ILS SE MIRENT AUX CONSTRUCTIONS (2 Chroniques 14:6b) - Par Frère Ewald Frank à Krefeld - Le 11 Mars 1984 à 10h00

ILS SE MIRENT AUX

CONSTRUCTIONS
(2 Chroniques 14:6b)
Prêchée par Frère Ewald Frank à Krefeld
Le 11 Mars 1984-10h00 | Retransmise le 23 Juin 2024-10h00

Loué et remercié soit le Seigneur, nous le croyons de tout notre cœur. Dieu
n'a jamais failli, Il n'a jamais été ridicule. Tout genoux fléchira devant Lui et
toute langue confessera que Jésus-Christ est le Seigneur. Et Seigneur
signifie qu'Il règne, qu'Il a autorité, que Sa Parole est valable, et tout
ce qui va avec. Chaque Parole est si précieuse qu'on pourrait simplement
s'y arrêter, s'y plonger. Mais plus encore et plus profondément, il y a en
nous le désir que chaque Parole nous interpelle et puisse être déposée en
nous comme une semence. Car tout ce que Dieu fait, Il ne le fait pas par
l'intermédiaire d'un grand homme, Il le fait selon Sa Parole!

Tous les prophètes, même Moïse, qui était-il? Un raté, un meurtrier. Et si

cela avait été le cas, mais Dieu avait donné une Parole, une promesse, Il y
était lié. Et lorsque les temps furent accomplis, Dieu ne regarda pas
l'homme, Il se souvient de Sa Parole et de Sa promesse. Et Il envoya
Moïse, et celui qui voulait se heurter à lui pouvait se heurter, mais celui qui
voulait croire pouvait croire. Celui qui voulait sortir pouvait sortir. Celui qui
voulait la délivrance pouvait la voir. Celui qui voulait la délivrance l'a eu.
Celui qui voulait voir des miracles pouvait les voir, car Dieu les faisait. Dieu
a toujours agi ainsi et il n'en sera pas autrement maintenant. Notre foi a été

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si puissamment renforcée par toutes les choses que Dieu a faites. Il ne

peut en être autrement.

Si nous ne croyons pas, qui croira? Si nous ne remercions pas Dieu, qui le
remercie? Qui doit le remercier? Qui doit le faire? Les non-croyants? Ceux
qui suivent leur propre voie ou ceux qui se croient tout permis? Non, ils
n'ont pas besoin de tout cela. Mais nous, pauvres humains, en qui Dieu a
fait de grandes choses. Il ne nous reste qu'une chose à faire, le
remercier. Et ce de tout notre cœur et de toute notre âme.

Nous l'avons déjà souvent dit, comme c'est écrit, quand tout le reste
n'existera plus et aura cessé, l'amour de Dieu aura persisté. Et l'amour de
Dieu est indépendant de nos œuvres et de nos actes. Avant que nous
soyons là, Dieu nous a aimés en Jésus-Christ. Et en Lui, Il nous a
réconciliés avec Lui-même et a fait de nous Sa propriété.

Avant de lire les Chroniques, j'aimerais m'arrêter un instant sur la Parole

contenue dans 1 Corinthiens 15. Ici, tout est résumé, ce dont il s'agit en
fait. Du premier Adam, du deuxième Adam, de ce qui est arrivé et de ce qui
arrivera. Et nous l'avons lu avec vous. «De même que nous avons porté
sur nous l'image du terrestre, de même nous porterons sur nous l'image du
Céleste.» (1 Corinthiens 15:49). Ça c'est certain, c'est tout à fait certain.
Tout comme nous venons tous après Adam et Ève sur terre, nous serons
tous, spirituellement parlant, transformés à l'image de Jésus-Christ. «Ce
que nous serons n'a pas encore été manifesté, mais il le sera bientôt» (1
Jean 3:2). Et quand ce jour, ce matin glorieux se lèvera, nous verrons le
Seigneur tel qu'Il est, et nous constaterons que nous sommes devenus
semblables à Lui.

Si quelqu'un considère tout cela, ne serait-ce qu'un instant, cela doit être
fait, pour lui à jamais, car c’est l'amour que Dieu nous a témoigné, nous a
prouvé. Paul a dit autrefois: «Nous ne nous endormirons pas tous» (1
Corinthiens 15, 51). Il s'est endormi ainsi que tous ceux à qui il
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prêchait et écrivait autrefois. Mais Dieu a parlé par lui de manière

intemporelle, comme par les prophètes. Et ce n'est que lorsque l'heure
de Dieu a sonné pour une chose quelconque, que la Parole s'accomplit.

Et il dit ici, au verset 51: «Nous ne nous endormirons pas tous, mais nous
serons tous changés, transformés». Et c'est un fait dont nous sommes plus
proches que tous ceux qui ont vécu avant nous. Nous comptons à 100%
sur le fait que le Seigneur nous prendra à la Maison. Et que nous
sommes la génération où tous ne s'endormiront pas, mais où il y aura
encore parmi nous des personnes qui verront la Venue du Seigneur.
Et le but de nos réunions est avant tout de comprendre ce que Dieu veut
faire en ce moment.

Notre frère a lu dans la prédication de Frère Branham que le temps pour

l'Épouse a commencé. Le dernier réveil. Et il a aussi fait remarquer qu'un
homme à Londres a dit aux Américains qui voulaient voir le grand réveil au
pays de Galles, il a dit: «Je suis ce réveil, ce réveil est en moi». C'était un
homme parmi les milliers d'autres. Tout le monde était alors autrefois
saisi par l'Esprit de Dieu, chacun. Et cela se produisait à chaque fois que
Dieu provoquait un réveil. Les personnes âgées qui ont vécu le réveil au
tournant du siècle, dont mon propre père, ont pu raconter ce que Dieu a
fait, comment l'Esprit de Dieu est venu sur les assemblées, et comment le
Seigneur s'est puissamment manifesté.

