« La bravoure n’est pas l’absence du peur, mais le fait d'aller de l’avant malgré la peur » dit Robert Li
Prulo. La peur du changement, la métathesiophobie qui est souvent lié à la tropophobie, c’est la
peur de bouger, la peur de l’avenir et aussi la peur de l’échec.
Nous connaissons tous cette émotion humaine naturelle et primitive, qui pousse les gens à éviter de
changer, cette émotion est adoptée par certains et réfutée par d’autres.
Donc est-il bien permis, d’avoir peur des changements qui se produisent autour de nous ? Et
pourquoi alors nous sommes paralysés par la peur du changement ?
Commençons d’abort par les partisans du changement dont je fais d’ailleurs partie, ces derniers
expliquent leurs positions comme suit :
D’un côté, le changement est le seul chemin à suivre pour se développer et développer notre niveau
de vie, mais hélas qu’oser et se mettre en danger, sont des prix que peu d’entre nous sont capables
de les payer.
D’un autre côté, les gens qui ont peur de la nouveauté, sont ceux qui souffrent le plus dans cette vie,
car ceux qui ont accepter le changement s’ouvrent devant eux plus de possibilités. Ils peuvent
transgresser les limites, défier l’impossible et apporter le progrès. Par exemple Sinbad le voyageur,
l’homme des aventures il n’avait pas peur de laisser son quotidien et de voyager autour du monde
pour pouvoir se surpasser, surpasser bien sûr ses peurs et ses angoisses.
Et si on passe aux adeptes de la routine, de la stagnation voire la paresse, ces derniers avancent les
arguments suivants :
Dans un premier temps, le changement entraîne souvent un sentiment d’insécurité, ce que plusieurs
études scientifiques ont montrés, car le cerveau ne peut trouver sa paix que dans ce qui est connu.
Dans un second temps, en grandissant le désir d’oser diminue, par ce qu’on perd ce sentiment de
confiance en nous même et à notre impact individuel. C’est-à-dire qu’avec l’âge, on prend plus de
risque de changer et pour changer.
Personnellement, j’ai l’idée qu’il ne faut pas avoir peur des transformations et des variations que
subit la vie. Car la peur du changement peut être considérée comme la tombe des rêves et des
ambitions, en plus que la peur n’aide pas à prendre les meilleurs décisions mais elle fait l’inverse elle
obscurcit toute clarté.
En fin de compte, je crois bien qu’aujourd’hui vous avez besoin de retrouver un vrai Sinbad avec son
courage, de prendre l’exemple de Georges Bernanos quand il dit : « il faut savoir risquer la peur
comme on risque la mort le vrai courage est dans ce risque ». Mmes et Ms il nous reste que nos rêves
à réaliser, des risques à tenter, et puisqu’on a toujours chercher à recevoir notre liberté, il faut pas
manquer la chance de se libérer des contrôles de la vie. Mmes et Ms le bonheur est parfois caché
dans l’inconnu.
