Plan
I. Introduction
II. Biographie
III. Bibliographie
IV. Personnages
V. Thèmes majeurs
VI. Structure de l’œuvre
VII. Résumé de l’œuvre
VIII. Conclusion
I. Introduction
Roman naturaliste publié en 1885par Emile ZOLA, Germinal fait partie de sa
série des Rougon-Macquart. Etymologiquement, "Germinal" attrait a la
germination, la renaissance des forces nouvelles. Aussi dans ce roman, Zola fait
ressentir le changement de l’évolution des mineurs dont la vie était qualifiée de
misérable. Donc tout au long de ce roman, l’écrivain naturaliste décrit d’abord
les conditions inhumaines des personnages principaux tout en faisant de ceux-
ci les héros de leur histoire, par leur lutte contre l’exploitation et la quête de
dignité, même ci cette révolte dite ouvrière sera vains. Voila donc toute la
symbolique que Germinal, la germination de ces mineurs récoltées qui ont
malgré tout semé le germe du changement.
Zola met toutes ces idées centrées sur l’émergence de la classe ouvrière, la
nécessite dune lutte sociale dans son roman, tout en mettant en exergue
d’autres thèmes celle tournent autour de la nature humaine et des relations.
II. Biographie
Emilie Zola est un très grand écrivain français. Né à Paris le 02 Avril 1840. Il a
passé son enfance à Aix en Provence. En 1858, il déménage à Paris, après avoir
rate deux fois son baccalauréat il est embauche à la librairie Hachettes en 1862
en tant que commis, puis chef de publicité. Ce qui lui permet de côtoyer les
célébrités littéraires de l'époque. Il se lance dans le journalisme en écrivant des
articles sur l'art et la politique. En 1898, dans le journal l'Aurore, il publie «
j'accuse » lettre ouverte au président de la république, dans laquelle il prend la
défense d'Alfred Dreyfus, officier juif accuser à tort de trahison. Cette
intervention aura un grand ralentissement et sera déterminante pour la
réhabilitation de Dreyfus. Condamné pour diffamation à un an de prison, ZOLA
s'exile en Angleterre (1898-1899).
Emile Zola meurt le 29 septembre 1902 à paris, asphyxié dans des conditions
mystérieuses : accidents, agissements criminels ? Le cinq octobre enterrement
d'Emile ZOLA au cimetière Mont martre accompagné par une foule immense.
En 1908, les cendres d'Emile Zola sont transférées au panthéon.
III. Bibliographie
Les principales œuvres d'Émile Zola, l'un des écrivains les plus importants de la
littérature française du XIXe siècle.
1. "Les conte à Ninon" (1864). Elle est presque parallèle à celle de la confession
de Claude au moment où il travaille comme employé à la Librairie Hachette.
2. "Les confession de Claude" (1865). Il s'agit de désacraliser le drame
romantique et de « rétablir la vérité brutale, nécessaire à ceux qui marchent
librement dans la vie.
3. "Mes haines-Mon Salon " (1866). C’est un recueil de textes d’Émile Zola paru
en 1866. Il regroupe des « causeries littéraires et artistiques » parues dans les
journaux, principalement Le Salut public de Lyon, en 1865 et 1866. Elles sont
précédées d'un texte liminaire dans lequel Zola expose les grands principes de
son esthétique.
4. "Thérèse Raquin" (1867). Un roman sombre sur la passion et le meurtre,
explorant les aspects les plus sombres de l'âme humaine.
4. "Madeleine Ferat" (1868). D'abord sous le titre La Honte en feuilleton
(dans L'Evénement illustrée, du 2 septembre au 20 octobre 1868), puis en
volume sous le titre Madeleine Férat chez Albert Lacroix, avec une dédicace au
peintre Manet. C'est la version romancée d'une pièce de théâtre qui n'avait pas
été acceptée.
5. Les Rougon-Macquart - Une série de vingt romans qui dépeignent la société
française sous le Second Empire, en mettant en lumière les effets de l'hérédité
et de l'environnement sur le destin des individus.
