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TRADUCTION
« La traduction » signifie le processus de traduction de mots
ou de texte d'une langue à une autre langue.
La traduction parfaite n'existe pas! En effet, selon le contexte,
un terme peut se voir attribuer différentes interprétations.
La traduction est aussi une œuvre de créative, qui relie
au moins deux langues, deux cultures, et parfois deux
ères.
« La traduction est un procès et aussi un résultat.
La Traduction est un de sujet de recherche et un support de
recherche.
La traduction fournit les données sur la créativité et aussi c’est
un travail créatif ».
- Hartmann {1981}
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TABLE DES MATIÈRES
TITRE Page
Introduction 1
Traduction 2
Commentaire 29
Conclusion 36
Bibliographie 37
Annexe : Texte Original i-xxi
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INTRODUCTION
J’ai choisi de faire la traduction de trois nouvelles de Raja.P, regroupées dans le recueil
(de vingt-trois nouvelles), intitulé – « The Black Bitch and Other Stories ». Ce recueil a été
publié au mois de mai 2016. P.Raja est né le 07 octobre 1952 à Olandai-Keerapalayam, un
village de Pondichéry, en Inde, qui est réputé pour son héritage spirituel. Il est professeur
d'anglais, et aussi un écrivain des fictions, poète, dramaturge, traducteur et folkloriste. Ses
domaines de spécialisation sont l'histoire, la culture, la littérature et la religion de Pondichéry.
L’auteur écrit dans la langue anglaise, et aussi dans sa langue maternelle, le tamoul.
Pondichéry et sa connaissance du français, de l'anglais et du tamoul l'ont aidé à travailler
comme traducteur pour les officiers anglais et français. Il a également écrit des scénarios pour
All India Radio (Pondichéry & Karaikal) et Doordarshan (Delhi).Il est vrai que notre vie
quotidienne est avant tout un mélange de routine ennuyeuse et de surprises désagréables.
Cependant, de temps en temps, quelque chose d'inattendu se produit, ce qui fait que la vie vaut
la peine d'être vécue. C'est précisément ce que les histoires de P. Raja dépeignent. (Il pense
toujours aux personnes et aux lieux qui lui sont familiers parce que c'est sa propre base
d'expérience). Ses histoires, ses mots, ses personnages merveilleux, nous offrent la surprise,
l'excitation, le sens de l'émerveillement qui allument le feu de l'imagination humaine.
J’ai divisé ce travail en deux parties. La première partie présente la traduction en
français des nouvelles et le commentaire. La deuxième partie présente une étude détaillée sur
la traduction que nous avons effectuée. Cette étude se basera sur l’étude stylistique de la
traduction proposée par J.P Vinay et J. Darbelnet dans leur œuvre célèbre Stylistique Comparée
du Français et de L’Anglais.
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POUSSE-POUSSE
Un après-midi solitaire et étouffant m’a conduit au musée. Je n’en ai jamais visité un avant
dans le 52 ans de mon séjour dans ce monde.
Ce n’est pas que je suis un étranger aux musées. J’ai passé beaucoup de temps précieux
dans les musées de Chennai, Kolkata et Trivandrum sans aucune intention de recueillir des
connaissances historiques mais avec le but caché pour passer le temps. J’avais la chance de
rester dans ces endroits aux dépenses fait par les académies qui parrainaient mon voyage
comme écrivain. Malheureusement, la plupart des réunions a eu lieu en été et l’été reste le
même partout en Inde sauf qu’on passe aux stations d’été.
Je n’ai pas trouvé beaucoup de différence entre un musée et l’autre pour qu’ils ont parlé
silencieusement de la gloire de notre passé. L’héritage culturel, l’héritage spirituel, l’héritage
littéraire, l’héritage historique, l’héritage politique et le Dieu connaît que l’autre héritage que
ces lieux d’intérêt montrent pour les intéressés, désintéressés, et les visiteurs sans intérêts. La
plupart des chambres dans ces musées puent de crottes de la chauve-souris, la seule chose
inconnue dans les livres d’histoire. J’ai vu plusieurs personnes vomir dans de telles pièces et
ainsi créer un désordre de cet endroit empêchant les autres d’y entrer.
Ceux-ci prétendaient d’être bien entretenus, mais, en fait, les musées mal entretenus
malgré tous les inconvénients dont ils sont capables, certainement qui a servi comme une
cachette de la colère de l’ancien Soleil du monde. Où peut-on trouver un endroit plus frais
lorsque le monde entier à l’extérieur rayonne de chaleur.
Merci à l’intolérable khatri veyil1 et la solitude extraordinaire, qui sont capables de
conduire n’importe qui au bord de la folie. Mais pour ces deux raisons je ne serais pas aventurée
1Khatri veyil : La haute saison de l’été avec la température du jour environ 38 degrés Celsius en Inde.’Khatri’ ou
‘agni natchathiram’ commencera à midi et se terminera à 18h 30. La durée du lever et le coucher du soleil sont
prolongée par quarante minutes pendant cette période et l’air atmosphérique sera plus chaud que d’habitude.
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dans le musée de Pondichéry, dont les titulaires sont principalement conservés dans les vitrines,
ne m’intéressent pas, comment n’importe sujet ennuyeux par exemple, algèbre ou
trigonométrie.
Je ne savais jamais que je serais seul dans le musée aussi. Je trouvais le conservateur
dormant dans sa chaise avec ses jambes courtes et robustes reposant entrecroisées sur la table
en face, avec quelques registres empilés dessus.
Ma présence ne l’a pas dérangé, cependant qu’il attirait une dame âgée d’une salle
voisine, qui est sur le point de la retraite. Tout simplement, elle me levait ses sourcils, peut-être
m’indiquant de répondre sa question non formulée de l’intention de ma visite.
« Je voudrais voir le musée », « J’ai demandé d’où devrais- je acheter le billet d’entrée? »
« Ici, ça n’existe pas. Avant d’entrer, signez le registre avec votre prénom et votre adresse
sur cette table et vous pouviez aller partout vous souhaiteriez. La dame a dit « On ferme le
musée à six heures pile du soir. Et ne vous perdez pas ».
« Vous signifiez que vous m’enfermeriez si je ne sors pas à l’heure ».
Bien sûr….. Vous ne pouvez pas m’attendre à aller d’une pièce à l’autre pour chasser nos
visiteurs. À 5h 50, on sonne une cloche, qui est une seule indication que vous devriez quitter
le musée. Comme vous le savez, le musée n’est pas un bon endroit pour passer la nuit.
J’haussais les épaules dans la crainte complète car je crois en fantômes et je suis sûr que
les musées sont les meilleurs endroits obsédants pour les fantômes et les goules.
« Je lui demandais que vous ne vous attendiez pas les visiteurs à cette heure? »
« Ce n’est pas une saison touristique. Les musées ne sont pas le paradis pour les gens du
coin. Peut-être vous êtes le premier et le dernier visiteur pour cette séance d’après-midi », la
dame a dit et a disparu dans la chambre d’où elle a apparu.
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Pendant que j’écrivais mon prénom dans le registre d’entrée, le conservateur a demi-
ouvert ses yeux et me regardais dans un état d’étourdissement. Alors, il fermait ses yeux
rapidement et retournait à son monde imaginaire.
La première pièce montrait les armes de guerre, qui resteraient intouchables dans
n’importe quel musée. Mais ici, elles étaient allongées sur le plancher avec une affiche
d’avertissement annonçant « Ne marchez pas sur ces armes ».
Bien sûr, il est risqué de marcher sur eux car beaucoup d’armes sont rouillés, sans soin
propre et si nous heurtons nos orteils sur eux, nous sommes sûrs de mourir de tétanos.
Mes yeux déplaçaient d’une arme à l’autre jusqu’ils restaient immobiles à une épée et un
bouclier. Ils se ressemblaient à ceux que je voyais à Trivandrum. Et comparer les notes seraient
en vaine car il y a les gens qui sauvegardent notre héritage et il y a les gens qui considèrent
cela comme un grand tracas.
Les inconvénients l’emportent largement sur les avantages éventuels. Je sentais une forte
envie instantanée pour tenir l’épée dans une main et le bouclier dans l’autre et sincèrement
espérait que leur présence dans mes mains me ferait un guerrier et me catapulterait à une ère
passée.
D’abord, j’ai penché pour prendre l’épée. Désirant de le bruire en direction différente,
j’ai pris par cette poignée. Mais, il était plus lourd et robuste qu’il a refusé de bouger. Alors,
j’ai ténu mes mains pour l’action. L’épée montrait les symboles de succomber à la tentation.
Huff...huff…puff…huff... Oui! Je levais mon épée… Je levais mon épée… mais à quelle
mesure? Je le dirigeais pour lever de mon genou et aussi qu’avec beaucoup de difficultés.
Ensuite, j’ai abandonné parce que j’avais un mal de reins. Je ne le pouvais pas tenir plus et
l’épée était reculé sur sa place. De grands espoirs! Comment je suis imbécile pour élever l’épée
au-dessus de ma tête.
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J’apprenais mes leçons de l’épée. Le bouclier, deux fois plus grand que la carapace de la
tortue géante, me flanquais vraiment une de ces trouilles. Oh Mon Dieu! D’abord, si j’essayais
avec cela, l’état des choses seraient devenues différentes. Je me resterais à l’hôpital, avec les
articulations disloquées.
Cela fait démarrer la balle. Je ne peux même pas soulever l’épée. Et soulever le bouclier
est hors question. Comment mes ancêtres à Pondichéry ont fait cette sorte d’acrobatie? Mon
Dieu! Quel genre des géants étaient-ils? L’idée même de leur puissance m’a gardé sidérer pour
longtemps jusqu’à ce que j’entrais la pièce suivante qui exposant les véhicules utilisés par le
Français et les Indiens depuis un ou deux siècles à Pondichéry.
Ce grand couloir magnifique était plus frais et réconfortant. Je voulais m’asseoir dans
l’un des véhicules pour jouir d’une sieste.
Je déplaçais d’un thookku2 à un pallakku3, qui était beaucoup plus utilisés parmi les
peuples riches de Pondichéry et ensuite à un palanquin gigantesque. Je me demandais tout le
temps quelles grandes beautés auraient voyagé en tels véhicules et quels hercules vigoureux
auraient la fierté en les portant sur leurs épaules berçantes.
À côté du palanquin énorme se trouvait quelque chose qui attire l’œil. C’était un véhicule
avec trois roues – deux grandes à l’arrière un monoplace et un petit dans l’avant avec une tige
de direction l’a attachée. Son long brancard dépassait en arrière au siège pour que l’occupant
puisse ordonner le mouvement du véhicule et le manipuler avec facilité.
D’abord, je me demandais si c’était un chariot tiré par des animaux. Mais, il n’y avait
aucune signe de joug. Alors, j’y pensais différemment. Mais je n’ai trouvé aucune pédale ou
chaîne n’importe où dans le véhicule. Mes pensées allaient bizarres. Et je ne pouvais pas arriver
2Thookku : Les moyens de transport de passagers qui sont généralement transportés par deux personnes. C’est
aussi un type de Pallakku.
3Pallakku : Anciennement en Inde et dans d'autres pays de l'Est, un moyen de transport de passagers,
généralement pour une personne, consistant d’ une litière couverte ou en forme de boîte portée par des poteaux
reposant sur les épaules de plusieurs hommes (qui habituellement est portée par quatre ou six personnes).
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à n’importe quelle décision du véhicule. Mais la forte envie pour y asseoir commençait à
m’accabler. Je touchais le siège. Il était en bois, très solide et fort. En utilisant les deux mains,
je secouais le véhicule pour savoir comment rachitique il est devenu. L’âge ne l’est pas fané.
J’y montais et je ne suis assis douillettement sur le siège en bois, a ténu la tige de direction
dans ma main droite et l’a tourné à gauche. La roue avant tournait à son gauche avec un hurlant.
« Qui est-ce? » sortait d’une voix bourrue.
J’étais sur le point de sursauter de peur du véhicule que je serais condamné à une amende
pour ne pas suivre les règles du musée. Mais avant que je puisse le faire, un homme mince de
corpulence moyenne se tenait debout devant moi de nulle part.
Son apparence et son habillement paraissaient étrange pour moi, qui se ressemblais
comme les gens que j’avais vu seulement dans des calendriers gouvernementaux de
Pondichéry. Il présentait une moustache complètement grandie aussi noir que la tenture noire,
les deux côtés tortillaient en haut et la barbe sur ses joues et le menton m’a dit qu’il n’avait pas
rasé de plusieurs jours. Il avait une pousse des cheveux luxuriante sur sa tête tout proprement
huilés et ont peigné et ont roulé dans un chignon et se ressemblaient à un klaxon brun à la
gauche de sa tête. Il était poilu sur tout son corps. Un dhotî4
aussi blanc que des dents saines
portées différemment comme un pagne qui exposait ses cuisses vigoureuses et jambes. Il avait
une écharpe qui tombait sur son torse comme une large ceinture. Mais il couvrait rarement sa
poitrine poilue et son dos. Ses deux poignets avaient bracelets qui ont fait d’argent. Il portait
des bracelets de cheville d’argent incrusté de rubis.
Il m’a regardé comme si j’étais d’un autre monde. L’étranger a vraiment donné une
secousse à mon sommeil qui essayait de m’étreindre. J’étais terrifié et je lui ai demandé « Qui
êtes-vous? ».
« Ne me répétez pas… Répondez-moi », veniez d’un ton cassant.
4Dhotî : Un type de vêtement indien porté par des hommes autour de la hanche.
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« Je… Je… Je suis un visiteur ». Ma voix tremblait.
« Comment osez-vous de s’asseoir dans ce pousse-pousse qui était utilisé par M.
Pierre? ».
« Pousse-pousse? »
Il répondait: « Oui! En français, c’est le pousse-pousse et en anglais il signifie ‘push-
push’.
Je trouvais une réponse à ma question de torture. Ainsi, le véhicule était poussé en arrière
et l’homme qui prenait la place a dirigé sa direction, a freiné quand nécessaire et ainsi de suite.
Mon visage s’est égayé.
Je lui demandais sans aucune hésitation « Qui est M. Pierre? ».
« Il était secrétaire au gouvernement français à Pondichéry. Il utilisait ce pousse-pousse
jusqu’à ce qu’il a rendu son dernier soupir », a dit l’homme non identifié.
J’ai demandé « Qui êtes-vous? »
« Un forgeron qui donnait la vie au dessin rêveur de M. Pierre », il a dit avec le visage
rempli de fierté. Alors, il attirait mon attention aux boucles d’oreille d’or qui ornait ses lobes
d’oreille et disait « M. Pierre me les ont offertes… un Français qui est magnanime ».
Mes yeux remplis de curiosité, exploraient probablement dans son passé.
« Ce camarade pour que j’aie fait ce pousse-pousse était un coureur de jupons », il
commençait en clignant de l’œil. Il poussait un soupir, et le Dieu connaît pourquoi et ensuite
et il continuait: « Il a aimé les beautés brunes locales et elles lui aimaient aussi pour sa
blancheur ».
« Peut-être, il n’était pas marié? » J’interrompais, mon doute culturel ayant soulevé sa
tête.
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Il répondait: « Ah Bon! Bien sûr, il était marié. Sa femme était très jolie. Je l’ai vue une
seule fois lorsqu’il m’invitait à sa maison pour me montrer son croquis au crayon d’un véhicule,
qu’il avait dessiné de son imagination et me demandait de le concevoir avec le fer et le bois.
« Donc, pourquoi a-t-il pris une sympathie pour des beautés brunes locales? Peut-être sa
femme n’était pas sexy? » J’ai rendu en clignant de l’œil.
« Ne trahissez pas votre connaissance faible du français », il me réprimandait et a ajouté,
« Les Français sont des gloutons réels lorsqu’il s’agit de vin, des femmes et de la nourriture.
Leurs femmes avaient aussi leurs propres façons clandestines. C’était cette soif insatiable des
Blancs pour des relations humaines, qui avaient créé des Créoles français à Pondichéry ».
Je restais envoûté. Il a continué. « Ce véhicule était fait sur commande. Lorsque je
donnais des touches finales à ce véhicule, Pierre venait à ma forge et a dit, vous avez créé un
palanquin sur des roues. Vous pouvez obtenir beaucoup plus de tels ordres. Un certain
camarade intelligent améliorera sur mon design un jour et vous conseillera de faire une version
admirablement améliorée de mon pousse-pousse ».
Je voulais confirmer que « Le véhicule était poussé de derrière? ».
« Bien sûr! C’est pourquoi il est nommé comme pousse-pousse. L’homme derrière
pousserait le véhicule en avant et ensuite prendre de la vitesse et conduire le poussant aussi vite
qu’il pourrait criant aux intervalles réguliers, pousse-pousse, pousse-pousse’ ainsi avertissant
les gens sur le chemin pour se déplacer » il disait en appuyant l’ourlet de sa ceinture contre son
visage.
« La partie la plus intéressante de l’histoire », il disait en montrant de toutes ses dents qui
sont parties le brun en raison du mâchement intensif du pan5
, « Pierre avait peur de l’opinion
publique et a criant pour sa femme aussi. On m’a dit qu’il avait une mégère pour elle. Pourtant,
5Pan : Un chique de bétel qui se compose le plus souvent de feuille de bétel, de noix d’arec et de chaud d’éteinte
à quoi l’on ajoute souvent du tabac. On trouve parfois d’autres ingrédients et agents aromatiques (des épices)
selon les préférences et les coutumes locaux.
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il n’a jamais résisté à la tentation de visiter ses bien-aimées. Et c’est pourquoi Pierre concevait
son propre véhicule pour ne pas être remarqué en public ».
« Il pourrait avoir très bien utilisé un palanquin qui était en vogue pendant ses jours à
Pondichéry », je disais pour faire étalage de ma connaissance d’histoire locale.
« Ne soyez pas stupide », il réprimandait, « Pierre n’était pas un imbécile. Les supérieurs
Gouvernementaux aux voyages officiels utilisaient des palanquins. Les autres utilisateurs de
palanquin étaient principalement des femmes. Et alors Pierre voulait un véhicule pour lui ».
« Il aurait pu être facilement identifié ». Je disais pour snober le forgeron.
« Je vous disais que Pierre n’était pas stupide comme vous êtes. Il vivait pendant le temps
quand les réverbères n’étaient jamais entendus parler. Les gens remuaient rarement mis de leurs
maisons après le coucher de soleil, et, en circonstances inévitables, ils portaient une lampe-
tempête dans la main avec eux pour se sauver des fossés sur leur chemin. Et Pierre a choisi les
nuits pour rendre visite ses maîtresses ».
« Bien intéressant! » J’ai dit tout excité.
« Laissez-moi vous dire quelque chose plus intéressante ».
Je le regardais comme un enfant avec ma bouche ouverte.
« Pierre se déplaçait de sa maison sous prétexte d’aller à son bureau pour examiner les
dossiers urgents. Il retournait chez lui très tard et ainsi a gardé sa femme aux yeux verts loin de
soupçon. Pierre gardait son véhicule dans un certain coin plus sombre parmi des arbres touffus
et permit son pousseur d’être assis dans le pousse-pousse et pour qu’il puisse dormir
confortablement avant qu’il n’ait retourné. De cette façon, Pierre avait rassasié éveillant que sa
femme n’a aucun soupçon », il disait en riant la plupart du temps.
J’avais aussi mon rire. Tout en riant, je lui demandais, « Mais pourquoi avez-vous choisi
me dire votre histoire? ».
Il corrigeait « L’histoire de Pierre ».
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« Oui! Oui Monsieur! L’histoire de Pierre… Mais pourquoi moi de tous les gens? ».
Le forgeron riait comme une pluie de granits déchargés d’un camion s’inclinant.
Gr…r…r...
C’était la sonnette d’avertissement. Je me réveillais avec un sursaut. Je dois se dépêcher
avant que le conservateur m’enferme à l’intérieur du musée. Je sautais du pousse-pousse
comme je me suis maudit de n’avoir pas posé la question finale: « Madame Pierre n’était pas
assez intelligente pour découvrir les lieux de destinations de son mari du pousseur de pousse-
pousse? ».
« Vous êtes aussi stupide comme tout », venait une voix de nulle part. J’ai été sûr que
c’était la voix de forgeron.
Mes yeux physiques couraient ici et là à la recherche de lui. Ils ne pouvaient pas le
localiser. Mais mes oreilles lui entendaient par hasard: « Vous êtes aussi stupide que jamais.
Pierre mettait son intelligence à l’utilisation appropriée. Le pousseur du pousse-pousse
employé par Monsieur Pierre était un aveugle ».
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
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LA CHIENNE NOIRE
La chienne paraissait complètement différente. Différente, parce qu’il ne m’aboyait pas comme
attendu de son clan devant les étrangers. D’abord, il me regardait comme si j’étais d’un autre
monde. J’ai été un peu perturbé car j’étais un étranger à cet endroit. Alors, il m’a simplement
ignoré en regardant dans une direction différente.
Je ne pouvais pas prendre un autre pas en avant car la chienne était près de la porte de
ma maison louée que je n’ai pas encore occupée. Une mutation inattendue m’a amenait à
Karaikal et l’un de mes collègues procurait une belle maison dans une localité convenable, de
nom Nehru Nagar. C’était tout à fait près de l’université dans laquelle je rejoignais comme un
professeur anglais. Et alors, sans hésites, je prenais la clé du propriétaire.
La chienne était une vraie menace pour moi. Ils disent, Le chien qui aboie ne mord pas.
Mais que diriez-vous de cette chienne qui est indifférente? Ayant aidé ma grand-mère tandis
qu’elle traitait les patients de la morsure de chien avec ses herbes miraculeuses, j’étais sûr de
ce que les chiens étaient capables.
Je regardais intensément la chienne. Il n’a eu l’air ni féroce, ni affectueux. Sa couleur
était noire-bleuté et il n’y a pas un poil sur son corps sain ont présenté une nuance différente.
Ses oreilles étaient très longues et sa queue courbée jusqu’à un point dans une faucille
miniature. « Oh, Dieu! Ce sera invisible dans l’obscurité », je ne suis dit et décidais de porter
une lampe de poche chaque fois que je m’aventurais. J’étais sûr, ses yeux d’ambre refléteraient
la lumière.
Comme j’impliquais dans les pensées en se liant d’amitié avec la chienne, un laitier allait
à travers la rue appuyant le klaxon aérien attachait au guidon de sa bicyclette.
Pee…po…pee…po…pee…po.
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À ma grande surprise, la chienne imitait le son du klaxon aérien aussi méticuleusement
qu’un être humain. Je ne pourrais pas ignorer mais admirer la chienne pour ses compétences
imitatives.
Le son du klaxon aérien avait fait sorti beaucoup de mes voisins de leurs maisons
respectives, chaque personne tenant un récipient.
Je souriais à chacun d’eux et faisais un signe de la tête pour me présenter et être présent.
Mais, aux premières heures du jour ne permettrait pas n’importe quel homme ou femme d’être
hors de leurs maisons. Une personne a souri en retour, les deux se sont heurtées à leurs maisons
sans répondre et l’on regardait tout le temps à la terre.
Mon voisin direct resté là un temps, ajustait son « sari6
» et ensuite m’a demandé: « Êtes-
vous mon nouveau voisin? ».
J’ai sautillé ma tête.
Elle posait « On me dit que vous êtes un professeur d’anglais? ».
« Oui, Madame », j’ai répondu avec une lueur dans mes yeux.
Elle interrogeait « Quand avez-vous déménagé? »
Je répondais « Madame, Maintenant, j’emménage. Mes bagages m’arriveront dans un
jour ou deux ».
« Hmm… par des bagages vous voulez dire votre femme et enfants? » Elle a demandé
avec un sourire.
« Non, non! Par des bagages je signifiais seulement des bagages », j’ai répondu souriant
en retour.
« N’êtes-vous pas mariés? » Elle enquêtait en plus.
6Sari : Un sari, sari ou shari est un vêtement constitué d'une longueur de coton ou de soie de cinq à neuf verges
de longueur et de deux à quatre pieds de largeur qui est généralement enroulé autour de la taille, avec une
extrémité drapée sur l'épaule, à l'écart du ventre, traditionnellement porté par les femmes d'Asie du Sud.
