Ensemble Cuisine
Ensemble Cuisine
Christelle Tanielian
ENSEMBLE
Christelle Tanielian
ENSEMBLE
Tanielian, Christelle
Ensemble : cuisine gourmande et colorée
ISBN 978-2-89705-240-9
1. Cuisine. 2. Livres de cuisine. I. Titre.
TX651.T36 2014 641.5 C2014-941654-7
TABL E D ES M ATI ÈR ES
FAITES-LE VOUS-MÊME
p. 16
EN APÉRO
p. 32
COCKTAILS
p. 46
ENTRÉES
p. 5 4
SOUPES
IND IS PE NSA B LES
SALADES
p. 66
Ça I serait peut-être
p. 78 le fun un petit
texte d'intro pour chacun des chapitres,
VIANDES
je dis ça comme ça
p. 92
À-CÔTÉS
p. 118
PIZZAS
p. 1 28
PÂTES
p. 1 4 0
DESSERTS
p. 15 2
BRUNCH
p. 174
BOISSONS
p. 186
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INTRODUCTION
J’ai longtemps considéré mon amour pour la nourriture comme un simple excès
de gourmandise. Sans que j’y prête vraiment attention, tout chez moi tournait
pourtant autour du plaisir de manger.
Comme 98 % des auteurs de livres de recettes, je pourrais vous dire que la cuisine
a toujours fait partie de ma vie, que je suis gourmande depuis que je suis née (un bon
kilo de plus que mon jumeau à la naissance, ça ne trompe pas !). Tout ça serait vrai.
Dans ma famille, on aime manger passionnément.
Pourtant, à Barcelone, où je vivais seule pour la première fois, j’ai passé un mois
sans épices ni sel (ma sœur, de passage, n’en revenait tout simplement pas !), à me
nourrir presque exclusivement de bocadillos de jamón (de délicieux petits sandwichs
catalans à la tomate et au jambon cru) et de plats surgelés.
Drôle d’entrée en matière pour un livre de cuisine... mais je n’aime pas enjoliver
les choses.
Cette expérience m’a ouvert les yeux : si je voulais bien manger, je devais cuisiner.
Exit donc les plats surgelés et les bocadillos à tous les repas !
Lorsque je me suis installée à Montréal, en 2008, j’ai créé mon blogue, Christelle is
flabbergasting (flabbergasting, « étonnant », « sidérant », est mon mot anglais préféré).
Après un an passé à Barcelone à envoyer d’interminables courriels à mes amis, je
voulais garder le contact avec eux au moyen d’un nouvel outil.
Au départ, ce blogue n’avait absolument rien à voir avec la cuisine. Pourtant, très
vite, cuisiner est devenu une obsession. Ce qui m’animait ? Le plaisir de partager
entre amis. Celui de manger des plats simples et savoureux, de piocher ensemble
dans une assiette de tapas, d’ouvrir une bonne bouteille de vin. J’aimais surtout les
discussions animées qui se créaient quand nous étions tous réunis autour de la table.
Il y a deux ans, le journal La Presse m’a demandé de signer une chronique dans les
pages de son cahier Gourmand. J’ai eu du mal à cacher mon enthousiasme. On me
demandait de partager mes recettes et toutes les histoires qui les accompagnent,
comme je le faisais sur mon blogue. Moi qui n’avais jamais pensé que mon blogue se
transformerait en blogue de cuisine, voilà que la nourriture devenait le centre de
toutes mes attentions !
Et puis l’idée du livre que vous tenez entre vos mains – et que j’ai encore du mal à
imaginer à l’ heure où j’écris ceci – a germé. Rien de tout cela n’était calculé, mais
j’aime penser que cela devait arriver. Ce qui est évident met parfois du temps à nous
sauter aux yeux. Mais, un jour, tout finit par se mettre en place.
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MA CUISINE
La nourriture crée un lien unique entre les personnes et les laisse rarement
insensibles. Dans une soirée ou un pays où on ne connaît personne, je ne vois
d’ailleurs pas meilleure façon d’entamer une discussion ! La nourriture passionne.
