- Conclusion.
Les nerfs moteurs (nerfs X et
orthosympathique) et sensitifs (nerfs de Cyon
et de Hering) régulent l’activité cardiaque à
travers les centres cardio-modérateur et
cardio-accélérateur.
CONCLUSION GENERALE
Le cœur fonctionne de façon automatique par
des battements réguliers sous l’influencedu
système nerveuxdont l’action se faitpar
l’intermédiaire de médiateurs chimiques
(acétylcholine, adrénaline, noradrénaline).
oreillette droite
nœud septal oreillette gauche
réseau de Purkinje
myocarde
DOCUMENT 1 : …………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Pot
ent
iel
de
me
mb +
ran
e
(m
V)
potentiel potentiel
+
pacemaker d’action
Temps (s)
DOCUMENT 2 : …………………………………………………………………………………………………………………….
DOCUMENT 3 :………………………………..
B : REVOLUTION CARDIAQUE
DOCUMENT 4 : ………………………………………………….
DOCUMENT 4 :CARDIOGRAMME DE GRENOUILLE
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………….
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………….
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………….
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………….
bulbe
rachidien
DOCUMENT 6: ………………………………………………………….
bulbe
rachidien
DOCUMENT 6: ………………………………………………………….
bulbe
rachidien
DOCUMENT 6: ………………………………………………………….
bulbe
rachidien
DOCUMENT 6: ………………………………………………………….
DOCUMENT 7 : ……………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 7 : ……………………………………………………………………………………………………
Excitation
du nerf X Excitation du nerf
orthosmpathique
DOCUMENT 8 : ………………………………………………………………………………………………..
Excitation
du nerf X Excitation du nerf
orthosmpathique
DOCUMENT 8 : ………………………………………………………………………………………………..
Excitation
du nerf X Excitation du nerf
orthosmpathique
DOCUMENT 8 : ………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 9: ………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 9: ………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 9: ………………………………………………………………………………………………
Injection d’Ach Injection
DOCUMENT 10 : …………………………………………………. d’adrénaline
HABILETES CONTENUS
1. Comparer les constituants du plasma sanguin à ceux de l'urine.
2. Dégager le rôle du rein.
- le rôle du néphron
3. Expliquer - le rôle des reins dans le maintien de la constance du
milieu intérieur.
4. Schématiser la structure du rein et de néphron
5. Réaliser le schéma de synthèse de la régulation
6. Déduire les notions de : homéostasie, milieu intérieur.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Yao, élève en classe de terminale D depuis la rentrée scolaire est malade et se trouve hospitalisé à l’hôpital général d’Issia. Ses amis de classe
décident de lui rendre visite. A l’hôpital, son médecin traitant les informe qu’il souffre d’une insuffisance rénale et de diabète et que son état
nécessite des dialyses pour maintenir constant la composition chimique du sang. Les élèves de retour de l’hôpital décident d’identifier les rôles du
rein et d’expliquer son fonctionnement.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
à la composition du plasma et de l’urine ; - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection J. ESCALIER.
au mouvement des substances au niveau du néphron ; - BIOLOGIE 3e, Collection MAGNARD.
aux résultats de l’expérience de mise en évidence du rôle des
reins dans le maintien de la constance du milieu intérieur ;
à la structure du rein et du néphron ;
à la synthèse de la régulation hydrominérale.
PAGE DU DEROULEMENT DE LA LEÇON
MOMENTS STRATÉGIES
ACTIVITÉS DU ACTIVITÉS DE
DIDAC. ET (Techniques / TRACE ÉCRITE
PROFESSEUR L’ELEVE
DURÉE Supports)
PRESEN. Par un jeu de
questions/réponses,
(5 min) le professeur vérifie Rappel
les prérequis des
élèves.
Texte relatif à
la situation - Présentez la
d’apprentissage situation
d’apprentissage
Travail
individuel
Désigner 2 élèves
pour lire le texte ; Lecture
Faites lire le texte silencieuse
attentivement
Travail collectif pendant 1 mn. Le texte parle du
maintien de la
De quoi parle le constance de la
texte ? composition du
Travail collectif sang.
Les reins
Dégagez le constat ? assurent le
Travail collectif maintien de la
constance de la
composition du
Face à ce constat, sang.
Travail collectif dites ce que vous
faites. On doit identifier
les rôles du rein
et expliquer son
Posez le problème fonctionnement.
Travail pour réaliser la
individuel tâche ? Comment les
reins assurent-ils Leçon 1 :
Prenez vos cahiers et le maintien de la
notez ce problème qui constance de la COMMENT LES REINS ASSURENT-ILS LE MAINTIEN
constitue le titre de la composition du DE LA CONSTANCE DE LA COMPOSITION DU SANG ?
leçon 1 sang ?
Prise de notes
Travail
individuel Notez dans le cahier. Prise de notes. La lecture du texte relatif à un élève malade dont l’état nécessite des
dialyses, a permis de constater que les reins assurent le maintien de la
constance de la composition du sang.
On peut alors suppose que :
- Les reins assurent le maintien de la constance de la composition du sang
en éliminant certaines substances.
- Les reins assurent le maintien de la constance de la composition du sang
grâce à sa structure particulière.
Reformulez la 1ère - Les reins assurent le maintien de la constance de la composition du sang
Travail collectif hypothèse à la forme par sa régulation.
interrogative en vue Reformulation de
de sa vérification. la 1ère hypothèse.
Activité d’évaluation.
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1- Le milieu intérieur est constitué par le plasma ou la lymphe…
2- Le rein joue les rôles de filtre sélectif et sécréteur uniquement…
3- Le rein élabore l’urine à partir du plasma sanguin…
1- Observation.
- Les reins sont constitués d’un très grand nombre de tubes urinifères ou
néphrons, unité fonctionnelle du rein (environ 10 millions dans chaque
rein de l’espèce humaine), qui ont tous la même structure. Chaque
néphron est constitué d’un glomérule et d’un tubule raccordé à un tube
collecteur.
5- Conclusion
Activité d’évaluation
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1- Les rôles du néphron sont la filtration glomérulaire, la réabsorption
tubulaire, la sécrétion tubulaire et l’excrétion ….
2- Le filtrat glomérulaire est l’urine primitive produit par le néphron…
3- le néphron est constitué d’un glomérule et d’un tubule….
1- Présentation de l’expérience.
5- Conclusion.
Les reins assurent le maintien de la constance de la composition du sang
par la régulation hydrominérale (voir document 10 : schéma de
synthèse de régulation hydrominérale).
CONCLUSION GÉNÉRALE
ACTIVITÉ D’EVALUATION
ÉVALU. 1- Répondez par vrai (V) ou faux (F) aux affirmations suivantes :
DOCUMENT 1 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 1 : ………………………………………………………………………………………………………
A COUPE LONGITUDINALE DU REIN B STRUCTURE DU NEPHRON C SCHEMA D’UN NEPHRON ET DE SON
IRRIGATION SANGUINE
DOCUMENT 2 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 3 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 3 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 4 : ……………………………………………………………… DOCUMENT 4 : ………………………………………………………………
DOCUMENT 5 : ………………………………………………
DOCUMENT 5 : ………………………………………………
DOCUMENT 6 : …………………………………………………………………… DOCUMENT 6 : ……………………………………………………………………
DOCUMENT 9 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 9 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 10 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 10 : ………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 10 : ………………………………………………………………………………………………………
PAGE DE GARDE
CLASSE(S) : Terminale D …….
THÈME 2:LA DEFENSE DE L’ORGANISME ET SON DYSFONCTIONNEMENT.
LEÇON 1: COMMENT L’ORGANISME SE DEFEND-IL CONTRE LES CORPS ETRANGERS?
DURÉE :02 semaines.
HABILETES CONTENUS
- la défense spécifique ;
1. Mettre en évidence
- le « soi » et le « non soi ».
2. Identifier les étapes de la défense non spécifique.
3. Expliquer le mécanisme des réactions immunitaires.
les notions de : défense non spécifique, défense
4. Déduire spécifique, complexe majeur d’histocompatibilité(CMH),
"soi" et "non soi", coopération cellulaire.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Au cours d’une campagne de sensibilisation de vaccination contre le tétanos lancée par le ministère de la santé dans les établissements secondaires, les
élèves du lycée moderne d’Abobo présentent une réticence. Face à cette attitude, le médecin du centre médico-scolaire affirme que le vaccin permettra à
l’organisme de tous ceux qui seront vaccinés de se défendre contre cette maladie. Les élèves surpris par ces propos, saisissent cette occasion pour mieux
connaitre le système de défense de l’organisme contre les corps étrangers. Ils cherchent donc à mettre en évidence la spécificité de la défense de
l’organisme et à expliquer les mécanismes de défense de l’organisme.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs à :
Réaction inflammatoire - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection J. ESCALIER.
Barrières naturelles - BIOLOGIE 3e, Collection MAGNARD.
Etapes de la phagocytose
Actions du complément
Organes lymphoïdes
Expériences d’injection d’anatoxine et de toxines à des souris
Expériences d’injection de sérum a des souris
Expériences d’injection de sérum a des cobayes
Structure de l’anticorps
Tableau des différentes classes des immunoglobulines et leurs
caractéristiques
Rôle des anticorps
Activation du complément
Naissance et maturation des lymphocytes
Différents types de greffes
Complexe majeur d’histocompatibilité
Reconnaissance de l’épitope
Mécanisme des réactions immunitaires à médiation humorale (RIMH) et
cellulaire (RIMC)
Electronographies et schémas d’interprétation de la différenciation du
lymphocyte b en plasmocyte
Phase effectrice de la réponse immunitaire à médiation cellulaire
MOMENTS STRATÉGIES ACTIVITÉS DU ACTIVITÉS DE TRACE ÉCRITE
DIDACT. (Techniques / PROFESSEUR L’ELEVE
ET DURÉE Supports)
PRESENT. Par un jeu de
questions/réponses,
(5 min) le professeur vérifie Rappel
les prérequis des
élèves.
Texte relatif à
la situation - Présentez la
d’apprentissage situation
d’apprentissage
Travail
individuel
Désigner 2 élèves
pour lire le texte ; Lecture silencieuse
Faites lire le texte
attentivement Le texte parle du
Travail collectif pendant 1 mn. système de défense
de l’organisme.
De quoi parle le
Travail collectif texte ? L’organisme se
défend contre les
corps étrangers.
Travail collectif Dégagez le constat ?
On doit mettre en
évidence la défense
Face à ce constat, spécifique et
dites ce que vous expliquer les
Travail collectif faites. mécanismes de
défense de
l’organisme.
Travail Posez le problème Comment
individuel pour réaliser la l’organisme se
tâche ? défend-il contre les Leçon2 :
corps étrangers?
5- Conclusion
Activité d’évaluation.
A- Expériences d’injections
5- Conclusion
L’organisme se défend de façon spécifique contre les
infections.
B- Expériences de greffes
1- Présentation d’expérience.
Expérience 1 : On prélève chez un animal un fragment de
peau ou d’organe qu’on greffe sur le même animal ou un
animal d’espèce différente.
2- Résultats(document 14)
5- Conclusion.
L’organisme se défend contre tout corps étranger.
C- Conclusion
L’organisme se défend de façon spécifique contre les
corps étrangers.
Activité d’évaluation
1- Observation.
L’observation porte sur le mécanisme des réponses
immunitaires.
5- Conclusion.
L’organisme se défend selon un mécanisme contre les
corps étrangers.
CONCLUSION GÉNÉRALE
L’organisme se défend contre les corps étrangers selon
un mécanisme de façon spécifique ou non spécifique.
