Rapport Hydrologique Et Hydraulique
Rapport Hydrologique Et Hydraulique
SOMMAIRE
I. INTRODUCTION .............................................................................................................. 5
LE CLIMAT ................................................................................................................ 6
LE RELIEF .................................................................................................................. 6
La végétation : ............................................................................................................. 7
La faune ....................................................................................................................... 7
III.4.2. Résultats des débits retenus par ouvrage et par bassin ................................... 15
V. CONCLUSION ............................................................................................................ 22
Tableau 2 : Résultats de l’ajustement des pluies annuelles moyennes - Station de Houndé ..................10
Tableau 9 : Caractéristique des fossés retenus .............................................. Erreur ! Signet non défini.
Figure32 : Ajustement statistique de la pluie max journalière de Houndé à la loi de Normale .............10
Inf : Inférieur
K : coefficient de Manning
Lt : Longueur d’écoulement
Sup : Supérieur
Tc : Temps de concentration
I. INTRODUCTION
L’Etat Burkinabè a prévus la réalisation des travaux d'aménagement de cinq (05) ouvrages de
franchissement dans les villages de Sourou et de Nevry dans le but de faciliter l’accès aux dits villages.
OBJECTIFS DU PROJET
OBJET DU RAPPORT
Cette composante du projet se déroule en deux phases distinctes et successives. Il s’agit de l’étude
hydrologique et l’étude hydraulique.
LE CLIMAT
La zone du projet de par sa position géographique, est sous l’influence du climat soudano-sahélien. La
pluviométrie moyenne annuelle comprise entre 600 à 900mm.
Les plus fortes chaleurs correspondent à la fin de la saison sèche (avril-mai). Les températures diurnes
atteignent des maximums de 35 à 45°c avec des minimums nocturnes supérieurs à 20°c. Les
températures les plus fraîches s’observent de décembre à février : maximums diurnes de 20 à 30°c et des
minimums nocturnes souvent inférieurs à 10°c. En saison des pluies, les températures diurnes et
nocturnes ne sont pas très élevées (moyenne : 25 à 30 °c) et les écarts restent faibles.
Le climat Soudano Sahélien a une pluviométrie de 600 à 900 mm. On rencontre des sols sablo-limoneux
et/ou limono argileux dans les vallées et bas-fonds et les sols bruns Eutrophes assez riches pour
l’agriculture et le pâturage.
LE RELIEF
Le relief est caractérisé d’une région à une autre par une pénéplaine aux pentes douces (250 à 400 m
d’altitude).
La majeure partie du Burkina Faso est le domaine de bas plateaux latéritiques parfois cuirassés ou
mollement vallonnés et de bas-fonds à réseau hydrographique à peine marqué (carte géologique à 1/1000
000 du Burkina Faso, 1998). Ces paysages pénéplaines ont une altitude qui varie de 250 à 300 m. De
ces paysages, émergent des reliefs résiduels dont les plus caractéristiques forment des chaînons ou des
séries de chaînons parallèles.
Les autres types de paysages se présentent en épointements et inselbergs, isolés ou groupés.
LES SOLS
Les sols hydro morphes qui regroupent l’ensemble des sols dont l’évolution est dominée par
l’action plus ou moins temporaire d’un excès d’eau (inondation, engorgement, nappe). Ces sols
sont localisés le long des axes de drainage de la région. Leur valeur agronomique est variable et
est surtout favorable à la culture du riz.
LA VEGETATION :
La végétation de la région du centre ouest est marquée tout de même par des potentialités en
matière de formations naturelles allant du type steppe arbustive, à savane arborée et arbustive
avec dans l’ensemble quelques forêts de galerie le long des cours d’eau. La savane arbustive se
caractérise par des formations mixtes d’arbustes ne dépassant pas plus de 7m de hauteur. La
savane arborée constituée d’arbres de 7 à 12m avec tapis graminéen. Les espèces les plus
rencontrées sont : le karité, le néré, le tamarinier, l’accacia, le baobab.
