Dans le Champ de Boaz
1. La Dîme du Seigneur
Citations de Frère William Branham
Sur des cas litigieux de mariage
Genèse 14:17 Après qu'Abram fut revenu vainqueur de Kedorlaomer et des rois qui
étaient avec lui, le roi de Sodome sortit à sa rencontre dans la vallée de Schavé, qui est
la vallée du roi. 18 Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin: il était
sacrificateur du Dieu Très Haut. 19 Il bénit Abram, et dit: Béni soit Abram par le
Dieu Très Haut, maître du ciel et de la terre! 20 Béni soit le Dieu Très Haut, qui a
livré tes ennemis entre tes mains! Et Abram lui donna la dîme de tout.
VOYONS DIEU.-- 2.11.1959. (San José, Californie, U.S.A.) §28 : Mais vous savez,
moi je sens comme ceci : qu’un membre d’une église, son premier devoir est de
supporter son église avec sa dîme et ses offrandes. Si vous êtes membres de
ces bonnes églises qui sont représentées ici, vous supportez votre église. C’est votre
premier devoir envers Dieu. « Apportez vos dîmes et offrandes dans la maison
du trésor. » Et la maison du trésor, vous savez certainement ce que c’est, c’est
là où vous recevez votre nourriture. Ainsi, c’est là où vous recevez votre nourriture
spirituelle, et votre obligation c’est envers votre église et non envers un évangéliste
comme moi.
POURQUOI ? -- 09.03.1960 (Phx. Az. U.S.A.)
§51 : Sonder les Ecritures, mes amis, s’affilier à l’église ne suffit pas. Maintenant,
s’affilier à l’église, c’est bien. Je crois que toute personne devrait s’affilier à une
église. Je crois absolument que toute personne devrait se tenir à son poste de
devoir, et … quand son pasteur est là en train de prêcher ou des évangélistes ou
quelque chose, je pense qu’ils devraient se tenir à leur poste de devoir. Ils devraient
supporter cette église avec tout ce qu’ils ont en eux, par leurs dîmes, leurs
offrandes, avec tout ce qu’ils sont appelés à faire. Soyez de bonne volonté et
joyeux, si votre pasteur vous demande de faire quelque chose dans votre
église. Vous devriez le faire. C’est bien. Mais ne laissez simplement pas cela être
l’unique chose. Soyez d’abord vacciné. C’est ce que j’essaie de vous dire : recevez
d’abord le Saint-Esprit, alors le reste vient de façon correcte. Alors vous allez entrer
dans tout ce que vous désirez dans quelque église que vous … de votre choix.
DIEU MAL COMPRIS -- 23.07.1961 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
Question 146 : Frère Branham, ne pensez-vous pas que chaque personne qui
prétend être chrétienne se doit de payer la dîme.. d’apporter ses dîmes dans la
maison du trésor du Seigneur ? S’il vous plaît, donnez des passages bibliques là-
dessus.
§111 : Très bien, si vous… Cela est exact, la Bible dit bien dans Malachie au chapitre
4 : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Et vous dites, En quoi T’avons- nous trompé ?
Dans les dîmes et les offrandes. Apportez à Ma maison du trésor toutes vos dîmes et
offrandes, et mettez – Moi à l’épreuve, dit l’Eternel, et vous verrez si Je n’ouvre pas
les écluses des Cieux, et ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance
(jusqu’à ce qu’il n’y ait plus assez de place). »
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DIEU MAL COMPRIS -- 23.07.1961 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§112 : Voilà un défi pour n’importe quel individu ! Et si seulement j’avais le temps, et
que je ne prenne pas ce petit passage biblique que je désire aborder d’ici dix
minutes, j’aimerais vous donner mon témoignage là-dessus, et vous dire que, même
lorsque j’étais affamé, que ma mère et les miens étaient affamés, et que mon père
était malade, je prélevais d’abord mes dîmes pour les donner à Dieu, et vous
auriez dû voir ce qui s’est passé. Jamais de ma vie je n’ai vu quelqu’un, homme ou
femme, même si vous ne gagnez qu’un dollar par semaine, si vous apportez dix
cents sur cet argent, et les placez dans votre maison du trésor, ou l’église que vous
fréquentez … si Dieu ne bénit pas cela, traitez-moi d’hypocrite. Oui, monsieur.
C’est un défi à n’importe qui. Et tout chrétien, - cela répond à cette autre question, -
tout chrétien devrait payer la dîme ! C’est exact. Cela devrait être fait.