Parmi les romans les plus célèbres de cette série, on trouve "L'Assommoir"
(1877), "Germinal" (1885), et "Nana" (1880). Parmi ceux les moins connu, on a
"La fortune des Rongon" (1871) 1er volume des Rougon-Macquart, "La Curée"
(1872), "Le vente de Paris" (1873), " La Conquête de Plassans Nouveaux Contes
à Ninon" (1874), "La Faute de l'Abbé Mouret " (1875), "Son Excellence Eugène
Rougon" (1876), "Une Page d'Amour" (1878), "Les Romanciers Naturalistes - Le
Naturalisme au théâtre - Documents Littéraires" (1881), "Pot-Bouille" (1882),
"Au Bonheur des Dames" (1883), "La Joie de Vivre" (1884), "L'Œuvre" (1886),
"La Terre" (1887), "Le Rêve" (1888), "La Bête Humaine" (1890), "L'Argent"
(1891),"La Débâcle" (1892), "Le Docteur Pascal" (1893) 20ème et dernier
volume des Rougon-Macquart.
6. Les Trois Villes est un cycle romanesque écrit par Émile
Zola entre 1893 et 1898. Il suit directement le cycle précédent du
romancier : Les Rougon-Macquart. Son héros, l'abbé Pierre Froment, sert de fil
rouge aux trois romans, Lourdes, Rome et Paris, dans lesquels Zola s'interroge
sur la place de la religion dans la société moderne, mais aussi sur la
confrontation entre une bourgeoisie rayonnante face à un monde ouvrier
misérable. On en distingue 3 volumes, "Lourdes" (1894), "Rome" (1896), et
"Paris" (1898).
7. Les Quatre Évangiles est le dernier cycle romanesque conçu par Émile
Zola de 1898 à sa mort en 1902. Il est inachevé puisque seuls les trois premiers
romans de la série, "Fécondité" (1899), "Travail" (1901) et "Vérité" (1903) ont
été publiés. Justice, le dernier projet du romancier, n'a été qu'ébauché.
IV. Thèmes majeurs
La lutte contre l’injustice
La misère des ouvriers, les mauvaises conditions de vie et de travail, la baisse
des salaires sera les causes principales de déclenchement de la grève. Les
mineurs espéraient avoir gain de causes en optant pour une grève pacifique
avec refus de redescendre dans les mines. Mais, ils vont très vite se rendre à
l’évidence que le patronat ne les écoutait pas. Ils vont alors entamer des séries
de marches et de sabotages des installations des mines afin de forcer la main
du patronat et d’empêcher ceux qui veulent descendre de le faire. Ces marches
vont parfois dégénérer à des affrontements contre les soldats. Lors d’une
marche, les soldats vont tirer sur les mineurs, ce qui va causer la mort de
plusieurs mineurs. Cette marche va aussi déterminer l’arrêt de la grève et le
retour des mineurs dans les fosses. Début de la grève page 179, violence de la
grève page 306-350.
La misère
La misère des ouvriers est largement commentée durant tout le long de
l’œuvre. Tout d’abord avant la grève, on peut constater cette misère à travers
les conditions de logements des mineurs. Ils vivaient dans de petites maisons,
très petites pour le nombre de personne dans la famille. Par exemple chez les
Maheu, ils étaient au nombre de dix (10) et ils étaient obligés de se coincer de
telle sorte qu’à l’intérieur il fasse chaud qu’à l’extérieur de la maison il faisait
très froid. Leurs maisons étaient aussi coincées ce qui fait que l’on pouvait
savoir ce qui se passe chez les voisins. Pendant la grève cette misère va aller en
accroissant, les mineurs n’auront plus de quoi se soigner. Ils seront obligés de
vendre leurs biens pour pouvoir acheter un peu de pain. Les femmes allaient
mendier s’endetter auprès de Maigrat pour nourrir leur famille. (Illustration à la
page 17/ début de la misère pendant la grève page 167-248)
L’amour
L’éducation sentimentale d’Etienne se poursuit en même temps que son
apprentissage. Maheu lui avait appris son nouveau métier, sa fille Catherine va
lui révéler progressivement l’amour. L’aîné des Maheu se mariant, Zacharie,
Etienne se voit proposer la possibilité de loger chez eux. Il accepte. Il est
désormais plus souvent avec Catherine et sa forte amitié pour elle se
transforme peu à peu en désir ardent. Ce désir est réciproque, mais rien ne se
passe. Entre temps elle sera mise avec Chaval dès sa quinzième année. Elle
s’unira a Etienne après le meurtre de Chaval quelques instants avant de mourir
elle-même. Elle meurt à 16 ans et connaît presque en même temps l’amour et
la mort. Illustration page 488.
