8

17-23 FÉVRIER

LA SAGESSE POUR VIVRE

DANS L’INTÉGRITÉ

SABBAT APRÈS-MIDI
Étude de la semaine :
Ps 119.1-16 ; 90 ; Jn 3.16 ; Ps 95.7-11 ; 141 ; 128.

Verset à mémoriser :
Enseigne-nous à bien compter nos jours, que nous conduisions notre cœur avec sagesse
(Psaumes 90.12).

Comme nous l’avons vu, la grâce de Dieu pourvoit au pardon des péchés, et elle crée
un nouveau cœur chez le pécheur repentant, qui vit à présent par la foi.
La Parole de Dieu donne également des instructions pour vivre dans l’intégrité (Ps
119.9-16). Observer la loi de Dieu n’est en rien une observation légaliste de règles,
mais vivre une vie riche de bénédictions, dans une relation intime avec Dieu (Ps
119.1-2 ; 128).
Cependant, la vie du juste n’est pas exempte de tentations. Parfois, le juste peut
être tenté par la nature rusée du péché (Ps 141.2-4) et aller jusqu’à tomber dans
ce piège. Dieu permet des moments d’épreuve pour que la fidélité (ou l’infidélité)
de ses enfants soit clairement révélée. Si les enfants de Dieu tiennent compte de
l’instruction et de la réprimande de Dieu, leur foi sera purifiée et leur confiance dans
le Seigneur fortifiée. Quand on traverse avec Dieu des tentations et des difficultés,
on gagne de la sagesse pour mener une vie intègre. Ainsi, cette prière que Dieu
voudrait nous enseigner à compter nos jours afin que nous conduisions nos cœurs
avec sagesse (Ps 90.12), reflète un engagement constant de marcher en restant fidèle
au Seigneur.

Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 24 février.

56 | LE LIVRE DES PSAUMES

FAQ_1T_2024.indd 56 9/5/23 12:52 PM

 DIMANCHE
SEMAINE 8 18 février

J’ai caché ta Parole dans mon cœur

Lisez Psaume 119.1-16,161-168. Comment garder les commandements de Dieu,
et quelles sont les bénédictions qui y sont associées ?

La Bible décrit une vie quotidienne de foi comme un pèlerinage (une « marche »)
avec Dieu dans sa voie de justice. La vie de foi est possible quand on marche dans
« la loi du Seigneur » (Ps 119.1) et « à la lumière de ta face » (Ps 89.16). Il ne
s’agit en aucun cas de deux marches différentes. Marcher à la lumière de la face de
Dieu implique de respecter sa loi. De la même manière, marcher dans « la loi du
Seigneur » implique de chercher Dieu de tout son cœur (Ps 119.1, 2, 10).
Les Psaumes décrivent la vie intègre d’une autre manière : être « irréprochable dans ses
voies » (Ps 119.1, BFC). « Intègre » décrit un sacrifice « sans défaut », acceptable pour
Dieu (Ex 12.5). De même, la vie d’un individu, qui est un sacrifice vivant (Rm 12.1) ne
doit pas être souillée par l’amour du péché. Une vie consacrée à Dieu est également
une « voie parfaite » (DRB), ce qui signifie qu’une personne prend une bonne
direction dans sa vie, celle qui fait plaisir à Dieu (Ps 101.2, 6 ; voir également Ps
18.33).
Garder les commandements de Dieu n’a rien à voir avec une observation légaliste
des règles divines. Au contraire, il s’agit d’une « bonne intelligence » de la différence
entre le bien et le mal (Ps 111.10, DRB ; voir également 1 Ch 22.12), et cela
implique la personne dans sa globalité, et non de simples actions extérieures. Être
irréprochable, garder les commandements de Dieu et chercher Dieu de tout son
cœur, voilà des attitudes indissociables dans la vie (Ps 119.1, 2).
Les commandements de Dieu sont une révélation de la volonté de Dieu pour le
monde. Ils enseignent aux gens à devenir sages et à vivre dans la liberté et la paix (Ps
119.7-11, 133). Le psalmiste fait ses délices de la loi car elle l’assure de la fidélité de
Dieu (Ps 119.77, 174).
« Il y a une paix abondante pour ceux qui aiment ta loi, et aucun obstacle ne les fait
trébucher » (Ps 119.165). Cette image de la chute décrit un manquement moral.
Comme la lampe aux pieds du psalmiste (Ps 119.105), la Parole de Dieu nous
protège des tentations (Ps 119.110).
Comment Christ a-t-il démontré la puissance de la Parole de Dieu dans sa vie (Mt
4.1-11) ? Qu’est-ce que cela nous indique sur la puissance qui vient d’un cœur
décidé à obéir à la loi de Dieu ?

