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Droit des libertés publiques

Droits
Les droits sont délimité et définie, il portent sur un objet précis. Cela implique que les droits sont
postérieure à l'État. Autrement dit c'est la puissance publique

- Les libertés

La liberté est inhérente à la personne humaine et de ce fait, antérieures a l'État.

- liberté publique

Elle désigne toutes liberté garantie par la puissance publique, plus précisément par la loi

- les libertés fondamentales

Elles désignent toute liberté garantie et consacrée par la constitution . Ce qui implique que toutes liberté
fondamentale est une liberté publique, mais le contraire n'est pas vérifié a savoir qu'une liberté
publique n'est pas une liberté fondamentale.

* Droit créance

Les droits créances sont des droits qui nécessite l'intervention de la puissance publique. Ils ont un coût
( il ne sont pas gratuit)

Exemple : droit au logement, a la santé a l'éducation.

* Les Droits Liberté

Ces droits ese réalise une abstention des pouvoirs publics. Ils sont plus ou moins gratuit ( le délai la vie ,
la liberté d'expression, le droit a la vie (...)

* Atténuation de la distinction entre droit liberté droit créance

Cette atténuation se perçoit a 3 niveaux.

d'abord, l'État a l'obligation de respecter les droits des individus en s'abstenant d'y porter atteinte.
Ensuite, l'État a l'obligation de protéger les droits et libertés des individus, car toutes violation de ses
droits et libertés entraînerait une sanction de la par de l'État. Enfin, l'état a l'obligation de réalisé ses
droits et libertés ; ce qui implique une intervention obligatoire de l'état.

Section 1: la notion d'étihque et ses rapports entre les droits et libertés fondamentaux
Au sortir de la définition de Paul Ricœur et du droit international, on peut concevoir l'éthique comme un
ensemble de valeur protégeant et garantissant les droits et libertés de chaque individu. Ainsi, les normes
internationales doivent être imbibé de valeur

Section 2 : les droits de l'homme ou les droits des hommes


C'est l'ensemble des droits reconnus à toutes individus.

* Le droit des peuples

Le droit des peuples est un droit d'autodétermination qui poussent les peuples a disposé d'eux même.

*Le droit des minorités

C'est un droit reconnu a une catégorie d'individus qui partagent des liens forts dans le but de les
protéger.

Section 3: les droits et devoirs de l'individu


L'individu ne bénéficie pas seulement de droit et libertés. Mais il à également astreint a certaines
obligations. L'individu s'épanouit donc dans une formule beaucoup plus complète qui comprend les
droits et les devoirs. En contrepartie de ce qu'il a comme revenu, il contribue aux charges sociales.

Première partie : les sources des droits des libertés


fondamentaux

Chapitre 1: les fondements ou sources intellectuelles

Section 1: la relation entre les droits et libertés fondamentaux et le système politique.


Chaque système politique doit mettre en œuvre des mécanismes et instruments afin de garantir les
droits et libertés fondamentaux de chaque individu, de chaque citoyen. Par conséquent , tout État qui
ne s'inscrit pas dans cette démarche est qualifié d'État autoritaire.

Paragraphe 1: la féodalité et l'octroi des libertés aristocratique

* L'aristocratie est un système politique dans lequel le pouvoir est géré par un groupe de personnes
influentes mais minoritaires

* La féodalité est un système politique du moyen âge dans lequel l'autorité politique passe par les
seigneurs locaux afin d'exercer une influence sur les populations locales.

Déjà à cette époque, les droits et libertés fondamentaux étaient protégé et garantie par l'autorité
centrale..a titre illustratif, au XVIIe siècle en Angleterre, existait déjà des instruments juridiques
garantissant la protection des libertés et droit fondamentaux en l'occurrence la magna carta, l'habeas
corpus la pétition des droits adopté en 1628

Paragraphe 2: les droits fondamentaux et démocratie libérale

Il s'agit d'établir un lien ou une relation entre les droits fondamentaux et la démocratie libérale . La
démocratie libérale est un système politique dans lequel le peuple participe aux prises de décision et
voit également ses droits fondamentaux protégée par la puissance publique.

A- les caractère généreux de cette relation

La relation entre droit fondamentaux et démocratie libérale s'organise autour de 3 points :

- la reconnaissance des libertés individuelles et politiques.