Mais je crois que toutes les choses qui se sont produites, étaient moindres
que ce qui va encore se produire. Dieu finira par montrer Sa Puissance
et Sa gloire à la fin, même si c'est un petit groupe qui reste. Car il faut
que quelque chose se produise pour provoquer en nous la foi de
l'enlèvement. Et Frère Branham dit ainsi: «Aujourd'hui nous avons à
peine assez de foi pour la guérison divine.» Et qu'en est-il de la foi que
notre corps tout entier peut être changé, transformé, si nous n'avons pas
ou ne pouvons pas avoir la foi qu'un membre quelconque de notre corps
sera réparé, pour qu'il guérisse. Comment pourrions-nous alors croire que
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nous serons changés de la tête aux pieds, de cette mortalité à l'immortalité,

de la corruptibilité à l'incorruptibilité? Mais cela, je peux le croire de tout
mon cœur, je ne sais pas pourquoi, mais peut-être parce que c'est destiné
à nous, je n'ai aucune difficulté à le faire, absolument pas.

Je crois de tout mon cœur, ce qui est écrit ici que «au son de la dernière
trompette, nous serons changés» (1 Corinthiens 15:52), «Le Seigneur
descendra et les morts en Christ ressusciteront» (1 Thessaloniciens 4:16),
Oui, si les morts ressuscitent, pourquoi ne puis-je pas être changé en
tant que vivant moi. Si Dieu apporte alors la preuve qu'Il a vaincu la mort,
qu'Il a triomphé de l'enfer, et que Ses hommes qui Lui appartiennent ne
peuvent être retenus ni par la mort, ni par l'enfer, pourquoi la corruptibilité
me retiendrait-elle? Après tout, je suis destiné à l'éternité, et parce que je
suis destiné à l'éternité, tout ce qui est nécessaire pour passer du temps à
l'éternité doit se produire en moi, et en moi-même.

L'Évangile est toujours un Message de joie, n'est-ce pas? Un Message

glorieux, un Message d'amour et de grâce de Dieu pour tous ceux qui
le reçoivent, et qui y associent la foi. Il est encore écrit ici, 1 Corinthiens
15:53: «Car il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce
corps mortel revête l'immortalité». Cela est clair pour nous tous, ce n'est
pas ainsi que nous pourrions entrer dans la gloire, en chair et en sang.
Non, ce ne sera pas possible! Nous devons être transformés et changés. Il
est ici dit cela clairement, que «La mort a été engloutie dans la victoire,
mort où est ta victoire, mort où est ton aiguillon? Grâce soit rendue à Dieu,
remercié soit Dieu qui nous a donné la victoire par notre Seigneur
Jésus-Christ».

Mais il ne reste que cette phrase, 2 Corinthiens 15:56: «Or l'aiguillon de la

mort c'est le péché, et la force du péché c'est la loi». Dieu a pourtant donné
la loi pour pouvoir nous condamner légitimement, toi et moi. Et si, et Sa loi
a le pouvoir et la force de nous condamner légitimement, et Sa loi a ce
pouvoir. Mais Sa grâce a légitimement le pouvoir de nous faire passer, de
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nous faire sortir de la condamnation, de briser la prison et de dire: «J'ai tout

expié, J'ai pris votre place, vous êtes rachetés, délivrés».

Lisons 2 Chroniques 14 maintenant. Pour moi cette Parole a une

signification particulière aujourd'hui. J'ai beaucoup cherché pour trouver
le passage biblique qui parlait à mon cœur autrefois, et quand je l'ai
trouvé hier, mon cœur s'est réjoui. C'était presque comme chercher une
épingle dans une botte de paille. Mais quand on la trouve, la joie est
d'autant plus grande. J'avais déjà demandé si quelqu'un savait où se
trouvait la Parole 2 Chroniques 14, la deuxième partie du verset 6. 2
Chroniques chapitre 14, la deuxième partie du verset 6: «Il se mirent donc
aux constructions et les exécutèrent avec bonheur».

Je n'oublierai jamais ce jour de ma vie! Nous avions presque terminé le

travail brut de la première construction, et je vais d'ici à là, et frère Schmidt
de là-bas à ici, à peu près au milieu nous nous sommes serrés la main,
nous avons dit bonsoir, et il a dit: «Frère Frank, la construction suffit à
peine pour la moitié des visiteurs.» Il est parti de son côté en disant cela, et
moi du mien. Mais ce qu'il a dit a commencé à travailler en moi. Et peu de
temps après, j'ai présenté cela au Seigneur dans la prière. J'ai dit: «Oh
Dieu, as-Tu quelque chose à me dire? Si oui, dis-le-moi.» Et vous savez, je
ne crois pas que la Bible soit un livre d'oracles, que l'on peut ouvrir si
joliment et qui nous permet de toujours lire et savoir la bonne chose. Je ne
crois pas que la Bible soit un livre de hasard, mais je crois que Dieu peut
parler à travers Elle, je le crois de tout mon cœur.

Et j'ai tout dit au Seigneur avec foi et comme un enfant. Même ça, parce
qu'il vient de dire que cela ne suffit pas pour la moitié de ceux qui
viendront. Cela m'a poursuivi ainsi, et j'ai dit: «Seigneur, les plans sont là.
On pourrait faire une deuxième construction sans nouveaux dessins, sans
calcul statique, etc. Beaucoup de frais pourraient être épargnés.» Et j'ai dit:
«Seigneur, si c'est possible, c'est maintenant, en une seule fois, pas dans
quelques années plus tard, commencé à nouveau.» Et vous savez
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comment on s'épanche ainsi, on ouvre son cœur. Car de telles décisions

sont d'une grande portée. Qu'est-ce qui est lié à tout cela? Plus d'un
demi-million de Marks, et cela n'aurait pas été la moindre des choses.

