Le document traite des cigognes, notamment de la cigogne blanche et de la cigogne noire, qui nichent et migrent dans la ville tunisienne de Béja. Ces oiseaux, symboles de la ville, sont protégés par les habitants qui aménagent leurs nids sur des bâtiments et poteaux électriques, ce qui a conduit la société tunisienne de l'électricité et du gaz à installer des caches pour minimiser les coupures de courant. En plus de leur rôle écologique, les cigognes, qui se nourrissent d'insectes et de petits animaux, sont également entourées de folklore et de traditions locales.