Le document analyse la possibilité de remplacer les correcteurs azotés par des graines protéagineuses dans l'alimentation animale en France, soulignant un déficit important en matières premières riches en protéines. Il présente des options de cultures fourragères, les taux de protéines des graines, et les impacts économiques et environnementaux de cette substitution. Malgré le potentiel d'amélioration de l'autonomie protéique et les avantages environnementaux, la mise en œuvre soulève des questions de rentabilité et de gestion des risques climatiques.