HYDROGRAPHIE ET HYDROGÉOLOGIE
LA FAUNE
La faune est très rare et est constitué uniquement de petits gibiers. Cette situation est liée à la
forte perturbation de l’habitat faunique par la poussée démographique, l’exploitation minière et
aussi le braconnage qui est courant dans la région.
ANALYSES PLUVIOMÉTRIQUES
III.1.1. Pluviométrie annuelle et journalière maximales
Les hauteurs de précipitations disponibles dans la zone de projet ont été recueillies et analysées. Ces
données ont fait l’objet d’un ajustement suivant plusieurs lois statistiques notamment la Loi normale et
la loi de Gumbel pour obtenir les hauteurs des pluies décennales.
Dans le cadre de ce projet nous avons utilisés les données pluviométriques de la station Koudougou.
Une période de retour 10 ans a été utilisée.
De séries de pluies de 30 ans ont été utilisées pour les ajustements des données de ladite station.
Pj max de Koudougou
L’analyse fréquentielle a été conduite à l’aide de la version 1.1 du logiciel HYFRAN. Ce logiciel a été
développé par l'équipe du Dr. B. Bobée de la Chaire Hydrologie Statistique de l’INRS–ETE (Institut
National de la Recherche Scientifique - Eau Terre et Environnement) de l'Université du Québec avec le
parrainage d'Hydro Québec et du Conseil de Recherches en Sciences Naturelles et en Génie du Canada
(CRSNG). C’est un logiciel d’ajustement de lois statistiques qui comprend un ensemble d’outils
mathématiques puissants, conviviaux et flexibles permettant en particulier l’analyse statistique
d’événements pluvieux (la plus importante averse dans une année donnée) et, de manière plus générale,
l’analyse statistique de séries de données indépendantes et identiquement distribuées, et ce, dans des
domaines professionnels aussi variés que l’Hydrologie, l’Ingénierie, l’Environnement, la Météorologie,
etc.
L’ajustement d’une distribution à un échantillon nécessite que les observations soient :
o Indépendantes (I.) c’est à dire que l’occurrence d’une observation n’est pas affectée par les
observations précédentes ;
o Identiquement distribuées (I.D.) c’est à dire que toutes les observations proviennent de la même
population statistique.
Pour examiner ces deux hypothèses, il a été utilisé la méthode de Wald-Wolfowitz pour le test
d’indépendance des enregistrements pluviométriques journaliers maximaux. Toutefois, il a été utilisé le
test de Khi-carré pour les tests d’adéquation des résultats obtenus.
Le logiciel HYFRAN offre des graphiques de probabilité au non dépassement, des histogrammes des
fréquences d’apparition d’une valeur suivant les intervalles et fournit une comparaison entre les
caractéristiques de la loi et de l’échantillon.
Cette analyse fréquentielle a concerné les enregistrements mensuels et journaliers maximaux pour les
observations des stations météorologiques dans la zone du projet. Pour ces échantillons, les tests
d’indépendance et d’homogénéité ont été d’abord vérifiés et les caractéristiques statistiques ont été
ensuite étudiées.
L’ajustement statistique de la loi Normale aux distributions expérimentales des pluies maximales
annuelles observées, permet d’établir les valeurs quantiliques ainsi que les pluies moyennes annuelles
décennales, vingtennales, cinquantennales et centennales.
La loi Normale se présente sous la forme suivante :
x 2
1
f x
2
2
e
2
Avec :
Période de retour « T »
Désignation
5 ans 10 ans 20 ans
Comme le montre la figure suivante, les résultats de l’ajustement statistique des pluies annuelles selon
la loi Normale s’ajustent correctement à l’échantillon retenu.
Période de retour « T »
Désignation
5 ans 10 ans 20 ans
Pluie maximale journalière (mm) 61.4 73.1 84.4
Écart-type 5.67 7.66 9.67
Borne inf 50.3 58.1 65.5
Intervalle de confiance (95%)
Borne sup 72.5 88.1 103
Comme le montre la, les résultats de l’ajustement statistique de la pluviométrie maximale journalière
selon la loi de Gumbel s’ajustent correctement à l’échantillon retenu.