CHRIST EST REVELE DANS SA PROPRE PAROLE - Jeffersonville, Indiana, USA -
Dimanche 22 août 1965, matin
12. … Et maintenant, quelqu'un a dit: "Devrions-nous acheter une voiture?", ou bien:
"Que devrais-je..." Or, ce n'est pas à cela que Jésus a fait allusion, ou la Bible, là,
qui dit: "Ne devez rien à personne." Il s'agit de dettes qui traînent, et que vous
pourriez payer; payez-les. Vous ne... C'est ce que signifie ne devoir rien à
personne. Cela ne veut pas dire... Eh bien, il nous faut payer notre loyer, le
téléphone, nous... et que sais-je encore. Nous... nous sommes redevables de ces
choses, et nous les payons. Mais une vieille dette qui traîne, et que vous pourriez
rembourser, réglez-la. Voyez-vous? Ne laissez pas quelque chose comme cela en
suspens.
13. Je me souviens d'avoir été malade à un certain moment dans ma jeunesse.
Je suis sorti de l'hôpital avec une dette d'environ deux mille dollars. Il y avait à
l'époque la pharmacie de Monsieur Swaniger; je lui devais une facture de trois
à quatre cents dollars pour des médicaments. Il ne me connaissait même pas. Et
cet homme... je suis allé le voir. Je ne le connaissais pas, et il les livrait de toute
façon; il n'a jamais refusé de les livrer. Je lui ai dit: "Je suis en dette avec vous." Et
j'ai dit... Non pas Swaniger, mais je crois qu'il s'agissait plutôt de Monsieur Mason, là
à l'angle de l'avenue Court et de la rue Spring. Et j'ai dit: "Je suis en dette avec vous.
Et je... je suis encore terriblement faible, mais j'essaie d'aller travailler. Maintenant, si
je ne peux pas vous payer..." Je venais juste de devenir Chrétien. J'ai dit:
"Monsieur Mason, j'ai, en premier lieu, un devoir envers Dieu, je Lui dois ma
dîme. Je veux premièrement Lui payer ma dîme." Et j'ai dit: "Et mon devoir
suivant, c'est de payer mes dettes. " J'ai dit: "Mon père est souvent malade, et il...
et nous avons... nous sommes une famille de dix enfants. Mais, ai-je ajouté, je vais...
Si je ne peux pas vous payer plus de vingt-cinq cents sur le montant de cette facture
à chaque jour de paie... Si je n'arrive même pas à rembourser ces vingt-cinq cents, je
passerai vous le dire. Je vous dirai: "Je... je ne peux pas le faire cette fois-ci." Et,
avec le secours de Dieu, j'ai remboursé jusqu'au dernier sou. Voyez-vous? Mais c'est
ce que je veux dire, voyez-vous.
MONTRE - NOUS LE PERE ET CELA NOUS SUFFIRA. -- 31.07.1960 (Yakima, Wa,
U.S.A.) §6 : …Mais je n’ai besoin d’argent ; nous devons simplement payer les
dépenses, c’est tout ce qu’on vous demande de faire. Je … Je souhaiterais les
payer moi-même ; je ne voudrais pas demander pour cela.
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Et je … Je n’ai jamais pris une offrande dans ma vie. Je me rappelle une fois, je suis
arrivé à un moment difficile. Combien savent ce que cela signifie ? Ma femme est
assise ici cet après-midi ; elle est de nature un peu timide. Elle m’a regardé quand j’ai
dit ceci. Mais je suis entré juste en venant de …j’é tais en train de travailler. J’ai été
pasteur d’une … du tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans sans
jamais avoir un seul centime de salaire. D’autre part, je mettais l’argent que je
pouvais épargner dans les offrandes, et je payais toujours mes dîmes et ainsi
de suite.
QU’EST-CE QU’UNE VISION. -- 08.04.1956 (Chicago , Il, U.S.A.)
§4 : Il n’y a qu’une chose que je peux dire et ce n’est pas exactement quelque chose
à dire, mais une prière : « Que Dieu vous bénisse ». Si je ne suis jamais capable, et
Dieu ne me laisse jamais faire cela dans cette vie, de montrer mon appréciation pour
tous ces cadeaux venant de chacun… Même une petite fille a mis là dedans une
petite enveloppe, et c’était sa dîme à peu près 8 cents, je pense que c’était cela.
Elle me l’a envoyé comme cadeau d’anniversaire, sa dîme. De cela à ces grands
cadeaux-ci. Oh, que Dieu vous le rende richement, mes chers frères et sœurs. Je ne
pensais pas que vous aviez une telle considération de moi. J’apprécie vraiment cela.
QUESTIONS ET REPONSES. -- 15.10.1961 (Jeff . Ind. U.S.A.)
