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Droit Dentreprise

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INTRODUCTION

Ce cours explore les différents branches du droit qui influencent la vie d'une entreprise, telles que e
droit commercial. Le droit fiscal, le droit du travail permettant ainsi au futur économiste et
gestionnaires, de mieux comprendre les enjeux juridique auxquels ils seront confrontés

CHAPITRE 1 : DROIT COMMERCIAL


* Questionnement

1. Qu'est-ce qu'une entreprise individuelle ?

2. Quant est-elles est commerciale ?

3. y a-t-il des limites à l'exercice du commerce ?

4. Y a-t-il des conditions juridiques pour l’exercice du commerce ?

Section 1. Les actes du commerce

Le code du commerce répond a celte questionne en 2 Etupes

-Dons une première étape. Le code de commerce précise

«Sont commerçant ceux qui exercent des actes de commerce et an font leur profession habituelle»

Dons une deuxième étape, il énumère les arts de commerce.

1. Qu'est-ce qu'un acte de commerce ?

L'acte de commerce par nature

Le code de commerce énumère les actes caractéristiques de l'activité commerciale, dits actes de
commerce « par nature » : Ainsi accomplit un acte de commerce par

Nature :

- celui qui achète des denrées ou des marchandises pour les revendre, soit telles quelles, c'est le cas
du plus grand nombre des commerçants, soit transformées (ex. : achat de tissus revendus sous forme
de robes, manteaux, costumes, etc.)

- celui qui achète des denrées ou des marchandises pour en louer l'usage (ex ; achat de véhicule pour
en faire la location)

- celui qui entreprend la transformation des matières premières en objets de consommation (ex. :
c'est le cas des industriels)

- celui qui achète ou vend pour le compte d'une personne (commissionnaire) (exarchat de
marchandises pour le compte d'un client étranger, vente de marchandises pour le compte d'un
producteur étranger)

- celui qui met en présence le vendeur et l'acheteur d'un produit (ex ; l’intermédiaire qui met en
relation un fabricant de chaussures et le détenteur d'un lot de cuirs)

Celui qui entreprend le transport de marchandises, (transport terrestre, maritime,

Fluviale ou aérien) :
- Celui qui reçoit des dépôts de fonds des particuliers et qui prête à d'autres

- Celui qui se charge d'acheter ou de vendre des fonds de commerce, etc.

A partir de cette énumération non exhaustive, on peut définir l'acte de commerce comme étant :

« L’acte qui réalise une entremise dans la circulation des richesses, effectuée avec l'intention de
réaliser un profit pécuniaire ».

L'acte de commerce par accessoire

C'est l'acte accomplit par le commerçant pour l'exercice de sa profession. Ainsi l'achat d'une
camionnette fait par un marchand de légumes pour lui permettre de transporter ses marchandises,
s'il n'est pas un acte de commerce par nature (le véhicule n'est pas acheté pour être revendu avec
profit), n'en est pas moins acte de commerce puisqu'il est fait pour faciliter l'exercice de ce
commerce.

En revanche, bien sûr, les actes que le commerçant accomplit sans rapport avec l'activité
commerciale sont des actes civils (achat d'une maison, d'un véhicule pour un usage privé).

L'acte de commerce par la forme

Certains actes sont commerciaux, quelle que soit l'activité de celui qui les fait, en raison de leur
forme : signature d'une lettre de change, activité exercée par certaine type de société.

2. Pour être commerçant il faut faire des actes de commerce par nature

Seule la pratique d'actes de commerce par nature donne la qualité de commerçant. Il est évident que
les actes de commerce par accessoire ne donnent pas cette qualité :

Ils ne sont, eux-mêmes, commerciaux que parce qu'ils sont faits par un commerçant. Quant à la
signature répétée de lettres de change, la loi estime logiquement que cela n'est pas une activité
professionnelle, donc, elle ne peut donner la qualité de commerçant

3. pour être commerçant il fout faire des actes de commerce professionnellement

. L’activité commerciale doit être exercée de façon répétitive et régulière. Une personé qui réaliserait
ponctuellement un acte de commerce ne serait pos commençante.

. La profession peut être considérée comme l’exercice d'une activité dons un but lucratif. Une
profession est destinée à procurer des ressources. La répétition

D’acte de commerce doit constituer.

4. L'exercice de la profession doit être pratiqué de manière personnelle et indépendante

Le gérant salarié d'une entreprise n'agit pas pour son compté mais pour celui de son employeur. Il
n'a pas d'indépendance, il n'est donc pas commerçant bien qu'il fasse des achats pour revendre avec
bénéfice.