Pourqu'un État soit qualifié d'État démocratique, il faudrait que celui ci garantissent les libertés
individuelles et politiques de chaques individus

Les Libertés politiques doivent servir les libertés individuelles .

- la primauté de la loi

Pourqu'un État soit qualifié d'État démocratique, il faut que ce État soit soumis à la loi et la soumission à
la loi implique plusieurs aspects. D'abord, il faut que la loi émane soit du peuple soit du parlement.
Ensuite, c'est seulement le législateur qui a la compétence d'adopter la loi. Enfin, la mise en œuvre de la
loi doit être faite par l'administration, mais celle ci doit également la respecter.

- la séparation des pouvoirs

Dans un État démocratique, il doit exister, une séparation des pouvoirs, un partage des pouvoirs.

B- les variantes de cette relation


- doit t'on soumettre les droits fondamentaux a la constitution ou a la loi ?

Nous sommes passés d'une soumission absolue des droits fondamentaux a la loi a une soumission
relative des droits fondamentaux a la loi car les législateurs ne sont pas digne de confiance, ils sont
corrompu et agissent pour leurs propres intérêts. Ainsi, pour garantir les droits fondamentaux, il est
nécessaire de confier ces tâches au juge constitutionnel. Mais ce dernier n'est pas forcément exemple
de tout reproches.

- faut il parlé de pouvoir judiciaire ou d'autorité judiciaire

Un État démocratique est un État dans lequel les pouvoirs sont séparés et qui implique par conséquent
là notion de pouvoir judiciaire. Par contre, si la séparation n'est pas effective , on parle d'autorité
judiciaire.

C- les philosophies libérales et le sous développement

- existe il une relation entre philosophie libérale et sous développement ?

Le sous développement est une situation dans laquelle, les États sont confrontés à des difficultés
sociales et économiques. Et se caractérisent généralement par le taux d'analphabétisation, la pauvreté
chronique, l'obstacle au liberté d'expression (...)

A ce niveau deux thèses s'affrontent

- la thèse en faveur du liens

Certains penseurs estiment qu'il existe bel et bien un rapport entre le sous développement et la
démocratie libérale. Pour eux, le sous développement est un obstacle au respect des droits et libertés
fondamentaux

- la thèse en défaveur de ce liens

Pour d'autres penseurs, le sous développement n'empêche pas la garantie ou encore la protection des
droits et libertés fondamentaux

Paragraphe 3: les courants critiquant la philosophie libérale

I- le courant marxiste

Karl Marx identifie deux groupes dans la société a savoir : les prolétaires et les bourgeois.

Pour lui , les droits et libertés penchent déjà en faveur de la classe bourgeoise.
Autrement dit, les droits et libertés fondamentaux sont a la solde des bourgois. Pour être a leur tour
libre, les prolétaires doivent lutté, s'affranchir de la domination de la classe bourgeoise afin de parvenir
a une société juste.

B- la critique communautaire

Selon les partisans de ce courant, l'homme étant issus d'une communauté, d'un groupe, se réalise dans
ce groupe, dans cette communauté. Des lors, on ne pourrai parlé de droit individuel, mais plutôt de droit
collectif

C- la critique lié au personnalisme

Selon ce courant, le personnalisme reconnaît ses droits aux individux et aux communautés. Ses droits
viennent limité en quelques sortes le pouvoir de l'État. l'État, concernant la restriction de son champ
d'action est cantonné ( confiné ) dans un rôle uniquement de protection des libertés et droit
fondamentaux de l'individu

Paragraphe 4 : les perspectives d'avenir

Ici d'autres thèse s'affrontent.

A- la thèse ou la théorie de la fin de l'histoire : l'affirmation d'un universalisme

Selon les tenants de cette thèse, l'État de droit est le nid idéal ou le lieu pour le respect et la garantie des
libertés de droit fondamentaux.

B- la thèse ou la théorie vers un dépassement de la démocratie libérale

Selon les tenants de cette thèse, la démocratie libérale est confrontée a plusieurs obstacles ( 2)

- il y'a un problème de légitimité de la norme , car le juge qui est censé interprété la loi arrive a créé la
loi

- la seconde difficulté est lié à la mondialisation car elle réduit la souveraineté des États sur la scène
internationale . Par ailleurs, on assiste à un déficit démocratique dans la mesure où concernant par
exemple la ratification des traités et accords internationaux, le peuple n'intervient pas.