L’intensité est le rapport entre la hauteur de pluie tombée pendant une période d’observation et la durée
de cette période, exprimée en millimètre par heure.
On détermine l’intensité à partir des paramètres a et b de MONTANA et en utilisant la relation qui existe
entre cette intensité et la durée d’averse correspondant au maximum de la crue ou temps de concentration
tc du bassin versant, à savoir :
I = a x tc-b
Les coefficients a et b de projet établis dans la ville la plus proche de la zone serviront de base de calcul
pour la prédétermination des crues de projet.
tc = 1/52[L1,15/H0,38]
où
tc : le temps de concentration en mn ;
L : la distance entre l’exutoire et le point le plus éloigné du bassin en m ;
H : La différence en hauteur moyenne du thalweg principal, exprimée en m.
Les intensités des pluies à utiliser sont déduites à l’aide des paramètres de MONTANA déterminés par
l’exploitation des courbes Hauteur-Durée-Fréquence de la station la plus proche de la zone d’étude.
L’ensemble des bassins versants qui concernent la route projetées ont été délimités à l’aide du logiciel
Global Mapper.
Par la suite, l’hydraulicien a déterminé pour chaque bassin versant les caractéristiques physiques, à
savoir la superficie, le coefficient de ruissellement, la pente longitudinale, l’allongement, la compacité,
etc.
BV S1
(SOUROU 13.454 19.204 359 323 1.73 3,5
1)
BV S2
(SOUROU 418.18 130.31 370 300 1.56 30,2
2)
BV S3
(SOUROU 8.281 17.46 357 319 1.65 2,54
3)
BV Nevvry
613.46 169.88 370 291 1.60 47,068
(NEVRY 1)
Cette méthode est applicable pour le calcul des débits des bassins versants dont les superficies ne
dépassent pas 4 km2.
On considère que le débit est atteint pour une durée d’averse au moins égale au temps de concentration
du bassin.
Le débit maximum est donné par la formule : Q 0,278CIA avec :
A : Superficie du bassin ;
C: Coefficient de ruissellement supposé uniforme sur le bassin et pendant toute la durée de l’averse ;
I : Intensité de l’averse de durée égale au temps de concentration Tc .
Le temps de concentration Tc est déterminé à partir de la formule de RICHARDS tandis que l’intensité
de l’averse de durée égale au temps de concentration est déduite des courbes Intensités-Durées-
Fréquence de la zone considérée.
Cette méthode est utilisée pour l’estimation des débits décennaux des bassins versants dont les
superficies sont comprises entre 2 km2 et 200 km2. Elle permet, à partir de la hauteur décennale de la
pluie journalière maximale, de déterminer le débit maximal décennal de ruissellement. Ce débit est
déterminé par la relation :
Q max, 10 = 10 x m x A x P10 x Kr10 x a10 x S/Tb10
avec :
Qmax10 : le débit maximum décennal (m3/s)
m : coefficient tenant compte de l’écoulement retardé
A : le coefficient d'abattement (fonction de S)
P10 : la précipitation décennale ponctuelle journalière (mm)
Kr10 : le coefficient de ruissellement décennal (%)
a10 : le coefficient de pointe décennal
S : la superficie du bassin versant (km2)
Tb10 : le temps de base décennal (s)
La formule du débit de pointe décennal Q10 est basée sur un schéma de régressions multiples et se
présente sous la forme suivante :
Pour les bassins versants ayant une superficie inférieure à 4 km2, la crue décennale retenue est
généralement celle calculée par la méthode rationnelle.
Par contre pour les bassins versants dont le débit est obtenu par les méthodes ORSTOM et du CIEH, le
choix de la crue décennale est fait suivant l’importance de l’ouvrage projeté et la cohérence des résultats
obtenus.
Dans tous les cas, la crue de projet utilisée sera une association des débits issus des méthodes ORSTOM
et CIEH.
En principe, la période de retour à retenir dépendra de l’importance des ouvrages et des risques encourus
en adoptant les hypothèses minimales. Comme tenu de la nature des ouvrages à projeter, nous
retiendrons conformément aux TDRs, une Période de retour T=10 ans pour les ouvrages de drainage
transversaux.
