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Keyhole Garden Ou Jardin en Trou de Serrure

Ce document décrit la conception et la construction d'un jardin en trou de serrure ou keyhole garden, un type de petit jardin productif et économe en eau. Il explique les principes de permaculture mis en œuvre, notamment la forme circulaire avec un composteur central, et donne des instructions détaillées pour construire ce type de jardin.

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Keyhole Garden Ou Jardin en Trou de Serrure

Ce document décrit la conception et la construction d'un jardin en trou de serrure ou keyhole garden, un type de petit jardin productif et économe en eau. Il explique les principes de permaculture mis en œuvre, notamment la forme circulaire avec un composteur central, et donne des instructions détaillées pour construire ce type de jardin.

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Keyhole garden ou jardin en trou de serrure


Posté par PermacultureDesign | mardi 24 décembre 2019

Concept de petit jardin productif élaboré à la base par l’ONG « Send a cow »
pour les climats africains arides, le keyhole garden ou jardin en trou de serrure
s’est exporté un peu partout sur la planète, notamment grâce au réseau des In‐
croyables Comestibles ! Économique en eau et autofertile, ce type de petit jardin
ultra-productif a, en effet, de quoi séduire sous de nombreuses latitudes.

Le Keyhole garden : un concentré d’in-


géniosité
Sorte de butte de culture, le keyhole garden est un support potager qui met en
oeuvre, de manière ingénieuse, plusieurs principes de permaculture.

Un trou de serrure : une forme originale favori-


sant les effets de bordures
Comme toujours en permaculture, il n’y a pas qu’une seule et unique manière de
construire un keyhole garden et chacun fera selon ses moyens, son contexte et
les ressources qu’il a sur place !

Exemple de keyhole avec bordures faites de briques en terre cuite, réalisé en Ouganda par l’ONG Send a Cow.
©sendacow.org

Sa forme générale reste quand même une constante et c’est de là que l’ouvrage
tire son nom de jardin en « trou de serrure » : il s’agit d’une butte de forme ronde
dont le pourtour n’est pas fermé, laissant un passage (créant, vu du dessus, la
forme d’un trou de serrure) pour pouvoir atteindre son centre.

C’est un support de culture qui favorise les effets de bordures et la création de


microclimats propices à la biodiversité et aux plantes cultivées dessus.

En effet, un jardin en trou de serrure est généralement surélevé d’au moins 50


cm (voire plus, parfois jusqu’à 1,50m) grâce à des bordures solides, de préfé‐
rence non maçonnées pour laisser passer les insectes auxiliaires dans les inter‐
stices de ces bordures. Elles peuvent être faites de pierres, de briques, de tuiles
en terre cuite, de planches de bois, de pneus, de palettes, de bouteilles en
verre…etc.

Exemple de keyhole avec bordures faites en branches de bois juxtaposées. ©concernusa.org

Exemple de keyhole avec bordures faites en pierres sèches. ©arpentnourricier.wordpress.com

Exemple de keyhole avec bordures en planches de bois.©Isabell Schulz


– CC BY-SA 2.0

Le choix des matériaux pour ces bordures est à réfléchir par rapport à ce que
vous avez sur place, mais aussi à votre contexte, car il aura un impact important
sur la capacité de l’ensemble de l’ouvrage à capter et diffuser la chaleur du so‐
leil dans la terre.

En effet, selon le niveau d’inertie thermique des matériaux utilisés, l’accumula‐


tion de chaleur et sa diffusion pendant la nuit varieront avec un impact non né‐
gligeable sur la levée des semis et la croissance des végétaux : plus de chaleur
captée en journée, c’est une terre se réchauffant plus vite dans laquelle on peut
planter plus tôt; c’est aussi plus de chaleur diffusée pendant la nuit et moins
d’écarts de température entre le jour et la nuit offrant un milieu plus favorable
aux végétaux !

Un composteur intégré pour le maintien de la


fertilité

L’ingéniosité du keyhole garden tient notamment à son système central : un


composteur intégré à la structure globale.