LE LIVRE DES PSAUMES | 57

FAQ_1T_2024.indd 57 9/5/23 12:52 PM

 LUNDI
19 février LA SAGESSE POUR VIVRE
DANS L’INTÉGRITÉ

Enseigne-nous à
bien compter nos jours
Lisez les Psaumes 90 ; 102.11 et 103.14-16. Quelle est la situation délicate des
humains ?

L’existence humaine déchue n’est qu’une vapeur au vu de l’éternité. Mille ans

pour Dieu sont « comme une veille de la nuit », qui durait trois ou quatre heures
(Ps 90.4). Comparé au temps divin, une vie humaine est très fugace (Ps 90.5-6 ;
103.15-16). Cependant, même cette courte vie est pleine de fatigue et souffrance
(Ps 90.10, PDV). Même les personnes sécularisées, qui ne croient pas en Dieu, se
lamentent sur la brièveté de la vie, en particulier face à l’éternité de l’au-delà qui, ils
le savent, menace de continuer sans eux.
Le Psaume 90 situe la condition humaine dans le cadre de la sollicitude de Dieu
pour nous, lui qui est notre Créateur. Le Seigneur est la demeure de son peuple
dans toutes les générations (Ps 90.1, 2). Le mot hébreu ma’on, « demeure », décrit le
Seigneur comme le refuge, l’abri de son peuple (Ps 91.9).
Dieu contient sa juste colère et manifeste de nouveau sa grâce. Le psalmiste s’écrie :
« Qui connaît la force de ta colère ? » (Ps 90.11). Il sous-entend que personne n’a
fait l’expérience de la pleine colère de Dieu contre le péché, alors il y a de l’espoir :
on peut se repentir et gagner en sagesse pour vivre dans la justice.
La sagesse dans la Bible ne décrit pas simplement l’intelligence, mais la révérence
pour Dieu. La sagesse dont nous avons besoin, c’est de savoir bien « compter nos
jours » (Ps 90.12). Si nous pouvons compter nos jours, cela veut dire que nos jours
sont limités et que nous le savons. Vivre avec sagesse signifie vivre en sachant que
la vie est éphémère, ce qui nous conduit à la foi et à l’obéissance. Cette sagesse ne
s’obtient que par la repentance (Ps 90.8, 12) et grâce aux dons de Dieu : le pardon,
la compassion et la miséricorde (Ps 90.13, 14).
Notre problème fondamental ne vient pas du fait que nous avons été créés en tant
qu’humains. Il vient du péché et de ce que le péché a causé dans notre monde. Ses
effets désastreux sont visibles partout et en tous.
Grâce à Jésus, pourtant, nous avons une issue de secours pour échapper à notre
terrible condition (Jn 1.29, Jn 3.14-21). Sinon, nous n’aurions aucun espoir.

Malgré la brièveté de la vie, quelle promesse avons-nous en Jésus ? (Voir Jean 3.16.)
Quel espoir aurions-nous sans lui ?

58 | LE LIVRE DES PSAUMES

FAQ_1T_2024.indd 58 9/5/23 12:52 PM

 MARDI
SEMAINE 8 20 février

La mise à l’épreuve du Seigneur

Lisez les Psaumes 81.8-9 ; 95.7-11 et 105.17-22. Qu’implique la mise à l’épreuve
divine dans ces textes ?

