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Cours de Maladie de La Nutrition

Le document traite des maladies nutritionnelles comme l'obésité et le diabète. Il décrit les causes, les conséquences et les traitements de ces maladies.

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MALADIES DE LA NUTRITION.

Définition : les maladies nutritionnelles sont les conséquences d’une ingestion


insuffisante ou au contraire excessive de certaines nutriments on parle alors des maladies par
carence ou par excès.

Bref. Les maladies nutritionnelles sont dues à des erreurs alimentaires dont les
conséquences peuvent être dramatiques pour la santé.

Les principales maladies nutritionnelles sont :

 Les corronosonopathies (touchent les veines coronaires)


 Les anthonomes
 L’obésité
 HTA
 diabète type II
 cancer
 astéroponosé
 les avitaminoses.

CHAPITRE I. OBESITE

Calcul de l’IMC : indice de masse corporel de Quételet :


IMC = Pds actuel (kg)
(Taille en m) 2

I.1. INTERPRETATION D’IMC.

≤ 18 la malnutrition
= 18 la dénutrition
≥ 18-24,5 poids normal
25-30 sur poids ou excès de poids
35-40 obésités 1ères degré
35-40 obésités 2 eme degré
> 40 obésité 3eme degré ou (obésité morbide)

L’Obésité : est due à une sure-alimentation de 2 aliments le sucre et le lipide, ainsi ils vont se
dépose dans les tissus adipeux

L’obésité est l’une de première maladie non transmissible de notre époque,


reconnue comme maladie depuis 1997 par OMS, elle frappe aussi bien les pays industrialisé
que les pays a revenue faible. Considère comme une épidémie selon l’OMS car le taux des
nouveau cas fait qu’augmente
2

I.2. PATHOGENIE DE L’OBESITE

Les facteurs qui sont impliqués dans le processus obésogène sont :

1. L’apport énergétique
2. la dépense énergétique
3. Les facteurs héréditaires (dus à la disposition de cellule)
4. une alimentation inadéquate d’un enfant de son jeune âge

L’équilibre nutritionnel est assuré par un apport énergétique quotidiens et une alimentation
notamment par les macronutriments (lipide, glucide, protéine)

LA SOMME DE DEPENSE ENERGETIQUE

Quand nous mangeons ce pour assurer l’être et le mouvement pour le bon fonctionnement des
organes. (Cœur, vaine, reins…) et le mouvement : marcher, parler (demande de l’énergie).

LA THERMOREGULATION

 Lorsqu’on a le surpoids, les adipocyte stock le graisse et la personne grossie.


 L’obésité survient lorsque les adipocytes chargées des graisses sont saturée et se multiplient

N.B. Cependant le métabolisme est très différent selon les individus et d’autre facteur (facteurs
liés à l’environnement) et feront que d’autre personne deviennent obese que les autres.

I.3 LES CAUSES DE L’OBESITE

1. Le facteur héréditaire : plus de 20 gènes serais directement ou indirectement incriminée.


2. La surconsommation alimentaire : grignotage tel que (le Bonbon, biscuit, chocolat, les
chips, confiserie, les boissons sucre, charcuterie, hamburger, pizza, fastfood)
3. La sédentarité. Manque d’exercices physiques.
4. La thermorégulation assisté (La climatisation, chauffage) qui facilite la stabilisation de
la Température corporel, le corps n’a pas à lutter contre les variations de la Température
ce qui fait qu’elle conserve son énergie.

I.3.1. LES CAUSES SOUS ADJACENTE

1. Les Perturbations du sommeil : les Perturbations endocrânienne obésogène qui vont


accentuer la surconsommation alimentaire et le dérèglement métabolique.
 La consommation de perturbateur endocrinien (produit chimique de synthèse qu’on
retrouve dans les aliments (les OGM. Exemple de poulet traité aux hormones).
 Environnement pharmaceutique (Ex : antidépresseur, le neuroleptique, les antalgique
neuroleptique).
 Environnement microbiologique : plusieurs études ont démontré que la composition de
la flore intestinale avait de l’influence sur le poids (Une flore intestinale pauvre, réduit
la sensibilité à l’insuline et favorise l’accumulation de graisse).

I.4. LES CONSEQUENCES DE L’OBESITE


3

Il existe plusieurs risques associés à l’obésité :


1. Risque de morbi-mortalité élevée surtout lorsque l’IMC dépasse 25 kg/m2
Car l’idéal est 22,5 à 25 kg/m2
2. Risque psychologique et social ; la dépression, mal être, complexe, le rejet de son corps
et de sa personne, la discrimination et mise à l’écart.
3. Conséquence économique : augmentation des dépenses médicales dues à l’obésité et
manque de productivité.
4. Les Complications cardio-vasculaire
5. Le trouble de la fonction de reproduction
6. Trouble respiratoire
7. Trouble ostéoartirculaire qui se présente par le tassement de vertèbre, l’arthrose, de
douleur lombaire, hernie distale ….

I.5. TRAITEMENT DE L’OBESITE.