Il y avait quand même beaucoup de choses en jeu. Mais je n'oublierai pas

non plus le jour où j'étais à genoux de tout mon cœur et où j'ai dit: «Oh
Dieu, si Tu veux vraiment que nous construisions deux maisons au lieu
d'une, Tu dois me le faire savoir.» Et je vous le dis, j'ai ouvert la Bible sans
avoir à tourner une seule page. Et mes yeux se sont posés sur cette
première ligne: «Ils se mirent donc aux constructions…», pas à la
construction, mais aux constructions, au pluriel, «…et les exécutèrent avec
bonheur». Et moi aussi, j'étais heureux à ce moment-là. Je savais que
c'était la réponse de Dieu pour moi. Et j'ai ensuite agi en conséquence.

Si nous devions énumérer ici toutes les conduites de Dieu, nous

avons un grand nombre de conduites directes du Saint-Esprit et de ce
que Dieu a dit et aussi confirmé. Lisons le verset 10 qui dit ceci: «Asa
invoqua, le Seigneur son Dieu, et pria le Seigneur pour aider: “Il n'y a pas
de différence chez Toi entre le fort et le faible. Sauve-nous donc, Seigneur
notre Dieu, car c'est en Toi que nous plaçons notre confiance, et c'est en
Ton Nom que nous sommes sortis contre cette force supérieure. Tu es le
Seigneur notre Dieu. Aucun homme ne pourra s'affirmer face à Toi”.»
Jusqu'ici, cette Parole!

Asa a invoqué le Nom du Seigneur, Son Dieu. Il a prié. Il savait qu'un

homme, qu’il se sente fort ou faible, qu'est-ce que l'homme, qu'est-ce que
le fort, qu'est-ce que le faible? Les deux ne sont rien! C'est de Dieu seul
que vient notre aide. Lui seul peut aider le faible, et le fort se rend compte
qu'il a lui aussi besoin de Son aide. L'homme qui peut s'aider lui-même,
Dieu ne peut pas l'aider pour toujours. Nous dépendons de l'aide de
Dieu. Et tant mieux pour nous si nous sommes faibles. Paul dit à un
endroit, 2 Corinthiens 12:9: «Si je suis faible, Dieu est fort, et donc si je me
glorifie, je me glorifie de mes faiblesses.» C'est ce que dit un grand homme
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de Dieu, l'apôtre Paul. Donc, au fond, nous sommes tous au même niveau.
Personne ne peut s'aider lui-même, et personne ne peut aider l'autre.
Même si, sur le moment, nous nous sentons peut-être un peu plus forts
que notre frère ou notre soeur, au fond, nous sommes tous aussi faibles et
aussi forts. Avec Dieu, il n'y a pas de différence que l'on soit faible ou fort.

Verset 10: «Aide-nous donc, Seigneur, notre Dieu, car c'est en Toi que
nous mettons notre confiance.»

Et c'est en Ton Nom, non pas avec notre force, non pas notre équipement,
notre armure, non pas nos soldats, notre armée, mais nous mettons, verset
10: «Notre confiance en Toi. Et en Ton Nom, nous sommes sortis contre
cette force supérieure». C'est une combinaison merveilleuse! Si nous
mettons notre confiance dans le Seigneur, mais qu'ensuite nous ne
restons pas debout ou assis, mais que nous sortions, que nous
donnions à Dieu la possibilité de confirmer Sa Parole. Pas seulement
d'écouter Sa Parole, mais de nous lever, de sortir, sans avoir peur,
parce que nous avons mis notre confiance dans le Seigneur.

Nous avons parlé hier du fait que Pierre a été saisi par la Main du Seigneur
lorsqu'il a chuté. Mais que s'est-il passé avant? Avant, il avait pourtant mis
sa confiance dans la Parole du Seigneur. Et il a dit: «Veux-Tu que je vienne
à Toi?» (Matthieu 14:28). N'était-ce pas quelque chose de merveilleux?
«Dis-moi de venir vers Toi.» Et l'homme descend de la barque, soyez tout
à fait honnêtes. Notre jambe serait un peu lente, puisque si belle dans le
bateau, là-dedans, tout allait bien. Mais si on avait regardé les vagues et
l'eau, et si on avait pensé qu'on allait couler comme le polonais dit:
«narcisco kotna», qu'on allait couler comme une hache, ça n'aurait pas été
facile.

Nous lisons aujourd'hui les histoires, et nous en étonnons. Mais quelles

sont les leçons qu'elles contiennent? Un homme devait en principe faire
abstraction de tout ce qui s'y opposait sur terre (terrestrement), afin
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de pouvoir obéir aveuglément à la Voix de son Seigneur. S'il avait

réfléchi un seul instant sur le plan terrestre, et s'il avait dit: «Mon Dieu, je
vais être trempé, je vais couler», il n'y aurait pas eu de problème. Mais
pouvez-vous imaginer la chose? Rien du tout! Il n'aurait même pas
demandé au Seigneur de venir à Lui. Mais ici il dit: «Tu me fais venir à
Toi.» Alléluia! Gloire à Dieu! «Tu me fais venir à Toi, sur Ta Parole.» Et c'est
arrivé, et il est parti!

Le fait qu'il ait sombré par la suite n'avait qu'un seul but, pour que nous
reconnaissions que le Seigneur est si proche de ceux qui ont osé faire le
premier pas, et cela, sur Sa Parole, à Sa Parole. Même s'il coule, il ne se
noie jamais. Mais Il sera toujours assez proche pour les saisir et les
tirer de là. Ne vous inquiétez pas! Après tout, toutes ces choses sont
arrivées pour que nous recevions des instructions, que nous soyons
fortifiés dans la foi, et que nous mettions notre confiance en notre Dieu,
comme il est écrit ici, verset 17: «C'est en Ton Nom que nous sommes
sortis contre cette puissance. Toi, Seigneur, Tu es notre Dieu.»