C’est à Meriba qu’Israël avait mis Dieu à l’épreuve en remettant en question sa

fidélité et sa capacité à subvenir à leurs besoins (Ex 17.1-7 ; Ps 95.8, 9). Le Psaume 81
fait une étonnante inversion et interprète le même événement comme l’occasion où
c’est Dieu qui avait mis Israël à l’épreuve (Ps 81.8). Il ajoute que par sa désobéissance
et son manque de confiance (Ps 81.12), le peuple a échoué à cette épreuve.
La référence à Meriba traduit un double message. D’abord, le peuple de Dieu ne
doit pas refaire les erreurs des générations passées. Il doit plutôt avoir confiance en
Dieu et marcher dans ses voies (Ps 81.14). Deuxièmement, bien que le peuple ait
échoué, Dieu est venu à son secours dans les difficultés (Ps 81.8). La grâce salvatrice
de Dieu par le passé donne l’assurance de la grâce de Dieu aux nouvelles générations.
Le Psaume 105 montre que les épreuves ont servi à éprouver la confiance qu’avait
Joseph en la Parole de Dieu (Gn 37.5-10, Ps 105.19). En hébreu, tsarap, « éprouva »
au verset 19 (DRB), traduit l’idée de « débarrasser », « épurer » ou « purifier ».
Ainsi, l’objectif de Dieu en mettant la foi de Joseph à l’épreuve était de supprimer
les doutes qu’il pouvait avoir concernant les promesses de Dieu et de fortifier sa
confiance en la direction de Dieu.
L’objectif de la discipline divine, c’est de fortifier les enfants de Dieu et de les
préparer à l’accomplissement de la promesse, comme le montre l’exemple de Joseph
(Ps 105.20-22).
Mais le rejet des enseignements de Dieu donne lieu à un entêtement sans cesse plus
grand et à l’endurcissement du cœur de celui qui s’obstine.
« Le Seigneur exige une obéissance implicite à sa loi ; mais les hommes sont
endormis ou paralysés par les séductions de Satan. Celui-ci leur suggère toutes sortes
d’excuses et de subterfuges ; il a raison de leurs scrupules, comme lorsqu’il disait à
Ève en Éden : “Vous ne mourrez point”. La désobéissance endurcit non seulement
le cœur et la conscience du coupable, mais elle tend à corrompre la foi de l’autre. Ce
qui paraissait tout d’abord à ceux-ci une grave erreur perd graduellement cet aspect
jusqu’à ce que, finalement, ils se laissent gagner par cette erreur » — Ellen G. White,
Témoignages pour l’Église, vol. 1, chap. 90, p. 559.

Que connaissez-vous de la manière dont le péché endurcit le cœur ? Pourquoi

cette idée devrait-elle nous conduire à la croix, qui est le seul endroit où trouver la
puissance nécessaire pour obéir ?

LE LIVRE DES PSAUMES | 59

FAQ_1T_2024.indd 59 9/5/23 12:52 PM

 MERCREDI
21 février LA SAGESSE POUR VIVRE
DANS L’INTÉGRITÉ

Malhonnêteté de
la voie des méchants
Lisez le Psaume 141. Pour quoi le psalmiste prie-t-il ?

Le Psaume 141 est une prière pour être protégé des tentations intérieures et
extérieures. Le psalmiste est non seulement mis en danger par les traquenards des
méchants (Ps 141.9, 10) mais il est également tenté d’agir comme eux. Le premier
point faible ? La maîtrise de soi en matière de paroles. Le psalmiste prie pour que
Dieu veille sur la porte de ses lèvres (Ps 141.3). Cette image évoque les gardes aux
portes de la ville, lesquels protégeaient la ville aux temps bibliques.
Il s’agit également de savoir si l’enfant de Dieu va écouter les conseils des justes, ou
bien être attiré par les délices des méchants (Ps 141.4, 5, DRB). Le psalmiste décrit
son cœur comme une menace, car c’est là que la véritable bataille fait rage. Seule
une prière constante, pleine de confiance et de dévotion totales à Dieu peut sauver
l’enfant de Dieu de la tentation (Ps 141.2).
Lisez les Psaumes 1.1 et 141.4. Comment le caractère progressif et fourbe de la
tentation est-il décrit ici ?