§117 : Je sais que les gens prennent leur dîme et la donnent à une veuve. C’est
faux. Si vous avez quelque chose à donner à la veuve, donnez-lui, mais ne lui
donnez pas l’argent de Dieu. Ce n’est pas à vous pour commencer. C’est l’argent
de Dieu.
UNE DELIVRANCE TOTALE. -- 11.07.1959 (Jeff. Ind. U.S.A.)
§46 : Les réunions étaient bonnes, amis parce que nous n’avons pas pris
d’offrandes, peu m’importe si l’église vaut cent milliards de dollars, VOUS DEVEZ
TOUJOURS CELA A DIEU, DE PRELEVER UNE OFFRANDE. CELA FAIT PARTIE
DE L’ADORATION. Et alors, vous devez obéir à cela, et autant que j’étais contre les
choses comme cela… Passez simplement le sachet de l’offrande.
Les donateurs pour Dieu
ELIE ET L’OFFRANDE DE FARINE - 10.03.1960 PHŒNIX, AZ, USA §92 :
N’importe quel croyant en Dieu partagera avec un autre jusqu’à ce qu’il n’ait
plus rien. Oui. C’est ce qu’il y a chez les pentecôtistes, ils vont jusqu’à donner
leur propre chemise pour la Cause. C’est juste. C’est la vérité. C’est remarquable,
c’est là une des choses les plus extraordinaires chez eux. Ce sont les plus grands
donateurs du monde, car ils savent que ces biens terrestres ne signifient pas
grand-chose. Ils amassent leurs trésors dans les cieux, parce qu’ils iront là-haut un
de ces jours.
SEPTIÈME SCEAU, LE - E24.03.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA §23 : Plusieurs
généreux donateurs de cette église, qui ont aidé à accomplir cela, comme notre
Frère Dauch et notre Sœur Dauch, assis ici, et bien d’autres qui ont donné très
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généreusement pour le soutien de cette cause. Et je pense qu’en ce moment, c’est
presque déjà tout payé. Alors, nous sommes très reconnaissants de ça.
Gestion rigoureuse de la dîme
LE SCEAU DE DIEU.-- 16.02.1961. (Long Beach, Californie, U.S.A.) §90 : Six
années plus tard, c’est par le train que je me rendis dans la direction de Phœnix, et
descendis à Memphis. Dans le train, la nourriture est chère. Par exemple, une
tartine coûte 55 cents. Je suis donc sorti rapide ment pour acheter une
saucisse, car, je ne pense pas que l’argent que les chrétiens ont offert, doive
être dépensé à la légère et sans discernement.
LE COMPTE A REBOURS. -- 09.09.1962 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.) §8 : Et
quand vous êtes ici, je vois par les dîmes et les choses que vous payez, que
vous avez confiance en nous, sachant que cela contribuera au Royaume de
Dieu. Maintenant, nous sommes responsables, vous voyez et nous devons en
donner les comptes. Aussi nous voulons prendre garde à tout ce que nous faisons ;
pour tout faire aussi parfaitement que nous le pouvons, de la façon dont le Seigneur
le désire, car nous ne savons pas quand est-ce qu’Il nous appellera pour répondre et
pour donner les comptes de tout ce qui nous est parvenu.
LA SECONDE VENUE. -- 20.02.1955 (Matin)(Phx. Az. U.S.A.)
§6 : Et maintenant, et enfin, nous ne sommes pas ici pour récolter l’argent. Je pense
que nous n’avions pas demandé une offrande dans la réunion. Mais aussi tôt que
la…
Je n’ai jamais pris une offrande dans ma vie, jamais dans ma vie ai-je pris une
offrande. Et … mais dans mon église, là où j’étais pasteur, comme un ministre
baptiste, durant 12 ans, je n’avais jamais reçu aucun sous comme salaire, mais- j’ai
travaillé pour les autres. Le Seigneur me gardait en bonne santé, je pouvais
travailler, aussi pourquoi ne pas travailler et être pasteur.
Maintenant, ceci n’est pas le modèle pour tout pasteur, parce que … ? … Un
ministre de l’Evangile ne peut pas sortir et travailler, et prier, et après venir
dans son église… ? Il obtient la visite parmi ses membres et ainsi de suite. Et la
petite dîme et les choses venant des membres et leurs offrandes pouvaient
certainement aider à prendre soin de lui. Et je pense que l’ouvrier mérite son
salaire. Mais dans notre cas, j’ai travaillé dans la conservation … ? … le travail. Et je
pouvais faire un travail public.
Les Contributions
ABANDONNANT TOUT. -- 23.01.1962. (Tempe, Az. U.S.A.)
