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Résumé Finale Adolescence

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RÉSUMÉ FINALE ADOLESCENCE

Le développement cognitif et les relations sociales

La cognition sociale

 Capacité de pensées aux intentions des autres (mettre a la place


des autres)
 Comme la métacognition mais avec les autres
 En lien avec attention et fonctions exécutives (aide à avoir
meilleur cognition sociale)
 Influencées habileté de communication (bien transmettre
message) et socio-émotionnelle (ex : communication non-
agressive)
Les sous fonctions :
Traitement des émotions : capacité voir que autre vie émotion et
quel type émotion (signaux corporelle ou verbale) s’améliore a
ado mais atteint plein potentiel adulte
Perception sociale : norme sociale (ex : silence à la biblio)
Théorie de l’esprit : comprendre que autres ont pas même info et
état mentaux que nous, expérience différente pour chacun
Réciprocité sociale : se comporte en fonction de ce qu’a compris
d’une situation, s’adapte à situation et à l’autre
*voir exemples des sous fonctions Diapo 5 cours 6

Le développement morale

Pensée morale (2e étape de cognition sociale) : critères pour juger juste
ou injuste, bon ou mauvais comp

Ado développement nouvelles fonctions cognitives pour aider a juger


et voir contradiction social (ex : doit pas être sur cell mais boss l’est =
contradiction) et maintenant capable définir propres valeurs

La pensée morale selon Heinz kohlberg


Stades basées sur la réponse de l’enfant face à l’action

Niveau 1 : période préconventionnelle (égocentrique, prend pas encore


compte conventions sociales)

1. Obéissance simple : bien est ce qui est récompensée et mal est


ce qui est puni (obéissance aveugle)
2. Utilitarisme : action bien est ce qui satisfait besoin personnels et
parfois les autres (stade donnant-donnant, justice équitable)
Niveau 2 : période conventionnelle (moralité en lien avec conventions
sociales)

3. Bonne concordance interpersonnelle : ce qui est bon est ce qui


est approuvé par entourage et approuvé par milieu (basé sur
attentes et entourages pour être accepté sociaement ) (ce qui
est bon va changer selon chaque groupe) majorité gens vont pas
dépacé ce stade
4. La loi et l’ordre sociale : ce qui respecte les lois et protège ordre
sociale (- indépendant du groupe et plus focus sur société en
générale)

Niveau 3 : Période post conventionnelle

5. Contrat sociale : se base sur le principes de lois, origines morales


des lois (ex : protections des autres, dignité, protection
d’innocence) (pas tout le monde se rend à ce stade)
6. Éthique universelle : ce qui est juste est basé sur principes
moraux et conscience personnelle (tout le monde est égaux peut
importe, vision trèsage, tout le monde est bon) (très rare que va
au stade 6)

(Voir bons exemples diapo 13 cours 6)

Les limites de la théorie de Heinz

- Implication affective (dure d’être 100% morale quand impliqué


émotionnellement)
- Conflit d’intérêts (ex : conflit entre frère et père= pas neutre,
personnel)
- Chargées d’émotions intenses (réagis pas pareil quand sous
pression)
- Décisions spontanées et pas analysé (parfois doit être impulsif,
pas le temps de réfléchir)

Facteurs d’influence sur développement morale

o Pratiques parentales (a quel point accompagne enfant dans


raisonnement et aide a developper conscience,style
démocratique permet aller plus loin)
o Éducation (+ éduqué = +haut dans stade moralité)
o Interactions avec les pairs (amis qui ont haut niveau moralité =
va avoir haut niveau de moralité)
L’empathie

- Composante cognitive : comprendre point de vue de l’autre dans


certaines situation (psychopathe ont composante cognitive mais
PAS émotionnelle) (s’améliore à ado)
- Composantes émotionnelles : se mets émotionnellement à la
place de l’autre, capacité vivre et ressentir émotion de l’autre. 2
facettes :
o Sympathie : vivre émotion de l’autre (s’améliore à ado)
o Détresse : submergépar émotion, ressent autant que si
l’avait vécu (pas adapté socialement) (se détériore à ado
mais positif)

La Socialisation
Les agents de socialisation rencontrés qui emmène à une bonne
adaptation et autonomie sociale de l’ado. Autonomie permet voir si
prend valeur et opinion de l’autre (introspection inconsciente). Agents
de socialisation (prof, parents, amis, média…) aide à bâtir notre
sociale, on est le produit de nos interactions sociales.