Psaumes 141.4 décrit la nature progressive de la tentation. Premièrement, le cœur

est incliné au mal. Deuxièmement, il pratique des actions mauvaises (en hébreu, le
caractère répétitif de l’action est mis en avant). Troisièmement, le cœur mange les
délices des méchants, c’est-à-dire qu’il accepte leurs pratiques malfaisantes comme
quelque chose de désirable.
De la même manière, dans Psaumes 1.1, la tentation vient empêcher l’enfant de
Dieu de marcher dans les voies du Seigneur en le faisant marcher avec les méchants,
s’arrêter sur le chemin des pécheurs, et enfin, s’asseoir parmi les insolents. Des
pécheurs, des méchants et des insolents : ne soyons pas comme eux et ne les laissons
pas nous éloigner du Seigneur.
Les Psaumes décrivent le caractère progressif, séduisant et fourbe de la tentation.
Seule une dépendance totale envers le Seigneur peut assurer la victoire. Les Psaumes
soulignent l’importance des paroles que l’on prononce et que l’on écoute, quand la
tentation nous assaille. La fin des méchants et celle des justes devrait nous enseigner
à rechercher la sagesse auprès de Dieu (Ps 1.4-6 ; 141.8-10). Pourtant, dans les deux
Psaumes, la réhabilitation finale des enfants de Dieu est encore à venir. Cela veut
dire que les croyants sont appelés à compter sur Dieu et à faire preuve de patience
en s’attendant à lui.

60 | LE LIVRE DES PSAUMES

FAQ_1T_2024.indd 60 9/5/23 12:52 PM

 JEUDI
SEMAINE 8 22 février

Les bénédictions d’une vie intègre

Lisez les Psaumes 1.1-3 ; 112.1-9 et 128. Quelles bénédictions sont promises à ceux
qui révèrent le Seigneur ?

Des nombreuses bénédictions promises à ceux qui révèrent le Seigneur, la paix est
peut-être la plus grande. Le Psaume 1 compare le juste à un arbre planté près de
sources d’eaux, qui donne son fruit en sa saison, et dont les feuilles ne flétrissent pas
(Ps 1.3 ; Jr 17.7, 8 ; Ez 47.12). Cette comparaison identifie la source de toutes les
bénédictions, à savoir le fait de demeurer en la présence de Dieu dans son sanctuaire
et de profiter d’une relation d’amour interrompue avec Dieu. Contrairement au
méchant, qui n’a aucune stabilité, aucune place et aucun avenir, le juste est comme
un arbre productif avec des racines, une place près de Dieu et la vie éternelle.
Psaumes 128.2, 3 évoque les bénédictions du royaume messianique, où le fait d’être
assis sous sa vigne et son figuier est un symbole de paix et de prospérité (Mi 4.4). La
bénédiction de paix sur Jérusalem (Ps 122.6-8 ; 128.5, 6) traduit l’espérance en ce
Messie qui mettra un terme au mal et restaurera la paix dans le monde.
« Dans les Écritures, l’héritage des élus est appelé une patrie (voir Hébreux 11.14-
16). Le divin Berger y conduit son troupeau aux sources des eaux vives. L’arbre de
vie y donne son fruit chaque mois, et les feuilles de cet arbre sont utilisées par les
nations. Des ruisseaux intarissables d’une eau claire comme le cristal sont bordés
d’arbres verdoyants qui jettent leur ombre sur les sentiers préparés pour les rachetés
de l’Éternel. D’immenses plaines ondulées en collines gracieuses alternent avec les
cimes altières des montagnes de Dieu. C’est dans ces plaines paisibles et le long de
ces cours d’eau vive que le peuple de Dieu, longtemps étranger et voyageur, trouvera
enfin un foyer » — Ellen G. White, La tragédie des siècles, Doral, Floride, éditions
IADPA, 2012, chap. 42, p.592.
Le Nouveau Testament décrit la réalisation de cette espérance lors du retour de Jésus
et de la création du nouveau monde (Mt 26.29, Apocalypse 21). Par conséquent,
tandis que les justes reçoivent de nombreuses bénédictions en cette vie ici-bas, c’est
la plénitude de la faveur de Dieu qui les attend quand le royaume de Dieu sera
pleinement restauré à la fin des temps.