Réponse :
1- a)F ; b)F ; c)V ; d)V
épine histiocyte
cellules conjonctives histiocyte se transformant en macrophage
fibrocyte
fibre élastique
monocyte
capillaire sanguin
passage de
fibre nerveuses leucocytes entre
les cellules du
capillaire
polynucléaires
phagocytant les
bactéries
Epiderme bactéries
prolifération
épine fibre conjonctive épiderme bactérienne
DOCUMENT 1 :………………………………………………………………………………………….
DOCUMENT 3 :…………………………………………………………………………………………………………
ORGANE LYMPHOÏDES RÔLES
Elle produit les cellules
Moelle
sanguines et celles des autres
osseuse
organes de la défense.
Il attire certains lymphocytes
Organes produits par la moelle et assure
Thymus
lymphoïdes leur différenciation en
primaires ou lymphocytes T
centraux Elle favorise chez les oiseaux la
différenciation d’une partie des
Bourse de lymphocytes provenant de la
Fabricius moelle en lymphocytes B.
Chez les mammifères, ce rôle
serait tenu par la moelle même
Ce sont des organes effecteurs
Organes du système immunitaire c’est-
lymphoïdes Rate et à-dire qu’ils constituent le lieu
secondaires ou ganglion d’activation et de la
périphériques lymphatique prolifération des lymphocytes
et aussi de production
d’anticorps par les plasmocytes
DOCUMENT 4 : ………………………………………………………………….. DOCUMENT 5 : …………………………………………………………………..
DOCUMENT 6 : …………………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 7 : ………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 8 :……………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….
…………………….
A :……………………………………………………………………. B : ……………………………………………………………..
DOCUMENT 9 :……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 10 :……………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 11 :…………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 12 : …………………………………………………………
DOCUMENT 13 :……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 14 :……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 15 :……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 16 :……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
LYMPHOCYTE B B
PLASMOCYTE
DOCUMENT 18 : ………………………………………………………………………………………………………………..
LB
anticorps
DOCUMENT 17 :…………………………………………………………………………………………………………………..
RIMC : Réponse Immunitaire à Médiation Cellulaire
RIMH : Réponse Immunitaire à Médiation Humorale
BCGF : Facteur de multiplication des cellules osseuses (lymphocytes B)IL2 : Interleukine 2
BCDF : Facteur de différenciation des cellules osseuses (lymphocytes B)
DOCUMENT 18 : ………………………………………………………………………………………………………………..
PAGE DE GARDE
CLASSE(S) : Terminale D
THÈME 2:LA DEFENSE DE L’ORGANISME ET SON DYSFONCTIONNEMENT.
LEÇON 2: COMMENT LE VIH INFECTE-T-IL L’ORGANISME HUMAIN ?
DURÉE :01 semaine.
HABILETES CONTENUS
1. Annoter le schéma de l’ultrastructure du VIH.
2. Expliquer le mécanisme d’infection du lymphocyte T4 par le VIH.
3. Dégager les conséquences de l’infection du lymphocyte T4 par le VIH.
4. Déduire la notion de dysfonctionnement du système immunitaire.
5. Proposer des mesures de protection contre l’infection au VIH.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre de ses activités, le club scientifique du Lycée Moderne 1 d’Abobo, projette un film portant sur l’infection de l’organisme par le VIH. Les élèves sont
ainsi édifiés sur la gravité du SIDA et sur la particularité du VIH. Soucieux de se prémunir contre ce mal, des élèves en classe de terminale D, sont tous unanimes
qu’il est nécessaire de mieux connaître le VIH et le SIDA.
Ils décident alors de décrire le VIH, d’expliquer le mécanisme de l’infection du lymphocyte T4 par le VIH et de dégager les conséquences de cette infection.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
- Au schéma de l’ultrastructure du VIH - BIOLOGIE TERMINALE D, Collection J. ESCALIER.
- Aux étapes de l’infection du lymphocyte t4 par le VIH - BIOLOGIE 3e, Collection MAGNARD.
- Différents cas possibles après une infection due au VIH
Texte relatif à la jeunesse et au VIH - SVT 3e; COLLECTION SAVANES ET FORÊTS
PAGE DU DEROULEMENT DE LA LEÇON
On doit
Face à ce constat, décrire le VIH,
dites ce que vous d’expliquer le
Travail collectif faites. mécanisme de
l’infection du
lymphocyte T4
par le VIH et
de dégager les
conséquences
Posez le problème
de cette
Travail pour réaliser la
individuel tâche ? infection.
Comment le Leçon2 :
Prenez vos cahiers et VIH infecte-t-
notez ce problème il l’organisme COMMENT LE VIH INFECTE-T-IL L’ORGANISME HUMAIN ?
qui constitue le titre humain ?
de la leçon 1
Prise de notes
Travail collectif
Reformulation
ère
Reformulez la 1 de la 1ère I- LE VIH INFECTE-T-IL L’ORGANISME HUMAIN GRACE A SA STRUCTURE
Travail hypothèse à la hypothèse. PARTICULIERE?
individuel forme interrogative
en vue de sa Prise de notes. 1- Observation.
vérification. L’observation porte sur un document montrant l’ultrastructure du VIH.
5- Conclusion
Activité d’évaluation.
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1-Le VIH est un rétrovirus…
2-Le VIH possède une seule molécule d’ARN..
3-La structure du VIH est complémentaire à celle de tous les lymphocytes.
4-La couche externe du VIH est constituée de glycoprotéines…
5- Conclusion
Le VIH infecte l’organisme humain selon un mécanisme.
Ce fléau a des conséquences graves sur la jeunesse : infection aux IST, grossesse non
désirée (ou précoces), prostitution, exclusion scolaire, déchéance morale, maladies
opportunistes, décès par suite du SIDA, vol, viol, prison.
Ils sont donc invités à une prise en charge psychosociale, en vue de mieux sensibiliser
leurs camarades à l'adoption de comportements sains.
Texte adapté
-Il faut rompre avec ces comportements à risque pour accéder à une vie
positive sans VIH/SIDA.
5- Conclusion.
CONCLUSION GÉNÉRALE
ÉVALUA.
ACTIVITÉ D’EVALUATION
10 min
1- Les groupes de mots suivants sont relatifs aux étapes du mécanisme de l’infection
du LT4 par le VIH :
A- Multiplication du VIH.
B- Injection du matériel génétique du VIH dans le LT4.
C- Intégration de l’ADN proviral à l’ADN du lymphocyte T4.
D- Fixation du VIH au LT4.
E- Transformation de l’ARN proviral en ADN proviral.
Range dans l’ordre chronologique ces différentes étapes.
DOCUMENT 2: ……………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 3: ……………………………………………………………………………………………………………………………
TEXTE
Le sida est la première cause de décès chez les adolescents en Afrique et la deuxième
cause de décès chez les adolescents au niveau mondial. Parmi les populations touchées par le
VIH, les adolescents sont le seul groupe pour lequel les chiffres relatifs à la mortalité ne sont
pas en diminution, selon l’Unicef.
En Afrique subsaharienne, la région qui affiche la plus forte prévalence , les filles sont
considérablement plus touchées et comptent pour 7 sur 10 des nouvelles infections parmi les
15-19 ans.
Le VIH/sida est un fléau qui mine notre société, et qui affecte prioritairement et
majoritairement la jeunesse. Celle-ci est vulnérables, adopte des comportements à risque.
Elle manque de connaissances sur le VIH/SIDA, elle est confrontée à des réalités sociales, des
croyances culturelles, des réalités sur les IST et sur les grossesses.
Ce fléau a des conséquences graves sur la jeunesse : infection aux IST, grossesse non
désirée (ou précoces), prostitution, exclusion scolaire, déchéance morale, maladies
opportunistes, décès par suite du SIDA, vol, viol, prison.
Ils sont donc invités à une prise en charge psychosociale, en vue de mieux sensibiliser leurs
camarades à l'adoption de comportements sains.
Texte adapté
PAGE DE GARDE
CLASSE :TleD
THEME1:LES RESSOURCES MINIERES.
LEÇON 1 : COMMENT LES GISEMENTS MINIERS SE SONT-ILS MIS EN PLACE DANS LE SOUS-SOL DE LA C.I ?
DURÉE :03 semaines de 3 heures chacune.
HABILETES CONTENUS
les principaux gisements miniers de la Cote d'Ivoire :
1. Localiser Or, Diamant, Nickel, Cuivre, Manganèse, Aluminium ou Bauxite,
Titane, Etain, Molybdène.
2. Identifier les principales roches encaissantes
3. Expliquer le mécanisme de formation des gisements aurifères.
4. Annoter le schéma de synthèse des différents types de gisements d'or.
5. Déduire les notions de : roche encaissante, minerai.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Pendant le cours de géographie en classe de Terminale D, le professeur a expliqué aux élèves la nécessité pour notre pays de diversifier ses sources de
revenus. L’exemple du gisement d’or d’Ity a même été donné. Intéressés par la mise en place des gisements miniers, les élèves entreprennent de localiser
les principaux gisements miniers de la Côte d’Ivoire, d’identifier les roches dans lesquelles ils se forment et d’expliquer le mécanisme de leur formation.
Matériel Bibliographie
Document relatif:
à la carte des principaux gisements miniers de la côte d’ivoire ; - Document d’accompagnement (Géologie structurale, minière
à la carte géologique et des ressources minières de la côte d’ivoire ; et énergétique de la Côte d’Ivoire).
au tableau des principaux gites minéraux de la cote d’ivoire ;
à la formation des différents types de gisements ;
au schéma de synthèse des différents types de gisements d’or.
DEROULEMENT DE LA LECON
1
Stratégies
Moments Activités du Activités de
(Techniques/ Trace écrite
Didactiques/Durée professeur l’élève
Supports)
Situation
PRESENTATION Travail Lisez la
individuel situation Lecture
(5 minutes) silencieusement. silencieuse
Face à ce On doit
Travail de constat, dites ce localiser les
groupe vous faites. principaux
gisements
miniers de
la Côte
d’Ivoire
d’identifier
les roches
dans
lesquelles ils
se forment
et
d’expliquer
2
le
mécanisme
de leur
formation
1- Observation
L’observation porte sur des documents montrantles types de roches
et principaux gisements miniers de la C.I.
3
On distingue trois types de roches en Côte d’Ivoire dans lesquelles on
rencontre les ressources minières ou gisements miniers. Ce sont :
desrochesmagmatiques,
desroches sédimentaires,
desroches métamorphiques.
4
Le Molybdène(Mo) localisé à Duékoué (guehiébly) et San-
Pedro (Monogaga).Les roches encaissantes sont les roches
magmatiques et métamorphiques.
5- Conclusion
Les gisements miniers se sont mis en placedans des roches.
1- Observation
L’observationporte sur un document montrant différents types de
gisements.
5
d’abord une altération et ensuite il y a des concentrations
métallifères.
6
et les graviers. Ensuite ces particules d’or natif sont
transportées par les eaux superficielles ou de ruissellement et
le vent. Leur dépôt et leur accumulation se font par gravité
dans les plaines alluvionnaires, donnant naissance à des
concentrations métallifères dites gîtes alluvionnaires ou
placers à or (voir document 4).
D’une façon générale la formation d’un gisement minier ou
métallifère nécessite une concentration du métal dans une source à
faible teneur, celui-ci est transporté et concentré dans un piège à la
suite de phénomènes mécaniques ou chimique.
Toute formation de minerai implique le fonctionnement d’un piège
(fissures, diaclases) qui retient et concentre le métal, initialement
dispersé dans un volume beaucoup plus grand de roche : la source.