La trahison
C’est au plan des dames, une « vaste clairière qu’une coupe venait d’ouvrir »
que les organisateurs de la grève ont choisi de situer la réunion clandestine.
Chaval n’est plus écouté. Rasseneur n’intéresse personne.... Etienne s’impose.
Comme meneur incontesté. Les mineurs le suivent en partageant ses opinions.
La reconduction de la grève est décidée et les mécontents décident de se
rendre le lendemain à la fosse Jean Bart, encore en activité pour saccager les
installations des « traîtres ».
Chaval tente de sauver sa popularité en les y entraînant : « venez demain à jean
Bart et vous verrez si je travail ».
Denneulin apprend que sa fosse se met en grève et tente de convaincre les
mineurs de descendre. Il sait que si la grève éclate chez lui, la compagnie
avalera sa mine. Il a l’ingénieuse idée de corrompre Chaval. Il voit en lui le
meneur et lui propose un poste de chef si la grève est évitée. Personnage
égoïste et avide de pouvoir, Chaval accepte et met un terme à la révolte : il
trahit Etienne et les mineurs de Montsou.
La débouche
L’acte sexuel était dépourvu de sens. Le soir venu çà et là dans les herbes, des
couples de défoulaient sans être inquiets de personnes. Dans les maisons, les
femmes avaient deux hommes, un la nuit et un autre la journée. Illustration de
la Débauche page 248, 327)
La souffrance
L’angoisse, la tristesse et le deuil sont là, les sentiments qui envahissent le cœur
des mineurs. Dans l’œuvre, celle qui va le plus souffrir c’est sans conteste la
Maheude. Elle va perdre son mari, obligée malgré tout cela de retourner à la
mine pour pouvoir nourrir le reste de la famille. Illustration de souffrance page
248.
La solidarité
Grâce à la révolte, il va se manifester un sentiment de fraternité et de solidarité
entre les mineurs. En effet, nous pouvons le remarquer tout d’abord avec la
création de la caisse de prévoyance, l’adhésion à l’international qui devait
financer et soutenir la grève. De plus, ils se retrouvent pour discuter et partager
leurs idées sur le déroulement de la grève. Enfin, ils se soutenaient
mutuellement en partageant leurs nourritures avec ceux qui n’en avaient pas.
Ainsi cette grève va susciter un sentiment qui n’existait pas ou très peu au
niveau des mineurs. Illustration de la solidarité page 207.
La violence
Germinal se caractérise par la violence qui tient une grande place dans son
déroulement. C’est l’une des principales raisons pour laquelle la grève échoue.
Tout au long du roman, on remarque une progression de cette violence. La
montée de la violence est pour une part due à une sorte de réaction des
mineurs face à leur impuissance. Cette première manifestation de violence, on
la trouve dans la première partie, chapitre IV lorsque Zola écrit « ce matin-là,
une goutte s’acharnait dans son œil, le faisait jurer ». Ici on voit Maheu en prise
avec des éléments, il lutte contre la mine. Il refuse de céder aux éléments, alors
il réagit avec violence. On le voit par son geste « il donnait de grands coups » 41
La montée de la grève est, d’autre part, due à l’aggravation de la situation. C’est
surtout au cours de la troisième partie qu’on voit nettement la progression de la
violence. Tout d’abord, l’ingénieur Negrel se fâche à cause des boisages mal
faits et leur dit que la compagnie pendra des mesures si le travail est bâclé.