Section 2 : fondement juridique des droits fondamentaux

Paragraphe 1 : les doctrines du droit naturel

Selon la conception du droit naturel, l'homme a des droits qui sont inhérents a sa personne. Le droit
naturel a travers ses penseurs élabore différents conception en rapport avec les droits fondamentaux.
Pour Aristote , les hommes demeure ego devant la loi de l'homme. Par ailleurs, pour lui le christianisme
plus tard a eu une certaine influence dans la consolidation de cette conception a travers l'idée de dignité
humaine, l'égalité entre les hommes, la liberté de conscience etc ...
- pour saint thomas d'Aquin, a partir XVIIIe siècles on assiste à une laïcisation des droits naturels. Afin de
parvenir a un contrat social. C'est a dire une situation dans laquelle les droits naturels des hommes
seront désormais reconnus et protégés par la puissance publique.

-Thomas Hobbes, il partage a peu près le même point de vue que John Locke et Rousseau pour eux , le
contrat social étant formé il revient au Léviathan de protéger et de garantir le respect des droits des
individus . Ainsi, toute violation de ses droits seraient sanctionner

B- Les constantes doctrinale du droit naturel

l'État de nature suppose une situation antérieure a toute société. Ainsi, dans ce État de nature les
hommes n'étaient soumis a aucune autorité . De plus, il est important de noter que le droit naturel par
essence s'oppose a toute idée de pouvoir politique. Autrement dit , en raison de son caractère de liberté
totale, le droit naturel se trouve freiné, limité par tous pouvoir politique qui vient l'encadré, le socialisée

C- l'influence et les faiblesse de ses doctrines

Les droits naturels on profondément marqué plusieurs textes dont le plus illustres demeure la DDHC qui
fait référence au droit naturel inaliénable et sacré de l'homme .

2- les critiques ou faiblesses

Le droit naturel en raison de son caractère informel, demeure un droit quelques peu large. De plus, il
n'est plus aussi souverain que cela dans la mesure où il est de plus en plus attaqué par certains textes
dont la loi et la jurisprudence . On assiste à une régression du concept de <<droit naturel >> de nos
jours, car les droits des individus sont de plus en plus interprété au regards des textes.

Paragraphe 2: les conceptions positiviste

La conception positiviste rame a contre courant de la conception naturaliste. En effet, selon les
positivistes , les droits des hommes ne seront mieux respecter qu'en gardant un caractère écrit.
Autrement dit , les positiviste estime que toutes libertés non prévu par les textes n'est pas une liberté.
Toutefois, l'on reproche aux positivistes leur rigidité. C'est a dire le fait de ne pas considérer les autres
approches. De plus, les textes étant parfois silencieux, l'on estime que le positivisme ne peut pas tout
prévoir et que de ce fait, il doit collaborer avec d'autres courants dont naturellement le droit naturel.

Section 3 : les principes cardinaux des libertés et droit fondamentaux

Paragraphe 1 : le principe d'égalité

A-
Le principe d'égalité suppose une égalité de traitement des citoyens devant la loi. Il interdit en principe
toute formes de discrimination.. il implique également une égalité des charges devant les pouvoirs
publics en fessant fi du sexe , de la religion (...)

B- les sources du principe d'égalité

Le principes d'égalité a plusieurs sources dont la constitution, la loi, les règlements, la jurisprudence, le
droit international.

Paragraphe 2: l'effectivité du principe d'égalité

Le principe d'égalité peine a être effectif dans nos sociétés dans la mesure où il y'a des formes de
discrimination qui sont tolérés

Paragraphe 3 La relativité du principe d'égalité au regard de la discrimination positive

Selon le principe tout les individus doivent être logé a la même enseigne. Toutefois, il existe des
dérogations a ce principe dénommé discrimination positive. Ses dérogations peuvent exister dans
certaine conditions a savoir les cas d'urgence et en matière d'intérêt général. La discrimination positive
peut être appréhendé comme le fait de favoriser un groupe de personnes au détriment d'un autre
groupe prévu par la loi afin de corriger une situation de fait préexistante

La parité est une notion qui implique une certaine égalité entre les catégories d'individus. Mat exemple
entre l'homme et la femme .Le principe d'égalité est un principe qui suscite assez de polémique en
fonction de son contexte.