Placé au centre du cercle, il favorise les échanges entre l’espace de compostage


et le substrat de plantation tout autour. Les vers de terre et autres décompo‐
seurs du compost peuvent circuler librement entre le composteur central et le
substrat, diffusant les nutriments dans l’ensemble du keyhole garden de façon
lente et harmonieuse.

On accède au composteur par le passage fait dans le cercle formant le fameux


trou de serrure et on peut ainsi l’alimenter facilement et régulièrement avec nos
déchets de cuisine et autres matières organiques à disposition !

Un substrat de plantation inspiré de plusieurs


techniques en permaculture

Autre point important rendant ce type de petits jardins en permaculture très


productifs : un substrat de plantation qui retient bien l’eau et sera riche en nutri‐
ments, car on aura favorisé la diversité avec des mélanges de matières orga‐
niques variées !!

On pourrait résumer la constitution d’un substrat de Keyhole garden à un mé‐


lange entre plusieurs techniques de permaculture et notamment entre la tech‐
nique de la culture en lasagne et celle de la butte façon Philip Forrer. Nous dé‐
taillons cela un peu plus bas dans cet article !

Exposition à but pédagogique d’un keyhole en coupe montrant sa constitution interne au niveau du compos‐
teur et du substrat de plantation. ©Isabell Schulz – CC BY-SA 2.0

Des cheminées d’humidification pour diffuser


l’humidité au coeur du keyhole
Ce type de jardin ayant été conçu au départ pour des climats arides où l’eau est
rare, ils ont été agrémentés de « cheminées d’humidification » pour capter au
mieux la rosée du matin et lui permettre de descendre naturellement au fond du
keyhole. Ces « cheminées » sont faites de fagots de branches en bois imputres‐
cibles de préférence (châtaignier, acacia…), d’environ 3 cm de diamètre et suffi‐
samment longues pour toucher le fond du keyhole garden et dépasser au-des‐
sus de sa surface de terre d’au moins 20 cm. Vous en ajusterez donc la lon‐
gueur selon la hauteur choisie pour votre keyhole garden.

Bien évidemment, selon la région dans laquelle on fait son jardin en trou de ser‐
rure, ces cheminées d’humidification ne seront pas forcément nécessaires ! En
climat particulièrement humide, par exemple, on préférera s’en passer !

Comment faire un keyhole garden ou


jardin en trou de serrure chez soi ?

Composition et aspect général d’un keyhole garden à adapter à son contexte, ses objectifs et ses ressources
disponibles sur place pour le construire et l’alimenter en compost.

Étape 1 : choisir l’emplacement de son keyhole


garden
Le keyhole garden peut être assimilé à une culture sur butte permanente assez
énergivore à créer et qu’on ne pourra pas déplacer facilement après installation.
Il est donc primordial de bien réfléchir à son emplacement dans votre design
global afin de le mettre en synergie avec les autres éléments de votre projet.

Parmi les différents outils fournis par la méthodologie de design en permacul‐


ture, une analyse des besoins et produits de cet élément keyhole garden pourra
notamment être utile à votre réflexion pour trouver l’endroit où il sera le plus
pertinent de le mettre pour vous ! C’est une étape qu’on vous conseille, par expé‐
rience, de ne pas bâcler, car de cela dépendra grandement l’efficacité de votre
keyhole…

Par exemple, la pertinence du composteur central sera effective si celui-ci est


régulièrement approvisionné en matières organiques et eau…ce type de jardin
doit donc plutôt être situé sur un lieu de passage fréquent, dans une zone
proche de là où seront produits les déchets organiques allant au composteur…

Étape 2 : matérialiser au sol l’emplacement et la


forme de votre keyhole garden
Une fois votre emplacement défini, vous allez le matérialiser au sol. Délimitez le
diamètre extérieur de votre choix (généralement entre 2,50 m et 3,50 m, mais
peut être adapté selon vos besoins) et le rond central pour le composteur (de 50
cm à 1 m de diamètre selon le nombre de personnes amenées à déposer réguliè‐
rement des déchets de cuisine dans le composteur). Puis, marquez également
au sol le passage permettant d’accéder au composteur central.