 Règle d’hygiène de vie


 Intensification d’activité physique
 Un régime hypocalorique (pauvre en graisse d’origine animal)
 Un régime hypoglucidique
 Il faut manger bio
 Evitez le grignotage
 Apportez le multivitaminé pour enrichir la flore+++

1. Respecté les règles d’hygiène de vie et l’intensification de l’activité physique


2. Un Régime hypocalorique pauvre en graisse d’origine animale riche en fibre végétal
(légume et fruits)
3. Traitement médical : certain médicament sont utilisé soit pour augmente les besoins de
consommation ou soit pour imbiber la sensation de faim
4. Les traitements chirurgicale : dépôt de l’anneau à l’estomac, l’ablation de graisse ce qui
facilite un amaigrissement rapide a un temps record ou couper une partie de l’intestin.
4

I.6. LES REGIMES EN CAS D’OBESITE

Exemple d’un patient :


 Poids : 106 kgs
 IMC =38,9 ou 39 Kg/m2
 Taille = 165 m
 obésité 2ème degré.

1. CARNET ALIMENTAIRE OU HABITUDES ALIMENTAIRES.


 Matin : foufou, poisson
 A Midi : rien ou la Kikada 100 g
 Le Soir : foufou, poisson et légume avec l’huile de palme ou Huile végétal. Le
fretin plus un verre de bière.

2. PRINCIPE DU REGIME

Un régime pauvre en sucre et en graisse et surtout d’origine animal

3. LES PROSCRIPTIONS

On prescrit :

 le surcroit ;
 la matière graisse ;
 les aliments en acide gras saturé

4. PRESCRIPTION
 la consommation des aliments riche en fibre vegetale (le légume les fruits)
 Exercice physique

5. DIETE TYPE
 Le matin : Prendre de l’eau pour nettoyer le tube digestif
 Petit déjeuné : il doit être équilibré, on peut donner le the au miel,
principalement le Thé de feuille (naturel) plus tranche de pain complet ou
grille
 A 10h : les fruits (jus de concombre)
 12h00 : plat de consistance, légume (farine locale) poisson à la sauce ou grillé.
(Négocier avec le malade en réduisant la quantité du plat)
 A 15h: les fruits
 Le soir vers 17h à 18h00 : le repas doit être Leger qui facilitera la digestion,
the comme le matin ou salade plus fruit
 N.B. chaque jour notre malade doit avoir 45 ou plus de minute d’exercice physique (marche,
gymnastique, le jumping)
5

LES ALIMENTS A PROSCRIRE

 La graisse sindon, moyenne, charcuterie, fromage, sindon, graisse animale, les roufs, la
mayonnaise, noix de palme et son huile
 Le sucre rapide : le bonbon, sucre de canne et bestiaux, confiserie, pâtisserie des farines
blanchie, les canne à sucre et le sucré, les aliments à base de cosette de mais, les sous-
produits de maïs (mayau. Mukonyo)
 Le boite à conserve par ce que sa contient les additifs alimentaires (sardine, assotte,
pilchard)
 La protéine animale (fretin, chenille, lait entier, crème et yaourt

LES ALIMENTS A PRESCRIRE.

 Aliment faible en sucre : pomme de terre, banane Plantin non mur, l’igname, pain complet,
maïs complet,
 Ces aliments doivent être présents à une quantité contrôlée :
 le riz, annaux
 patate douce
 condiment frais
 la viande maigre, poisson maigre
 le poulet et autre volailles
 L’huile de tournesol, soja, d’olive, de maïs, de pépin (une ou 2 cas/jour). (les a polyinsaturé
diminue la quantité de mauvais cholestérol dans l’organisme.
 Les fruits et les légumes
 Lait écrémé de régime

CHAPITRE II : LE DIABETE SUCRE

Le diabète est une maladie d’origine auto-immune et génétique qui survient par
l’altération des facteurs génétique et environnementaux.

Il faut note que il n’y a pas de relation de cause à effet mais certain comportement
favorise son développement.

Il existe 2 types de diabète :

 Insulino-dépendant (type 1)
 Non Insulino-dépendant (type 2)
6

LES CAUSES DE DIABETE DU TYPE I

 Destruction de cellule Beta causé par le virus qui provoque une pancréatite.
 Auto-immunité (anticorps dirigé contre les cellules du pancréas.
 Prédisposition génétique due au gène HLA
 La consommation de glucoside cyanogénétique.

LES CAUSES DU DIABETE DE TYPE II

 Certaines personnes peuvent être porteuses de gêne sans le développer la maladie


 l’Age et l’obésité (40 ans ±) peuvent constitue les facteurs de risque pour le déclanchement
de la maladie
 La sécrétion aigüe d’insuline (c’est-à-dire les personne qui consommes beaucoup de sucre
depuis leurs jeunes âge, font travail beaucoup plus leurs pancréas)
 Une alimentation riche en glucide (Indice glycémique élevée).

II.1. CLINIQUE DU DIABETE TYPE I ET II.