Ainsi la formation de minerai met en œuvre une ou des source (s),
un ou des vecteur (s) et un piège à la suite de phénomènes
mécaniques (érosion, sédimentation, altération, volcanisme,
fracturation…) ou chimiques.
Un minerai est un ensemble rocheux contenant des substances
utiles en pourcentage suffisant pour justifier une exploitation.
5- Conclusion
Les gisements miniers de la C.I se sont mis en place selon un
mécanisme.
CONLUSION GENERALE
Les gisements miniers de la C.I se sont mis en place dans des
roches et selon un mécanisme.
7
Activité d’évaluation n°2.
8
DOCUMENT 1 : ………………………………………………………………………………………………………………..
LEGENDE
RESSOURCES MINIÈRES
TYPES DE ROCHES
ROCHES METAMORPHIQUES
ROCHES SEDIMENTAIRES OU
PEU METAMORPHIQUES
ROCHES MAGMATIQUES
DOCUMENT 2 : ……………………………………………………………………………………………………………………..
)
- Bouaflé (Angovia)
- Ouéllé
DOCUMENT 3 : …………………………………………………………………………………………………………………………………………….
A : GISEMENTS PRIMAIRES
DOCUMENT 4 : …………………………………………………………………………………………………………………….
A : GISEMENTS PRIMAIRES
DOCUMENT 4 : ………………………………………………………………………………………………………………………………..
A : GISEMENTS PRIMAIRES
DOCUMENT 4 : …………………………………………………………………………………………………………………………………………..
rivière
gîte d’altération
veine quartzo-aurifère
(gîte de faille)
protérozoïque
alluvions résiduelles
archéen
gîte alluvionnaire
(placer) gîte filonien
paléoplacer
roches magmatiques
(minéralisation
contact anormal
disséminées)
(faille)
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………
rivière
gîte d’altération
veine quartzo-aurifère
(gîte de faille)
protérozoïque
alluvions résiduelles
archéen
gîte alluvionnaire
(placer) gîte filonien
paléoplacer
roches magmatiques
(minéralisation
contact anormal
disséminées)
(faille)
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………
rivière
gîte d’altération
veine quartzo-aurifère
(gîte de faille)
protérozoïque
alluvions résiduelles
archéen
gîte alluvionnaire
(placer) gîte filonien
paléoplacer
roches magmatiques
(minéralisation
contact anormal
disséminées)
(faille)
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………
PAGE DE GARDE
CLASSE :TleD
THEME1: LES RESSOURCES MINIERES.
LEÇON 2 : COMMENT L’EXPLOITATION DES GISEMENTS MINIERS SE FAIT-ELLE EN CÔTE D’IVOIRE?
DURÉE : 01semaines de 5 heures.
HABILETES CONTENUS
1. Identifier - quelques méthodes de prospection minière ;
- les différentes méthodes d'exploitation minière.
l’impact de l’exploitation minière sur l’environnement et la
2. Dégager
qualité de la vie.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Depuis quelques temps de nombreux camions chargés de << terre noire>> passent près du Lycée Moderne d’Odienné en partance pour Abidjan. S’étant
renseignés, les élèves apprennent que ceux-ci partent d’une mine de manganèse en exploitation depuis peu. Par la même occasion ils apprennent que les
habitants du village abritant cette mine ont commencé à se plaindre du bruit assourdissant généré par l’exploitation de ladite mine. Curieux, ces élèves
veulent comprendre l’exploitation des gisements miniers. Ils décident alors d’identifier les différentes méthodes de prospection et d’exploitation puis d’en
déduire l’impact sur l’environnement et la qualité de vie.
Matériel Bibliographie
Texte relatif à la prospection minière.
- Document d’accompagnement (Géologie structurale, minière
Document relatif à l’exploitation des gisements miniers ; et énergétique de la Côte d’Ivoire).
1
DEROULEMENT DE LA LECON
Stratégie
s
Moments Activités
(Techniq Activités
Didactiques/ du Trace écrite
ues/ de l’élève
Durée professeur
Supports
)
Situation
PRESENTATI Travail Lisez la
ON individuel situation Lecture
silencieuse silencieuse
(5 minutes) ment.
Travail
individuel Un élève Lecture
pour lire à
Travail de haute voix
groupe Le texte
De quoi parle des
s’agit-il gisements
dans le miniers.
texte
Travail de
groupe L’on
exploite les
gisements
Travail de Faites le miniers en
groupe constat qui C.I
convient
On doit
d’identifier
Face à ce les
constat, différentes
dites ce méthodes
vous faites. de
prospectio
n et
d’exploitati
on puis
2
d’en
déduire
Travail de l’impact
groupe sur
l’environne
ment et la
qualité de
vie
Posez le
Travail problème COMMENT L’EXPLOITATION DES
individuel issu de ce GISEMENTS MINIERS SE FAIT-ELLE
constat
DEVELOPPEM sous forme
EN CÔTE D’IVOIRE?
ENT de
question. Formulatio
La lecture du texte relatif au transport de « terre noire » par des camions en provenance d’une
n du titre
mine de manganèse, a permis de constater que l’on exploite les gisements miniers.
de la leçon.
On peut alors supposer que :
Notez
L’exploitation des gisements miniers se fait grâce à des techniques de prospections.
Prise de L’exploitation des gisements miniers se fait grâce à des méthodes.
notes du
titre dans I- L’EXPLOITATION DES GISEMENTS MINIERS SE FAIT-ELLE GRÂCE A DES
le cahier. TECHNIQUES DE PROSPECTIONS?
1- Présentation du texte.
(Coller le texte)
2- Résultats (voir texte).
3
La prospection alluvionnaire consiste à rechercher les minéraux dans les
cours d’eau(marigot),parlatechniquedela«batée».Al’aided’unrécipient(unpan,
une calebasse), on lave les limons, les sables et les graviers.
La prospection géochimique est l’étude de la distribution des éléments
chimiquesdansl’écorceterrestre.Ellepermetdedéterminerlaconcentrationdes
minéraux. Elle se fait en trois phases:
Les prélèvements des échantillons des sédiments des cours d’eau (cas
de l’or) : géochimie en alluvion.
Les échantillons sont désagrégés et séchés puis passés au tamis fin.
Seulle sous tamis est conservé.
L’analyse des échantillons se fait ensuite par des techniques de dosage
appropriées à l’or, c’est-à-dire l’attaque par l’eau chlorée et le dosage
par la rhodamine.
La prospection géologique consiste à examiner d’éventuels minéralisateurs
observables sur les affleurements, au cours des levés géologiques ensuite à
prélever des échantillons (à l’aide de « marteaux »), à les analyser et à identifier
leurs propriétés, et enfin à déterminer le type de roche encaissante.
- Les méthodes indirectes de prospection minière:
La méthode électrique se base sur la conductivité et la résistivité des corps.
LaméthoderadiométriqueutiliseunscintillomètreouuncompteurGeisersur un
certain nombre d’itinéraires permettant de déterminer la radioactivité de chaque
affleurement.
Laméthodedelasismiquederéflexions’appuiesurleprincipedel’échoc’est- à-dire
sur la propagation d’ondes engendrées artificiellement par des explosions
oudeséchosprovoquéspardescamionsvibreurs.L’enregistrementdecesondes
permet d’établir la structure du sous-sol.
5- Conclusion
L’exploitation des gisements miniers se fait grâce à des techniques de prospection.
4
II- L’EXPLOITATION DES GISEMENTS MINIERS SE FAIT-ELLE GRÂCE A DES
MÉTHODES?
1- Observation
L’observation porte sur un document montrant des méthodes d’exploitation des gisements
miniers.
5
Les gisements souterrains dont on a cessé l’exploitation finissent le
plus souvent par s’effondrer et causer beaucoup de dommages,
L’utilisation de plusieurs produits (détergent, métaux lourds,
hydrocarbures, cyanure…) nécessaires à l’exploitation peut entraîner:
L’émission de gaz toxiques,
Lapollutiondel’airdoncdestructiondelacouched’ozoneetparc
onséquent l’induction de l’effet de serre,
La pollution du sol et contaminer les nappes phréatiques.
La pollution des eaux,
La pollution radioactive due aux déchets radioactifs.
5- Conclusion
L’exploitation des gisements miniers se fait grâce à des méthodes.
CONCLUSION GENERALE
L’exploitation des gisements miniers se fait grâce à des techniques de prospections et à des
méthodes qui sont l’exploitation à ciel ouvert et l’exploitation souterraine.
a) L’exploitation à ciel ouvert convient aux gisements qui sont à de grandes profondeurs.
b) La prospection alluvionnaire peut être utilisée pour tous les gisements secondaires.
c) La création d’emploi est un avantage de l’exploitation des gisements miniers.
d) L’exploitation des gisements miniers provoque la pollution de l’air.
6
TEXTE
La prospection minière désigne un ensemble d’opérations qui sont exécutées depuis la
recherche du premier
indicejusqu’àl’évaluationdugisement.Elleassocielagéochimieetlagéophysique.Aussidistingue
indicejusqu’àl’évaluationdugisement.Elleassocielagéochimieetlagéophysique.Aussidistingue-t-
onlesméthodes dites directes et des méthodes indirectes.
Les méthodesdirectes.
- La prospectionalluvionnaire.
C’est la méthode qui a fourni le plus de renseignements. Réalisée en lit vif, elle est facile et rapides
donne de bons résultats.
Elle consiste à rechercher les sédiments des cours d’eau (marigots),
(marigots), par la technique de la « batée » : à
l’aide d’un récipient (un pan, une calebasse) on lave les limons, les sables et les graviers. la loi
hydrodynamique permet une séparation densimétrique, car les minéraux ont une certaine
caractéristique, une certaine
aine densité(or différent de la magnétite).
- La prospectiongéochimique.
La géochimie est l’étude de la distribution des éléments chimiques dans l’écorce terrestre. Elle permet
de déterminer la concentration des minéraux. Connaissant la dynamique externe, l’existence l de
polarité (cations- anions), on échantillonne les matériaux (eau, roches, sols végétaux…).
La géochimie des roches présente trois parties :
* les prélèvements. On distingue:
La géochimie des sols. Les prises de sols sont effectuées dur la plupart des layons ou
pistes à une profondeur de 30 à 40 cm et selon un espacement de 200 m ;
La géochimie en alluvions. Les prises en alluvions sont effectuées tous les 2 km en
moyenne dans ns le limon de berge des marigots levés ;
La géochimie des roches. Plusieurs prélèvements de roches saines sont effectués sur les
différentes formations géologiques, représentées dans la coupure.
* la préparation deséchantillons.
Les échantillons sont désagrégés
grégés et séchés puis passés au tamis fin. Seul le sous tamis est conservé.
* l’analyse deséchantillons
Ellesefaitpardestechniquesdedosageappropriéesàchaqueminéral.Parexemplepourl’or(Au),l’attaquesefa
itpar l’eau chlorée et le dosage par larhodamine.
- La prospectiongéologique.
pectiongéologique.
La prospection géologique consiste à examiner d’éventuels minéralisateurs observables sur les
affleurements, au cours des levés géologiques ensuite à prélever des échantillons (à l’aide de «
marteaux »), à les analyser et à identifier leurs
leurs propriétés, et enfin à déterminer le type de roche
encaissante.
Les méthodesindirectes.
C’est la prospection géophysique dont les méthodes correspondent chacune à une propriété
physique ou mécanique des roches.
- La méthodeélectrique.
