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Recherche sur les différents types de
musique
Les musiques traditionnelles du monde
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On distingue plusieurs grands ensembles de musiques traditionnelles plus ou
moins convergentes avec la langue parlée.
Les chansons traditionnelles, souvent appelées « chansons folkloriques », sont apprises de
manière informelle, dans le contexte de la famille, de la tribu, de la communauté ou d’un autre
groupe soudé.
En France par exemple, Il n'y a pas une musique traditionnelle mais des musiques
folkloriques traditionnelles dans différentes régions, telles que : la bourée auvergnate, les
chants corses, les chants de marins bretons, les musiques bretonnes, les musiques basques, la
valse musette…
La musique africaine et ses percussions
Bien que le tambour reste emblématique, l’Afrique regorge d’une variété incroyable
d’instruments à percussion. On distingue principalement les percussions mélodiques, comme
le balafon ou le mbira, et les percussions non mélodiques, telles que les djembés ou les
congas.
D’une région à l’autre, les instruments varient, offrant une richesse sonore unique. Par
exemple, en Afrique de l’Ouest, on retrouve notamment le djembé et le dundun, tandis qu’en
Afrique Centrale, c’est plutôt la sanza qui est privilégiée.
Aujourd’hui, le rythme africain résonne bien au-delà des frontières du continent. Ses
influences se retrouvent dans de nombreux genres musicaux tels que le jazz, le blues ou
encore le reggae.
C’est donc un véritable patrimoine immatériel que représentent les rythmes africains : un
patrimoine qui résonne non seulement dans les tambours, djembés et autres balafons, mais
aussi dans le cœur de tout un peuple. Derrière la diversité des percussions africaines se
cachent à la fois des savoir-faire ancestraux, une riche symbolique et une fonction sociale
primordiale. Enfin, ces rythmes ont su conquérir le monde, prouvant ainsi l’universalité de la
musique.
La musique Indienne et ses instruments
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La musique indienne est riche en instruments de musique, avec de nombreuses variantes
locales, impossible à énumérer dans sa totalité. De plus, elle a intégré quelques instruments
occidentaux tels que l'harmonium ou le violon ou plus récemment la mandoline ou le
saxophone.
Pour commencer, le Sitar Indien est l’instrument le plus étroitement associé à la musique
indienne. Dans les années 60, des artistes tels que George Harrison des Beatles et Brian Jones
des Rolling Stones ont joué du sitar dans des chansons telles que « Norwegian Wood » et
« Paint it Black », contribuant à sa popularité en Europe. Ces artistes ont été fortement
influencés entre autres par le virtuose du sitar, Ravi Shankar.
L’un des instruments principaux de la musique indienne est le Tabla. Un ensemble de tabla se
compose généralement de deux petits tambours de formes différentes. Ils sont constitués de
bandes, de cercles en bois et de blocs de tension, et sont pourvus au centre d’un point noir,
appelé Syahi, une sorte de pâte de tension. Les tablas sont généralement utilisés comme
instruments rythmiques pour accompagner des performances de danse, de chant ou
d’instruments. Parfois, les tambours se produisent également en tant qu’instrument solo.
La Shruti Box remplit le même rôle et est principalement utilisée pour accompagner le chant.
Cette petite boîte portable est équipée de languettes vibrantes, similaires à celles d’une
harmonica, et est jouée à la main à l’aide d’un soufflet. Le son continu des tubes peut être réglé
sur la tonalité souhaitée à l’aide des clapets situés à l’avant de la boîte.
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Les chants traditionnels d’Amérique Latine :
Salsa, tango, samba, mambo… Difficile de ne pas associer l’Amérique latine à la musique et
la danse ! Si certaines d’entre elles sont mondialement connues, d’autres demeurent plus
confidentielles mais n’en sont pas moins très ancrées dans le paysage culturel local.
Comme le Tango, né dans les milieux populaires de Buenos Aires et Montevideo, certaines
traditions musicales d’Amérique latine se sont fait connaître bien au-delà de leurs frontières.
C’est le cas du Mariachi, une musique à cordes, chant et trompette indissociable de la culture
mexicaine. S’il a adopté différents genres musicaux, le Mariachi demeure un savoir-faire
typique qui se transmet de père en fils, essentiellement à l’oreille.
Renommée internationalement, la rumba de Cuba est née dans des quartiers marginalisés où
elle a permis à une certaine couche sociale d’exprimer estime de soi et résistance. Du Brésil,
on connait la samba urbaine, marqueur de l’identité nationale. Autre « célébrité » afro-
brésilienne, le cercle de capoeira relève autant du combat que de la danse et du chant.
Nés des relations entre les communautés et leurs bêtes, les chants de travail de llano colombo-
vénézuéliens évoquent la conduite des troupeaux et la traite. Elle aussi née dans l’effort, la
musique traditionnelle vallenato de la région colombienne du Magdalena Grande fusionne des
expressions culturelles locales, des chansons d’éleveurs de vaches et des chants d’esclaves.
À Cuba aussi, les travaux de force ont inspiré la musique, à l’image du punto, forme poétique
et musicale créée par les paysans et transmise d’une génération à l’autre.
La musique orientale et ses modes spécifiques:
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La musique orientale désigne un ensemble de musiques issues du monde arabo-musulman.
Elle constitue les branches d’une même famille musicale ayant évolué dans une zone
géographique allant du Proche-Orient à l’Atlantique.
À la différence de la musique occidentale dans laquelle se sont développés l’art de
la polyphonie et de l’harmonie, la musique arabe est ancrée sur la monodie où la mélodie est
monophonique (une seule note jouée à la fois) et construite sur un système extrêmement riche
de modes mélodiques, appelés maqâms. Elle requiert aussi une pédale de basse ou
un bourdon.
Parmi les instruments typiquement utilisés on trouve :
L’oud, ancêtre du luth européen, employé parfois comme basse mélodique ou
rythmique dans les ensembles instrumentaux ;
Le nay, flûte de roseau ;
La darbouka, tambour en forme de vase ;
Le daf, riqq, ou tar, tambourin avec ou sans sonnailles ;
Le rabâb arabe, vièle jouée verticalement ;
Le qanûn, cithare à soixante-douze cordes métalliques.