 Polyurie
 Polydipsie
 Polyphagie

II.2. CONSEQUENCE IMMEDIATE

 L’amaigrissement venant de l’autophagie


 Hyperglycémie
 acidose (comma, acido-cétosique)
 Comma hyper-osmolaire à partir de 10, 12 ans +

II.3. LES COMPLICATION A LONG TERME

 Rétinopathie diabétique (perte de vue)


 Néphropathie diabétique
 Hypertension artérielle
 Neuropathie diabétique
 Micro enjopathe diabétique
 gangrène

On peut retrouver ces symptômes chez les diabétique du type II : amaigrissement (l’autophagie,
hyperglycémie, du au graisse).
7

II.4. TRAITEMENT

 Exercice physique obligatoire chaque jours 40 à 45 min


 Régime alimentaire (Tenir compte de l’IMC du patient avant de prescrire un régime )

II.5. LES REGIMES EN CAS DE DIABETE

Principe du régime

Il faut Recommande :

 Le sucre absorption lente.


 Les Aliments riche en fibre
 Les Aliments riche en protéine animal (AAE)
 Les Graisse d’origine végétal (riche en AA, AG poly et nono insaturé) et pauvre en
cholestérol.

N.B. Actuellement on retrouve des enfants diabétiques du type II suite à un régime alimentaire
non adéquat qui produise une insulino-résistance (hyperglycémie) et surtout ces enfants sont
obèses.

Régime d’un diabétique

Poids 48 Kg
Taille 172 m
En rapport avec son IMC :
IMC <18 diabétique
Grossissement.

1. CARNET ALIMENTAIRE Poulet


Il mange le bukari 3 fois par jours avec Poisson
Légume
Il ne mange pas les choux, carotte et les fruits

Activité : il est boutiquer a la facturation ; ce qui veut dire son activité est modéré ou légère

2. EVALUATION DE SON CARNET ALIMENTAIRE


 Point fort : il a abandonné les sucres a absorption rapide
 Point faible régime non équilibre ( pas de produit laitier, l’œuf, le légumineuse)
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L’EQUILIBRE ALIMENTAIRE

Les familles d’aliment selon la diversité alimentaires.

7 familles d’aliment principal sont prisent en compte pour la diversité alimentaire d’une ration :

1. La céréale, tubercule et racine communément appelée féculent son des aliments bon
marcher à tout pouvoir calorique, grand fournisseurs d’énergie de notre organisme.
2. Le légumineuse, dans ce groupe sont également inclus le graine oléagineuse, le
légumineuse : sont abricot, soja, courge, arachide, graine de courge.
3. Le lait et le produit laitier
Le lait : aliment riche en protéine d’origine animal ; le produit laitier, différent les uns
les autres par leur teneur en eau, en matière grasse en forment ou non la moisissure (le
yaourt, fromage, la crème et la beure).
4. La viande et le poisson essentiellement riche en protéine d’excellente qualité, principal
source de fer.

N.B. un régime pauvre en viande et poisson peut entrainer à longue une anémie.

5. l’œuf : aliment complet, meilleur source de protéine, l’eau, L’œuf est également riche
en cholestérol. Un adulte peut consommer environ 2 à 3 œufs par semaine sans
inconvenant à condition e n’en manger pas plus de 2 à la fois.
6. Le légume et les fruits riches en Vit A.
La principale source en vit. A, sont les fruits et légume coloré en vent foncé ou en jaune
orange et en rouge. Il sont riches en pro-vit A ou en carotène (ex : la papaye, mangue
mure, gombo, amarante, feuille de courge, la carotte, l’oseille, le courge, la carotte,
l’oseille, le courge).
7. Les fruits et légume autre : ils Sont riche en Vit C et on une valeur appréciable en vit
B1 et B2, ils sont coloré en jaune et sont dépourvut de carotène on peut soutire le jus
(les agrumes tel que l’orange citron, mandarine, ananas, pamplemousse
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3. PRINCIPE DU REGIME DIABETIQUE.

Prescrire le sucre d’absorption rapide, légume riche en protéine et encouragé l’exercice


physique.

4. PROSCRIPTION
Les aliments proscrits sont :
 Les fruits en général.
 La friandise (gâteaux, bonbon, chocolat, biscuit)
 L’huile de palme (suit aux acide gras. saturé)
 Graisse animal (charcuterie)
 Les aliments en conserve
 Causette de manioc (suite aux amidons
 Farine de Manioc
 Manioc frais
 Le lait entier et ses dérivés.

5. PRESCRIPTION.

En cas de crise les aliments de base sont : pomme de terre, manioc frais, igname, tournaux, la
banane Plantin non mur.

Après équilibre

1. Le maïs complet en diminuant la quantité a apporté


2. plat d’accompagnement : poisson, poulet, viande, chenille, fretin
3. toutes les légumes
4. Les fruits : pamplemousse, poire, pastèque, citron, pomme vente, l’avocat, le concombre
et la tomate.
5. Le lait écrémé (sans graisse)
6. L’œuf (en raison de 2 œufs/semaine ou en cas de besoin).
7. L’huile de soja, de tournesol, d’olive
8. Thé, café, le nescuit, chicorée
9. Le pain complet grillé (au sucre réduit)
10. Margarine sans cholestérol tel que de tournesol.