N'en est-il pas de même pour nous? Nous mettons pourtant notre
confiance dans le Seigneur, en Dieu le Seigneur, et nous disons:
«Aide-nous!» Nous ne sommes pas sûrs de nous-mêmes, mais nous
dépendons de Lui. «Aide-nous, car Tu es le Seigneur, notre Dieu. C'est en
Toi que nous plaçons notre confiance.» Et celui qui Lui fait confiance ne
peut pas être confondu, c'est impossible! Avant que Sa Parole ne puisse
me tromper, le ciel doit s'écrouler. Et c'est en Ton Nom que nous sommes
sortis contre cette force supérieure.

Bien-aimés, chaque fois que les enfants d'Israël ont pris conscience qu'ils
étaient le peuple de Dieu, chaque fois qu'ils en ont pris conscience et qu'ils
se sont tournés vers Dieu, Il a témoigné parmi eux, a confirmé Sa Parole et
les a aidés. En tant qu'Église du Nouveau Testament, nous devons
nous souvenir et prendre pleinement conscience que nous sommes
le peuple de Dieu, la Foule rachetée par le Sang. Et même s'il s'agit
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d'une force supérieure à la nôtre, ce n'est pas toi et moi qui comptons,
mais le fait que nous prenions conscience de qui nous sommes et que
nous parlions à Dieu et disons: «Aide-nous Seigneur, car Tu es notre
Dieu.» Mais que nous ne restions pas assis sans rien faire, sinon la foi est
sans œuvre, et la foi sans les œuvres est morte en elle-même. (Jacques
2:17). La foi morte peut se laisser enterrer, et nous avec elle. Nous devons
oser prendre Dieu par Sa Parole, à Sa Parole. Nous n'avons pourtant
aucune responsabilité, c'est Dieu qui a pris la responsabilité au
moment où Il a parlé. De quoi devions-nous avoir peur alors? Est-ce que
je peux me ridiculiser? Ai-je une quelconque responsabilité à ce
moment-là? Non! Je n'ai qu'à croire Dieu et à Lui faire confiance. Il fait le
reste dans Sa Toute-Puissance et Son amour.

Verset 10: «Tu es le Seigneur notre Dieu, qu'aucun homme ne s'affirme

face à Toi.»

Pensez-vous qu'il y ait un seul homme à qui Dieu donnerait raison, qui
pourrait venir Le trouver et Lui dire: «Seigneur, voilà ce qu'il en est!» Avec
Dieu, tout le monde a tort! Et il fait dire par Paul, dans Romains 3 au verset
4: «Tout homme est un menteur et Dieu seul demeure véridique, demeure
vrai, demeure véritable.» Et nous pouvons nous fier à ce Dieu
véridique, à ce Dieu véritable et vrai; et ce qu'Il a dit, et à Son Nom, à
ce qu'Il a dit, et nous fier à Son Nom. Et nous savons qu'Il est Fidèle à
tout ce qu'Il a dit.

Maintenant imaginez, j'espère que vous n'avez pas encore lu le verset 11.
Imaginez ce qui est écrit ici. «Alors le Seigneur frappa les Koushites.»
Ceux qui avaient mis leur confiance en Dieu, pure, regardés, tout d'un
coup, tout d'un coup, leur combat était combattu. Déjà, c'était quelqu'un
d'autre qui menait la bataille. Ils avaient mis leur confiance en Dieu. Il est
dit ici: «Alors le Seigneur frappa les Koushites, de sorte qu'ils prirent la fuite
devant Asa et les Judéens.»

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Ce n'est pas Asa, ni son capitaine, ni son sergent, personne! Le Seigneur

est descendu Lui-même et a battu l'armée de l'ennemi. Asa et tous
ceux qui avaient mis leur confiance avec lui en Dieu le Seigneur, ne les
voyaient plus que de dos (les ennemis) et la plupart étaient morts. Je lis le
verset entier et continue.

Verset 11. «Le Seigneur frappa les koushites et ils prirent la fuite devant
Asa et les Judéens.»

Verset 12: «Asa et l'armée qui étaient avec lui les poursuivirent jusqu'à
Guérar, et il tomba tant de Koushites qu'aucun d’eux n’eut la vie sauve.»

Ni Asa, ni aucun membre de son armée n'ont eu à porter la main sur un

seul d'entre eux. Le Seigneur les a battus, et tandis qu'ils prenaient la fuite,
ils sont tombés les uns après les autres comme frappés par un coup. Ceux
qui ont fait confiance à Dieu ont vu l'Ennemi vaincu, et ont fait l'expérience
de la puissance de Dieu. C'est ce que nous devons saisir par la foi.
Notre combat a déjà été mené. La puissance de l'Ennemi est vaincue.
Et si nous pouvons l'accepter avec foi, nous ne remettrons plus jamais en
question cette Victoire divine, et demanderons à Dieu de toujours nous
donner la confiance en Lui. La formulation est ici très étrange.