Parlez bouffe avec quelqu’un ou, mieux, offrez-lui une part de gâteau au chocolat, et
ses yeux s’illuminent !
Pour moi, c’est également un fabuleux héritage.
Je suis née et j’ai grandi en France, mais j’ai la chance d’avoir beaucoup voyagé et,
surtout, baigné dans un bassin d’origines multiples, arméniennes, libanaises et
syriennes, dont les cuisines, simples et fraîches, privilégient les bons ingrédients.
Cet héritage constitue pour moi un trésor que je ne veux pas oublier. Perpétuer
ses recettes de famille – le plus souvent transmises de bouche à oreille – signifie bien
plus que manger : par elles, des gens, des souvenirs et des cultures continuent de vivre.
À P R O P O S D E S SA I S O N S …
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M E S I N G R É D I E N TS D E P R É D I L EC T I O N
L’ huile d’olive
J’ai une nette préférence pour l’ huile d’olive au goût prononcé, corsé et légèrement
piquant. L’idéal est d’avoir sous la main une huile pour la cuisson et la cuisine de
tous les jours et une autre, de bonne qualité (huile d’olive extra vierge de première
pression à froid), pour utiliser en finition, en fin de cuisson, pour arroser les salades,
les légumes et les tartines.
Les épices
Elles sont indissociables de ma cuisine. Dans ma famille, les étagères ont toujours
débordé d’épices, et ce n’est que vers seize ans, quand j’ai ouvert les placards de mon
amie Marion pour essayer, en vain, d’y trouver de la cannelle, que j’ai compris que ce
n’était pas le cas chez tout le monde.
Quand j’ai emménagé avec celui que, dans mes chroniques, j’appelle affectueuse-
ment « l’ Homme », en plus de mes trop nombreuses robes et crèmes parfumées, j’ai
apporté toutes mes épices. Le cumin, la coriandre, le za’atar, la cannelle, le thym, le
curcuma et bien d’autres sont venus tenir compagnie à ses trois pots esseulés de sel,
de poivre et de flocons de piment.
Évidemment, les épices sont parfaites pour relever un plat et lui donner une autre
dimension. En ajoutant de la saveur, elles permettent également d’avoir la main plus
légère sur le sel.
Si, dans mes recettes j’indique, toujours la quantité d’épices que j’utilise, je ne
mentionne que rarement la quantité de sel ou de poivre, qui est très personnelle. Rien
de pire pour moi qu’un plat trop ou pas assez salé. Rappelez-vous, qu’il est toujours
plus facile d’en ajouter que d’en enlever. Je préfère apporter la salière et la poivrière à
table et laisser à chacun le soin de corriger son assaisonnement, à son goût.
Q U E LQ U E S CO N S E I L S
Les épices s’éventent et perdent de leur saveur avec le temps. Conservez-les dans de
petits pots en verre hermétiques, à l’abri de l’ humidité.
Certaines épices (les graines de fenouil, de cumin ou de coriandre, les poivres)
sont meilleures moulues au dernier moment. Si vous le pouvez, achetez-les entières,
pour les moudre au mortier, au moulin à épices ou dans un moulin à café réservé à
cet usage.
Pour développer les arômes des épices (ou redonner vie à celles que vous avez
oubliées dans le fond du placard), grillez-les à sec (on dit aussi « torréfier ») dans une
poêle, c’est-à-dire sans ajouter de corps gras, pendant quelques minutes, jusqu’à ce
qu’elles soient odorantes. Secouez la poêle de temps en temps et surveillez bien la
cuisson, pour éviter qu’elles ne brûlent.
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Ma mère me rappelait dernièrement le premier été où elle avait acheté un grand pot
de basilic pour le balcon. Deux semaines plus tard, je lui avais réglé son compte : il
ne restait plus une feuille. Si le basilic est mon chouchou (je raffole du pesto !), j’ai
bien d’autres herbes préférées, que j’aime utiliser seules ou en association.