Exercice physique obligatoire chaque jour pour évoquer de l’énergie sous forme d’ATP et de
l’eau
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6. DIETE TYPE

 Matin : la pomme de terre à la sauce tomate, oignon, haricot vert, le concombre, le


graine de courge et un tranche de poulet.

 Midi : les bananes Plantin frais, plus gombo préparer avec la patte d’arachide, sauce
tomate et le poisson frais ; Après le repas : une tranche de pastèque assaisonnée de jus
de citron et de cube d’avocat.

 A 15h : Un verre de lait et une poire

Le Soir à 17h ou 18h: un bol de légume préparé ou cru, si c’est cru on donne le concombre,
oignon, tomate et de l’eau.

Le cas d’un patient avec IMC = 18 - 24,9 Kg/m2

1. PRINCIPE
 Maintenir le malade dans son poids idéal
 Un régime diabétique simple.

2. PRESCRIPTION
 les Œufs
 le sucre absorption rapide.
 Le sucre absorption lent
 patate douce, friandise

3. DIABETE TYPE.
 Matin : café lait ecremé avec sucre de régime ou cacao (pas de nescuit),pain grié
ordinaire plus margarine de régime pasteque.
 Midi : (riz ou quel on a enlevé la quantité de sucre (200g) condiment : gombo, patte
d’arachide, poisson, tomate.
 A 15h : la salade de concombre, tomate, oignon, jus de citron
 Le soir : verre de lait ( s’il a faim il peut prendre le manioc ou pomme de terre)

Chez le personne sensible on proscrit sel minéraux c’est-à-dire prescrire les aliments riche ou
sel minéraux et on doit prescrire le graisse et les huiles surtout d’origine animal.
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Régime diététique en cas d’HTA – IMC > 18 Kg/m2.

L’hypertension artérielle est souvent liée à l’obésité et c’est une de complication de diabète

1. PRINCIPE
Ramenée le patient à son poids idéal tout en tenant compte de son étiologie.
2. PRESCRIPTION
 Le lait entier
 La mayonnaise
 le fromage
 les graisses animales
 le Feuille de patate douce
 lait en poudre riche en calcium
 la bière
 le piment
3. PRESCRIPTION
 Haricot
 riz
 pomme de terre
 maïs
 soja
 l’huile d’olive
 le lait liquide pas riche en calcium
 yaourt
 Viande
 Poisson
 Chenille
 Fruit et légume

Si l’IMC >25 kg/m2

 Principe : outre les prescriptions générales quelques aliments riches en protéine devant être
prescrit et diminuer l’apport en sucre absorption lente.
 Prescrire « aliment riche en protéine et matière grasse et sucre absorption lente. (La viande,
chenille, lait, l’arachide, le soja, le haricot)
 ……….le sucre absorption lent ont divise par 2 ou 3 l’aliment de base et d’autre féculent.
 La matiné graisse d’origine végétale (huile) : olive, soja ….. quantité conseiller une ou 2
couleur à soupe par personne/jours.

NB. Il faut bien boire et bien manger.

(Insuffisance de sel minéraux peut des équilibré l’organisme)


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Exercice physique volontaire IMC > 25

DIETE TYPE.

Matin au levée prendre 2 litre d’eau ou plus (pour nettoyer le tube digestif,

Pour régulier la tension.

 Le manioc bouilli plus régime préparer aux aubergine ?.

10h00 : le fruit (la mangue ou ananas ou pomme)

12h00 : le boukarie ½ maïs local ou Berck fest avec le poisson cuite à l’eau ou en à ajouté 1 cas
d’huile de tournesol + amarante aux aubergine.

15h00 :l salade et carotte laitue concombre

Le soir : le thé de camomie ou de monte avec 2 tranche de pains grillés + le reste de la salade
de 15h00.

CHAPITRE III. HTA

Il est souvent associe à l’obésité et c’est une de complication de diabete.la tension


normale varie de 120/70 à 130/80 mmhg mais lorsque ces valeur augmente on parle de
l’hypertension ou HTA

III.1. LES COMPORTEMENTS HYGIENO-DIETETIQUE

 Tenir compte de L’IMC (enfin de savoir quel régime donner)


 Proscrire l’alcool et les sels chez les personnes sensibles
 Diminue l’apport en sel minéraux chez les personnes sensibles
 Proscrire les graisses et l’huile surtout d’origine animale

III.3. LES REGIMES EN CAS DE HTA

Exemple d’un patient IMC 18Kg/m2

1. PRINCIPE

Ramener le patient au poids idéal tout en tenant compte de sa pathologie

2. PROSCRIPTION
 Lait entier en poudre
 Mayonnaise
 Fromage
 Œuf
 Sel
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 Feuille de manioc
 Bière et piment (excitant)
3. PRESCRIPTION :
 Haricot
 Riz
 Farine de mais
 Soja
 Huile de tournesol
 Lait liquide
 Viande
 Fruits et légumes
 Le sucré
 Poisson
 Chenille

