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Fiche de révision français #2

Le document analyse des extraits des œuvres d'Honoré de Balzac et de Louis Aragon, mettant en lumière diverses figures de style comme l'anaphore, l'antithèse, et la métaphore. Chaque texte présente des émotions complexes et des réflexions sur la vie, l'amour et la douleur. Les exemples illustrent la richesse stylistique et la profondeur des sentiments exprimés par les auteurs.

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Le document analyse des extraits des œuvres d'Honoré de Balzac et de Louis Aragon, mettant en lumière diverses figures de style comme l'anaphore, l'antithèse, et la métaphore. Chaque texte présente des émotions complexes et des réflexions sur la vie, l'amour et la douleur. Les exemples illustrent la richesse stylistique et la profondeur des sentiments exprimés par les auteurs.

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Texte 4: Honoré de Balzac, Mémoires de deux jeunes mariées (Lettre 9)

1. Anaphore : « il n’y a rien de changé entre nous, il n’y a qu’une fille de moins »
(répétition de « il n’y a »).

2. Antithèse : « Je n’ai point vu que je laissasse prise à la douleur, et j’ai vu du bien à


faire. »

3. Métaphore : « la mer de l’infini les embarcations que nous y lançons » (la mer = la vie
pleine de projets).

4. Gradation : « orner, embellir… conduire et rendre aimable… réconcilier avec la vie ».

5. Hyperbole : « les immenses désirs qui étendent et l’âme et la pensée ».

6. Périphrase : « mon El-Dorado de ce coin de terre » = mon bonheur idéal, ma vie


parfaite ici.

7. Parallélisme : « à mon esprit et à mon caractère ».

8. Chiasme : « Ce que nous nommons les hasards de la vie / La certitude d’aller dans un
chemin tracé. »

9. Personnification : « la vie ordinaire ne saurait être quelque chose de grand » (la vie
prend un rôle actif).

10. Interrogation rhétorique : « Que veux-tu ! », « Que ferai-je… ? », « N’est-ce pas… ? »


Texte 5 : Honoré de Balzac, Mémoires de deux jeunes mariées (Lettre 46)

1. Anaphore : « il n’est plus, et moi je suis ! », « Je me suis… »

2. Oxymore : « sourire serein » et « douleurs épouvantables ».

3. Hyperbole : « je donnerais ma part du ciel ».

4. Exclamation : « Seigneur, qu’est-ce qu’il y aura de plus dans votre enfer ? »

5. Métaphore : « le poignard hors du cœur » (douleur émotionnelle extrême).

6. Antithèse : « il n’est plus, et moi je suis ! »

7. Chiasme : « tout est dans ces deux phrases / À toi qui nous as bien connus, que puis-je
dire de plus ? »

8. Personnification : « la terre me fait frissonner ».

9. Parallélisme : « je l’ai fermé les yeux, je l’ai gardé pieusement… j’ai dit les prières…»

10. Ellipse : « Enfin, il n’est plus, et moi je suis ! » (implicite : il est mort, je suis en vie)
Texte 6 : Louis Aragon, Aurélien (Incipit)

1. Antiphrase : « Drôle de superstition. Voilà bien ce qui l’irritait. » (ce n’est pas drôle
du tout).

2. Anaphore : « Il n’aima pas… Il avait des idées… Il lui fit mal augurer… »

3. Métaphore : « Je demeurai longtemps errant dans Césarée… » (errance intérieure,


obsession).

4. Ironie : « Césaree… un beau nom pour une ville. Ou pour une femme. » (sous-entendu
moqueur).

5. Gradation : « bracelets en veux-tu en voilà, des tas de chichis, de voiles ».

6. Allusion : à Racine et à la tragédie de Bérénice.

7. Accumulation : « bracelets… chichis… voiles… »

8. Oxymore : « impression vague, générale, d’ennui et d’irritation ».

9. Comparaison : « comme une grande tombe » (la terre après la mort de l’être aimé)

10. Métonymie : « ses fleurs sans lui » (les fleurs représentent la présence du défunt).

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