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« Bien sûr, je suis marié. J’ai trois enfants. Mais à Karaikal, je devrai mener la vie d’un
célibataire forcé », j’ai dit et ai ajouté, « Je rejoindrai ma famille pour les week-ends ».
« Oh, je vois! Est-ce que vous êtes un végétarien ou non-végétarien? » Elle m’a demandé
comme si elle était la propriétaire et je suis obligé pour répondre à toutes ses questions.
« Madame, je suis un pur non-végétarien », j’ai dit avec un sourire à pleines dents.
Elle disait « Alors ce Blackie sera le vôtre pour toujours. Elle mange rarement les restes
de nos maisons. Nous sommes tous les végétariens comme vous pouvez remarquer de nos
apparences ».
La cocotte-minute a donné un coup de sifflet de sa cuisine. « Oh, elle est partie à la hâte.
Le Professeur, quand vous êtes libres », venez à la maison, « elle est entrée dans sa maison
comme ses mots retournaient vers moi ».
Je me suis enhardi pour prendre mon pas en avant. La chienne n’a pas remué. Peut-être,
il était dans un état rêveur pensant d’où il pourrait obtenir l’os prochain.
Le laitier est allé à l’impasse de la rue et a retourné appuyant tout le temps le klaxon
aérien.
La chienne qui avait jusqu’ici maintenu un silence yogi, commençait d’imiter encore une
fois: Pee…po…pee…po…pee…po…
Le laitier descendait de son véhicule, l’a garé sur son support, cherchait pour une coque
de noix de coco, il a trouvé une, l’a nettoyé de ses mains, soufflait la poussière de cela et y a
ensuite versé du lait à son bord.
La chienne regardait le laitier, mais n’a pas remué sa queue. Il se déplaçait de côté cédant
pour moi à atteindre la porte.
« Elle est spéciale pour moi, Monsieur! Je n’ai pas assez d’argent pour garder un animal
de compagnie à la maison. Elle est très malicieuse, mais n’a jamais nui n’importe quelle
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personne. On ne peut pas voir un chien pieux n’importe où à Karaikal. Je l’aime, Monsieur! »,
Le laitier certifiait
Je souriais comme j’ai ouvert la porte principale de la maison.
Il a demandé « Est-ce que je vous fournirai le lait de demain, Monsieur? ».
Je lui souriais et disais « Je vous dirai ».
« D’accord, Monsieur, a dit le laitier comme il sautait sur à son vélo. Alors, il a dit,
« Vous aussi aimerez chaque action de Blackie, Monsieur. Bonne journée ».
Comme je glissais la clé dans son trou et y ouvert avec un petit bruit sec, Blackie lapait
le lait….. Deux ou trois chiens flânaient devant elle avec leurs queues mises entre leurs jambes
de derrière. Ils ne revendiquent aucune part du lait.
J’ai pris un intérêt excessif dans la chienne pour des raisons connues seulement aux êtres
célestes. Puisque j’ai fait cuire mes propres repas, je l’ai fait un point pour alimenter Blackie
deux fois par jour. Comme moi-même, je sautais le petit-déjeuner pour garder un ventre de
développement rapide sous contrôle, j’ai offert sa seule déception dans les matins.
J’étais dans une grande surprise sur la première nuit, j’apportais la nourriture de la maison
sur une assiette de feuille. L’assiette était pleine de riz mélangé de sauce avec beaucoup d’os
de poulet avec la chair restante. Je la plaçais soigneusement sous un arbre voisin et j’attendais
Blackie pour fouetter sa queue comme une marque de gratitude. Mais la chienne s’est levée,
s’est étirée, a bâillé et puis tout à coup a pris à ses talons.
Je demandais « Quoi? Tu penses que je t’empoisonne, eh? ». Mais avant que je finisse la
phrase, Blackie était hors de ma vue.
J’y ai attendu pour quelques minutes de plus. Une demi-douzaine de chiens qui ayant un
temps bien s’amuser, ralentissaient leurs pas comme ils se sont approchés de ma maison. Peut-
être, l’un d’eux était attiré par l’odeur de nourriture attendant d’être mangé, dévié loin du
paquet. Mais un autre chien, plus gros en taille, l’a réprimandé avec un hurlement aigu. Le
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chien qui a dévié brusquement tournait et rejoignait en arrière ses amis. Et tous sont partis sans
laisser un hurlement ou un aboiement.
« La manière de ses chiens sont bizarres ». C’était ma pensée forte.
« Salut, Professeur! Vous alimentez Blackie? demandait la dame voisine.
Je hochais ma tête.
« Pourquoi vous n’ouvrez pas votre bouche et parlez, Professeur? » Elle a dit avec un fou
de rire.
J’étais sûr qu’elle était désireuse de m’impliquer dans une conversation. Elle était loin
seulement juste quelques mètres. Je rapprochais d’elle. Ce qui nous a séparés était seulement
le mur composé de sa maison qui s’est étendue à nos poitrines.
Je disais « Oui, Madame ».
« Arrêtez de m’appeler Madame. Je suis Padmasani. Vous pouvez m’appeler Padma »,
elle se présentait.
J’ai ri sottement.
Elle me regardait avec soupçon.
De crainte qu’elle mal interprète mon fou rire, je disais, « J’espère que personne ne vous
appelle par l’autre moitié de votre nom, peut-être sauf quand votre mari est fâché ».
Elle a fait irruption dans un éclat de rire, montrant toutes ses dents saines et bien
arrangées.
« Hm…vous êtes rempli de humour », elle complimentait. « Bien! Vos plaisanteries à
part, n’attendez pas Blackie pour manger en votre présence. Elle est timide par les hommes »,
elle a dit en clignant de l’œil.
Je disais, « C’est incroyable! ».
Il y a tant de choses que vous ne pouvez jamais croire de Blackie. Ici, elle est une légende.
Padma a dit que comme le temps passe, vous apprendrez à connaître plus d’elle. Comme elle
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continuait à alimenter son petit-enfant qui est assis sur sa hanche voluptueuse d’un bol d’argent
rempli du riz cuit et broyé, le beurre clarifié et dhal7
, elle ajoutait: « Venez à la maison pour le
thé demain, s’il vous plaît ».
Une heure environ plus tard, je montais à la terrasse pour marcher un peu avant que j’aie
effondré du sommeil. Une fois sur la terrasse, j’entendais le son de mastiquant bruyamment et
croquant d’os venant de la rue. Je me penchais sur le parapet et voyais Blackie se régalant sur
ce que j’ai laissé sous l’arbre.
Elle avait presque terminé de manger quand peut-être son sens de toutou lui a dit que
quelqu’un observait. Elle me levait les yeux passant sa langue partout sa bouche. Alors, elle
gémissait et regardait en plusieurs directions. En vérifiant qu’il n’y avait personne autour de
lui, elle continuait à engloutir.
Le lendemain matin, j’ai porté ma poubelle pour la vider dans la décharge, une distance
courte de ma maison. Blackie me suivait, sans un aboiement ou remuement de sa queue.
À peine j’étais près de la poubelle qu’une douzaine ou plus de chiens dormants se levaient
effarouchés. Plus tard j’ai compris de l’observation pure que cinq heures du matin était trop tôt
pour les gens de Karaikal pour être hors du lit. À Pondichéry, on peut voir des femmes,
aspergeant de l’eau et dessinant en face de leurs maisons bien avant l’aube et ceci elles faisaient
cérémonieusement pour donner un grand de gala bienvenu au soleil levant. Mais à Karaikal,
ces choses arrivent non auparavant sept heures du matin. Se coucher tôt et se lever tard, semble
pour faire partie du credo.
Ce n’était pas étonnant que les chiens aient vu dans moi un étranger flânant à cette heure
inattendue. Ils commençaient à aboyer en chœur et étaient préparés peut-être à m’attaquer.
Blackie grognait.
7
Dhal : C'est un ingrédient et aussi un plat : le plat est fait de " légumes secs ou lentilles " qui cuit longtemps.
Ces légumes secs sont généralement fendus et décortiqués et cuits avec du beurre clarifié et des épices jusqu'à
ce qu'ils forment un ragoût épais.
19
Un silence sépulcral et tous les chiens disparaissaient sans laisser de traces.
En buvant à petits coups le thé avec Padma dans sa maison en cette soirée, je racontais
comme Blackie m’a joué l’ange gardien.
Je vous disais Professeur, vous savez qu’elle voit aimé, a dit Padma mettant l’accent sur
le mot grossier avec les différents degrés de significations profondes.
J’essayais de réprimer mon rire. En voyant ma lutte, Padma a fait irruption dans un éclat
de rire et je pourrais voir que ses yeux ont brillé.
« Vous savez, Blackie est très pieuse », a dit Padma dans une tentative de changer le
sujet.
Je lui demandais « Quoi? » parce que je ne pourrais pas résister à la tentation de s’enquérir
sur le sujet.
« Oui, Professeur. Elle prie tous les jours », elle a dit et après une pause ajoutait, « On
doit le remarquer s’il faut l’en croire ».
Je disais « Non, Padma! Blackie est d’une sorte différente, différente des autres chiens
que je vois dans Nehru Nagar », exprimant avec jubilation ma découverte.
Padma ajoutait que Nehru Nagar est infesté de chiens de la rue. Il est dangereux de sortir
après la tombée de la nuit.
« Infesté? Combien de chiens approximativement? » Je demandais comme la crainte a
commencé à m’empoigner.
Padma donnait la statistique qu’il y a six intersections dans Nehru Nagar….. Non moins
de cent maisons dans chaque rue. Je suis sûr que chaque rue alimente vingt-cinq chiens en
minimum.
Je suggérais que « Pourquoi vous ne donniez pas de plainte aux autorités municipales?
Les attrapeurs de chiens seraient ici, n’est-ce pas? ».
20
« Oh non! Les chiens sont les policiers réels de Nehru Nagar. Pas une tentative de vol
était rapportée ici jusqu’à présent », a dit Padma avec beaucoup d’intérêt pour les chiens.
À peu près une semaine ou plus tard, j’ai expérimenté la vérité dans ce que Padma avait
dit.
Je rentrais chez moi après avoir regardé un film d’horreur de fin de soirée dans le théâtre
Shamina aux alentours de Nehru Nagar. Le temps était une heure après passé et j’étais à pied.
Je traversais la première route principale et a pris la rue qui reliait toutes les six
intersections. Quand j’ai atteint la troisième rue, un chien errant laisse échapper un hurlement
à figer le sang. Et Dieu connaît d’où ils sont venus….. Ils sont arrivés dans un bataillon ce qui
m’a fait à vous glacer le sang. Mon corps commençais à trembler comme le groupe de chiens
aboyants est venu galopant vers moi.
On m’a dit que la meilleure façon de faire face aux chiens était avec des pierres. Mais la
sagesse m’a dit de rester inerte. Je n’étais pas sûr quelle partie de ma chère chair serait la
mienne après que tout le monde avait sa part du butin.
Blackie doit aussi avoir été là car j’entendais son grondement et tous les chiens comme
si l’obéissant à l’ordre d’un capitaine remontait leurs pas, me laissant tranquille.
J’ai poussé un gros soupir de soulagement. À partir de cette nuit, aucun chien n’osait
d’aboyer à moi. J’estimais que j’étais spécial pour eux.
L’observation de Blackie et ses activités devenait mon passe-temps. J’étais étonné par
son talent pour le mimétisme. Chaque fois quand le laitier est venu à notre rue, elle imitait le
son du klaxon aérien…pee…po…pee…po…
La voix d’aucun colporteur n’a jamais posé aucun problème à Blackie. Elle était toujours
aux talons de la pêcheuse qui portait un panier de poisson sur sa tête et quand elle a crié
meenu…meenu8… Blackie aussi reproduisait la première syllabe du mot et l’étire au-delà de
8Meenu : Le cri de la pêcheuse
21
la mesure. En voyant sa bouche qui fonctionne aux directions différentes dans sa tentative de
prononcer, la syllabe doit être vue plutôt de le décrire.
La préférence de Blackie était un vendeur d’épinards. Il avait l’habitude de venir en
poussant une carriole chargé de toutes sortes de légumes et des légumes de pays. Et elle a
simplement répété les mots, bien sûr dans son accent de toutou, quand il criait kerrai...kerrai9.
Et un dimanche, quand je me détendais chez moi dans un fauteuil étendu sur faire
tapisserie et lisais un livre excellent sur des animaux intitulés « Wonderful People » par
Dr.Howl L.Barker, l’invitation à la prière d’une mosquée voisine a rompu le silence.
Blackie imitait la voix du muezzin10 dans la manière qu’il était prononcé. D’abord, j’ai
pensé que c’était un enfant essayant d’imiter le muezzin. Je suis sorti précipitamment pour
réprimander l’enfant. À ma grande surprise, je voyais Blackie debout sur ses jambes de derrière
et répétait la voix de la mosquée.
« Je t’ai dit, tu sais! Blackie est une chienne très pieuse », a dit Padma, étant debout et
observant Blackie prie, « Soyez cela le cliquetis se tintant de cloches du temple, ou le gong de
l’église ou l’appel de la prière de la mosquée que Blackie imite et c’est sa prière ».
Les mots de Padma m’ont fait penser hautement respecté de Blackie pour ce que la
chienne sait de la religion et pense que toutes les religions sont mêmes et qu’il y existe
seulement un Dieu pour l’univers entier.
Mon quota de nourriture pour Blackie a augmenté.
J’étais sûr que j’avais déçu Blackie pour presque quatre semaines alors que j’étais en
voyage à Pondichéry s’amusant des vacances après des examens de semestre.
À la tombée du jour en Vendredi, j’ai l’habitude d’emballer mon sac à bandoulière et
j’irai à l’arrêt de bus de Nehru Nagar pour attraper un bus à Pondichéry. De tels jours, Blackie
9Keerai : Le cri d’un vendeur d’épinards.
10Muezzin : Un muezzin est la personne désignée dans une mosquée, qui récite l'appel aux musulmans du
minaret d'une mosquée pour la prière, qui a lieu cinq fois par jour.
22
était mécontente et exprimait sa déception en roulant sur son dos dans la rue comme un enfant
inflexible et gémissait avant que je n’aie disparu de sa vue.
Lorsqu’elle m’a aperçue le lundi matin, elle exprimait sa joie en courant ici et là dans la
rue en ne se souciant pas des motos.
Je remontais à Nehru Nagar, après les vacances. Je n’ai trouvé aucun chien…… pas un
seul chien.
Où sont-ils tous partis?
Il n’y avait personne dans la rue pour répondre à ma question. Et ensuite, j’ai aussi oublié
tous des chiens.
Trois jours plus tard, quand je revenais de la maison d’un collègue dans la sixième rue,
je trouvais une chienne qui était allongée près du coin de la rue dans la position se couchait en
ronde. C’était Blackie.
« Salut Blackie! Je me suis bien contente de te revoir », je disais et déplaçais vers la
chienne. Elle a regardé gravement d’un côté à l’autre pour un instant et ensuite baissant son
menton sur sa patte et fermait ses yeux avec un grogne de mécontentement.
Ne désirant pas la laisser à une telle condition, je me suis baissé, et donnais un coup de
patte sa tête et a dit dans un ton cajolant « Allez Blackie! J’ai la nourriture pour toi… »
Blackie montait à ses talons avec un début, grognait et m’exposait ses dents et a menacé
de déchirer ma chair.
Nerveusement, je reculais dans la peur. Blackie grognait encore une fois et aussi rapide
qu’avant.
Tout est resté un mystère à moi jusqu’à Padma venait chez moi avec des sucreries et des
goûters indiens qu’elle avait apportés de sa belle-famille à Kerala.
Padma parlait en détail de combien elle manquait ma compagnie et quel un appel urgent
de Kerala a lui fait transporter d’urgence à cet endroit il y a quelques jours.
23
« Oh Mon Dieu! Quel voyage assommant! Je suis fatigué », a dit Padma parmi un accès
de souffler comme un bœuf.
Je me souvenais de chiens dans Nehru Nagar. Je lui demandais ce qui leur était arrivé.
« Un accès de colère… Le président de l’Association des Propriétaires de Nehru Nagar
se plaignait aux autorités municipales. Les attrapeurs de chiens faisaient leur travail très bien
et emportaient tous les chiens », Padma disait d’une voix morne. Elle frémissait mais détournait
les yeux.
Je disais, « Mais je voyais Blackie depuis il y a quelques jours ».
Padma restait silencieuse un instant. Je voyais une goutte de larme ou deux dégoulinait
de ses yeux.
« Ils venaient dans trois camionnettes… Ces attrapeurs de chiens », Padma commençait.
« Ils garaient leurs véhicules dans trois coins différents de Nehru Nagar. Et plusieurs hommes,
tout kaki vêtu11, plongeaient dans action. Pendant toute la journée, Nehru Nagar était en
réverbérant avec des glapissements et les gémissements de chiens. Je voyais aussi notre Blackie
à l’intérieur de la fourgonnette qui était garée sous l’ombrage d’un arbre devant votre maison ».
Padma a fait une pause.
J’interrompais, « Vous avez soudoyé l’attrapeur de chien et avait sorti Blackie, n’est-ce
pas? ».
Elle répondait, « Non, Professeur ». C’est la partie intéressante de l’histoire. Juste avant
le coucher de soleil, il y avait un appel de la prière de la mosquée. Blackie a été debout sur ses
jambes de derrière, ont fait se rencontrer ses pattes de devant et a imité la voix du muezzin dans
son accent de toutou.
« Mon Dieu! Et ensuite? ». Je serais curieux de savoir.
11Kaki vêtu : Le kaki est une nuance légère de couleur jaune-brun, qui a été utilisée par de nombreuses armées
dans le monde entier pour les uniformes, y compris le camouflage. Il a été utilisé comme nom de couleur en
anglais depuis 1848, lorsqu'il a été introduit pour la première fois comme uniforme militaire.
24
« Et ensuite… le chauffeur admirant la piété de Blackie disait l’un des attrapeurs de la
retirer et la libérer. L’attrapeur était très content avec les faits et les gestes de la chienne et lui
permit de vivre longtemps. Et c’est ainsi qu’elle est ici, tandis que tous ses amis et ses
partenaires auraient atteint le Paradis à ce moment-là », Padma répondait.
Alors elle continuait: « Mais Blackie est le bois mort maintenant. On me dit qu’elle refuse
de manger… toujours la pensée de ses compagnons perdus. Maintenant, elle est différente
Blackie ».
« Elle est toujours différente », j’ai dit en supprimant une larme menaçant de déborder.
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
25
LE MEILLEUR POUR L’OCCASION
Le petit Auro a ri sottement. Il essayait de supprimer le fou rire, mais avait éclaté de rire et
ainsi attirait l’attention de sa mère.
La mère d’Auro, a enchanté d’une peinture dans la galerie d’art, était sur le point de
décoller sur les parties qui n’ont pas vu de poésie, quand le rire berçant de son fils l’a retirée.
Elle a regardé son garçon anguleux de dix ans. Elle n’a pas vu qu’il rit comme ça pendant très
longtemps. D’abord, elle a couru partout ses yeux pour localiser la cible du rire du garçon. Elle
a échoué. En souriant, elle a demandé, « Qu'est-ce que c’est, Auro? ».
Sa voix fragile peut-être était noyée dans le bruit du rire du garçon. Il semble qu’il n’y
ait pas remarqué l’anxiété de sa mère. Ses yeux maternels n’échouaient pas à faire attention au
changement du visage du garçon.
En moins de trois ans, quand elle était à Trivandrum pour assister un mariage d’un ami,
elle saisissait quelques heures de son calendrier serré d’aller d’un zoo pour faire plaisir à
l’enfant. En tenant sa main, Auro déplaçait d’une cage à l’autre observant des oiseaux et les
animaux qu’il avait vu seulement dans la chaîne de la télé s’appelle « Animal Planet », qui est
un parmi peu de chaînes, il était permis de regarder après ses heures de cours. Il a pu identifier
plusieurs créatures de Dieu et les nommer aussi. La mère savante d’Auro regardait fièrement
son fils à de tels temps et souriait à elle. Il avait le temps l’amusement avec presque chaque
habitant des cages différentes. Mais la couleur de son visage changé tout à coup quand ils
atteignaient une cage différemment construite qui est ouverte au ciel. Les yeux d’Auro
cherchaient désespérément pour cet habitant de cage, mais ne pouvaient découvrir d’aucune
créature, sauf quelques de corneilles perdu picotant aux restes et croassement pour exprimer
leur satisfaction.
26
Auro regardait d’un air interrogateur sa mère qui était aussi ignorante. Quand ils étaient
sur le point de déplacer vers la cage suivante, un animal émergeait d’une piscine artificielle
dont l’eau a semblé qu’il était d’Aegean Stable. Lisse, brillant et doux sa peau comme si
soigneusement rasé par un coiffeur qualifié. Pas une goutte d’eau a réussi à trouver l’abri sur
son énorme, corps laid et déformé.
C’était l’hippopotame. Son visage drôle attirait le garçon et il riait tout haut autant qu’il
veut. Peut-être attiré par le rire innocent de l’enfant, l’animal se promenait vers lui. Alors, il
tournait de côté et exposait son corps brillant. L’enfant s’arrêtait de rire. La curiosité l’avait
poussé pour regarder de plus près à l’animal. L’animal commençait à remuer sa queue
drôlement courte rassemblant l’élan plus grand qui a fait chaque spectateur à imaginer qu’il
allait gaspiller et s’échapper. Alors tout à coup, le bout de la queue et a regardé le ciel et est
devenu immobile. Le ventre énorme de l’animal a cédé pendant une seconde ou deux et ensuite
il a laissé sortir un long pet12.
Plusieurs personnes ont ri à gorge déployée. Quelques-uns s’accrochaient leur nez fermé
fort de deux leurs doigts et s’éloignaient en dégoût. La mère d’Auro souriait aussi tandis que
le garçon commençait à rire continuellement jusqu’à la couleur de son visage changeait et il a
commencé à tousser sans cesse avant qu’il ait défailli.
Elle ne voulait pas que cela se reproduise car elle ne pouvait pas se permettre de subir ce
trauma encore une fois. Et alors à l’intérieur de la galerie d’art, elle secouait Auro par son
épaule. « Arrête Auro! Qu’est-ce que c’est cette fois? ». Elle demandait d’une voix sévère.
Le rire d’Auro commençait à diminuer et finalement il montrait l’artiste étant debout
dans un coin de la galerie et du briefing d’un auditeur curieux de sa peinture récente qu’il avait
exposé pour la vente.
12Pet : Une émission de gaz de l’intestin à travers l’anus.
27
Elle regardait l’artiste. Sa chemise était sans manches et semblait les manches étaient
déchirées par la force de son corps principal. Son short de marque avait deux trous assez grands
pour n’importe quelle souris adulte pour entrer par un et sortir de l’autre. Sa chemise s’entendait
à peine sa hanche a semblé qu’il portait son petit frère.
Elle demandait « Chatouille-t-il au rire? ». Un sourire traversait son visage.
Auro hochait la tête. Il était sûr que sa maman n’a pas aimé la façon qu’il riait. « Il
passerait facilement pour un mendiant à d’autres. Mais à moi il est une figure comique », il a
dit.
Elle dévisageait Auro dans le blanc des yeux. « Regarde Auro ! Il est un peintre célèbre
et… »
« Et alors? » Auro l’interrompait et disait, « J’ai vu des courts-métrages sur des artistes
et des peintres sur les chaînes History et Discovery. Chaque grand peintre italien, comme son
homologue dans les autres parties du globe, est bien habillé. Mais est-ce que cet homme est si
pauvre qu’il peut s’habiller si pauvrement? ».
« Écoute Auro! Les peintres et les artistes rarement se soucient de leur apparence
extérieure », elle a dit avec brusquerie et avant qu’elle puisse continuer à parler en faveur d’eux,
l’attention d’Auro a été détournée. Ses yeux erraient vers la direction qui attirait l’attention de
son fils.
Une femme d’âge moyen entrait là dans la manière peu habillée. Elle exposait ses
cadeaux de Dieu en toutes places possibles de son anatomie. En traversant la salle, s’écrira-t-
elle: « Salut, tout le monde ! Je suis Udhpa Dupha, le peintre célèbre du Sri Lanka. Vingt-cinq
des soixante peintures exposées dans cette galerie d’art sont les miennes. J’espère que vous les
aimez bien. N’oubliez pas d’inscrire vos commentaires dans le carnet au comptoir, s’il vous
plaît ». Pendant qu’elle se déplaçait les cœurs des jeunes gens y rassemblaient ont pendillé à
l’air de ses poitrines de danse.