Cas d’un patient IMC 18-25 Kg /m2

1. PRINCIPE : maintenir le poids idéal du patient

Les proscriptions et prescriptions serons le même que celle de l’IMC ≥ 18

REMARQUE : il faut bien équilibre et diversifie les régimes pour maintenir le poids idéal
tout en faisant attention à sa tension artérielle

Cas d’un patient IMC ≤ 25 Kg/m2

1. PRINCIPE : ramener le patient a son poids idéal, proscrire quelque aliment riche en
protéine ainsi que les sucre absorption lente et les matières grasses
Proscription :
 Viande
 Chenille
 Lait
 Arachide
 Soja
 Haricot
 Les matières grasses d’origine végétale
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CHAPITRE IV. INSUFFISANCE RENAL.

Il survient lorsque les reins à des problèmes filtrations, en ce moment pour faciliter
la filtration il faut diminue l’apport en protéine et en sel minéraux.

IV.1. TRAITEMENT

 Pour commencer un traitement il faut tenir compte de l’IMC du patient.

PRESCRIPTION : Tout ce qui est apport en protéine (viande, œuf, poisson, soja, chenille, fruit
de mère, chenille, haricot, arachide, fromage, foie, maïs, sorgo, charcuterie, pâtisserie, légume,
sel marin…)

PRESCRIPTION : (Pomme de terre, igname, banane Plantin, les légumes des couleurs claire(
aubergine, choux pommé) patate douce, manioc, chikwange, choux de chine fruit).

DIETE TYPE : IMC : 18 à 25 kg/m2

CHAPITRE V. LA GOUTE

On parle de la goute lorsqu’il y a excès de protéine combine à un excès d’alcool.


ère
(La 1 crise ou les crises survient après un repas copieux riche en protéine, et un apport
important de boisson alcoolise. (Bière, vin, alcool).

Traitement :

PRINCIPE : diminue les protéines dans le régime et proscrire les boissons alcoolisé.

PRESCRIPTION :La viande, arachide, poisson, œuf, haricot, lait, chenille, le fretin, petit poids,
soja, les fruits de mer, charcuterie, le sorgo, la mayonnaise, le maïs, le Milet, la pâtisserie, riz,
blé, l’alcool.

PRESCRIPTION : Manioc, patate douce, pomme de terre, la banane Plantin, la chikwangue, le


légume, igname, fruit, la margarine et les huiles sans cholestérol, huile de palme.

DIETE TYPE IMC 18-25 kg/m2.

 Matin : Pain complet (miel, thé, chicorée, café, confiture ou fruit ou Pomme de terre au
légume, tomate, carotte, courgette, concombre.
 A Midi : Bukari proportionné maïs 1/5, manioc ‘4/5 plus légume bien préparée sans
arachide en cas de besoin de viande (les volailles maigres ex le caille ou les oiseaux)
 Le soir : confrère l’aliment du matin.

N.B. Lorsque l’IMC est supérieur à 25 on doit prescrire tout ce qui est graisse dans ce régime
15

CHAPITRE V. L’HEPATITE

Du point de vue nutritionnel, l’hépatite est liée à l’incapacité du foie à digérer la


matière grasse ou une diminution fonctionnelle vie à vis de graisse.

V.1.TRAITEMENT

PRINCIPE : Régime pauvre en graisse

PRESCRIPTION : Les huiles (palme, arachide, tournesol, soja, d’olive …..), Les préparations
copieuses (mélange trois riche en graisse et protéine), arachide, poisson, le conserve, le sauce
concentré, la charcuterie, le chocolat, beure, margarine, patte d’arachide, maïs.

PRESCRIPTION : La banane Plantin, chikwange, igname, manioc, pomme de terre, patate


douce, viande et poisson, poulet sans peau, fruits et légume.

Il est conseillé de faire la cuisson à la vapeur pépé soupe ou grillade au feu.

N.B. il faut toujours évaluer IMC

CHAPITRE VI. LES AVITAMINOSES.

Les avitaminoses sont des carences en une vitamine ou tel autres vitamine, les plus répandu
sont :

 La vitamine A : c’est une micro nutriment indispensable pour la vision et la protection


de la peau, de la muqueuse et elle agisse contre les infections.

La carence en vitamine A ce manifeste :

 Premièrement par une diminution de la vision crépusculaire


 Mauvaise vision sous faible éclairage
 Perte d’appétit et de poids ainsi que l’arrêt de croissance.

La carence en vitamine A peut conduire à la cécité.

Les aliments riche en vitamine A d’origine animal (Les œufs, lait, viande, foie) et d’origine
végétal (feuille de manioc, épinard, papaye, noix, carotte, feuille de courge.)

Cause de la carence en vitamine en vitamine A.

 Mauvaise pratique culinaire exposition pendant un long moment des produits au rayon
solaire
 Mauvaise préparation
 Mauvaise habitude alimentaire
 Faible disponibilité alimentaire
16

la Mal absorption de vitamine A provoque : les Diarrhée, rougeole, IRA, malnutrition, des
maladies de la vésicule biliaire, (régime pauvre en graisse et en vitamine A).

les besoins en vitamine A augmente lors de la grossesse, allaitement, croissance, fièvre prolongé

CONSEQUENCE DE L’AVITAMINOSE A.

