SIP - Contrôle de Qualité Dans Un Chantier Autoroutier - Nurol Insaàt Ve Ticaret
SIP - Contrôle de Qualité Dans Un Chantier Autoroutier - Nurol Insaàt Ve Ticaret
I. Présentation de l’entreprise………………..4
II. Présentation du projet ………………………..8
III. Plan d’assurance qualité(PAQ) ……..…..10
I. Travaux de terrassement...………………..13
II. l’assainissement routier...………………….23
III. Les ouvrages d’art ……………………..……..26
On a effectué notre stage au sein d’une entreprise des travaux routier : Nurol
insaàt ve ticaret, dans le service de contrôle de qualité (bureau de contrôle externe).
C’était l’occasion de voir de près le déroulement des travaux et leur exécution tout en
respectant la hiérarchie lors des interventions et des prises de décisions ; ce qui nous sera
utile dans notre carrière.
I. Présentation de l’entreprise :
1. Organigramme de l’Entreprise
DIRECTION GENERALE
DIRECTEUR RESP.
DIRECTEUR DIRECTEUR CHEF
DE QUALITE TECHNIQUE SECURITE ET
DE TRAVAUX TOPOGRAPHE
ENVI.
Responsable de
qualité OA Service
Responsable Ing.
administratif
technique Responsable
Topographie
Res ponsable de
qua lité Lot TER &
terra s sement assainissement
Chef chantier
Coordi nateur des
es s a i s
Chef d’équipe
1. projets réalisés :
Bahcesehir
Satallite Town Project
Batum
Hotel, Apart Hotel and Holiday Village
Projects
2. CARACTERISTIQUES DU PROJET :
Le projet d’autoroute entre EL Jadida et Safi représente un linéaire de 143 kms.
Il comprend 6 échangeurs, une barrière pleine voie à l’extrémité avec raccordement à la
voirie locale.
Le projet s’inscrit dans sa partie initiale autour de la ville d’El Jadida, zone plus
densément bâtie jusqu’à proximité du site de Jorf Lassfar. Ensuite, il bifurque vers l’est
pour desservir la localité de Sidi Smaïl (et Sidi Bennour). Il se rapproche de nouveau de
la côte pour desservir Oualidia, site d’intérêt touristique. Enfin il rejoint Safi en suivant
un tracé plus direct, parallèle à la cote.
Les principales caractéristiques du projet sont les suivantes :
* Longueur : 143 Km
* Six échangeurs: Echangeur El Jadida Est, échangeur El Jadida Sud, Echangeur
Jorf Lasfar, échangeur Sidi Smaïl, échangeur Oualidia et échangeur Safi.
* Deux aires de service, un parking sécurisé et une barrière de péage pleine voie
* Trois viaducs dont deux sur canal et un sur daya;
* 115 ouvrages de rétablissements: 47 passages supérieurs (PS), 25 passages
inférieurs (PI), 16 passages véhicules (PV), 23 passages piétons (PP) et 4
passerelles.
* un tracé conforme à la catégorie L1 de l’ICTAAL 2000 (V.réf de 130 km/h)
* Les cubatures des terrassements sont de l’ordre de 25 millions de m3 volume des
déblais : 14.5 millions de m3 des remblais : 10.5 millions de m3 ;
3. SYSTEME D’EXPLOITATION :
L’autoroute El Jadida - Safi fait partie du réseau autoroutier à péage.
Actuellement le tronçon contigu Casablanca – El Jadida est exploité en système fermé
ce qui prédispose l’autoroute El Jadida - Safi à avoir le même système.
Le plan d’assurance qualité (PAQ) est un document qui présente les dispositions
de moyens et d’organisations envisagées par une entreprise dans le cadre d’un marché de
travaux afin d’obtenir la qualité requise définie par les exigences du maître d’ouvrage et
spécifiée dans le cahier de clauses techniques particulières (CCTP). Il traite
l’établissement des procédures d’exécution qui constituent des documents décrivant les
moyens, les matériaux ou produits, les méthodes ou mode opératoire, et les contrôles
nécessaires à l’exécution d’une tache donnée ou à la réalisation d’une partie d’ouvrage
(procédures d’exécution) .