Le meilleur prédicateur d’adaptation : une bonne adaptation àl’enfance


(enfance reflète adolescence futur)

Mécanisme d’interaction individu et milieu (interaction entre les deux)

Individu : notre températement, apparence (caractéristique que ne


contrôle pas)

Milieu : styleparentale, niveau socio-économique

Les 5 mécanismes de socialisation (comment notre milieu vient nous


influencer)

1. Renforcement :style pavlovien (récompense et punition) renforce


certain traits de personnalité
2. Identification : observe et copie un modèle
3. Éveil cognitif :outils cognitif pour mieux comprendre monde
4. Adoption de rôle réciproques : équilibre face àl’autre
(inconscient) devient extraverti dans groupe intraverti
5. Réactivité psychologique : lorsque sent manque liberté ou
injustice, se raccroche plus (ex : interdir graffiti = va en faire plus
qu’avant)

Le tempérament et la personnalité
 Tempérament (né avec…) v.s. Personnalité (se construit, fait parti
identité) (influence bidirectionnelle, s’entre influence)
 Constante évolution, augmentation des traits personnalité (de+
en + extraverti), se construit au travers de la vie
 Jeunes aultes qui changent le plus vite : relations socles vont
avoir + influence, expérience + marquante, relation amoureuse
+ profonde

Les compétences sociales

Habileté (sociale, émotionnelle, etc) nécessaire pour bonne adaptation


interpersonnelle (ex : bonne communication, coopération, respect de
l’autre) (vient au monde pas avec meme niveau de compétence
sociale)

- Ressource interne : estime de soi (se reflète dans interactions),


efficacité personnelle(sentiment que contrôle notre vie),
cognition sociale
- Apparence physique : (important à ado) physique dans norme
beauté = privilège de beauté, traitement sociale à influencénos
compétence (beau= plus developper mais peut être pris dans
cette identités pas explorer)

Les activités

 Jeunes – en - temps libre (les occupes bcp)


 Activité parascolaire = motivation scolaire, donne raison d’aller à
école
 Pas pcq fait activité que va pas être dépressif
 Diminutioncomportement délinquance (sauf sportif qui boit plus)
 Activité pas structuré (ex : chill au parc) + à risque délits et
consom.
 + activité structurée = + adapté
 + est engagé dans activié, + adapté mais fréquence ne fait pas
en sorte qu'engagé
 Moins activité au cours adolescence car – de temps (étude +
travail) et veulent + liberté (- de contraintes)
 Certains restent car a groupe d’ami dans équipe

Le soutien (*à l’examen)


- Début adolescence : bcp mère et père (grande diminution du
soutien père au cours adolescence) (augmentation soutien amis
au cours adolescence)
- Fin adolescence : mère et amis égale, autres on plus d’impact
aussi (autre = prof, collègues, amoureux, etc)

(Mettre tableau diapo 27 cours 6)

Les amitiés à l’adolescence


Faits généraux :

 Différents codes liés aux différente relation (être un ami, les


attente, codes sociaux entre les relations)
 Attente mutuels entre ado augmente (à l’écoute, lapour nous)
 Amis, famille et amours sont interreliés
 Amitié permet de se sentir choisi (1er personne qu’on décide
d’avoir dans notre vie, contraire de famille ou l’on naît)
 Ado se tournent vers amis quand prend distance saine avec
parent (utilise amis pour combler place)

Changements dans l’amitié

- Continuité avec enfance : (gens pop en enfance vont être pop à


ado)
- Va jamais autant passé de temps avec amis qu’en adolescence
- Amis une énorme source d’influence (ado plus influençable
pendant adolescence aussi)(très attaché)(va remplacer parents a
certain moment)
- Période où nombre d’ais est le plus grand (plus d’occasion
d’avoir des amis)

Lien avec les autres changements

 Pensée formelle : plus sensible àl’autre,plus grand niveau


intimité
 Transformation : pulsionsexuelle, relation avec l’autre sexe
 Maturation certaines parties du cerveau : plus susceptible d’être
influencé
 Identité : plus diversité d’amis = plus d’exposition à des
valeurs,attitudes et style de vie