28
Auro a fait la moue de sa lèvre inférieure et montrait son mépris pour elle. « Vous n’avez
pas envie de rire de sa robe, maman? ».
« Écoute Auro! Tu n’as pas vu l’image d’Einstein, le grand scientifique? Il n’avait jamais
peigné ses cheveux hirsutes. Vous n’avez pas vu les photos de Mahatma Gandhi? ». Est-il s’est
habillé de la tête aux pieds? Je te disais une demi-douzaine de fois que les grands hommes et
des femmes se soucient rarement de leur apparence physique. Ils ont une sorte spéciale de fait
d’être impressionnants, résultant de la combinaison de grande intelligence avec la simplicité
enfantine. Ainsi, arrête de rire d’eux et essaye d’apprécier leur travaux durs qui entrait en
fabriquant ces peintures belles, magnifiques et charismatiques. Apprends à apprécier d’autres.
Tu as aussi ensaché des prix en concours de peinture. Si tu développes cet art, un jour tu seras
un bon peintre comme ces gens qui avaient rejoint leurs efforts ici, pour exhiber leurs talents.
Auro tournait sa tête de sa mère et marmonnait: « Est-ce que vous n’êtes pas un
écrivain? ».
« Oui! Bien sûr, je suis! » Elle répondait en fierté et regardait avec curiosité son fils. Elle
n’était pas sûre de la question suivante son fils intelligent était sur le point de tirer à elle.
« Mais, maman! » continuait Auro, « Je n’ai jamais vu que vous vous êtes habillés dans
la façon dont ils font ».
Ses mots l’ont fait taire pendant une minute. Pourtant elle doit se dégager de la situation.
« Mais je suis un professeur aussi! Vous savez Auro, je dois faire face à plusieurs étudiants
dans des salles de classe tous les jours. Et ils sont surtout des garçons ».
« Et alors? » Auro semblait arrogant.
« Que voulez-vous dire ‘et alors’? » Elle était également arrogante.
« Maman, Vous m’aviez dit que les peintres et des artistes ne se soucient pas de
l’apparence extérieure ». Auro semblait poli.
« Oui! Je t’avais dit ». Elle était également polie.
29
En trouvant que sa mère se calmait, Auro a tiré sur sa question suivante. « Les auteurs
comme vous appartiennent à cette catégorie ou non? Ne dites pas ‘Non’ la maman! Si les
peintres utilisent le pinceau, vous les écrivains utilisent le stylo pour peindre des images en
mots ».
Elle a pensé pour un instant car elle ne pourrait pas deviner jusqu’à ce qui était son fils.
Elle commençait à utiliser des mots prudemment. « Oui! Ils font, pourvu qu’ils soient des
écrivains à plein temps; et à condition qu’ils ne soient pas des professeurs à une école ou à une
université ».
« Maman, Que tourne mal s’ils appartiennent à un? »
« Hm… Voyez Auro! » Elle commençait de fouiller pour une réponse mais finalement
géré avec une. Elle disait, « Une enseignante est considéré comme un modèle à être suivi par
l’enseigné. Les peintres et les artistes et des écrivains sont d’un modèle différent. Plus célèbre
ils deviennent, plus excentrique ils sont. L’excentricité ajoute le charme à leur personnalité. Et
ils ne craignent pas d’opinion publique. Ceci ne peut pas se tenir vrai pour les gens dans la
profession enseignante. J’espère que vous comprenez ». Elle déplaçait vers une cafétéria
voisine avec l’intention d’éviter ses nouvelles questions et commandait la glace au chocolat à
faire taire le garçon curieux.
Il était neuf heures passé quand la mère et le fils arrivaient à la maison. Sur le chemin du
retour, ils se sont arrêtés à un restaurant chinois et avaient leurs nouilles de poulet favorites et
d’œufs de poisson pour le dîner. Auro n’a jamais su ce qu’était la faim. Et sa mère n’a jamais
rechigné à ouvrir son portefeuille pour lui.
Elle disait, « Auro change ta tenue et va te coucher », en ouvrant sa garde-robe pour
retirer une chemise de nuit pour elle.
30
Pendant qu’elle sorte de la chambre, elle voyait Auro habillé dans son mieux. Pour une
seconde, elle ne pourrait pas croire ses yeux. Il a semblé qu’il était sur le point d’avancer à une
estrade pour recevoir une récompense internationale.
« Tu es magnifique » Auro! Mais pourquoi ce vêtement à cette heure? Vous pouvez le
porter quand vous m’accompagnez à l’exposition de peinture prochaine ou à l’occasion de la
publication de livre.
Auro a fait hi-han et puis a dit, « J’ai les meilleurs vêtements pour de telles occasions ».
« Quoi? Vous voulez dire que vous avez de meilleurs vêtements que ceci? Elle lui lançait
un regard soupçonneux.
« Hmm… Certainement le meilleur pour de telles occasions », Auro confirmait et
montrait le paquet de vêtements empilé dans un coin de la chambre. Pourtant ils devaient être
rejetés.
Ils étaient les vieux vêtements d’Auro, surtout usés par des années et déchirés ou se
montrant aux coutures. Il était devenu trop grand pour eux tous.
« Je passerai pour un jeune peintre célèbre, maman! » Auro a dit avec un sourire. Sa mère
n’avait aucune autre façon que de sourire d’un air penaud.
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
31
COMMENTAIRE
La traduction est le fait d’interpréter le sens d’un texte dans une langue (« langue
source », ou « langue de départ »), et de produire un texte ayant un sens et un effet équivalent
sur un lecteur ayant une langue et une culture différente (« langue cible », ou « langue
d’arrivée »).
Jusqu’ici, la traduction est restée une activité essentiellement humaine. Le but de la
traduction est d’établir une équivalence entre le texte de la langue source et celui de la langue
cible (c’est-à-dire faire en sorte que les deux textes signifient la même chose), tout en tenant
compte d’un certain nombre de contraintes (contexte, grammaire, etc.), afin de le rendre
compréhensible pour des personnes n’ayant pas de connaissance de la langue source et n’ayant
pas la même culture ou le même bagage de connaissance. La traduction est vue comme un acte
fondamental d’échange humain. Elle joue un rôle important dans le monde d’aujourd’hui
caractérisé par la globalisation.
Pour traduire, il ne suffit pas de maîtriser la langue source. Il est nécessaire également
et surtout de maîtriser la langue cible, qui est généralement la langue maternelle. Le traducteur
possède plus que des compétences linguistiques : il a quelque chose de l’écrivain, du
journaliste, etc.
Le processus de traduction consiste de trois phases successives :
1. Compréhension : assimilation du sens véhiculé par un texte, du vouloir dire d’un
auteur… ;
32
2. Déverbalisation : oubli des mots et conservation du sens ; Opération par laquelle
un sujet prend conscience du sens d’un message en perdant conscience des mots et
des phrases qui lui ont donnée corps.
3. Réexpression : reformulation d’un vouloir dire en langue cible.
La traduction est la reformulation d’un code linguistique ou d’un message d’une
langue en une autre, c’est-à-dire, de la langue de départ vers la langue d’arrivée.
Dans l’œuvre, Stylistique Comparée du Français et de l’Anglais, J.P. Vinay et
J. Darbelnet proposent sept procèdes de traduction, quand ils parlent à propos de
l’analyse stylistique de la traduction. Ce sont :
 L’Emprunt
 Le Calque
 La Traduction Littérale
 La Transposition
 La Modulation
 L’Equivalence
 L’Adaptation
33
L’EMPRUNT
L’emprunt est utilisé pour introduire une couleur locale, on se servira de termes
étrangers. L’emprunt consiste à incorporer un élément d’une langue à l’autre. Il sert à
combler une lacune dans la langue d’arrivée. L’emprunt peut constituer, également, dans
certains cas, un pur snobisme.
Exemples :
 Thanks are owed to the unbearable khatri veyil and the mind-boggling… (Annexe i)
Merci à l’intolérable khatri veyil et la solitude extraordinaire… (Page 2)
 A dhoti as white as yellow healthy teeth... (Annexe iv)
Un dhotî aussi blanc que des dents saines… (Page 6)
 …he said showing all his teeth that have gone brown owing to intensive pan chewing.
(Annexe vi)
…il disait en montrant de toutes ses dents qui sont parties le brun en raison du
mâchement intensif du pan. (Page 8)
 …a basketful of fish on her head and whenever she cried meenu…meenu…
(Annexe xiv)
…un panier de poisson sur sa tête et quand elle a crié meenu…meenu… (Page 18)
 And when he cried keerai…keerai, she simply repeated the words, of course, in her
doggy accent. (Annexe xiv)
Et elle a simplement répété les mots, bien sûr dans son accent de toutou, quand il criait
kerrai...kerrai (Page 19)
34
LE CALQUE
Le calque est un emprunt d’un genre particulier. On emprunte à la langue étrangère
le syntagme, mais on traduit littéralement les éléments qui le composent.
Exemples :
 The bitch that so far maintained a yogic silence began… (Annexe x)
La chienne qui avait jusqu’ici maintenu un silence yogi… (Page 13)
 …I brought food out of my house on a leaf plate. (Annexe x)
…J’apportais la nourriture de la maison sur une assiette de feuille. (Page 14)
 A sepulchral silence and all the dogs… (Annexe xii)
Un silence sépulcral et tous les chiens… (Page 17)
LA TRADUCTION LITTÉRALE
La traduction littérale ou mot à mot désigne le passage D’arrivée à Langue de Départ
aboutissant à un texte à la fois correcte et idiomatique sans que le traducteur ait eu à se
soucier d’autre chose que des servitudes linguistiques.
Exemples :
 It is not that I am a stranger to museums. (Annexe i)
Ce n’est pas que je suis un étranger aux musées. (Page 2)
35
 I learnt my lessons from the sword. (Annexe iii)
J’apprenais mes leçons de l’épée. (Page 5)
 “Aren’t you married?” (Annexe ix)
« N’êtes-vous pas mariés? » (Page 12)
 His shirt was sleeveless… (Annexe xviii)
Sa chemise était sans manches… (Page 25)
 “Yes! I did.” She was equally polite. (Annexe xix)
« Oui! Je t’avais dit ». Elle était également polie. (Page 26)
LA TRANSPOSITION
La transposition est un procédé qui consiste à remplacer une partie du discours par
une autre, sans changer le sens du message.
Exemples :
 The cooker from her kitchen whistled. (Annexe ix)
La cocotte-minute a donné un coup de sifflet de sa cuisine. (Page 13)
 She looked suspiciously at me. (Annexe xi)
Elle me regardait avec soupçon. (Page 15)
 There entered a middle-aged woman sparsely dressed. (Annexe xviii)
Une femme d’âge moyen entrait là dans la manière peu habillée. (Page 25)
36
LA MODULATION
La modulation est une variation dans le message, obtenue en changeant de point de
vue. Celui-ci au niveau du mot de l’expression ou de l’énoncé.
Exemples :
 I have never visited one before in my two score and twelve years of my sojourn on
Planet Earth. (Annexe i)
Je n’en ai jamais visité un avant dans le 52 ans de mon séjour dans ce monde. (Page 2)
 “This fellow for whom I made this pousse-pousse was a woman-eater”. (Annexe v)
« Ce camarade pour que j’aie fait ce pousse-pousse était un coureur de jupons ».
(Page 7)
 Perhaps his wife was not tasty? (Annexe v)
Peut-être sa femme n’était pas sexy? (Page 8)
L’EQUIVALENCE
L’équivalence est un procédé qui consiste à rendre compte de la même situation que
dans le texte originale en ayant recours à une rédaction entièrement différente.
Exemples :
 Somebody’s minus is somebody else’s plus. (Annexe iii)
Les inconvénients l’emportent largement sur les avantages éventuels. (Page 4)
37
 …by rolling over on its back on the street... (Annexe xv)
…en roulant sur son dos dans la rue… (Page 20)
 …She expressed her joy by running hither and thither on the street…( Annexe xv)
…Elle exprimait sa joie en courant ici et là dans la rue… (Page 20)
 Barking dogs seldom bite, they say. (Annexe viii)
Ils disent, Le chien qui aboie ne mord pas. (Page 11)
L’ADAPTATION
L’adaptation s’applique à laquelle le message se réfère n’existe pas dans Langue
d’Arrivée et doit être crée par rapport à une rédaction entièrement différente.
Exemples :
 The pousse-pousse pusher… (Annexe vii)
Le pousseur du pousse-pousse… (Page 10)
 …le klaxon aérien attachait au guidon de sa bicyclette. (Annexe viii)
…the air-horn attached to the handlebar of his bicycle. (Page 11)
 “I told you, you know, Professor! She loves you,” Padma said with a stress on the four-
letter word with layers and layers of meanings. (Annexe xii)
Je vous disais Professeur, vous savez qu'elle voit aimé, a dit Padma mettant l’accent sur
le mot grossier avec les différents degrés de significations profondes. (Page 17)
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
38
CONCLUSION
Pour résumer, nous avons tout d’abord fait la traduction d’une série de nouvelles qui
est regroupée sous le titre : « The Black Bitch and Other Stories », qui est un recueil de vingt-
trois nouvelles. Ensuite, nous avons procédé à une analyse stylistique de la traduction en
utilisant les procédés de J.P Vinay et J. Darbelnet.
Nous avons rencontré plusieurs obstacles lors du processus de traduction auxquels nous
avons pu trouver des remèdes. Bien que toutes les histoires paraissent être construites d'une
langue des phrases simples, ce travail présente un kaléidoscope de curiosités et d'impressions
étranges que P. Raja a observées et ressenties. Il façonne ses histoires de telle sorte que la vie
apparaît dans ses nouvelles dans toute son immensité et son mystère. Il écrit sans trace de fausse
modestie. Il est vrai que notre vie quotidienne est surtout un mélange de routine terne et de
surprises désagréables. Cependant, de temps en temps, quelque chose d'inattendu se produit,
ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. Il habite un cosmos très familier et ses histoires
bouillonnent presque toujours d'un courant socio-culturel sous-jacent. Il pense toujours aux
gens et aux lieux qui lui sont familiers parce que c'est sa propre base d'expérience.
Ce travail de traduction était une tâche dure, mais il m'a aidé à approfondir mes
connaissances de la langue française et m'a poussé à faire les liens entre les esprits des deux
langues (française et anglaise). L’analyse stylistique faite de la traduction à partir des procédés
de J.P Vinay et J. Darbelnet ont permis de faire prendre conscience que toute traduction aura
forcément fait l’usage de quelques-uns de ces procédés soit par l’acte délibéré du traducteur ou
instinctivement.
J’ai entrepris ce projet comme un moyen d’appliquer, de réviser et de pratiquer toutes
les théories et les techniques que j’ai apprises au cours de mon M.A. French.
39
BIBLIOGRAPHIE
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
 Vinay J.P. et Darbelnet. J; « La Stylistique comparée du Français et de
l’Anglais », Paris : Didier, 1977.
 Chuquet Hélène et Paillard Michel. « Approche linguistique des
problèmes de traduction Anglais-Français ». Paris : Ophrys, 1989.
 Guillemin-Flescher Jacqueline, « Syntaxe comparée du Français et de
l’Anglais ». Paris : Ophrys, 1986.
DICTIONNAIRES
 Dictionnaire Le Robert & Collins Senior, Français-Anglais, Anglais-
Français, 2011.
 Dictionnaire Harrap’s Shorter Anglais - Français et Français - Anglais,
Chambers Harrap’s Publishers Ltd, 2009.
 Dictionnaire Le Grand Robert De La Langue Française Version
numérique, 2014.
SITOGRAPHIES
www.reverso.net/
www.larousse.fr/dictionnaires/bilingues
www.wordreference.com
www.linguee.com
www.synonymes.com
40
POUSSE-POUSSE
A lonely sultry afternoon drove me into the museum. I have never visited one before in my two
score and twelve years of my sojourn on Planet Earth.
It is not that I am a stranger to museums. I had spent several precious hours inside the
museums of Chennai, Kolkata, and Trivandrum not with any purpose of gathering historical
knowledge but with the ulterior motive of whiling away the time. I had the opportunity of
stating in these places at the expense of the academies that sponsored my trip as a writer. Most
of these sessions unfortunately fell in summer and summer is summer wherever we are in India,
unless we reach heights.
I found not much difference between one museum and the other for they invariably spoke
in silence for the glory of our past. Cultural heritage, spiritual heritage, literary heritage,
historical heritage, political heritage and God knows what the other heritage do these places of
interest display for their interested, disinterested and uninterested visitors. Most of the rooms
in these museums stink of bat turd, the only thing not known of in history books. I have seen
several people throw up in such rooms and thereby create a mess of that place preventing others
from entry.
These purported to be well maintained, but, in fact, ill-maintained museums in spite of
all the inconveniences they are capable of, certainly served as a hiding place from the wrath of
the world old Sun. Where else can one find a cooler place when the whole world outside
radiates heat?
Thanks are owed to the unbearable khatri veyil and the mind-boggling loneliness, both
of which are capable of driving anyone to the edge of madness. But for these two reasons I
would not have ventured into the Pondicherry museum, whose incumbents mostly preserved
in showcases, are bound to uninterest me like any dull subject, say, algebra or trigonometry.
I never knew that I would be lonely inside the museum too. I found the curator sleeping
in his chair with his short and sturdy legs resting criss-cross on the table in front, with a few
registers piled up on it.
My presence did not disturb him, though it pulled an elderly lady on the verge of
retirement out from a nearby room. She simply raised her eyebrows at me, perhaps signalling
me to answer her unasked question about the purpose of my visit.
“I would like to see the museum,” I said, “Where should I buy the entrance ticket from?”
41
“There is no such thing here. Simply enter your name and address in the register on that
table and go anywhere you like. We close at six sharp in the evening. And don’t get lost,” said
the lady.
“You mean you’ll lock me in if I don’t get out in time?”
“Of course... you can’t expect me to go from room to room and drive out our visitors. By
5.50 we ring a bell which is only an indication that you should quit the museum. And museum,
as you know, is not a good place to spend the night.”
I shrugged my shoulders in sheer fear for I believe in ghosts and I am sure museums are
the best haunting places for ghosts and ghouls.
“You don’t expect visitors at this hour?” I asked.
“This is no tourist season. Museums are no locals’ paradise. Perhaps you are the first and
last visitor for this afternoon session,” said the lady and disappeared into the room wherefrom
she emerged.
While I wrote my name in the entry register, the curator half-opened his eyes and looked
at me in a daze. He then quickly closed his eyes and rushed backed to his dreamland.
The first room displayed weapons of warfare that in any other museum would have
remained untouchables. But here they were lying on the floor with a cautionary placard
announcing ‘Do not step on these’.
It is, of course, risky to step on them for many of them for want of proper care have
rusted, and if we stump our toes on them, we are sure to die of tetanus.
My eyes rowed from one weapon to the other till they stood riveted to a sword and a
shield. They looked similar to the ones I saw in Trivandrum. And to compare notes would be
futile for there are people who safeguard our heritage and there are people who consider that
as a big bother.
Somebody’s minus is somebody else’s plus. I felt an instant urge to hold the sword in
one hand and the shield in the other and sincerely hoped that their very presence in my hands
would make me warrior and catapult me to a bygone era.
I bent down to pick up the sword first. Desiring to swish it in different directions, I
grasped at its hilt. But it was so sturdy and heavy that it refused to budge. I then pressed both
my hands into action. The sword showed signs of yielding to my temptation.
Huff...huff...puff...huff...yeah! I was lifting the sword... I was lifting the sword...but to
what extent? I managed it up to my knee and that too with great difficulty. Then I gave up, My
back began to ache. I could not hold it further and the sword was back to its place. Great hopes!
What a fool am I to lift the sword over my head?
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I learnt my lessons from the sword. The shield, as big as the shell of giant tortoise, really
scared the shit out of me. Oh, God! Had I tried with it first, things would have become different.
With dislocated shoulder joints I would be resting in a hospital.
That set the ball rolling. I can’t even lift the sword. And to heave the shield is out of
question. But how did my ancestors in Pondicherry manage this sort of acrobatics? My God!
What sort of giants were they? The very idea of their strength kept me flabbergasted for long
till I entered the next room exhibiting the vehicles used by the French and the Indians in
Pondicherry a century or two ago.
That big and palatial hall was cooler and so heart-warming. I felt like sitting in one of the
vehicles and enjoy a siesta.
I moved from a thookku to a pallakku, very much in use among the moneyed people of
Pondicherry and then to a huge palanquin. I was all the time wondering what great beauties
would have travelled in such vehicles and what sturdy musclemen would have prided
themselves on carrying them on their rocking shoulders.
Next to the huge palanquin stood a real eye-catcher. It was a vehicle with three wheels –
two big ones at the back supporting a single seater and a small one in the front with a steering
rod attached to it. Its long handle protruded backwards to the seat so that the occupier could
direct the movement of the vehicle and handle it with ease.
At first, I wondered if it was a cart pulled by animals. But there was no sign of yoke.
Then I thought of it differently. But I found no pedal or chain anywhere in the vehicle. My
thoughts went weird. And I could not arrive at any decision about the vehicle. But the urge to
sit in it began to overwhelm me. I touched the seat. It was made of wood, very solid and strong.
Using both the hands I shook the vehicle to know how rickety it has become. Age did not wither
it.
I climbed on to it and sat snugly on the wooden seat held the long steering rod in my right
hand and turned it to the left. The front wheel turned to its left with a screech.
“Who is it?” came a gruff voice.
I was about to jump out of the vehicle for fear that I would be fined for not following the
rules of the museum. But before I could do that, a lean man of medium build stood in front of
me from nowhere.
His appearance and his apparel looked quite strange to me, for the like of him I had seen
only in Pondicherry government calendars. He sported a fully-grown moustache as black as
the black dye, both sides twirled up and the stubble on his cheeks and chin told me that he had
not shaven for the last few days. He had a lush growth of hair on his head all cleanly oiled and
43
combed and rolled into a bun and looked like a brown horn on the left side of his head. He was
hairy all over his body. A dhoti as white as healthy teeth worn differently like a loin-cloth
exposed his sturdy thighs and legs. He had sash that ran across his torso like a broad belt. But
it rarely covered his hairy chest and back. Both his wrists had bracelets made of silver. He wore
silver anklets studded with rubies.
He looked at me as if I were from another world. The stranger really gave a jolt to my
sleep that was trying to hug me. Petrified I asked him, “Who are you?”
“Don’t repeat me.... Answer me,” came the curt reply.
“I...I...I am a visitor.” My voice shivered.
“How dare you sit in this pousse-pousse used by Monsieur Pierre?”
“Pousse-pousse?”
“Yes! In French it is pousse-pousse and in English it means ‘push-push’.” He replied.
I found an answer to my tormenting question. So, the vehicle was pushed from behind
and the man who took the seat steered its direction, applied break when necessary and so on
and so forth. My face brightened up.
“And who is Monsieur Pierre?” I asked without any hesitation.
“He was a secretary to the French government in Pondicherry. He used this pousse-
pousse till he breathed his last,” said the unidentified man.
“And who are you?” I asked.
“A blacksmith who gave life to the dreamy design of Monsieur Pierre,” he said with
pride-filled face. He then attracted my attention to the golden ear studs that adorned his earlobes
and said, “Monsieur Pierre awarded me with these...a magnanimous Frenchman.”
My curiosity-filled eyes perhaps probed into his past.
“This fellow for whom I made this pousse-pousse was a woman-eater,” he began with a
wink. He heaved a sigh, God knows for what reason, and then continued: “He liked the local
brown beauties and they too liked him for his white skin.”
“He was not married perhaps?” I interrupted, my cultural doubt having raised its head.
“Well! Of course he was married. His wife was a real beauty. I saw her only once when
he invited me home to show me his pencil sketch of a vehicle he had drawn out of his
imagination and asked me to design it with iron and wood,” he replied.
“Why then did he take a liking for local brown beauties? Perhaps his wife was not tasty?”
I reciprocated with a wink.
“Don’t betray your poor knowledge about the French,” he reprimanded me and added,
“Frenchmen are real gluttons when it comes to wine, women and food. Their women too had
44
their own clandestine ways. It was this white people’s insatiable lust for the warmth of human
bodies that had created Creoles in Pondicherry.”