§26 : …Maintenant, Père, nous prions pour cette église. Nous sommes très contents
que cet endroit… Quand nous relisons dans les jours primitifs où les chrétiens très
haïs et qu’ils ne pouvaient pas avoir une église, qu’ils étaient tellement pauvres qu’ils
ne pouvaient pas construire n’est fût - ce qu’une si ils l’avaient, et voir cela… où
avaient l’occasion de … et alors, aujourd’hui, voir les grandes bonnes structures
évoluant, propre, où les gens sont … peuvent entrer à l’intérieur et adorer Dieu.
Nous sommes très reconnaissants pour ceci, et pour le sacrifice que les gens
font avec leurs dîmes et offrandes et contributions, ont construit cette maison
pour le Seigneur.
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Le péché impardonnable 54-1024 240. Ainsi maintenant, réunissons -nous.
Formons un groupe ici dans ce vieux petit tabernacle, non pas parce que... Si vous
voulez ôter mon nom là sur le devant, cela... On l'a simplement mis là. Appelez cela
comme vous voulez. Je... Cela n'a pas d'importance. Vous pouvez juste l'appeler
église, si vous voulez; ça ne doit pas être un "Branham" Tabernacle. Branham n'a
rien à faire avec cela, rien du tout, rien. On a simplement mis mon nom là parce
que le contrat était établi à ce moment-là en mon nom, on a fixé cela là avec des
clous.
241. Et je suis allé là et j'ai travaillé durant la crise économique et - et les gens
ont apporté leurs dîmes. Au lieu de les conserver sans les utiliser, j'y ai mis
mes propres dîmes, offrandes et de l'argent, et nous avons bâti ce tabernacle.
Et il est bâti avec les aumônes que les gens me donnaient pour me faire vivre.
J'ai travaillé et j'ai replacé cela dans le tabernacle. Et c'est la raison pour laquelle
on appelle cela Branham Tabernacle. Ça n'a rien à faire avec la chose. Qu'on
l'appelle Neville Tabernacle, qu'on l'appelle n'importe comment, cela n'a aucune
importance. C'est juste une petite place que Dieu nous a donnée pour y abriter notre
tête.
DEMONOLOGIE. Domaine Physique. -- 06.06.1953.(Connersville, Ind. U.S.A.)
§32 : Aussitôt que je réunis suffisamment d’argent, je m’y rends aussi, c’est ce que je
fais de chaque penny que j’obtient, et toutes choses, Dieu sait en dehors de ce que
je peux manger. Et la plupart des gens me donnent des vêtements. Et juste en
dehors de ce par quoi je peux à peine vivre moi-même, aussi strictement que
possible simplement, je mets simplement cela directement dans le fonds
missionnaire que le Gouvernement a permis, je ne paye même pas d’impôt sur
revenus pour cela. Jusqu’à ce que j’obtienne trois, quatre à cinq mille dollars, et je
traverse jusque là et je prêche l’Evangile aux gens pour qui je sais à répondre ce
jour-là. Et je saurai ce pour quoi je réponds.
§33 : J’avais l’habitude, lorsque j’entrais dans une ville, et y tenais une grande
réunion, quand on en retira beaucoup d’argent et on avait de grandes
campagnes et des milliers de dollars, je donnais cela à la Croix-Rouge et ainsi
de suite. Maintenant, maintenant, non pas pour leur claquer la porte, mais les
voyant venir dans la rue, dans des voitures coûtant quatre mille dollars,
portant des boutons ayant des gros diamants, et fumant des cigares, et faisant
cinq cent dollars la semaine sur l’argent que les malades… Non, monsieur !
Bien sûr que non. Et en plus de ceci, aussitôt que vous sortez de la ville, ils disent
« Un Saint Comédien » et toutes choses comme cela, se moquant et ridiculisant la
religion que nous soutenons, Non, monsieur !
§34 : Je prends cela moi-même, et devant Dieu comme mon juge, je mets cela dans
le travail de l’Evangile là-bas, ainsi je sais qu’en ce jour là ou je… Lorsque j’aurais à
donner les comptes de ma gestion, c’est donner correctement. C’est tout à fait
juste, parce que je réalise que je traite Dieu de la manière dont je traite les gens.
C’est juste mon attitude envers vous qui est mon attitude envers Christ. Et votre
attitude à mon égard est la même chose, envers Christ, c’est vrai.
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ECOUTEZ-LE. --13.03.1960 (Phx. Az. U.S.A.)