Dimension positive de l’amitié

o Ados se voient comme égale (relation les +égalitaire qu’on a)


o Valorisation (on se fait choisir)
o Source de soutien indispensable (de + en + important pour
adolescent)
o Normalisation des situations (amis comprennent mieux)
o Apprentissage de la négociation (pas toujours d’accord avec
amis,apprend à négocier de manière mature)
o Rétroaction importante sur soi (amis aide a créer identité)
(relation miroir)(permet mieux voir valeur et ou on se trouve)

Dimension négative de l’amitié

- Conflit, rivalité, compétition et trahison (beaucoup de jalousie


entre amis)
- Conflit entre ados sont les moments les plus stressant à
l’adolescence
- Peuvent rompre amitié (nouveaux, pas comme frere ou sœur)
(très anxiogènes, peuvent se retrouver seuls)

L’évolution de l’amitié (3 stades)

1- Amitié-activité
 Activité que fait est plus important que l’amitié (genre
ami pcq dans meme classe) (ami car partage activité
commune ou job)
2- Amitié-solidarité
 Sentiment de sécurité (concept principale du stade)
 Encore égocentrique, le fait pour soi et pour l’étiquette
(ex; collier BFF)
 L’ami est celui qui est loyal (remets pas vraiment en
question)
 Beaucoup d’échange sur situation nouvelle
3- Amitié-réciprocité (+adulte/fin adolescence)
 Partage d,expérience prime (beaucoup dans le partage)
 Compréhension mutuelle avant les besoins personnelles
 Amitié jugé selon l’apport à la relation (quelqu’un qui
est la pour nous, besoin de réciprocité)

Différence entre les sexes

Filles : + d’intimité/ + de soutien/ + d’affection/ + d’acceptation/ + de


sécurité (car socialisé etre proche des émotions et prendre soin des
autres)(accepte pas tout le monde dans groupe car activité plus intime
et de confidence)
Relation face-à-face (activité comme parler et dans l’échange) Dyade
(beaucoup de duo dans groupe d’ami

Meilleur pour nouer et conserver lien

Garcons : groupe d’amis plus dense (+ de personne)/ beaucoup les


amis des amis (+ grand comme groupe, + ouvert et d’acceptation)

Relation cote à cote (fait activité ensemble comme soccer)

Plus facile de rentrer dans groupe de gars

Les amitiés entre filles ne sont pas juste positives

Corumination : focus sur problème, négatif et drama en groupe,


spécule sur cause / nourris le négatif/ emmene beaucoup dépression et
d’anxiété

Beaucoup de préoccupation en lien avec relations amicales (plus


besoin d’approbation car socialisé à plaire)

Les cliques

- Rare que juste 2 amis (relation dyadique)/ plupart juste 1 groupe


d’amis
- Qui se ressemble s’assemble (psychologie et physique)
- Le groupe sociale le plus important (va passe le plus de temps
aussi)
- Assez dynamique (change dans le temps)
- Répond au besoin d’appartenance

Évolution des groupes

(mettre diapo 11 cours 7)

Les bandes

o Fait référence aux catégories sociale / les étiquettes (nerds,


sportif, etc)
o Basés sur réputation et stéréotype (souvent intériorisé dans
identité)
o De moins en moins prédominant dans adolescence
o Peuvent facilité contacts mais aussi restrendre (intolérant a
différence et exclusion)

La popularité
- La popularité est une grande motivation (le but)
- Implique avoir beaucoup d’amis/ prestige (hiérarchie sociale)/
visibilité/ pas nécéssairement aimé ou sympathique (populaire
car bitch)(mais change au cours adolescence, gentillesse est
proné)

La popularité selon les sexes

Filles : sensibilité/ sociale/ bonne gestion rumeurs/ s’affirme dans


regles

Gars : énergie/ assurance/ capacité à rester cool/ sais se défendre/


athlétique

Les deux : apparence physique (suis norme de beauté)/ bonne


ressources financières/ talent

Influence des amis

- Cercle d’amis est prédicteur de la consommation de drogue


- Plus grande source d’influence extrafamiliale
- Qui se ressemble s’assemble (sélection : va vers personne qui a
point commun avec nous) (socialisation : s’influence dans meme
direction)

Famille v.s. pairs

 Pas de rivalité (chacun sa zone d’influence)


 Valeurs qui se chevauchent (s’influence pas sur meme choses)
 Role des parents dans choix des amis (ado va cherche amis avec
meme style parentale) (relation avec parents va influencer le
choix d’amis)