Elle est basée sur la conductibilité et la résistivité des roches (capacité à conduire le courant
électrique). A l’aide d’appareils de mesure (quadripôle par exemple), on trace des contours isovaleurs
pour la même résistivité.
- La méthodemagnétique.
Dans cette
tte méthode, on analyse les anomalies du champ magnétique terrestre moyen, apportées par la
présencedeconcentrationsferromagnétiques(Fe,Co,Ni,FeO 2O3-
présencedeconcentrationsferromagnétiques(Fe,Co,Ni,FeO-Fe
TiO2).Lesmesureseffectuéespermettentd’établir des cartes des intensitésmagnétiques.
- La méthoderadiométrique.
méthoderadiométri
Elle est basée sur la radioactivité des roches (propriété de certains éléments chimiques tels que le
radium, l’uranium, etc. de se transformer spontanément en d’autres éléments, avec émission de divers
rayonnements). Elle utilise un
scintillomètreouuncompteurGeigersuruncertainnombred’itinéraire.Desprélèvementsgéochimiquessont
compteurGeigersuruncertainnombred’itinéraire.Desprélèvementsgéochimiquessont
effectués sur chaque anomalie radioactiverepérée
Texte inspiré de :
-géologie
géologie structurale minière et énergétique de la
Côte d’Ivoire, Parmen novembre 1999
-géologie objets et méthodes.
odes. Edition Février 1984.
DOCUMENT 1 :DIFFERENTES TECHNIQUES D’EXPLOITATION D’UN GISEMENT MINIER
HABILETES CONTENUS
1- Décrire quelques techniques d’amélioration des sols.
la relation entre l’exploitation rationnelle des sols et la
2- Etablir
préservation de l’environnement.
- l’intérêt des techniques de l’amélioration des sols ;
3- Dégager
- les avantages des techniques de protection des sols.
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Il est de plus en plus question de la rareté des terres cultivables dans notre pays. En effet de nombreux conflits dans plusieurs régions de la Côte
d’Ivoire ont pour source les problèmes de terres cultivables. Dans la localité où ils résident de nombreux élèves vivent ces situations de tension à
travers leurs parents impliqués dans ces conflits. Préoccupés et surtout soucieux d’aider leurs parents, ces élèves veulent comprendre l’amélioration
et la protection des sols. Ils s’activent alors à expliquer les méthodes d’amélioration et de protection des sols et d’en dégager les avantages.
Matériel Bibliographie
Documents relatifs :
- A l’amélioration des propriétés physiques, chimiques et biologiques par - Document d’accompagnement.
les amendements calcaires ; - Sciences de la Vie et de la terre, Collection l’Aigle (Terminales
C & D).
- A l’amélioration des propriétés physiques, chimiques et biologiques par
- Internet.
les amendements humifères ;
- Au mode d’action des amendements calcaires et leurs conséquences ;
- A la relation entre les plantes cultivées et les engrais verts ;
- A la relation entre les pailles et les engrais verts ;
- A quelques techniques d’amélioration et de protection des sols.
Textes relatifs :
- A l’amélioration de la fertilité des sols par les amendements ;
- A l’amélioration de la fertilité des sols par les engrais ;
- Aux techniques de protection des sols.
DEROULEMENT DE LA LECON
Stratégies
Moments Activités du Activités de
(Techniques/ Trace écrite
Didactiques/Durée professeur l’élève
Supports)
Situation
PRESENTATION Travail Lisez la
individuel situation Lecture
(5 minutes) silencieusement. silencieuse
DEVELOPPEMENT
La lecture du texte relatif au problème de terres cultivables en Côte
d’Ivoire, a permis de constater que l’on peut améliorer les sols.
On peut alors supposer que :
- On améliore les sols par des techniques d’amélioration de la
fertilité.
- On améliore les sols par des techniques de protection.
A- APPORTD’AMENDEMENTS.
1- Présentation du texte.
Un amendement est un matériau apporté à un sol pour améliorer
sa qualité agricole. Les amendements sont donc utilisés
en agriculture et pour le jardinage pour améliorer les terres et les
rendre plus productives. L’un des amendements les plus connus est
la chaux, utilisée pour réduire l’acidité des sols.
Les principaux efforts de fertilisation que l’on met en œuvre sont
les amendements calcaires et magnésiens dont le but est de
favoriser l’activité des bactéries du sol en régularisant l’état
ionique de la solution du sol et en consolidant les complexes
argilo-humiques ; les amendements humifères qui sont la source
essentielle d’humus et surtout conditionnent favorablement
l’activité des bactéries ou des champignons hétérotrophes (source
de carbone).
Source Internet
Le texte parle des amendements du sol qui jouent un rôle dans la
fertilisation des sols.
5- Conclusion
On améliore la fertilité du sol par apport d’amendements.
B- APPORT D’ENGRAIS.
1- Présentation du texte.
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout
lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences en éléments nutritifs. Par
l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de
la fertilité si sensible que le langage courant lui a consacré le terme
de fertilisation et que les substances nutritives apportées par les
engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
5- Conclusion
On améliore la fertilité d’un sol par apport d’engrais.
1- Présentation du Texte
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les
zones cultivées, la mise en place de plantes de couverture et
certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les
terrains pentus, du paillage des surfaces à protéger ainsi que des
pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de nombreux
avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait de SVT 3e,
Collection Savanes et Forêts, p.127
2- Résultats(Voir texte)
5- Conclusion
On améliore les sols par des techniques de protection des sols.
CONCLUSION GÉNÉRALE
Un amendement est un matériau apporté à un sol pour améliorer sa qualité agricole. Les amendements sont
donc utilisés en agriculture et pour le jardinage pour améliorer les terres et les rendre plus productives. L’un
des amendements les plus connus est la chaux, utilisée pour réduire l’aciditédes sols.
Les principaux efforts de fertilisation que l’on met en œuvre sont les amendements calcaires et
magnésiens dont le but est de favoriser l’activité des bactéries du sol en régularisant l’état ionique de la
solution du sol et en consolidant les complexes argilo-humiques ; les amendements humifères qui sont la
source essentielle d’humus et surtout conditionnent favorablement l’activité des bactéries ou des
champignons hétérotrophes (source de carbone).
Source Internet
TEXTE 1
Un amendement est un matériau apporté à un sol pour améliorer sa qualité agricole. Les amendements sont
donc utilisés en agriculture et pour le jardinage pour améliorer les terres et les rendre plus productives. L’un
des amendements les plus connus est la chaux, utilisée pour réduire l’aciditédes sols.
Les principaux efforts de fertilisation que l’on met en œuvre sont les amendements calcaires et
magnésiens dont le but est de favoriser l’activité des bactéries du sol en régularisant l’état ionique de la
solution du sol et en consolidant les complexes argilo-humiques ; les amendements humifères qui sont la
source essentielle d’humus et surtout conditionnent favorablement l’activité des bactéries ou des
champignons hétérotrophes (source de carbone).
Source Internet
TEXTE 1
Un amendement est un matériau apporté à un sol pour améliorer sa qualité agricole. Les amendements sont
donc utilisés en agriculture et pour le jardinage pour améliorer les terres et les rendre plus productives. L’un
des amendements les plus connus est la chaux, utilisée pour réduire l’aciditédes sols.
Les principaux efforts de fertilisation que l’on met en œuvre sont les amendements calcaires et
magnésiens dont le but est de favoriser l’activité des bactéries du sol en régularisant l’état ionique de la
solution du sol et en consolidant les complexes argilo-humiques ; les amendements humifères qui sont la
source essentielle d’humus et surtout conditionnent favorablement l’activité des bactéries ou des
champignons hétérotrophes (source de carbone).
Source Internet
TEXTE 1
Un amendement est un matériau apporté à un sol pour améliorer sa qualité agricole. Les amendements sont
donc utilisés en agriculture et pour le jardinage pour améliorer les terres et les rendre plus productives. L’un
des amendements les plus connus est la chaux, utilisée pour réduire l’aciditédes sols.
Les principaux efforts de fertilisation que l’on met en œuvre sont les amendements calcaires et
magnésiens dont le but est de favoriser l’activité des bactéries du sol en régularisant l’état ionique de la
solution du sol et en consolidant les complexes argilo-humiques ; les amendements humifères qui sont la
source essentielle d’humus et surtout conditionnent favorablement l’activité des bactéries ou des
champignons hétérotrophes (source de carbone).
Source Internet
TEXTE 2
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences
en éléments nutritifs. Par l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de la fertilité si
sensible que le langage courant lui a consacré le terme de fertilisation et que les substances nutritives
apportées par les engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
Encyclopédie Universalis 2012 (Fertilité des sols)
TEXTE 2
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences
en éléments nutritifs. Par l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de la fertilité si
sensible que le langage courant lui a consacré le terme de fertilisation et que les substances nutritives
apportées par les engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
Encyclopédie Universalis 2012 (Fertilité des sols)
TEXTE 2
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences
en éléments nutritifs. Par l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de la fertilité si
sensible que le langage courant lui a consacré le terme de fertilisation et que les substances nutritives
apportées par les engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
Encyclopédie Universalis 2012 (Fertilité des sols)
TEXTE 2
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences
en éléments nutritifs. Par l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de la fertilité si
sensible que le langage courant lui a consacré le terme de fertilisation et que les substances nutritives
apportées par les engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
Encyclopédie Universalis 2012 (Fertilité des sols)
TEXTE 2
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences
en éléments nutritifs. Par l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de la fertilité si
sensible que le langage courant lui a consacré le terme de fertilisation et que les substances nutritives
apportées par les engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
Encyclopédie Universalis 2012 (Fertilité des sols)
TEXTE 2
L'état chimique du sol est en général aisément modifiable, surtout lorsqu'il s'agit de corriger des déficiences
en éléments nutritifs. Par l'emploi judicieux des engrais, on parvient à une augmentation de la fertilité si
sensible que le langage courant lui a consacré le terme de fertilisation et que les substances nutritives
apportées par les engrais sont qualifiées d'éléments fertilisants.
Encyclopédie Universalis 2012 (Fertilité des sols)
TEXTE 3
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les zones cultivées, la mise en place de plantes
de couverture et certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les terrains pentus, du
paillage des surfaces à protéger ainsi que des pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de
nombreux avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait deSVT 3e,Collection Savanes et Forêts, p.127.
TEXTE 3
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les zones cultivées, la mise en place de plantes
de couverture et certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les terrains pentus, du
paillage des surfaces à protéger ainsi que des pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de
nombreux avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait deSVT 3e,Collection Savanes et Forêts, p.127.
TEXTE 3
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les zones cultivées, la mise en place de plantes
de couverture et certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les terrains pentus, du
paillage des surfaces à protéger ainsi que des pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de
nombreux avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait deSVT 3e,Collection Savanes et Forêts, p.127.
TEXTE 3
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les zones cultivées, la mise en place de plantes
de couverture et certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les terrains pentus, du
paillage des surfaces à protéger ainsi que des pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de
nombreux avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait deSVT 3e,Collection Savanes et Forêts, p.127.
TEXTE 3
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les zones cultivées, la mise en place de plantes
de couverture et certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les terrains pentus, du
paillage des surfaces à protéger ainsi que des pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de
nombreux avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait deSVT 3e,Collection Savanes et Forêts, p.127.
TEXTE 3
Pour lutter contre la dégradation des sols, il faut réaliser, dans les zones cultivées, la mise en place de plantes
de couverture et certaines pratiques culturales. Il s’agit des terrassements sur les terrains pentus, du
paillage des surfaces à protéger ainsi que des pratiques de jachères et d’assolement qui présentent de
nombreux avantages pour tous les sols agricoles.