 Diminution de la résistance aux infections


 Accroissement de l’incidence et de la sévérité de maladie infectieuse.
 Ralentissement de la croissance
 Trouble de fonction de la reproduction
 Trouble de la vision
 Augmentation de la mentalité infantile.

LES MANIFESTATION CLINIQUE DE LA CARANCE EN VITAMINE A

Au Stade initial : héméralopie, nyctalopie baisse de la vision, Kératose folliculaire au niveau de


la peau.

Au Stade avancé : La keratomolalaxie au niveau de la cornée conduisant à la cécité.

TRAITEMENT ET PREVENTION.

La consommation des aliments en riche en vitamine A ou aliment fortifier en vitamine tel que :

Farine de céréale fortifiée en vitamine A, farine de blé ou maïs...

Les aliments riches en vitamine A : carotte, huile palme rouge, gombo.

PREVENTION :

 Promotion bonnes habitude alimentaire et culinaire dans les ménages.


 Évitez la consommation des aliments exposés au soleil pendant long moment.
 Evitez la cuisson prolongée
 La Supplémentassions en vitamine A chez les enfants de 6 à 59 mois et femme enceinte.,

Avantage de la prévention : il permet une réduction de 25 % de la mortalité infantile et


de 50 % du risque de décès due à la rougeole ainsi que 40% du risque de décès dû à la
diarrhée.
17

CARENCE EN IODE

Il est un élément chimique de la famille des allogènes, symbolisé par (I), il est rependu dans la
nature surtout dans l’eau de mer a la T° normale et pression normale l’Iode est un solide du
couleur violet noir bruyant, présent dans le corps humain en très faible quantité, chez un adulte
15 à 20 mg. (Iode est indispensable des hormones thyroïdiennes T3 et T4)

Il a le rôle de régulation du métabolisme de toutes les cellules et de la fonction reproductive,


Elle joue également un rôle important dans la croissance et le développement des organes de
cerveaux particulièrement de la vie fœtal jusqu’à 3 ans, une insuffisance de T3 et T4 pendant
une période se traduit par un retard neurologique irréversible appelle cretinisme

FACTEUR ETIOLOGIQUE DE LA CARENCE EN IODE

 Les zones avec les sols pauvres en Iode (facteur géographique)


 Les zones de haute altitude comme : La montagne et le fait d’être éloigné de la mer
comme (le Tchad).
 Les zones enclave et à accès difficile
 La zone d’exploitation minière intense à ciel ouvert.
 La région polaire et le sommet de haute montagne

LES FACTEURS SOCIO-ECONOMIQUE LIEE A LA CARENCE EN IODE.

 Pauvreté au niveau de ménage


 Mauvaise politique (importation de sel peux ou non Iodé)
 Les facteurs liés à la culture
 Le mauvais traitement des aliments contenant de glucoside cyanogène (beaucoup plus
retrouve dans le feuille de manioc)

Il y a d’autres aliments chou,millet qu’il faut bien traités.

LE CONSEQUENCE DE LA CARENCE EN IODE

Conséquence visible :

 Le goitre
 Crétinisme
 Le mal formation congénitale

Conséquence non visible

 Avortement spontanée
 Mortinatalité élevée
 Stérilité chez les femmes
 Idiotie
 Dumunition de rendement intellectuel et physique (faible cotient intellectuel somnolence).
18

LES MOYENS DE LUTTE.

Prévention

 Promotion de bonne méthode de cuisson et de traitement des aliments contenant les


substances goitrigènes : (feuille de manioc il faut le tremper dans l’eau avant de la piler
 les industries minier il est recommandé de travaille à ciel ouvert.
 importation des aliments riches en iode dans les zones ou le sol est pauvre en Iode.
 Méthode de fortification des aliments.

Pour la fortification du sel :

 On doit utiliser iodate de potassium et non l’iodure


 Il faut utiliser les Emballages spéciaux
 Entreposé le sac de sel dans un entrepôt fermer et changer régulièrement la position de
sac
 Les respects de norme de concentration en iodate de potassium par le pays. (Respecter
le nombre de partie par millions PPM)
 Identifier et contrôler toute les portes d’entrées de sel
 Transporter les sacs de sel iodé dans les camions couvert et si possible faire de transport
de nuit
 Donnez du sel iodé au bétail.

FORTIFICATION DE L’HUILE ET D’AUTRES ALIMENTS.

Méthode supplémentassions médicamenteuse et l’administration d’huile iodé le Lipiodol ou


de ligote

TRAITEMENT

Le traitement curatif est la chirurgie pour le goitre volumineux :

 Administration d’huile iodée ou de solution de lugole.

Le besoin journalier en Iodé.

Les apports journaliers en Iodé recommandez par OMS

Tranche d’âge Apport journalier


recommandé en U.g.