La solitude

Vécu négativement/ très dramatique (3 types de solitude)

 Solitude d’exclusion : Sentiment d’etre socialement exclus (un


peu forcé)
 Solitude recherché : sentiment d’être déconnecté sur plan
relationnelle (relation pas satisfaisante /nourris pas/ se sent seul
meme dans groupe)
 Solitude d’évitement : sentiment d’être sans appartenance (ne
s.identifie pas a aucun groupe)
Les amours à l’adolescence
L’amour à l’adolescence

- Vécu avec intensité extrème/ ne pense qu’a ca


- Idéalisé dans média/ focus sur les cotés positif
- Aimé sans lui avoir parlé (ex; crush de corridor)
- Convaincu que relation peut durer toujours
- Vision de l’amour change avec le temps

Les premières fois

Premiere expérience d’amour partagé et première peine d’amour la


meme age : 17 ans (montre que dure pas longtemps)

Quelques statistiques

- 35% jeunes de secondaire 1 ont déjà été en couple


- 56% en secondaire 5
- *15 ans années importante : 50% jeunes ont eut relation
amoureuses et interaction amoureuse
- Duration des relations augmentent avec l’age

Différence entre amour et amitié

Ados sont capable de différencier mais sur le plan théorique


seulement, en vrai mélange beaucoup les deux et bcp de confusion

Relation de couple décrites comme asymétrique et moins moins


égalitaire et très maladroit

Point commun : intimité (se confie)/ sexualité (bcp premiere expérience


fait avec des amis)/ les conflits

Évolution d’amis et d’amour

(mettre diapo 7 cours 8)

L’évolution des relations amoureuses (dév de l’individu)

Phase d’initiation

- Centré sur lui-meme/ image d’etre en couple plus importante/


courte durée/ superficielle

Phase de statut
- Image sociale (+ populaires sont en couple)(bien vu
socialement)/ difficile de s’engager car s’éloigne des amis

Phase de l’affection

- Relation amoureuse est le centre (en relation pour ma relation)/


investissement mais se projette pas dans futur/ de plus en plus
importante et gratifiante

Phase d’engagement

- Relation mure/ relation est le vrai centre d’interet/ très engager


(planifie futur ensemble)

L’évolution des relations amoureuses (modèle Connoly et


Goldberg)

- Se base sur taches socioémotionnelle (montre a société que peut


etre en couple)
- Relation répond à des besoins : (présent tout au long relation
mais d’importance variable)
 Autosatisfaction (relation la – mature/ focus sur propre beosin
 Affiliation (besoin de se sentir en couple/ appartenir a relation
amoureuse)
 Intimité (capable d’etre nous même)
 Engagement (planifié futur/ longterme)

Apprendre à aimer par la famille

- Famille influence relations amoureuses futur (+ facteur de


protection face a relation futurs néfastes) (reflete notre capacité
a résoudre conflit)
- Continuité entre attachement avec parents et relations futurs
- Mode d’attachement en enfance est façon d’entrer en contact/
nous représente en quelque sorte

Lien entre les différentes taches de l’adolescence

o Autonomie : relation aide à acquérir autonomie et se séparer des


parents
o Relations aux parents : séparation et reflete le type
d’attachement
o Identité : relation aide a ajusté trait et apprentissage dans notre
identité (nous apprend des choses sur notre identité)
(+orientation sexuelle)
o Les amis : amis peuvent être des modèles de couple et du
soutien

Profils relationnels amoureux

- Environ 1/3 sont tardifs (pas relation a 17 ans) ou âge moyen


- Mais a 30 ans tout le monde sur même pied égalitaire

Les fonctions des relations amoureuses

- socialisation hétérosexuelle qui favorise interaction avec autre


sexe
- sélection progressive d’un partenaire (évaluation des aspects
positif et négatifs)
- gain de statut auprès des pairs
- engagement dans l’intimité émotionnelle et physique
- affirmation de l’identité sexuelle et expérimentation sexuelle

Les différences entre les sexes

 déjà différence d’apprentissage dans les amitiés (ex : filles plus


intimes/ gars + grosse gang) (selon normes sociales des genres)
 distribution inégale du pouvoir (fille + investie/ gars fait prise de
décision) (fille s’attend a ce que le gars fasse les premiers
moves)
 attitudes à l’égard de la sexualité (filles doivent être prêtes, +
planifié)
 mode communication différentes (fille plus dans communication
et gars renfermé)
 maintien avec groupe d’amis (fille tendance a délaissé groupe,
gars contraire)