I stood spell-bound. He continued. “This vehicle was made to order. When I was giving
final touches to this vehicle, Pierre came to my smithy and said, ‘You have created a palanquin
on wheels. You may get many more such orders. Some intelligent fellow will one day improve
upon my design and advise you to make a beautifully improved version of my pousse-pousse’.”
“The vehicle was pushed from behind?” I wanted to confirm.
“Of course! That is why it is named pousse-pousse. The man behind would push the
vehicle forward, then gather speed and run pushing it as fast as he could shouting at intervals’
pousse-pousse, pousse-pousse’, thereby warning the people on the path to move aside,” he said
daubing the hem of his sash against his face.
“Coming to the most interesting part of the story,” he said showing all his teeth that have
gone brown owing to intensive pan chewing, “Pierre had fear of the public opinion and feared
his wife too. I was told he had a shrew for his wife. Yet he never resisted the temptation of
visiting his beloved brownies. And that is why Pierre designed his own vehicle so as not to get
noticed in public.”
“He could have very well used a palanquin that was in vogue during his days in
Pondicherry,” I said to show off my knowledge of local history.
“Don’t be stupid,” he reprimanded, “Pierre was no nitwit. The Government higher-ups
on official trips used palanquins. The other palanquin users were mostly women. And so Pierre
wanted a vehicle for himself.”
“He could have been easily identified,” I said to snub the blacksmith.
“I told you that Pierre was not stupid as you are. He lived at a time when street lamps
were not even heard of. People rarely stirred put of their houses after the sunset; and, on
unavoidable circumstances, they carried a hurricane lamp in hand to save themselves from the
ditches on their path. And Pierre chose the nights to visit his mistresses.”
“Quite interesting!” I said in all jubilance.
“I’ll tell you something more interesting,” said he.
I looked at him like a child with my mouth wide agape.
“Pierre moved out of his house under the pretext of going to his office to look into the
urgent files. He returned home very late and thereby kept his green-eyed wife away from
suspicion. Pierre parked his vehicle in some darker corner amidst bushy trees and allowed his
pusher to sit in the pousse-pousse and sleep comfortably till he returned. This way Pierre had
his fill arousing no suspicion in his wife,” he said laughing most of the time.
45
I too had my laugh. Amidst my laughter, I asked him, “But why did you choose to tell
me your story?”
“Pierre’s story,” he corrected.
“Yes! Yes! Pierre’s story ...But why me of all people?”
The blacksmith laughed like a shower of granites unloaded from a tilting truck. His voice
faded as he began to vanish.
Gr...r...r...
It was the warning bell. I woke up with a start. I must hurry up before the museum keeper
locks me in. I jumped out of the pousse-pousse as I cursed myself for not having asked the final
question: “Was not Madame Pierre clever enough to find out her husband’s destinations from
the pousse-pousse pusher?”
“You are as stupid as ever,” came a voice from nowhere. I was sure that it was the
blacksmith’s.
My physical eyes ran hither and thither in search of him. They couldn’t locate him. But
my ears heard him perfectly well: “You are as stupid as ever. Pierre put his brain to proper use.
The pousse-pousse pusher Monsieur Pierre employed was a blind man.”
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
THE BLACK BITCH
The bitch looked quite different. Different because it didn’t bark at me as is expected of its clan
before strangers. Neither did it wag its tail. At first, it looked at me as if I were from another
world. I was a bit perturbed for I was a stranger to that place. Then it simply ignored me by
looking in a different direction.
I couldn’t take another forward step for the bitch was close by the gate of my rented
house I was yet to occupy. An unexpected transfer brought me to Karaikal and a colleague of
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mine procured a good-looking house in a decent locality, by name Nehru Nagar. It was quite
close to the college in which I joined duty as an English teacher. And so without second
thoughts, I took the key from the landlord.
The bitch was a real threat to me. Barking dogs seldom bite, they say. But how about this
bitch that is indifferent? Having assisted my grandmother while she treated patients of dog bite
with her miraculous herbs, I was sure of what dogs were capable of.
I looked intently at the bitch. It looked neither ferocious nor friendly. It was bluish black
in colour and not a single hair on its healthy body sported a different hue. Its ears were very
long and its tail curved up to a point in a miniature sickle. “Oh, God! It will be invisible in the
dark,” I said to myself and decided to carry torchlight whenever I ventured out. Its amber eyes,
I was sure, would reflect the light.
As I was involved in the thoughts of befriending the bitch, a milkman pedalled his way
through the street pressing the air-horn attached to the handlebar of his bicycle.
Pee...po...pee...po...pee...po.
To my great surprise, the bitch imitated the sound of the air-horn as meticulously as a
human being would. I couldn’t but admire the bitch for its imitative skills.
The sound of the air horn-pulled out of many of my neighbours from their respective
houses, each one holding a vessel.
I smiled at every one of them and nodded my head in order to introduce myself and get
introduced. But that morning hour would not allow any man or woman to be out of their houses.
One smiled back, two ran back into their homes without responding and one was all the time
looking at the ground.
My immediate neighbour stood for a time, adjusted her sari and then asked me: “Are you
my new neighbour?”
I bobbed my head up and down.
“I am told that you are an English professor?” She asked.
“Yes, Madam,” I replied with a gleam in my eyes.
“When are you shifting?” she asked.
“I am moving in now, Madam. My luggage will reach me in a day or two,” I replied.
“Hm...by luggage you mean your wife and children?” She asked with a smile.
“No, no! By luggage I meant only luggage,” I answered smiling back.
“Aren’t you married?” She probed further.
“Of course, I am. I have three kids. But in Karaikal, I will have to lead the life of a forced
bachelor,” I said and added, “I will be with my family on weekends.”
47
“Oh, I see! Are you a vegetarian or non-vegetarian?” she asked me as if she were the
landlady and I destined to answer all her questions.
“I am a pure non-vegetarian, Madam,” I said with a toothy smile.
“Then this Blackie will be yours forever. She rarely eats the leftovers from our houses.
We are all vegetarians as you can notice from our looks,” she said.
The cooker from her kitchen whistled. “Oh, I have to rush now. Come home, Professor,
when you are free,” she sailed back into her house as her words sailed back towards me.
I emboldened myself to take my forward step. The bitch didn’t stir. Perhaps it was in a
dreamy state thinking of where it could get the next bone.
The milkman went to the dead end of the street and returned, all the time pressing the
air-horn.
The bitch that so far maintained a yogic silence began to imitate again:
Pee...po...Pee...po...pee...po...
The milkman got down from his vehicle, parked it on its stand, searched for a coconut
shell, found one, cleaned it with his hands, blew the dust off it and then poured milk into it to
its brim.
The bitch looked at the milkman, but did not wag its tail. It moved aside giving way for
me to reach the gate.
“She is special to me, sir! I can’t afford to keep a pet at home. She is very mischievous
but has never harmed anyone. Can’t see such a pious dog anywhere in Karaikal. I love her,
sir!” certified the milkman.
I smiled as I unlocked the main gate of the house.
“Shall I supply you milk from tomorrow, sir?” he asked.
I smiled at him and said, “I will let you know.”
“Okay, sir,” said the milkman, as he jumped on to his bicycle. He then said, “You too
will love every action of Blackie, sir. Have a good day.”
As I slipped the key into its hole and clicked it open, Blackie was slurping the milk up....
A couple of dogs sauntered past her with their tails tucked between their hind legs. They
claimed no share of the milk.
I took an undue interest in the bitch for reasons known only to the celestial beings. Since
I cooked my own meals, I made it a point to feed Blackie twice a day. As I myself skipped
breakfast to keep a fast developing tummy under control, I offered her only disappointment in
the mornings.
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I was in for a big surprise on the first night I brought food out of my house on a leaf plate.
The plate was full of gravy-mixed rice with a lot of chicken bones with stray flesh still sticking
to them. I placed it carefully under a nearby tree and expected Blackie to wag her tail as a mark
of gratitude. But the bitch stood up, stretched herself, yawned and then all of a sudden took to
her heels.
“What? You think I am poisoning you, eh?” I asked. But by the time I could finish the
sentence, Blackie was out of my sight.
I waited there for a few more minutes. Half-a-dozen dogs that were having a jolly good
time in playing and testing each other, slowed down their steps as they neared my house. One
of them, perhaps, attracted by the smell of food waiting to be eaten, strayed away from the
pack. But another dog, bigger in size, reprimanded it with a sharp yell. The dog that strayed
sharply turned and joined back its friends. And all of them went away without letting out a yell
or a bark.
“Strange are the ways of these dogs.” It was my loud thinking.
“Hi, Professor! Feeding Blackie?” asked the lady of the next door.
I nodded my head.
“Why don’t you open your mouth and speak, Professor?” she said with a giggle.
I was sure that she was desirous of involving me in a conversation. She was only a few
yards away. I moved closer to her. What separated us was only the compound wall of her house
that reached to our chests.
“Yes, Madam,” I said.
“Stop calling me Madam. I am Padmasani. You can call me Padma,” she introduced
herself.
I giggled.
She looked suspiciously at me.
For fear that she would misread my giggle, I said, “I hope no one calls you by the other
half of your name, except perhaps your hubby when angry.”
She broke into a peal of laughter, showing all her healthy and well-arranged teeth.
“Hm…you are full of humour,” she complimented. “Well! Jokes apart, don't expect
Blackie to eat in your presence. She is shy of men,” she said with a wink.
“Unbelievable,” I said.
“There are so many things that you can never believe about Blackie. She is a legend here.
You will get to know more about her as time passes,” Padma said. As she continued feeding
49
her grandchild seated on her voluptuous hip from a silver bowl filled with cooked and meshed
rice, ghee and dhal, she added: “Please come home for tea tomorrow.”
An hour or so later, I went up to the terrace to walk a bit before I flopped into bed to hug
sleep. Once on the terrace, I heard the sound of munching and crunching of bones coming up
from the street. I leaned over the parapet and saw Blackie feasting on what I left under the tree.
She had almost finished eating when perhaps her doggy sense told her that someone was
watching. She looked up at me, running her tongue all over her mouth. She then whined and
looked in different directions. Ascertaining that there was no one around, she continued
gobbling up.
On the morning of the next day, I carried my garbage can to empty it in the dump, a
stone’s throw away from my house. Blackie followed me, without a bark or wag of its tail.
No sooner did I near the dump than a dozen or more sleeping dogs stood up startled.
Later I understood from sheer observation that five o’clock in the morning was too early for
the people of Karaikal to be out of bed. In Pondicherry, one can see women sprinkle water and
draw kolams in front of their houses well before daybreak and this they do ceremoniously to
give a grand gala welcome to the rising sun. But in Karaikal, these things happen not before
seven. Early to bed and late to rise, seems to be part of their credo.
It was no wonder that the dogs saw in me a stranger loitering at that unexpected hour.
They began to bark in a chorus and were perhaps preparing to attack me.
Blackie growled.
A sepulchral silence and all the dogs disappeared without a trace.
While sipping tea with Padma in her house on that evening, I narrated how Blackie played
guardian angel to me.
“I told you, you know, Professor! She loves you,” Padma said with a stress on the four-
letter word with layers and layers of meanings.
I tried to suppress my laughter. Seeing me struggle, Padma broke into a guffaw and I
could see her eyes glitter.
“Blackie is very pious, you know,” Padma said in an attempt to change the topic.
“What?” I asked because I could not resist the temptation of probing into the matter.
“Yes, Professor. She prays everyday,” she said and after a pause added, “It is to be seen
to be believed.”
“No, Padma! Blackie is of a different mould, different from the rest of the canines I see
in Nehru Nagar,” I said, expressing gleefully my discovery.
50
“And Nehru Nagar is infested with street dogs. It is dangerous to go out after dark,”
Padma added.
“Infested? How many approximately?” I asked as fear began to grip me.
“There are six crosses in Nehru Nagar... not less than a hundred houses in each cross. I
am sure that each cross feeds a minimum of twenty-five dogs,” Padma gave statistics.
“Why not give a complaint to the municipal authorities? The dog catchers will be here,”
I suggested.
“Oh no! The dogs are the real policemen of Nehru Nagar. Not a theft was reported here
so far,” Padma said with a lot of concern for the dogs.
A week or so later, I experienced the truth in what Padma had said.
I was returning home after watching a late night horror movie in Shamina theatre, in the
vicinity of Nehru Nagar. The time was an hour or so past midnight and I was on foot.
I crossed the first main road and took the street that connected all the six crosses. When
I reached the third cross, a stray dog let out a blood-curdling howl. And God knows where from
they came...they came in a battalion and sent a chill down my spine. My body began to shake
as the barking pack came galloping towards me.
I was told that the best way to face dogs was with stones. But wisdom told me to remain
inert. I was not sure what portion of my dear flesh would be mine after everyone had his or her
share of the booty.
Blackie too must have been there for I heard her growl and all the dogs as if obeying the
command of a captain traced back their steps leaving me to myself.
I heaved a sigh of relief. From that night onwards, no dog dared bark at me. I felt I was
special to them.
Watching Blackie and her day-to-day activities became my pastime. I was surprised at
her talent for mimicry. Every time the milkman came to our street, she mimicked the
pee…po…pee…po…sound of the air-horn.
No hawker's voice ever posed any problem to Blackie. She was always at the heels of the
fisherwoman who carried a basketful of fish on her head and whenever she cried
meenu…meenu… Blackie reproduced the first syllable of the word and stretch it beyond
measure. To see her mouth go in different directions in her attempt to pronounce the syllable
is to be seen rather than described.
Blackie’s favourite was a greens vendor. He used to come pushing a cart loaded with all
sorts of greens and country vegetables. And when he cried keerai…keerai, she simply repeated
the words, of course, in her doggy accent.
51
And on one Sunday, when I was at home relaxing in an easy chair spread on the sit-out
and reading an excellent book on animals titled Wonderful People by Dr. Howl L. Barker, the
call for prayer from a nearby mosque broke the silence.
Blackie mimicked the voice of the muezzin in the way it was uttered. At first I thought it
was a kid trying to imitate the muezzin. I rushed out to admonish the child. To my great
surprise, I saw Blackie standing on its hind legs and repeating the voice from the mosque.
“I told you, you know! Blackie is a very pious bitch,” said Padma, standing and watching
Blackie pray, “Be it the clink clanking of bells from the temple, or the gong from the church
or the call for prayer from the mosque Blackie mimics and that is her prayer.”
Padma's words made me think highly of Blackie for what bitch knows about religion and
think that all religions are one and the same and that there is only one God for the whole
universe.
My quota of food for Blackie went up.
I was sure that I had disappointed Blackie for nearly four weeks when I was away in
Pondicherry enjoying the holidays after semester exams.
On Fridays before sun down, I used to pack my sling bag and start for the Nehru Nagar
bus stop to catch a bus to Pondicherry. On such days, Blackie was unhappy and expressed her
disappointment by rolling over on its back on the street like an adamant child and whimpered
till I disappeared from her sight.
And on Monday mornings, the moment she sighted me, she expressed her joy by running
hither and thither on the street regardless of the careless two-wheelers.
After the vacation, I reached back Nehru Nagar. I found no dog…not a single one.
Where have they all gone?
There was no one in the street to answer my question. And then I too have forgotten all
about the dogs.
Three days later, when I was returning from a colleague’s house in the sixth cross, I found
a bitch lying curled up near the street corner. It was Blackie.
“Hi, Blackie! Nice to see you back,” I said and moved towards the bitch. She looked
gravely from one side to the other for a moment and then dropping her chin on her paw closed
her eyes with a grunt of discontent.
Not willing to leave her at that, I bent down, pawed her head and in a cajoling tone said,
“Come on, Blackie! I have food for you…”
Blackie rose to her heels with a start, growled and bared her teeth at me and threatened
to tear my flesh.
52
Nervous, I drew back in fright. Blackie growled again and ran as fast as ever.
Everything remained a mystery to me till Padma came home with sweets and snacks that
she had brought from her in-laws in Kerala.
Padma talked at length of how much she missed my company and what urgent call from
Kerala made her rush to that place a few days ago.
“Oh God! What a tedious journey! I am doing tired,” Padma said amidst a huff and a
puff.
I was reminded of the dogs in Nehru Nagar. I asked her for what had happened to them.
“Huff…The chairman of Nehru Nagar Landlords' Association complained to the
municipal authorities. The dog catchers did their job very well and carried every one of them
away,” Padma said in a dull voice. She shuddered but looked away.
“But I saw Blackie a few days ago,” I said.
Padma was silent for a time. I saw a tear drop or two trickle out of her eyes.
“They came in three vans…these dog catchers,” Padma began. “They parked their
vehicles in three different corners of Nehru Nagar. And several men, all khaki clad, plunged
into action. Throughout the day, Nehru Nagar was reverberating with yelps and whimpers of
dogs. I saw our Blackie too inside the van parked in the shade of the tree in front of your house.”
Padma paused.
“So you bribed the bitch catcher and pulled Blackie out,” I interrupted.
“No, Professor, no,” she said. “That is the interesting part of the story. Just before
sundown, there was a call for prayer from the mosque. Blackie stood on her hind legs, brought
her forelegs together and imitated in her doggy accent the voice of the muezzin.
“My God! And then?” I sounded curious.
“And then…the driver of the van admiring at Blackie’s piety told one of the catchers to
pull her out and release her. The catcher too very much pleased with the doings of the bitch
allowed her to live long. And this is how she is here, while all her friends and mates by this
time would have reached Heaven,” Padma said.
She then continued: “But Blackie is dead wood now. I am told that she refuses to take
food…always thinking of her lost companions. She is a different Blackie now.”
“She is always different,” I said suppressing a tear threatening to spill over.
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
53
BEST FOR THE OCCASION
Little Auro giggled. He tried to suppress the giggle but burst into laughter and thereby attracted
the attention of his mother.
Auro's mother, enamoured of a painting in the art gallery, was about to take off on the
viewless wings of poesy, when her son's rocking laughter pulled her back. She looked at her
ten-year-old bony boy. She has not seen him laugh like that for a very long time. At first, she
ran her eyes around to locate the target of the boy’s laughter. She failed. Smiling she asked,
“What is it, Auro?”
Her delicate voice perhaps got drowned in the noise of the boy’s laughter. He didn’t seem
to take note of his mother’s anxiety. Her motherly eyes didn’t fail to take notice of the change
in the boy’s face.
Less than three years ago, when she was in Trivandrum to attend a friend’s wedding, she
snatched a few hours from her tight schedule to go around a zoo to pleasure the child. Holding
her hand, Auro moved from cage to cage watching birds and animals that he had seen only in
‘Animal Planet’ channel of the TV, one among the few channels he was allowed to watch after
his school hours. He was able to identify several creatures of God and name them too. Auro's
scholarly mother proudly looked at her son at such times and smiled to herself. He was having
fun time with almost every inhabitant of the different cages. But his face all of a sudden
changed colour when they reached a differently built cage open to the sky. Auro's eyes
frantically searched for this cage dweller but couldn’t spot out any creature, except a few stray
crows pecking at the left-over and cawing to express their satisfaction.
Auro looked inquiringly at his mother who too betrayed ignorance. When they were
about to move to the next cage, out emerged an animal from an artificial pool whose water
looked as though it were from Aegean Stable. Smooth, shiny and soft was its skin as though
neatly shaven by a skilled barber. Not a drop of water managed to find shelter on its huge,
unshapely and so ugly body.
It was a hippo. Its funny face attracted the boy and he laughed aloud to his heart’s content.
Perhaps attracted by the child’s innocent laughter, the animal ambled towards him. It then
turned sideways and exhibited its shiny body. The child stopped laughing. Curiosity drove him
to take closer looks at the animal. The animal began to wag its funnily short tail sideways
gathering greater momentum that made every onlooker imagine that it was going to fritter and
54
break. Then all of a sudden, the tip of the tail looked up at the sky and became motionless. The
animal’s huge belly caved in for a second or two, and then it let out a long fart.
Several people guffawed. A few held their nose tight with a couple of their fingers and
moved away in disgust. Auro's mother too smiled while the boy began to laugh continuously
till his face changed colour and he started coughing incessantly before he swooned.
She didn’t want that to recur for she couldn’t afford to undergo that trauma all over again.
And so inside the art gallery, she shook Auto by his shoulder. “Stop it, Auro! What is it this
time?” she asked in a stern voice.
Auro's laughter began to wane and finally he showed the artist standing in one corner of
the gallery and briefing an inquisitive listener about his recent painting he had displayed for
sale there.
She looked at the artist. His shirt was sleeveless and looked as though the sleeves were
forcibly torn from its main body. His branded shorts had a couple of holes big enough for any
grown-up mouse to enter through one and come out of the other. His shirt barely reached his
hip and looked as though he were wearing his little brother’s.
“Does he tickle you to laughter?” she asked. A smile flitted across her face.
Auro nodded his head. He was sure that his mom didn’t like the way he laughed. “He
would easily pass for a beggar to others. But to me he is a comic figure,” he said.
She stared Auro's eyes down. “Look Auro! He is a famous painter and...”
“So what?” Auro interrupted her and said, “I have seen short films on artists and painters
on History and Discovery Channels. Every great Italian painter, like his counterpart in the other
parts of the globe, is well dressed. But is this man so poor that he can dress only shabbily?”
“Listen Auro! Painters and artists rarely care for their external appearance,” she said
curtly and before she could continue to speak in favour of them, Auro’s attention got diverted.
Her eyes meandered towards the direction that attracted her son’s attention.
There entered a middle-aged woman sparsely dressed. She was exhibiting her gifts from
god in all possible places of her anatomy. As she sailed across the hall, she cooed: “Hi,
everybody! I am Udhpa Dupha, the famous painter from Sri Lanka. Twenty-five of the sixty
paintings displayed in this art gallery are mine. I hope you like them. Please do not forget to
register your comments in the notebook at the counter.” As she jogged her way along, the hearts
of youngsters gathered there bobbed up and down to the tune of her dancing breasts.
Auro pouted out his lower lip and displayed his contempt for her. “Don’t you feel like
laughing at her dress, mom?”
55
“Listen Auro! Haven’t you seen the picture of Einstein, the great scientist? He never had
his shaggy hair combed. Haven’t you seen photographs of Mahatma Gandhi? Is he dressed
from head to toe? I told you half-a-dozen times that great men and women rarely care for their
physical appearance. They have a special kind of impressiveness, resulting from the
combination of great intellect with child-like simplicity. So, stop laughing at them and try to
appreciate their hard labour that have gone into the making of these beautiful, lovely and
charismatic paintings. Learn to appreciate others. You too have bagged prizes in the painting
competitions. If you develop that art, you will one day be a good painter like these who joined
hands to exhibit their talents here.”
Auro turned his head away from his mother and mumbled: “Aren’t you a writer?”
“Yes! Of course, I am!” she replied in pride and looked inquisitively at her son. She was
not sure of the next question her intelligent son was about to shoot at her.
“But, mom!” continued Auro, “I have never seen you dress in the way they do.”
His words silenced her for a minute. Yet she has to wriggle out of the situation. “But I
am a professor too! You know, Auro, I have to face several students in classrooms everyday.
And they are mostly boys.”
“So what?” Auro sounded arrogant.
“What do you mean ‘so what’?” She was equally arrogant.
“Mom! You only told me that painters and artists do not care for external appearance.”
Auro sounded polite.
“Yes! I did.” She was equally polite.
Finding that his mother has cooled down, Auro shot his next question. “Writers like you
belong to that category or not? Don’t say ‘no’ mom! If painters use brush, you writers use pen
to paint pictures in words.”
She thought for a moment for she couldn’t guess what her son was up to. She began to
use words cautiously. “Yes! They do, provided they are full-time writers; provided they are not
teachers in a school or college.”
“What goes wrong if they are one, mom?”
“Hm...you see, Auro!” She began to fumble for an answer but finally managed with one.
She said, “A teacher is looked upon as a model to be followed by the taught. Painters, artists
and writers are of a different mould. The more famous they become, the more eccentric they
are. Their eccentricity adds charm to their personality. And they do not fear public opinion.
This may not hold true for people in the teaching profession. I hope you understand.” She
56
moved to a nearby cafeteria with the intention of avoiding his further questions and ordered for
chocolate ice-cream to silence the inquisitive boy.