Pourquoi la croix est-elle la garantie des promesses vétérotestamentaires que Dieu a

en réserve pour nous ? Comment ces promesses peuvent-elles nous réconforter dès
maintenant ?

LE LIVRE DES PSAUMES | 61

FAQ_1T_2024.indd 61 9/5/23 12:52 PM

 VENDREDI
23 février LA SAGESSE POUR VIVRE
DANS L’INTÉGRITÉ

Pour aller plus loin…

Aujourd’hui, parvenir à la sagesse ne semble pas aussi attrayant que de trouver le
bonheur. Les gens préfèrent être heureux plutôt que sages. Pourtant, peut-on être
vraiment heureux et vivre une vie épanouie sans la sagesse divine ? Les Psaumes
disent clairement que c’est impossible. La bonne nouvelle, c’est que nous n’avons pas
à choisir entre les deux. Car la sagesse selon Dieu procure un bonheur authentique.
Un seul exemple de l’hébreu peut illustrer cette idée. En hébreu, le mot « pas » au
pluriel (’âshour) ressemble beaucoup au mot « bonheur » (’ôshèr). Cette similitude
n’apparaît bien sûr pas en français, mais elle traduit pourtant un message
important : les « pas » qui marchent sur la voie de Dieu conduisent à une vie
« heureuse » (Ps 1.1 ; 17.5 ; 37.31 ; 44.19 ; 89.16 ; 119.1). Dans la Bible, la sagesse et
le bonheur ne sont pas des concepts abstraits, mais des expériences réelles.
C’est dans la relation avec Dieu qu’on les trouve. Il suffit de le révérer, de le louer, de
trouver de la force en lui et de lui faire confiance. Psaumes 25.14 dit que « les secrets
du Seigneur sont pour ceux qui le craignent, pour leur faire connaître son alliance ».
« Remercions Dieu des tableaux riants qu’il étale sous nos yeux. Recueillons, afin de
pouvoir les contempler toujours, les précieuses assurances de son amour : le Fils
de Dieu, quittant le trône de son Père et voilant sa divinité sous notre humanité
afin d’arracher l’homme à la puissance de Satan ; son triomphe en notre faveur,
triomphe qui nous ouvre le ciel et nous révèle le lieu où la divinité manifeste sa
gloire ; l’humanité déchue retirée de l’abîme dans lequel le péché l’avait plongée,
et réintégrée dans la communion du Dieu infini ; le croyant sortant, par la foi au
Rédempteur, victorieux de l’épreuve, revêtu de la justice de Jésus-Christ et élevé
jusqu’à son trône : voilà les tableaux sur lesquels le Seigneur veut que nous arrêtions
nos regards » – Ellen White, Vers Jésus, Doral, Floride, éditions IADPA, 2007, chap.
13, p. 179-180.

À MÉDITER
. Comment la Parole de Dieu peut-elle devenir source de délices, et pas simplement
d’enseignements ? En quoi le fait de se nourrir de la Parole de Dieu est-il lié au fait
de demeurer en Jésus-Christ, la Parole (Jn 1.1 ; Jn 15.5, 7) ?
. Qu’arrive-t-il quand les gens rejettent consciemment et constamment l’ensei-
gnement de Dieu (Ps 81 ; 95) ? Pourquoi, selon vous ?
. Pourquoi la voie des méchants semble-t-elle parfois plus attrayante que le conseil
des justes (Psaume 141) ? Autrement dit, comment gérer l’idée que les méchants
semblent souvent s’en sortir très bien ?

62 | LE LIVRE DES PSAUMES

FAQ_1T_2024.indd 62 9/5/23 12:52 PM