Le négatif des relations

- sensibilité au rejet (rupture) (surtout fille) (peut venir attaqué


égo a cause du sociale)
- les conflits augmentent au cours adolescence (début – de conflit
car cherchait pas a régler problèmes de couple, relation +
superficiel et fragile)
- les peines d’amours sont des facteurs de risques de dev
dépression
- gros problèmes de violence dans relation (1/3) violence
bidirectionnelle
L’image corporelle et les troubles alimentaires à
l’adolescence
Risques liées à insatisfaction aliementaire

- trouble alimentaires, anxiété, régimes à répétition, exercice


excessif, usage de stéroide

Les facteurs de protection

 avoir bonne estime de soi


 relations sociales satisfaisantes
 faire l’activité physique (pas juste pour image mais capacité
physique)
 relation saine avec alimentation (avoir bonne relation avec tout
aliment, manger sans arrière pensée)

Quand s’inquiété des préoccupations face à l’image corporelle

 temps investi dans apparence physique (+ passe temps a


changer apparence, + problématique)
 influence humeur ou autre indicateur de santé mentale (rend
déprimé et anxieux face a image corporelle)
 influence dans les sphères de la vie (évite relation amoureuse
car veut pas être intime)(si image fait en sorte que fait pas
certaine activité comme plage)
 présence d’évitement (évitement = probléme)(ex : sors pas
maison sans être maquillé)

La neutralité corporelle

- se décentrer de l’apparence physique (ne pas juste voir


apparence, donner moins d’importance)
- miser sur la fonctionnalité (corps permet vivre/ marcher/ pas
juste une image)
- posture neutre (décide de ne pas donner importance a…)

Faits sur les troubles alimentaires

- 3e maladie chronique chez les ados


- Trouble mentale avec le plus de mortalité
- En augmentation chez les adolescents
- Cause biopsychosociale
L’anorexie à l’adolescence

Pas juste lié a image corporelle, souvent des causes plus profondes

Pour être diagnostiqué doit avoir 3 critère du DSM-5

- Personne mange pas assez pour ses besoin, va venir stopper


développement
- Peur de la prise de poids et fait comportement pour éviter prise
- Se voit de manière déformer et irréelle, peut être obsessionnelle

Les sous-types

Type restrictif : exercice/ jeune/ régime

Type accès hyperphagique ou purgatif : manger beaucoup en très peu


de temps et va se faire vomir, ou va juste se faire vomir sans
hyperphagie

Peut avoir les 2 sous-type dans l’évolution (alterner entre les 2)

Statistiques

- Juste 1% mais bcp pas diagnostiqué


- Touche vraiment plus les femmes (lié a norme sociale et de
beauté)
- Arrive de + en + jeune
- Augmentation à la pubert. (s’éloigne des normes de beautés)
(moment boulversant donc anorexie permet reprendre contrôle

Particularité qui influence l’intervention

Le déni et la minimisation : passe beaucoup de rencontre a juste faire


comprendre qu’elle a un probléme (ne viennent pas de eux-memes,
souvent forcer par parents)/ se convrainc que leurs portions sont
normales, se trouve grosse, trouve normale de s’entrainer jusqu’à
vomir (minimise gravité)/ déni conséquence sur le corps et la santé/
pensées magique de l’adolescence : « ca arrive pas à moi »

Maladie égosynthone : réponde au besoin de la personne, veut perdre


du poids et la maladie permet de perdre du poids (apporte ce que
veut)

Neurologiquement dépendant : comme une drogue, phase lune de miel


surtout, corps en mode survie donc perd bcp de poids mais a bcp
d’énergie comme si prenait cocaïne
Symptômes

- Changement d’habitude au moment des repas (fait croire qu,a


déjà manger/ emmène nourriture dans chambre mais va flusher)
- Absorption de beaucoup de liquide
- Isolement (sors moins avec amis car veut pas souper/ cerveau
obsédé par bouffe donc isolé psychologiquement)
- Se peser plusieurs fois par jour
- Hyperactivité (car sur adrénaline/ cerveau en mode survie)
- Surinvestissement scolaire (coté perfectionniste/ évitement)
- Irritabilité (car a faim)
- Humeur triste (dépression car manque d’énergie)
- Vie sexuelle absente (puberté retardé)
- Insomnie (car hyperactivité)

