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Elemtscyt

Le document traite de la morphologie et de la structure cellulaire des bactéries, en abordant des éléments essentiels tels que la composition cellulaire, le cytoplasme, les ribosomes, et les plasmides. Il souligne l'importance des plasmides dans la résistance aux antibiotiques et la pathogénicité, ainsi que les rôles des structures externes comme la capsule, les cils et les flagelles. Enfin, il mentionne la formation de spores bactériennes en réponse à des conditions environnementales défavorables.

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Elemtscyt

Le document traite de la morphologie et de la structure cellulaire des bactéries, en abordant des éléments essentiels tels que la composition cellulaire, le cytoplasme, les ribosomes, et les plasmides. Il souligne l'importance des plasmides dans la résistance aux antibiotiques et la pathogénicité, ainsi que les rôles des structures externes comme la capsule, les cils et les flagelles. Enfin, il mentionne la formation de spores bactériennes en réponse à des conditions environnementales défavorables.

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MORPHOLOGIE ET STRUCTURE :

LA MORPHOLOGIE CELLULAIRE

► Les β sont les + petits orgs connus, métabolisme + et x de subs nutritives ; Ǿ ≈ 1µm
►MO montre la β un sac d’Ezs; la ME montre son ultrastructure avec 2 types d’elts :
●élements obligatoires ou constants :
paroi, mb cytopl, cytopl et appareil nucléaire
● élements facultatifs ou inconstants
capsule, flagelle, les pili, les spores, les plasmides
CYTOPLASME

► environnement vital de la CB
►hydrogel colloïdal avec 95% d’eau
●présence de substances dissoutes ou en suspension
● pH entre 7 et 7,2
► comporte le matériel nucléaire; les ribosomes et ARN; les substances de réserve et
des organites spécialisés
ARN et RIBOSOMES

► les ribosomes +nbx et + importants


►sphériques et de diamètre compris entre 10 et 30nm
●fixent des colorants basiques : BM
● se dissocient après centrifugation en 2 ss-unités : 50S et 30S
► constitués d’ARN (63%) et de Prot (37%)
►l’ARN des ribosomes est à 90% l’ARN total de la CB
►Les 2 ss-unités sont liées par des liaisons : ARN-Prot : Prots-Prots
ARN et RIBOSOMES

►l’association particulière 50S-ARN-Prots sur 2 sites spécifiques :


●Site P (Peptidyl)
● Site A ( Aminocyl)
► ces sites ont un rôle précis dans la traduction des chaînes d’ARN dans la synthèse
des Prots
►les ribosomes sont le siège de la biosynthèse des Prots
►Les ATB peuvent perturber l’activité de synthèse :chloramphénicol; streptomycine;
tétracycline……d’ou l’intérêt dans les applications médicales
GRANULATIONS CYTOPLASMIQUES

► la CB accumule des subs de réserve orgs ou inorgs = réserves d’En


►visibles en ME en fonction de leur taille et des sp
●EntéroB et Clostridium : Glycogène
● sp pathogènes : volutine
● ThioB : inclusions de Soufre
CHROMATOPHORES ET VACUOLES A GAZ

► Les chromatophores sont des organites qui existent chez les B photosynthétiques :
B vertes et dont la composition est identique à celle de la chlorophylle
CHROMATOPHORES ET VACUOLES A GAZ

►les vacuoles à gaz sont des vésicules remplies de gaz chez les B.photosynthétiques :
B pourpres et B vertes adaptées à la vie aquatique en surface de l’eau
MORPHOLOGIE ET STRUCTURE :
LA MORPHOLOGIE CELLULAIRE

► Les β sont les + petits orgs connus, métabolisme + et x de subs nutritives ; Ǿ ≈ 1µm
►MO montre la β un sac d’Ezs; la ME montre son ultrastructure avec 2 types d’elts :
●élements obligatoires ou constants :
paroi, mb cytopl, cytopl et appareil nucléaire
● élements facultatifs ou inconstants
capsule, flagelle, les pili, les spores
APPAREIL NUCLEAIRE

► mise en évidence par l’action des Ribonucléases et coloration au BM ou à la


Fuschine
►chromosome B de 4 à 5μm (2à 3% du poids de la CB)
●visible en MO à la coloration de Feulgen
● visible en ME en réseau de fibrilles svt fixées au mésosome et la MC
► ADN = polymère de Nucléotides = 1Pentose (désoxyribose)+ 1 base (A-T/C-G) + P
►les bases s’associent par des liaisons H selon le modèle de la double hélice de
watson et Crick
►On définit de % de Chargaff comme le %CG dans l’ADN : cst chez la même sp et
différent entre les sp
APPAREIL NUCLEAIRE
APPAREIL NUCLEAIRE
APPAREIL NUCLEAIRE
APPAREIL NUCLEAIRE