It was past nine when mother and son reached home. On their way back home, they
stopped at a Chinese restaurant and had their favourite chicken noodles and fish roe for supper.
Auro never knew what hunger was. And his mother never grudged opening her purse for him.
“Change your dress Auro and go to bed,” she said, as she opened her wardrobe to pull
out a nightie for herself.
As she emerged out of the room, she saw Auro dressed in his best. For a second, she
couldn’t believe her eyes. He looked as though he were about to move on to a stage to receive
an international award.
“You look grand in this, Auro! But why this dress at this hour? You can put it on when
you accompany me to the next painting exhibition or book release function.
Auro hee-hawed and then said, “I have the best clothes for such occasions.”
“What? You mean you have better clothes than this?” She shot a suspicious glare at him.
“Hmm…Definitely the best for such occasions,” Auro confirmed and showed the bundle
of clothes dumped in one corner of the room. They were yet to be discarded.
They were Auro's old clothes, mostly worn out by years and torn or showing up at the
seams. He had outgrown them all.
“I will pass for a famous young painter, mom!” Auro said with a smile. His mother had
no way but to grin sheepishly.
⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎

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M.A. French - Final Year Project | Translation of Short Stories by Raja.P

  • 1. 1 TRADUCTION « La traduction » signifie le processus de traduction de mots ou de texte d'une langue à une autre langue. La traduction parfaite n'existe pas! En effet, selon le contexte, un terme peut se voir attribuer différentes interprétations. La traduction est aussi une œuvre de créative, qui relie au moins deux langues, deux cultures, et parfois deux ères. « La traduction est un procès et aussi un résultat. La Traduction est un de sujet de recherche et un support de recherche. La traduction fournit les données sur la créativité et aussi c’est un travail créatif ». - Hartmann {1981}
  • 2. 2 TABLE DES MATIÈRES TITRE Page Introduction 1 Traduction 2 Commentaire 29 Conclusion 36 Bibliographie 37 Annexe : Texte Original i-xxi
  • 3. 3 INTRODUCTION J’ai choisi de faire la traduction de trois nouvelles de Raja.P, regroupées dans le recueil (de vingt-trois nouvelles), intitulé – « The Black Bitch and Other Stories ». Ce recueil a été publié au mois de mai 2016. P.Raja est né le 07 octobre 1952 à Olandai-Keerapalayam, un village de Pondichéry, en Inde, qui est réputé pour son héritage spirituel. Il est professeur d'anglais, et aussi un écrivain des fictions, poète, dramaturge, traducteur et folkloriste. Ses domaines de spécialisation sont l'histoire, la culture, la littérature et la religion de Pondichéry. L’auteur écrit dans la langue anglaise, et aussi dans sa langue maternelle, le tamoul. Pondichéry et sa connaissance du français, de l'anglais et du tamoul l'ont aidé à travailler comme traducteur pour les officiers anglais et français. Il a également écrit des scénarios pour All India Radio (Pondichéry & Karaikal) et Doordarshan (Delhi).Il est vrai que notre vie quotidienne est avant tout un mélange de routine ennuyeuse et de surprises désagréables. Cependant, de temps en temps, quelque chose d'inattendu se produit, ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. C'est précisément ce que les histoires de P. Raja dépeignent. (Il pense toujours aux personnes et aux lieux qui lui sont familiers parce que c'est sa propre base d'expérience). Ses histoires, ses mots, ses personnages merveilleux, nous offrent la surprise, l'excitation, le sens de l'émerveillement qui allument le feu de l'imagination humaine. J’ai divisé ce travail en deux parties. La première partie présente la traduction en français des nouvelles et le commentaire. La deuxième partie présente une étude détaillée sur la traduction que nous avons effectuée. Cette étude se basera sur l’étude stylistique de la traduction proposée par J.P Vinay et J. Darbelnet dans leur œuvre célèbre Stylistique Comparée du Français et de L’Anglais.
  • 4. 4 POUSSE-POUSSE Un après-midi solitaire et étouffant m’a conduit au musée. Je n’en ai jamais visité un avant dans le 52 ans de mon séjour dans ce monde. Ce n’est pas que je suis un étranger aux musées. J’ai passé beaucoup de temps précieux dans les musées de Chennai, Kolkata et Trivandrum sans aucune intention de recueillir des connaissances historiques mais avec le but caché pour passer le temps. J’avais la chance de rester dans ces endroits aux dépenses fait par les académies qui parrainaient mon voyage comme écrivain. Malheureusement, la plupart des réunions a eu lieu en été et l’été reste le même partout en Inde sauf qu’on passe aux stations d’été. Je n’ai pas trouvé beaucoup de différence entre un musée et l’autre pour qu’ils ont parlé silencieusement de la gloire de notre passé. L’héritage culturel, l’héritage spirituel, l’héritage littéraire, l’héritage historique, l’héritage politique et le Dieu connaît que l’autre héritage que ces lieux d’intérêt montrent pour les intéressés, désintéressés, et les visiteurs sans intérêts. La plupart des chambres dans ces musées puent de crottes de la chauve-souris, la seule chose inconnue dans les livres d’histoire. J’ai vu plusieurs personnes vomir dans de telles pièces et ainsi créer un désordre de cet endroit empêchant les autres d’y entrer. Ceux-ci prétendaient d’être bien entretenus, mais, en fait, les musées mal entretenus malgré tous les inconvénients dont ils sont capables, certainement qui a servi comme une cachette de la colère de l’ancien Soleil du monde. Où peut-on trouver un endroit plus frais lorsque le monde entier à l’extérieur rayonne de chaleur. Merci à l’intolérable khatri veyil1 et la solitude extraordinaire, qui sont capables de conduire n’importe qui au bord de la folie. Mais pour ces deux raisons je ne serais pas aventurée 1Khatri veyil : La haute saison de l’été avec la température du jour environ 38 degrés Celsius en Inde.’Khatri’ ou ‘agni natchathiram’ commencera à midi et se terminera à 18h 30. La durée du lever et le coucher du soleil sont prolongée par quarante minutes pendant cette période et l’air atmosphérique sera plus chaud que d’habitude.
  • 5. 5 dans le musée de Pondichéry, dont les titulaires sont principalement conservés dans les vitrines, ne m’intéressent pas, comment n’importe sujet ennuyeux par exemple, algèbre ou trigonométrie. Je ne savais jamais que je serais seul dans le musée aussi. Je trouvais le conservateur dormant dans sa chaise avec ses jambes courtes et robustes reposant entrecroisées sur la table en face, avec quelques registres empilés dessus. Ma présence ne l’a pas dérangé, cependant qu’il attirait une dame âgée d’une salle voisine, qui est sur le point de la retraite. Tout simplement, elle me levait ses sourcils, peut-être m’indiquant de répondre sa question non formulée de l’intention de ma visite. « Je voudrais voir le musée », « J’ai demandé d’où devrais- je acheter le billet d’entrée? » « Ici, ça n’existe pas. Avant d’entrer, signez le registre avec votre prénom et votre adresse sur cette table et vous pouviez aller partout vous souhaiteriez. La dame a dit « On ferme le musée à six heures pile du soir. Et ne vous perdez pas ». « Vous signifiez que vous m’enfermeriez si je ne sors pas à l’heure ». Bien sûr….. Vous ne pouvez pas m’attendre à aller d’une pièce à l’autre pour chasser nos visiteurs. À 5h 50, on sonne une cloche, qui est une seule indication que vous devriez quitter le musée. Comme vous le savez, le musée n’est pas un bon endroit pour passer la nuit. J’haussais les épaules dans la crainte complète car je crois en fantômes et je suis sûr que les musées sont les meilleurs endroits obsédants pour les fantômes et les goules. « Je lui demandais que vous ne vous attendiez pas les visiteurs à cette heure? » « Ce n’est pas une saison touristique. Les musées ne sont pas le paradis pour les gens du coin. Peut-être vous êtes le premier et le dernier visiteur pour cette séance d’après-midi », la dame a dit et a disparu dans la chambre d’où elle a apparu.
  • 6. 6 Pendant que j’écrivais mon prénom dans le registre d’entrée, le conservateur a demi- ouvert ses yeux et me regardais dans un état d’étourdissement. Alors, il fermait ses yeux rapidement et retournait à son monde imaginaire. La première pièce montrait les armes de guerre, qui resteraient intouchables dans n’importe quel musée. Mais ici, elles étaient allongées sur le plancher avec une affiche d’avertissement annonçant « Ne marchez pas sur ces armes ». Bien sûr, il est risqué de marcher sur eux car beaucoup d’armes sont rouillés, sans soin propre et si nous heurtons nos orteils sur eux, nous sommes sûrs de mourir de tétanos. Mes yeux déplaçaient d’une arme à l’autre jusqu’ils restaient immobiles à une épée et un bouclier. Ils se ressemblaient à ceux que je voyais à Trivandrum. Et comparer les notes seraient en vaine car il y a les gens qui sauvegardent notre héritage et il y a les gens qui considèrent cela comme un grand tracas. Les inconvénients l’emportent largement sur les avantages éventuels. Je sentais une forte envie instantanée pour tenir l’épée dans une main et le bouclier dans l’autre et sincèrement espérait que leur présence dans mes mains me ferait un guerrier et me catapulterait à une ère passée. D’abord, j’ai penché pour prendre l’épée. Désirant de le bruire en direction différente, j’ai pris par cette poignée. Mais, il était plus lourd et robuste qu’il a refusé de bouger. Alors, j’ai ténu mes mains pour l’action. L’épée montrait les symboles de succomber à la tentation. Huff...huff…puff…huff... Oui! Je levais mon épée… Je levais mon épée… mais à quelle mesure? Je le dirigeais pour lever de mon genou et aussi qu’avec beaucoup de difficultés. Ensuite, j’ai abandonné parce que j’avais un mal de reins. Je ne le pouvais pas tenir plus et l’épée était reculé sur sa place. De grands espoirs! Comment je suis imbécile pour élever l’épée au-dessus de ma tête.
  • 7. 7 J’apprenais mes leçons de l’épée. Le bouclier, deux fois plus grand que la carapace de la tortue géante, me flanquais vraiment une de ces trouilles. Oh Mon Dieu! D’abord, si j’essayais avec cela, l’état des choses seraient devenues différentes. Je me resterais à l’hôpital, avec les articulations disloquées. Cela fait démarrer la balle. Je ne peux même pas soulever l’épée. Et soulever le bouclier est hors question. Comment mes ancêtres à Pondichéry ont fait cette sorte d’acrobatie? Mon Dieu! Quel genre des géants étaient-ils? L’idée même de leur puissance m’a gardé sidérer pour longtemps jusqu’à ce que j’entrais la pièce suivante qui exposant les véhicules utilisés par le Français et les Indiens depuis un ou deux siècles à Pondichéry. Ce grand couloir magnifique était plus frais et réconfortant. Je voulais m’asseoir dans l’un des véhicules pour jouir d’une sieste. Je déplaçais d’un thookku2 à un pallakku3, qui était beaucoup plus utilisés parmi les peuples riches de Pondichéry et ensuite à un palanquin gigantesque. Je me demandais tout le temps quelles grandes beautés auraient voyagé en tels véhicules et quels hercules vigoureux auraient la fierté en les portant sur leurs épaules berçantes. À côté du palanquin énorme se trouvait quelque chose qui attire l’œil. C’était un véhicule avec trois roues – deux grandes à l’arrière un monoplace et un petit dans l’avant avec une tige de direction l’a attachée. Son long brancard dépassait en arrière au siège pour que l’occupant puisse ordonner le mouvement du véhicule et le manipuler avec facilité. D’abord, je me demandais si c’était un chariot tiré par des animaux. Mais, il n’y avait aucune signe de joug. Alors, j’y pensais différemment. Mais je n’ai trouvé aucune pédale ou chaîne n’importe où dans le véhicule. Mes pensées allaient bizarres. Et je ne pouvais pas arriver 2Thookku : Les moyens de transport de passagers qui sont généralement transportés par deux personnes. C’est aussi un type de Pallakku. 3Pallakku : Anciennement en Inde et dans d'autres pays de l'Est, un moyen de transport de passagers, généralement pour une personne, consistant d’ une litière couverte ou en forme de boîte portée par des poteaux reposant sur les épaules de plusieurs hommes (qui habituellement est portée par quatre ou six personnes).
  • 8. 8 à n’importe quelle décision du véhicule. Mais la forte envie pour y asseoir commençait à m’accabler. Je touchais le siège. Il était en bois, très solide et fort. En utilisant les deux mains, je secouais le véhicule pour savoir comment rachitique il est devenu. L’âge ne l’est pas fané. J’y montais et je ne suis assis douillettement sur le siège en bois, a ténu la tige de direction dans ma main droite et l’a tourné à gauche. La roue avant tournait à son gauche avec un hurlant. « Qui est-ce? » sortait d’une voix bourrue. J’étais sur le point de sursauter de peur du véhicule que je serais condamné à une amende pour ne pas suivre les règles du musée. Mais avant que je puisse le faire, un homme mince de corpulence moyenne se tenait debout devant moi de nulle part. Son apparence et son habillement paraissaient étrange pour moi, qui se ressemblais comme les gens que j’avais vu seulement dans des calendriers gouvernementaux de Pondichéry. Il présentait une moustache complètement grandie aussi noir que la tenture noire, les deux côtés tortillaient en haut et la barbe sur ses joues et le menton m’a dit qu’il n’avait pas rasé de plusieurs jours. Il avait une pousse des cheveux luxuriante sur sa tête tout proprement huilés et ont peigné et ont roulé dans un chignon et se ressemblaient à un klaxon brun à la gauche de sa tête. Il était poilu sur tout son corps. Un dhotî4 aussi blanc que des dents saines portées différemment comme un pagne qui exposait ses cuisses vigoureuses et jambes. Il avait une écharpe qui tombait sur son torse comme une large ceinture. Mais il couvrait rarement sa poitrine poilue et son dos. Ses deux poignets avaient bracelets qui ont fait d’argent. Il portait des bracelets de cheville d’argent incrusté de rubis. Il m’a regardé comme si j’étais d’un autre monde. L’étranger a vraiment donné une secousse à mon sommeil qui essayait de m’étreindre. J’étais terrifié et je lui ai demandé « Qui êtes-vous? ». « Ne me répétez pas… Répondez-moi », veniez d’un ton cassant. 4Dhotî : Un type de vêtement indien porté par des hommes autour de la hanche.
  • 9. 9 « Je… Je… Je suis un visiteur ». Ma voix tremblait. « Comment osez-vous de s’asseoir dans ce pousse-pousse qui était utilisé par M. Pierre? ». « Pousse-pousse? » Il répondait: « Oui! En français, c’est le pousse-pousse et en anglais il signifie ‘push- push’. Je trouvais une réponse à ma question de torture. Ainsi, le véhicule était poussé en arrière et l’homme qui prenait la place a dirigé sa direction, a freiné quand nécessaire et ainsi de suite. Mon visage s’est égayé. Je lui demandais sans aucune hésitation « Qui est M. Pierre? ». « Il était secrétaire au gouvernement français à Pondichéry. Il utilisait ce pousse-pousse jusqu’à ce qu’il a rendu son dernier soupir », a dit l’homme non identifié. J’ai demandé « Qui êtes-vous? » « Un forgeron qui donnait la vie au dessin rêveur de M. Pierre », il a dit avec le visage rempli de fierté. Alors, il attirait mon attention aux boucles d’oreille d’or qui ornait ses lobes d’oreille et disait « M. Pierre me les ont offertes… un Français qui est magnanime ». Mes yeux remplis de curiosité, exploraient probablement dans son passé. « Ce camarade pour que j’aie fait ce pousse-pousse était un coureur de jupons », il commençait en clignant de l’œil. Il poussait un soupir, et le Dieu connaît pourquoi et ensuite et il continuait: « Il a aimé les beautés brunes locales et elles lui aimaient aussi pour sa blancheur ». « Peut-être, il n’était pas marié? » J’interrompais, mon doute culturel ayant soulevé sa tête.
  • 10. 10 Il répondait: « Ah Bon! Bien sûr, il était marié. Sa femme était très jolie. Je l’ai vue une seule fois lorsqu’il m’invitait à sa maison pour me montrer son croquis au crayon d’un véhicule, qu’il avait dessiné de son imagination et me demandait de le concevoir avec le fer et le bois. « Donc, pourquoi a-t-il pris une sympathie pour des beautés brunes locales? Peut-être sa femme n’était pas sexy? » J’ai rendu en clignant de l’œil. « Ne trahissez pas votre connaissance faible du français », il me réprimandait et a ajouté, « Les Français sont des gloutons réels lorsqu’il s’agit de vin, des femmes et de la nourriture. Leurs femmes avaient aussi leurs propres façons clandestines. C’était cette soif insatiable des Blancs pour des relations humaines, qui avaient créé des Créoles français à Pondichéry ». Je restais envoûté. Il a continué. « Ce véhicule était fait sur commande. Lorsque je donnais des touches finales à ce véhicule, Pierre venait à ma forge et a dit, vous avez créé un palanquin sur des roues. Vous pouvez obtenir beaucoup plus de tels ordres. Un certain camarade intelligent améliorera sur mon design un jour et vous conseillera de faire une version admirablement améliorée de mon pousse-pousse ». Je voulais confirmer que « Le véhicule était poussé de derrière? ». « Bien sûr! C’est pourquoi il est nommé comme pousse-pousse. L’homme derrière pousserait le véhicule en avant et ensuite prendre de la vitesse et conduire le poussant aussi vite qu’il pourrait criant aux intervalles réguliers, pousse-pousse, pousse-pousse’ ainsi avertissant les gens sur le chemin pour se déplacer » il disait en appuyant l’ourlet de sa ceinture contre son visage. « La partie la plus intéressante de l’histoire », il disait en montrant de toutes ses dents qui sont parties le brun en raison du mâchement intensif du pan5 , « Pierre avait peur de l’opinion publique et a criant pour sa femme aussi. On m’a dit qu’il avait une mégère pour elle. Pourtant, 5Pan : Un chique de bétel qui se compose le plus souvent de feuille de bétel, de noix d’arec et de chaud d’éteinte à quoi l’on ajoute souvent du tabac. On trouve parfois d’autres ingrédients et agents aromatiques (des épices) selon les préférences et les coutumes locaux.
  • 11. 11 il n’a jamais résisté à la tentation de visiter ses bien-aimées. Et c’est pourquoi Pierre concevait son propre véhicule pour ne pas être remarqué en public ». « Il pourrait avoir très bien utilisé un palanquin qui était en vogue pendant ses jours à Pondichéry », je disais pour faire étalage de ma connaissance d’histoire locale. « Ne soyez pas stupide », il réprimandait, « Pierre n’était pas un imbécile. Les supérieurs Gouvernementaux aux voyages officiels utilisaient des palanquins. Les autres utilisateurs de palanquin étaient principalement des femmes. Et alors Pierre voulait un véhicule pour lui ». « Il aurait pu être facilement identifié ». Je disais pour snober le forgeron. « Je vous disais que Pierre n’était pas stupide comme vous êtes. Il vivait pendant le temps quand les réverbères n’étaient jamais entendus parler. Les gens remuaient rarement mis de leurs maisons après le coucher de soleil, et, en circonstances inévitables, ils portaient une lampe- tempête dans la main avec eux pour se sauver des fossés sur leur chemin. Et Pierre a choisi les nuits pour rendre visite ses maîtresses ». « Bien intéressant! » J’ai dit tout excité. « Laissez-moi vous dire quelque chose plus intéressante ». Je le regardais comme un enfant avec ma bouche ouverte. « Pierre se déplaçait de sa maison sous prétexte d’aller à son bureau pour examiner les dossiers urgents. Il retournait chez lui très tard et ainsi a gardé sa femme aux yeux verts loin de soupçon. Pierre gardait son véhicule dans un certain coin plus sombre parmi des arbres touffus et permit son pousseur d’être assis dans le pousse-pousse et pour qu’il puisse dormir confortablement avant qu’il n’ait retourné. De cette façon, Pierre avait rassasié éveillant que sa femme n’a aucun soupçon », il disait en riant la plupart du temps. J’avais aussi mon rire. Tout en riant, je lui demandais, « Mais pourquoi avez-vous choisi me dire votre histoire? ». Il corrigeait « L’histoire de Pierre ».
  • 12. 12 « Oui! Oui Monsieur! L’histoire de Pierre… Mais pourquoi moi de tous les gens? ». Le forgeron riait comme une pluie de granits déchargés d’un camion s’inclinant. Gr…r…r... C’était la sonnette d’avertissement. Je me réveillais avec un sursaut. Je dois se dépêcher avant que le conservateur m’enferme à l’intérieur du musée. Je sautais du pousse-pousse comme je me suis maudit de n’avoir pas posé la question finale: « Madame Pierre n’était pas assez intelligente pour découvrir les lieux de destinations de son mari du pousseur de pousse- pousse? ». « Vous êtes aussi stupide comme tout », venait une voix de nulle part. J’ai été sûr que c’était la voix de forgeron. Mes yeux physiques couraient ici et là à la recherche de lui. Ils ne pouvaient pas le localiser. Mais mes oreilles lui entendaient par hasard: « Vous êtes aussi stupide que jamais. Pierre mettait son intelligence à l’utilisation appropriée. Le pousseur du pousse-pousse employé par Monsieur Pierre était un aveugle ». ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
  • 13. 13 LA CHIENNE NOIRE La chienne paraissait complètement différente. Différente, parce qu’il ne m’aboyait pas comme attendu de son clan devant les étrangers. D’abord, il me regardait comme si j’étais d’un autre monde. J’ai été un peu perturbé car j’étais un étranger à cet endroit. Alors, il m’a simplement ignoré en regardant dans une direction différente. Je ne pouvais pas prendre un autre pas en avant car la chienne était près de la porte de ma maison louée que je n’ai pas encore occupée. Une mutation inattendue m’a amenait à Karaikal et l’un de mes collègues procurait une belle maison dans une localité convenable, de nom Nehru Nagar. C’était tout à fait près de l’université dans laquelle je rejoignais comme un professeur anglais. Et alors, sans hésites, je prenais la clé du propriétaire. La chienne était une vraie menace pour moi. Ils disent, Le chien qui aboie ne mord pas. Mais que diriez-vous de cette chienne qui est indifférente? Ayant aidé ma grand-mère tandis qu’elle traitait les patients de la morsure de chien avec ses herbes miraculeuses, j’étais sûr de ce que les chiens étaient capables. Je regardais intensément la chienne. Il n’a eu l’air ni féroce, ni affectueux. Sa couleur était noire-bleuté et il n’y a pas un poil sur son corps sain ont présenté une nuance différente. Ses oreilles étaient très longues et sa queue courbée jusqu’à un point dans une faucille miniature. « Oh, Dieu! Ce sera invisible dans l’obscurité », je ne suis dit et décidais de porter une lampe de poche chaque fois que je m’aventurais. J’étais sûr, ses yeux d’ambre refléteraient la lumière. Comme j’impliquais dans les pensées en se liant d’amitié avec la chienne, un laitier allait à travers la rue appuyant le klaxon aérien attachait au guidon de sa bicyclette. Pee…po…pee…po…pee…po.
  • 14. 14 À ma grande surprise, la chienne imitait le son du klaxon aérien aussi méticuleusement qu’un être humain. Je ne pourrais pas ignorer mais admirer la chienne pour ses compétences imitatives. Le son du klaxon aérien avait fait sorti beaucoup de mes voisins de leurs maisons respectives, chaque personne tenant un récipient. Je souriais à chacun d’eux et faisais un signe de la tête pour me présenter et être présent. Mais, aux premières heures du jour ne permettrait pas n’importe quel homme ou femme d’être hors de leurs maisons. Une personne a souri en retour, les deux se sont heurtées à leurs maisons sans répondre et l’on regardait tout le temps à la terre. Mon voisin direct resté là un temps, ajustait son « sari6 » et ensuite m’a demandé: « Êtes- vous mon nouveau voisin? ». J’ai sautillé ma tête. Elle posait « On me dit que vous êtes un professeur d’anglais? ». « Oui, Madame », j’ai répondu avec une lueur dans mes yeux. Elle interrogeait « Quand avez-vous déménagé? » Je répondais « Madame, Maintenant, j’emménage. Mes bagages m’arriveront dans un jour ou deux ». « Hmm… par des bagages vous voulez dire votre femme et enfants? » Elle a demandé avec un sourire. « Non, non! Par des bagages je signifiais seulement des bagages », j’ai répondu souriant en retour. « N’êtes-vous pas mariés? » Elle enquêtait en plus. 6Sari : Un sari, sari ou shari est un vêtement constitué d'une longueur de coton ou de soie de cinq à neuf verges de longueur et de deux à quatre pieds de largeur qui est généralement enroulé autour de la taille, avec une extrémité drapée sur l'épaule, à l'écart du ventre, traditionnellement porté par les femmes d'Asie du Sud.