Sur cette base, ADM commençait à déléguer, suivant la nature et l’importance des
travaux concernés et leur degré de complexité, une partie des contrôles de conformité,
tout en exerçant systématiquement un contrôle final destiné à vérifier la conformité des
ouvrages aux exigences contractuelles.
L’étendue des contrôles découlant du niveau de système qualité est illustrée dans le
schéma qui suit :
Sur le plan documentaire, les exigences de l’assurance qualité contenues dans les
cahiers des charges des marchés principaux des travaux se sont traduites par la production
par chaque groupement d’entreprises des documents et enregistrements suivants :
Un Schéma Organisationnel du Plan d’Assurance Qualité (SOPAQ).
Des plans qualité.
Des procédures d’exécution.
Des enregistrements.
3. Notions et définitions :
Les points critiques : Points sensibles pour lesquels il a été décidé d’effectuer un
contrôle intérieur, le maître d’œuvre étant formellement informé du moment de son
exécution et/ou de son résultat.
Les points d’arrêt : Points clefs pour lesquels un accord formel du maître
d’œuvre est nécessaire pour poursuite de l’opération.
Contrôle externe : C’est un contrôle de qualité des travaux effectué par le siège de
l’entreprise de sa propre initiative pour la qualité de son chantier ou par exigence du
maître d’ouvrage.
Contrôle extérieur : C’est un contrôle effectué par le maître d’ouvrage dans le but de
prévenir les risques de défaillance de gestion de la qualité.
I. Travaux de terrassement :
1. Préparation des travaux terrassement :
Avant de commencer l’exécution du projet, des préparations sont
obligatoires à savoir :
Le remblai courant.
La base des remblais de grande hauteur (la hauteur du remblai>15m).
La base de remblai en zone inondable.
partie supérieure des terrassements (PST).
Les remblais contigus aux ouvrages d’art.
Les substitutions de purges et remblaiement.
Les modelages paysagers : remblayage par les produits de décapage au niveau
des échangeurs et des remblais contigus.
La couche de forme.
Une première distinction est faite selon les caractéristiques hydrauliques de la zone
de remblai. Comme il est spécifié sur le PMT. Les zones inondables nécessitent les
matériaux satisfaisants :
*- VBS< 0.2.
Ensuite, on les distingue selon leur profondeur. En effet pour les remblais dont
la profondeur dépasse 15m on les appelle des remblais de base d’ailleurs ce type ne
nécessite pas grande chose, car son effet n’atteint pas l’ouvrage routier. Après, on parle
du remblai ordinaire : C’est la couche qui portera les autres couches routières dans des
cas autres que le remblai rasant. Il faut que le diamètre maximale des matériaux de
remblaiement ne doit pas dépasse pas le 2/3 de l’épaisseur de chaque couche.
Le mètre supérieur des remblais sera constitué de matériaux satisfaisants aux exigences
permettant d’obtenir les critères de portance et de déformabilité.
1.1.1. PST des déblais :
Dans les zones ou les sols ne permettent pas l’obtention des performances de
portance requise déterminées sur planche d’essai ou en cas des matériaux évolutif ; il
sera procédé sur proposition de l’entrepreneur et après accord du maître d’œuvre à une
Rapport de stage d’initiation 17 contrôle de qualité dans un chantier autoroutier
Nurol Insaàt Ve Ticaret Ecole Hassania des Travaux Publics
La teneur en eau doit être conforme aux exigences du GTR. Dans le cas non
conforme : soit on effectue l’arrosage dans des zones très sèches, soit on ajoute un liant
hydraulique pour les zones très humide.
3. Aménagement du talus :
Les talus de l’autoroute, de ses annexes et ceux des rétablissements de
communications doivent respecter les pentes exigées suivant les profils en travers du
projet d’exécution.
b. exécution de fouille :
Elle a pour but l’établissement d’une plateforme soit par excavation de la terre
ou bien par remblaiement. Ça dépend de la position du terrain naturel par rapport au
fond de fouille. Il est suivi d’un compactage .
