0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
150 vues22 pages

Rappel PAPM Bts (Enregistré Automatiquement) (Enregistré Automatiquement) (Enregistré Automatiquement)

Transféré par

spccp8j2y2
Copyright
© © All Rights Reserved
Nous prenons très au sérieux les droits relatifs au contenu. Si vous pensez qu’il s’agit de votre contenu, signalez une atteinte au droit d’auteur ici.
Formats disponibles
Téléchargez aux formats PDF, TXT ou lisez en ligne sur Scribd
0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
150 vues22 pages

Rappel PAPM Bts (Enregistré Automatiquement) (Enregistré Automatiquement) (Enregistré Automatiquement)

Transféré par

spccp8j2y2
Copyright
© © All Rights Reserved
Nous prenons très au sérieux les droits relatifs au contenu. Si vous pensez qu’il s’agit de votre contenu, signalez une atteinte au droit d’auteur ici.
Formats disponibles
Téléchargez aux formats PDF, TXT ou lisez en ligne sur Scribd
Vous êtes sur la page 1/ 22

La prothèse

Amovible partielle
Rappels
2 janvier 2018 métallique
Définition
Notions de Base

C’est une prothèse a appuis mixte (dentaire et fibro-muqueux) restaurant un


édentement partiel et dont la plaque base est métallique.

Cours BTS prothèse dentaire Mechaly Rebecca


2

Les indices biologiques


Le praticien établit le tracé de la future prothèse d’après les résultats de son
examen clinique, ce tracé va dépendre d’un certain nombre de facteurs que
l’on peut diviser en deux groupes, suivant qu’ils sont favorables ou non à la
prothèse.
Les indices positifs
Le premier groupe comprend les éléments favorables, susceptibles de fournir
un support valable. Ils sont, soit anatomiques, soit physiologiques. Ils
déterminent la forme de la prothèse décolletée et assurent son équilibre
fonctionnel.
1. Points de contact
2. Axes longitudinaux des crêtes
3. Tubérosités
4. Trigones

Les indices négatifs


Le deuxième groupe concerne les éléments qu’il va falloir éviter ou protéger,
afin de respecter l’intégralité tissulaire
1. Le raphé médian
2. Les papilles palatines ou bunoïdes
3. Voile du palais
4. Zone de Schröder
5. Ligne obliques et insertion moly hyoïdienne
6. Frein de la langue
7. Freins et insertions vestibulaires
8. Ligne oblique externe
9. Fossettes palatines
10. Ligaments ptérygote maxillaires
3

Les classes d’édentements


La classification de Kennedy est la classification des différents
édentements permettant la conception prothétique.

CLASSE I édentement postérieur bilatéral

CLASSE II édentement postérieur unilatéral


4

CLASSE III édentement unilatéral encastré

CLASSE IV éventement antérieur bilatéral


5

Classe d’applegate

CLASSE V édentement unilatérale avec perte de canine, limitée par une ou


deux dents restantes.

CLASSE VI édentement encastré réduit

Nous parlerons donc de classification Kennedy- Applegate.


6

Règles
• Chaque classe comporte des modifications s’il existe un segment
édenté supplémentaire. A l’exception de la classe 4.
• Ce sont les zones postérieures qui priment pour la détermination de la
classe. Les modifications sont signalées d’après leur nombre.
• Si les dents de sagesse sont absentes et non remplacées, elles ne sont
pas comptabilisées, de même que toutes molaires dont on ne prévoit
pas le remplacement.

