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Geometrie Dans L Espace Vecteurs Et Produit Scalaire Fiche Resume

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Géométrie dans l’espace.

4 Vecteurs dans l’espace


Vecteurs et produit scalaire.
On étend la notion de vecteur du plan a l’espace. Les definitions et
propriétés du plan restent valables dans l’espace :
1 Relations entre droites et plans −→ −−→
• AB = CD ⇔ ABDC est un parallélogramme
• On définit−→
l’addition
−→ de deux vecteurs a l’aide de la relation de
−−→
Deux droites peuvent être parallèles, sécantes ou non coplanaires.
Chasles : AB + BC = AC
Une droite et un plan peuvent être parallèles ou sécants.
Deux plans peuvent être parallèles ou sécants • On définit le produit d’un vecteur par un réel par un vecteur de
même direction λ~u
Colinéarité
2 Parallélisme
• ~u et ~v colinéaires ⇔
∃ k ∈ R, ~v = k~u
−−→ −→
Théorème du toit : Si deux droites d1 et d2 sont deux parallèles • A, B, C alignés ⇔ ∃ k ∈ R, AC = kAB
contenues respectivement dans deux plans sécants P1 et P2 en une −−→ −→
• (AB) // (CD) ⇔ ∃ k ∈ R, CD = kAB
droite ∆ alors la droite ∆ est parallèle aux droites d1 et d2 .

Plans parallèles : Un plan P coupe deux plans parallèles P1 et P2


en deux droites d1 et d2 parallèles. 5 Coplanarité

Un plan P est défini par un un point A et un couple de vecteurs


3 Orthogonalité (~u,~v) appelés vecteurs directeurs de P.
Le plan (ABC) est l’ensemble des points M tels que :
−−→ −→ −−→
On dit que deux droites, d1 et d2 sont perpendiculaires si, et seule- AM = xAB + yAC ( x, y) ∈ R2
ment si, d1 et d2 sont sécantes en angle droit.
On dit que deux droites, d1 et d2 sont orthogonales si, et seulement
si, il existe une parallèle ∆ à d1 qui est perpendiculaire a la seconde.
On ecrit indistinctement : d1 ⊥ d2 . Vecteurs et points coplanaires
• ~u, ~v et w ⇔ ∃( a, b) ∈ R2 , w
~ coplanaires ~ = a~u + b~v
−−→ −→ −−→
Droite et plan orthogonaux : Une droite ∆ est orthogonale à un 2
• A, B, C, D coplanaires ⇔ ∃( a, b) ∈ R , AD = aAB + bAC
plan P si, et seulement si, il existe deux droites sécantes, d1 et d2 de
Remarque : il faut alors résoudre avec les coordonnées un système
P en un point I perpendiculaire à ∆.
de trois équations a deux inconnues.
∆ est alors orthogonale à toute droite du plan P

PAUL M ILAN DERNIÈRE IMPRESSION LE 11 juin 2014 à 17:41 T ERMINALE S


6 Dans un repère 8 Produit scalaire

On appelle produit scalaire de deux vecteurs ~u( x; y; z) et ~v( x ′ ; y′ ; z′ )


Dans un repère (O, ~ı, ~, ~k), on détermine un point ou un vecteur le réel noté ~u · ~v défini par l’une des trois relations suivantes :
par trois coordonnées : l’abscisse, l’ordonnée et la cote.
1
1) ~u · ~v = ||~u + ~v||2 − ||~u||2 − ||~v||2

On obtient les relations identiques au plan : 2
−→ 2) ~u · ~v = xx ′ + yy′ + zz′
• AB ( xB − xA ; yB − yA ; zB − zA )
3) ~u · ~v = ||~u|| × ||~v|| cos(~u, ~v)
xA + xB yA + yB zA + zB
 
• I milieu de [AB] : I ; ;
q 2 2 2
• AB = ( xB − xA ) + (yB − yA ) + (zB − zA ))2
2 2
Propriétés :
Le produit scalaire est :
• commutatif : ~u · ~v = ~v · ~u
• bilinéaire : ~u(~v + w ~ et ( a~u) · (b~v) = ab ~u · ~v
~ ) = ~u · ~v + ~u · w
Si ~u et ~v sont colinéaires alors : ~u · ~v = ±||~u|| × ||~v||.
7 Représentation paramétrique d’une droite et d’un plan Le signe dépend du sens des deux vecteurs.
[ on a alors :
On appelle θ = BAC,
Soit une droite d passant par un point A( xA ; yA ; zA ) et de vecteur π −→ −−→
• Si 0 6 θ < alors AB · AC > 0
directeur ~u( a; b; c), on appelle représentation parametrique de la 2
droite d, le système d’équations paramétriques suivant : π −→ −−→
 • Si θ = alors AB · AC = 0, ABC est alors rectangle en A
 x = xA + at
 2
y = yA + bt t∈R π −→ −−→
• Si θ > alors AB · AC < 0.