Le contrôle se fait par des essais au laboratoire ou in-situ. Par exemple, l’essai de
densitomètre à membrane ou l’essai de plaque.
d. La pose du tuyau :
Le premier tuyau sera positionné au point bas, tulipe dirigé vers l’amont et
côté mâle vers l’aval. L’emboîtement doit respecter l’étanchéité et l’alignement.
La vérification lors de la pose assurera le contrôle d’alignement. Enfin le
contrôle topographique des fils d’eau.
f. Remblaiement :
Les matériaux de remblaiement sont spécifiés par le GTR et par le CTTP. Par
exemple A4 et F1 sont exclus. Le contrôle de conformité se fait au laboratoire .
Remarque :
Contrairement au viaduc, les dalots et les ouvrages busés servent au même objectif.
Donc le choix entre ces deux types d’ouvrage ce fait selon plusieurs caractères dont on
cite ci-dessous les plus utilisés sur chantier :
-L’importance du débit à évacuer. La valeur critique est de l’ordre de 7 mètre cube par
seconde.(Q > 7 à 10 m3 : dalot).
-La hauteur des remblais et la facilité de mise en œuvre et de l’entretien.
2.1. ferraillage :
Le ferraillage regroupe l’ensemble des aciers d'une construction en béton armé.
Type d’armature :
les aciers principaux qui reprennent les efforts dans les parties tendues du béton ;
les aciers transversaux pour reprendre les effets de l'effort tranchant et/ou de la
torsion ;
les aciers de comportement ou de peau (pourcentage minimum d'armatures
principalement pour limiter la fissuration) ;
les aciers de montage pour fixer les aciers et les maintenir au bon emplacement.
Principe de fonctionnement :
Comme on a vu dans le cours RDM le béton est un matériau capable de supporter
des efforts de compression importants (10 à 100 MPa) alors que sa résistance aux efforts
de traction est très faible (de l’ordre du dixième de sa résistance à la compression). C’est
donc pour pallier à cette insuffisance qu’est née l’idée de placer, dans les zones soumises
à des efforts de traction, des barres d’acier (armatures) qui elles, sont résistantes aussi
bien en compression qu’en traction.
Contrôle de ferraillage :
Avant Le façonnage et le montage des barres d'acier l’entreprise est amenée à effectuer
des essais de conformité aux exigences déjà fixées par le CCTP-D, notamment :
1- L’essai de traction
2- L’essai de pliage
3- L’essai de pliage dépliage
4- L’essai de fissuration (D>1.6)
5- L’essai de scellement (d>1.5)….
Après la validation de conformité de ces aciers aux spécifications déclarées par le
fournisseur, on procèdera, lors de chaque montage, aux différents contrôles suivants, qui
se font à la base des plans de ferraillage:
CONTROLE VISUEL :
1-Aciers exempts de laitance, boue, rouille en plaque
2-Ferraillage rigide et bien fixe.
CONTROLE DES MESURES :
1 – Verticalité et horizontalité
2 - Positionnement
3 – Mise en place des cales
4 – Nombre et diamètre des barres
5 – Nombre, diamètre et position des cadres
6 -- Nombre, diamètre et position des étriers.
2.2. Coffrage :
Les coffrages sont des structures provisoires utilisés pour donner une forme au béton pré -
coulé et maintenir la forme désirée jusqu'à durcissement de celui-ci. Ces structures sont
en bois, métalliques ou en matériaux de synthèse.
Type de coffrage :
a. Parois (surfaces non
vues)
Concerne les parties enterrées telles : les
semelles, les raidisseurs sur semelles, les
poteaux et murs de front des culées noyées
dans le remblai, les dalles de transition etc.