  • 15. 15 « Bien sûr, je suis marié. J’ai trois enfants. Mais à Karaikal, je devrai mener la vie d’un célibataire forcé », j’ai dit et ai ajouté, « Je rejoindrai ma famille pour les week-ends ». « Oh, je vois! Est-ce que vous êtes un végétarien ou non-végétarien? » Elle m’a demandé comme si elle était la propriétaire et je suis obligé pour répondre à toutes ses questions. « Madame, je suis un pur non-végétarien », j’ai dit avec un sourire à pleines dents. Elle disait « Alors ce Blackie sera le vôtre pour toujours. Elle mange rarement les restes de nos maisons. Nous sommes tous les végétariens comme vous pouvez remarquer de nos apparences ». La cocotte-minute a donné un coup de sifflet de sa cuisine. « Oh, elle est partie à la hâte. Le Professeur, quand vous êtes libres », venez à la maison, « elle est entrée dans sa maison comme ses mots retournaient vers moi ». Je me suis enhardi pour prendre mon pas en avant. La chienne n’a pas remué. Peut-être, il était dans un état rêveur pensant d’où il pourrait obtenir l’os prochain. Le laitier est allé à l’impasse de la rue et a retourné appuyant tout le temps le klaxon aérien. La chienne qui avait jusqu’ici maintenu un silence yogi, commençait d’imiter encore une fois: Pee…po…pee…po…pee…po… Le laitier descendait de son véhicule, l’a garé sur son support, cherchait pour une coque de noix de coco, il a trouvé une, l’a nettoyé de ses mains, soufflait la poussière de cela et y a ensuite versé du lait à son bord. La chienne regardait le laitier, mais n’a pas remué sa queue. Il se déplaçait de côté cédant pour moi à atteindre la porte. « Elle est spéciale pour moi, Monsieur! Je n’ai pas assez d’argent pour garder un animal de compagnie à la maison. Elle est très malicieuse, mais n’a jamais nui n’importe quelle
  • 16. 16 personne. On ne peut pas voir un chien pieux n’importe où à Karaikal. Je l’aime, Monsieur! », Le laitier certifiait Je souriais comme j’ai ouvert la porte principale de la maison. Il a demandé « Est-ce que je vous fournirai le lait de demain, Monsieur? ». Je lui souriais et disais « Je vous dirai ». « D’accord, Monsieur, a dit le laitier comme il sautait sur à son vélo. Alors, il a dit, « Vous aussi aimerez chaque action de Blackie, Monsieur. Bonne journée ». Comme je glissais la clé dans son trou et y ouvert avec un petit bruit sec, Blackie lapait le lait….. Deux ou trois chiens flânaient devant elle avec leurs queues mises entre leurs jambes de derrière. Ils ne revendiquent aucune part du lait. J’ai pris un intérêt excessif dans la chienne pour des raisons connues seulement aux êtres célestes. Puisque j’ai fait cuire mes propres repas, je l’ai fait un point pour alimenter Blackie deux fois par jour. Comme moi-même, je sautais le petit-déjeuner pour garder un ventre de développement rapide sous contrôle, j’ai offert sa seule déception dans les matins. J’étais dans une grande surprise sur la première nuit, j’apportais la nourriture de la maison sur une assiette de feuille. L’assiette était pleine de riz mélangé de sauce avec beaucoup d’os de poulet avec la chair restante. Je la plaçais soigneusement sous un arbre voisin et j’attendais Blackie pour fouetter sa queue comme une marque de gratitude. Mais la chienne s’est levée, s’est étirée, a bâillé et puis tout à coup a pris à ses talons. Je demandais « Quoi? Tu penses que je t’empoisonne, eh? ». Mais avant que je finisse la phrase, Blackie était hors de ma vue. J’y ai attendu pour quelques minutes de plus. Une demi-douzaine de chiens qui ayant un temps bien s’amuser, ralentissaient leurs pas comme ils se sont approchés de ma maison. Peut- être, l’un d’eux était attiré par l’odeur de nourriture attendant d’être mangé, dévié loin du paquet. Mais un autre chien, plus gros en taille, l’a réprimandé avec un hurlement aigu. Le
  • 17. 17 chien qui a dévié brusquement tournait et rejoignait en arrière ses amis. Et tous sont partis sans laisser un hurlement ou un aboiement. « La manière de ses chiens sont bizarres ». C’était ma pensée forte. « Salut, Professeur! Vous alimentez Blackie? demandait la dame voisine. Je hochais ma tête. « Pourquoi vous n’ouvrez pas votre bouche et parlez, Professeur? » Elle a dit avec un fou de rire. J’étais sûr qu’elle était désireuse de m’impliquer dans une conversation. Elle était loin seulement juste quelques mètres. Je rapprochais d’elle. Ce qui nous a séparés était seulement le mur composé de sa maison qui s’est étendue à nos poitrines. Je disais « Oui, Madame ». « Arrêtez de m’appeler Madame. Je suis Padmasani. Vous pouvez m’appeler Padma », elle se présentait. J’ai ri sottement. Elle me regardait avec soupçon. De crainte qu’elle mal interprète mon fou rire, je disais, « J’espère que personne ne vous appelle par l’autre moitié de votre nom, peut-être sauf quand votre mari est fâché ». Elle a fait irruption dans un éclat de rire, montrant toutes ses dents saines et bien arrangées. « Hm…vous êtes rempli de humour », elle complimentait. « Bien! Vos plaisanteries à part, n’attendez pas Blackie pour manger en votre présence. Elle est timide par les hommes », elle a dit en clignant de l’œil. Je disais, « C’est incroyable! ». Il y a tant de choses que vous ne pouvez jamais croire de Blackie. Ici, elle est une légende. Padma a dit que comme le temps passe, vous apprendrez à connaître plus d’elle. Comme elle
  • 18. 18 continuait à alimenter son petit-enfant qui est assis sur sa hanche voluptueuse d’un bol d’argent rempli du riz cuit et broyé, le beurre clarifié et dhal7 , elle ajoutait: « Venez à la maison pour le thé demain, s’il vous plaît ». Une heure environ plus tard, je montais à la terrasse pour marcher un peu avant que j’aie effondré du sommeil. Une fois sur la terrasse, j’entendais le son de mastiquant bruyamment et croquant d’os venant de la rue. Je me penchais sur le parapet et voyais Blackie se régalant sur ce que j’ai laissé sous l’arbre. Elle avait presque terminé de manger quand peut-être son sens de toutou lui a dit que quelqu’un observait. Elle me levait les yeux passant sa langue partout sa bouche. Alors, elle gémissait et regardait en plusieurs directions. En vérifiant qu’il n’y avait personne autour de lui, elle continuait à engloutir. Le lendemain matin, j’ai porté ma poubelle pour la vider dans la décharge, une distance courte de ma maison. Blackie me suivait, sans un aboiement ou remuement de sa queue. À peine j’étais près de la poubelle qu’une douzaine ou plus de chiens dormants se levaient effarouchés. Plus tard j’ai compris de l’observation pure que cinq heures du matin était trop tôt pour les gens de Karaikal pour être hors du lit. À Pondichéry, on peut voir des femmes, aspergeant de l’eau et dessinant en face de leurs maisons bien avant l’aube et ceci elles faisaient cérémonieusement pour donner un grand de gala bienvenu au soleil levant. Mais à Karaikal, ces choses arrivent non auparavant sept heures du matin. Se coucher tôt et se lever tard, semble pour faire partie du credo. Ce n’était pas étonnant que les chiens aient vu dans moi un étranger flânant à cette heure inattendue. Ils commençaient à aboyer en chœur et étaient préparés peut-être à m’attaquer. Blackie grognait. 7 Dhal : C'est un ingrédient et aussi un plat : le plat est fait de " légumes secs ou lentilles " qui cuit longtemps. Ces légumes secs sont généralement fendus et décortiqués et cuits avec du beurre clarifié et des épices jusqu'à ce qu'ils forment un ragoût épais.
  • 19. 19 Un silence sépulcral et tous les chiens disparaissaient sans laisser de traces. En buvant à petits coups le thé avec Padma dans sa maison en cette soirée, je racontais comme Blackie m’a joué l’ange gardien. Je vous disais Professeur, vous savez qu’elle voit aimé, a dit Padma mettant l’accent sur le mot grossier avec les différents degrés de significations profondes. J’essayais de réprimer mon rire. En voyant ma lutte, Padma a fait irruption dans un éclat de rire et je pourrais voir que ses yeux ont brillé. « Vous savez, Blackie est très pieuse », a dit Padma dans une tentative de changer le sujet. Je lui demandais « Quoi? » parce que je ne pourrais pas résister à la tentation de s’enquérir sur le sujet. « Oui, Professeur. Elle prie tous les jours », elle a dit et après une pause ajoutait, « On doit le remarquer s’il faut l’en croire ». Je disais « Non, Padma! Blackie est d’une sorte différente, différente des autres chiens que je vois dans Nehru Nagar », exprimant avec jubilation ma découverte. Padma ajoutait que Nehru Nagar est infesté de chiens de la rue. Il est dangereux de sortir après la tombée de la nuit. « Infesté? Combien de chiens approximativement? » Je demandais comme la crainte a commencé à m’empoigner. Padma donnait la statistique qu’il y a six intersections dans Nehru Nagar….. Non moins de cent maisons dans chaque rue. Je suis sûr que chaque rue alimente vingt-cinq chiens en minimum. Je suggérais que « Pourquoi vous ne donniez pas de plainte aux autorités municipales? Les attrapeurs de chiens seraient ici, n’est-ce pas? ».
  • 20. 20 « Oh non! Les chiens sont les policiers réels de Nehru Nagar. Pas une tentative de vol était rapportée ici jusqu’à présent », a dit Padma avec beaucoup d’intérêt pour les chiens. À peu près une semaine ou plus tard, j’ai expérimenté la vérité dans ce que Padma avait dit. Je rentrais chez moi après avoir regardé un film d’horreur de fin de soirée dans le théâtre Shamina aux alentours de Nehru Nagar. Le temps était une heure après passé et j’étais à pied. Je traversais la première route principale et a pris la rue qui reliait toutes les six intersections. Quand j’ai atteint la troisième rue, un chien errant laisse échapper un hurlement à figer le sang. Et Dieu connaît d’où ils sont venus….. Ils sont arrivés dans un bataillon ce qui m’a fait à vous glacer le sang. Mon corps commençais à trembler comme le groupe de chiens aboyants est venu galopant vers moi. On m’a dit que la meilleure façon de faire face aux chiens était avec des pierres. Mais la sagesse m’a dit de rester inerte. Je n’étais pas sûr quelle partie de ma chère chair serait la mienne après que tout le monde avait sa part du butin. Blackie doit aussi avoir été là car j’entendais son grondement et tous les chiens comme si l’obéissant à l’ordre d’un capitaine remontait leurs pas, me laissant tranquille. J’ai poussé un gros soupir de soulagement. À partir de cette nuit, aucun chien n’osait d’aboyer à moi. J’estimais que j’étais spécial pour eux. L’observation de Blackie et ses activités devenait mon passe-temps. J’étais étonné par son talent pour le mimétisme. Chaque fois quand le laitier est venu à notre rue, elle imitait le son du klaxon aérien…pee…po…pee…po… La voix d’aucun colporteur n’a jamais posé aucun problème à Blackie. Elle était toujours aux talons de la pêcheuse qui portait un panier de poisson sur sa tête et quand elle a crié meenu…meenu8… Blackie aussi reproduisait la première syllabe du mot et l’étire au-delà de 8Meenu : Le cri de la pêcheuse
  • 21. 21 la mesure. En voyant sa bouche qui fonctionne aux directions différentes dans sa tentative de prononcer, la syllabe doit être vue plutôt de le décrire. La préférence de Blackie était un vendeur d’épinards. Il avait l’habitude de venir en poussant une carriole chargé de toutes sortes de légumes et des légumes de pays. Et elle a simplement répété les mots, bien sûr dans son accent de toutou, quand il criait kerrai...kerrai9. Et un dimanche, quand je me détendais chez moi dans un fauteuil étendu sur faire tapisserie et lisais un livre excellent sur des animaux intitulés « Wonderful People » par Dr.Howl L.Barker, l’invitation à la prière d’une mosquée voisine a rompu le silence. Blackie imitait la voix du muezzin10 dans la manière qu’il était prononcé. D’abord, j’ai pensé que c’était un enfant essayant d’imiter le muezzin. Je suis sorti précipitamment pour réprimander l’enfant. À ma grande surprise, je voyais Blackie debout sur ses jambes de derrière et répétait la voix de la mosquée. « Je t’ai dit, tu sais! Blackie est une chienne très pieuse », a dit Padma, étant debout et observant Blackie prie, « Soyez cela le cliquetis se tintant de cloches du temple, ou le gong de l’église ou l’appel de la prière de la mosquée que Blackie imite et c’est sa prière ». Les mots de Padma m’ont fait penser hautement respecté de Blackie pour ce que la chienne sait de la religion et pense que toutes les religions sont mêmes et qu’il y existe seulement un Dieu pour l’univers entier. Mon quota de nourriture pour Blackie a augmenté. J’étais sûr que j’avais déçu Blackie pour presque quatre semaines alors que j’étais en voyage à Pondichéry s’amusant des vacances après des examens de semestre. À la tombée du jour en Vendredi, j’ai l’habitude d’emballer mon sac à bandoulière et j’irai à l’arrêt de bus de Nehru Nagar pour attraper un bus à Pondichéry. De tels jours, Blackie 9Keerai : Le cri d’un vendeur d’épinards. 10Muezzin : Un muezzin est la personne désignée dans une mosquée, qui récite l'appel aux musulmans du minaret d'une mosquée pour la prière, qui a lieu cinq fois par jour.
  • 22. 22 était mécontente et exprimait sa déception en roulant sur son dos dans la rue comme un enfant inflexible et gémissait avant que je n’aie disparu de sa vue. Lorsqu’elle m’a aperçue le lundi matin, elle exprimait sa joie en courant ici et là dans la rue en ne se souciant pas des motos. Je remontais à Nehru Nagar, après les vacances. Je n’ai trouvé aucun chien…… pas un seul chien. Où sont-ils tous partis? Il n’y avait personne dans la rue pour répondre à ma question. Et ensuite, j’ai aussi oublié tous des chiens. Trois jours plus tard, quand je revenais de la maison d’un collègue dans la sixième rue, je trouvais une chienne qui était allongée près du coin de la rue dans la position se couchait en ronde. C’était Blackie. « Salut Blackie! Je me suis bien contente de te revoir », je disais et déplaçais vers la chienne. Elle a regardé gravement d’un côté à l’autre pour un instant et ensuite baissant son menton sur sa patte et fermait ses yeux avec un grogne de mécontentement. Ne désirant pas la laisser à une telle condition, je me suis baissé, et donnais un coup de patte sa tête et a dit dans un ton cajolant « Allez Blackie! J’ai la nourriture pour toi… » Blackie montait à ses talons avec un début, grognait et m’exposait ses dents et a menacé de déchirer ma chair. Nerveusement, je reculais dans la peur. Blackie grognait encore une fois et aussi rapide qu’avant. Tout est resté un mystère à moi jusqu’à Padma venait chez moi avec des sucreries et des goûters indiens qu’elle avait apportés de sa belle-famille à Kerala. Padma parlait en détail de combien elle manquait ma compagnie et quel un appel urgent de Kerala a lui fait transporter d’urgence à cet endroit il y a quelques jours.
  • 23. 23 « Oh Mon Dieu! Quel voyage assommant! Je suis fatigué », a dit Padma parmi un accès de souffler comme un bœuf. Je me souvenais de chiens dans Nehru Nagar. Je lui demandais ce qui leur était arrivé. « Un accès de colère… Le président de l’Association des Propriétaires de Nehru Nagar se plaignait aux autorités municipales. Les attrapeurs de chiens faisaient leur travail très bien et emportaient tous les chiens », Padma disait d’une voix morne. Elle frémissait mais détournait les yeux. Je disais, « Mais je voyais Blackie depuis il y a quelques jours ». Padma restait silencieuse un instant. Je voyais une goutte de larme ou deux dégoulinait de ses yeux. « Ils venaient dans trois camionnettes… Ces attrapeurs de chiens », Padma commençait. « Ils garaient leurs véhicules dans trois coins différents de Nehru Nagar. Et plusieurs hommes, tout kaki vêtu11, plongeaient dans action. Pendant toute la journée, Nehru Nagar était en réverbérant avec des glapissements et les gémissements de chiens. Je voyais aussi notre Blackie à l’intérieur de la fourgonnette qui était garée sous l’ombrage d’un arbre devant votre maison ». Padma a fait une pause. J’interrompais, « Vous avez soudoyé l’attrapeur de chien et avait sorti Blackie, n’est-ce pas? ». Elle répondait, « Non, Professeur ». C’est la partie intéressante de l’histoire. Juste avant le coucher de soleil, il y avait un appel de la prière de la mosquée. Blackie a été debout sur ses jambes de derrière, ont fait se rencontrer ses pattes de devant et a imité la voix du muezzin dans son accent de toutou. « Mon Dieu! Et ensuite? ». Je serais curieux de savoir. 11Kaki vêtu : Le kaki est une nuance légère de couleur jaune-brun, qui a été utilisée par de nombreuses armées dans le monde entier pour les uniformes, y compris le camouflage. Il a été utilisé comme nom de couleur en anglais depuis 1848, lorsqu'il a été introduit pour la première fois comme uniforme militaire.
  • 24. 24 « Et ensuite… le chauffeur admirant la piété de Blackie disait l’un des attrapeurs de la retirer et la libérer. L’attrapeur était très content avec les faits et les gestes de la chienne et lui permit de vivre longtemps. Et c’est ainsi qu’elle est ici, tandis que tous ses amis et ses partenaires auraient atteint le Paradis à ce moment-là », Padma répondait. Alors elle continuait: « Mais Blackie est le bois mort maintenant. On me dit qu’elle refuse de manger… toujours la pensée de ses compagnons perdus. Maintenant, elle est différente Blackie ». « Elle est toujours différente », j’ai dit en supprimant une larme menaçant de déborder. ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
  • 25. 25 LE MEILLEUR POUR L’OCCASION Le petit Auro a ri sottement. Il essayait de supprimer le fou rire, mais avait éclaté de rire et ainsi attirait l’attention de sa mère. La mère d’Auro, a enchanté d’une peinture dans la galerie d’art, était sur le point de décoller sur les parties qui n’ont pas vu de poésie, quand le rire berçant de son fils l’a retirée. Elle a regardé son garçon anguleux de dix ans. Elle n’a pas vu qu’il rit comme ça pendant très longtemps. D’abord, elle a couru partout ses yeux pour localiser la cible du rire du garçon. Elle a échoué. En souriant, elle a demandé, « Qu'est-ce que c’est, Auro? ». Sa voix fragile peut-être était noyée dans le bruit du rire du garçon. Il semble qu’il n’y ait pas remarqué l’anxiété de sa mère. Ses yeux maternels n’échouaient pas à faire attention au changement du visage du garçon. En moins de trois ans, quand elle était à Trivandrum pour assister un mariage d’un ami, elle saisissait quelques heures de son calendrier serré d’aller d’un zoo pour faire plaisir à l’enfant. En tenant sa main, Auro déplaçait d’une cage à l’autre observant des oiseaux et les animaux qu’il avait vu seulement dans la chaîne de la télé s’appelle « Animal Planet », qui est un parmi peu de chaînes, il était permis de regarder après ses heures de cours. Il a pu identifier plusieurs créatures de Dieu et les nommer aussi. La mère savante d’Auro regardait fièrement son fils à de tels temps et souriait à elle. Il avait le temps l’amusement avec presque chaque habitant des cages différentes. Mais la couleur de son visage changé tout à coup quand ils atteignaient une cage différemment construite qui est ouverte au ciel. Les yeux d’Auro cherchaient désespérément pour cet habitant de cage, mais ne pouvaient découvrir d’aucune créature, sauf quelques de corneilles perdu picotant aux restes et croassement pour exprimer leur satisfaction.
  • 26. 26 Auro regardait d’un air interrogateur sa mère qui était aussi ignorante. Quand ils étaient sur le point de déplacer vers la cage suivante, un animal émergeait d’une piscine artificielle dont l’eau a semblé qu’il était d’Aegean Stable. Lisse, brillant et doux sa peau comme si soigneusement rasé par un coiffeur qualifié. Pas une goutte d’eau a réussi à trouver l’abri sur son énorme, corps laid et déformé. C’était l’hippopotame. Son visage drôle attirait le garçon et il riait tout haut autant qu’il veut. Peut-être attiré par le rire innocent de l’enfant, l’animal se promenait vers lui. Alors, il tournait de côté et exposait son corps brillant. L’enfant s’arrêtait de rire. La curiosité l’avait poussé pour regarder de plus près à l’animal. L’animal commençait à remuer sa queue drôlement courte rassemblant l’élan plus grand qui a fait chaque spectateur à imaginer qu’il allait gaspiller et s’échapper. Alors tout à coup, le bout de la queue et a regardé le ciel et est devenu immobile. Le ventre énorme de l’animal a cédé pendant une seconde ou deux et ensuite il a laissé sortir un long pet12. Plusieurs personnes ont ri à gorge déployée. Quelques-uns s’accrochaient leur nez fermé fort de deux leurs doigts et s’éloignaient en dégoût. La mère d’Auro souriait aussi tandis que le garçon commençait à rire continuellement jusqu’à la couleur de son visage changeait et il a commencé à tousser sans cesse avant qu’il ait défailli. Elle ne voulait pas que cela se reproduise car elle ne pouvait pas se permettre de subir ce trauma encore une fois. Et alors à l’intérieur de la galerie d’art, elle secouait Auro par son épaule. « Arrête Auro! Qu’est-ce que c’est cette fois? ». Elle demandait d’une voix sévère. Le rire d’Auro commençait à diminuer et finalement il montrait l’artiste étant debout dans un coin de la galerie et du briefing d’un auditeur curieux de sa peinture récente qu’il avait exposé pour la vente. 12Pet : Une émission de gaz de l’intestin à travers l’anus.
  • 27. 27 Elle regardait l’artiste. Sa chemise était sans manches et semblait les manches étaient déchirées par la force de son corps principal. Son short de marque avait deux trous assez grands pour n’importe quelle souris adulte pour entrer par un et sortir de l’autre. Sa chemise s’entendait à peine sa hanche a semblé qu’il portait son petit frère. Elle demandait « Chatouille-t-il au rire? ». Un sourire traversait son visage. Auro hochait la tête. Il était sûr que sa maman n’a pas aimé la façon qu’il riait. « Il passerait facilement pour un mendiant à d’autres. Mais à moi il est une figure comique », il a dit. Elle dévisageait Auro dans le blanc des yeux. « Regarde Auro ! Il est un peintre célèbre et… » « Et alors? » Auro l’interrompait et disait, « J’ai vu des courts-métrages sur des artistes et des peintres sur les chaînes History et Discovery. Chaque grand peintre italien, comme son homologue dans les autres parties du globe, est bien habillé. Mais est-ce que cet homme est si pauvre qu’il peut s’habiller si pauvrement? ». « Écoute Auro! Les peintres et les artistes rarement se soucient de leur apparence extérieure », elle a dit avec brusquerie et avant qu’elle puisse continuer à parler en faveur d’eux, l’attention d’Auro a été détournée. Ses yeux erraient vers la direction qui attirait l’attention de son fils. Une femme d’âge moyen entrait là dans la manière peu habillée. Elle exposait ses cadeaux de Dieu en toutes places possibles de son anatomie. En traversant la salle, s’écrira-t- elle: « Salut, tout le monde ! Je suis Udhpa Dupha, le peintre célèbre du Sri Lanka. Vingt-cinq des soixante peintures exposées dans cette galerie d’art sont les miennes. J’espère que vous les aimez bien. N’oubliez pas d’inscrire vos commentaires dans le carnet au comptoir, s’il vous plaît ». Pendant qu’elle se déplaçait les cœurs des jeunes gens y rassemblaient ont pendillé à l’air de ses poitrines de danse.