L’étude hydraulique est effectuée en vue de dimensionner les dalots, les radiers, les buses, les murets et
les ponts dans le cadre de cette étude en tenant compte du niveau d’aménagement des routes.
Les écoulements naturels (rivières, canaux, fossés, ouvrages transversaux sous une route) sont à surface
libre et sont considérés :
comme des écoulements permanents car à l’échelle des phénomènes étudiés, le débit pourra être
considéré comme constant ;
comme des écoulements uniformes pour la facilité des calculs ;
les dalots sont implantés dans l’axe du thalweg ;
la vitesse admissible à la sortie du dalot est inférieure à 3m/s
Principe : Vitesse à la sortie < Vitesse admissible de l’eau du sol à la sortie (3m/s)
Le calcul se fait en trois étapes.
ETAPE 1
ETAPE 2
Calcul de la pente critique 𝑰𝒄𝒓𝒊𝒕
𝒒
On calcule le débit réduit par la formule Q*=
√(𝒈𝑩𝟓 )
Cette valeur est portée en abscisse de figure 6 Par projection sur la courbe on lit alors en ordonnée la
𝑰𝒄𝒓𝒊𝒕 𝑲𝟐 𝑩𝟏/𝟑
pente réduite 𝑰𝒄𝒓𝒊𝒕 ∗=
𝒈
ETAPE 3
Calcul de la vitesse de sortie V
𝑸
On calcule le débit réduit par la formule Q*= 𝟏/𝟐
𝑲𝑿𝑰𝒄𝒓𝒊𝒕 𝑩𝟖/𝟑
Cette valeur est portée en abscisse de figure 7 Par projection sur la courbe on lit alors en ordonnée de la
𝑽
vitesse réduite V*= 𝟏/𝟐
𝑲𝒙𝑰𝒄𝒓𝒊𝒕 𝑩𝟐/𝟑
De cette formule précédente, on calcule la vitesse de sortie V. Si V > Vadm, un deuxième pas de calcul
sera entrepris avec modification des dimensions du dalot et ainsi de suite jusqu‘à ce que V < Vadm
Si V < Vadm, la section trouvée est suffisant pour le transit des débits.
RESULTAT DU DIMENSIONNEMENT
N° Nbre d’ouverture
Localisation Dégradations constatées Type
ouvrages x section
V. CONCLUSION
La présente étude permet d’avoir une idée sur le volet hydrologique et hydraulique de la zone du projet.
Ainsi on a pu déterminer la pluie annuelle moyenne, la pluie maximale journalière P10 et estimer la crue
décennale Q10.
Enfin on a déterminé les sections optimales de dalots dans les zones de passage d’eau.
VI. ANNEXES
Données pluviométriques
Année Koudougou
Total annuel max
1982 553,2 37,7
1983 616,7 52,5
1984 720,5 38,5
1985 711 28,5
1986 899,2 34,5
1987 802,2 46,7
1988 847,6 30,8
1989 812,9 49,5
1990 648,1 38,1
1991 885,3 52,5
1992 823 29,3
1993 631,6 18,9
1994 756,1 53
1995 679,1 38,8
1996 716,5 28,8
1997 433,5 41
1998 711,8 42,4
1999 1012,7 46
2000 567,8 27,6
2001 618,7 51,6
2002 656,2 42,4
2003 847,7 78,8
2004 772 40
2005 839,9 39,4
2006 741,5 115,8
2007 796,8 43,8
2008 904 46
2009 1003,7 87,1
2010 835,3 71
2011 537 70,5
Methode ORSTOM
Qmax10 = m* A*Alpha*P10*Kr10*S/Tb Ig Kr70 Kr100
Lectur