Jean, le père de l’ Homme, et mon amie Julie m’ont confié ne jamais savoir comment
les cuisiner ou avec quoi les manger. La meilleure façon de les apprivoiser est encore
d’y goûter : en achetant un pot ou un bouquet au marché ou en faisant pousser ses
fines herbes dans son jardin ou sur son balcon. Commencez par en glisser un peu
dans vos préparations, expérimentez, testez... Vous ne serez pas déçus. En plus
d’apporter leur goût frais et renversant, les fines herbes regorgent de bienfaits pour
la santé : elles améliorent la digestion, sont antiseptiques et stimulantes...
Q U E LQ U E S CO N S E I L S
Les fines herbes sont fragiles : choisissez des bouquets aux tiges fermes, aux feuilles
bien vertes, sans tache ni trace de jaunissement. Retirez les tiges abîmées ou flétries
avant de les conserver.
Conservez les bouquets au réfrigérateur en plongeant les tiges dans un verre d’eau
et en recouvrant les feuilles d’un sac plastique. On peut également mettre le bouquet
dans un linge humide et le placer dans le bac à fruits et légumes du réfrigérateur.
Dans les deux cas, elles se conserveront jusqu’à deux semaines.
Vous pouvez les faire sécher quelques jours à l’air libre en mettant les tiges ou les
feuilles à plat. Vous pouvez aussi les suspendre en petits bouquets et les faire sécher
tête en bas, à l’air libre et à l’abri des rayons directs du soleil. Une fois bien sèches,
conservez-les comme les épices, dans des bocaux hermétiques, à l’abri de l’ humidité.
Les huiles essentielles contenues dans les feuilles sont volatiles, aussi hachez-les au
dernier moment pour profiter au maximum de leur saveur. De plus, les feuilles (de
menthe ou de basilic, par exemple) ont tendance à s’oxyder au contact du couteau.
Pour hacher les feuilles (de menthe, de sauge, de basilic…), roulez plusieurs
feuilles en petit rouleau avant de les découper avec un couteau bien aiguisé.
Pour effeuiller facilement les brins (de thym, de menthe ou de romarin), pincez le
pouce et l’index à la base de la tige et remontez les doigts sous les feuilles : elles se
détacheront toutes seules !
Enfin, on peut congeler la majorité des fines herbes dans des contenants
hermétiques, en les lavant bien, en les séchant entre deux torchons propres et en les
hachant, au besoin (dans le cas du persil ou de la ciboulette). On les utilise alors de
préférence pour la cuisson.
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C O N S E I L S S U R L E S I N G R É D I E N TS
Les ingrédients ci-dessous se trouvent aux rayons exotiques des épiceries, dans les
épiceries fines ou, en vrac, dans les magasins d’aliments naturels.
Boulgour
Le boulgour (aussi appelé « burgol ») est un grain de blé concassé très populaire dans
la cuisine moyen-orientale... et dans la mienne ! À l’origine, on le mélangeait à la
viande, longtemps considérée comme un produit de luxe, par souci d’économie,
mais aussi parce qu’il est très nourrissant. Il est vendu précuit, et on le trouve sous
deux formes, blanche et brune, et de trois tailles différentes : le boulgour blanc est
fait à partir de blé tendre blanc et le boulgour brun, à partir de blé dur d’hiver. Son
goût légèrement plus prononcé rappelle un peu celui de la noisette.
Le boulgour extrafin (no 1) ou fin (no 2) est utilisé dans le fameux taboulé libanais
ou dans le kibbeh (tartare de viande). Il ne nécessite aucune cuisson, mais on le
fait tremper de 15 à 20 minutes en le recouvrant d’eau pour l’attendrir. Le boulgour
gros (no 3 ), aux grains plus épais, doit être cuit dans deux fois son volume d’eau. Il
remplace le riz ou les pâtes, et il est délicieux en pilaf.
Si, traditionnellement, on prépare les kibbeh (voir Tartare syrien page 58) avec
du boulgour brun et le taboulé, avec du blanc, les deux peuvent être utilisés
indifféremment dans les recettes, sans que cela n’en change le goût.