En effet, le jour de la paie arrivée il y a une affiche qui annonce que le boisage
sera payé à part. De plus la paie se révèle être très mauvaise. Le nouveau mode
de paiement ne satisfait donc personne, car c’est une façon déguisée de la
compagnie de faire des économies sur le dos des mineurs. C’est l’une des
principales sources de mécontentement.
V. Personnages
Le protagoniste : -Etienne Lantier
Au début du roman, il a vingt et un an. Il cherche du travail car il a été renvoyé
pour avoir giflé son chef des Chemins de fer de Lille où il était mécanicien.
Étienne, tel un héros de roman d'apprentissage, connaît une triple initiation.
D'abord, il arrive naïf et confond Catherine avec un garçon, mais découvre
l'amour juste avant sa mort tragique. Ensuite, il apprend les dures réalités du
métier de mineur avec Maheu comme mentor. Enfin, il s'engage dans l'action
politique, espérant changer les injustices au Voreux. Malgré son rôle de
meneur, il réalise que la violence révolutionnaire ne peut apporter de véritable
changement, mais garde espoir en une société plus fraternelle.
-Les Maheu
Toussaint Maheu
Ouvrier sérieux qui travaille dur, il se laisse gagner par la colère et suit Etienne.
Il connaîtra une fin tragique lors de l’insurrection des mineurs.
Constance Maheu dite La Maheude
Cette mère de famille, d'abord hésitante à soutenir la grève, évolue sous
l'influence d'Étienne et aspire à une société plus juste. Elle prend
courageusement la tête de l'insurrection, incitant même son mari à se
confronter aux soldats. Finalement, elle se résigne à retourner travailler dans la
mine pour subvenir aux besoins de sa famille.
Les enfants Maheu
Zacharie
Il épousera Philomène Levaque, sa voisine avec laquelle il a deux enfants. Son
cas illustre la dépravation des mœurs des mineurs accablés et vivant dans la
promiscuité. Voulant sauver les mineurs enfermés au fond de la mine, il meurt
victime d’un coup de grisou.
Catherine
Elle a quinze ans et est très courageuse. Elle aime Etienne mais est obligée de
soumettre à la violence de Chaval qui l’a choisie pour femme.
Jeanlin
Il illustre parfaitement l’influence néfaste du milieu sur l’homme qui est l’une
des thèses naturalistes. Victime d’un accident, il finit estropier. Il devient alors
vicieux, méchant et commet même un crime.
Alzire
Personnage pathétique, petite bossue, elle aide à la maison et s’occupe de ses
frères et sœurs. Elle meurt de faim et de froid.
-Chaval
C’est un homme brutal. Il cède aux flatteries de son patron et ne poursuit pas la
grève. Il est le double négatif d’Etienne qui le tuera à la fin du roman.
-Souvarine
Anarchiste russe, vit chez Rasseneur et est machiniste. Il est un nihiliste
convaincu, rejetant toute forme de révolte constructive. Ne croyant ni à la grève
ni à un avenir meilleur pour les mineurs, il est impliqué dans la catastrophe
finale qui frappe la communauté minière.
-Les bourgeois
Les Grégoire
C’est un couple d’actionnaires qui se donne bonne conscience en faisant la
charité aux plus démunis. Leur fille Cécile est l’antithèse de Catherine. Elle est
tuée de façon symbolique par le vieux Maheu qui ne peut supporter
l’insouciance opulente de la jeune fille.
Les Deneulin
Victor Deneulin est le cousin des Grégoire. Il est propriétaire de plusieurs mines
dont Jean-Bart. Il essaie de ramener à la raison ses mineurs. La grève le mènera
finalement à la ruine. Ses deux filles incarnent l’insouciance bourgeoise,
préoccupées par des motivations artistiques.
VI. Résumer de l’œuvre
Le roman décrit la vie difficile des mineurs de charbon et de leur famille,
confrontés à des conditions de travail épouvantables, à la pauvreté extrême et
à l'exploitation par les propriétaires des mines.