Section 4 : le principe de sauvegarde de la dignité humaine

Ce principe touche a la protection du corps humain a l'intégrité de la personne face a la science et toute
formes de violation que le corps humain pourrait subir

Paragraphe 1: la thèse de la dignité comme fondement des droits

La dignité est appréhendé comme un principe philosophique qui émane du droit naturel. Elle n'a pas
réellement de valeur juridique en soi.

Pour Mireille DELMAS martille, la dignité humaine suppose a la foi la singularité de chacun et son
appartenance à la communauté.

Paragraphe 2: comment définir la dignité


Pour thomas d'Aquin la dignité d'une personne réside dans sa nature intrinsèque. Pour Emmanuel Kant,
la dignité humaine prouve ses fondements dans le droit naturel. C'est l'interdiction de l'ensemble de
toute formes de violation porté contre la personne humaine. C'est une notion large.

Paragraphe 3: la dimension individuelle du respect de la personne humaine

A- liens entre discrimination et dignité

Ce sont deux notions opposés. La dignité exclue toutes formes de discrimination ; quelles soit religieuse,
raciale, sexuel, etc...

B- liens entre torture, traitement inhumain et dégradant et le principe de la dignité humaine

La notion de dignité humaine interdit toute formes de traitement dégradant, la torture. En effet, la
torture est considéré comme un moyen de dégradé ( d'avilir) la personne humaine qui se traduit par des
douloureurs , des séquelles porté au corps. Les tortures morales sont une forme de souffrance intérieur
qui blesse l'âme

C- l'indisponibilité de la dignité de la personne humaine

Celà signifie que la personne humaine est hors du commerce. Ce principe peut admettre des exceptions,
mais ses exception sont jugés contraire au normes du IUS COGENS ( normes auxquelles on ne peut pas
déroger)

Section 5: la dimension sociale du respect de la dignité de la personne humaine

Il y'a un débat a ce niveau. Certains auteurs estiment qu'il ne faudrait pas étendre la dignité humaine
aux lois sociaux, car celà dénaturerai la conception même de dignité humaine. Par contre pour d'autres,
il faut étendre la notion de dignité humaine au droit sociaux. En effet, il estiment que nous sommes
rentrée dans une nouvelle ères et que pour être en phase avec notre époque, il est nécessaire d'inclure
dans la notion de dignité humaine des droits tels que : le droit au logement, a la santé, a l'éducation
etc...

Section 6 : le débat entre universalisme et relativisme des droits de l'homme

Paragraphe 1: les origines des droits de l'homme et de l'universalisme

A- les fondements philosophiques

Les droits de l'homme proviennent du droit naturel.

Les droits de l'homme ont été propagée, divulgué avec l'apparition de la DDHC de 1789.

B- les dimensions de l'universalité


Les droits de l'homme ont vite connus un succès dans la mesure où la DDHC dès sa promulgation fût
adopté par 58 Etats. Les Etats considérèrent ce instruments juridiques comme un instrument
reconnaissant et garantissant les droits de toutes individus. Ce qui obligent les Etats lié par cette
déclaration a s'engager a respecter la dignité et les droits ses concitoyens

C- la problématique de la responsabilité des nations unies

Au sortir de la seconde guerre mondiale, les nations unies se sont donnés pour objectif d'assurer la paix
et la sécurité internationale. De ce fait, il apparaît donc légitime que celle-ci s'ingérère dans des conflits
afin de régler pacifiquement ses conflits. Toutefois, au regard de nombreux conflits existant, l'on est en
droit de ce demandé si ce rôle de garantie de la Paix et de la sécurité internationale est effectif.

Paragraphe 2 : la contestation de la porté universaliste des droits de l'homme

La question est de savoir si véritablement, les droits de l'homme ont une porté universaliste.

Il est triste de remarqué que ce n'est pas le cas ; car un État peut refuser d'être lié par un traité ou
encore et mettre des réserves a certain disposition de ce traité international. Si ces réserves portent sur
la non reconnaissance de droit de l'homme, l'on ne pourrai dire alors que les droits de l'homme ont une
porté universelle. Le caractère de l'universalité des droits de l'homme dépend donc l'acceptation des
États

Chapitre 2 : les autres Sources

Paragraphe 1: les Sources écrite ou les sources textuels

A* la prédominance de la loi ( voir le cours)

Ici , en plus de la constitution, on peut citer certains textes tel que la DUDH de 1948 ; la CADHP de 1981 .