Mélasse de grenade
La mélasse de grenade n’est ni la mélasse brune, qu’on connaît bien au Québec, ni
de la grenadine ! C’est un sirop épais, issu du jus de grenade, très concentré,
délicieusement acidulé et parfait pour rehausser de nombreux plats. Elle est facile à
préparer à la maison (voir recette page 22).
Sumac
Le sumac est une épice bordeaux au goût fruité, citronné et délicat. On le trouve
sous forme de baies ou, plus souvent, en poudre. On l’utilise pour son goût acidulé,
au même titre que le citron, sur les viandes grillées, les poissons ou dans les
marinades.
Tahini
Aussi appelé pâte, beurre ou crème de sésame, le tahini est préparé en broyant des
graines de sésame blanches décortiquées jusqu’à obtenir une pâte épaisse, plus ou
moins lisse et coulante. Dans le commerce, choisissez un tahini composé à 100 % de
graines de sésame, sans agent de conservation ni additif : il a un léger goût de noisette,
sans être trop amer en bouche. On l’utilise dans le houmous (voir recette page 36) ; il
est excellent en marinade (voir Poulets de Cornouailles, tahini, za’atar et grenade
page 94) ou comme vinaigrette (voir Chou frisé, chou rouge, pomme et grenade en
salade, vinaigrette crémeuse au tahini page 80).
Za’atar
Le za’atar est un – formidable ! – mélange d’épices communément composé de thym,
d’origan, de sumac et de graines de sésame. Il est très facile de le préparer à la maison
(voir recette page 18).
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De haut en bas : boulgour gros blanc (n° 3), Tahini (beurre de sésame)
boulgour fin blanc (n° 2), boulgour extrafin brun (n° 1).
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C O N S E I L S S U R L E S R EC E T T E S D U L I V R E
Si certaines recettes du livre ont déjà été publiées dans le cahier Gourmand du
journal La Presse, d’autres sont inédites, et j’ai voulu leur apporter le même soin, en
les testant à nouveau, en les modifiant légèrement ou un peu plus, quand cela m’a
paru nécessaire.
Ma cuisine, et la cuisine de manière générale, est toujours en évolution ; mes
goûts changent, s’affinent. J’ai également pris en compte certaines remarques des
lecteurs, qui m’aident à m’améliorer constamment.
P E S E R O U M E S U R E R S E S I N G R É D I E N TS ?
Comme ma mère et ma grand-mère, j’ai appris à cuisiner à l’instinct, sans peser
mes ingrédients. Je goûte, j’ajoute et je rectifie. En revanche, pour la pâtisserie, je
pèse tout avec la régularité d’une horloge suisse. C’est le côté « Dr Jekyll et Mr Hyde »
de ma cuisine.
Pour ce livre, je trouvais indispensable de tout peser et mesurer, en utilisant les
deux systèmes en usage au Québec, métrique et impérial. Aussi, le poids des
ingrédients solides (viande, farine, pâtes...) est exprimé en masse (kilogramme ou
gramme), et celui des liquides (eau, bouillon, lait...) en volume (litre ou millilitre),
en plus de leur équivalence dans le système impérial (once, livre, tasse).
Si je ne suis pas une farouche opposante des tasses à mesurer – qui s’avèrent bien
pratiques, quand on cuisine un plat simple de soir de semaine –, je trouve la balance
nettement plus précise. Si vous ne me croyez pas, faites un test en mettant deux
tasses à mesurer dans les mains de deux personnes différentes : vous serez surpris
des différences de poids obtenues quand elles mesurent le même ingrédient ! On
trouve des balances très correctes, au même prix qu’un ensemble de tasses à mesurer.
C O N N A Î T R E S O N F O U R CO M M E SA P O C H E
Les recettes du livre ont toutes été réalisées dans un four traditionnel et sur une
cuisinière électrique. Tous les fours sont différents, et les temps de cuisson peuvent
varier d’un four à l’autre. Faites confiance à votre instinct et goûtez, c’est le meilleur
indice !
