Le document explore la notion de biens communs, définissant des ressources partagées et gérées démocratiquement dans l'intérêt général, tout en abordant l'importance de la connaissance comme bien commun, surtout à l'ère numérique. Il évoque les défis liés à la surexploitation des ressources, les enclosures informationnelles, et le rôle des bibliothèques en tant que contributrices aux communs. Des principes, notamment ceux d'Elinor Ostrom, sont également présentés comme des moyens pour protéger et gouverner efficacement ces ressources partagées.