► l’ADN est le vecteur des caractères héréditaires de la CB


►le message génétique est transcrit dans l’ARNm qui traduit en séquences
polypeptidiques =Prots
► la synthèse de chaque ac.am est codée par 1 triplet de bases = code génétique
►l’ADN se réplique par l’appariement d’1 brin qui sert de moule ou de matrice à la
synthèse d’1 nouveau brin qui lui est identique
►la double hélice se sépare par coupure des liaisons H

►la nouvelle double hélice synthétisée est identique à la double hélice parentale
REPLICATION DE L’ADN
MORPHOLOGIE ET STRUCTURE :
LA MORPHOLOGIE CELLULAIRE

► Les β sont les + petits orgs connus, métabolisme + et x de subs nutritives ; Ǿ ≈ 1µm
►MO montre la β un sac d’Ezs; la ME montre son ultrastructure avec 2 types d’elts :
●élements obligatoires ou constants :
paroi, mb cytopl, cytopl et appareil nucléaire
● élements facultatifs ou inconstants
capsule, flagelle, les pili, les spores, les plasmides
LES PLASMIDES

► Depuis 1952, Lederberg a défini les plasmides comme étant des éléments
génétiques extra chromosomiques capables d’auto multiplication
►leur rôle est important à la fois sur le plan clinique et biologique
●certains facteurs plasmidiques (facteurs sexuels F) peuvent s’intégrer au chromos B
= l’épisome sur des sites spécifiques = éléments d’insertion =IS, ces plasmides
conjugatifs découverts en 1950 chez E.coli lui confèrent la capacité de synthèse des pili
dits sexuels par lesquels elle peut transférer une copie du plasmide Fpar processus de
conjugaison B.
● indépendants du chrmos B= leur taille est 100 fois moins que celle du chromosB
● participent aux transferts horizontaux des gènes, dont entre sp et pops différentes,
ce qui entraîne des avntages sélectifs tels que : résistances aux ATB, à des biocides ou
facteurs de virulence….
● leur masse moléculaire est identique à celle de l’ADN viral
LES PLASMIDES
LES PLASMIDES : Propriétés

► la résistance plasmidique (RP) est observée dans 90% des cas cliniques
►la résistance chromosomique (RC) est observée dans 10% des cas cliniques
●la RP résulte d’un long processus d’évolution qui protège la B et lui permet de
conserver ses facultés d’adaptation
● certaines B = Staphylococcus et certaines B Gram- : grâce à la RP ont réussi à
résister aux métaux lourds (mercure, plomb, arsenite….
● Au japon 1959, des malades atteints de dysenterie B sont insensibles à tt traitement
ATB, la B (shigella dysenteriae) portait des gènes de résistance à plusieurs ATB
● chez E.coli en 1963 d’autres RP et fûrent baptisés R Factor = Resistance Transfer
Factor RTF ; ces travaux japonais ouvrent la voie à la découverte des plasmides
● ces RP protègent la B cible par différents moyens : modification de la cible ( Mode
d’action d’1 ATB se voit modifié); Résistance Ez (B produit 1 Ez qui dénature ou
hydrolyse l’ATB); impérméabilité de la paroi (modification des porines) et efflux actif
(modifier les pompes d’efflux) pour empêcher l’ATB d’entrer ou favoriser sa sortie active
de la CB
LES PLASMIDES : Propriétés

► la production de substances pathogènes est sous la dépendance de


déterminants plasmidiques
► les B pathogènes hébergent des plasmides conjugatifs qui ont un rôle dans la
pathogénicité. E.coli entérotoxigénique (ETEC) responsable de la diarrhée du voyageur
(ou tourista) héberge 2 plasmides : l’un codant pour la colonisation et l’autre codant des
toxines : les entérotoxines
► d’autres B pathogènes hébergeant ces plasmides de virulence vont avoir un pouvoir
invasif telles que Shigella qui va héberger le plasmide (PLNV)
► l’exemple de Salmonella , ces plasmides codent un complexe protéique situe sur la
paroi qui permet à la B d’adhérer sur des récepteurs situés à la surface des entérocytes.
► Certains plasmides codent des facteurs tumorigènes = plasmides Ti (Tumor
inducing) hébergés par des B du G/Agrobactérium
LES PLASMIDES : Propriétés