Les différents principes biomécaniques


Une prothèse partielle amovible doit respecter les trois principes
biomécaniques suivants : C’est la Triade de HOUSSET
Rétention
C’est la résistance s’opposant aux forces qui tendent à la désinsertion de la
prothèse.
Stabilisation
C’est la résistance s’opposant aux forces de mouvement de translation
horizontale et de rotation que doit subir la prothèse.
Eléments du châssis qui servent à la stabilisation
1. Barres coronaires
2. Connexions secondaires
3. Barres cingulaires
4. Bras rigides des crochets
Sustentation
C’est la résistance s’opposant aux forces axiales qui tendent à enfoncer la
prothèse dans les tissus de maintiens.
Eléments du châssis qui servent à la sustentation
1. Taquets occlusaux
2. Selles enveloppantes

Les mouvements de TABET


Il existe 6 mouvements purs pour une selle prothétique, engendrés par les
forces occlusales.
• 3 mouvements de translation
1. Translation verticale
Ce mouvement correspond à un glissement de haut en bas
perpendiculairement à la crête.
Elle existe lors de la mastication.
Elle est très importante pour une selle terminale.
2. Translation horizontale
Ce mouvement se produit dans le plan horizontal lorsque la prothèse manque
de rigidité ou lorsque les reliefs anatomiques ne sont pas utilisés.

3. Translation méso-distale
7

C’est un mouvement dans l’axe longitudinal de la crête.


• 3 mouvements de rotation simple
1. Rotation verticale
2. Rotation linguale et vestibulaire
3. Rotation disto- horizontale

Les différents composants de la prothèse amovible


partielle métallique

L’armature

Deux catégories de plaques métalliques sont utilisées en prothèse amovible ;


1. Les plaques squelettées
L’appui de celle-ci s’effectue sur les dents restantes qui supportent tout l’effort
masticatoire.

2. Les plaques décolletées

Elles sont fondamentalement opposées aux précédentes elles respectent


l’intégrité tissulaire, évitent tout traumatisme et toute lésion.
L’équilibre qui résulte de ces principes, par une large répartition de la charge à
la fois sur la muqueuse et sur les dents supports élimine en particulier toute
action de déstabilisation des piliers.
Le principe ;
8

Préserver les tissus muqueux au voisinage des dents.


Le décolletage doit suivre le collet des dents qu’il contourne, tout en formant
une courbe régulière, exempte d’angle, sensiblement parallèle au collet
gingival.
*Au niveau des dents antérieures, il doit être égal à 5 mm
*Au niveau des dents postérieures, il sera compris entre 6 et 8 mm

Les éléments d’une plaque ;


Þ Aile de stabilisation
Le rôle de l’ailette de stabilisation est important, elle assure la stabilisation de
la plaque base principale dans le sens antéro-postérieur.
°Ailes antérieures
Large de 5mm environ, elles atteignent approximativement la face distale de la
dent décolletée.

°Ailes postérieures
Même règle que les ailes antérieures.
Elles peuvent servir de potence à un crochet.

Þ L’entretoise palatine
Elle a un rôle multiple ;
-Elle participe à la sustentation et à la stabilisation
-Elle sert de liaison entre les selles prothétiques
-Elle assure la rigidité de la plaque
Þ La barre corono-cingulaire
Bien située, elle évite les mouvements antéro-postérieur et vestibulo-lingual.
Les barres cingulaires sont destinées aux six antérieures, elles doivent épouser
le relief du cingulum.
La barre corono-cingulaire ne doit pas provoquer aucune action traumatisante
sur les dents. Elle doit s’appuyer sur le cingulum, de telle façon que les forces
9

exercées sur la dent le soient suivant l’axe de celle-ci, donc suivant un axe
vertical.

Barre cingulaire mal étudiée ne dégageant pas les embrasures linguales


àrétention alimentaire

Barre cingulaire correctement placée.

Þ La barre coronaire
Au niveau des prémolaires et des molaires.
Elle est tracée au paralléliser. Sa largeur est fonction de la hauteur coronaire et
de l’occlusion.
10

La barre coronaire limite l’enfoncement vertical et s’oppose aux mouvements


transversaux (stabilisation, sustentation)

Les barres coronaires s’opposent aux forces transversales.