Paragraphe 2: les Sources jurisprudentielle

A côté des sources textuels c'est a dire écrite, les droits de l'homme ont également pour fondement la
jurisprudence

Section 2: Les sources international

Paragraphe 1: les sources africaines

A- la CADHP

Elle a une forces contraignante. De ce fait, ses normes s'impose a la volonté des États africains . Cette
charte commande aux États africains d'œuvrer pour la protection des droits fondamentaux des individus
ainsi que des libertés fondamentales. La CADHP est un instrument vulgarisé dans la plupart des
constitutions des États africains. La côte d'ivoire a adhéré a cette charte le 6 janvier 1992 .
B- la convention relative aux réfugiés

Elle a été adopté le 10 septembre 1969 et est rentré en vigueur le 20 juin 1974 . Elle protège les droits
des réfugiés

C- la convention relative a l'enfant

Elle a été adopté en juillet 1990 et entrée en vigueur en novembre 1999. Elle protège les droits de
l'enfant.

D- le protocole A/SP1/12/01 sur la démocratie et la bonne gouvernance

Ce protocole incite les Etats ( ceux de la CEDEAO) a promouvoir la transparence des Etats publiques ; a
respecter l'indépendance de la justice ; a bannir tout mode anticonstitutionnel d'accession au pouvoir ; a
tolérer les religions dite minoritaires ... Etc

Toutefois l'application de ce protocole connais quelque difficultés . La première difficulté est que
chaques Etats a le loisir ou non de ratifier ce protocole. La 2e difficulté est que ce protocole touche au
principe même de l'État, ce qui est inadmissible pour les Etats. La dernière difficulté est liée à la volonté
réelle des Etats a s'obliger par ce protocole

Paragraphe 2: les autres Sources internationales

A- les apports du droit international

On peut citer entre autre la DUDH, signé le 10 décembre 1948. La charte des nations unies signé le 26
juin 1945 ; on peut également ajouter des textes importants tels que le PIDESC et le PIDCP. On peut
également ajouter la convention de Rome qui institud la CPI

B- La convention européenne des droits de l'homme ( La CEDH)

Cette convention reconnaît a toute personne des droits et des libertés. C'est un texte fondateur,
Pionnier en matière de protection des droits de l'homme. Il concerne principalement les Etats
européens, mais peut s'étendre a d'autres Etats dans la mesure où ces arrêts sont parfois reconduis
pour trancher les litiges en matière de protection des droits de l'homme . l'apport de la CEDH est
impossible, voire inestimable. En effet elle a déjà statué sur l'inprescriptibilité des Crimes contre
l'humanité, des crimes de guerre , la torture ou les traitements dégradants. Elle s'est aussi prononcée
contre la violation des données personnelles tels que le droit du travail, le droit syndical etc ...

C- la problématique de la responsabilité des nations unies

Au sortir de la seconde guerre mondiale, les nations unies se sont donnés pour objectif d'assurer la paix
et la sécurité internationale. De ce fait, il apparaît donc légitime que celle-ci s'ingérè dans des conflits
afin de réguler pacifiquement ces confits . Toutefois, au regard de nombreux conflits existant, l'on est en
droit de se demander si ce rôle de garanti de la paix et la sécurité internationale est effectif.
Paragraphe 2: la contestation de la portée universaliste des droits de l'homme

La question est de savoir si véritablement les droits de l'homme ont une portée universaliste. Il est triste
de remarqué que ce n'est pas le cas ; car un État peut refuser d'être lié par un traité international ou
encore émettre des réserves à certaines dispositions de ce traité international. Si ces réserves portent
sur la non reconnaissance des droits de l'homme, l'on ne pourrait dire alors que les droits de l'homme
ont une portée universelle. Le caractère de l'universalité des droits de l'homme prétend de l'acceptation
des États

Chapitre 2: les autres Sources

Section 1 : les sources internes

Paragraphe 1 : les sources écrites ou les sources textuelles

A- la prédominance de la loi ( voir le cours)

Ici en plus de la constitution on peut citer certains textes tels que la DUDH de 1987 , la CADHP de 1981.
Cela signifie que la personne humaine est hors du commerce. Ce principe peut admettre des exceptions,
mais ces exceptions sont jugées contraire aux normes du Us COGENS

Section 5: la dimension sociale du respect de la dignité de la personne

Il y'a un débat a ce niveau. Certains auteurs estiment qu'il ne faudrait pas étendre la dignité humaine
aux droits sociaux car celà dénaturerai la conception même de dignité humaine. Par contre pour
d'autres il faut étendre la notion de dignité humaine aux droits sociaux. En effet il estiment que nous
sommes entrés dans une nouvelle ères et sur pour être en phase avec notre époque il est nécessaire
d'inclure dans la notion de dignité humaine des droits tels que le droit au logement, à la santé a
l'éducation...