Texte adapté, extrait deSVT 3e,Collection Savanes et Forêts, p.127.
Le calcium et le magnésium floculent l’argile et
l’humus d’une manière plus énergique et rend la
structure du sol plus perméable à l’eau et à l’air
DOCUMENT 1 : …………………………………………………………………………………………………………………………..
A. MAUVAIS ETAT PHYSIQUE B. BON ETAT PHYSIQUE
DOCUMENT 3 : ……………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 2 : ………………………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 2 : ………………………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 4 : …………………………………………………………………………………………………………………………….
DOCUMENT 4 : …………………………………………………………………………………………………………………………….
DOCUMENT 4 : …………………………………………………………………………………………………………………………….
DOCUMENT 5 :………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 5 :………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 5 :………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 5 :………………………………………………………………………………………………………………………
PAGE DE GARDE
CLASSE : Terminale D
THÈME : LA REPRODUCTION CHEZ LES MAMMIFERES ET CHEZ LES SPERMAPHYTES.
LEÇON 2: COMMENT LES ORGANES SEXUELS FONCTIONNENENT-ILS CHEZ L’HOMME ?
DURÉE : 02 semaines.
HABILETES CONTENUS
1. Décrire les cycles sexuels de la femme.
- la régulation des cycles sexuels chez la femme ;
2. Expliquer
-la régulation des fonctions testiculaires chez l’homme.
- le schéma de régulation des cycles sexuels ;
3. Réaliser
- le schéma de régulation des fonctions testiculaires.
4. Dégager le mode d'action de la pilule contraceptive
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre de la visite systématique des élèves des filles du PMFA, l’infirmière découvre qu’une élève de 4e est enceinte. Après s’être informée, l’infirmière
découvre qu’elle a eu des rapports sexuels avec un jeune élève de 5edu Lycée Moderne d’Anyama et qu’elle avait vu ses menstrues régulièrement en début des
trois mois qui ont précédé la grossesse. L’infirmière recommande aux autres filles de se mettre sous pilule pour éviter de telles situations. Les élèves de terminale
D, ayant appris cela, veulent comprendre le fonctionnement des organes sexuels chez l’homme. Elles décident alors de décrire les cycles sexuels de la femme,
d’expliquer la régulation du fonctionnement des organes sexuels et le mode d’action de la pilule contraceptive.
Matériel Bibliographie
- Documents relatifs : - Biologie Terminale D, Collection J. Escalier.
* aux cycles sexuels chez la femme ; - Biologie Terminale D, Collection ADN.
* à des résultats expérimentaux ; - Sciences de la Vie et de la Terre TS, Collection Bordas, Tavernier
* à la régulation des cycles sexuels ;
* à la régulation des fonctions testiculaires.
PAGE DU DEROULEMENT DE LA LEÇON
Prise de notes.
Travail Notez !
individuel I-LES ORGANES SEXUELS CHEZ LA FEMMEFONCTIONNENT DE
Prise de notes. FAÇON CYCLIQUE?
1- Observation
Proposez une
L’observation porte sur les cycles sexuels chez la femme.
Travail collectif activité qui permet
de vérifier cette
2- Résultats (voir document 1).
hypothèse. Observer des
Travail documents. 3- Analyse des résultats.
individuel Notez
Prise de notes CYCLE DES HORMONES HYPOPHYSAIRES :
Les courbes traduisent la variation des taux des hormones hypophysaires au cours
d’un cycle de 28 jours.
De 0 à 14 jours (phase folliculaire) :
Avant le 14e jour, le taux de LH augmente lentement puis atteint brusquement un
pic au 13e jour (19 mui/ml de plasma). Quant au taux de FSH, il augmente
légèrement puis diminue avant d’atteindre brusquement un pic au 13e jour
(7mui/ml de plasma).
De 14 à 28 jours (phase lutéinique) :
Les taux de LH et FSH chutent brusquement puis retrouvent progressivement leur
valeur initiale vers le 28e jour puis un nouveau cycle de 28 jours recommence.
CYCLE OVARIEN :
Le cycle ovarien est caractérisé par une évolution cyclique des follicules ovariens.
Ce cycle se déroule en 3 phases :
la phase folliculaire ou phase pré-ovulatoire au cours de laquelle
il y a une croissance des de quelques follicules,
la phase ovulatoire avec l’expulsion de l’ovocyte II suite à la
rupture de la paroi du follicule mûr,
la phase lutéinique ou phase post-ovulatoire au cours de laquelle
il y a formation puis régression du corps jaune.
CYCLE UTERIN :
Le cycle utérin est caractérisé par une modification cyclique de la muqueuse
utérine. Ces modifications se produisent parallèlement aux phases du cycle
ovarien.
Ainsi pendant la phase pré-ovulatoire (de 0 à 14 jours), l’endomètre qui était
détruit presque totalement au cours de la menstruation se reconstitue et s’épaissit
progressivement.
Au cours de laphase lutéinique (de 14 à 28 jours), la muqueuse utérine
continue de s’épaissir. Lorsque l’épaississementdevient maximal, la muqueuse
présente l’aspect d’une dentelle : c’est la dentelle utérine. En fin de cycle, la
muqueuse subit une desquamation et de nouvelles règles apparaissent. C’est le
début d’un nouveau cycle.
CYCLE OVARIEN :
La phase pré-ovulatoire ou phase folliculaire : Elle dure 12 à 17 jours. Elle se
caractérise par la croissance rapide de quelques jeunes follicules cavitaires dont
l’évolution était bloquée depuis la vie fœtale. Un des follicules achève sa
croissance, les autres dégénèrent. La phase folliculaire se termine par l’ovulation.
La phase ovulatoire : Elle correspond à la libération de l’ovocyte II.
La phase post-ovulatoire ou phase lutéinique : Elle dure 13 à14 jours c’est-à-
dire jusqu’aux règles (menstrues) suivantes et correspond au développement du
corps jaune. Le corps jaune est le résultat de la transformation du follicule après
l’ovulation. Les cellules de la granulosa et de la thèque interne se chargent d’un
pigment : la lutéine. Le corps jaune régresse s’il n’y a pas eu de fécondation et un
autre cycle ovarien recommence. Dans cette phase, le fonctionnement ovarien est
caractérisé par le développement de l’activité du corps jaune.
CYCLE UTERIN :
Pendant la phase folliculaire, la muqueuse utérine ou endomètre, presque
totalement détruit au cours de la menstruation, se reconstitue à partir des
fragments épithéliaux puis s’épaissit progressivement. Les glandes en tube
apparaissent, se ramifient. Parallèlement, la vascularisation sanguine se
développe.
Pendant la phase lutéinique, l’endomètre et s’épaissit, prolifère, formeune
dentelle utérine ou dentelle endométriale (muqueuse à l’aspect de dentelle), il y a
accroissement de l’irrigation sanguine (les artérioles se spiralisent entre les
glandes en tube) et la baisse des contractions utérines. Les glandes alimentées par
les vaisseaux sanguins, devenues tortueuses et ramifiées, sécrètent du mucus et
du glycogène. L’endomètre présente une structure favorable à l’accueil du jeune
embryon. A ce titre l’on qualifie également la phase lutéinique de phase
progestative. En absence de nidation, la structure de l’endomètre se délabre :
c’est la menstruation et le début d’un nouveau cycle.
4- Conclusion
Les organes sexuels fonctionnent de façon cyclique chez la femme.
2- Résultats(Voir documents 2, 3, 4 et 5)
5- Conclusion
Les ovaires exercent un rétrocontrôle sur le complexe hypothalamo-hypophysaire
par l’intermédiaire des hormones ovariennes.
2- Résultats
- Arrêt de la spermatogenèse, atrophie des cellules de Leydig, régression des
caractères sexuels secondaires.
5- Conclusion
Les testicules fonctionnent sous l’influence du complexe hypothalamo-
hypophysaire et agissent par rétrocontrôle sur le complexe hypothalamo-
hypophysaire.
C- Conclusion
Les organes sexuels chez l’homme fonctionnent grâce à une régulation.
1- Présentation du texte.
Dans les pays développés, la plupart des couples souhaitent choisir le moment de la conception.
Les qualités que l’on doit attendre d’un bon contraceptif sont l’efficacité, l’innocuité, la
réversibilité.
La France se distingue par l’utilisation massive de la pilule. Son mode d’administration la fait
qualifier de contraception orale ; son mode d’action est chimique, car elle agit sur le corps tout
entier.
La pilule, expérimentée en 1954 à porto Rico par le médecin américain Pincus, était fortement
dosée ; les pilules actuelles le sont beaucoup moins et sont très diversifiées :
- Les pilules combinées :
Les 21 comprimés contiennent tous un produit œstrogène associé à un produit progestatif. Ce sont
les pilules les plus fréquemment prescrites. Elles possèdent trois verrous de sécurité : blocage de
l’ovulation, glaire cervicale rendue imperméable et atrophie de l’endomètre. Leur efficacité est
donc excellente.
- Les pilules progestatives seules (micropilules) :
Les 28 comprimés ne contiennent qu’un composé, le progestatif. Leur efficacité ne repose que sur
deux verrous : glaire cervicale imperméable et muqueuse utérine « pauvre ».
- Les pilules séquentielles :
Les premiers comprimés ne contiennent que des œstrogènes, les derniers un mélange d’œstrogène
et de progestatifs. Elles possèdent un seul verrou de sécurité, l’inhibition de l’ovulation, et ne sont
prescrite qu’exceptionnellement et pendant une courte durée.
Extrait de Biologie Terminale D,
Collection ADN, p.359-361.
2- Résultats(voir texte).
5- Conclusion
Les organes sexuels chez l’homme fonctionnent sous l’action de pilules
contraceptives. La pilule agit par rétrocontrôle négatif sur le complexe
hypothalamo-hypophysaire.
CONCLUSION GENERALE
Les organes sexuels chez l’homme fonctionnent de façon cyclique, grâce à une
régulation et sous l’action de pilules contraceptives.
HYPOPHYSE
UTERUS
DOCUMENT 1 :………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
Souris témoin Souris soumises aux expériences
Conditions Les 2 ovaires sont Ovariectomie Ovariectomie puis Ovariectomie puis
expérimentales intacts (suppression greffe des ovaires injection d’extrait
(en place) des 2 ovaires) sous la peau ovarien.
Résultats fournis par Aucun
Développement Développement Développement de la
observation de développement
cyclique de la cyclique de la muqueuse utérine
l’évolution de de la muqueuse
muqueuse utérine muqueuse utérine sans variation cyclique
l’utérus utérine
DOCUMENT 2 :…………………………………………………………………………………………………………
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ablation de l’hypophyse chez une Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
rate adulte.
On greffe des tissus hypophysaires d’adulte à Maturation précoce des follicules, ovulation,
une rate impubère. formation du corps jaune.
On injecte des extraits d’hypophyse adulte dans Maturation précoce des follicules, ovulation,
le sang d’une rate impubère. formation du corps jaune.
DOCUMENT 3 :……………………………………………………………………………………………………….
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ablation de l’hypophyse chez une Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
rate adulte.
On greffe des tissus hypophysaires d’adulte à Maturation précoce des follicules, ovulation,
une rate impubère. formation du corps jaune.
On injecte des extraits d’hypophyse adulte dans Maturation précoce des follicules, ovulation,
le sang d’une rate impubère. formation du corps jaune.
DOCUMENT 3 :……………………………………………………………………………………………………….
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ablation de l’hypophyse chez une Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
rate adulte.