Enfant 0, à 12 mois 50

Enfant 1 à 6 ans 90
19

Enfants 2 à 12 ans 120

Adolescent et adulte 150

Femme enceinte et allaitante 200

Les sources alimentaires de l’iode.

 Le poisson de mer
 Le mollusque et contasses
 Le lait et ses dérivés
 Les œufs
 Le sel enrichi en Iode
 L’eau de boisson
NB :une concentration faible de l’iode dans les tissus animaux, les céréale, les fruits et
le légume surtout dans les région en haut altitude

LES ANEMIE.

Définition :C’est un trouble caractérisé par la diminution de nombre de globule rouge, Ce


trouble peut résulter de facteur génétique, physiologique, alimentaire ou d’une perte sanguine.

 Ce trouble est extrêmement fréquemment dans le monde entier


 Ce trouble survient contrairement à la malnutrition protéino-énergétique aussi fréquemment
dans le pays développé
 La carence initial (en Fi=) peut être la cause la plus courante mais pas nécessairement
d’origine alimentaire
 Carence en folâtre en vit B12 ou en protéine peuvent aussi être à l’origine de l’anémie.

CLASSIFICATION DES ANEMIES.

 Anémie par défaut de production de Globule rouge


1. Anémie nutritionnelle et conventuelle
2. Les anémies ablasique
3. Les anémies indeveblastique
 Anémies par destruction anormale de Globule rouge.
1. Anémie hémolytique
2. Anémie dû ou maladie chronique

Anémies par perte de Globule rouge

 Anémie par hémorragie

II. ETIOLOGIE.

1. Anémies par carence en fer, sont le plus rependu :


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 Apport insuffisant en fer


 Augmentation de besoin (cas de grossesse)
 Exagération de perte en fer
 Défaut d’absorption de fer.

Anémies par carence en folate.

 Apport insuffisant en folate


 Anomalie congénitale du métabolisme de Vitamine B12 et de folate.
 Défaut d’absorption de Vit B12 et de folate.

SYMPTOMALOGIE

a) Symptôme commun à tout le type d’anémie


 Polaire
 Fatigue
 Faiblesse
 Perte d’énergie
 Somnolence
 Céphale.

b). Si l’anémie s’aggrave

 Tachycardie
 Le dispneu
 Etourdissement

Traitement

2. Préventive.
 Encourager l’allaitement maternel
 Alimentation riche en fer et ou en forate
 Alimentation diversifier en viande, careale enrichi en fer ,œuf , légume verte.
 Evitez la cuisson prolongée de légume vert
 Prise quotidienne de la Vitamine C
 Instaurer un traitement antiparasitaire (les vermifuges).

D’une manière générale :

 Alimentation riche en fer assimilable varie et disponible en permanence


 Alimentation riche en folate
 Fortification des aliments
Ex : farine de blé
 Lutte contre le parasitaire intestinal
21

 Contrôle du paludisme
 Evitez la consommation de substance chez chélateur du feu comme le tanin, l’argile ;

La mal nutrition.

Nutrition : c’est un processus par lequel l’organisme vivant absorbe les éléments nutritifs
provenant des aliments pour son bon fonctionnement et son développement.

Mal nutrition : il survient lors qu’il y a un déséquilibre alimentaire par rapport à la quantité et
à la qualité.

 La malnutrition est une pathologie qui a des conséquences multiple et d’étiologies variées.
 La malnutrition signifie principalement une mauvaise nutrition
 La malnutrition concerne aussi l’insuffisance que l’accès de nourriture, le mauvais type
d’aliment et la réaction du corps à de nombre infection qui entrainent la malabsorption ou
l’incapacité d’utilisé convenablement les éléments nutritif pour préserver la santé.

Les facteurs étiologiques.

A. Insuffisance d’apport :
1. Facteur naturel (la sécheresse, le criquet, les séismes, l’inondation, l’invasion de
plante par des maladies.
2. Facteur cognitif faible niveau d’instruction des mères
3. Facteurs psychologique (refus de s’alimentez)
4. Facteur environnementaux (mauvaise qualité de l’eau et condition médiocre
d’assainissement
5. Facteur liés à l’état de santé : maladie avec perte d’appétit

B. Défaut d’absorption.

 Malformation de l’appareil digestif


 Déficit enzymatique congénitaux
 Pratique traditionnel (l’avortement)
 Gastro-entérite.

C. Défaut de métabolisation.

 Déficit enzymatique congénitaux


 Trouble hormonaux

D. Apport excessif.

 Facteur génétique
 Facteur anatomique
 Facteur physiologique

TYPE DE MALNUTRITION.

1. Malnutrition aigue
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2. Malnutrition chronique

Les mesure enthropometrique nous permet de calcule le z-score qui seront compare aux normes
par rapport :

 L’indice Poids, Age,


 L’indice Poids -Taille,
 L’indice Age- taille.