Il est écrit ici au verset 12: «Et il tomba ainsi grand nombre de koushites
qu'aucun d'entre eux n’eut la vie sauve.» Alors tous, oui, sauf si tant de
gens sont tombés qu'il n'en reste aucun. Combien sont tombés alors? Alors
ils sont tous tombés. Oh gloire à Dieu! Toutes ces histoires de l'Ancien
Testament doivent nous montrer dans le Nouveau Testament que Dieu a
mené notre combat déjà, et qu'aucun de Ses ennemis est de nos ennemis;
car, croyez-moi, c'est quand même l'ennemi commun. L'Ennemi de Dieu
est l'ennemi de Son peuple, et l'ennemi de son peuple est l'ennemi de
Dieu. Il n'en est pas resté un seul. Mais ils ont été complètement détruits
devant le Seigneur et Son Armée. Devant le Seigneur et Son Armée. Son
armée était le peuple de Dieu. Bien-aimés, c'est une Parole tout à fait
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merveilleuse. Oh, si nous lisons ensuite le chapitre 15, il est dit au premier
verset: «L'Esprit de Dieu vint sur Azaria, fils d'Obed.»

Verset 2: «De sorte qu'il sortit, se présenta devant Asa et lui dit:
“Écoutez-moi, Asa, et vous tous, Judéens et Benjamites, le Seigneur est
avec vous tant que vous vous attachez à Lui. Si vous Le cherchez, Il se
laissera trouver par vous. Mais si vous L'abandonnez, Il vous abandonnera
aussi.»

Quelle Parole vraie pour tous les temps! Le Seigneur, notre Dieu, est
avec nous tant que nous nous attachons à Lui. Et nous ne pouvons
pas faire autrement que de nous tenir à Lui et à Sa Parole jusqu'à la
fin. Et nous ne sommes pas les seuls à Le tenir, Il nous tient aussi.
Mais si vous L'abandonnez, Lui aussi vous abandonnera.

Oh, si nous pouvions nous attacher à Lui et à Sa Parole de tout notre cœur
et de toute notre âme, sachant qu'Il nous a amenés jusqu'ici et qu'Il nous
conduira, guidera jusqu'à la fin, traversant tout ce qui peut encore se
trouver sur ce Chemin, et que nous rencontrerons jusqu'à ce que nous
voyons le jour dont nous avons déjà lu quIil reviendra, que le Seigneur
reviendra, que le Seigneur donnera la vie à nos corps mortels et les
transformera, les changera. Combien de fois avons-nous dit cela? Celui
qui veut vivre la transformation, le changement de son corps en ce
jour-là, doit déjà maintenant avoir vécu auparavant la transformation,
le changement de son âme. C'est une Parole vraie!

Nous devrions toujours nous souvenir de cette Parole. D'un point de vue
terrestre, les corps des croyants et des non-croyants sont
absolument identiques. L'un a mal aux dents, l'autre aussi. Chacun doit
manger et boire. En principe, en ce qui concerne le domaine terrestre,
chaque corps est identique. L'un vieillit, l'autre aussi. Une femme accouche
dans la douleur, une autre aussi. Il n'y a absolument aucune différence.
D'un point de vue terrestre, entre les repas, entre les corps, entre n'importe
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quelle chose, les corps sont tous égaux. Qu'est-ce qui fera cette grande
différence le jour où le Seigneur reviendra? C'est que nous sommes
devenus croyants, croyants que la Parole de Dieu est en nous, que Sa
puissance, Son Esprit est entrée dans notre âme, et qu'alors, nos
corps mortels peuvent être changés, transformés. Nous ne regardons
pas à l'enveloppe terrestre. Nous savons très bien que nous attendons tous
la Rédemption de notre corps. Mais malheur à l'homme, qu'il l’attend sans
que son âme, sans que sa vie ait été changée, transformée.

Cher cœur, laissons-nous le dire l'un à l'autre et crions-le: Que Dieu

transforme, change notre âme. Qu'Il transforme, change notre vie.
Qu'Il fasse toute chose nouvelle, vraiment, toute chose nouvelle.
Comme il est écrit: «Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle
créature.» (2 Corinthiens 5:17). Nous continuerons quand même à manger
et à boire, étant devenus une nouvelle créature. Nous continuerons quand
même à porter notre corps terrestre. Il y en a en effet qui, alors qu'ils sont
encore sur terre, voudraient déjà avoir un corps céleste. Ils y travaillent
depuis si longtemps à leur guise et ils n'y parviennent toujours pas. Dieu a
déjà pourvu à tout, fondamentalement à tout, déjà. Le faible et le fort sont à
nouveau sur un pied d'égalité. Et Dieu les aidera tous les deux.

Et lorsque le jour du Seigneur viendra et qu'Il nous appellera à la Maison,

Sa Parole toute puissante suffira. Déjà le son de la trompette, la voix de
l'archange et tout ce que Dieu a promis doivent s'accomplir et
s'accompliront en ce jour-là. Lorsque vous serez saisi par Dieu, ne
regardez pas vos corps terrestres, ni tel ou tel, bon bon, tout cela est
éphémère. Regardez au Seigneur qui a vaincu la mort, qui est
ressuscité et nous sommes pardonnés en Lui. Nous avons reçu la
grâce en Lui. Nous avons, du point de vue de Dieu, déjà été transférés
avec Lui, comme nous l'avons contemplé le week-end dernier, dans le
monde céleste, dans les lieux célestes. Celui qui croit cela, qui place sa
confiance en Lui, qui a commencé au Nom du Seigneur et qui continue et
persévère dans cette voie, ne sera pas déçu à la fin, mais devra dire:
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«Dieu est Fidèle et a accompli tout ce qu'Il a promis.» Dans l'Ancien

Testament, Dieu a dit: «Mort, Je serai pour toi une peste, enfer, Je serai
pour toi une épidémie». (Osée 13 et 14, traduction Luther.) De quoi
s'agissait-il? Par l'intermédiaire du prophète, Dieu l'avait prononcé et
beaucoup de temps s'est écoulé. Mais quand le jour est arrivé, tout l'enfer
a tremblé, la mort et le Diable ont perdu la Parole. Le Seigneur était là, le
Vainqueur de Golgotha.