On greffe des tissus hypophysaires d’adulte à Maturation précoce des follicules, ovulation,
une rate impubère. formation du corps jaune.
On injecte des extraits d’hypophyse adulte dans Maturation précoce des follicules, ovulation,
le sang d’une rate impubère. formation du corps jaune.
DOCUMENT 3 :……………………………………………………………………………………………………….
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ablation de l’hypophyse chez une Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
rate adulte.
On greffe des tissus hypophysaires d’adulte à Maturation précoce des follicules, ovulation,
une rate impubère. formation du corps jaune.
On injecte des extraits d’hypophyse adulte dans Maturation précoce des follicules, ovulation,
le sang d’une rate impubère. formation du corps jaune.
DOCUMENT 3 :……………………………………………………………………………………………………….
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique la lésion de l’hypothalamus chez Atrophie des ovaires et arrêt du cycle ovarien.
une rate adulte.
On porte des stimulations électriques au niveau
de certaines zones de l’hypothalamus d’une rate Production de LH et ovulation.
adulte.
On greffe un fragment d’hypophyse près de Production de LH et ovulation après
l’hypothalamus à un animal hypophysectomisé. revascularisation.
On sectionne des vaisseaux sanguins qui relient
Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
l’hypothalamus à l’hypophyse.
DOCUMENT 4 :………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique la lésion de l’hypothalamus chez Atrophie des ovaires et arrêt du cycle ovarien.
une rate adulte.
On porte des stimulations électriques au niveau
de certaines zones de l’hypothalamus d’une rate Production de LH et ovulation.
adulte.
On greffe un fragment d’hypophyse près de Production de LH et ovulation après
l’hypothalamus à un animal hypophysectomisé. revascularisation.
On sectionne des vaisseaux sanguins qui relient
Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
l’hypothalamus à l’hypophyse.
DOCUMENT 4 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique la lésion de l’hypothalamus chez Atrophie des ovaires et arrêt du cycle ovarien.
une rate adulte.
On porte des stimulations électriques au niveau
de certaines zones de l’hypothalamus d’une rate Production de LH et ovulation.
adulte.
On greffe un fragment d’hypophyse près de Production de LH et ovulation après
l’hypothalamus à un animal hypophysectomisé. revascularisation.
On sectionne des vaisseaux sanguins qui relient
Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
l’hypothalamus à l’hypophyse.
DOCUMENT 4 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique la lésion de l’hypothalamus chez Atrophie des ovaires et arrêt du cycle ovarien.
une rate adulte.
On porte des stimulations électriques au niveau
de certaines zones de l’hypothalamus d’une rate Production de LH et ovulation.
adulte.
On greffe un fragment d’hypophyse près de Production de LH et ovulation après
l’hypothalamus à un animal hypophysectomisé. revascularisation.
On sectionne des vaisseaux sanguins qui relient
Atrophie des ovaires, arrêt du cycle ovarien.
l’hypothalamus à l’hypophyse.
DOCUMENT 4 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ovariectomie bilatérale chez une Hypertrophie de l’hypophyse, augmentation du
rate adulte. taux des gonadostimulines (FSH et LH).
On introduit en petite quantité des quantités Baisse du taux de FSH pendant la phase
d’œstrogènes dans l’hypothalamus chez une folliculaire, atrophie des ovaires.
rate adulte.
On introduit de fortes doses d’œstrogènes dans Sécrétion accrue de LH.
l’hypothalamus chez une rate adulte.
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ovariectomie bilatérale chez une Hypertrophie de l’hypophyse, augmentation du
rate adulte. taux des gonadostimulines (FSH et LH).
On introduit en petite quantité des quantités Baisse du taux de FSH pendant la phase
d’œstrogènes dans l’hypothalamus chez une folliculaire, atrophie des ovaires.
rate adulte.
On introduit de fortes doses d’œstrogènes dans Sécrétion accrue de LH.
l’hypothalamus chez une rate adulte.
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ovariectomie bilatérale chez une Hypertrophie de l’hypophyse, augmentation du
rate adulte. taux des gonadostimulines (FSH et LH).
On introduit en petite quantité des quantités Baisse du taux de FSH pendant la phase
d’œstrogènes dans l’hypothalamus chez une folliculaire, atrophie des ovaires.
rate adulte.
On introduit de fortes doses d’œstrogènes dans Sécrétion accrue de LH.
l’hypothalamus chez une rate adulte.
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ovariectomie bilatérale chez une Hypertrophie de l’hypophyse, augmentation du
rate adulte. taux des gonadostimulines (FSH et LH).
On introduit en petite quantité des quantités Baisse du taux de FSH pendant la phase
d’œstrogènes dans l’hypothalamus chez une folliculaire, atrophie des ovaires.
rate adulte.
On introduit de fortes doses d’œstrogènes dans Sécrétion accrue de LH.
l’hypothalamus chez une rate adulte.
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………………..
EXPÉRIENCES RÉSULTATS
On pratique l’ovariectomie bilatérale chez une Hypertrophie de l’hypophyse, augmentation du
rate adulte. taux des gonadostimulines (FSH et LH).
On introduit en petite quantité des quantités Baisse du taux de FSH pendant la phase
d’œstrogènes dans l’hypothalamus chez une folliculaire, atrophie des ovaires.
rate adulte.
On introduit de fortes doses d’œstrogènes dans Sécrétion accrue de LH.
l’hypothalamus chez une rate adulte.
DOCUMENT 5 : ………………………………………………………………………………………………………………..
(GnRH)
rétrocontrôle rétrocontrôle
– ou + –
DOCUMENT 6 : ………………………………………………………………………………………………………………….
(GnRH)
rétrocontrôle rétrocontrôle
– ou + –
DOCUMENT 6 : ………………………………………………………………………………………………………………….
(GnRH)
rétrocontrôle rétrocontrôle
– ou + –
DOCUMENT 6 : ………………………………………………………………………………………………………………….
DOCUMENT 7:………………………….......................................... DOCUMENT 7:…………………………..............................................
……………………………………………… ………………………………………………
TEXTE
Dans les pays développés, la plupart des couples souhaitent choisir le moment de la conception.
Les qualités que l’on doit attendre d’un bon contraceptif sont l’efficacité, l’innocuité, la réversibilité.
La France se distingue par l’utilisation massive de la pilule. Son mode d’administration la fait qualifier de contraception
orale ; son mode d’action est chimique, car elle agit sur le corps tout entier.
La pilule, expérimentée en 1954 à porto Rico par le médecin américain Pincus, était fortement dosée ; les pilules
actuelles le sont beaucoup moins et sont très diversifiées :
- Les pilules combinées :
Les 21 comprimés contiennent tous un produit œstrogène associé à un produit progestatif. Ce sont les pilules les plus
fréquemment prescrites. Elles possèdent trois verrous de sécurité : blocage de l’ovulation, glaire cervicale rendue
imperméable et atrophie de l’endomètre. Leur efficacité est donc excellente.
- Les pilules progestatives seules (micropilules) :
Les 28 comprimés ne contiennent qu’un composé, le progestatif. Leur efficacité ne repose que sur deux verrous : glaire
cervicale imperméable et muqueuse utérine « pauvre ».
- Les pilules séquentielles :
Les premiers comprimés ne contiennent que des œstrogènes, les derniers un mélange d’œstrogène et de progestatifs.
Elles possèdent un seul verrou de sécurité, l’inhibition de l’ovulation, et ne sont prescrite qu’exceptionnellement et
pendant une courte durée.
Extrait de Biologie Terminale D, Collection ADN, p.359-361.
TEXTE
Dans les pays développés, la plupart des couples souhaitent choisir le moment de la conception.
Les qualités que l’on doit attendre d’un bon contraceptif sont l’efficacité, l’innocuité, la réversibilité.
La France se distingue par l’utilisation massive de la pilule. Son mode d’administration la fait qualifier de contraception
orale ; son mode d’action est chimique, car elle agit sur le corps tout entier.
La pilule, expérimentée en 1954 à porto Rico par le médecin américain Pincus, était fortement dosée ; les pilules
actuelles le sont beaucoup moins et sont très diversifiées :
- Les pilules combinées :
Les 21 comprimés contiennent tous un produit œstrogène associé à un produit progestatif. Ce sont les pilules les plus
fréquemment prescrites. Elles possèdent trois verrous de sécurité : blocage de l’ovulation, glaire cervicale rendue
imperméable et atrophie de l’endomètre. Leur efficacité est donc excellente.
- Les pilules progestatives seules (micropilules) :
Les 28 comprimés ne contiennent qu’un composé, le progestatif. Leur efficacité ne repose que sur deux verrous : glaire
cervicale imperméable et muqueuse utérine « pauvre ».
- Les pilules séquentielles :
Les premiers comprimés ne contiennent que des œstrogènes, les derniers un mélange d’œstrogène et de progestatifs.
Elles possèdent un seul verrou de sécurité, l’inhibition de l’ovulation, et ne sont prescrite qu’exceptionnellement et
pendant une courte durée.
Extrait de Biologie Terminale D, Collection ADN, p.359-361.
DOCUMENT 8:…………………………........................... DOCUMENT 8:…………………………...........................
………………………………………………. ……………………………………………….
………………………………………………. ……………………………………………….
DOCUMENT 9 :…………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 9 :…………………………………………………………………………………………………………………..
PAGE DE GARDE
CLASSE :TleD
THEME3 : LA TRANSMISSION DES CARACTERES HEREDITAIRES.
LEÇON 2 : COMMENT UN CARACTÈRE HÉRÉDITAIRE SE TRANSMET-IL CHEZ L’HOMME ?
DURÉE : 02 semaines de 3 heures chacune.
HABILETES CONTENUS
1. Identifier quelques caractères héréditaires chez l’Homme.
2. Expliquer la transmission d’un caractère héréditaire chez l’Homme à partir d’un pédigrée
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Dans le cadre de la remise des prix à la fin du 1er trimestre au PMFA, les élèves de la terminale D constatent l’absence de l’un de leur camarade,
récipiendaire pour cause de maladie. Suite à des informations reçues sur sa famille, les élèves apprennent que leur camarade souffre d’une maladie et que
cette maladie se manifeste chez le père et une autre de ses sœurs. De retour en classe elle informe ses camarades qu’il s’agit d’une maladie héréditaire.
Surprises, ses camarades veulent comprendre la transmission d’un caractère héréditaire chez l’homme. Ces élèves décident alors d’identifier quelques
caractères héréditaires et d’expliquer la transmission d’un caractère héréditaire chez l’homme.
Matériel Bibliographie
- Pédigrées relatifs à la transmission d’un caractère héréditaire dans le - Biologie Terminale D (Collection J. Escalier)
cas d’une dominance complète :
gène autosomal ;
gène hétérosomal.
- Pédigrée relatif à la transmission d’un caractère héréditaire dans le
cas d’une codominance :
Gène autosomal.
- Pédigrée relatif à la transmission d’un caractère héréditaire dans le
cas du polyallélisme.
Gène autosomal.
1/17
DEROULEMENT DE LA LECON
Stratégies
Moments
(Techniques Activités du Activités de
Didactiques/Duré Trace écrite
/ professeur l’élève
e
Supports)
Situation
PRESENTATION Travail Lisez la
individuel situation Lecture
(5 minutes) silencieusement silencieuse
.
Travail
individuel Un élève pour Lecture
lire à haute voix
Travail de
groupe De quoi s’agit-il Le texte parle
dans le texte de
latransmissio
n d’une
maladie
héréditaire.
Travail de
groupe
Faites le constat La
qui convient transmission
des caractères
héréditaires
se fait chez
l’homme.