5. L'exercice de la profession doit être pratiqué à titre principal

Pour être commerçant il ne suffit pas d'exercer une activité commerciale à titre professionnel et de
façon indépendante, il faut aussi que les activités commerciales exercées ne soient pas une simple
conséquence, un simple prolongement d'une activité civile qui constituerait la profession principale.
Ainsi l'association sportive (dont l'activité est civile) qui vendrait des équipements avec un léger
bénéfice qu'elle utiliserait pour moderniser ou entretenir les salles ne serait pas commerçantes.

Remarque : Les artisans ont une activité voisine de celle des commerçants.

Ils s'en distinguent :

- soit par les conditions d'exercice de leur activité : la source de leurs revenus se trouve surtout dans
le travail qu'ils fournissent (ex. coiffeuse, conducteur de taxi indépendant...) :

-soit par l'appartenance de l'entreprise au secteur des métiers en raison de sa dimension et de son
objet (ex. entreprise de réparation automobile). La distinction entre le commerçant et l'artisan
permet à ces derniers de bénéficier des dispositions juridiques favorables au commerçant mais
d'échapper à certaines obligations de la profession commerciale.

Section 2. Les conditions juridiques de l'exercice du commerce

Les limitations tenant aux personnes

Le mineur émancipé : la loi autorise le mineur à exercer le commerce sous certaines conditions.
Celui-ci doit être émancipé, il doit être spécialement autorisé à

Exercer le commerce par son père ou par sa mère ou par son tuteur. L'acte d'autorisation doit être
enregistré et affiché au tribunal de première instance du domicile commercial du mineur.

* La femme mariée : les conditions relatives l'exercice du commerce par la femme ont énormément
évolué au Maroc. La législation antérieure (art 6 du DCC) précise que la femme ne peut faire le
commerce sans le consentement de son mari.

Les conditions juridiques de l'exercice du commerce

* Incompatibilités : l'exercice du commerce est incompatible avec certaines professions telles que
celles :

* Les membres des professions libérales (avocats, médecins, architectes, commissaires aux comptes,
conseils juridiques ...), O Les officiers ministériels (notaires, huissiers)

Je Les fonctionnaires publics (fonctionnaires de l'administration, magistrats, militaires).

Certaines activités commerciales ne peuvent être exercées par des personnes physiques mais
seulement par des sociétés, telles, par exemple les activités les activités de recherche et
d'exploitation d'hydrocarbure, etc.

Les interdictions

* La loi interdit à certains condamnés d'exercer le commerce. Il s'agit notamment des personnes
condamnées à des peines d'emprisonnement pour crime, vol, escroquerie, abus de confiance ...

* Les personnes ayant subi une faillite judiciaire ne peuvent plus exercer une activité commerciale.

Section 3 : Les obligations du commerçant

1. Immatriculation au registre de commerce

La situation juridique du futur commerçant, son état civil, sa forme juridique, sa durée, l'identité des
dirigeants pot les sociétés ;
- L'adresse du lieu d'exploitation, du siège social, des succursales ;

- Le montant du capital ;

- La nature de l'activité.

Le RC est un registre public. Toute personne intéressée peut le consulter.

Les numéros d'inscription au RC doit être mentionné sur tous les documents de l'entreprise : facture,
lettres, publicité... afin que les tiers le connaissant puissent obtenir du RC les renseignements qui
leurs sont utiles.

Les sociétés ont la personnalité morale à dater de leur inscription au RC

Information des organismes sociaux

L'entreprise doit s'affilier aux différents régimes de la sécurité sociale :

- régime général pour les salariés de l'entreprise ;

- régime de retraite.

Information des services fiscaux

Le commerçant doit se faire connaître de l'administration fiscale pour payer les impôts directs et
indirects. Au cours de la vie de l'entreprise, il devra informer le centre des impôts de toute
modification des caractères de l'entreprise qui le concerne (changement de siège social, de forme
juridique, par exemple), et de sa volonté de modifier son régime d'imposition.

Les obligations comptables

Les livres comptables obligatoires

Trois livres doivent obligatoirement être tenus par les commerçants :

Le livre journal sert à enregistrer toutes les opérations effectuées par l'entreprise au jour le jour.

Le grand livre permet de classer méthodiquement dans des comptes ouverts les écritures portées
chronologiquement au livre journal.

Le livre inventaire sur lequel on reporte chaque année l'inventaire, le bilan le

Compte de résultat et l'annexe.

Ouverture d'un compte bancaire ou postal :

Le commerçant devra obligatoirement utiliser un compte-chèques pour recevoir ou effectuer


certains payements. En effet, le règlement importants (> à 10 000 drh) doivent légalement être payés
par chèque. Cela permet ad fisc d'opérer un contrôle plus sûr que si les règlements étaient réalisés
en espèces.