  • 28. 28 Auro a fait la moue de sa lèvre inférieure et montrait son mépris pour elle. « Vous n’avez pas envie de rire de sa robe, maman? ». « Écoute Auro! Tu n’as pas vu l’image d’Einstein, le grand scientifique? Il n’avait jamais peigné ses cheveux hirsutes. Vous n’avez pas vu les photos de Mahatma Gandhi? ». Est-il s’est habillé de la tête aux pieds? Je te disais une demi-douzaine de fois que les grands hommes et des femmes se soucient rarement de leur apparence physique. Ils ont une sorte spéciale de fait d’être impressionnants, résultant de la combinaison de grande intelligence avec la simplicité enfantine. Ainsi, arrête de rire d’eux et essaye d’apprécier leur travaux durs qui entrait en fabriquant ces peintures belles, magnifiques et charismatiques. Apprends à apprécier d’autres. Tu as aussi ensaché des prix en concours de peinture. Si tu développes cet art, un jour tu seras un bon peintre comme ces gens qui avaient rejoint leurs efforts ici, pour exhiber leurs talents. Auro tournait sa tête de sa mère et marmonnait: « Est-ce que vous n’êtes pas un écrivain? ». « Oui! Bien sûr, je suis! » Elle répondait en fierté et regardait avec curiosité son fils. Elle n’était pas sûre de la question suivante son fils intelligent était sur le point de tirer à elle. « Mais, maman! » continuait Auro, « Je n’ai jamais vu que vous vous êtes habillés dans la façon dont ils font ». Ses mots l’ont fait taire pendant une minute. Pourtant elle doit se dégager de la situation. « Mais je suis un professeur aussi! Vous savez Auro, je dois faire face à plusieurs étudiants dans des salles de classe tous les jours. Et ils sont surtout des garçons ». « Et alors? » Auro semblait arrogant. « Que voulez-vous dire ‘et alors’? » Elle était également arrogante. « Maman, Vous m’aviez dit que les peintres et des artistes ne se soucient pas de l’apparence extérieure ». Auro semblait poli. « Oui! Je t’avais dit ». Elle était également polie.
  • 29. 29 En trouvant que sa mère se calmait, Auro a tiré sur sa question suivante. « Les auteurs comme vous appartiennent à cette catégorie ou non? Ne dites pas ‘Non’ la maman! Si les peintres utilisent le pinceau, vous les écrivains utilisent le stylo pour peindre des images en mots ». Elle a pensé pour un instant car elle ne pourrait pas deviner jusqu’à ce qui était son fils. Elle commençait à utiliser des mots prudemment. « Oui! Ils font, pourvu qu’ils soient des écrivains à plein temps; et à condition qu’ils ne soient pas des professeurs à une école ou à une université ». « Maman, Que tourne mal s’ils appartiennent à un? » « Hm… Voyez Auro! » Elle commençait de fouiller pour une réponse mais finalement géré avec une. Elle disait, « Une enseignante est considéré comme un modèle à être suivi par l’enseigné. Les peintres et les artistes et des écrivains sont d’un modèle différent. Plus célèbre ils deviennent, plus excentrique ils sont. L’excentricité ajoute le charme à leur personnalité. Et ils ne craignent pas d’opinion publique. Ceci ne peut pas se tenir vrai pour les gens dans la profession enseignante. J’espère que vous comprenez ». Elle déplaçait vers une cafétéria voisine avec l’intention d’éviter ses nouvelles questions et commandait la glace au chocolat à faire taire le garçon curieux. Il était neuf heures passé quand la mère et le fils arrivaient à la maison. Sur le chemin du retour, ils se sont arrêtés à un restaurant chinois et avaient leurs nouilles de poulet favorites et d’œufs de poisson pour le dîner. Auro n’a jamais su ce qu’était la faim. Et sa mère n’a jamais rechigné à ouvrir son portefeuille pour lui. Elle disait, « Auro change ta tenue et va te coucher », en ouvrant sa garde-robe pour retirer une chemise de nuit pour elle.
  • 30. 30 Pendant qu’elle sorte de la chambre, elle voyait Auro habillé dans son mieux. Pour une seconde, elle ne pourrait pas croire ses yeux. Il a semblé qu’il était sur le point d’avancer à une estrade pour recevoir une récompense internationale. « Tu es magnifique » Auro! Mais pourquoi ce vêtement à cette heure? Vous pouvez le porter quand vous m’accompagnez à l’exposition de peinture prochaine ou à l’occasion de la publication de livre. Auro a fait hi-han et puis a dit, « J’ai les meilleurs vêtements pour de telles occasions ». « Quoi? Vous voulez dire que vous avez de meilleurs vêtements que ceci? Elle lui lançait un regard soupçonneux. « Hmm… Certainement le meilleur pour de telles occasions », Auro confirmait et montrait le paquet de vêtements empilé dans un coin de la chambre. Pourtant ils devaient être rejetés. Ils étaient les vieux vêtements d’Auro, surtout usés par des années et déchirés ou se montrant aux coutures. Il était devenu trop grand pour eux tous. « Je passerai pour un jeune peintre célèbre, maman! » Auro a dit avec un sourire. Sa mère n’avait aucune autre façon que de sourire d’un air penaud. ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
  • 31. 31 COMMENTAIRE La traduction est le fait d’interpréter le sens d’un texte dans une langue (« langue source », ou « langue de départ »), et de produire un texte ayant un sens et un effet équivalent sur un lecteur ayant une langue et une culture différente (« langue cible », ou « langue d’arrivée »). Jusqu’ici, la traduction est restée une activité essentiellement humaine. Le but de la traduction est d’établir une équivalence entre le texte de la langue source et celui de la langue cible (c’est-à-dire faire en sorte que les deux textes signifient la même chose), tout en tenant compte d’un certain nombre de contraintes (contexte, grammaire, etc.), afin de le rendre compréhensible pour des personnes n’ayant pas de connaissance de la langue source et n’ayant pas la même culture ou le même bagage de connaissance. La traduction est vue comme un acte fondamental d’échange humain. Elle joue un rôle important dans le monde d’aujourd’hui caractérisé par la globalisation. Pour traduire, il ne suffit pas de maîtriser la langue source. Il est nécessaire également et surtout de maîtriser la langue cible, qui est généralement la langue maternelle. Le traducteur possède plus que des compétences linguistiques : il a quelque chose de l’écrivain, du journaliste, etc. Le processus de traduction consiste de trois phases successives : 1. Compréhension : assimilation du sens véhiculé par un texte, du vouloir dire d’un auteur… ;
  • 32. 32 2. Déverbalisation : oubli des mots et conservation du sens ; Opération par laquelle un sujet prend conscience du sens d’un message en perdant conscience des mots et des phrases qui lui ont donnée corps. 3. Réexpression : reformulation d’un vouloir dire en langue cible. La traduction est la reformulation d’un code linguistique ou d’un message d’une langue en une autre, c’est-à-dire, de la langue de départ vers la langue d’arrivée. Dans l’œuvre, Stylistique Comparée du Français et de l’Anglais, J.P. Vinay et J. Darbelnet proposent sept procèdes de traduction, quand ils parlent à propos de l’analyse stylistique de la traduction. Ce sont :  L’Emprunt  Le Calque  La Traduction Littérale  La Transposition  La Modulation  L’Equivalence  L’Adaptation
  • 33. 33 L’EMPRUNT L’emprunt est utilisé pour introduire une couleur locale, on se servira de termes étrangers. L’emprunt consiste à incorporer un élément d’une langue à l’autre. Il sert à combler une lacune dans la langue d’arrivée. L’emprunt peut constituer, également, dans certains cas, un pur snobisme. Exemples :  Thanks are owed to the unbearable khatri veyil and the mind-boggling… (Annexe i) Merci à l’intolérable khatri veyil et la solitude extraordinaire… (Page 2)  A dhoti as white as yellow healthy teeth... (Annexe iv) Un dhotî aussi blanc que des dents saines… (Page 6)  …he said showing all his teeth that have gone brown owing to intensive pan chewing. (Annexe vi) …il disait en montrant de toutes ses dents qui sont parties le brun en raison du mâchement intensif du pan. (Page 8)  …a basketful of fish on her head and whenever she cried meenu…meenu… (Annexe xiv) …un panier de poisson sur sa tête et quand elle a crié meenu…meenu… (Page 18)  And when he cried keerai…keerai, she simply repeated the words, of course, in her doggy accent. (Annexe xiv) Et elle a simplement répété les mots, bien sûr dans son accent de toutou, quand il criait kerrai...kerrai (Page 19)
  • 34. 34 LE CALQUE Le calque est un emprunt d’un genre particulier. On emprunte à la langue étrangère le syntagme, mais on traduit littéralement les éléments qui le composent. Exemples :  The bitch that so far maintained a yogic silence began… (Annexe x) La chienne qui avait jusqu’ici maintenu un silence yogi… (Page 13)  …I brought food out of my house on a leaf plate. (Annexe x) …J’apportais la nourriture de la maison sur une assiette de feuille. (Page 14)  A sepulchral silence and all the dogs… (Annexe xii) Un silence sépulcral et tous les chiens… (Page 17) LA TRADUCTION LITTÉRALE La traduction littérale ou mot à mot désigne le passage D’arrivée à Langue de Départ aboutissant à un texte à la fois correcte et idiomatique sans que le traducteur ait eu à se soucier d’autre chose que des servitudes linguistiques. Exemples :  It is not that I am a stranger to museums. (Annexe i) Ce n’est pas que je suis un étranger aux musées. (Page 2)
  • 35. 35  I learnt my lessons from the sword. (Annexe iii) J’apprenais mes leçons de l’épée. (Page 5)  “Aren’t you married?” (Annexe ix) « N’êtes-vous pas mariés? » (Page 12)  His shirt was sleeveless… (Annexe xviii) Sa chemise était sans manches… (Page 25)  “Yes! I did.” She was equally polite. (Annexe xix) « Oui! Je t’avais dit ». Elle était également polie. (Page 26) LA TRANSPOSITION La transposition est un procédé qui consiste à remplacer une partie du discours par une autre, sans changer le sens du message. Exemples :  The cooker from her kitchen whistled. (Annexe ix) La cocotte-minute a donné un coup de sifflet de sa cuisine. (Page 13)  She looked suspiciously at me. (Annexe xi) Elle me regardait avec soupçon. (Page 15)  There entered a middle-aged woman sparsely dressed. (Annexe xviii) Une femme d’âge moyen entrait là dans la manière peu habillée. (Page 25)
  • 36. 36 LA MODULATION La modulation est une variation dans le message, obtenue en changeant de point de vue. Celui-ci au niveau du mot de l’expression ou de l’énoncé. Exemples :  I have never visited one before in my two score and twelve years of my sojourn on Planet Earth. (Annexe i) Je n’en ai jamais visité un avant dans le 52 ans de mon séjour dans ce monde. (Page 2)  “This fellow for whom I made this pousse-pousse was a woman-eater”. (Annexe v) « Ce camarade pour que j’aie fait ce pousse-pousse était un coureur de jupons ». (Page 7)  Perhaps his wife was not tasty? (Annexe v) Peut-être sa femme n’était pas sexy? (Page 8) L’EQUIVALENCE L’équivalence est un procédé qui consiste à rendre compte de la même situation que dans le texte originale en ayant recours à une rédaction entièrement différente. Exemples :  Somebody’s minus is somebody else’s plus. (Annexe iii) Les inconvénients l’emportent largement sur les avantages éventuels. (Page 4)
  • 37. 37  …by rolling over on its back on the street... (Annexe xv) …en roulant sur son dos dans la rue… (Page 20)  …She expressed her joy by running hither and thither on the street…( Annexe xv) …Elle exprimait sa joie en courant ici et là dans la rue… (Page 20)  Barking dogs seldom bite, they say. (Annexe viii) Ils disent, Le chien qui aboie ne mord pas. (Page 11) L’ADAPTATION L’adaptation s’applique à laquelle le message se réfère n’existe pas dans Langue d’Arrivée et doit être crée par rapport à une rédaction entièrement différente. Exemples :  The pousse-pousse pusher… (Annexe vii) Le pousseur du pousse-pousse… (Page 10)  …le klaxon aérien attachait au guidon de sa bicyclette. (Annexe viii) …the air-horn attached to the handlebar of his bicycle. (Page 11)  “I told you, you know, Professor! She loves you,” Padma said with a stress on the four- letter word with layers and layers of meanings. (Annexe xii) Je vous disais Professeur, vous savez qu'elle voit aimé, a dit Padma mettant l’accent sur le mot grossier avec les différents degrés de significations profondes. (Page 17) ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
  • 38. 38 CONCLUSION Pour résumer, nous avons tout d’abord fait la traduction d’une série de nouvelles qui est regroupée sous le titre : « The Black Bitch and Other Stories », qui est un recueil de vingt- trois nouvelles. Ensuite, nous avons procédé à une analyse stylistique de la traduction en utilisant les procédés de J.P Vinay et J. Darbelnet. Nous avons rencontré plusieurs obstacles lors du processus de traduction auxquels nous avons pu trouver des remèdes. Bien que toutes les histoires paraissent être construites d'une langue des phrases simples, ce travail présente un kaléidoscope de curiosités et d'impressions étranges que P. Raja a observées et ressenties. Il façonne ses histoires de telle sorte que la vie apparaît dans ses nouvelles dans toute son immensité et son mystère. Il écrit sans trace de fausse modestie. Il est vrai que notre vie quotidienne est surtout un mélange de routine terne et de surprises désagréables. Cependant, de temps en temps, quelque chose d'inattendu se produit, ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. Il habite un cosmos très familier et ses histoires bouillonnent presque toujours d'un courant socio-culturel sous-jacent. Il pense toujours aux gens et aux lieux qui lui sont familiers parce que c'est sa propre base d'expérience. Ce travail de traduction était une tâche dure, mais il m'a aidé à approfondir mes connaissances de la langue française et m'a poussé à faire les liens entre les esprits des deux langues (française et anglaise). L’analyse stylistique faite de la traduction à partir des procédés de J.P Vinay et J. Darbelnet ont permis de faire prendre conscience que toute traduction aura forcément fait l’usage de quelques-uns de ces procédés soit par l’acte délibéré du traducteur ou instinctivement. J’ai entrepris ce projet comme un moyen d’appliquer, de réviser et de pratiquer toutes les théories et les techniques que j’ai apprises au cours de mon M.A. French.
  • 39. 39 BIBLIOGRAPHIE RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES  Vinay J.P. et Darbelnet. J; « La Stylistique comparée du Français et de l’Anglais », Paris : Didier, 1977.  Chuquet Hélène et Paillard Michel. « Approche linguistique des problèmes de traduction Anglais-Français ». Paris : Ophrys, 1989.  Guillemin-Flescher Jacqueline, « Syntaxe comparée du Français et de l’Anglais ». Paris : Ophrys, 1986. DICTIONNAIRES  Dictionnaire Le Robert & Collins Senior, Français-Anglais, Anglais- Français, 2011.  Dictionnaire Harrap’s Shorter Anglais - Français et Français - Anglais, Chambers Harrap’s Publishers Ltd, 2009.  Dictionnaire Le Grand Robert De La Langue Française Version numérique, 2014. SITOGRAPHIES www.reverso.net/ www.larousse.fr/dictionnaires/bilingues www.wordreference.com www.linguee.com www.synonymes.com
  • 40. 40 POUSSE-POUSSE A lonely sultry afternoon drove me into the museum. I have never visited one before in my two score and twelve years of my sojourn on Planet Earth. It is not that I am a stranger to museums. I had spent several precious hours inside the museums of Chennai, Kolkata, and Trivandrum not with any purpose of gathering historical knowledge but with the ulterior motive of whiling away the time. I had the opportunity of stating in these places at the expense of the academies that sponsored my trip as a writer. Most of these sessions unfortunately fell in summer and summer is summer wherever we are in India, unless we reach heights. I found not much difference between one museum and the other for they invariably spoke in silence for the glory of our past. Cultural heritage, spiritual heritage, literary heritage, historical heritage, political heritage and God knows what the other heritage do these places of interest display for their interested, disinterested and uninterested visitors. Most of the rooms in these museums stink of bat turd, the only thing not known of in history books. I have seen several people throw up in such rooms and thereby create a mess of that place preventing others from entry. These purported to be well maintained, but, in fact, ill-maintained museums in spite of all the inconveniences they are capable of, certainly served as a hiding place from the wrath of the world old Sun. Where else can one find a cooler place when the whole world outside radiates heat? Thanks are owed to the unbearable khatri veyil and the mind-boggling loneliness, both of which are capable of driving anyone to the edge of madness. But for these two reasons I would not have ventured into the Pondicherry museum, whose incumbents mostly preserved in showcases, are bound to uninterest me like any dull subject, say, algebra or trigonometry. I never knew that I would be lonely inside the museum too. I found the curator sleeping in his chair with his short and sturdy legs resting criss-cross on the table in front, with a few registers piled up on it. My presence did not disturb him, though it pulled an elderly lady on the verge of retirement out from a nearby room. She simply raised her eyebrows at me, perhaps signalling me to answer her unasked question about the purpose of my visit. “I would like to see the museum,” I said, “Where should I buy the entrance ticket from?”
  • 41. 41 “There is no such thing here. Simply enter your name and address in the register on that table and go anywhere you like. We close at six sharp in the evening. And don’t get lost,” said the lady. “You mean you’ll lock me in if I don’t get out in time?” “Of course... you can’t expect me to go from room to room and drive out our visitors. By 5.50 we ring a bell which is only an indication that you should quit the museum. And museum, as you know, is not a good place to spend the night.” I shrugged my shoulders in sheer fear for I believe in ghosts and I am sure museums are the best haunting places for ghosts and ghouls. “You don’t expect visitors at this hour?” I asked. “This is no tourist season. Museums are no locals’ paradise. Perhaps you are the first and last visitor for this afternoon session,” said the lady and disappeared into the room wherefrom she emerged. While I wrote my name in the entry register, the curator half-opened his eyes and looked at me in a daze. He then quickly closed his eyes and rushed backed to his dreamland. The first room displayed weapons of warfare that in any other museum would have remained untouchables. But here they were lying on the floor with a cautionary placard announcing ‘Do not step on these’. It is, of course, risky to step on them for many of them for want of proper care have rusted, and if we stump our toes on them, we are sure to die of tetanus. My eyes rowed from one weapon to the other till they stood riveted to a sword and a shield. They looked similar to the ones I saw in Trivandrum. And to compare notes would be futile for there are people who safeguard our heritage and there are people who consider that as a big bother. Somebody’s minus is somebody else’s plus. I felt an instant urge to hold the sword in one hand and the shield in the other and sincerely hoped that their very presence in my hands would make me warrior and catapult me to a bygone era. I bent down to pick up the sword first. Desiring to swish it in different directions, I grasped at its hilt. But it was so sturdy and heavy that it refused to budge. I then pressed both my hands into action. The sword showed signs of yielding to my temptation. Huff...huff...puff...huff...yeah! I was lifting the sword... I was lifting the sword...but to what extent? I managed it up to my knee and that too with great difficulty. Then I gave up, My back began to ache. I could not hold it further and the sword was back to its place. Great hopes! What a fool am I to lift the sword over my head?
  • 42. 42 I learnt my lessons from the sword. The shield, as big as the shell of giant tortoise, really scared the shit out of me. Oh, God! Had I tried with it first, things would have become different. With dislocated shoulder joints I would be resting in a hospital. That set the ball rolling. I can’t even lift the sword. And to heave the shield is out of question. But how did my ancestors in Pondicherry manage this sort of acrobatics? My God! What sort of giants were they? The very idea of their strength kept me flabbergasted for long till I entered the next room exhibiting the vehicles used by the French and the Indians in Pondicherry a century or two ago. That big and palatial hall was cooler and so heart-warming. I felt like sitting in one of the vehicles and enjoy a siesta. I moved from a thookku to a pallakku, very much in use among the moneyed people of Pondicherry and then to a huge palanquin. I was all the time wondering what great beauties would have travelled in such vehicles and what sturdy musclemen would have prided themselves on carrying them on their rocking shoulders. Next to the huge palanquin stood a real eye-catcher. It was a vehicle with three wheels – two big ones at the back supporting a single seater and a small one in the front with a steering rod attached to it. Its long handle protruded backwards to the seat so that the occupier could direct the movement of the vehicle and handle it with ease. At first, I wondered if it was a cart pulled by animals. But there was no sign of yoke. Then I thought of it differently. But I found no pedal or chain anywhere in the vehicle. My thoughts went weird. And I could not arrive at any decision about the vehicle. But the urge to sit in it began to overwhelm me. I touched the seat. It was made of wood, very solid and strong. Using both the hands I shook the vehicle to know how rickety it has become. Age did not wither it. I climbed on to it and sat snugly on the wooden seat held the long steering rod in my right hand and turned it to the left. The front wheel turned to its left with a screech. “Who is it?” came a gruff voice. I was about to jump out of the vehicle for fear that I would be fined for not following the rules of the museum. But before I could do that, a lean man of medium build stood in front of me from nowhere. His appearance and his apparel looked quite strange to me, for the like of him I had seen only in Pondicherry government calendars. He sported a fully-grown moustache as black as the black dye, both sides twirled up and the stubble on his cheeks and chin told me that he had not shaven for the last few days. He had a lush growth of hair on his head all cleanly oiled and
  • 43. 43 combed and rolled into a bun and looked like a brown horn on the left side of his head. He was hairy all over his body. A dhoti as white as healthy teeth worn differently like a loin-cloth exposed his sturdy thighs and legs. He had sash that ran across his torso like a broad belt. But it rarely covered his hairy chest and back. Both his wrists had bracelets made of silver. He wore silver anklets studded with rubies. He looked at me as if I were from another world. The stranger really gave a jolt to my sleep that was trying to hug me. Petrified I asked him, “Who are you?” “Don’t repeat me.... Answer me,” came the curt reply. “I...I...I am a visitor.” My voice shivered. “How dare you sit in this pousse-pousse used by Monsieur Pierre?” “Pousse-pousse?” “Yes! In French it is pousse-pousse and in English it means ‘push-push’.” He replied. I found an answer to my tormenting question. So, the vehicle was pushed from behind and the man who took the seat steered its direction, applied break when necessary and so on and so forth. My face brightened up. “And who is Monsieur Pierre?” I asked without any hesitation. “He was a secretary to the French government in Pondicherry. He used this pousse- pousse till he breathed his last,” said the unidentified man. “And who are you?” I asked. “A blacksmith who gave life to the dreamy design of Monsieur Pierre,” he said with pride-filled face. He then attracted my attention to the golden ear studs that adorned his earlobes and said, “Monsieur Pierre awarded me with these...a magnanimous Frenchman.” My curiosity-filled eyes perhaps probed into his past. “This fellow for whom I made this pousse-pousse was a woman-eater,” he began with a wink. He heaved a sigh, God knows for what reason, and then continued: “He liked the local brown beauties and they too liked him for his white skin.” “He was not married perhaps?” I interrupted, my cultural doubt having raised its head. “Well! Of course he was married. His wife was a real beauty. I saw her only once when he invited me home to show me his pencil sketch of a vehicle he had drawn out of his imagination and asked me to design it with iron and wood,” he replied. “Why then did he take a liking for local brown beauties? Perhaps his wife was not tasty?” I reciprocated with a wink. “Don’t betray your poor knowledge about the French,” he reprimanded me and added, “Frenchmen are real gluttons when it comes to wine, women and food. Their women too had
  • 44. 44 their own clandestine ways. It was this white people’s insatiable lust for the warmth of human bodies that had created Creoles in Pondicherry.” I stood spell-bound. He continued. “This vehicle was made to order. When I was giving final touches to this vehicle, Pierre came to my smithy and said, ‘You have created a palanquin on wheels. You may get many more such orders. Some intelligent fellow will one day improve upon my design and advise you to make a beautifully improved version of my pousse-pousse’.” “The vehicle was pushed from behind?” I wanted to confirm. “Of course! That is why it is named pousse-pousse. The man behind would push the vehicle forward, then gather speed and run pushing it as fast as he could shouting at intervals’ pousse-pousse, pousse-pousse’, thereby warning the people on the path to move aside,” he said daubing the hem of his sash against his face. “Coming to the most interesting part of the story,” he said showing all his teeth that have gone brown owing to intensive pan chewing, “Pierre had fear of the public opinion and feared his wife too. I was told he had a shrew for his wife. Yet he never resisted the temptation of visiting his beloved brownies. And that is why Pierre designed his own vehicle so as not to get noticed in public.” “He could have very well used a palanquin that was in vogue during his days in Pondicherry,” I said to show off my knowledge of local history. “Don’t be stupid,” he reprimanded, “Pierre was no nitwit. The Government higher-ups on official trips used palanquins. The other palanquin users were mostly women. And so Pierre wanted a vehicle for himself.” “He could have been easily identified,” I said to snub the blacksmith. “I told you that Pierre was not stupid as you are. He lived at a time when street lamps were not even heard of. People rarely stirred put of their houses after the sunset; and, on unavoidable circumstances, they carried a hurricane lamp in hand to save themselves from the ditches on their path. And Pierre chose the nights to visit his mistresses.” “Quite interesting!” I said in all jubilance. “I’ll tell you something more interesting,” said he. I looked at him like a child with my mouth wide agape. “Pierre moved out of his house under the pretext of going to his office to look into the urgent files. He returned home very late and thereby kept his green-eyed wife away from suspicion. Pierre parked his vehicle in some darker corner amidst bushy trees and allowed his pusher to sit in the pousse-pousse and sleep comfortably till he returned. This way Pierre had his fill arousing no suspicion in his wife,” he said laughing most of the time.