Section 6: le débat entre universalisme et relativisme des droits de l'homme

Paragraphe 1: les origines des droits de l'homme et de l'universalisme

A- les fondements philosophiques

Les droits de l'homme proviennent du droit naturel. Les droits de l'homme ont été propagée divulgués
avec l'apparition de la DDHC de 1789.

B- les dimensions de l'universalité

Les droits de l'homme ont vite connus un succès dans la mesure où la DDHC dès sa promulgation fût
adopté par 58 Etats. Les Etats considèrent ce instruments juridiques comme un instrument
reconnaissant et garantissant les droits de tout individu .ce qui oblige les Etats liés par cette déclaration
a s'engager à respecter la dignité et les droits de ses concitoyens

Chapitre 3 les différentes générations de droit et libertés fondamental aperçu historique


Section 1; l'affirmation des droits de premières génération

Paragraphe 1: les déclarations de droit

Le 18e siècle joué un rôle dans l'avènement des droits de 1ere génération. En effet, les philosophes de
cette époque ont largement contribués a la naissance des droits de cette génération, Aux USA par
exemple l'avènement de ces droits de 1ere génération s'est fait de manière progressive aux USA, les
libertés non fondamentales publiques ne puissent être restreinte que par les lois et les règlements. Les
libertés fondamentales quand a elle sont protégés par la cours suprême des Usa donc bénéficie d'une
protection constitutionnelle

Paragraphe 2: une concrétisation législative des libertés publiques ( en France)

En France, plusieurs textes fondamentaux émerger. Nous avons en l'occurrence la loi dun0E juin de 1781
sur la liberté de réunion, la liberté de presse. De plus, on contentera l'avènement de plusieurs textes
ayant pour but de concrétiser de matérialiser l'effectivité de la protection des droits fondamentaux et
des libertés fondamentales .

Section 2: Apparition et consolidation des droits de seconde génération

Contrairement aux droits de premières génération qui sont rattachés à la liberté, les droits de seconde
génération sont qualifiés de droit sociaux. Les droits de seconde génération ont l'apparence de droit
créance. On peut citer entre autre, le droit au logement, le droit à l'éducation, le droit à la santé...

Section 3 : l'orientation vers une troisième génération

Paragraphe 1: le droit au développement comme un droit de l'homme

Ces droits concernent les droits tels que le droit a l'environnement, le droit a l'information... Ces droits
sont matérialiser dans des instruments juridiques tels que : la convention Aarhus de 1988. La déclaration
de Rio de 1992, la charte africaine des droits de l'homme...

Paragraphe 2 : la contestation des droits de troisième génération

Les droits de troisième génération font l'objet de débats, de polémique. En effet, plusieurs autres estime
qu'il ne faudrait pas parler des droits de 3e génération en raison du caractère flou et insaisissable de ces
droits

: Quelques droit et libertés garantie

Chapitre 1: les droits et libertés collective

Nous analyserons la liberté de ce groupé et les droits sociaux des travailleurs.

Paragraphe 1 : La liberté de manifester


A- les manifestations

C'est un droit fondamental consacré par la constitution. Les manifestations se perçoive comme des
rassemblements sur la voie publique prémédité ou spontanée en vu de commémoré un évènement,
d'exprimer un sentiment ou de protester face a une situation .

Les manifestations sont soumises a un régime de déclaration préalable auprès du maire ou du préfet .
Dans un délai de 3 a 15 jours avant le jour prévu pour la manifestation.sont requis les informations tels
que le nom des organisateurs, leurs domiciles , le jour de la manifestation, le lieu de la manifestation....