► la production de bactériocines (Prot synthétisées par B) est sous la dépendance


de déterminants plasmidiques
►l’absorption exige un récepteur spécifique, ces subs ont des pptés ATB mais ne sont
pas des ATB, elles jouent un rôle important dans la compétition entre souches B, leur +
est stimulée par la + de nbses B dans le milieu de croissance
►le nom dérive tjs du nom de l’sp ou le G sur laquelle elles agissent : colicines (E.coli):
vibriocines (V.cholerae); Entérocines (Enterococcus)…..; ces substances se fixent sur
les recepteurs mb des autres B et provoquent leur lyse ce qui est favorable à la B
productrice car il y a libération d’ADN et d’autres composés qu’elle pourra utiliser.
► Chez E.coli, il existe différentes catégories de bactériocines (colicines codées par les
plasmides col) : le gène colE1 code une endonucléase, le gène colE3 code une
ribonucléase qui inactive les ribososmes
►Ex :Nisine (Lactococcus lactis) utilisée comme conservateurs (E234) de la viande
► chez Roseobacter qui joue un rôle dans le cycle du C et du S, il existe un plasmide
qui contient des gènes de détoxification des polluants anthropiques
LES PLASMIDES : Propriétés

► l’origine de caractères métaboliques est sous la dépendance de déterminants


plasmidiques
► les plasmides métaboliques portent des gènes qui permettent l’utilisation de certains
nutriments :
►de nouveaux caractères biochimiques : l’utilisation du Citrate comme seule source
de C la production du Soufre H2S, l’hydrolyse de l’Urée…..
► chez les Salmonelles, on a observé la dégradation du Lactose ce qui est totalement
inhabituel chez ce genre
► la plupart de ces plasmides codent la synthèse d’une ou de plusieurs Ez
► d’autres plasmides portent des gènes qui codent de nouvelles fonctions
physiologiques : fixation N; pigments; hémolysine……
LES PLASMIDES : Propriétés
MORPHOLOGIE ET STRUCTURE :
LA MORPHOLOGIE CELLULAIRE

► Les β sont les + petits orgs connus, métabolisme + et x de subs nutritives ; Ǿ ≈ 1µm
►MO montre la β un sac d’Ezs; la ME montre son ultrastructure avec 2 types d’elts :
●élements obligatoires ou constants :
paroi, mb cytopl, cytopl et appareil nucléaire
● élements facultatifs ou inconstants
capsule, flagelle, les pili, les spores, les plasmides
CAPSULE

► Composition : 1 couche gélatino-muqueuse compacte qui entoure la paroi


►présente une surface externe libre et nette
●mise en évidence à l’encre de chine comme hallo brillant réfringent
● sur milieu de culture: les B avec capsule donnent des colonies d’ aspect muqueux
► la réaction de Neufeld permet le gonflement de la capsule
► les constituants de la capsule sont de nature polyosidique et polypeptidique
► la nature des constituants et le type d’enchaînement donnent une spécificié Ag

► Fonctions :aucun rôle vital et non indispensable à la CB


►1CB sans capsule peut se multiplier et croître
►reste un support de pptés pathologiques et immunologiques chez certaines sp : chez
les pneumocoques , la + de la capsule provoque en 24h la mort des souris
►peut être 1 important facteur de survie de la CB
►la capsule protège la CB contre la prédation, la phagocytose, action d’agents
chimiques = mécanismes encore mal connus
ELEMENTS EXTERIEURS A LA PAROI

► COUCHE S : 1 couche extérieure à la paroi de qqs nm d’épaisseur formée de qqs


polypeptides
►sert de filtre contre le passage de grosses molécules
► éventuel rôle antibactériophage et antiphagocytaire

► GLYCOCALYX : 1 couche de polysaccharides fibrillaires extérieure à la paroi


►1 constituant universel de la CB : difficile à observer en ME
►permet aux B d’adhérer entre elles en formant des microcolonies sur les surfaces
inertes ou vivantes

► ZOOGLEE : des couches gélatineuses qui englobent les CB


►aspect macroscopique glaireux
►empêche la diffusion de certains ATB à l’intérieur de la CB : S aureus
COUCHE S
ZOOGLEE
CILS ET FLAGELLES

► Structure : invisibles en MO : les flagelles sont plus longs (rotation) et les cils sont
plus courts (battement)
►en ME, obs du détail de la forme , du mode d’insertion et de la dimension
► la dimension des flagelles varie entre 6 et 20 μm; l’épaisseur entre 12 et 25nm
► le mode d’insertion a un intérêt en taxonomie : syst polaire et celui péritriche