Les comorbidités sont nombreuses

o Boulimie (30-50%) : developpe souvent après anorexie (mais


peut pas être les 2 en même temps)
o Trouble anxieux ou TOC (80%) : souvent avant anorexie,
personne anxieuse de base, même vulnérabilité génétique
o Trouble de l’humeur (45-70%) : comme dépression lié a
malnutrition
o Suicide : la moitié, réussi ou attentat
o Automutilation : anorexie est aussi une forme d’automutilation,
corps est moyen de se faire mal
o Trouble de personnalité (40-50%) : surtout trouble personnalité
évitente (sensible au stress et émotions négatives)
o Abus alcool et drogue : cocaïne et speed fait perdre du poids
(ozempic aussi), alcool très contre-intuitif car très calorique
(alcool seuls calorie qu’elles ont donc peut pas dire d’arreter de
boire car dangeureus, combo très difficile a gérer)

Évolution de la maladie

- Élimination d’un aliment ou deux (dessert/ pain/ pate/ friture)


- Restriction entraine la compulsion (enleve de + en de truc)
- Augmentation des préoccupations liés au poids (voit que perte
de poids fonctionne donc obsède)
- Plusieurs hospitalisation possible (prise ou perte de poids
accélérer) (métabolisme bas) (hospitalisé pour prendre poids)
(retour maison = rechute facile) (ressort souvent pire)
- Règle du 1/3 : guérir, va garder toute la vie ou mourir, va se
transformer en un autre trouble mentale ou rechute fréquente
- 5-10% en meurt (arret cardiaque ou suicide)
- Risque plus élevé pour ceux que traitement a été long avant
d’etre débuté (doit consulté le + tot possible avant que maladie
trop enraciné)

FINIR LES NOTES DU COURS

Les troubles anxieux à l’adolescence


Troubles anxieux selon DSM-5

- Phobie sociale et anxiété sociale


- Trouble panique
- Anxiété généralisé (TAG)

(Anxiété de performance pas un vrai diagnostique) (TOC pu un type


d’anxiété, rentre dans le TAG)

Statistique

- Entre 10-25% (dépend comment a été rapporté)


- Trouble les plus courant de enfance à adolescence
- Apparait entre 7 et 12 ans (se manifest par trouble de sommeil à
l’enfance)
- Anxiété de séparation, phobie sociale et phobie spécifique les
plus courants
- Différence de genre; 2x plus les fille, fille sur RS en début
puberté grand taux d’anxiété, fille plus de comorbidité

Les modalités d’expression de l’anxiété

*anxiété est stresse face a futur et anticipation (ex : 1 semaine avant


examen) tandis que stress générale est sur moment présent (ex :
pendant un examen)

(Mettre diapo 4 cours 11)

Le lien anxiété et dépression

 Forte comorbidité avec dépression (20% on aussi dépression)


(40% dépressif ont aussi anxiété)
 Anxiété arrive avant dépression (épuisant d’être anxieux =
fatigué donc sors moins = dépression)
 Facteurs de risque et cause similaire (joue sur même
neurotransmetteur que dépression, pourquoi on prescris
antidépresseurs pour anxiété)

Trajectoire des troubles anxieux

(METTRE DIAPO 6 COURS 11)

Étiologie

- 30-40% génétique
- Avoir un des parents ayant trouble anxieux par transmission
envirronnementale (peut ne pas l’avoir génétiquement mais par
environnement)
- Certains comportements des parents :
 Encouragement de l’évitement
 Surprotection (signe que parent anxieux) (parent de ma
génération sont très surprotecteur)
 Contrôle exagérer (fait comprendre que pas capable bleu)
 Critique constante (mène à l’évitement)

Étiologie non exhaustive

 Enjeux relationnels avec les pairs (ex : plus peur de se faire


rejeter que de mourir)(relation très importante)
 Pression de l’environnement (env avec beaucoup d’exigence où
échec est très mal vue)
 Maltraitance et trauma (négligence/ violence)
 Réseaux sociaux (grand facteur) ( plus passe temps sur RS, plus
chance d’être anxieux)