Mode opératoire :
Implantation des limites de la partie d’ouvrage
Mise en place de la banche (côté intérieur du bâtiment)
Réglages et fixation de cette banche
Masticage et colmatage des trous
Utilisation d’un produit décoffrant sur les banc hes
Installation éventuelle des vibrateurs fixés et maillés sur la surface des coffrages.
2.3. Bétonnage :
Le béton est le matériau de construction
le plus utilisé au monde. Il est présent dans
tous les secteurs de la construction, ses
qualités et ses performances répondent aux
différents besoins en matière de bâtiments et
de génie civil en respectant les exigences de
sécurité, d’esthétique et de durabilité.
l’eau.
Des granulats : leur taille allant du sable au gravier (G1 et G2), qui constituent le le
"squelette" du béton.
Adjuvants : permettent de modifier les propriétés du béton en fonction de leur usage.
Etalonnage de la centrale à
béton :
Consiste à mettre des mesures
préalablement vérifiées sur les différentes
bascules et vérifiées la mesure des poids
affichés sur le pupitre de la centrale .
Après la vérification du niveau d’équipement
de la centrale à béton‚ en présence des
représentants de l’entreprise et du maître
d’œuvre‚ on lance la confection de gâchés pour suivre l’évolution du béton (affaissement‚
résistance et température).
Formulation du béton :
Manutention :
Le délai maximum entre le début de
remplissage du transporteur et la mise en
œuvre du béton dans le coffrage devra être
défini lors de l’épreuve de convenance et
pourra être modulé en fonction des
conditions climatiques du moment (le délai
maximal de transport du béton est limité à
1h30min par le fascicule 65A).
autorisation du bétonnage
On donne l’autorisation du
bétonnage après la réception de
l’élément à bétonner.
La fiche de contrôle de
bétonnage doit contenir les
éléments ci-après :
la correspondance du béton
livrée à la catégorie prévue :
type de béton spécifié dans le
listing et vérifié par les
dosages des constituants.
L’affaissement du cône
d’ABRAMS (slump test) qui
devra être à l’intérieur des fourchettes définies lors de l’épreuve de convenance.
La température ambiante<35°.
.
La température du béton frais <30
Le délai écoulé D entre le début de la fabrication et la fin de coulage.
La mise en œuvre du béton devra tenir compte de vibration, de la température,
moyen de travail.
Le traitement de la surface de reprise de bétonnage par le nettoyage et le bros sage
pour assurer l’adhérence entre les deux parties.
La hauteur de mise en place de béton qui doit être de façon à éviter toute
ségrégation.
L’épaisseur vibrée.
Cure :
Il est indispensable de procéder à une
cure du jeune béton. On évitera ainsi que l’eau
s’évapore en surface, car elle est
indispensable à l’hydratation du ciment. Pour
cela, on maintiendra le jeune béton dans un
milieu humide, de manière à prévenir sa
dessiccation.
3.5 Viaduc :
Un viaduc est un ouvrage d'art routier qui franchit une vallée, une rivière, ou tout
autre obstacle et qui présente une hauteur ou une longueur importante, parfois les deux.
Puisque les viaducs sont des ouvrages d’art de grande envergure, on essayera dans
la suite de cette partie de présenter les différentes étapes de leur construction.
L’étude du viaduc se décompose en l’étude des fondations et celle de la
superstructure. Et puisqu’on détaillera l’exécution des pieux on commencera tout d’abord
par la superstructure.
3.5.1. La superstructure :
Culée : Appui extrême des voûtes ou des arcs, destiné à résister à la poussée des
voûtes et à raccorder le pont avec ses
rampes d’accès. Appui d’extrémité
d’un tablier, d’une voûte ou d’un arc,
retenant ou non les terres.
Piles : sont les éléments
intermédiaires dans un ouvrage
d’art.
ble
Poutres : éléments préfabriqués en
béton précontraint de grandes longueurs
destinées à supporter les charges
transmises par le tablier.
Bossages inférieurs et
supérieurs : cages d’armatures en
frettes situés au-dessous et au-dessus
des appareils d’appuis.