Je me souviens toujours avec tant de plaisir de cette déclaration de Frère

Branham, lorsqu'il a dit que «Christ avait été suspendu à la Croix selon
Son corps, puis déposé dans le tombeau. Mais en Esprit, Il est bien
descendu, et le Diable a dit: “Enfin je Te tiens”.» Vous savez, et vous
connaissez la prédication, comme il a un peu décrit cela. Et alors, notre
Seigneur a prononcé la Parole toute puissante: «Satan, J'ai racheté Mon
peuple, libère-les, donne-Moi la clé.» Et vous savez, c'est quelque chose
de très majestueux. Le Diable avait pourtant pris tout le monde. Qui
n'avait-il pas pris? Et ils étaient là en prison là-bas. Mais maintenant, celui
qui a tenu la prison en captivité est venu libérer ceux qui s'y trouvaient
(Éphésiens 4:8) pour les libérer, vous savez ce qui s'est passé. Vous
pouvez le lire dans Éphésiens 4, du verset 8. «Celui qui est descendu est
aussi Celui qui est monté. Et Il est descendu dans les lieux les plus bas
pour en faire sortir les captifs.» Et c'est ce qu'Il a fait!

La Rédemption est une œuvre majestueuse de Dieu, et nous y

sommes tous inclus. Notre Seigneur a mené le combat. Pas un ennemi
ne Lui a échappé. Personne n'a pu se cacher quelque part pour que le
Seigneur ne le voit pas et ne le saisisse pas. Toute la puissance de Satan a
été vaincue, est vaincue. Et nous sommes libres par la grâce de notre
Dieu. La Rédemption, je le répète, est une œuvre majestueuse de notre
Dieu. Et toi et moi, nous pouvons faire partie des rachetés.

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 ILS SE MIRENT AUX CONSTRUCTIONS (2 Chroniques 14:6b) - Par Frère Ewald Frank à Krefeld - Le 11 Mars 1984 à 10h00

Lorsque le compositeur dit: «Je suis racheté, je peux m'en glorifier, racheté
par le Sang du Sauveur.», nous comprenons, nous chantons avec lui. Nous
ne chantons pas après lui, mais nous chantons avec lui. Nous ne répétons
pas seulement les choses que d'autres ont dites, mais ils ont parlé notre
langue et nous parlons la leur, c'est-à-dire la langue de l'Esprit, en donnant
raison à Dieu et en disant: «Seigneur, c'est ainsi!» Et que disait alors
autrefois Job: «Quand ce corps sera tout rongé, je verrai quand même
Dieu, car Il sera sur la terre à la fin du jour et je Le verrai.» (Job 19:25-26).
Il a dit aussi: «En effet, je sais que mon Rédempteur vit, ou alors est
Vivant.»

Cher cœur, nous le savons tous, notre Rédempteur est Vivant. Et vous
savez qu'un des grands chantres de la réformation a dit: «Jésus est vivant
et moi aussi avec Lui. Mort, où sont donc tes terreurs.» Lui, Il est Vivant et
Il me ressuscitera aussi d'entre les morts. Tout cela, ce sont déjà des
faits divins. La mort est vaincue, l'enfer est vaincu, Satan a perdu son
droit. Bien-sûr, comme nous l'avons lu, s'accomplira alors dans sa totalité
en ce jour-là la Parole: «La mort a été engloutie dans la victoire.» Alors la
mort ne sera plus, comme il est dit dans l'Apocalypse, et il n'y aura plus ni
deuil ni cri, mais de la joie pour toute l'éternité.

Ici sur terre, nous avons encore du chagrin, nous avons de la souffrance,
nous avons de la douleur. La mort spirituelle et terrestre et physique est
encore là, mais en ce matin glorieux, tout sera laissé derrière nous. J'ai
eu un avant-goût de cette gloire le 1er janvier 1981. J'ai eu un avant-goût
de cette gloire. Bien-aimés, tout est vrai, tout est vrai! Oh, si nous
pouvions faire confiance à Dieu de façon toute nouvelle, sans limite,
car ce n'est pas nous, mais Lui qui l'a fait. Et pourtant, nous ne sommes
que ceux qui le reçoivent dans la foi. Pourquoi ne pas dire, comme
l'homme de Dieu l'a dit autrefois: «Seigneur, pour aider, il n'y a pas, pour
Toi, de différence entre le fort et le faible. Alors aide-nous.» N'est-ce pas là
une belle prière? N'est-ce pas là parler à Dieu?

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Vous savez, quand on lit les prières de Frère Branham, c'était une
conversation avec Dieu. Il a parlé à Dieu de manière simple, sans
complication. Et nous aussi, nous pouvons faire de même. «Aide-nous
donc, Seigneur, notre Dieu, car c'est en Toi que nous mettons notre
confiance, et c'est en Ton Nom que nous sommes sortis contre cette force
supérieure.» N'est-ce pas là ton témoignage et le mien? N'est-ce pas ce
que nous disons et vivons tous, de tout cœur, par la grâce de Dieu? «C'est
en Ton Nom que nous sommes sortis. C'est en Toi que nous mettons notre
confiance. C'est Toi qui nous sauves, car Tu es le Seigneur, notre Dieu.» Et
puis il y a cette démonstration: «Aucun homme ne doit pouvoir s'affirmer
face à Toi.» Qui doit pouvoir se vanter ou s'enorgueillir face à Dieu?
Personne!