Þ Les selles prothétiques


Elles recouvrent la ligne faitière des crêtes et assurent ainsi la sustentation.
Elles recouvrent les versants linguaux et vestibulaires des crêtes et assurent
ainsi la stabilisation dans le sens vestibulo-lingual.

Þ La fausse gencive
Elle soutient les lèvres et les joues et permettent une ligne de collet
harmonieuse entre les dents naturelles et prothétiques.
11

Þ La barre linguale (A la mandibule)


Elle sert d’entretoise en reliant les différentes selles prothétiques et assurant
ainsi la rigidité de l’ensemble.
Son profil est en « demi-poire » ; elle suit la table interne dont la hauteur est
estimée par le dentiste, elle se situe à 1 mm au-dessus du frein lingual et du
plancher buccal en mouvement.
Dans le cas où la hauteur de la table interne est insuffisante, nous ferons un
bandeau lingual.

Barre linguale

Bandeau lingual
12

Þ Les contre- plaques

Le manque d’espace occlusal et proximal rend la résine très fine, peut


résistante aux forces masticatoires. Dans certains cas de figure, la réalisation
d’une face occlusal métallique ou d’une dent massive peut être une solution.

Il ne s’agit pas forcément toujours des dents massives, une contre-plaque


présentant une face vestibulaire en résine et ou en composite peut également
être réalisée, ce qui améliore considérablement l’aspect esthétique.

Þ Les différents crochets en papm

- Les crochets à liaison rigide


Crochet Ackers ou de Ney n°1 :
Il présente deux extrémités libres, l’une d’entre elle peut être rigide, offrant la
réciprocité à un bras de rétention soit vestibulaire soit lingual.
Il possède une potence rigide portant un taquet d’appui occlusal.
Il assure une bonne stabilisation, rétention et sustentation.
Classe III.

Crochet de bonwill :
C’est un crochet double présentant deux bras vestibulaire élastique.
Il franchi occlusalement le coté denté de l’arcade et issu d’une barre coronaire
rigide.
Classe II et IV.
13

Crochet Anneau :
C’est un crochet circonférentiel rigide entourant presque toute la dent, il est
élastique à son extrémité, il peut assurer la rétention soit en vestibulaire soit en
lingual, il possède deux taquets d’appui occlusal.

- Les crochets à liaison semi-rigide


Crochet de Nelly- Martinet :
Il présente une potence mésiale, permettant dans une certaine mesure la
désolidarisation de la selle, il porte un taquet d’appui occlusal mésial.
Classe I et II.

Crochet RPI :
Il est constitué d’un taquet d’appui occlusal, d’un élément proximal et d’un
bras de rétention en I indépendant.
Cas d’édentement en extension.
14

Plaque proximal Appui

Crochet de Roach :
C’est un crochet vertical qui peut être en T, L, C, Y, U, I
Il permet la disjonction de la selle prothétique.
Il comporte un bras réciproque et un appui occlusal mésial.
Classe II et III

Crochet T crochet U

Crochet L crochet I

Crochet C
15

Þ Les appuis occlusaux


Ils participent à la sustentation de la prothèse en évitant l’enfoncement de la
plaque.
Le plus important rôle de l’appui occlusal est de maintenir un rapport correct
entre la dent support et son crochet. Sans l’appui occlusal le crochet perd une
grande partie de son efficacité aussi bien pour la rétention que pour la
stabilisation de la prothèse.

Les étapes de réalisation

I /Tracé
-Axe médian
-Limites des selles
-Décolletage
-Crochets
-Potences

II/Paralléliser, duplicata

-Recherche de l’axe d’insertion


-Tracé de la ligne guide
-Marquage des zones de rétention
-Mise de dépouille
-Cire d’espacement
-Hydratation du modèle
-Préparation de la gélatine et du silicone
-Confection du duplicata
-Coulée du revêtement
-Vernis durcisseur

III/Maquettage

-Positionnement des grilles de rétention


-Fil cingulaire
-Crochets
-Cire granitée
-Tige de coulée

IV/Mise en cylindre, coulée

-Mise en cylindre
-Coulée du revêtement
-Préchauffage du cylindre, coulée
-Sablage

V/Grattage, finition

-Découpe des tiges de coulée


-Dégrossissage
-Grattage, surfaçage
16

-Polissage électrolytique
-Polissage mécanique
-Nettoyage

Annexe
Etude des différents matériaux dans la fabrication d’une PAPM
Cette technique fait appel à différents matériaux et à plusieurs appareillages.