Travail de On doit
groupe Face à ce identifier
constat, dites ce quelques
vous faites. caractères
héréditaires
etexpliquer la
transmission
2/17
d’un caractère
héréditaire
chez l’homme
Formulation
Travail de du titre de la
groupe leçon.
Posez le
problème issu
DEVELOPPEMENT de ce constat Prise de notes
sous forme de du titre dans
question. le cahier.
Travail
individuel Notez
COMMENT UN CARACTÈRE
HÉRÉDITAIRE SE TRANSMET-IL CHEZ
L’HOMME ?
1- Observation
L’observation porte sur un document montrant la transmission de quelques
3/17
caractères héréditaires chez l’homme.
2- Résultats(Voir document 1)
4- Conclusion
Des caractères héréditaires se transmettent dans l’espèce humaine.
1- Présentation de l’enquête
L’albinisme est une affection héréditaire. Le sujet atteint ne peut
synthétiser la mélanine, pigment brun de la peau et des poils.
Les résultats d’enquêtes menées dans une famille atteinte d’albinisme
sont représentés par un pedigree.
4/17
DOCUMENT 2
5/17
Vérification : Interprétation chromosomique des résultats
Considérons le couple II1 et II2 apparemment sain et qui donne
trois enfants III2 ; III3et III5 albinos.
Supposons que l’allèle albinos est porté par un chromosome sexuel X,
dans ce cas on aura :
Couple II1 II2
Phénotypes [A] x [A]
Génotypes XA Xa
Xa
Gamètes : XA
50% 50% XA
Xa
50% 50%
Echiquier de croisement :
50% XA 50%
XA XA
50% XA 25% [A] 25% [A]
XA
XA Xa
50% Xa 25% [A] 25% [a]
Xa
6/17
5- Conclusion
Un tel couple ne peut donner de filles albinos. Or dans le pedigree, la
fille III3 est albinos. On en déduit que l’allèle albinos n’est pas porté
par un chromosome sexuel X, mais par un autosome.
C- Cas d’un gène autosomal avec codominance
1- Présentation de l’expérience.
La drépanocytose est une maladie héréditaire grave due à la synthèse
d’une hémoglobine anormale : c’est donc une hémoglobinopathie qui a
une origine génétique.
Suite à une mutation génétique, un acide aminé en 6è position : l’acide
glutamique ; dans la chaîne de la molécule normale A, est remplacé
par la valine ; cette chaîne se trouve ainsi modifiée et conduit à la
formation d’une hémoglobine anormale S.
L’électrophorèse montre que :
- les individus sains ont un seul type d’hémoglobine : A.
-les individus malades ont l’hémoglobine anormale : S et « mouraient »
en bas âge.
-les individus apparemment sains ont les deux types d’hémoglobines
A et S en quantité presque égales. Les deux allèles s’expriment car les
deux hémoglobines sont présentes.
Les résultats d’enquêtes menées dans une famille atteinte de
drépanocytose sont représentés dans un arbre généalogique.
7/17
DOCUMENT 3
3- Analyse des résultats
Les couples ( I1 ; I2), ( I3 ; I4) et ( II2 ; II3) apparemment
sains ont engendré respectivement des enfants II1, II4 et III1
drépanocytaires.
Dans ce pédigrée, la maladie atteint à la fois les garçons et les filles.
La maladie atteint à la fois les garçons et les filles, cela laisse penser que
l’allèle de la drépanocytose est autosomal.
50% XS 50%
8/17
Échiquier de croisement :
50% XA 50%
XA
50% XA 25% [A] 25% XA [A]
XA
XA XS
50% XS 25% [AS] 25% [S]
XS
Conclusion
Les résultats théoriques ne sont pas conformes aux résultats observés.
La drépanocytose n’est donc pas liée au sexe, elle est autosomale.
5- Conclusion
La transmission d’un caractère héréditaire chez l’homme se fait grâce à
un couple d’allèles avec codominance.
9/17
1- Présentation de l’enquête
Les groupes sanguins existent chez tous les êtres humains. Deux types
d’antigènes (A et B) peuvent se trouver à la surface des hématies
humaines. Suivant les sujets, les antigènes A et B peuvent être présents,
isolement A ou B ou simultanément A et B ; mais parfois ils sont
absentsO. On distingue ainsi quatre types de groupes sanguins :
- Le groupe A : lorsque les hématies possèdent l’antigène A seul,
- Le groupe B : lorsque les hématies possèdent l’antigène B seul,
- Le groupe AB : lorsque les hématies possèdent à la fois les
antigènes A et B,
- Le groupe O : lorsque les hématies sont dépourvues d’antigène
A et d’antigène B (mais portent une substance H non
antigénique).
Les résultats d’enquêtes sur la transmission des groupes sanguins
menées dans une famille sont représentés par un arbre généalogique.
A B
I
1 2
AB O B A
II
1 2 3 4
Homme Femme
DOCUMENT 4
10/17
nouveaux : AB et O.
Dans ce pédigrée, les garçons comme les filles possèdent tous un groupe
sanguin.
50% XO 50%
11/17
Échiquier de croisement :
50% XB 50%
XA
50% XA 25% [AB] 25% XA [A]
XB
XB
50% XO 25% [B] 25% [O]
XO
5- Conclusion
La transmission des groupes sanguins se fait grâce à plusieurs allèles
(gène à allèles multiples ou gène polyallélique).
E- Conclusion
La transmission d’un caractère héréditaire chez l’homme se fait grâce à
un couple d’allèles avec dominance complète.
12/17
Activité d’évaluation n°1
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1- Tous les caractères chez l’homme sont héréditaires.
2- La transmission d’un caractère héréditaire se fait grâce à un couple
d’allèles autosomal ou.hétérosomal.
3- La transmission d’un caractère héréditaire lié au sexe se fait toujours
de père en fils.
4- Une mère homozygote qui porte l’allèle d’une anomalie transmet cette
anomalie à tous ses enfants.
1- Présentation de l’enquête
Le daltonisme est une anomalie héréditaire de la vision des couleurs. Le
daltonien ne distingue pas les couleurs, principalement la couleur verte
et la couleur rouge. Les résultats d’enquêtes menées dans une famille
atteinte du daltonisme sont représentés dans un arbre généalogique.
DOCUMENT 5
13/17
Dans ce pédigrée, l’anomalie n’atteint que des garçons.
Couple I1 I2
Phenotypes [D] x [D]
Genotypes XD XD
Xd
Gametes50% XD 50% XD
50% Xd 50%
14/17
Echiquier de croisement :
50% XD 50%
XD XD
50% XD 25% [D] 25% [D]
XD
XD Xd
50% Xd 25% [D] 25% [d]
Xd
5- Conclusion
Un tel couple ne peut donner naissance à des filles malades par contre
on obtient des garçons daltoniens et des garçons normaux. Ces résultats
théoriques concordent avec les résultats observés. L’allèle du
daltonisme est donc porté par un chromosome sexuel X.
CONCLUSION GÉNÉRALE
Un caractère héréditaire se transmet chez l’homme grâce aux autosomes
et aux hétérochromosomes.
15/17
b) L’allèle responsable d’une maladie peut être dominant.
c) L’allèle sain ou normal est toujours dominant.
d) Il existe chez l’homme des caractères transmis par un couple
d’allèles codominants.
S S A
16/17
B.TRANSMISSION DE LA COULEUR DE LA PEAU DANS
A.TRANSMISSION DU CARACTÈRE SIXIEME DOIGTDU UNE FAMILLE (PERE BLANCET MERENOIRE)
PIED AU SEINDE LA FAMILLE AUBINEAU
DOCUMENT 1 : ………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT 1 : ………………………………………………………………………………………………………………..
I
1 2 3 4
II
1 2 3 4
III
1 2 3 4 5
DOCUMENT 2
I
1 2 3 4
II
1 2 3 4 5
III
1 2 3 4
DOCUMENT 3
A B
I
1 2
AB O B A
II
1 2 3 4
Homme Femme
DOCUMENT 4
NB : Les groupes sanguins ne sont pas une affection héréditaire.
I
1 2
II
1 2 3 4
Homme normal Femme normale
SITUATION D’APPRENTISSAGE :
Après les connaissances qu’ils ont acquises sur la transmission d’un caractère héréditaire chez l’Homme, des élèves de terminale D découvrent sur
Internet que lescaractères sont transmis simultanément. Des croisements réalisés aussi bien chez les animaux que chez les végétaux permettent de
les observer et les individus obtenus présentent des performances par rapport à leurs parents.
Ils cherchent alors à expliquer les résultats de croisements faisant intervenir deux caractères héréditaires et à dégager les règles régissant cette
transmission et l’importance de l’hybridation.
Matériel Bibliographie
- Biologie Terminale D (Collection J. Escalier)
- Expériences relatives à la transmission de deux caractères héréditaires ;
- Documents relatifs :
à quelques exploits de l’homme dans l’amélioration des espèces ;
à l’hybridation chez le Maïs ;
à la technique de clonage ;
au principe de la FIVETE et à ses variantes.
DEROULEMENT DE LA LECON
Stratégies
Moments
(Techniqu Activités du Activités
Didactiques/D Trace écrite
es/ professeur de l’élève
urée
Supports)
Situation
PRESENTATION Travail Lisez la
individuel situation Lecture
(5 minutes) silencieusem silencieuse
ent.
Travail
individuel Un élève Lecture
pour lire à
Travail de haute voix
groupe Le texte
De quoi parle de
s’agit-il dans latransmiss
le texte ion
simultanée
des
Travail de caractères
groupe héréditaire
s.
La
Travail de Faites le transmissio
groupe constat qui n
convient simultanée
des
caractères
héréditaire
s se fait
chez les
êtres
vivants
On doit
Face à ce identifier
Travail de constat, dites quelques
groupe ce vous caractères
faites. héréditaire
s
etexpliquer
la
transmissio
Travail n
DEVELOPPEME individuel simultanée
NT des
caractères
héréditaire
chez les
êtres
vivants
Posez le
problème Formulatio
issu de ce n du titre
constat sous de la leçon.
forme de
question. Prise de
notes du
COMMENT LA TRANSMISSION SIMULTANÉE DE DEUX
Notez titre dans le
cahier. CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES SE FAIT-ELLE ?
La lecture du texte se rapportant à des élèves qui découvrent des informations sur
internet relatives à la transmission des caractères héréditaires, a permis de constater que les
caractères héréditaires peuvent se transmettre simultanément chez les êtres vivants.
L’étudede la transmission simultanée de deux caractères héréditaires est le
dihybridisme.
1. Présentation de l’expérience
Premier croisement : on croise des pois à graines lisses et jaunes avec des pois à graines
ridées et vertes.
Deuxième croisement : les graines lisses et jaunes récoltées à l’issue du premier
croisement sont semées : elles germent et engendrent des plans qui fleurissent. Leurs
pollens fécondent leur propre pistil (autofécondation).
2. Résultats.
1er croisement : On obtient uniquement des graines lisses et jaunes.
2e croisement : On récolte :
3057 Graines lisses et jaunes
Premier croisement
Les pois croisés sont de phénotypes différents mais donnent une descendance homogène.
Deuxième croisement
La F2 est hétérogène alors que les individus croisés ont le même phénotype.
1012+341
Graine ridée : x 100 = 24,91 soit 25% ou 1/4
5431
Le caractère aspect de la graine présente une ségrégation 3/4, 1/4, au niveau des
phénotypes.
Premier croisement
La F1 est homogène : les parents croisés sont de lignées pures donc homozygotes pour les
deux caractères. Les phénotypes jaune et lisse qui s’expriment à la F1 sont dominants. Les
phénotypes vert et ridé sont récessifs.