Et nous pensons maintenant encore rapidement à la magnifique histoire de

David et Goliath. Il s'est vanté, mais cela a vite pris fin. Il y avait là un petit
homme, selon le cœur de Dieu. Et il pensait en lui-même: «Ce Philistin
incirconcis, qui lui a donné le droit de se moquer du peuple de Dieu?» (1
Samuel 17:26). Et cela l'a saisi au plus profond de son cœur. Et il a dit lui
aussi: «Tu viens avec un pectoral et tout, mais moi je viens au Nom du
Seigneur, le Dieu d'Israël.» Alléluia! (1 Samuel 17:45). Alléluia! Cela a suffi,
c'était suffisant! Et je dois presque rire, sourire, mais David qui tenait la
fonde et la pierre dans ce petit étui en cuir, il aurait pu lancer tout autour
et lâcher la chose à volonté. A l'est, à l'ouest, au sud, au nord. Dieu
aurait pris cette pierre et l'aurait conduite là où elle devait aller.

Vous ne pensez tout de même pas que David s'est placé le pied gauche en
avant, comme nous l'avons toujours fait, et qu'il a d'abord visé assez
longtemps, et dans un sens et dans l'autre. Il n'en a pas eu le temps, il a
fait confiance à Dieu. Ce n'était pas son savoir-faire qui comptait, mais
sa confiance à Dieu, et le Seigneur l'a confirmé. Et il n'a pas eu besoin
d'aller chercher une deuxième pierre, ni d'aider; Dieu a fait mouche. Dieu a
fait mouche la première fois. Est-ce différent aujourd'hui? N'avons-nous
pas affaire aujourd'hui au même Dieu? Au même Dieu de l'Ancien et du
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Nouveau Testament? C'est certain! Car Il est le Dieu de tous les prophètes
et de tous les apôtres, le Dieu de Son peuple d'Israël, et notre Dieu; à
savoir le Dieu et le Seigneur de l'Église du Nouveau Testament. Ô, que
nous pourrions croire! Nous ne ferions plus d'efforts, nous ferions confiance
à Dieu, et oserions aller de l'avant en Son Nom.

Je nous le dis à nous, frères serviteurs, allons de l'avant avec foi. Le

Seigneur a vaincu tous Ses ennemis. Nous ne les rencontrons pourtant
plus guère de face. Si nous le prenons bibliquement, nous voyons qu'ils ont
pris la fuite, et dans leur fuite, ils sont tous tombés. Et que voyons-nous?
Une armée ennemie vaincue. Et qui l'a vaincu? Abraham? Moïse? Paul?
Pierre? Non! Le Vainqueur de Golgotha, le Seigneur des armées. C'est en
référence à Lui qu'il est écrit, sans doute dans le Psaume 24: «Levez-vous,
portes antiques, et faites entrer le Roi de gloire.» (Psaumes 24:7-8). Qui
est ce Roi? Le Seigneur puissant dans le combat. Il a pourtant été
Vainqueur. Les portes de perles Lui étaient ouvertes, et elles nous
sont ouvertes!

Bien-aimés, aujourd'hui, nous voulons remercier notre Dieu pour toute

Sa Fidélité, qui restera pour nous incompréhensible jusqu'à la fin.
Mais Dieu parle déjà à Moïse: «Celui à qui Je fais miséricorde, Je lui fais
miséricorde. Et celui à qui Je fais grâce, Je lui fais grâce.» (Exode 33:19).
Notre Dieu ne peut jamais nous laisser tomber. Il nous a retiré de la
poussière, de la boue, et nous a placé sur un sol plus élevé. Et cela restera
ainsi pour toujours! Et même si nous devons passer par certaines
profondeurs, que nous soyons forts ou faibles, notre aide à tous vient du
Seigneur, qui a créé le ciel et la terre. Et nous n'avons pas honte de dire:
«Seigneur, nous sommes faibles, mais Tu es fort. Nous sommes
impuissants, Tu es Tout-Puissant. Aide-nous!» Et nous remarquons déjà
qu'Il nous a déjà aidés.

Mais, nous ne devons pas rester assis, sans rien faire. Après avoir
entendu la Parole de Dieu, nous ne devons pas seulement nous lever
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physiquement pour prier, mais nous élever spirituellement vers Dieu

dans la prière, et dire: «Seigneur, aujourd'hui Tu me l'as montré. Tu as
vaincu, Tu as triomphé, Tu as tout fait pour nous, et Tu as réglé Tes
comptes avec Tes ennemis. Lève-toi, Seigneur, et marche devant nous.»
Et je vous le dis, si nous suivons notre Seigneur dans la foi, nous
verrons tous nos ennemis comme vaincus, et liquider à droite et à
gauche sur ce Chemin de Dieu. Et nous pourrons continuer notre
Chemin avec Dieu dans la foi, en Sa précieuse et Sainte Parole.

Qu'Il nous bénisse et nous ouvre quelque chose à l'intérieur. Oh, que nous
puissions reconnaître les heures de la visitation divine. Dieu veut nous
parler comme un Père parle à Ses fils ou à Ses enfants. Dieu est toujours
bien intentionné. Et ce matin encore, le Seigneur est bien intentionné. La
dernière trompette retentira à la fin du dernier âge de l'Église, et tous ceux
qui auront entendu et cru le dernier Message seront de ceux qui passeront
de la mortalité à l'immortalité, et de la corruptibilité à l'incorruptibilité.
Ensemble, nous serons enlevés dans les airs à la rencontre du Seigneur.
Quel jour, quel jour glorieux ce sera! Chers cœurs, ce n'est pas une
histoire, c'est une réalité divine. Jésus-Christ est vraiment descendu en
enfer.

Ce jour-ci, j'ai reçu un appel de quelque part, et on m'a dit: «Le Frère Untel
était ici, et il a annoncé que Jésus-Christ était l'archange Michel, ou bien
alors, Michel.» J'ai dit: «Il a menti!» Et puis, il a dit que l'enfer n'existe pas.
Et j'ai dit: «Il a menti!» Et vous savez comment cela se passe. Parfois, les
gens prennent les sermons de Frère Branham, n'ont pas de révélation
divine, et en font quelque chose de terrible. Il y a deux déclarations
auxquelles les gens peuvent se référer, mais personne ne peut se
tenir sur un pied. S'il y a une déclaration ici, et sur un autre sujet, une
autre déclaration, alors il faut y ajouter tous les passages bibliques qui font
partie de ce sujet.