► Fonctions :
► Mobilité :les B se déplacent sur géloses molles (3à4g/ld’agar) autour de la piqûre
centrale
►Chimiotactisme : grâce à des récepteurs non spécifiques présents dans la MC :
-subs répulsives : mvts aléatoires avc des changements dans la direction de la nage
-subs attractives : progression de la CB vers le signal chimiotactique
►Pptés Ag : la spécificité des Ag flagellaires dépend du nombre; de la séquence des
ac.am : intérêt en taxonomie
CILS ET FLAGELLES
ULTRASTRUCTURE DES FLAGELLES
Ultrastructure du flagelle des Gram-
PILI ou FIMBRIAE

► Structure : invisibles en MO
►en ME, obs d’appendices filiformes différents des flagelles
► Il existe 2 types de morphologie et de fonctions différentes :

► Pili communs (Type I) =Fimbriae


► en grand nombre (100) autours de la CB; courts et cassants avec des pptés
hémaglutinantes de la CB
► Pili sexuels (Type II) = Pili
► en nombre plus faible (1à4) plus longs (20μm); se terminent par le renflement qui
est le site d’insertion de bactériophages qui injectent leur matériel génétique dans le
canal du pili et jouent un rôle dans la conjugaison B
PILI ou FIMBRIAE
SPORE BACTERIENNE

► Morphologie : visible en MO : à l’état frais sous forme sphérique incluse dans 1


bacille : brillante, réfringente ou incolore
►si le milieu s’épuise en éléments nutritifs et les conditions physico-chimiques sont
défavorables: la CB développe une résistance sous forme de spore ou endospore
► le retour des conditions favorables entraîne la forme végétative : selon l’aspect et la
position de la spore : spore déformante ou non

► Structure :
► les enveloppes autour de la membrane sporale ont une structure et composition
variables
►la paroi sporale comporte du PeptidoG normal qui donnera après germination la paroi
►le cortex comporte un peptidoG inhabituel (sensible au lysosyme) et présente un taux
élevé de Dipicolinate de Ca++: son autolyse est déterminante pour la germination
►les tuniques externes et internes comportent une Prot de type kératine riche en
liaisons dissulfure : imperméable et résistante aux agents chimiques
►l’exosporium = la couche la Plus externe = mb lipoprotéique non indispensable à la
survie de la spore
SPORE BACTERIENNE
SPORE BACTERIENNE
La spore
bactérienne
SPORE BACTERIENNE
SPORE BACTERIENNE

► Phénomène de sporulation :
►si le milieu s’épuise en éléments nutritifs et les conditions physico-chimiques sont
défavorables: le phénomène de sporulation est déclenché selon plusieurs étapes :

► Stade 1 : l’app.nucléaire se réorganise en un filament axial et s’étend sur toute la CB


Qui entre en phase stationnaire (-division); arrêt total de synth d’ADN,ARN et Prots
► Stade 2 :
Condensation de l’ADN vers une extrémité de la CB et division asymétrique de la CB
en 2 parties inégales = SEPTUM
► Stade 3 :
Formation de la préspore entourée d’une membrane distincte = la PAROI SPORALE
► Stade 4 à 6 :
► maturation de la préspore avec plus de couches; lyse du sporange et libération de la
spore
CYCLE DE LA SPORE BACTERIENNE
CYCLE DE LA SPORE BACTERIENNE
CYCLE DE LA SPORE BACTERIENNE
SPORE BACTERIENNE

► Propriétés de la spore :

► Thermorésistance :
► La T° entre 70 et 80°C pendant 10mn favorise la sporulation ce qui pose de réels
pbs aux opérations de stérilisation
► les 1ers stades de sporulation montrent un taux élevé de Dipicolinate de Ca++ et de
l’ac.glutamique
► impérméabilité cortex permet la déshydratation de la spore

► Résistance:
► aux agents chimiques, physiques, fortes pressions; survie de longues années
► de nbses sp libèrent des ATB et Ezs en phase stationnaire de croissance ce qui
déclenche la sporulation
SPORE BACTERIENNE

► Phase de Germination :

► la levée de la dormance :
► placée dans des conditions favorables de croissance , le processus de germination
est déclenché et retour à la forme végétative de la CB
► la levée de la dormance peut se faire de façon : mécanique (chocs); physique ou
thermique (65°C et 95°C); chimique (acidité,composés SH libre)
► la germination:
► présence d’effecteurs métaboliques : Mg++, Adénosine; Alanine
► élimination de la barrière corticale entraîne l’hydratation de la spore : la spore gonfle
et devient perméable aux colorants et à la chaleur ; retour à la C végétative
►libération du dipicolinate de Ca++ vers le milieu extérieur et de nombreux
constituants de la spore par l’action d’Ezs hydrolytiques
CYCLE DE LA SPORE BACTERIENNE

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