Le document critique le gouvernement français et son engagement envers le 'gouvernement ouvert', soulignant des contradictions et des régressions en matière de droits humains et de libertés. Bien que la France se présente comme un leader de cette initiative mondiale, les associations signataires dénoncent des pratiques qui contredisent l'esprit du partenariat, ainsi qu'un manque de participation significative de la société civile. Les auteurs appellent le gouvernement à aligner ses actions avec ses promesses afin de respecter l'intérêt général et de promouvoir une véritable démocratie.