Étape 3 : Fabriquer la colonne qui formera le


composteur central
Plusieurs techniques et matériaux sont envisageables pour créer le composteur
central. Ce qu’il faut garder en tête, c’est que son pourtour, quel qu’il soit, doit
permettre aux vers de terre, mais aussi aux insectes et autres décomposeurs
de la matière organique de circuler sans entrave entre le composteur et le sub‐
strat du keyhole garden.

Si vous le faites en piquets de bois uniquement, choisissez un bois imputrescible


type châtaignier pour une durée de vie plus longue de l’ouvrage ! Plantez vos pi‐
quets sur le pourtour matérialisé au sol pour le composteur en les espaçant de
quelques centimètres entre eux. Vous veillerez à ce que ces piquets soient suffi‐
samment grands pour dépasser au-dessus de votre keyhole une fois celui-ci
achevé. Donc si vous prévoyez de surélever votre keyhole de 1m par exemple,
utilisez des piquets d’au moins 1,30 m, ils dépasseront ainsi d’une trentaine de
centimètres une fois votre jardin en trou de serrure terminé.

Construction d’un keyhole: le composteur est en place au centre de l’emplacement choisi et les bordures sont
délimitées par des pierres posées au sol. ©arpentnourricier.wordpress.com

Vous pouvez aussi utiliser du grillage type grillage à poule pour former cette co‐
lonne de compostage. Plantez alors juste quelques piquets sur le pourtour du
composteur et entourez-les du grillage pour former la colonne.

On pourra prévoir un couvercle pour fermer ce composteur central afin de le pro‐


téger des intempéries en climat trop pluvieux ou de l’évaporation et de la lumière
en climat aride par exemple. Cependant, il faudra alors penser à arroser ce com‐
post de temps en temps pour le maintenir humide.

Étape 4 : Mettre en place les bordures exté-


rieures du keyhole garden
En suivant les délimitations faites au sol à l’étape 2, construisez ensuite vos bor‐
dures de keyhole avec le ou les matériaux que vous aurez choisis : pierres
sèches, briques, bois…sur la hauteur qui vous conviendra le mieux par rapport à
vos objectifs et contextes.

Exemple de keyhole avec bordures en planches de bois dans le jardin partagé Le Nid du
12 (12ème arrondissement de Paris). Crédit photo : Nadine Charvier.

Exemple de keyhole avec bordures faites d’un muret de pierres sèches taillées et composteur central formé
avec un rouleau de canisse, réalisé par l’ONG Send a Cow. ©sendacow.org

Certains permaculteurs ajoutent aux bordures intérieures de leur keyhole un


géotextile pour éviter la pousse d’adventices dans les bordures qui pourraient
fragiliser l’ensemble. Cela nous semble facultatif, mais chacun fera selon sa
sensibilité.

Étape 5 : Mettre le substrat à l’intérieur du jar-


din en trou de serrure
Une fois la bordure réalisée et le composteur en place, voici une des manières
possibles pour remplir de substrat la future zone de plantation :

Comme pour une culture en lasagne, placez au sol une couche de carton pour
occulter la lumière aux adventices en dessous et éviter qu’elles ne ressortent
dans votre keyhole garden, surtout si vous le faites d’une hauteur assez faible.

En climat humide, pluvieux, on prévoira, au fond du keyhole, une épaisseur de


cailloux pour servir de drain.

Comme le fait Philip Forrer, on peut mettre ensuite au fond du Keyhole des
troncs d’arbres et grosses branches déjà en cours de décomposition, spongieux
et humides.