Comorbidité

- Dépression
- Trouble bipolaire
- Trouble TDAH
- Trouble du spectre de l’autisme (mode de pensée très rigide)

Anxiété sociale – DSM-5

- Situations sociale presque toujours peur ou anxiogène


- Situation sociale souvent évité
- Peur ou anxiété face a situation sociale sont disproportionné
Faits sur anxiété sociale

- Entre 8 et 11%
- Diminue avec l’age
- Débute entre 11 et 13 ans
- La moitié ont un autre trouble de santé mentale (souvent TAG)

Anxiété généralisé (TAG) – DSM-5

- Soucis excessif avec beaucoup d’appréhension


- Difficulté a contrôler préoccupation
- 3 des symptômes : irritabilité/ trouble de mémoire/ problème de
concentration/ agitation/ tension musculaire

Faits sur le TAG

- Entre 1 et 6% ado
- Chances avoir anxiété augmentent avec le temps
- Dans 60 et 90% des chances il y a une comorbidité

Le traitement des troubles anxieux

(DIAPO 14 COURS 11) +annoter

Le développement psychosexuel à l’adolescence


La sexualité

Période d’exploration

o Influencé par apparition des pulsions sexuelles


o Influencé par plusieurs facteurs psychologique (ex : personne
impulsive plus précoce) et sociaux (fille v.s. gars)
o Pas de synchronisation entre maturité psychologique et
physique/sexuelle

Les doubles standards (stéréotypes de genre)

Garçons :

- Être entreprenants (- tendance a dire que pas prêts ou veut


attendre)
- Plus valoriser si parle de sexualité que en fait
- être actif sexuellement (parents plus permissif, mettent a
disposition condoms)
Filles :

- etre sexy et miser sur leurs apparence (socialiser a vouloir


paraitre)
- ne doivent pas etre trop intéressé ni trop libre (fille rapidement
vu comme une salope) (paradoxale)
- plus grande valorisation de la virginité (ou juste etre en couple,
pas de one night)
- parents moins permissif

La masturbation

Comportement le plus fréquent a adolescence (de + en + au cours


adolescence puis se maintien a age adulte (couple marié plus de
masturbation que relation sexuelle)

Débute plus tot (en parle +/ acces a plus de porno/ normalisé)

Homte et cupabilité encore présent chez les filles

Les stimulations buccogénitales (relation sexuelle orale)

- en augmentation chez les jeunes (pres de la moitié en sec 5)


- pas de différence entre gars et fille
- majorité fait avant premiere relation sexuel (pénétration)
- considérer plus acceptable et moins risqué par jeunes
(banalisation surtout des ITSS car non protégé)
- certains se considère encore vierge (socialement nécessite
pénétration

Les premières relations sexuelles (avec pénétration)

- plus de chance de regretter si fait sous alcool ou drogue


- facteur de protection : le faire avec qqun qu’aime

METTRE DIAPO 7 COURS 11

La prévalence

- 1/3 jeunes seraient actifs sexuellement


- Age médian est 16-17 ans (reste stable au travers génération)
- 1ere relation est égale chez gars ou fille (gars pas plus précoce)

Précocité

METTRE DIAPO9 COURS 11


Le nombre de partenaire

- Facteur de risque d’inadaptation (+ en a – est adapter) (1/5 des


ado)
- 1/3 ont 3 partenaire ou plus
- Gars plus de partenaire que les filles

L’évolution de l’activité sexuelle

- Augm entre 1960 et 1990


- Diminution entre 1990 et 2000 mais stabilisation depuis
- Diminution entre 2010 et 2017 (diminution générale dans toute
la société)

Le contexte des premières relations sexuelles

Relation souhaités et vécues avec plaisir

 Contexte de relation amoureuse et engagement émotionnelle


 Risque de regret/ violence sexuelle présent quand même

Motif les plus utilisés

 Amour 2/3 des cas


 Curiosité ou désirs d’expérience

Motifs d’abstinence

 Pas encore prêt


 Pas eut l’occasion

Les principales sources de socialisation sexuelle

La famille

- Facon dont parents exercent le contrôle (contrôle sain)


- Leurs soutiens émotionnels
- Leur supervision
- Lien avec les styles de parents (tous a risque de problème ou
précocité sauf avec parent démocratique)

Les pairs

- Favorise adoption de comportement sexuels par l’établissement


de normes (ce qui influence age = vision vis sexuelle des amis)