§8 : Maintenant, je désire tous vous remercier de… On vient de me dire à l’instant …
Frère David et mon secrétaire, frère Mercier, viennent de me dire que vous avez fait
deux offrandes à mon intention dans cette réunion. Merci, mes chers amis ! Cette
offrande d’amour sera versée à la fondation du Branham Tabernacle et sera
utilisée pour financer les réunions. Je reçois un salaire de cent dollars par
semaine. Ainsi, cela ira pour le Royaume de Dieu ; Dans chacune de ces églises :
Dans l’église de frère Outlaw, ce matin, et dans l’église de frère Fuller, dimanche
passé, j’ai essayé de les empêcher de le faire mais, au moment où je passai la porte,
frère Fuller mit un chèque dans ma main. J’ai oublié de combien il était
exactement environ cent dollars, je crois, comme offrande missionnaire. Et, ce matin,
l’église de frère Outlaw a donné cent dollars cinquante comme offrande missionnaire
aussi. Elle est entre les mains du secrétaire qui la fera parvenir à la fondation
qui nous envoie outre-mer prêcher l’Evangile. Je prie qu’un jour, au ciel cela
devienne du mortier pour votre demeure éternelle de l’autre côté. Nous vous
remercions tous de votre bienveillante coopération et d’avoir acheté les bandes et les
livres. Ils se financent presque à eux-mêmes.
Quelque fois , nous devons laisser les campagnes acquérir les livres, parce
que, si quelqu’un n’a pas d’argent et qu’il désire le livre, il peut l’avoir de toute
façon gratuitement, c’est vrai. Ce n’est pas l’idée de … Simplement, afin que je
puisse avoir de quoi les réimprimer. Et les frères qui les vendent ont un très petit
salaire. Ils travaillent à plein temps pour la fondation de l’église et pour l’église elle-
même. Si vous désirez un reçu pour vos dons, nous avons maintenant un
numéro à Washington D.C. où vous pouvez obtenir officiellement une réduction de
vos impôts.
L’ORDRE DE L’EGLISE. -- 26.12.1963. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.) §99 :
Maintenant, premièrement, si vous alliez regarder, dans mes livres (ou dans mes
registres – Trad.), à la maison, le nombre de personnes qui sont passées, en
disant: «Je suis le révérend Untel, de telle et telle Église, et bvde pneus», sachant
que je revenais justement d'une réunion où j'avais reçu une offrande, ou quelque
chose comme ça – j'étais prêt à lui donner, pour qu'il aille s'acheter un jeu de pneus.
Quand j'allais ensuite prendre connaissance des registres: jamais un ministre
de ce nom, et ayant vécu à cet endroit, n'avait existé. Et il y a dix ou vingt mille
dollars – c'est inscrit sur les livres – qu'au fil des années j'ai distribués, comme cela;
je n'ai jamais rien su d'eux, ni où ils étaient. Je finissais par apprendre... d'autres
ministres disaient: «Mais, il m'a soutiré, à moi, tel et tel montant!» 100 Or,
l'Église n'est responsable que des siens! C'est vrai. Ils sont responsables des
leurs.
LE PROPHETE ELISEE – Chicago, Illinois, USA – Mardi 2 octobre 1956, soir
45. Il n’y a pas longtemps, quand monsieur Baxter et moi étions là, je suis allé en
Colombie Britannique, au nord, parmi les Indiens et j’ai tenu une petite série de
réunions là, et je descendais avec frère Rasmusson, qui est ici, il est assis juste ici
maintenant. Nous traversions Calgary. Et quand nous étions dans… Edmonton
plutôt. Et pendant que nous étions à Edmonton, là, une soirée dans la réunion, je
revenais de la chasse, après que nous avions tenu une série de réunions, je m’étais
arrêté là. Son mari m’a rencontré là, un homme très noble. Et il a dit… Je portais
juste un petit manteau léger, parce que c’était au début de l’automne et il faisait
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encore chaud là -bas. Et il faisait très froid au Canada. Il voulait me donner ce par-
dessus. Cet homme n’avait jamais manqué, pendant les sept dernières années,
à envoyer la dîme, pour supporter le programme missionnaire que je soutiens,
jamais. C’est un homme loyal, un homme de bien. Et il… Et il se tenait là, ce soir
là, il voulait enlever son manteau pour me le donner. J’ai dit: «Non, Frère Gobel. Qu’Il
bénisse votre coeur, certainement pas. «Et puis, à Noël, il envoie toujours un
beau petit cake ou quelque chose comme cela aux enfants, ou une petite
poupée ou quelque chose comme cela, juste pour être gentil. Non pas parce
qu’il n’y a pas autre chose, mais il est juste ce genre d’homme.
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