L'histoire tourne autour d'Étienne Lantier, un jeune homme en quête de travail
qui trouve un emploi dans une mine de charbon. Il y fait la connaissance d’une
famille de Mineurs, les Maheu, et tombe amoureux de leur fille Catherine. Mais
celle-ci qui n’est pas insensible à Etienne, est ma maîtresse d’un ouvrier brutal,
Chaval. Etienne est révolté par les misérables conditions de vie des mineurs et
quand la compagnie des mines alléguant la crise économique décide de baisser
les salaires ; sa révolte s’exaspère. Rêvant d’une société juste, il propage des
idées révolutionnaires et pousse les mineurs à la grève.
Les semaines s’écoulent. Les grévistes affamés se déchaînent en une bande
enragée aux cris de : « du pain ! Du pain ! ». Mais l’armée intervient, et les
mineurs se résignent à reprendre le travail. C’est alors que Souvarine, un
ouvrier anarchiste sabote la mine. Les galeries inondées s’effondrent. De
nombreux mineurs périssent. Etienne se trouvent bloqué avec Catherine et
Chaval. Ce dernier le provoque. Etienne le tue et devient l’amant de Catherine
qui meurt d’épuisement dans ses bras.
Etienne, sauvé, part pour Paris. Il a perdu ses illusions mais a le cœur plein
d’espoir. Il sait qu’un jour viendra où la force ouvrière, encore en germination,
s’organisera pour venir à bout des injustices.
VII. Structure de l’œuvre
Germinal est un roman d’Émile Zola paru en 1885. Le titre du roman fait
référence à la dernière phrase du livre : « Encore, encore, de plus en plus
distinctement, comme s’ils se fussent rapprochés du sol, les camarades
tapaient. Aux rayons enflammés de l’astre, par cette matinée de jeunesse,
c’était de cette rumeur que la campagne était grosse. Des hommes poussaient,
une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons,
grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire
bientôt éclater la terre. ». Zola identifie ici la révolte en germe des ouvriers se
rassemblant grâce à une prise de conscience collective. Comme les végétaux,
les ouvriers sortent de la terre, lentement mais sûrement, et la germination
printanière devient révolte ouvrière. Il fait partie de la série des Rougon-
Macquart, dont il est le treizième volume. Germinal suit le schéma d’un drame
en cinq actes.
1. Introduction : Elle présente le personnage principal, Étienne Lantier, et décrit
les conditions de vie difficiles des mineurs de charbon dans le nord de la France.
2. Développement : Il explore en détail la vie des mineurs et les conditions de
travail éprouvantes auxquelles ils sont confrontés. Il met également en lumière
les relations sociales et les luttes de classe de l'époque.
3. Dénouement : Le dénouement de l'œuvre voit la fin de la révolte des
mineurs et offre des conclusions sur le sort des personnages principaux, ainsi
que des réflexions plus larges sur les thèmes sociaux et politiques abordés dans
le roman.
4. Eclatement : il peut être considéré comme le moment où les mineurs se
révoltent contre les conditions de travail injustes, conduisant à une
confrontation violente avec les autorités et les propriétaires des mines.
5. Conclusion : La conclusion de "Germinal" laisse aux lecteurs une impression
durable sur les thèmes de la lutte des classes, de l'exploitation économique et
de la résilience humaine face à l'adversité.
Germinal suit donc une structure narrative assez classique, mais ce sont les
détails de l'histoire, les personnages riches et la profondeur de l'analyse sociale
qui en font une œuvre majeure de la littérature française.
VIII. Conclusion
Emilie Zola, à travers son œuvre fait ressortir plusieurs thèmes dont le principal
qui est la lutte sociale.
En effet, Germinal est une dénonciation des injustices que subissent les
mineurs du Nord de la France en XIX siècle, contre lesquelles ils vont lutter par
une grève dirigée par le protagoniste Etienne Lanlier. Malheureusement cela a
été en vain car malgré leurs efforts et leur ambition, ils sont retournés à la case
départ. Pour finir nous pouvons dire que GERMINAL est « Les Bouts De Bois De
Dieu » français.