3.5.2. Fondation:
Semelle : élément en béton armé sous les appuis de l’ouvrage badigeonné en parois en
contact avec la terre.
Gros béton : massif en béton non armé sous les semelles de fondation.
1.3. Principe :
La préparation peut s’effectuer de deux manières différentes :
a) par quartage ou fractionnement manuel d’une quantité de matériau à utiliser
lorsqu’on a des quantités de matériau importantes,
b) au moyen de diviseurs échantillonneurs, appareils séparant en parties égales une
qualité de matériau déterminée.
1.4. Appareillage:
Plateau
Balance
Rapport de stage d’initiation 41 contrôle de qualité dans un chantier autoroutier
Nurol Insaàt Ve Ticaret Ecole Hassania des Travaux Publics
Pelles et truelles
Appareil d’échantillonnage
2. l'analyse granulométrique
2.1 Principe de l’essai :
L'essai consiste à classer les différents grains constituants l'échantillon, en utilisant
une série de tamis emboîtés les uns sur les autres. Les dimensions des ouvertures sont
décroissantes du haut vers le bas. Les dimensions de mailles et le nombre des tamis sont
choisis en fonction de la nature de l'échantillon et la précision attendue . Le matériau
étudié est placé en partie supérieure des tamis et on vibre la colonne des tamis.
2.2 Appareillages:
Balance électrique – Tamis, dont l'ouverture est conforme à la norme.
Remarque
La masse de l'échantillon pour essai doit être supérieur à 0.2D, avec D la plus
grande dimension spécifiée en (mm)
2.4 Remarque :
La masse de l'échantillon pour essai doit être supérieur à 0.2D, avec D la
plus grande dimension spécifiée en (mm)
Il faut éviter la confusion entre la granulométrie qui s'intéresse à la
détermination de la dimension des grains et la granularité qui concerne la distribution
dimensionnelle des grains d'un granulat.
Refus sur tamis : matériau qui est retenue sur le tamis.
Tamisât : matériau qui passe à travers le tamis.
3. Détermination Du Cœfficient D’aplatissement des Granulats :
3.1. Principe de l’essai :
L’essai consiste à effectuer un double tamisage :
Tamisage sur tamis à maille carrée, pour classer l’échantillon étudier en
différentes classe d/D.
Tamisage des différentes classes granulaires d/D sur des grilles,
constituées par des barres cylindrique parallèles fixées dans un châssis. .
2.5 Expression Des Résultats :
Les résultats sont portés sur des feuilles d’essai
Le coefficient d’aplatissement de partielle est donné par :
(Me/Mr).100
Me : masse des passants de chaque grille correspondant
Mr : la masse du refus partiel du tamis
Le coefficient d’aplatissement global :
A = ( Me /M) x100
Me : la somme des masses des passants
M la masse de refus cumulés des tamis les quels ont chacun un grille correspondant.
4.2. Appareillage:
Tamis de 5 mm
Récipient de pesée
Balance
Chronomètre
Règle de 500 mm
Eprouvettes cylindriques et transparentes en matière plastique, chaque
éprouvette porte des traits de repères gravés à 100 mm et 380mm de la base.
Un piston constitué par : une tige - une embase - un manchon - un poids fixé à
l'extrémité.
Un tube laveur en cuivre muni d'un robinet.
Un flacon transparent en plastique d'environ 5l placé à 1m au-dessus de la
table de travail.
Un tube en plastique reliant le siphon avec le tube laveur.
Un entonnoir.
Un agitateur électrique.
7.2. Appareillage :
* Balance * Chronomètre
* Tamis de 0,08 mm * Pissette
* Bicher plastique * Spatule
* Une burette * Papier
filtre * Une baguette de
verre * Un agitateur à
ailettes * Un bac carré en
matière plastique
f’ : quantité du fines en g qu’il est souhaitable d’avoir dans l’essai (30g environ).
f : teneur en fine. f = 100 - ms (100+W) / Mh
Mh : La masse du sable (ne doit pas dépasser 300g).