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ZA’ATAR
p. 18
SAUCE AU CONCOMBRE,
AU YOGOURT ET À LA MENTHE
p. 22
MÉLASSE DE GRENADE
p. 22
MA PÂTE À PIZZA
p. 2 4
PÂTE BRISÉE
p. 26
SIROP SIMPLE
p. 28
CONFIT D’OIGNONS
p. 30
BEURRE CLARIFIÉ
p. 30
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FAITES-LE VO US - M Ê ME
En cuisine, je suis une adepte du fait maison ou DIY (« Do it yourself »),
surtout quand ça peut m’épargner un saut à l’épicerie en pleine tempête de neige !
Vous trouverez dans ce chapitre quelques indispensables pour réaliser les recettes de ce livre,
que vous réutiliserez, j’espère, dans d’autres recettes.
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ZA’ATA R
Le za’atar (« origan », en arabe) est sans doute mon mélange d’épices favori. J’en saupoudre partout ! Il était hors
de question que je garde cette recette pour moi. Si vous mettez la main sur du thym sauvage ou de l’origan du jardin,
s’il vous plaît, utilisez-les ! À l’apéro, diluez une portion de za’atar dans trois portions d’ huile d’olive et servez-le avec
des morceaux de pain pita frais ou utilisez-le pour faire une huile aromatisée (voir Gaspacho à la tomate, pastèque
et feta, page 76). Il peut aussi servir à la réalisation de chips ou de mouillettes sur du pain pita ou ekmek grillé au
four (voir Mouillettes au za’atar, page 34).
T E M P S D E P R É PA R AT I O N : 1 5 M I N U T E S
TEMPS DE CUISSON : 5 MINUTES
P O U R 1 1 5 G ( E N V I R O N 1 TA S S E )
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Mon amour pour les pestos (ou pesti, au pluriel, en italien) est sans limites. Il va de pair avec mon amour du basilic.
Si vous me croisez un jour en train de humer solennellement un plan de basilic, vous comprendrez. Naturellement l’alla
Genovese est pour moi le roi des pestos. Mais toutes les variantes sont d’excellents alliés des pâtes et des gnocchis (voir
recette page 148), des salades (de pommes de terre, par exemple) ou des pâtes à pizza (voir recette page 24). Amusez-
vous à créer vos propres versions en combinant vos herbes fraîches favorites. Je vous donne ici quelques idées.
T E M P S D E P R É PA R AT I O N : 1 0 M I N U T E S
P O U R 2 3 0 G ( U N P E U M O I N S D E 1 TA S S E )
— 40 g (2 tasses bien remplies) 1 Dans le bol d’un robot culinaire, mettre tous les
de feuilles de basilic frais ingrédients et mélanger jusqu’à obtenir une pâte
— 1 grosse gousse d’ail, coupée homogène. Ajouter un peu d’huile d’olive au besoin,
en deux et dégermée si le pesto est trop épais.
— 60 g (½ tasse) de noix de pin
2 Verser dans un pot en verre stérilisé et fermer her-
— 50 g (½ tasse) de bon parmesan
métiquement. Le pesto se conserve de 2 à 3 semaines au
fraîchement râpé
réfrigérateur, et jusqu’à 6 mois au congélateur, en répar-
— 125 ml (½ tasse) de bonne
tissant la préparation dans des bacs à glaçons. (Quand ils
huile d’olive
se sont formés, mettre les glaçons de pesto dans un sac
— ¹⁄ ³ c. à thé de sel
de congélation hermétique.)
— 8 tours de poivre noir
du moulin
VARIANTES
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C H R I ST E L L E TA N I E L I A N
Depuis 2012, dans La Presse et La Presse+, Christelle Tanielian
signe L’Atelier de cuisine, une populaire chronique culinaire.
Elle collabore à de nombreuses publications imprimées ou web
et travaille comme styliste culinaire, directrice artistique et
photographe. Son travail a été salué dans de nombreux médias.
En 2008, elle a créé Christelle is flabbergasting, l’un des meilleurs
blogues de cuisine au Canada, selon le National Post.
christelleisflabbergasting.com
editionslapresse.ca