3
Qmax10 (m /s)= 14,57 3 19,48 21,60
e
7 24,48 27,52
4,56 21,43 23,91
Kr10
Methode CIEH Kr70 Kr100
calculé
Formules empiriques au Burkina Faso 21,43 23,91 22,92
Q10 = 0.41*S^0.425* Kr^0.923 22,28
Q10 = 0.254*S^0.462* Ig^0.101 * Kr^0.976 20,91
Temps de base (Tb)
Q10 myen (methode CIEH) 21,60 Ig Tb (mn)
Lectur
e
7 413 Tb = 126*S^0,35+100
3 921 Tb = 250*S^0.35+300
Débit décenal retenu : 21,60 Ig = 15 167 Tb = 55*S^0,35+30
Ig = 25 124 Tb = 42*S^0,35+20
Cofficient majorateur : C 1,10 Tb retenu 723 Retenu
Débit de projet
Qprojet = C * Q10 décennal retenu 23,76
Methode ORSTOM
Qmax10 = m* A*Alpha*P10*Kr10*S/Tb Ig Kr70 Kr100
Lectur
3
Qmax10 (m /s)= 56,36 3 15,34 17,45
e
7 18,96 22,54
1,21 13,72 15,17
Lectur
e
7 1142 Tb = 126*S^0,35+100
3 2367 Tb = 250*S^0.35+300
Débit décenal retenu : 60,43 Ig = 15 485 Tb = 55*S^0,35+30
Ig = 25 367 Tb = 42*S^0,35+20
Cofficient majorateur : C 1,10 Tb retenu 2916 Retenu
Débit de projet
Qprojet = C * Q10 décennal retenu 66,47
décen
nale
Methode ORSTOM
Qmax10 = m* A*Alpha*P10*Kr10*S/Tb Ig Kr70 Kr100
Lectur
3
Qmax10 (m /s)= 11,84 3 20,30 22,22
e
7 25,57 28,27
4,97 22,90 25,20
Kr10
Methode CIEH Kr70 Kr10 calculé
0
Formules empiriques au Burkina Faso 22,90 25,20 24,28
Q10 = 0.41*S^0.425* Kr^0.923 19,12
Q10 = 0.254*S^0.462* Ig^0.101 * Kr^0.976 17,84
Temps de base (Tb)
Tb
Lecture
Q10 myen (methode CIEH) 18,48 Ig
(mn)
7 364 Tb = 126*S^0,35+100
3 824 Tb = 250*S^0.35+300
Débit décenal retenu : 18,48 Ig = 15 145 Tb = 55*S^0,35+30
Ig = 25 108 Tb = 42*S^0,35+20
Cofficient majorateur : C 1,10 Tb retenu 598 Retenu
Débit de projet
Qprojet = C * Q10 décennal retenu 20,33
Methode ORSTOM
Qmax10 = m* A*Alpha*P10*Kr10*S/Tb Ig Kr70 Kr100
Lectur
3
Qmax10 (m /s)= 68,50 3 15,24 17,31
e
7 18,82 22,37
1,03 13,47 14,81
Lectur
e
7 1292 Tb = 126*S^0,35+100
3 2664 Tb = 250*S^0.35+300
Débit décenal retenu : 69,60 Ig = 15 550 Tb = 55*S^0,35+30
Ig = 25 417 Tb = 42*S^0,35+20
Cofficient majorateur : C 1,05 Tb retenu 3341 Retenu
Débit de projet
Qprojet = C * Q10 décennal retenu 73,08
Désignation des Qp(m3/s) n Qa(débit par Hauteur Largeur Vitesse Q* H1* H1(m) Q*pc I*c K Ic Q*v V* V(m3/s)
ouvrages débit projet alvéoles alvéole en (D) en m (B)en m moy(V)
m3/s) en m/s
Piste SOUROU
OH Sourou 1 23,76 3 7,92 1,50 4,00 1,32 0,24 0,708 1,1 0,079 2,650 70 0,005 0,040 0,25 3,12
OH Sourou 2 61 5 12,2 4,00 4,50 0,68 0,08 0,486 1,9 0,091 2,700 70 0,003 0,058 0,284 2,97
OH Sourou 3 20,33 3 6,78 2,00 3,00 1,13 0,18 0,614 1,2 0,139 2,720 70 0,004 0,082 0,315 2,9
OH Nevry 1 74 5 14,8 4,00 4,50 0,82 0,09 0,498 2 0,110 2,700 70 0,003 0,070 0,301 3,15