  • 45. 45 I too had my laugh. Amidst my laughter, I asked him, “But why did you choose to tell me your story?” “Pierre’s story,” he corrected. “Yes! Yes! Pierre’s story ...But why me of all people?” The blacksmith laughed like a shower of granites unloaded from a tilting truck. His voice faded as he began to vanish. Gr...r...r... It was the warning bell. I woke up with a start. I must hurry up before the museum keeper locks me in. I jumped out of the pousse-pousse as I cursed myself for not having asked the final question: “Was not Madame Pierre clever enough to find out her husband’s destinations from the pousse-pousse pusher?” “You are as stupid as ever,” came a voice from nowhere. I was sure that it was the blacksmith’s. My physical eyes ran hither and thither in search of him. They couldn’t locate him. But my ears heard him perfectly well: “You are as stupid as ever. Pierre put his brain to proper use. The pousse-pousse pusher Monsieur Pierre employed was a blind man.” ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎ THE BLACK BITCH The bitch looked quite different. Different because it didn’t bark at me as is expected of its clan before strangers. Neither did it wag its tail. At first, it looked at me as if I were from another world. I was a bit perturbed for I was a stranger to that place. Then it simply ignored me by looking in a different direction. I couldn’t take another forward step for the bitch was close by the gate of my rented house I was yet to occupy. An unexpected transfer brought me to Karaikal and a colleague of
  • 46. 46 mine procured a good-looking house in a decent locality, by name Nehru Nagar. It was quite close to the college in which I joined duty as an English teacher. And so without second thoughts, I took the key from the landlord. The bitch was a real threat to me. Barking dogs seldom bite, they say. But how about this bitch that is indifferent? Having assisted my grandmother while she treated patients of dog bite with her miraculous herbs, I was sure of what dogs were capable of. I looked intently at the bitch. It looked neither ferocious nor friendly. It was bluish black in colour and not a single hair on its healthy body sported a different hue. Its ears were very long and its tail curved up to a point in a miniature sickle. “Oh, God! It will be invisible in the dark,” I said to myself and decided to carry torchlight whenever I ventured out. Its amber eyes, I was sure, would reflect the light. As I was involved in the thoughts of befriending the bitch, a milkman pedalled his way through the street pressing the air-horn attached to the handlebar of his bicycle. Pee...po...pee...po...pee...po. To my great surprise, the bitch imitated the sound of the air-horn as meticulously as a human being would. I couldn’t but admire the bitch for its imitative skills. The sound of the air horn-pulled out of many of my neighbours from their respective houses, each one holding a vessel. I smiled at every one of them and nodded my head in order to introduce myself and get introduced. But that morning hour would not allow any man or woman to be out of their houses. One smiled back, two ran back into their homes without responding and one was all the time looking at the ground. My immediate neighbour stood for a time, adjusted her sari and then asked me: “Are you my new neighbour?” I bobbed my head up and down. “I am told that you are an English professor?” She asked. “Yes, Madam,” I replied with a gleam in my eyes. “When are you shifting?” she asked. “I am moving in now, Madam. My luggage will reach me in a day or two,” I replied. “Hm...by luggage you mean your wife and children?” She asked with a smile. “No, no! By luggage I meant only luggage,” I answered smiling back. “Aren’t you married?” She probed further. “Of course, I am. I have three kids. But in Karaikal, I will have to lead the life of a forced bachelor,” I said and added, “I will be with my family on weekends.”
  • 47. 47 “Oh, I see! Are you a vegetarian or non-vegetarian?” she asked me as if she were the landlady and I destined to answer all her questions. “I am a pure non-vegetarian, Madam,” I said with a toothy smile. “Then this Blackie will be yours forever. She rarely eats the leftovers from our houses. We are all vegetarians as you can notice from our looks,” she said. The cooker from her kitchen whistled. “Oh, I have to rush now. Come home, Professor, when you are free,” she sailed back into her house as her words sailed back towards me. I emboldened myself to take my forward step. The bitch didn’t stir. Perhaps it was in a dreamy state thinking of where it could get the next bone. The milkman went to the dead end of the street and returned, all the time pressing the air-horn. The bitch that so far maintained a yogic silence began to imitate again: Pee...po...Pee...po...pee...po... The milkman got down from his vehicle, parked it on its stand, searched for a coconut shell, found one, cleaned it with his hands, blew the dust off it and then poured milk into it to its brim. The bitch looked at the milkman, but did not wag its tail. It moved aside giving way for me to reach the gate. “She is special to me, sir! I can’t afford to keep a pet at home. She is very mischievous but has never harmed anyone. Can’t see such a pious dog anywhere in Karaikal. I love her, sir!” certified the milkman. I smiled as I unlocked the main gate of the house. “Shall I supply you milk from tomorrow, sir?” he asked. I smiled at him and said, “I will let you know.” “Okay, sir,” said the milkman, as he jumped on to his bicycle. He then said, “You too will love every action of Blackie, sir. Have a good day.” As I slipped the key into its hole and clicked it open, Blackie was slurping the milk up.... A couple of dogs sauntered past her with their tails tucked between their hind legs. They claimed no share of the milk. I took an undue interest in the bitch for reasons known only to the celestial beings. Since I cooked my own meals, I made it a point to feed Blackie twice a day. As I myself skipped breakfast to keep a fast developing tummy under control, I offered her only disappointment in the mornings.
  • 48. 48 I was in for a big surprise on the first night I brought food out of my house on a leaf plate. The plate was full of gravy-mixed rice with a lot of chicken bones with stray flesh still sticking to them. I placed it carefully under a nearby tree and expected Blackie to wag her tail as a mark of gratitude. But the bitch stood up, stretched herself, yawned and then all of a sudden took to her heels. “What? You think I am poisoning you, eh?” I asked. But by the time I could finish the sentence, Blackie was out of my sight. I waited there for a few more minutes. Half-a-dozen dogs that were having a jolly good time in playing and testing each other, slowed down their steps as they neared my house. One of them, perhaps, attracted by the smell of food waiting to be eaten, strayed away from the pack. But another dog, bigger in size, reprimanded it with a sharp yell. The dog that strayed sharply turned and joined back its friends. And all of them went away without letting out a yell or a bark. “Strange are the ways of these dogs.” It was my loud thinking. “Hi, Professor! Feeding Blackie?” asked the lady of the next door. I nodded my head. “Why don’t you open your mouth and speak, Professor?” she said with a giggle. I was sure that she was desirous of involving me in a conversation. She was only a few yards away. I moved closer to her. What separated us was only the compound wall of her house that reached to our chests. “Yes, Madam,” I said. “Stop calling me Madam. I am Padmasani. You can call me Padma,” she introduced herself. I giggled. She looked suspiciously at me. For fear that she would misread my giggle, I said, “I hope no one calls you by the other half of your name, except perhaps your hubby when angry.” She broke into a peal of laughter, showing all her healthy and well-arranged teeth. “Hm…you are full of humour,” she complimented. “Well! Jokes apart, don't expect Blackie to eat in your presence. She is shy of men,” she said with a wink. “Unbelievable,” I said. “There are so many things that you can never believe about Blackie. She is a legend here. You will get to know more about her as time passes,” Padma said. As she continued feeding
  • 49. 49 her grandchild seated on her voluptuous hip from a silver bowl filled with cooked and meshed rice, ghee and dhal, she added: “Please come home for tea tomorrow.” An hour or so later, I went up to the terrace to walk a bit before I flopped into bed to hug sleep. Once on the terrace, I heard the sound of munching and crunching of bones coming up from the street. I leaned over the parapet and saw Blackie feasting on what I left under the tree. She had almost finished eating when perhaps her doggy sense told her that someone was watching. She looked up at me, running her tongue all over her mouth. She then whined and looked in different directions. Ascertaining that there was no one around, she continued gobbling up. On the morning of the next day, I carried my garbage can to empty it in the dump, a stone’s throw away from my house. Blackie followed me, without a bark or wag of its tail. No sooner did I near the dump than a dozen or more sleeping dogs stood up startled. Later I understood from sheer observation that five o’clock in the morning was too early for the people of Karaikal to be out of bed. In Pondicherry, one can see women sprinkle water and draw kolams in front of their houses well before daybreak and this they do ceremoniously to give a grand gala welcome to the rising sun. But in Karaikal, these things happen not before seven. Early to bed and late to rise, seems to be part of their credo. It was no wonder that the dogs saw in me a stranger loitering at that unexpected hour. They began to bark in a chorus and were perhaps preparing to attack me. Blackie growled. A sepulchral silence and all the dogs disappeared without a trace. While sipping tea with Padma in her house on that evening, I narrated how Blackie played guardian angel to me. “I told you, you know, Professor! She loves you,” Padma said with a stress on the four- letter word with layers and layers of meanings. I tried to suppress my laughter. Seeing me struggle, Padma broke into a guffaw and I could see her eyes glitter. “Blackie is very pious, you know,” Padma said in an attempt to change the topic. “What?” I asked because I could not resist the temptation of probing into the matter. “Yes, Professor. She prays everyday,” she said and after a pause added, “It is to be seen to be believed.” “No, Padma! Blackie is of a different mould, different from the rest of the canines I see in Nehru Nagar,” I said, expressing gleefully my discovery.
  • 50. 50 “And Nehru Nagar is infested with street dogs. It is dangerous to go out after dark,” Padma added. “Infested? How many approximately?” I asked as fear began to grip me. “There are six crosses in Nehru Nagar... not less than a hundred houses in each cross. I am sure that each cross feeds a minimum of twenty-five dogs,” Padma gave statistics. “Why not give a complaint to the municipal authorities? The dog catchers will be here,” I suggested. “Oh no! The dogs are the real policemen of Nehru Nagar. Not a theft was reported here so far,” Padma said with a lot of concern for the dogs. A week or so later, I experienced the truth in what Padma had said. I was returning home after watching a late night horror movie in Shamina theatre, in the vicinity of Nehru Nagar. The time was an hour or so past midnight and I was on foot. I crossed the first main road and took the street that connected all the six crosses. When I reached the third cross, a stray dog let out a blood-curdling howl. And God knows where from they came...they came in a battalion and sent a chill down my spine. My body began to shake as the barking pack came galloping towards me. I was told that the best way to face dogs was with stones. But wisdom told me to remain inert. I was not sure what portion of my dear flesh would be mine after everyone had his or her share of the booty. Blackie too must have been there for I heard her growl and all the dogs as if obeying the command of a captain traced back their steps leaving me to myself. I heaved a sigh of relief. From that night onwards, no dog dared bark at me. I felt I was special to them. Watching Blackie and her day-to-day activities became my pastime. I was surprised at her talent for mimicry. Every time the milkman came to our street, she mimicked the pee…po…pee…po…sound of the air-horn. No hawker's voice ever posed any problem to Blackie. She was always at the heels of the fisherwoman who carried a basketful of fish on her head and whenever she cried meenu…meenu… Blackie reproduced the first syllable of the word and stretch it beyond measure. To see her mouth go in different directions in her attempt to pronounce the syllable is to be seen rather than described. Blackie’s favourite was a greens vendor. He used to come pushing a cart loaded with all sorts of greens and country vegetables. And when he cried keerai…keerai, she simply repeated the words, of course, in her doggy accent.
  • 51. 51 And on one Sunday, when I was at home relaxing in an easy chair spread on the sit-out and reading an excellent book on animals titled Wonderful People by Dr. Howl L. Barker, the call for prayer from a nearby mosque broke the silence. Blackie mimicked the voice of the muezzin in the way it was uttered. At first I thought it was a kid trying to imitate the muezzin. I rushed out to admonish the child. To my great surprise, I saw Blackie standing on its hind legs and repeating the voice from the mosque. “I told you, you know! Blackie is a very pious bitch,” said Padma, standing and watching Blackie pray, “Be it the clink clanking of bells from the temple, or the gong from the church or the call for prayer from the mosque Blackie mimics and that is her prayer.” Padma's words made me think highly of Blackie for what bitch knows about religion and think that all religions are one and the same and that there is only one God for the whole universe. My quota of food for Blackie went up. I was sure that I had disappointed Blackie for nearly four weeks when I was away in Pondicherry enjoying the holidays after semester exams. On Fridays before sun down, I used to pack my sling bag and start for the Nehru Nagar bus stop to catch a bus to Pondicherry. On such days, Blackie was unhappy and expressed her disappointment by rolling over on its back on the street like an adamant child and whimpered till I disappeared from her sight. And on Monday mornings, the moment she sighted me, she expressed her joy by running hither and thither on the street regardless of the careless two-wheelers. After the vacation, I reached back Nehru Nagar. I found no dog…not a single one. Where have they all gone? There was no one in the street to answer my question. And then I too have forgotten all about the dogs. Three days later, when I was returning from a colleague’s house in the sixth cross, I found a bitch lying curled up near the street corner. It was Blackie. “Hi, Blackie! Nice to see you back,” I said and moved towards the bitch. She looked gravely from one side to the other for a moment and then dropping her chin on her paw closed her eyes with a grunt of discontent. Not willing to leave her at that, I bent down, pawed her head and in a cajoling tone said, “Come on, Blackie! I have food for you…” Blackie rose to her heels with a start, growled and bared her teeth at me and threatened to tear my flesh.
  • 52. 52 Nervous, I drew back in fright. Blackie growled again and ran as fast as ever. Everything remained a mystery to me till Padma came home with sweets and snacks that she had brought from her in-laws in Kerala. Padma talked at length of how much she missed my company and what urgent call from Kerala made her rush to that place a few days ago. “Oh God! What a tedious journey! I am doing tired,” Padma said amidst a huff and a puff. I was reminded of the dogs in Nehru Nagar. I asked her for what had happened to them. “Huff…The chairman of Nehru Nagar Landlords' Association complained to the municipal authorities. The dog catchers did their job very well and carried every one of them away,” Padma said in a dull voice. She shuddered but looked away. “But I saw Blackie a few days ago,” I said. Padma was silent for a time. I saw a tear drop or two trickle out of her eyes. “They came in three vans…these dog catchers,” Padma began. “They parked their vehicles in three different corners of Nehru Nagar. And several men, all khaki clad, plunged into action. Throughout the day, Nehru Nagar was reverberating with yelps and whimpers of dogs. I saw our Blackie too inside the van parked in the shade of the tree in front of your house.” Padma paused. “So you bribed the bitch catcher and pulled Blackie out,” I interrupted. “No, Professor, no,” she said. “That is the interesting part of the story. Just before sundown, there was a call for prayer from the mosque. Blackie stood on her hind legs, brought her forelegs together and imitated in her doggy accent the voice of the muezzin. “My God! And then?” I sounded curious. “And then…the driver of the van admiring at Blackie’s piety told one of the catchers to pull her out and release her. The catcher too very much pleased with the doings of the bitch allowed her to live long. And this is how she is here, while all her friends and mates by this time would have reached Heaven,” Padma said. She then continued: “But Blackie is dead wood now. I am told that she refuses to take food…always thinking of her lost companions. She is a different Blackie now.” “She is always different,” I said suppressing a tear threatening to spill over. ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎
  • 53. 53 BEST FOR THE OCCASION Little Auro giggled. He tried to suppress the giggle but burst into laughter and thereby attracted the attention of his mother. Auro's mother, enamoured of a painting in the art gallery, was about to take off on the viewless wings of poesy, when her son's rocking laughter pulled her back. She looked at her ten-year-old bony boy. She has not seen him laugh like that for a very long time. At first, she ran her eyes around to locate the target of the boy’s laughter. She failed. Smiling she asked, “What is it, Auro?” Her delicate voice perhaps got drowned in the noise of the boy’s laughter. He didn’t seem to take note of his mother’s anxiety. Her motherly eyes didn’t fail to take notice of the change in the boy’s face. Less than three years ago, when she was in Trivandrum to attend a friend’s wedding, she snatched a few hours from her tight schedule to go around a zoo to pleasure the child. Holding her hand, Auro moved from cage to cage watching birds and animals that he had seen only in ‘Animal Planet’ channel of the TV, one among the few channels he was allowed to watch after his school hours. He was able to identify several creatures of God and name them too. Auro's scholarly mother proudly looked at her son at such times and smiled to herself. He was having fun time with almost every inhabitant of the different cages. But his face all of a sudden changed colour when they reached a differently built cage open to the sky. Auro's eyes frantically searched for this cage dweller but couldn’t spot out any creature, except a few stray crows pecking at the left-over and cawing to express their satisfaction. Auro looked inquiringly at his mother who too betrayed ignorance. When they were about to move to the next cage, out emerged an animal from an artificial pool whose water looked as though it were from Aegean Stable. Smooth, shiny and soft was its skin as though neatly shaven by a skilled barber. Not a drop of water managed to find shelter on its huge, unshapely and so ugly body. It was a hippo. Its funny face attracted the boy and he laughed aloud to his heart’s content. Perhaps attracted by the child’s innocent laughter, the animal ambled towards him. It then turned sideways and exhibited its shiny body. The child stopped laughing. Curiosity drove him to take closer looks at the animal. The animal began to wag its funnily short tail sideways gathering greater momentum that made every onlooker imagine that it was going to fritter and
  • 54. 54 break. Then all of a sudden, the tip of the tail looked up at the sky and became motionless. The animal’s huge belly caved in for a second or two, and then it let out a long fart. Several people guffawed. A few held their nose tight with a couple of their fingers and moved away in disgust. Auro's mother too smiled while the boy began to laugh continuously till his face changed colour and he started coughing incessantly before he swooned. She didn’t want that to recur for she couldn’t afford to undergo that trauma all over again. And so inside the art gallery, she shook Auto by his shoulder. “Stop it, Auro! What is it this time?” she asked in a stern voice. Auro's laughter began to wane and finally he showed the artist standing in one corner of the gallery and briefing an inquisitive listener about his recent painting he had displayed for sale there. She looked at the artist. His shirt was sleeveless and looked as though the sleeves were forcibly torn from its main body. His branded shorts had a couple of holes big enough for any grown-up mouse to enter through one and come out of the other. His shirt barely reached his hip and looked as though he were wearing his little brother’s. “Does he tickle you to laughter?” she asked. A smile flitted across her face. Auro nodded his head. He was sure that his mom didn’t like the way he laughed. “He would easily pass for a beggar to others. But to me he is a comic figure,” he said. She stared Auro's eyes down. “Look Auro! He is a famous painter and...” “So what?” Auro interrupted her and said, “I have seen short films on artists and painters on History and Discovery Channels. Every great Italian painter, like his counterpart in the other parts of the globe, is well dressed. But is this man so poor that he can dress only shabbily?” “Listen Auro! Painters and artists rarely care for their external appearance,” she said curtly and before she could continue to speak in favour of them, Auro’s attention got diverted. Her eyes meandered towards the direction that attracted her son’s attention. There entered a middle-aged woman sparsely dressed. She was exhibiting her gifts from god in all possible places of her anatomy. As she sailed across the hall, she cooed: “Hi, everybody! I am Udhpa Dupha, the famous painter from Sri Lanka. Twenty-five of the sixty paintings displayed in this art gallery are mine. I hope you like them. Please do not forget to register your comments in the notebook at the counter.” As she jogged her way along, the hearts of youngsters gathered there bobbed up and down to the tune of her dancing breasts. Auro pouted out his lower lip and displayed his contempt for her. “Don’t you feel like laughing at her dress, mom?”
  • 55. 55 “Listen Auro! Haven’t you seen the picture of Einstein, the great scientist? He never had his shaggy hair combed. Haven’t you seen photographs of Mahatma Gandhi? Is he dressed from head to toe? I told you half-a-dozen times that great men and women rarely care for their physical appearance. They have a special kind of impressiveness, resulting from the combination of great intellect with child-like simplicity. So, stop laughing at them and try to appreciate their hard labour that have gone into the making of these beautiful, lovely and charismatic paintings. Learn to appreciate others. You too have bagged prizes in the painting competitions. If you develop that art, you will one day be a good painter like these who joined hands to exhibit their talents here.” Auro turned his head away from his mother and mumbled: “Aren’t you a writer?” “Yes! Of course, I am!” she replied in pride and looked inquisitively at her son. She was not sure of the next question her intelligent son was about to shoot at her. “But, mom!” continued Auro, “I have never seen you dress in the way they do.” His words silenced her for a minute. Yet she has to wriggle out of the situation. “But I am a professor too! You know, Auro, I have to face several students in classrooms everyday. And they are mostly boys.” “So what?” Auro sounded arrogant. “What do you mean ‘so what’?” She was equally arrogant. “Mom! You only told me that painters and artists do not care for external appearance.” Auro sounded polite. “Yes! I did.” She was equally polite. Finding that his mother has cooled down, Auro shot his next question. “Writers like you belong to that category or not? Don’t say ‘no’ mom! If painters use brush, you writers use pen to paint pictures in words.” She thought for a moment for she couldn’t guess what her son was up to. She began to use words cautiously. “Yes! They do, provided they are full-time writers; provided they are not teachers in a school or college.” “What goes wrong if they are one, mom?” “Hm...you see, Auro!” She began to fumble for an answer but finally managed with one. She said, “A teacher is looked upon as a model to be followed by the taught. Painters, artists and writers are of a different mould. The more famous they become, the more eccentric they are. Their eccentricity adds charm to their personality. And they do not fear public opinion. This may not hold true for people in the teaching profession. I hope you understand.” She
  • 56. 56 moved to a nearby cafeteria with the intention of avoiding his further questions and ordered for chocolate ice-cream to silence the inquisitive boy. It was past nine when mother and son reached home. On their way back home, they stopped at a Chinese restaurant and had their favourite chicken noodles and fish roe for supper. Auro never knew what hunger was. And his mother never grudged opening her purse for him. “Change your dress Auro and go to bed,” she said, as she opened her wardrobe to pull out a nightie for herself. As she emerged out of the room, she saw Auro dressed in his best. For a second, she couldn’t believe her eyes. He looked as though he were about to move on to a stage to receive an international award. “You look grand in this, Auro! But why this dress at this hour? You can put it on when you accompany me to the next painting exhibition or book release function. Auro hee-hawed and then said, “I have the best clothes for such occasions.” “What? You mean you have better clothes than this?” She shot a suspicious glare at him. “Hmm…Definitely the best for such occasions,” Auro confirmed and showed the bundle of clothes dumped in one corner of the room. They were yet to be discarded. They were Auro's old clothes, mostly worn out by years and torn or showing up at the seams. He had outgrown them all. “I will pass for a famous young painter, mom!” Auro said with a smile. His mother had no way but to grin sheepishly. ⁎⁎⁎⁎⁎⁎⁎