Matériaux de duplication

Ils servent à obtenir un double du moulage de travail appelé réplique ou


duplicata (celui obtenu à partir de l’empreinte clinique) qui sera coulé en
revêtement réfractaire. Ils sont de deux types :

1 : les gélatines, qui sont des hydrocolloides réversibles (dont la réaction de


gélification se fait par variation thermique). Elles offrent une excellente
précision, mais elles sont fragiles et, de plus, très sensibles aux phénomènes de
surface (ce qui est gênant quand le moulage de travail comporte des prothèses
fixées).

2 : les élastomères, parmi lesquels les silicones et les polyéthers. Ils sont
beaucoup plus résistants que les gélatines et sont peu sensibles aux
phénomènes de surface, en revanche ils offrent une moins bonne précision.

Revêtements réfractaires

A base de silice, ils sont capables de supporter les hautes températures


nécessaires à la coulée de l’alliage. Ils existent en présentation » gros grains »
et « grains fins ». Ils sont en outre prévus pour avoir une expansion analogue à
celle de l’alliage à la température de coulée. On distingue, selon le liquide qui
sert à les malaxer, les revêtements à l’alcool et ceux à l’eau :

• Les revêtements à l’eau sont les plus employés, mais ils provoquent une
oxydation de surface sur l’alliage,

• Les revêtements à l’alcool ne présentent pas ce défaut, mais les vapeurs


d’alcool méthylique qu’ils dégagent sont toxiques, raison pour laquelle
ils sont peu employés. Ces revêtements peuvent recevoir des additifs
destinés à moduler l’expansion en fonction des résultats recherchés. Il
faut savoir que leur comportement est extrêmement sensible aux
conditions atmosphériques qui règnent dans le laboratoire.
17

Préforme

Ce sont des matériaux calcinables destinés à réaliser la maquette du futur


châssis. Ces préformes ont des formes diverses et sont calibrées.

On distingue :

• Des grilles destinées à réaliser les selles ;

• Des formes festonnées destinées aux selles en arête de poisson

• Des fils en section semi-lunaire (demi-jonc) destinés aux bras des crochets

• Des plaques destinées à réaliser les plaques palatines et les bandeaux.


Deux matériaux sont employés avec chacun des avantages et des
inconvénients :

• Les cires, qui se manipulent aisément et adhèrent parfaitement au


moulage en revêtement (duplicata). En revanche, elles
s’écrasent facilement, ce qui ne garantit pas des mensurations
exactes de la maquette du châssis.

• Les résines thermoplastiques, qui gardent des mensurations


constantes. En revanche, elles adhèrent mal au duplicata. Il est
donc nécessaire d’employer un adhésif spécifique pour les
maintenir.

Centrifugeuses

Ce sont des dispositifs qui vont, par centrifugation, projeter l’alliage fondu
dans le cylindre en revêtement. Ces centrifugeuses peuvent être soit
mécaniques (à ressort), soit électriques. Dans ce dernier cas, elles sont le plus
souvent couplées à un système de fonte à induction. L’injection fait tout
d’abord appel à une accélération centrifuge. L’essentiel de la coulée s’effectue
en moins de 1 seconde.

