Evalbox QCM Id 47859 - Exam ID 84385 06/04/2020
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1 Le champ magnétique créé dans le vide en un point à l'extérieur d'une bobine par le courant i la traversant :
- Est nul
- Est proportionnel au courant
- Créerait nécessairement un courant dans une bobine voisine par induction
- s'oppose au courant qui lui a donné naissance en vertu de la loi de modération de LENZ
2 Le flux de champ magnétique traversant une spire
- s'écrit toujours B*S avec S la section de la spire
- varie nécessairement si la spire est en mouvement dans un champ magnétique
- est toujours proportionnel au courant circulant dans la spire
- peut être nul dans des configurations particulières même en présence de champ magnétique
3 L'inductance mutuelle M entre deux circuits électriques
- devient égale à l'auto-inductance moyenne des deux circuits lorsque ceux-ci sont très éloignés
- n'apparait pas dans un bilan d'énergie puisqu'une énergie magnétique s'écrit 1/2. L. i2
- implique que le flux magnétique créé par 1 sur 2 égale celui qui est créé par 2 sur 1
- participe à la fem d'induction
- est à l'origine du principe de fonctionnement des transformateurs
4 La conversion électromagnétique à 100% consistant à affirmer que la somme algébrique de la puissance électrique reçue
par la fem d'induction et de la puissance mécanique reçue des forces de Laplace
est nulle :
- n'est plus vérifiée si on tient compte des frottements mécaniques et de l'effet Joule
- permet de réaliser des bilans a priori mécanique ou a priori électrique cohérents avec le bilan d'énergie du système
électromécanique global.
- permet de relier les couple et vitesse angulaire à la fem d'induction et l'intensité du courant
- est mis en défaut en régime non-stationnaire puisque l'énergie magnétique n'est plus constante
5 Une spire de résistance R (non nulle) court-circuitée sur elle-même et en mouvement de rotation autour d'un de ses
diamètres dans un champ B uniforme et constant :
- subit les mêmes interactions que si elle était fixe dans ce champ B tournant dans le sens inverse
- perd de l'énergie en permanence sous forme thermique par effet joule si sa frontière n'est pas calorifugée
- ne présente a priori aucune auto-inductance
- est nécessairement en mouvement de rotation uniforme
- présente une résultante des actions de Laplace dont le point d'application est au centre de la spire
6 La loi de Faraday :
- est une version intégrale d'une équation de Maxwell
- permet de choisir indépendamment l'orientation de la fem et du flux magnétique
- implique nécessairement l'apparition d'un courant électrique et donc d'une action de Laplace sur le circuit
- concerne aussi bien les circuits fixes dans les champs B variables que les circuits mobiles dans les champs B uniformes et
constants
7 La conservation de la charge électrique :
- implique que la densité volumique de courant est à flux conservatif dans l'ARQS magnétique
- implique nécessairement la loi des noeuds en régime continu et variable
- implique que la densité volumique de courant est à flux conservatif dans l'ARQS électrique
- implique que la charge d'un sytème est constante
8 Une OPPH est une :
- solution particulière de l'équation de d'Alembert
- solution générale de l'équation de d'Alembert
- solution stationnaire de l'équation de d'Alembert
- onde monochromatique
- onde qui permet de tester l'aspect dispersif d'un milieu propagateur
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9 Une Onde Plane Progressive :
- progresse nécessairement dans la direction du vecteur champ E
- ne peut pas être qualifiée d'onde régressive
- ne peut pas être qualifiée d'onde stationnaire
- est nécessairement harmonique
- peut subir de la dispersion et de l'atténuation au cours de sa propagation
10 Le vecteur d'onde k d'une OPPH dans un milieu quelconque donne :
- la direction et le sens de propagation de l'onde
- la fréquence de l'onde
- la longueur d'onde dans le milieu
- la direction du vecteur de Poynting
- l'orientation des plans équiphases
11 Pour une OPPH électromagnétique seule dans le vide :
- la puissance traversant une surface droite est une fonction quadratique du champ E
- la vitesse de phase est proportionnelle à la pulsation spatiale
- la polarisation est a priori rectiligne
- la polarisation est a minima elliptique
- elle est nécessairement transversale
12 Dans les métaux la loi d'Ohm locale :
- modifie l'équation d'onde sur E qui n'est plus une équation de d'Alembert
- affirme la proportionnalité de la densité de courant au champ E local quelque soit la fréquence
- est vérifiée sous sa forme usuelle pour des rayonnements X ou gamma
- explique (avec les équations de Maxwell) l'"effet de peau" pour les "basses fréquences"
13 Les ordres de grandeur suivants sont exacts :
- Une épaisseur de peau à 50Hz est de l'ordre de quelques centimètres
- Les ondes "centimétriques" (microondes) ont des fréquences de l'ordre du kHz
- Les rayons X ont des longueurs d'onde entre le centième de nm et la dizaine de nm
- Les ondes radio ont des longueurs d'onde de l'ordre du mm.