Remplissez ensuite les vides d’air entre les morceaux de bois avec un mélange
de matières vertes et brunes, si possible broyées pour pouvoir bien remplir les
interstices entre les morceaux de bois. Vous pouvez utiliser pour cela de la
tonte, de la sciure, du BRF (Bois Raméal Fragmenté), des feuilles mortes…

Bien tasser pour faire pénétrer ces matériaux broyés dans les trous et combler le
maximum de vides.

Mettez, si vous en avez, une couche de fumier ou compost mûr, puis procédez à
un empilement de différentes couches de matières organiques vertes et
brunes, exactement comme vous le feriez avec une culture en lasagne, sans ou‐
blier de bien humidifier entre chaque couche et de saupoudrer un peu de cendre
de bois pour enrichir le tout notamment en potassium et phosphore.

Enfin, terminez par une couche conséquente de terreau/terre végétale/compost


qui permettra d’accueillir vos plantations et semis, recouverte d’une couche de
mulch organique (paille, BRF, foin, tonte…) pour protéger le tout !

Étape 6 : Placer les « cheminées d’humidifica-


tion »
Si votre climat, trop sec, nécessite l’installation de cheminées d’humification (fa‐
gots de rameaux de bois imputrescible), fractionnez mentalement l’espace de
culture de votre keyhole en trois parties égales et plantez une cheminée d’humi‐
dification au centre de chacune de ces parties. Une fois installée, votre « chemi‐
née » doit toucher le fond du keyhole et dépasser d’au moins 20 cm au-dessus
de la terre.

Et maintenant, à vous de jouer ! Mais n’oubliez pas, avant tout observez votre en‐
vironnement, analysez votre contexte et ne vous lancez pas à l’aveuglette dans
ce type de support de culture, certes très intéressants, mais à ne pas placer à la
légère dans un design de permaculture !

Liens intéressants sur le keyhole garden :


http://lesincroyablescomestibles.fr/keyhole-garden-potager-solaire/
https://arpentnourricier.wordpress.com/2011/07/10/un-jardin-en-
trou-de-serrure/

Site en anglais :
https://insteading.com/blog/keyhole-garden/

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A PROPOS DE L'AUTEUR

PermacultureDesign
Cet article a été rédigé par l’équipe du bureau d’étude PermacultureDesign.

3 Commentaires
Isabelle sur 5 mai 2020 à 10 h 43 min
Bonjour, merci pour cet article très intéressant. je m’interroge quant au tassement du substrat. Si l’on procède comme une
lasagne, où si l’on places du bois en décomposition au fond, le niveau va, au fil du temps, baisser et se retrouver en dessous
du muret. Comment pallier à cela ?
Réponse

Olivier Courcelles sur 21 février 2020 à 10 h 38 min


Bonjour!
Pour la technique du récupérateur d’humidité, que j’ai pratiqué, j’ai remarque que c’était un point d’entrée pur les mulots et
souris qui ensuite y nichent (il y a un microclimat propice et de la nourriture à profusion!)
J’ai résolut le problème en remplaçant ces récupérateurs par des olas! (jarres de terre poreuses) qui touchent le fond et
font office d’humidificateur; avantage en zone très sèche on peut les remplir d’eau régulièrement et aussi y planter les bâ‐
tons récupérateurs d’humidité! (perso, j’ai fait des bouchons).
Je tiens à préciser que les olas ne sont en aucun cas des systèmes d’arrosages mai bien des systèmes de maintien de l’hu‐
midité des sols qui permettent aux plantes de continuer à aller chercher leur nourriture et de ce connecter aux champi‐
gnons et bactéries de ce sol pour faire des échanges fructueux pour la santé de tous (sol, vie du sol, vie de la plante et par
extension vie des humains!

merci encore pour toutes ces informations si précieuses qui permettent à de nombreuses personnes de faire leur mutation
écologique!
Réponse

Reinermann Wikfried sur 16 février 2020 à 11 h 26 min


Passionnant mais prioritairement, apaisant.

Merci pour votre message et vos suggestions.

Bon dimanche
Réponse

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