Les médias
- Autre source de socialisation
- Grande banalisation et accessibilité porn mais souvent messages
de peur
- Transmettent messages contradictoires
- Facilite accès à contenu sexuel positif ( xploration/ diffusion
d’info) ou négatif (porno/ sexto)
- Influencé par 2 mécanismes : observation directe de
comportements sexuels et renforcement indirect de certaines
normes/ stéréotype (surtout porno)/ comportement

L’orientation sexuelle

Attirance affective ou sexuelle envers les personnes de l’autre sexe a


diver degré (c’ets un continuum) (tout ce qui est pas hétéro)

L’échelle de Kinsey (continuum)

1) Exclusivement hétéro
2) Principlament hétéro avec comportement homo épisodique
3) Hétéro et homo
4) Inversement

Les dimensions de l’orientation sexuelle

Attirance : désir d’avoir des relations sexuelles ou amoureuse (bcp de


gens ont eut attirance mais pas eut comp ou s’identifie)

Comportement : activité consentante qui implique relation sexuelle

Identification : étiquette que individus choisissent eux-memes qui a


signification sociale et historique (comment s’identifie) (+rare)

Le développement sexuel pour les jeunes de la minorité


sexuelle (processus globale)

- Se sentir différent.
- Ressentir de l’attirance pour une personne du même sexe.
- Remettre en question l’orientation hétérosexuelle.
- Avoir eu un premier contact sexuel avec une personne du même
sexe.
- S’identifier à la minorité sexuelle.
- Dévoiler son orientation sexuelle (commence plus avec amis)
- Entretenir une relation amoureuse avec une personne du même
sexe.
- Accepter sa sexualité et l’intégrer aux autres dimensions de soi
Les relations

+ de fille que de gars (fille plus flexible sur leurs identité et acceptation
sociale)

Les risques des minorités sexuelles

- la violence des milieux (intimidation hoomophobe est plus de la


moitié des gens de la minorité sexuelle
- rejet des amis ou de la famille
- impact sur la santé mentale (orientation et minorité est un
facteur)

L’identité de genre

Sexe : biologique, donné a la naissance, selon caractère


sexuel/chromosome

Genre : psychologique, auto-identifié, sociale

L’identité biologique

Étape 1 (1-2 ans): conscience de genre (comprend que société a gars


et fille)

Étape 2 (2 a 3 ans) : identification de genre (s’identifie a


caractéristique)

Étape 3 (3 a 5 ans) : stabilité de genre (comprend que change pas de


catégorie)

Étape 4 (5 a 6 ans) : consolidation/ constante de genre (certaine


maturité cognitive)

Constituante de l’identité de genre

1- la connaissance de l’appartenance à une catégorie de genre (que


société a donner)
2- l’importance accordée à la catégorie de genre par rapport à
d’autres identités
3- la satisfaction liée à l’appartenance à son genre (comment se
sent avec notre genre)
4- la pression ressentie de se conformer
5- le sentiment de congruence

Féminité et masculinité
Tendance a adopter comportement propre aux femmes ou propres aux
hommes (ce sont aussi 2 continuum) (très vaste)

Plus de fille androgyne car plus acceptable que gars

Les 4 types théoriques

Un continuum basé sur les 4 catégories

METTRE DIAPO28 COURS 11

La dysphorie de genre (probleme mentale)

Détresse ou l’ado dont le sexe assigné ne correspond pas a leur genre


vécu ou exprimé

Plus de chance d’etre dépressif ou anxieux

Peut etre trans sans avoir de dysphorie

Manifestation de la dysphorie de genre

(manifestation différente pour chacun)

• Non-congruence marquée entre le genre vécu et les


caractéristiques primaires ou secondaires

• Désir marqué d’être débarrassé de ses caractéristiques sexuelles


primaires ou secondaires en raison d’une incompatibilité avec le
genre vécu. (ex= opération ou comment s'habille)

• Désir marqué d’avoir les caractéristiques sexuelles primaires ou


secondaires de l’autre sexe

• Désir marqué d’appartenir à l’autre genre (ou à un genre


différent de celui assigné)

• Désir marqué d’être traité comme une personne de l’autre genre

• Conviction marquée d’avoir les sentiments et les réactions de


l’autre genre (psychologique ou comportementale)

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