Choix des symboles :
Jaune : V Vert : v
Lisse : R Ridé : r
Les effectifs théoriques attendus dans le cas de gènes indépendants sont statistiquement
identiques aux effectifs observés. Les deux couples d’allèles R/r et V/v sont donc
indépendants ou portés par des paires de chromosomes différents.
R V
F1 : 100%[RV]
r v
2ème croisement
Phénotypes : [RV] x [RV]
R V R V
Génotypes :
R v r v
Gamètes : 1/4 R V 1/4 R V
1/4 R v 1/4 R v
1/4 r V 1/4 r V
1/4 r v 1/4 r v
Échiquier de croisement :
γ P1
1/4 R V 1/4 R v
1/4
rV r
1/4 v
γ P2
1/4 R V R v r V
r v
R V 1/16 1/16 1/16 1/16
R V R V R V
R V
[R V] [R V] [R V]
[R V]
1/4 R V R v r V
r v
R v 1/16 1/16 1/16
R v R v R v 1/16
R v
[R V] [R v] [R V]
[R v]
r v
1/4 R V R v r V
r V 1/16 1/16 1/16 1/16
r V
r V r V r V
[r V]
[R V] [R V] [r V]
1/4 R V R v r V
r v
r v 1/16 1/16 1/16
r v r v r v 1/16
r v
[R V] [R v] [r V]
[r v]
Bilan :
9/16 [RV] = 0,5625 = 56,25%
3/16 [Rv] =0,1875 = 18,75%
3/16 [rV] =0,1875 = 18,75%
1/16 [rv] =0,0625 = 6,25%
16/16 1 100%
Conclusion : Les résultats théoriques sont conformes aux résultats expérimentaux; les deux
couples d’allèles R/r et V/v sont donc indépendants.
5. Conclusion
La transmission simultanée de deux caractères se fait grâce à des gènes indépendants.
Activité d’évaluation
Répondez par vrai ou faux aux affirmations suivantes :
1- Un homozygote possède deux allèles identiques du même gène.
2- Le phénotype dominant apparaît toujours à la fréquence 3/4 à la descendance.
3- Un allèle est la forme possible du gène.
4- La descendance en ségrégation 9-3-3-1 est celle d’un cas de dihybridisme à gènes
indépendants.
2. Résultats.
1erCroisement : Toutes les drosophiles obtenues sont à corps gris et ailes longues.
2eCroisement : On obtient :
3. Analyse desrésultats.
Il s’agit de la transmission simultanée de deux caractères héréditaires chez la drosophile :
* Le caractère « couleur du corps » qui s’exprime sous deux phénotypes : gris et
noir.
* Le caractère « taille des ailes » qui s’exprime sous deux phénotypes : long et
vestigial.
Premier croisement
Le croisement effectué entre deux parents de phénotypes différents a donné une
descendance homogène.
Deuxième croisement
La F2 est hétérogène alors que les individus croisés ont le même phénotype.
Analyse caractère par caractère
Couleur du corps
719+44
Gris : x 100 =74,44 soit 75% ou 3/4
1025
216+46
Noir : x 100 = 25,56% soit 25% ou 1/4
1025
Le caractère couleur du corps présente une ségrégation 3/4, 1/4au niveau des
phénotypes.
719+46
Longue : x 100 = 74,63% soit 75% ou 3/4
1025
216+44
Vestigiale : x 100 = 25,37% soit 25% ou 1/4
1025
Le caractère taille des ailes présente une ségrégation 3/4, 1/4au niveau des
phénotypes.
Premier croisement
La F1 est homogène : les parents croisés sont de lignées pures donc homozygotes pour les
deux caractères. Les phénotypes gris et long qui s’expriment à la F1 sont dominants. Les
phénotypes noir et vestigial sont récessifs.
Choix des symboles :
Gris : n+ Noir : n
Long : vg+ Vestigial : vg
Deuxième croisement
Couleur du corps
La ségrégation 3/4, 1/4 obtenue pour le caractère couleur du corps indique que:
- Le caractère « couleur du corps » est sous la dépendance d'un couple d'allèles
autosomal avec dominance complète,
- Les individus croisés sont des hétérozygotes,
- Le phénotype gris qui s’exprime à la fréquence 3/4 est dominant,
- Le phénotype noir qui s’exprime à la fréquence 1/4 est récessif.
AB
les allèles dans ce cas sont dits en position CIS
ab
Ab
les allèles dans ce cas sont dits en position TRANS
aB
Détermination de la position Cis ou Trans des allèles
*Cas d’un test-cross
Si le croisement est untest-cross, deux classes se dégagent au niveau des
phénotypes : une classe majoritaire et une classe minoritaire. A l’intérieur de
chaque classe, les effectifs sont statistiquement identiques.
Dans ce cas, les phénotypes majoritaires reflètent les gamètes parentaux. Ils
permettent d'écrire le génotype du double hétérozygote.
*Autres Cas
Si le croisement effectué n'est pas un test-cross, pour trouver les génotypes
des parents croisés, il faut s'intéresser uniquement à l'individu double homozygote
récessif.
a b
Exemple :
a b
II suffit de comparer l'effectif observé du phénotype [a b] à l'effectif théorique
attendu dans l'hypothèse d'indépendance :
- Si l'effectif observé est supérieur à l'effectif théorique attendu, le gamète
a b est parental donc l'individu double hétérozygote a les allèles en position
CIS :
AB
ab
- Si l'effectif observé est inférieur à l'effectif théorique attendu dans le cas de
l'hypothèse d'indépendance, le gamète a b est recombiné ; donc l'individu
double hétérozygote a les allèles en position TRANS :
Ab
a B
*Cas pratique
Notre croisement n’est pas un test cross. L’effectif observé de [n vg] (double homozygote
récessif) qui est de 216 est supérieur à l’effectif théorique attendu (64,06) ; le gamète n vg
est donc de type parental.
Les allèles de l’individu double hétérozygote de phénotype [n+ vg+] sont en position CIS.
n+vg+ n+vg+
Les génotypes des parents croisés sont : et
n vg n vg
*Cas du test-cross
Les phénotypes minoritaires reflètent les gamètes recombinés. Ils permettent de calculer la
distance génétique qui est égale :
dg= Somme des effectifs des phénotypes minoritaires x 100/Effectif Total
*Autre cas
Pour calculer la distance génétique dans les autres cas, on s’intéresse toujours à
l’individu de phénotype [ab]. On pose l’équation :
Fréquence observée de [ab] = fréquence théorique de [ab].
AB
Chez le double hétérozygote [AB] et de génotype :
a b
*Cas pratique
Le croisement effectué ici n’étant pas un test-cross, alors
n vg n vg
Gamètes :
1-p n+vg+ 1 n+vg+
2
2
Gamètes parentaux 1 n vg
1-p n vg 2
Pas de crossing-over
2
chez le mâle de la
drosophile (p=0) donc
pas de gamètes
P n+vg
recombinés
2
Gamètes recombinés
P n vg+
2
n vg
L’individu [n vg] de génotype : a pour fréquence théorique :
n vg
1-p 1
X
2 2
1-p 1 216
X = p = 0,157
2 2 1025
La distance génétique est : d.g = 0,157x100 = 15,7 CM ou UR.
Carte factorielle
C’est la représentation des gènes sur le chromosome.
n+/n vg+/vg
15,7UR
5. Conclusion
Lesgènesqui gouvernent les caractères couleur du corps et longueur des ailes sont liés et
distants de 15,7 UR.
1- Technique de l’hybridation.
1.1- Observation
L’observation porte sur une hybridation chez le maïs.
1.5- Conclusion
L’Homme peut améliorer le rendement des espèces par l’hybridation
2- Technique de clonage.
2.1- Observation.
L’observation porte sur le clonage chez les animaux.
2.5- Conclusion
L’Homme peut améliorer le rendement des espèces par le clonage.
3.5- Conclusion
L’insémination artificielle se pratique chez les animaux et les humains avec des
objectifs différents.
4.5- Conclusion
La FIVETE est pratiquée dans le cas de stérilité de la femme ou de l’homme.
Pratiquées chez les animaux, ces techniques permettent d’améliorer leur
rendement.
C- Conclusion
La transmission de deux caractères héréditaires se fait grâce à des gènes liés.
CONCLUSION GÉNÉRALE
La transmission simultanée de deux caractères héréditaires se fait grâce à des gènes
indépendants et à des gènes liés. Certaines techniques permettent d’améliorer les espèces
la transmission des caractères héréditaires performants.
F.I.V.E.T.E
Clonage.
DOCUMENT 1 :……………………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 1 :……………………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT 1 :……………………………………………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT2:………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT2:………………………………………………………………………………………………………………………………..
DOCUMENT2:………………………………………………………………………………………………………………………………..
Dolly.
BrebisC. Agnelle,clonedela
Porteuse brebisA
3.Extractiondela
celluledunoyau
1.Prélèvementdelac contenantl’ADN
BrebisA.donneusedecellu ellule mammaire
lesmammaires
5.Transplantationdunoy
aucellulairedansl’ovuleé 6.Implantationdansl’ 7. Aprèsgestation,
nuclée utérus de naissancedeDolly
labrebisporteuse
2.
4.
Prélèvementd’unl’ovulenon
BrebisB.donneusedel’ovule Retraitdunoyauconte
fécondé
nantl’ADN
DOCUMENT3:…………………………………………………………………………………………………
Dolly.
BrebisC. Agnelle,clonedela
Porteuse brebisA
3.Extractiondela
celluledunoyau
1.Prélèvementdelac contenantl’ADN
BrebisA.donneusedecellu ellule mammaire
lesmammaires
5.Transplantationdunoy
aucellulairedansl’ovuleé 6.Implantationdansl’ 7. Aprèsgestation,
nuclée utérus de naissancedeDolly
labrebisporteuse
2.
4.
Prélèvementd’unl’ovulenon
BrebisB.donneusedel’ovule Retraitdunoyauconte
fécondé
nantl’ADN
DOCUMENT3:…………………………………………………………………………………………………
Dolly.
BrebisC. Agnelle,clonedela
Porteuse brebisA
3.Extractiondela
celluledunoyau
1.Prélèvementdelac contenantl’ADN
BrebisA.donneusedecellu ellule mammaire
lesmammaires
5.Transplantationdunoy
aucellulairedansl’ovuleé 6.Implantationdansl’ 7. Aprèsgestation,
nuclée utérus de naissancedeDolly
labrebisporteuse
2.
4.
Prélèvementd’unl’ovulenon
BrebisB.donneusedel’ovule Retraitdunoyauconte
fécondé
nantl’ADN
DOCUMENT3:…………………………………………………………………………………………………
Dolly.
BrebisC. Agnelle,clonedela
Porteuse brebisA
3.Extractiondela
celluledunoyau
1.Prélèvementdelac contenantl’ADN
BrebisA.donneusedecellu ellule mammaire
lesmammaires
5.Transplantationdunoy
aucellulairedansl’ovuleé 6.Implantationdansl’ 7. Aprèsgestation,
nuclée utérus de naissancedeDolly
labrebisporteuse
2.
4.
Prélèvementd’unl’ovulenon
BrebisB.donneusedel’ovule Retraitdunoyauconte
fécondé
nantl’ADN
DOCUMENT3:…………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT4:…………………………………………………………………………………………………
DOCUMENT4:…………………………………………………………………………………………………
Document5:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document5:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document5:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document5:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document6:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document6:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document7:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document7:…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Document7:…………………………………………………………………………………………………………………………………….