Les manifestations font l'objet de contrôle de la par du juge administratif

B- les attroupement

L'attroupement est tout rassemblements de personnes sur la voie publique susceptible de créer un
trouble a l'ordre publique . Tout rassemblements n'es pas un attroupement . Il peut bien être une
manifestation. L'attroupement n'est pas une liberté par conséquent il ne fait pas l'objet de protection
par la loi

Paragraphe 2 : la liberté de réunion

La liberté de réunion est la liberté qui est offerte a toutes personnes de se réunir dans un lieu public. Elle
est soumises à une déclaration préalable. Elle se caractérise par divers éléments :

- c'est un rassemblement momentané. C'est à dire qu'elle est limité dans le temps.

- c'est un rassemblement concerté ou organisé. Cela signifie qu'elle elle est préparé. Elle se distingue a
ce niveau de l'attroupement.

- c'est un rassemblement finalisé. Elle a pour objectif l'échange d'idées ou la défense d'intérêt

* Réunion publique et réunion privée

- réunion privée

Elle n'est pas considéré comme Dangereuse pour l'ordre publique . Elle est tenu généralement au
domicile d'une personne privé. Elle n'est pas soumise à la règlementation

Pour certains la qualification de réunion privée n'est pas fonction du lieu de réunion, mais dépend des
liens qui existent entre ses personnes. Par contre pour d'autres, l'élément déterminant est plutôt l'objet
de la réunion , quelques soit la nature des liens entre les personnes réunies.

Une réunion organisée sur une voie publique n'est pas une réunion privée

* Régime juridique de la liberté de réunion


La liberté de réunion est garanti par l'article 20 de la constitution du 8 novembre 2016.

La liberté de réunion sera analysé en deux situations différentes

- En période normal , la liberté de réunion est strictement respecté. Le contrôle est effectué par le juge
administratif. C'est s'il pèse une menace à l'ordre public que le juge administratif, peut restreindre la
liberté de réunion confère l'arrêt benjamin, conseil d'État 19 mai 1933

- En période exceptionnelle : la liberté de réunion est restreinte en tenant compte des circonstances.
Ainsi, les autorités administratives peuvent aisément justifier la restriction de la liberté de réunion

Paragraphe 3: la liberté d'association

Selon l'article premier de la loi n° 60-315 du 21 septembre 1960 relative aux associations , l'association
est la convention par laquelle une ou plusieurs personnes mettent en commun d'une façon permanente
leur connaissance ou activités dans un but autre que lucratif>>

Trois éléments ressort de cette définition :

- l'association est un liens contractuel entre ses différents membres

- le second élément fait allusion a la durée dans la mesure où l'association est établi de manière
permanente jusqu'à ce qu'elle disparaisse

- le troisième élément concerne le caractère désintéressé de l'association. En effet, toutes associations


ne doit pas poursuivre de but lucratif. Toutefois, cela peut apparaître comme un élément secondaire

L'objet de l'association ne doit pas être illicite sous peine de dissolution

Les associations sont Soumises a un régime de l'intervention préalable de l'autorité administrative ou


judiciaire.

Pour être reconnu comme tel , les associations doivent faire l'objet d'une déclaration a la préfecture ou
a la sous préfecture. De plus, dans cette déclaration doivent figurer les éléments tel que le nom et
l'adresse des fondateurs, le siège, l'objet et les statuts de l'association. La déclaration de toutes
associations entraîne automatiquement la délivrance de récépissé. L'association peut disparaitre selon 3
modalités :

- la dissolution peut être statutaire

- elle peut être volontaire

- elle peu être judiciaire

Relation entre l'association et ses adhérents


L'adhérent est soumis a des cotisations qui apparaissent comme des obligations. De plus en cas
d'irrespect des règles de l'association, les adhérents peuvent être sanctionné allant même jusqu'à leur
exclusion

Section 2: les droits sociaux des travailleurs : La liberté syndicale et le droit de grève

Paragraphe 1: la liberté syndicale

L'article 17 de la constitution ivoirienne consacre le droit syndical et le droit de grève comme des droits
reconnus aux travailleurs qu'il soit du secteur privé ou du secteur public .

Le syndicat est définie comme une association de personnes en vu de défendre des intérêts communs
de nature professionnelle. Tout individu a droit à la liberté syndicale , et également la liberté de se retiré
a tous moment du syndicat. Le syndicat dispose d'une personnalité juridique en ce sens qu'il peu
acquérir des biens, et en disposé. Il peu saisir également les juridictions. Le patrimoine du syndicat est
en partie protégé par l'insaisissabilité

Paragraphe 2: le droit de grève

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