z = zA + ct 2

9 Équation cartésienne d’un plan

Soit un plan P passant par un point A( xA ; yA ; zA ) et de vecteurs


Le vecteur ~n est normal au plan P si, et seulement si, toute droite
directeurs ~u( a; b; c) et ~v(α, β, γ), on appelle représentation paramé-
de vecteur directeur ~n est orthogonale au plan P.
trique du plan P,le système d’équations paramétriques suivant :
 x = xA + at + αs
 Un plan P est défini par un point A et un vecteur normal ~n. Tout
y = yA + bt + βs (t, s) ∈ R 2 point M du plan P vérifie :
 −−→
z = zA + ct + γs AM · ~n = 0

PAUL M ILAN T ERMINALE S


On réitère cette opération pour la face gauche ADHE et H G
I
Théorème : Une droite ∆ est orthogonale à un plan P si, et seule- la face du dessous ABCD : K b
b

• On détermine l’intersection de la droite (MJ) avec la E b

ment si, deux droites sécantes de P sont perpendiculaires à ∆. L


droite (AE) qui contient l’arête [AE] appartenant aux F
faces ADHE et ABFE. On note N leur point d’intersec-
tion. Comme N ∈ (MJ) donc N ∈ (IJK).
• Comme N ∈ (AE), donc N appartient au plan (EAD)
Théorème : Deux plans P1 et P2 de vecteurs normaux respectifs
contenant la face ADHE. On trace alors la droite D M C
~n1 et ~n2 sont perpendiculaires si, et seulement si, ~n1 · ~n2 = 0 (NI) dans le plan (EAD) qui coupe [AD] en O.
O
Comme O ∈ (NI), O ∈ (IJK). b

• Ainsi [OI] et [OJ] constituent les intersections du plan A J B


(IJK) avec les faces de gauche ADHE et de dessous
Équation d’un plan : l’équation cartésienne d’un plan P est de la ABCD. On trace ces segments en rouge et en pointillé
forme : car ces segments sont sur des faces cachées.
• La section du cube ABCDEFGH par le plan (IJK) est le
ax + by + cz + d = 0 a, b, c non tous nuls pentagone IKMJO. N

Le vecteur ~n( a, b, c) est alors normal au plan P


Remarque : Comme les faces EFGH et ABCD dont parallèles. Le plan (IJK)
coupe ces faces en des segments parallèles. Il en est de même pour les faces
BCGH et ADHE. On a donc :
10 Section d’un cube par un plan
(IK) // (OJ) et (KM) // (IO)
• L’intersection, lorsqu’elle existe, d’une face par le plan (IJK) est un segment
• Une droite doit être tracée dans un plan contenant la face du cube
• Si deux points M et N du plan (IJK) sont sur une face, on relie M et N, cela 11 Volume d’une pyramide et d’une sphère
donne l’intersection de (IJK) et de cette face
• La section du cube par le plan (IJK) est un polygone. • Pyramide • Sphère
A

Dans notre construction : R


• On trace [IK] en rouge qui est l’intersection du plan
(IJK) avec la face du haut EFGH. h =1.6 b

• On ne peut pas relier J à I ou K car ces segments ne H G


I
sont pas sur une face du cube. K
b

E
b
B D
• On cherche l’intersection de (IJK) avec la face avant
b

L B b

ABFE. Pour cela, on détermine l’intersection de la F H


droite (IK) avec la droite (EF) qui contient l’arête [EF] B×h 4
appartenant aux faces EFGH et ABFE. On note L leur V= V= πR3
3 3
point d’intersection. Comme L ∈ (IK) donc L ∈ (IJK). C
4 R2
• Comme L ∈ (EF), donc L appartient au plan (EFB) D M C
contenant la face ABFE. On trace alors la droite
(JL) dans le plan (EFB) qui coupe [FB] en M. b

Comme M ∈ (JL), M ∈ (IJK). A J B


• Ainsi [JM] et [KM] constituent les intersections du
plan (IJK) avec les faces avant ABFE et de droite
BCGF. On trace ces segments en rouge

PAUL M ILAN T ERMINALE S

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