8.3. Principe
L’essai consiste à mesurer la quantité d’élément inférieur à 1.6mm produite
en soumettant le matériau aux chocs de boulets normalisés dans la machine Los Angeles,
Classe granulaire (mm) Nombre de boulets Nombre de tours Composition de la prise
d'essai
6.3/10 9 500
100% 6.3/10
10/14 11 500
100% 10/14
40% 16/25
40% 25/31.5
40% 40/50
9.1. But :
Cet essai a pour but la détermination de la dureté d'un matériau en se basant sur le
calcul d'un coefficient MDE.
9.2. Appareillage
La charge abrasive sous forme des billes.
Eprouvette cylindrique en fer muni d'une plaque de fermeture avec des vis.
Un récipient gradué.
Tamis 1.6mm
Appareil de miro deval.
9.3. Mode opératoire
Une masse de 500g du matériau à essayer se met dans une éprouvette
cylindrique en fer avec une quantité de la charge abrasive et on ajoute un volume d'eau,
on ferme le cylindre avec la plaque afin d'éviter les infiltrations d'eau l'hors de l'essai,
après avoir terminé cette opération, on met l'éprouvette sur l'appareil micro deval qui
donne au Cylindre un mouvement de rotation pendant 2h.
A la fin de cette période on passe le matériau par le tamis 1.6mm après avoir
ramasser Les billes, puis on passe le refus à l'étuve pour séchage.
Donc :
10.2. Appareillage:
Moule Proctor.
Petite dame.
Eprouvette à arroser.
Règle à araser.
Truelle.
Tare.
Balance de précision.
3. Mode opératoire:
On réalise l'essai d'analyse granulométrique et on utilise le moule Proctor si on a plus
de 50% des éléments ayant un diamètre inférieur à 5mm et on compacte avec la grande dame
pour le contrôle de compactage.
On compacte la première couche dans le moule à raison de 56 coups, la deuxième
couche jusqu’à la cinquième couche. On arase la surface de ces couches dans le moules puis on
enlève la hausse amovible.
On pèse le moule rempli par les5 couches compactées.
Dégager l’endroit où doit être réalisé l’essai de toutes les parties de sol pouvant
avoir été remaniées
Placer la plaque de base sur la surface dressée à l’aide des 4 valets de fixation
Fixer le densitomètre sur la plaque de base puis commencer à pomper avec une
poire jusqu’à constances de volume puis on note le volume initial
A l’aide du petit matériel on fait un trou du diamètre de l’évidemment de la
plaque, en prenant soin de récupère tout le matériau extrait qu’on pèse ça soit Ph
Remettre le densitomètre et commencer à pomper jusqu’à constance de volume
on note le volume final soit Vf
Conserver le matériau pesé à l’étuve pendant 24h et à105°c jusqu’à constance de
poids soit Ps
Résultats
1.1. Appareillage :
cône d'ABRAMS
tige de piquage
pelle
1.2. Exécution d'essai
Humidifier le moule, puis le remplir en béton en trois couche en veillant à piquer
chacun d'elles 25 foi avec la tige de piquage.
Après avoir piqué correctement la dernière couche, araser le béton suivant le bord
supérieur du moule en effectuant un mouvement de sciage et de roulage à l'aide de la tige
de piquage.
Nettoyer le moule et la surface de base puis démouler le béton en soulevant
verticalement le moule avec précaution.
Immédiatement après avoir retiré le moule, mesurer l'affaissement h en déterminant
la différence entre la hauteur du moule et le point le plus haut du corps d'épreuve affaissé.
Ferme 2à4
Plastique 4à6
Mou 8 à 12
Sélectionner une vitesse de chargement constant dans la plage de 0,04 MPa/s (N/mm² x s) à
0,06 MPa/s (N/mm² x s) .appliquer la charge sans hoc et l’accroître de façon continue, jusqu’à
la rupture de l’éprouvette.
2.3. Résultat :
Les résultats sont affichés sur l’écran électronique de
l’appareil.