Conservation des documents comptables et de la correspondance pendant 10 Ans, car ce sont des
moyens de preuve valables en droit commercial

Les éléments incorporels du fonds de commerce

1. clientèle et de l'achalandage (situation du fonds de commerce. l'enseigne, le nom


commercial, le droit au bail
2. Le droit au bail (propriété commerciale)

Le droit de jouissance des locaux loués est particulièrement étendu lorsque le locataire exerce la
profession commerciale. Le droit au bak lui confère en effet la propriété commerciale, c'est-à-dire un
véritable droit au renouvellement de son bail, à défaut duquel le bailleur doit lui verser une
indemnité d'éviction. Le droit au bail présente deux intérêts essentiels

*L'emplacement occupé est ouvert, en particulier dans le commerce de détail, Elément primordial du
succès commercial, à tel point que l'on considère généralement que la cession de bail équivaut à une
cession de fonds de commerce.

Le bail commercial constitue donc normalement l'élément de reconnaissance et de fixation de la


clientèle commerciale

Le bail commercial peut être cédé à un autre commerçant, la cession de bail

Constitue alors une opération fructueuse de la vie commerciale pour le vendeur qui demande à cette
occasion le versement d'un « pas de porte ».

3. Les éléments d'individualisation du fonds de commerce

Le nom commercial

Le nom désigne le commerçant ou la société au, pour les sociétés civiles, de raison sociale. C'est le
nom sous lequel l'entreprise exerce son activité. Alors que le nom civil est un droit de la personnalité
et ne peut être cédé, le nom commercial est un élément du fonds de commerce et peut être transmis
avec lui ou à titre isolé. Le nom commercial est donc un objet de propriété incorporelle. Celui qui use
d'un nom commercial et d'une enseigne, a le droit d'en interdire l'usage à d'autres, en cas de risque
de confusion.

L’enseigne commerciale

Elle individualise non pas l'entreprise, mais son établissement géographique, sa réglementation est
identique à celle du nom commercial. L'enseigne, qui distingue la fleur d'établissement de
l'entreprise, peut être constituée d'un emblème, d'un signe ou d'un mot

4 les droits de propriété industrielle

La propriété industrielle comprend principalement les brevets d'invention, les dessins et modèles,
les marques de fabrique, de commerce et de service. Les droits de propriété industrielle sont donc
des éléments classiques de la vie des affaires ; on en distingue deux catégories : des droits sur des
créations Novelles et des droits sur des signes distinctifs, soumis à un régime spécifique.

Le droit correspondant à ces créations est accordé à l'inventeur à qui est délivré, sur sa demande, un
titre administratif, appelé brevet d'invention lui attribuant un monopole d'exploitation de l'invention
pendant 20 ans non renouvelables.)L'obtention du brevet permet à son auteur d'exercer, en
compensation de la divulgation de son invention, un monopole de fabrication, d'utilisation et de
commercialisation de son invention pendant 20 ans

5. Les autorisations d'exploitation

L'exercice de nombreuses professions commerciales est aujourd'hui subordonné à l'octroi


d'autorisations administratives qui portent d'ailleurs, en pratique, des noms divers : licence,
agrément, autorisations. Tel est le cas par exemple des professions de transports, de pharmacies...
Certaines de ces autorisations ont un caractère personnel (licence d'exploiter une pharmacie).

Les éléments corporels du fonds de commerce

Le matériel et l'outillage

Les marchandises

Les éléments incorporels du fonds de commerce

1- clientèle et de l'achalandage (situation du fonds de commerce, l'enseigne, le nom commercial, le


droit au bail.

2-Le droit au bail (propriété commerciale)

Le droit de jouissance des locaux loués est particulièrement étendu lorsque le locataire exerce la
profession commerciale. Le droit au bail lui confère en effet la propriété commerciale, c'est-à-dire un
véritable droit au renouvellement de son bail, à défaut duquel le bailleur doit lui verser une
indemnité d'éviction. Le droit au bail présente deux intérêts essentiels.

*L'emplacement occupé est souvent, en particulier dans le commerce de détail, l'élément primordial
du succès commercial, à tel point que l'on considère généralement que la cession de bail équivaut à
une cession de fonds de commerce.

Le bail commercial constitue donc normalement l'élément de reconnaissance et de fixation de la


clientèle commerciale.

Le bail commercial peut être cédé à un autre commerçant, la cession de

Bail

Constitue alors une opération fructueuse de la vie commerciale pour le vendeur qui demande à cette
occasion le versement d'un « pas de porte ».

Section II. L'exploitation du fonds de commerce

I. L'exploitation par le propriétaire du fonds de commerce

La propriété du fonds de commerce peut résulter de sa création ou de son acquisition par


l'entrepreneur, elle peut être aussi la conséquence d'un crédit-bail.