Le calculez de Z-score Pour la forme sévère il est ≤ - 3 écart type, lorsque ce valeur est comprise
entre Z-Score -3 ≤ -2 écart type on dit que la malnutrition est modère forme modère

LA MALNUTRION MODERE

Définition : il correspond à un rapport poids /Age entre - 3 et -2 Z -Score en dessous de la


médiane indiquer par les norme d’OMS de la croissance, elle peut être dû à un faible rapport
Poids/Taille , (l’amaigrissement ou émaciation) ou a un faible rapport Taille/age retard de
croissance ou à une combinaison de 2 de même une émaciation ou un retard de croissance
modérer son défini comme un rapport : Poids/Taille et Taille/Age ce situant respectivement
entre -3 et – 2. Z-Score.

La malnutrition modérée touche de nombreux enfants dans les pays pauvre. Les enfants qui en
soufflent présente un risque de mortalité accru au court et la malnutrition modérée est associé
à un nombre élevé de décès liés à la nutrition.

Si certains de ses enfants modérément malnutrie ne reçoivent pas une aide adéquate ils
peuvent évoluer vers la malnutrition aigüe sévère (émaciation sévère avec ou sans œdème) ou
retard de croissance sévère (Taille/Age ≤ - 3 Z-Score qui sont tous deux des états engageant
le pronostic vital. D’où la prise en charge de la malnutrition modérée doit donc être prioritaire
(PCMAM) et priorité de la santé publique prise en charge de la malnutrition aigüe modérée.

PRISE EN CHARGE DE LA MALNUTRITION AIGUE MODERE

Il y un canevas de la prise en charge de la malnutrition aigüe modéré, ceci différent selon le


type d’aliment utilisé. Ainsi nous pouvons citez quelques produits pour PCMAM.

 Plumpy SAP (c’est un aliment prés à l’emploi manufacturé à base de la patte d’arachide et
fortifier).
 LNS : aliment à base d’arachide fortifié.
 Les prefiixes de :
1. MSB (maïs, soja, blé)
2. (maïs, foie, arachide).

On note que une bonne prise en charge de la malnutrition aigue modère, cela se réalisé au
centre de supplantation alimentaire ou un personnel former et qualifier s’exécute.
23

Le traitement de la M.A.M, se fait par un programme bien détaillé ou les interventions sont
structurées.

Le 2 grandes interventions sont :

 Le traitement spécifique à base de produit pharmaceutique


 La prise en charge alimentaire.

Dans ce programme les points saillants sont :

 Formation de la PCMAM ou sévère.


 Supervision et suivis, conjoint pour fournir un soutient
 Un soutien à la mobilisation communautaire.
 Etudié le pourquoi de la survenu de la malnutrition
 Eduquer la population
 Effectuez de visite à domicile par évaluez et voir l’évolution.
 Organisation d’atelier et de réunions au niveau régionale pour discuter de plan de résultat,
de défis et de solution.
 Organisation de visite ayant pour objectif de partager des expériences et de développes de
stratégie de déploiement pouvant contribuer à un financement à long terme (Politique
Nationale de Nutrition).

MALNURITION AIGUE SEVERE

La Prise en charge de MAS doit se faire au centre de santé, l’hospitalisation est obligatoire. Elle
est médicamenteuse et nutritionnelle, le traitement se fait de produit suivant :

 Le Lait thérapeutique (F100 et F 75)


 Le plympy nut

Le malade n’est quitte l’hôpital qu’après guérison complète, selon les indice recommandé une
suivie de soutien est également obligatoire par des rendez-vous et visite à domicile.

KONZO

C’est une maladie paralytique épidémique caractérisé par une paralysie sporadique bilatérale et
non évolutive de membre inférieure.

La KONZO survient après longue période de consommation exclusive du manioc comme


alimentation de base. Il est manifeste dans des pays pauvre.

KONZO : Jambe lié

Souvent les femmes et les enfants sont le plus toucher (suite à la culture et aux interdit).

FACTEUR ETIOLOGIQUE.
24

La maladie est toujours associée à une importante consommation de cyanate contenue dans le
manioc libère apartir de glucoside et qui généralement détruit par de méthode efficace de
traitement de manioc.

L’étiologie complète et le caractère des lésions nerveuse, on considère que la carotène


et la Vitamine A pourrais avoir un effet inhibiteur sur la survenue de la maladie.

Signe clinique

 Installation rapide de la paralysie en 24 Heure et ces effets durent toute la vie


 La paralysie touche uniquement les membres intérieur elle est spasmodique bilatéral
permanente et non évolutive.
 Il est différent de la poliomyélite qui est une paralysie flasque aigüe progressive et parfois
unilatéral).

Conséquence de la maladie.

 Les malades n’est peuvent plus assurer le travail de champ et le foyer est menacé de
malnutrition
 Les femmes perde leur statut au sein de la communauté, car elle n’est cultive plus.
 Les filles touchez par le KONZO n’est sera pas mariéet le femme malade sont abandonnés
par leurs maris
 La personne attente devant en charge pour la communauté

TRAITEMENT

Aucun traitement curatif n’est connu mais les malades peuvent bénéficier de la réadaptation et
d’une intégration social.

PREVENTION

 Sensibiliser la population sur d’intoxication sur la consommation de cyanure

promoivire

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