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Je voulais simplement dire ceci: L'enfer est une réalité, car Jésus-Christ,
notre Seigneur, y est descendu. Et jusque-là, le Paradis était encore en
bas. Abraham pouvait le voir, et l'autre pouvait regarder par-dessus et voir;
le pauvre homme, Lazare, dans le sein d'Abraham. (Luc 16:23). Le
Seigneur ne nous a pas raconté d'histoires. Et quand Pierre dit: «En Esprit,
Il est descendu dans les lieux les plus bas de la terre». Ce n'est pas le
tombeau, ce sont les lieux les plus bas de la terre. Pour moi, la Parole de
Dieu reste la Parole de Dieu pour l'éternité, et tout le reste n'est que
mensonge. Nous avons affaire à la réalité, et nous en sommes
reconnaissants à Dieu.

Pour un temps, nous sommes devenus fous à cause de Christ. (1

Corinthiens 10 :4) Mais l'heure sonnera certainement, où Dieu tournera
Sa Face vers nous et vers beaucoup d'autres, pour une bénédiction,
parce que nous avons persévéré et tenu ferme à la Parole de Dieu, et
que nous n'avons pas couru derrière telle ou telle doctrine qui est
vide, mais que nous sommes restés attachés à l'Évangile plein,
restitué et restauré.

Que Dieu nous maintienne, nous affermisse et nous renforce dans cet
Évangile plein, et qu'Il nous donne aujourd'hui la possibilité de nous élever
dans la foi et la confiance en Dieu et de dire: «Seigneur, maintenant je le
reconnais, maintenant je peux le saisir dans la foi. Tu as tout fait, tout
accompli, je Te suis. Tu as tout pardonné, tout guéri, tout délivré. Tu
as vaincu toutes les puissances des ténèbres, je suis Ta propriété. Je
n'ai plus à faire qu'à une armée d'ennemis déjà vaincue. Toi, ô
Seigneur, Tu as pris les devants. Accorde-moi la grâce de Te suivre
dans la foi.» Et Dieu le fera. Loué soit le Nom du Seigneur! Loué et exalté
soit le Nom du Seigneur! Amen! Levons-nous et prions.

Ensemble, nous Te remercions pour ce service divin, pour Ta Sainte et

précieuse Parole. Ô Seigneur, que nous l'apprenions comme une leçon.
Pour la suite de notre vie, que nous mettions notre confiance en Toi,
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que nous nous levions en Ton Nom, pour aller de l'avant, car nous
savons que Tu nous précèdes. Seigneur bien-aimé, comme Tu es
merveilleux! Comme Ta Parole est glorieuse! ô Seigneur, et si nous
regardons en arrière, nous pouvons dire: «Reconnaissez que le Seigneur
conduit merveilleusement Ses saints, même si cela passe parfois par les
profondeurs, par le désespoir et la détresse. Mais à la fin, il y a toujours eu
Ta victoire et Ta Puissance manifestée.» Seigneur Fidèle, nous Te
remercions de ce que Tu continueras à faire du bien à Ton peuple.

Seigneur Fidèle, je Te remercie, je Te loue, je T’apporte la louange, la

gloire et l'adoration et l'honneur. Nous voici, prends-nous, utilise-nous
tous, chacun pour sa tâche et à la place que Tu nous as assigné. Ô
Seigneur bien-aimé, nous Te remercions encore une fois pour Ta Fidélité,
Seigneur, pour Ta Parole révélée, Seigneur, pour le Message de ces jours,
pour Ton serviteur et prophète que Tu as envoyé, aussi pour la grâce de
rester sobre, d'attendre que Ton heure sonne, d'attendre. Ô nous Te
remercions pour tout et pour bien plus encore, ô Dieu que nous pourrions
tout énumérer.

Seigneur bien-aimé, bénis mes frères, bénis mes sœurs. Et comme mon
cher Frère l'a demandé, fais-nous être unis, de telle sorte que Tu
puisses descendre comme à la Pentecôte, avec la puissance du
Saint-Esprit. Ô Seigneur, hier et aujourd'hui, j'ai ressenti Ta douceur, Ta
Présence, Ton amour, Tu es proche de nous. Ta colère s'est apaisée, Ta
fureur s'est éloignée. Réconciliation, grâce, Salut, bénédiction, Tu Te
manifestes parmi Ton peuple. Nous Te louons et nous Te remercions, nous
glorifions la puissance de Ton Sang, de Ta Parole et de Ton Esprit, et nous
voulons aller de l'avant, et cela dans la puissance de Ton Nom, en Te
suivant.

Ô Seigneur, Tu étais devant Asa, et là, mais Tu marchais, Tu as battu tous

les ennemis. Personne ne pouvait se vanter: «J'ai fait ceci, j'ai fait cela!»
Seigneur, même avec David, il ne pouvait pas se vanter, se glorifier. Il
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savait pourtant qu'il aurait été perdant, mais Tu étais en lui. Ô comme l'a dit
Frère Branham: «C'était Christ en Moïse, Christ en David.» Seigneur,
Christ en nous, l'espérance de la gloire, Sauveur bien-aimé, prends-nous
tous, plus que jamais, donne-nous des Paroles d'édification entre nous,
de consolation, ô Seigneur, en toutes circonstances. Nous Te prions
aussi pour notre jeune Frère qui retourne en République populaire de
Pologne. Ô Seigneur, bénis-le, et installe-le en bénédiction là-bas. Nous Te
remercions de le faire, au Nom de Jésus! Amen!

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