14 Dans le modèle du conducteur parfait (conductivité infinie) soumis à une onde électromagnétique OPPH en incidence
normale :
- les champs E et B sont nuls dans le conducteur
- l'onde réfléchie a une fréquence différente de l'onde incidente
- l'onde résultante (incidente + réfléchie) n'est plus plane
- l'onde résultante (incidente + réfléchie) est stationnaire
- les noeuds de champ électrique sont positionnés à des nombres entiers de demi longueurs d'onde de la face métallique
réfléchissante
- les noeuds de champ magnétique sont positionnés à des nombres entiers de demi longueurs d'onde de la face métallique
réfléchissante
15 Un cable coaxial :
- a une impédance de ligne dépendant de ses dimensions transversales et du milieu diélectrique isolant séparant le coeur de
la gaine.
- ne renvoie (réfléchit) pas de signal électrique s'il est "à vide" (branché sur rien à son extrémité)
- n'a pas de résistance ohmique
- est un milieu propagateur non-dispersif
- permet la mesure de la célérité de l'onde électromagnétique dans le diélectrique séparant la gaine du coeur
16 En régime variable, un condensateur fixe :
- est traversé par des porteurs de charges passant d'une armature à l'autre
- a un champ magnétique nul en son sein et dans son environnement proche
- a une capacité constante
- porte des charges constantes
- a une capacité croissante avec les surfaces en influence (en regard)
- a une capacité croissante avec l'écart entre les "armatures"
17 La loi de Faraday :
- implique qu'un circuit mobile dans un champ magnétique présentera une fem quelquesoit son mouvement
- peut être utilisée pour calculer la fem apparaissant dans un circuit fixe dans un champ magnétique variable
-
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permet d'exprimer une puissance électromotrice dans le référentiel du circuit électrique fermé
- nécessite une cohérence d'orientation entre le flux et les sens de l'intensité du courant dans le circuit
- donne une fem nulle si le circuit électrique est ouvert
18 Le théorème d'Ampère en régime variable :
- ne doit plus s'écrire avec des courants "enlacés" mais des courants traversant une surface déterminée
- implique que le champ B n'est plus à flux conservatif
- ne fait pas intervenir le champ E
- ne peut s'appliquer autour d'un condensateur
- devient équivalent au théorème d'Ampère en statique dans l'hypothèse de l'ARQS magnétique
19 Cette composante électrique d'un champ électromagnétique correspond à :
- une onde polarisée rectilignement
- une onde d'amplitude constante au cours de sa propagation
- une onde se propageant dans le vide
- une onde plane
- une onde de fréquence 2 kHz
- une onde se propageant à 45° des axes x et y
- une onde transverse électrique
20 La composante vectorielle magnétique B d'une OPPH électromagnétique se propageant dans le vide :
- a une divergence nulle
- a une composante longitudinale (dans le sens de sa propagation)
- a une longueur d'onde unique et identique à celle de la composante électrique
- a une polarisation nécessairement circulaire
- a une moyenne temporelle nulle sur un nombre entier de périodes
- a une norme proportionnelle à la racine carrée de la puissance rayonnée par unité de surface
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