Inflammations émotionnelles et leur impact sur le corps humain

Introduction

Tant qu'il existera des maladies sans traitement radicalement curatif, la recherche médicale poursuivra son objectif primordial : promouvoir le bien-être de l'être humain. Il est bien connu qu'il reste encore beaucoup à découvrir dans le domaine médical, et chaque nouvelle génération contribue à l’avancement des connaissances et des réalisations scientifiques. Partant de ce principe, j’aspire à apporter ma contribution à cet effort collectif, visant à soulager la souffrance, en explorant les mystères du corps humain.

Pour mener à bien cette recherche, j’ai combiné deux études indépendantes. La première, présentée comme un préambule, facilite la compréhension de la physiopathologie des maladies émotionnelles. Elle est intitulée : Le secret du sommeil paradoxal.

Le secret du sommeil paradoxal

L’énergie qui fait fonctionner l’organisme

L’organisme humain fonctionne grâce à deux énergies principales : l’alimentation et l’électricité.

L’alimentation : La nourriture fournit l’énergie nécessaire aux cellules, permettant ainsi le bon fonctionnement des muscles.

L’électricité : Elle joue un rôle de stimulant organique et musculaire. Cette énergie électrique est produite par le cerveau, qui l'utilise pour activer l'ensemble du corps. Le cerveau envoie des décharges électriques à travers les nerfs, stimulant les organes en fonction de la vitesse et de la force requises.

Le cerveau se décharge de son énergie électrique

Durant l’éveil, le cerveau stimule l’organisme. Les organes stimulés sont les suivants :

a. Le système neurovégétatif : Ce système est chargé de réguler la vie végétative, c’est-à-dire le fonctionnement des viscères, en fonction des besoins énergétiques du corps.

b. Le cervelet : Il s'agit d'une partie de l’encéphale située dans la fosse cérébrale postérieure, sous le cerveau, au-dessus et en arrière du tronc cérébral. Le cervelet intervient dans le contrôle du tonus musculaire, l’équilibre et la coordination des mouvements.

C. La vue : Pour identifier, spécifier et examiner un objet avec précision, la demande en énergie est proportionnelle à l’effort fourni, à l’importance et à l’objectif de la tâche.

L’électricité utilisée par le cerveau lors de l’observation est particulièrement perceptible lorsque, par exemple, une personne regarde une autre sans qu’elle en soit consciente. Un moment après, la seconde personne en ce retournent brusquement, et les deux regards se croisent. Cette situation peut être expliquée par la réception de l’énergie électrique émise par la première personne, détectée par les cellules périphériques. Ces cellules transmettent l’information au cervelet, qui ordonne aux yeux de se tourner vers la source de cette énergie. C’est ainsi que les deux regards se croisent.

Cette capacité à localiser spontanément un regard posé sur soi est une faculté que Dieu a accordée à l’être humain, lui offrant ainsi un avantage pour se défendre contre des attaques imprévues.

Le mauvais œil​[1]

Les symptômes du mauvais œil constituent une preuve irréfutable que les êtres vivants utilisent de l’électricité pour regarder. En effet, l’atteinte du mauvais œil est d’ordre neurologique et ne peut l’être que si elle est électrique.

En réalité, le mauvais œil n’est rien d’autre qu’une décharge électrique plus intense qu’un simple regard innocent. Il résulte d’un regard admiratif ou envieux, émanant d’un individu fasciné par une qualité particulière détenue par la personne victime.

Parmi les symptômes associés au mauvais œil, on trouve :

Sursaut