Sableuses

A l’aide d’air comprimé, ces dispositifs projettent à grande vitesse des


particules plus ou moins fines sur la pièce à nettoyer. Ces particules sont soit
du corindon, soit de l’alumine ou encore de la silice. Elles sont utilisées, après
la coulée, pour débarrasser le futur châssis des restes de revêtement.
18

Polisseuses électrolytiques

Ce sont des cuves contenant un soluté électrolytique. La pièce à polir est reliée
à l’anode, alors que la cathode est constituée d’une électrode de tungstène. Le
passage d’un courant électrique de quelques ampères provoque, par effet de
pointe, le polissage de la plaque.

Chronologie d’un tracé de châssis

L’élaboration du tracé du châssis métallique dès l’étude de cas est obligatoire


car c’est son dessin qui indique les modifications à apporter aux prothèses
fixées et aux dents naturelles.
Le tracé d'un châssis est réalisé après l'étude du modèle au paralléliseur.
Il doit être conduit selon un ordre précis, commandé par les différentes
fonctions à assurer : la sustentation, la rétention, la réciprocité d'action, le
guidage et la sustentation
Þ Méthodologie du tracé
1) Indices positifs et négatifs
2) Appuis occlusaux et cingulaires (polygone de sustentation)
3) Axes guides
4) Décolletage
5) Crochets (rétention – réciprocité d'action - esthétique)
6)Plaque – fil – barre
7) Renforts
8) Selles
9) Limites de la résine

1) Les indices biologiques


Au maxillaire ;
o Indices positifs
Ligne faitière des crêtes
Points de contact bordant l’édentement
Tubérosité

o Indices négatifs
Frein labial médian
Freins jugaux latéraux
Insertions musculaires, ligaments ptérygomaxillaire
Papille rétro incisive
Papilles rétro palatines
Raphé médian
Voile du palais
Zone neutre de Schröeder
Saillants pathologiques osseux et muqueux
19

A la mandibule ;
o Indices positifs
Ligne faitière des crêtes
Points de contact bordant l’édentement
Trigones rétromolaire

o Indices négatifs
Frein labial médian Freins jugaux latéraux
Insertions musculaires
Frein lingual
Ligne oblique interne
Plancher buccal
Saillants pathologiques osseux et muqueux

2) Appuis occlusaux et cingulaires (polygone de sustentation)

Édentement encastré : De part et d’autre de l’édentement.


Edentement postérieur : En mésial de la dent bordant l’édentement.

Les appuis occlusaux doivent être le plus symétriques possible.

Des appuis indirects peuvent être ajoutés pour augmenter la stabilité de la


prothèse.

3) Axes guides
Les axes doivent être le plus symétriques possible.
Tracé de l’axe sagittal médian.
Tracé des axes de décolletage.

4) Décolletage
-5mm au niveau des dents antérieures
- 8mm pour les dents postérieures
-Région tubérositaire à englober
-Les ligaments ptérygo maxillaire sont à éviter

5) Les crochets
6) Plaque – fil – barre
Au maxillaire ;
Tracé antérieur : Dégagement de la papille inter-incisive et des papilles
bunoïdes pour faciliter la phonation et la mastication.
Tracé postérieur : Attention au reflexe nauséeux

A la mandibule ;
La barre linguale comporte 3 critères ;
1 mm du frein de la langue en mouvement
20

4mm de largeur
Se situe à 3-4mm de la gencive marginale

7) Renforts
8) Selles
Pas de dents sur la tubérosité ni les trigones

9) Limites de la résine
-Enveloppez la tubérosité
-Descendre au fond du vestibule
-Les limites de la résine doivent s’arrêter au niveau de la jonction plaque-grille

Cas pédagogique

Tracé des élements de sustentation ;appui occlusal sur 17,14,24


appui cingulaire sur 13,23
21

Tracé des bras de crochet qui doivent assurer la rétention ; bras vestibulaire
sur 17,14,24

Tracé des bras de réciptocité d’action ; bras linguaux sur 17,14,24


22

Tracé des appuis indirects s’opposant à la désinsertion par rotation de la selle


en extension autour d’un axe 17-24

Tracé des potences puis de la plaque palatine.

Vous aimerez peut-être aussi