1. Le crédit-bail du fonds de commerce

Par cette technique, le commerçant à la possibilité d'acquérir progressivement la propriété de son


fonds. Dans une première étape, l'entrepreneur n'est que locataire de son fonds, puis à l'expiration
du bail, il lui est possible d'opter pour l'option d'achat qui lui était originairement consentie,
moyennant un prix résiduel.

II. La location-gérance du fonds de commerce,

Les mots location-gérance et gérance libre sont synonymes. Ils désignent un contrat de bail mobilier,
et plus précisément l'opération par laquelle le propriétaire d'un fonds de commerce (qu'on appelle
bailleur ou loueur), donne ce fonds de commerce en location à un preneur nommé gérant libre ou
locataire gérant. Ce dernier a la qualité de commerçant, est inscrit au registre du commerce, exploite
le fonds sous sa propre responsabilité et verse au loueur des redevances (loyer).
Section III. Les opérations relatives au fonds de commerce

Comme tout bien, le fonds de commerce peut être cédé à titre onéreux, c'est-à-dire vendu ou encore
apporté en société. Il peut aussi faire l'objet d'un nantissement, la valeur du fonds de commerce lui
permet, alors de devenir un instrument de crédit, de sorte qu'un créancier prêtera de l’argent contre
prise d'un gage portant sur le fonds de commerce.

I. La vente du fonds de commerce

La vente ou cession d'un fonds de commerce peut porter, selon les cas, sur tout ou partie des
éléments énumérés ci-dessus : marchandises, droit au bail, etc.

Toutefois l'achalandage et la clientèle formant les éléments essentiels doivent toujours être compris
dans une vente du fonds de commerce

1. Les conditions de validité de la vente de fonds de commerce

Conditions de fond

Capacité des parties

Prix de vente

Conditions de forme

Le contrat de vente du fonds de commerce doit être écrit. Cet écrit peut être authentique ou sous
seing privé et doit, de plus, être enregistré pour acquérir date certaine et pouvoir être opposable aux
tiers. Cet écrit doit comporter un certain nombre de mentions obligatoires :

* Le nom du précédent vendeur, la date et la nature de son acte d'acquisition et le prix de cette
acquisition pour les éléments incorporels, les marchandises et le matériel ;

* l'état des privilèges et nantissements grevant le fonds ;

* s'il y a lieu le bail, sa date, sa durée, le montant du loyer, le nom et l'adresse du bailleur.

Si les mentions prescrites ont été omises, le tribunal peut déclarer la vente nulle s'il estime cette
omission déterminante pour l'acquéreur. L'acheteur à un an pour agir ; à défaut il peut toujours se
fonder sur un, vice du consentement (erreur ou dol).

Protection du vendeur du fonds de commerce

Le vendeur accordant parfois un payement échelonné, il faut le protéger contre l'insolvabilité de


l'acheteur. La loi lui donne un privilège, il dispose également de l'action résolutoire

Qu'est-ce qu'une entreprise individuelle ?

* Le propriétaire unique de L'entreprise individuelle est une personne physique

Cette personne est le chef d'entreprise et elle seule a le pouvoir de direction et de décision.
L'entrepreneur individuel est celui qui fait des affaires en son nom personnel et pour son compte.
C'est une personne physique qui agit seul

L’entreprise rassemble et parfois oppose, trois catégories de participants : les dirigeants, les salariés
et les partenaires.

1. Les dirigeants
Dans l'entreprise individuelle, le dirigeant dispose de très larges pouvoirs qui trouvent leur
contrepartie dans une responsabilité très étendue. Les pouvoirs de l'entrepreneur résultent des
notions de propriété et de contrat.

2. Les salariés

Il est lié à l'entreprise par un contrat de travail qui détermine la tâche confiée à l'employé et sa
rémunération. L'activité salariée est exercée/ sous la dépendance de l'entrepreneur et le lien de
subordination qui en résulte permet de distinguer des fonctions accomplies par un professionnel
indépendant (concessionnaire, agent commercial, commissionnaire ou courtier).

3. Les partenaires

Dans le contexte économique actuel, l'entreprise ne pourrait vivre sans l'apport permanent d'un
certain nombre d'auxiliaires. L'un des partenaires essentiels de l'entreprise est évidemment
l'établissement financier dont l'intervention est nécessaire au développement de l'entreprise

4. Les pouvoirs publics

Ils interviennent dans différents secteurs : droit de la concurrence, droit du travail, droit fiscal pour
essayer de faire respecter l'équilibre entre le forces en présence indispensable au bon
fonctionnement du marché.

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